SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES

Lundi 27 janvier 1 27 /01 /Jan 01:15

    On va croire que François profite ...de son cul...autant que de sa bite ...mais il est l'esclave de ses sens

François, ado sans un poil, comme une fille se dit bisex...un jour une chaudasse hollandaise et ses amis hippies qui faisaient du camping sauvage l'ont piégé. Pendant qu'il était sur elle et la baisait, les mecs sont venus et l'ont maintenu et baisé de force et à fond.Façon de lui faire partager leurs goûts à eux...ça s'appelle viol de mineur...Le début d'une plongée passive qui va occuper sa vie pour retrouver ces sensations et fera de lui une proie, une pute, "une chienne"  au service de brutes. Son ami Franck assiste impuissant à cette descente...

 

  bbincumming2: sissyalicelovesbigcock: If he chooses to make me his woman…if he chooses to seed me…then this is my fate. http://bbincumming2.tumblr.com Video: http://bbincumming2.tumblr.com/tagged/video Archive: http://bbincumming2.tumblr.com/archive  

Franck :- "on avait baisé cette touriste ensemble, lui dans son vagin et moi dans son cul...mon "premier cul".

 J'ai vu François allongé sur le dos dans l'herbe humide et Carole le chevauchait sans complexe. Elle montait et descendait sur le bas ventre de mon pote qui l'encourageait à voix basse.  J'ai vu François allongé sur le dos dans l'herbe humide et Carole le chevauchait sans complexe. Elle montait et descendait sur le bas ventre de mon pote qui l'encourageait à voix basse.

— Vas-y ma poule... Bien profond... Tu la sens... Vas-y encore!

Il m'a vu, m'a fait un clin d'oeil. Carole ne pouvait pas me voir. Je me suis approché. Il l'a attiré vers son torse. Elle s'est laissé faire. La lune éclairée ses fesses ouvertes. La raie sombre me tentait. François l'embrassait à pleine bouche en lui maintenant le visage contre le sien. Je me suis mis à genoux derrière elle. Mon pote m'a fait un signe de tête comme pour me dire vas-y. Je bandais comme un fou de voir cette fille en train de se faire ramoner elle même. J'ai mis de la salive dans ma main et me suis masturbé doucement. Elle ne s'est pas aperçue de ma présence. Je saisis rapidement ses fesses. Mon gland a tout de suite trouvé l'entrée plissée. Elle a sursauté, tournait la tête vers moi. François la tenait fermement.

— Laisse... Tu verras... C'est bon...

— Je veux pas... Je veux pas...

J'ai poussé, c'est entré tout seul, comme pour sa copine. Elle a d'abord crié de douleur ou de dépit puis de plaisir. Sensation incroyable de cette fille qui oscille aux rythmes de nos queues. Son cul bien souple m'avale sans problème. On tente de se synchroniser mon pote et moi. On y arrive. Elle se laisse faire. Ses gémissements deviennent des cris de femelle en chaleur. Nos queues s'enfoncent ensemble. J'arrive à sentir celle de mon pote. Il doit sentir la mienne. C'est elle qui jouit en premier. On la suit. On la libère. Elle nous dit en rigolant qu'on est des petits salauds. On remarque Sophie réveillée par les cris de sa copine. On est bien les quatre. Elles sont parties trois jours après le cul et la chatte en choux-fleurs.

Ce jour là, François m'a dit qu'il ne serait pas avec moi et qu'il avait une course à faire en ville qui lui prendrait tout l'après-midi.

_________________________________________________________________________________

Mais lui, Franck, avait une vie mystérieuse et complexe, je le suivis à son insu afin d'en avoir le coeur net.  



Nous étions à une vingtaine de mètres de la carrière. Les collines éventrées par les bulldozers formaient un cercle et ne laissaient qu'une voie d'accès unique pour des camions monstrueux. François s'est arrêté à côté d'un vieux mur en ruine, reste d'une maison de forestier. À quelques de mètres de l'endroit, il y avait un groupe d'hommes en train de terrasser des cailloux. Je suis resté à couvert.

À côté du mur en ruine, il y avait deux baraquements de chantier qui devaient servir de demeures aux ouvriers chargés de cette partie du chantier. François s'est mis face au mur, tournant le dos aux hommes qui ne l'avaient pas vu. Je me suis aplati dans l'herbe. De l'endroit d'où j'étais, je pouvais voir mon pote devant le mur. François a sorti son sexe et s'est mis à uriner contre le mur. Son jet puissant formait un arc de cercle qui brillait au soleil avant de s'écraser sur les vieilles pierres surchauffées par le soleil. Un des hommes du chantier a tourné sa tête vers le mur et s'est aperçu de la présence de mon ami. Je pouvais tout voir sans problème. L'homme a parlé aux autres qui ont tous tournés leurs regards vers le mur où François bien qu'ayant fini de pisser continuait à garder la même pose, son sexe toujours à la main.

Un des hommes s'est approché d'un pas nonchalant. C'était un arabe. Il était torse nu et portait un casque de protection rouge sur sa tête. Sans un mot, il s'est placé à la droite de François et a ouvert la braguette de son vieux pantalon maculé de poussière pour en sortir un sexe très brun, circoncis. Il s'est mis à pisser tout à côté de François qui regardait cette bitte d'où sortait un puissant jet d'urine. L'arabe a pissé pendant longtemps, puis a secoué son sexe avant de le rentrer et refermer son pantalon. François n'avait pas bougé pendant toute la durée de l'opération et n'avait pas quitté des yeux la queue de l'ouvrier. L'arabe s'est tournés vers lui en souriant. Il a regardé ses copains qui continuaient à travailler.

— Ti es venu pour elle?

En disant cela il a porté la main sur sa braguette pour se caresser l'entrejambe. François n'a pas répondu, se contentant juste de baisser la tête d'un mouvement très lent, d'une grâce presque féminine. Il ne faisait aucun doute que ce mouvement était un consentement et en même temps une espèce de soumission. Ils étaient toujours côte à côte. La main de l'ouvrier s'est posée sur les fesses de mon pote pour les flatter un petit moment, avant de passer sous le short blanc. François a légèrement frémi et a fermé les yeux. Les autres ne travaillaient plus et regardaient dans leur direction. Ils étaient cinq à regarder leur collègue caresser la croupe de mon ami qui se laissait docilement peloter par les mains noueuses et maculées de poussière. Moi je restais bien planqué dans l'herbe. Personne ne pouvait deviner ma présence. J'osais à peine respirer. J'étais fasciné et dégoûté en même temps. Mon sexe me démangeait.

