Partager l'article ! Cueillir les fleurs que nous offre la vie...philosophie. Récit.: RECIT ...
RECIT
Alors Cousin, où en es-tu après ces 14 dernières années ? est-ce qu'on n'en est pas toujours un peu là ?: ah si on pouvait recommencer, arrêter le temps. — Tu sais Jérémie, je n’ai pas oublié et je ne t’en veux pas. |
J’étais invité au mariage d’un ami et après la mairie, le vin d’honneur et le repas, je commençais à m’ennuyer maintenant que le bal avait débuté dans la salle de l’hôtel qui accueillait la cérémonie. Le barman était mignon, je m’apprêtais à aller lui faire du gringue quand je me suis retrouvé nez à nez avec mon cousin. Nous avions presque 30 ans tous les deux et nous nous étions perdus de vue depuis l’été de nos 16 ans, où très proches l’un de l’autre, un soir, nous nous étions embrassés. Nous découvrant cette attirance, la barrière du désir surgit alors stupidement entre nous. Pour moi, mes actes manqués ont beaucoup compté. J'en ai eu du regret, mais sans plus. Mon cousin Pierre et moi n’avions jamais voulu nous revoir depuis, sauf stricte obligation où l’on se contentait de se saluer, toujours un peu gênés, et je l’avais même perdu de vue depuis que nos routes avaient vraiment divergé, lui s’étant marié et moi ayant eu plusieurs mecs successifs. Mais il faut croire que mon cousin a, lui, gardé un souvenir douloureux de son désir non assouvi quand il avait 16 ans.
Bref, ce soir-là, nous nous étions retrouvés ensemble dans les toilettes et j’allais sortir quand il me parla.
— Tu sais Jérémie, je n’ai pas oublié et je ne t’en veux pas.
— M’en vouloir de quoi Pierre? lui ai-je rétorqué.
— De ce que tu m’as fait, a-t-il ajouté.
Alors comme ça il m’accusait! Je n’eus pas le temps de réfléchir que je le pris par la nuque et essayai de l’embrasser. Au début, il garda les lèvres fermées puis il céda à ma pression. Je le relâchai alors et nous reprîmes notre souffle, muets tous les deux en train de nous regarder.
Je me rends compte qu'avec le temps, ce souvenir (brûlant lol) avait joué pour lui comme un déclencheur de regrets. Moi j'avais été libre, lui contraint par son mariage. |
Quelqu’un arrivait, il me poussa vers une cabine vide. Ce qui suivit se passa très vite, il se serra contre moi, m’embrassa, je sentais la bosse dans son pantalon. Il défit ma ceinture, baissa le mien puis le sien ainsi que son slip, dévoilant une belle queue bien raide. Pendant ce temps, on entendait le mec qui était entré chanter en pissant, il devait être bourré. Pierre glissa sa bite entre mes jambes et entreprit un très rapide va-et-vient, il haletait et m’embrassait fougueusement et mal, je le laissais faire. Tout à coup, je sentis qu’il s’était lâché, j’avais son sperme poisseux qui me coulait entre les jambes. Je lâchai un bref: "Merde t’es con!" Il eut l’air penaud et sortit précipitamment de la cabine en remontant son pantalon. Pendant ce temps, je me retrouvai à éponger sa jute avec le papier toilette.
Quand je sortis à mon tour, je remarquai que le mec arrivé entre temps était toujours là, lui aussi s’essuyait le pantalon avec des gestes pas trop coordonnés, il avait réellement trop bu. C’était le marié. Il n’avait quand même pas perdu tous ses esprits car il me dit:
— Jérémie, je rêve où tu étais avec Pierre dans la même cabine? Je l’ai vu sortir et toutes autres portes étaient grandes ouvertes.
Je changeai la conversation en me moquant de lui:
— Tu ne t’es pas loupé Arnaud, tu t’es pissé dessus! Sophie ne va pas être contente.
— C’est de sa faute à celle-là, a-t-il ajouté, elle était partie pendant 10 jours avant le mariage pour son boulot, après elle n’a pas voulu qu’on baise jusqu’à ce soir pour la nuit de noces. Résultat: le fait de danser contre elle m’a donné la trique et j’arrive pas à débander.
Je me suis moqué de lui en lui disant que ça ne se voyait pas. Il m’a pris la main et me l’a collé sur son paquet qui était un peu mouillé. Je sentais sa barre. Il avait envie de jouer? J’allais entrer dans son jeu.
— Je ne sens rien à part que t’es trempé, ou alors c’est que tu en as une toute petite! lui dis-je.
Il s’est déplacé alors vers une cabine et a défait sa ceinture et baissé son pantalon, son boxer blanc trempé ne cachait rien, on voyait sa tige et ses poils et après l’épisode Pierre, ça me donnait la trique. J’entrai alors moi aussi dans la cabine et je fermai la porte. Pris par une inspiration, je portai mon visage sur son sous-vêtement et commençai à le lécher. J’adorai le goût salé de sa pisse et la sensation de sa queue étranglée dans le tissu mouillé.
— Mais qu’est-ce que tu fais? me disait-il.
Et au lieu de me repousser, je sentais ses mains passer dans mes cheveux et me guider. Ne sentant pas plus de résistance, je sortis sa bite et l’engloutis, commençant à remonter et descendre sur sa hampe. Je pris garde au passage d’aller le plus loin possible et de bien lui enserrer le gland. Je le sentais devenir tout électrique avec des petits tremblotements dans les jambes. Il me largua une bonne dose de purée bien épaisse et je fis en sorte de jouer les garces en en faisant couler sur mon menton.
— Putain que ça fait du bien! me dit-il. Y'a pas à dire, tu sais faire. Merci, mais pas un mot.
Il semblait complètement dégrisé mais soulagé. Nous entendîmes alors une chasse d’eau à côté, nous espérions avoir été discrets et attendîmes quelques instants avant de sortir.
En voilà un me dis-je qui sait saisir l'instant présent et ne va pas garder le regret de sa retenue d'un jour toute sa vie. |
Pierre a dû rêver de scènes pareilles toute sa vie...
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