La grosse main calleuse est ressortie. L'arabe s'est placé derrière François qui ne disait rien, toujours immobile, et les yeux fixés sur la tache sombre qu'avait fait son urine sur les pierres chaudes. Mon ami portait une légère chemise blanche assortie à son short de tennis. Il semblait fragile comme un enfant sous le soleil à côté de l'arabe qui le dépassait d'une bonne tête. Les mains de l'ouvrier ont lentement baissé le short. Je pouvais voir l'étoffe descendre doucement le long des hanches de mon ami pour atteindre le haut de ses cuisses avant de tomber autour de ses jambes et atterrir sur ses chevilles en recouvrant les espadrilles poussiéreuses. De l'emplacement où je me tenais terré, je pouvais voir toute la scène, contrairement aux ouvriers qui ne voyaient que le dos de leur collègue. Ils avaient repris le travail mais regardaient très souvent de notre coté.

À ma grande stupéfaction, François ne portait pas de slip! Les mains brunes à la peau épaisse pétrissaient les fesses nues de mon ami et leur couleur tranchait avec les globes très blancs offerts. L'arabe a obligé mon pote à écarter ses jambes mais le short l'en empêchait.

— Enlève ton short, ti n'en a pas besoin ici...

François a levé une jambe après l'autre pour se débarrasser de l'étoffe blanche et a écarté ses longues jambes aux muscles très fins. L'ouvrier s'est poussé et les autres ont pu voir que François n'avait plus que sa chemise et ses espadrilles sur lui. Ils ont rigolé en échangeant des paroles incompréhensibles.

— Penche toi pour que mes amis ti voient mieux le cul.

François a obéi en prenant appuis sur le mur aux pierres branlantes. Il est resté comme cela sans bouger, reins cambré, fesses offertes, jambes bien écartées, bras tendus et mains à plat sur le mur. Sa chemise lui arrivait au bas des fesses et seules ses jambes étaient visibles.

— Ti pas venu depuis longtemps... Il faut mieux leur montrer...

L'ouvrier a relevé la chemise pour la rabattre et en couvrir les cheveux et le visage de mon pote. François était plus nu que nu sous le soleil éclatant. Avec sa tête recouverte de tissu blanc, son corps bronzé, à l'exception de ses fesses toutes blanches, il était complètement offert à la vue des autres travailleurs. L'arabe qui semblait être le chef de l'équipe était en train de l'exhiber à tous en pleine journée sur un chantier. J'étais complètement subjugué par ce qui se déroulait sous mes yeux. La main de l'arabe est revenue caresser les fesses et la raie culière. Le majeur est entré entre les globes. François a sursauté. J'ai vite compris que le mec venait de lui enfoncer un doigt dans l'anus.

— C'est bien, le français. Ti as mis plein de crème !

C'était complètement dingue! François s'était enduit le cul de crème lubrifiante. Ainsi donc, il s'était préparé avant de venir les voir. Il ne l'avait pas fait en chemin, puisque je ne l'avais pas quitté des yeux. Non il avait dû le faire chez lui et il était venu sans slip et la raie enduite de crème. Et il avait fait tout cela pour ces mecs, ces ouvriers du barrage, loin de leurs pays, qui travaillaient dur sous un soleil de plomb. Il avait parfaitement prémédité son coup et n'avait plus l'excuse du braconnage. Il n'avait donc pas menti aux frères Berthaille qui avaient parfaitement deviné que mon pote était une pute avec les hommes. Et tout ce qu'il avait raconté devait être vrai aussi. C'était complètement dingue de découvrir en une semaine de vacances que mon ami d'enfance avait une double vie. Et sous mes yeux incrédules, en plein jour, et devant des spectateurs, il se transformait en femelle abandonnée à la convoîtise d'un ouvrier de chantier. L'arabe l'a débarrassé de la chemise.

— Va derrière, le français.

Ils ont contourné le mur. Je suppose que l'arabe, par un sentiment de pudeur assez curieux, ne voulait pas que les autres le voient faire. De l'endroit d'où j'étais, je pouvais voir les deux côtés du mur délabré tandis que les autres ne pouvaient voir que des torses.

— Mi toi à genoux...

Le type a sorti rapidement sa queue de son pantalon de toile, pour la présenter devant le visage de mon ami. Il avait un gland épais, sans prépuce, et une hampe très brune qui me semblait très épaisse. Pourtant, il ne bandait pas encore. François ne quittait pas le sexe des yeux. On l'aurai dit hypnotisé par le membre à moitié endormi.

— Ti m' suces ?...

Sans aucune révolte, mon ami a ouvert la bouche pour gober le gland. Il a commencé à pomper la queue qui s'est mise à grossir pour se déployer dans la bouche grande ouverte. Les lèvres coulissaient le long de la tige pour allaient de plus en plus loin. La bitte de l'arabe s'allongeait pour atteindre une belle taille. Et malgré cette longueur, François arrivait à la prendre dans sa totalité. Il pompait le dard avec fougue. On l'aurait dit en manque. Il s'est mis à téter le gland en branlant la tige. Il allait de plus en plus vite. Il léchait, suçait, branlait avec une avidité incroyable et le type le laissait faire, bassin en avant et poings sur les hanches. Au bout de quelques minutes, l'arabe a plaqué le visage de François contre son bas ventre et l'a maintenu ainsi.

— Ti vas tout avaler...

À ses tressaillements, j'ai compris qu'il était en train d'éjaculer dans le palais de François qui avalait la semence qui devait jaillir par jets puissants. L'arabe a joui longtemps et mon ami a avalé et sucé jusqu'à ce que le type lui lâche la tête. La bitte brillante de salive est ressortie. L'arabe s'est rajusté avant de crier quelques mots aux autres qui ont ri en agitant les bras.

— Ti aimes les zob toi...

François est resté à genoux pendant que le mec continuait à discuter avec les ouvriers. Il leur parlait en arabe avant de regarder François qui visage levé vers le mec attendait.

— J'ai dit à mes hommes que tu suçais très bien les zob... Ti n'es pas venu depuis longtemps... Ils n'ont pas eu de fatma cette semaine... Ti me suis dans la cabane... Ti vas leur donner ton cul... prettyblack1966: hotnaked8: Trouting out *Outstanding Package!  

François s'est relevé et l'arabe l'a poussé sans ménagement en lui donnant des petites claques sur ses fesses. Ils se sont dirigés vers la porte du premier baraquement. François est entré le premier suivi de l'ouvrier qui a salué d'un geste de la main ses coreligionnaires. Je suis resté à ma place, me doutant bien de ce qui devait se passer à l'intérieur. Mon pote était en train d'offrir son cul à ce mec qui venait déjà de se faire pomper. Au bout d'une dizaine de minutes, l'ouvrier est sorti pour rejoindre ses collègues et un autre s'est dirigé vers le baraquement. Il est entré en ouvrant déjà son pantalon.

Bien sûr, je ne pouvais rien voir de ce qui se passait à l'intérieur et je suis parti quand le troisième est entré à son tour dans le baraquement et a refermé la porte sur lui. Le short blanc et la chemise étaient toujours au pieds du vieux mur. À mon grand étonnement, je me sentais frustré et surtout très déçu de ne pouvoir assister à ce qui pouvait bien se passer dans le baraquement. J'avais une envie terrible de voir ce que mon pote faisait avec ces mecs. Je me suis aperçu que je bandais en l'imaginant nu, livré aux ouvriers de la carrière et en train de se faire sodomiser à la chaîne ou sucer des queues inconnues.

cupidon69: crownroyal89: some like it with pubes or bush.. 💕🍌 VIDEOS : http://cupidon69.tumblr.com/tagged/videos/

 

 

 

 

 

 

 

  Sometimes however, the physical requirements of an Arab man exceed the capabilities of the non-believer. In this case the boy has been referred for total dental extraction and will then be re-asessed. Mr. Huffschuy

Similarly, when an Arab master’s physical requirements exceed a boy’s cunt capacity the boy must be modified. However, in cases of anal modification a specialist called The Punisher is brought in. His ability to open even the most recalcitrant cunt is remarkable.Mr. Huffschuy

And once the throat has been properly opened, the hard work begins. The boy’s cunt now must be opened and tuned to accept and satisfy the powerful Arab cock. In the end, a non-believer boy is a untensil, simply designed as a receptacle of his masters lust, seed, and aggression.Mr. HuffschuyOk yes, Arab men can be brutal fuckers.But with boys like CuntBoy, Danny and Peter who can blame them?Like the Bible says, “love the sinner”. Oh yeah.  Salaam Mr. Huffschuy,This is Peter, a cunt I found wandering the streets of the Casbah. Sometimes if you just stroke a boy like Peter’s cunt it hypnotizes them. Then you can do pretty much what you want to them. I just called my buddies and they will be here in ten minutes. All twenty of them. Yeah, Peter won’t be wandering for a while. HafeedMoroccoHafeed,You are so right. It is like stroking the belly of a dog. Good luck with the little cunt.

sirthesubowner: crojerk: Fuck yeah! Just the way I like it! Just how my boy looked this morning. Calm down boy, it only gets worse from here. This is CuntBoy’s cousin Rij. Now you can see why we are providing remedial cocksucking lessons for the boys. Nut he is improving.

 

 

 

Des images terribles défilaient dans ma tête et, sur le chemin du retour, je me suis branlé dans les hautes herbes.

 

  FIN  

 

Par andré++ - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 22 janvier 3 22 /01 /Jan 14:34

  RECIT Introduction 1/3 

 

 Je suis très fier de nos trois familles qui ont si bien su nous accueillir dans nos évolutions personnelles et communes.

Fier de nous aussi qui avons su  nous aimer et répondre à la question : "comment voulons-nous vraiment vivre ?" La poésie de ces instants adolescents dignes des plus beaux tableaux de peinture : illustration de Fabien    

 

   SALUT C'EST MOI MATTHIEU, J' AI 10 ANS  Quand j’avais environ 10 ans, mes parents ont déménagé dans une petite ville de province. Nous nous sommes installés dans une maison à la périphérie, à la campagne. Mes parents étaient tous les 2 cadres supérieurs dans une grosse entreprise de la région, et ils cherchaient à se mettre au vert. Ils étaient assez stressés, et tout en gardant leur boulot, ils souhaitaient bénéficier d’un meilleur équilibre de vie.

Il n’y avait que 2 autres maisons à proximité. Les 3 maisons étaient 3 anciennes fermes qui partageaient une petite forêt et une vielle grange ainsi qu’un petit lac en copropriété. Le lac était un vrai havre de paix, coupé de tout, cerné par la forêt, avec suffisamment d’herbe autour, et des chemins d’accès vers chaque maison. Le premier été, nous sommes descendus pour nous baigner avec mes parents, et mon frère ainé Gilles, qui avait alors 13 ans. Quelle ne fut pas ma surprise de constater que l’une des familles qui occupait l’une des autres maisons était déjà présente, et ce dans le plus simple appareil. Un couple jeune et souriant, avec un garçon de mon âge. Mes parents discutèrent comme si de rien était, et se déshabillèrent intégralement. Mon père nous dit alors :

— Les enfants, votre mère et moi avons choisi cet endroit pour que vous goutiez aux joies de la vie à la campagne et de la communion avec la nature. Ici, c’est la liberté. Vous pouvez rester tout nus autant que vous voulez

           

 

 

J'AI 15 ANS Julien me prit à part et nous trouvâmes un coin tranquille pour discuter. Julien me dit à quel point il avait éprouvé du plaisir[dans notre masturbation de ] la veille. Je lui répondis : « et moi donc ! ». Il ajouta toutefois :- J’ai un truc à te dire, pourtant. Ne te vexe pas, mais tu es avec Adrien mon meilleur ami, et je veux être honnête avec toi — Vas-y je t’écoute.— Eh bien, hier, c’est curieux, je ne pouvais m’empêcher de regarder ton frère. Sachant que Carine est ma sœur et je ne m’attendais pas à ressentir quelque chose pour elle, mais je trouvais ton frère très beau. Je me sentais très attiré par lui..

J'’étais interloqué

— Je… Je… figure toi, que moi aussi

— Vraiment, dit Julien, tout aussi surpris

— … et des fois je ressens la même chose pour toi, osai-je

Julien me posa la main sur l’épaule et déposa un baiser sur mes lèvres.

— Ça veut dire qu’on est pédés

— Sûrement, mais ça m’est égal. J’ai envie d’être ton petit ami...          

 

  Caresses adolescentes : 

 illustration de Fabien

 

...J'AI 16 ANS Mon petit ami m’avait pris, possédé et avait déposé son plaisir en moi.

Apres s’être penché pour m’embrasser longuement, Julien trépignait. « Je ne t’ai jamais vu comme ça. Je veux essayer moi aussi ». Il reproduisit ma position, jambes bien écartées et se livra. Son petit anus tout mignon, entoure de poils blonds s’ouvrit en forçant également. Apres une minute de douleur, il découvrit aussi ces sensations incroyables. De mon côté, je n’en revenais pas. C’était chaud. Incroyable.http://31.media.tumblr.com/fa8d80bc3476470cc34364c74169412e/tumblr_mw3f1xRc8n1t0kg9vo1_500.gif C’était vraiment serré. La pression du rectum de Julien sur ma queue me donnait un plaisir immense. Je pris ces chevilles dans mes mains, et le contemplais. Il bandait comme jamais. A chaque coup de queue bien profond, il se cambrait de plaisir, sur ses fesses et ses épaules, et ce plaisir, c’est moi qui le lui offrais. Apres quelques allers-retours, je me vidai en Julien.

C’était fait. Julien et moi étions radieux. Je le quittai sans bruit. Au moment où j’ouvris la porte de sa chambre pour regagner la mienne, je vis celle de la chambre où logeait Adrien se refermer tout doucement...(Nous avait-il vus ?)

A suivre…

 

 

A DEFAUT QUE LE MONDE SOIT COMME CA, EN HARMONIE, POUR NOUS TOUT BAIGNE. Dieu(?) fasse que l'humanité toute entière soit comme nous !

 

 En nous voyant ainsi, Gilles ne put s’empêcher de déclarer :

— Tiens, tiens, nos deux amoureux ont l’air radieux… N’auraient-ils pas fait de nouvelles expériences ?

Nous rougîmes, et Carine et Gilles rirent de bon cœur. Julien ajouta :

— Vos petits frères ne sont plus si innocents maintenant.

Gilles et Carine étaient fous de joie pour nous, ils nous embrassèrent.

— Vous devez vous sentir fiers, et soulagés, comme nous la première fois !

Une forme de complicité et d’intimité se développa instantanément entre les deux couples, épanouis que nous formions, l'un hétéro, l'autre homo. .../...

ADRIEN  ET BIENTOT LE TRIO...?

— À propos d’Adrien, demanda Carine, où est-il ?

Nous leur racontèrent les différents moments où il nous épiait, ainsi que le coup du DVD. Pour nous c’était clair : Adrien était homo, mais il ne l’admettait pas.

— Vous croyez ? dit Gilles.

— Ce n’est pas sûr, dit Carine, il est peut-être juste un peu voyeur, et il cherche sa sexualité...

J’étais sceptique… Une idée me passa par la tête. Je suggérai :

— Pourquoi ne pas faire un petit test ? Je suis sûr qu’Adrien se cachera encore dans la grange demain pour nous épier. Pourquoi vous deux n’iriez-vous pas vous y amuser un peu, tandis que Julien et moi prendrions un peu de bon temps dans la clairière ? On verra ainsi quelle sexualité l’attire le plus...            

Julien éclata de rire. Gilles et Carine se regardèrent, à la fois amusés et un peu gênés de se retrouver mêlés à tout ça, surtout dans un rôle d’exhibitionnistes… Puis ils haussèrent les épaules. Après tout, pourquoi pas ?

Le lendemain après-midi, Gilles et Carine pénétrèrent dans la grange et commencèrent à se caresser doucement.

 

 

— Il est là, susurra-t-il à Carine, on va voir s’il reste.

Gilles et Carine s’allongèrent en 69 et se léchèrent tendrement. Gilles levait les yeux de temps en temps pour croiser ceux d’Adrien une fraction de seconde.

— Tu vois, je le savais, il reste, dit Carine.

Gilles et Carine étaient en fait très excités d’être matés. Ils étaient décidés à se lâcher vraiment devant Adrien. Gilles enfila une capote et pénétra Carine en levrette. Tous les deux regardaient maintenant fixement vers la cachette d’Adrien qui comprit qu’il était découvert. Il se leva donc doucement et  ne cacha pas qu’il se branlait. Tous les trois souriaient. En observant Adrien, Gilles et Carine durent se rendre à l’évidence : Adrien était fixé sur le corps de Gilles, il ne prêtait aucune attention à Carine. Ils comprenaient maintenant.

Gilles se tourna vers Adrien et lui dit :

— Ils sont dans la clairière, rejoins-les !

Pendant ce temps, Julien et moi marchions nus dans la forêt vers la clairière, main dans la main.

— Oh Matthieu, mon chéri, je t’aime, donne-moi du plaisir avec ta langue…

Ce que je ne manquais pas de faire en léchant sa tige et son gland.

Soudain j’aperçus Adrien caché derrière un buisson. Au travers des feuillages, je devinai qu’il se branlait. J’étais ravi d’avoir gagné mon pari… mais encore plus de savoir qu’Adrien était homo comme nous.

 

NOUS CA VA. MAIS COMMENT DECIDER ADRIEN A SE REVELER  ? Nous offrions à Adrien un spectacle superbe : deux beaux corps d’adolescents qui bougeaient l’un dans l’autre, en rythme. Julien était de plus en plus excité. Il semblait adorer cette nouvelle position. Je passai ma main sur sa bite et constatai qu’elle était dure comme du fer, alors qu’il ne se branlait pas et gardait ses mains sur le tronc de l’arbre. Il commença à bouger son petit cul de plus en plus vite, d’avant en arrière et parfois de gauche à droite. Je sentais qu’il contractait son anus sur ma bite : on aurait dit qu’il me branlait avec son sphincter.

JULIEN "SAIT" JOUIR DU CUL

la jouissance anale illustration de Fabien Lutteur Drapeau-ch.svg :        

J’étais moi aussi empli d’extase. C’était plus fort que les premières fois. Cette nouvelle position, l’excitation de Julien, l’amour grandissant que je ressentais pour lui, et surtout le contact du grand air sur ma peau nue, le fait que nous fassions l’amour dans la nature, tout cela se fondait en moi en un plaisir ardent. Julien accéléra alors la cadence et criait carrément maintenant : « Plus fort, Matthieu, plus fort, défonce moi ! » J’étais grisé de le voir aussi sauvage. Soudain son trou d’amour se contracta fortement et je le vis éjaculer trois jets puissants de foutre sur le tronc d’arbre en gémissant. À cette vue, je jouis immédiatement en lui.

J’étais stupéfait : il avait joui du cul, c’était un orgasme purement anal. Je ne savais pas que c’était possible, que l’on pouvait jouir de cette façon, sans même se toucher un peu la queue. On se retourna pour s’embrasser tendrement. Julien me dit :

— C’était génial. Tu m’as donné tant de plaisir.

 

 

LE COMING OUT Adrien était assis au bord du lac. Il pleurait à chaudes larmes. Il nous regarda et déclara en sanglotant :

— Je ne veux pas être pédé, je ne serai jamais heureux...

Tout le monde tenta de le réconforter.

— On peut être homo et heureux, dit Julien.

— Il n’y a aucune honte, ajoutai-je.

— Ce que je veux, c’est me marier et avoir des enfants, » dit-il entre deux sanglots.

— Ce n’est pas du tout incompatible », répondit spontanément Carine.

— On ne choisit pas dans la vie. Moi, je sais que je ne gagnerai jamais Roland Garros, ajouta Gilles. Je vis ma passion autrement.

Adrien sécha ses larmes.

— Vous êtes gentils, dit-il.

Il semblait apaisé, mais toujours un peu contrarié. Il se leva, fit quelques pas, puis se retourna.

— Laissez-moi du temps. Ne vous inquiétez pas pour moi. Puis il se jeta dans le lac et disparut dans l’eau...

 

 

ADRIEN ...EST LE PLUS FAROUCHE...DU TEMPS PERDU...PAS POUR TOUT LE MONDE !!!

.../... un autre jour, je demandai à Julien de me prendre par derrière. Il ne m’avait jamais aimé dans cette position. C’était vraiment génial, chaque jour était prétexte à une découverte, à un nouveau jeu. Julien s’assit sur une meule dans la grange puis me fit assoir sur sa queue par derrière. Pour cela, je devais appuyer mes deux mains fermement sur ses cuisses et bien fléchir mes jambes. C’était physique ! Mais ça valait la peine. Julien m’encula comme jamais. Je le priai d’aller plus fort que d’habitude. Je voulais vraiment qu’il me possède, je voulais le sentir en moi. Cette sodomie était profonde. Des mots crus me venaient à l’esprit, alors que je n’étais pas le genre de garçon à jurer :

— Oui, Julien, vas-y, défonce moi le cul ! Déchire-moi ! Je veux sentir ta grosse bite en moi.          

Je me surprenais moi-même. Les mouvements de Julien étaient amples, rapides et profonds. Sa bite venait toucher le fond de mon rectum, je sentais ses hanches claquer contre mes fesses. Je gardais mes mains sur ses cuisses et regardais mon pénis en érection.

Soudain je fus parcouru de frissons et j’éjaculai quatre énormes giclées devant moi. C’était une vague de plaisir, inconnue jusqu’alors, qui était partie de mon anus, avait déchargé mes couilles et avait parcouru l’ensemble de mon corps, des orteils jusqu’au doigts de la main. Les poils de mes mollets en étaient légèrement hérissés. Le spasme de plaisir avait été si grand que Julien était sorti de mon cul. J’entendis alors un gémissement de plaisir et sentis des gouttes tièdes tomber sur le base de mon dos et sur mes fesses. Douce sensation que de se faire jouir dessus par mon petit Julien.

— Waouh ! Criai-je.

Ivres de plaisir et de fatigue, nous nous sommes endormis l’un contre l’autre dans la paille pour une tendre sieste.

___________________________________________________ 

Les parents absents pour 2 mois, Julien, Adrien et moi  avions le domaine pour nous tout l’été. Deux mois entiers nus au soleil sans interruption, à jouer, à se baigner, à faire l’amour. Quelle aubaine ! En apprenant la nouvelle, mes deux camarades furent ravis eux aussi.

Trois jours après, alors que Julien et moi préparions le déjeuner, Adrien arriva avec le courrier du jour des trois maisons qu'il avait collecté dans les trois boites aux lettres. Parmi les pubs et factures se trouvait une enveloppe épaisse adressée à Adrien. Il l’ouvrit devant nous. Elle contenait un livre, moyennement épais, avec un titre du genre : « Homo et heureux ».

 

Cela venait de Gilles et Carine. Ils y avaient joint une petite carte de dédicace où était écrit : « On te souhaite d’être aussi heureux que nous. » Adrien était un peu gêné, mais il ajouta :

— Ils sont adorables...

Adrien n’étant pas là, nous avions fait l'amour quatre fois ce jour-là et étions repus. Soudain Adrien apparut et s’avança tranquillement vers nous. La lueur des bougies se reflétait sur son corps d’adolescent, nu et intégralement bronzé. Il était superbe.

Il nous regarda en souriant :

— Le livre de Gilles et Carine m’a ouvert les yeux. Je sais que je peux être heureux, rencontrer l’homme de ma vie et fonder une famille.

Julien et moi fondîmes en larmes et serrâmes Adrien dans nos bras. Notre meilleur ami avait compris, il allait mieux, et comme nous, il était prêt à vivre son homosexualité sans complexe.

— En attendant, dit-il, je veux rattraper le temps perdu, je veux découvrir le sexe, et je veux le faire avec mes deux meilleurs amis. Apprenez moi, montrez-moi !

                        

 

Julien et moi étions fous de joie. Nous ne nous étions jamais considérés comme un couple exclusif et nous attendions en fait ce moment depuis des semaines. Nous rêvions d’un amour et d’une découverte du plaisir à trois.

A suivre

 

vive la Vie   

 

Par MATTHIEU& FABIEN - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Gay infos
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 22 janvier 3 22 /01 /Jan 12:51

plus tard, qu'il consent à se laisser aller à son plus cher désir : tomber dans les bras de Julien et Matthieu

L"INITIATION  D'ADRIEN

  Recit 2/3 Matthieu, Adrien, Julien

        

 

Adrien était un peu déçu, mais surtout très excité par la perspective qu’il allait perdre sa virginité d’une manière inoubliable. Nous échangeâmes nos premiers baisers ce soir-là. Les lèvres d’Adrien étaient d’une douceur extrême. J’en étais tout retourné. Puis nous allâmes nous coucher…

Adrien dormit mal cette nuit-là. Il était à la fois nerveux et excité. Il se réveilla très tôt. Comme Julien et moi étions encore endormis, il se leva et s’habilla. Le contact de ses vêtements sur sa peau nue lui fit une drôle d’impression. Cela faisait plusieurs semaines qu’il n’en avait pas enfilé. Il avait décidé de nous faire une surprise et d’aller à vélo chercher des croissants à la boulangerie du village. Cela faisait bien 20 kilomètres aller-retour. Cela l’occuperait le temps que nous nous réveillions. Quand il rentra, Julien et moi étions en train de boire un jus d’orange sur la terrasse. Les croissants étaient chauds et délicieux – c’était adorable de sa part. Ça faisait drôle de voir Adrien habillé. Il avait un peu transpiré avec ce long trajet à vélo. Une fois les croissants avalés, Adrien demanda timidement :

— Quand est-ce qu’on commence ?

Julien et moi approchâmes lentement et l’embrassâmes sur les joues en déclarant :

— Maintenant, Adrien chéri !

Main dans la main, nous descendîmes vers le lac, plus précisément vers la petite prairie en son bord. C’était un jour magnifique, un ciel bleu sans nuage, une température chaude sans excès, avec une légère brise. Le fait qu’Adrien soit habillé était en fait excitant. Autant être nu en permanence procurait un bien-être infini, autant démarrer l’acte sexuel par un déshabillage était très érotique. Julien et moi commençâmes à déshabiller ensemble Adrien tout doucement, mais en le laissant debout.

Nous défîmes son t-shirt, découvrant son torse magnifique, imberbe, avec des pectoraux naissants. Adrien se laissait faire, il ne bougeait pas. Seule une gaule énorme sous son short trahissait son excitation. Puis nous fîmes glisser son short, Julien et moi tirant chacun sur un coté. Même chose pour son petit caleçon écossais bleu et blanc. En tirant sur le caleçon, la bite d’Adrien claqua contre son nombril tellement il bandait. Il n’avait plus que ses Adidas aux pieds ce que nous trouvions tous les deux terriblement bandant : debout, nu, avec ses baskets blanches. Julien et moi étions à ses côtés. Nous lui donnions des baisers sur la bouche et caressions tous les deux ses épaules, son dos et ses cuisses. Julien le masturbait doucement.

Adrien était un adolescent naturiste magnifique. Son corps était sublime, parfaitement sain, mince, des muscles très légèrement saillants. Son bronzage était intégral, parfait. Il avait des yeux marron intense, des cheveux très bruns, le teint très légèrement mat, mais qui bronzait fort et vite. Ses fesses étaient a la fois petites mais bien rondes, telles des fruits mûrs. Des poils bruns en quantité idéale (ni trop, ni trop peu) parcouraient ses mollets. Sa toison pubienne était noire, idéalement fournie. Un léger filet de poils reliait sa toison à son nombril. Ce corps parfait était dû à une vie saine, à l’air libre et au sport qu’Adrien pratiquait souvent. Des dents très blanches apportaient dans son sourire la touche ultime à sa beauté. Adrien avait sûrement reçu ce que la nature pouvait offrir de mieux à un adolescent naturiste. Il aurait pu posé, rayonnant, en couverture de la « Vie au Soleil », le magazine naturiste dont nos parents étaient de fidèles lecteurs.

Adrien avait légèrement transpiré sur son vélo et il fallait qu’il soit parfait pour son dépucelage. Je déclarai :

— Mon chéri, c’est maintenant l’heure de ton bain !

Julien et moi défîmes chacun l’une de ses baskets et le conduisîmes vers le lac en le tenant par la main. L’eau était légèrement fraiche en cette matinée. Julien avait ramené un savon bio et, assis dans l’eau, nous savonnâmes Adrien qui se laissait faire. C’était une scène érotique et tendre. Julien et moi passions doucement nos mains sur son corps pour le laver.

Une fois rincé, nous allongeâmes Adrien dans l’écrin de verdure. Julien se plaça entre ses jambes pour démarrer une fellation tout en douceur. Je me plaçai, quant à moi, au côté d’Adrien pour lui rouler des pelles et titiller ses petits tétons avec le bout de ma langue. Adrien était bouche bée devant de telles sensations de plaisir. Il était si surpris qu’aucun son ne sortait de sa bouche. Quand Julien commença à embrasser son gland et à se caresser les joues avec sa verge, Adrien émit ses premiers gémissements de petit pédé :

— Ah ! Oui ! Ah !

Pendant ce temps, je continuai mes caresses sur sa peau d’une douceur exquise et l’encourageai :

— Adrien, tu es tellement beau, fais-moi goûter ton zizi.

Julien me laissa la place et je pris le membre dans ma bouche. Il était délicieux et avait encore la fraicheur de l’eau du lac. Comme pour toute première fois, Adrien ne fut pas long à éjaculer et il déversa son foutre dans l’herbe drue. Des baisers profonds entre nous trois vinrent célébrer l’évènement.

Nous fîmes une petite pause. Adrien planait et ne cessait de sourire et de nous remercier. Il fut très câlin et tactile dans l’heure qui suivit.

Quelques temps après, Adrien recommença à bander. Il nous demanda s’il pouvait goûter nos bites. Il rêvait de savoir quel goût ça avait. Nous nous plaçâmes au milieu de la petite prairie. Julien et moi restâmes debout côte à côte et fîmes mettre Adrien à genoux. Celui-ci se jeta goulûment sur nos bites. Il se montrait très actif et appliqué, branlant Julien d’une main pendant qu'il me suçait, et vice versa. Il était doué ! On percevait des « mmmhhh » de gourmet entre les bruits de succion ; une belle carrière de suceur de bites s’annonçait. Julien et moi nous tenions par les épaules. Nous ressentions à la fois le plaisir des caresses buccales d’Adrien et la douce chaleur du soleil sur nos fesses et nos dos. Adrien, toujours à genoux, se pencha légèrement en arrière et, offrant son torse magnifique, nous déclara :

— Arrosez-moi !

Seules deux ou trois branlettes eurent raison de nous tant nous étions excités. Adrien reçut huit jets puissants de sperme sur le torse. Il était dégoulinant de foutre.

— Me voilà baptisé ! Dit-il en riant.

Nous partîmes tous les trois dans de grands éclats de rire et courûmes nous jeter dans le lac pour nous laver et nous rafraichir. Le soleil était maintenant au zénith, il devait être près de midi. C’était vraiment un jour magnifique. Nous étions assis dans l’herbe tous les trois quand Julien se pencha doucement vers l’épaule brune d’Adrien, qu’il embrassa, et glissa : « Es-tu prêt à expérimenter ce qui fera de toi un vrai homo ? » Adrien désirait vraiment des rapports anaux, mais il avait encore un peu peur. Il répondit :

— Est-ce que je peux essayer en actif d’abord ?

— Bien sûr, répondit Julien. Je vais te donner mon petit trou d’amour pour ta première sodo.

— En fait, dit Adrien, j’ai un fantasme depuis que je t’ai vu pris par derrière par Matthieu dans la clairière. Je rêverais de te prendre en levrette, ici, au milieu de cette prairie.

Ils se levèrent tous les deux et firent quelques pas avant de se rouler un énorme palot où les langues se mêlèrent. Puis Julien se mit à quatre pattes dans l’herbe. J’étais surexcité, je bandais comme un fou. J’avais déjà pris Julien par derrière, mais toujours debout, jamais en levrette. Je fixai Julien dans cette position, il était magnifique. Ses petites fesses rondes étaient prêtes. Le soleil faisait briller les poils blonds qui recouvraient ces deux superbes fruits. Adrien se plaça derrière Julien et le pénétra en douceur. Au moment où son zizi entrait dans ce nouveau monde, sa bouche s’ouvrit en grand, entre sourire et soupir d’extase. Puis il commença à limer l’orifice de Julien lentement mais profondément.

J’aurais pu me joindre à eux, mais je restai à les contempler en me masturbant. Ses deux corps nus, bronzés, gorgés de soleil en plein midi, bougeaient en rythme et offraient un spectacle que je préférai ne pas troubler, laissant Adrien se concentrer sur les sensations de son premier accouplement. Julien aussi ne voulait pas en faire trop pour cette première, laissant à Adrien l’unique sensation chaude et serrée d’un anus sur son sexe. Avec son instinct de passif, il se contentait de synchroniser parfaitement les mouvements de son derrière avec les coups de queue d’Adrien. Celui-ci jouit dans les secondes qui suivirent et se retira. Julien resta à quatre pattes et écarta davantage les jambes pour lui offrir la vue sur son petit trou dilaté qui se refermait lentement, laissant échapper des larmes de sperme. Adrien, soupirant, regardait avec exaltation.

Nous nous sommes ensuite détendus au bord du lac, à discuter de choses et d’autres. Un petit break de sexe était nécessaire pour charger les batteries… et les couilles. Nous avions tous un peu faim et nous sommes donc remontés déjeuner sur la terrasse de mes parents. Légumes et fruits frais étaient au menu. Le déjeuner fut sympa, on riait bien.

Après le dessert, Adrien me dit en rigolant :

— Quand on déjeunait avec tes parents ici, les fois précédentes, je fantasmais à l’idée de te faire l’amour sur cette table, après le repas.

Je rigolai puis me dis intérieurement :

— Il ne m’a jamais fait l’amour. Quel cadeau ça serait d’exaucer son fantasme dès notre premier rapport ! Qui sur terre peut se vanter d’avoir vu ses fantasmes réalisés à l’occasion de son dépucelage ?

Je n’hésitai pas un instant. Je dégageai la table, m’y couchai sur le dos près du bord et écartai mes jambes en l’air au maximum. Je regardai Adrien et lui dit :

— Pour notre première, je veux t’offrir ce cadeau. Encule-moi comme tu en as toujours rêvé !

Adrien n’en revenait pas (Julien non plus d’ailleurs !), il avait dit cela en plaisantant. Je l’attendais, grand ouvert. Je ne m’étais jamais retrouvé comme ça, le cul béant à l’air libre, prêt à accueillir une bite. C’était bien. Je sentais l’air passer sur mon anus, habituellement caché entre mes fesses. Adrien se leva, déjà en érection complète, et me planta son membre. Il me prit ensuite par les chevilles et commença son travail de top. Je fermai les yeux et m’abandonnai aux rythmes de ces mouvements. Pendant ce temps, Julien s’était placé derrière Adrien et admirait la vue superbe de son dos, jambes légèrement écartées, bras levés et écartés. Le mouvement saccadé de ses petites fesses rondes était superbe, ainsi que le balancement de métronome de ses testicules. Adrien se masturba en moi jusqu’à l’orgasme qu’il ponctua de grands cris, pour la première fois :

— Ah, oui, Matthieu, je jouis, je jouis, je jouis en toi !

Julien s’approcha et lui donna une petite tape sur les fesses :

— Tu fais un bon « actif » ; pour un débutant tu es impressionnant !

Après avoir débarrassé la table, nous sommes descendus à nouveau au lac pour faire une petite sieste à l’ombre des arbres. Nous dormîmes longtemps. Deux heures ? Qui sait ? Le temps s’était arrêté aujourd’hui. Au réveil, Adrien nous regarda avec un mélange d’envie et d’angoisse dans le regard : « Le moment est venu. Je vous veux en moi maintenant. Je veux me faire enculer. »

Il fallait tout faire pour le mettre à l’aise. Comme ma bite était légèrement plus petite que celle de Julien, Adrien désira que je sois le premier à le pénétrer. Nous l’installâmes sur un lit de mousse à l’ombre agréable d’un gros arbre. Je levai ses jambes et les plaçai sur mes épaules – cela rendrait la sodomie plus facile. Adrien tremblait mais me demandait d’y aller. Julien lui tenait la main et lui faisait des bisous sur le front et les joues en l’encourageant :

— Détends-toi, tu vas y arriver, tu verras que le plaisir est au bout.

J’étais électrisé, j’allais me taper son petit cul vierge. J’allais dépuceler mon ami ! Malgré mon excitation, je tentai de rentrer en douceur. Adrien grimaça. Je forçai et entrai. Adrien se tordait, il avait mal, mais m’ordonnait de rester en lui, sans bouger. Julien continuait à l’encourager.

Quelle sensation ! Il était incroyablement serré, c’était tellement bon. Quelle comparaison avec Julien dont l’orifice avait déjà gagné en souplesse après nos premiers enculages ! Je commençai à bouger tout doucement. Les soupirs de douleur d’Adrien se transformèrent soudain en légers cris de plaisir. Plus je commençais à bouger, plus son visage commençait à s’éclairer. Il souriait maintenant et se mit à se tortiller de plaisir. Il nous regardait tous les deux et disait tout haut :

— Je n’y crois pas ! Je n’y crois pas ! C’est tellement bon ! Ah, mmh ! Oh, oui, c’est incroyable !

Il s’était mis à bander presque aussitôt et je voyais des gouttes de sperme perler à l’extrémité de son pénis. Il commença à se branler et Julien en fit de même au-dessus du ventre d’Adrien. Les trois orgasmes se produisirent au même moment, dans des gémissements de plaisir. Adrien était plein de foutre. Son cul était gorgé de mes semences et une mare de crème blanche recouvrait son ventre.

Nous courûmes nous jeter dans le lac. Adrien était fou de joie, il sautait dans l’eau, riait, nous éclaboussait. Il était euphorique. C’était à la fois une révélation et une libération, un trop plein d’énergie à décharger soudainement. Le comprenant, nous passâmes un moment à faire du sport et à nous défouler. On grimpa aux arbres, fit quelques parties de ping-pong, de foot, etc. On alla ensuite se baigner un moment. Nous nous posâmes dans la prairie, ruisselant d’eau fraîche. Adrien nous confia :

— Quel pied de se faire enculer ! J’ai vraiment adoré sentir une bite dans mon cul. J’ai hâte de le refaire, sans appréhension. Le seul truc qui est moins bien, c’est le côté passif. Celui qui t’encule fait tout le boulot. Et puis toi, ton orgasme vient en te masturbant, alors que l’actif n’a pas besoin de ses mains pour jouir.

Julien écarquilla les yeux :

— Mais non, pas forcément, le passif peut prendre le contrôle et se faire jouir de l’intérieur, sans masturbation.

Adrien était stupéfait : un pan entier de la sexualité gay venait de lui être révélé. Une vague de rut monta en lui. Julien lui dit :

— Tu verras, un jour, tu en feras l’expérience.

Adrien sentait son cul le démanger. Il répondit aussitôt :

— Apprends-moi comment y arriver, Julien. Maintenant.

Julien ne s’y attendait pas, mais son ami lui demandait à être initié. Faire profiter de son expérience en matière de sexe, alors qu’il était puceau il y a à peine plus d’un mois, le gonflait d’orgueil, Son orgueil n’était pas le seul à gonfler d’ailleurs. Il prit Adrien par la main, le conduisit au milieu de la prairie puis s’allongea sur le dos. Adrien était excité de se faire baiser une deuxième fois et s’empala sur la queue de Julien, avec une douleur moins forte que la fois précédente. Je m’installai près d’eux et me caressai. Julien plaça ses mains sous les fesses d’Adrien pour l’encourager à bouger.

— Voilà, voilà, encouragea Julien. Chevauche ma bite. C’est bien.

Adrien commençait à bouger, à prendre des initiatives avec son corps pour diriger le pénis de Julien en lui. Julien, lui, continuait à lui prodiguer des conseils :

— Maintenant, serre l’anus, comprime-moi. Voilà, c’est ça, c’est bien. Imagine que ton anus est une bouche qui avale ma bite. Très bien, c’est ça. Tu te débrouilles bien.

Adrien commençait à comprendre, des sensations nouvelles le prenaient. Il se surprit à ressentir des plaisirs en différents endroits de son rectum, plus fort que la première fois. À cela s’ajoutaient d’autres sensations agréables. Celle de l’herbe grasse sous ses genoux et ses pieds. Celle du soleil de cette fin d’après-midi qui chauffait chaque parcelle de sa peau nue. Celle du vent léger qui balayait son visage. Celles des dernières gouttes d’eau fraiche du lac qui perlaient sur ses épaules. Son plaisir était intégral. Il ressentait un bien-être général de tous ses sens. Il contrôlait maintenant parfaitement la sodomie. Il appuyait ses mains sur le torse de Julien ou les plaquait sur ses propres fesses pour mieux les écarter et piloter ses sensations. Il se caressait aussi les tétons, la tête penchée en arrière, la bouche ouverte et les yeux clos. C’était lui le maitre de cet accouplement, il dirigeait toutes les sensations. Julien le laissait complétement faire. Tout au plus offrait-il ses doigts à Adrien pour qu’il les suce au rythme des mouvements de son propre cul.

Je n’en revenais pas. C’était la plus belle scène de sexe que j’avais jamais vu. Aucun de mes rapports avec Julien n’avait atteint un tel sommet. Aucun film porno n’atteindrait ce stade de plaisir et de naturel. Je ne perdais pas une miette. Je contemplais le visage en extase d’Adrien, sa peau mate plus brillante que jamais dans la lumière rasante, les rebonds de ses petites fesses sur le corps de Julien, les contorsions de son bassin. Je m’attardais sur son anus qui mangeait littéralement la bite de Julien. Il était souple et rendu brillant par des secrétions anales.

Une ultime contraction violente de son rectum fit jouir Adrien alors qu’il se cambrait, mains sur les fesses. Dans un grand cri, il laissa échapper cinq puissants jets de sperme sur le torse, la joue et l’oreille de Julien. C’était une jouissance hors du commun, son corps en entier reçut une immense décharge de plaisir : son anus, son rectum, sa prostate, ses couilles, sa bite, et chaque pore de sa peau gorgée de soleil, de vent et de la fraicheur du lac. Julien et moi jouîmes dès l’instant suivant, emportés par la même vague.

Assommés par l’extase et le plaisir, nous nous écroulâmes tous les trois en un seul amas de chair au milieu de la prairie. Le soleil s'approchait de l'horizon. Nous nous endormîmes presque immédiatement. Adrien se réveilla. Quand il ouvrit les yeux, il vit la voute céleste, bleu foncé, sans nuage, sublime. Il regarda les corps de ses amis endormis, leurs pénis enfin au repos. Ils dormaient d’un sommeil profond, leur respiration était douce. Il repensa à cette journée magique où il avait découvert les plaisirs du sexe entre hommes, joui cinq fois et déjà réalisé de nombreux fantasmes. Ses deux meilleurs amis étaient maintenant ses amants.

Il se sentit comme neuf. C’était une nouvelle vie qui démarrait, pleine de plaisirs et de découvertes. Il se rendormit, heureux comme il ne l’avait jamais été.

à suivre

les photos sont fake et viennent du net, zone libre

 

Par matthieu - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 22 janvier 3 22 /01 /Jan 11:43

L'INTELLIGENCE...c'est pas que les maths ou l'école...ON DIT VIVRE EN "BONNE INTELLIGENCE"...ICI C'EST LE PARADIS EN PETIT...UN JOUR CE SERA VRAI POUR L'HUMANITE TOUTE ENTIERE ...AINSI SOIT-IL.

Recit 3/3 Matthieu, Adrien, Julien

       

 

 

 

Dans le cadre des échanges linguistiques du lycée et grâce à la maman de Julien, qui était prof, nous devions recevoir des "corres' " allemands comme on disait   

Fin juillet, il fallait nous préparer à accueillir les Allemands. Adrien et moi parlions bien allemand également, ce n’est pas ça qui nous gênait. Mais deux points nous posaient problème. Allait-on pouvoir se mettre à poil facilement ? Au moins pour se baigner, par pitié ! Ensuite, il y avait peu de chance qu’ils soient homos, et Julien, Adrien et moi allions devoir jouer serré pour nous donner du plaisir.

Nous dûmes à regret nous rhabiller pour aller les accueillir, avec la mère de Julien, à la gare routière du village. Stefan et Patrik nous saluèrent cordialement. Mmmh, pas mal, en fait ces deux gars. Ils étaient tous les deux assez sportifs et faisaient de l’aviron. Ils étaient légèrement plus grands et plus musclés que nous. Stefan était blond aux yeux bruns, et Patrick brun aux yeux bleus. Belle complémentarité. Ils avaient l’air sympa et décomplexés, comme les nombreux Allemands que j’avais vus dans le centre naturiste de Gilles. Qui sait…

Une fois à la maison, la mère de Julien proposa que nous allions faire un tour au lac avec les Allemands et que nous leur fassions visiter le domaine. Ils furent enchantés par les lieux. Arrivés au lac, ils demandèrent à se baigner.

— Euh, oui, bien sûr, nous fîmes, ne sachant trop pour quelle tenue opter.

— Ah, au fait, dirent-ils. Comme beaucoup d’Allemands, on ne porte pas de maillot. Nos parents ont demandé de nous mettre dans une famille naturiste. On espère que ça a bien été transmis.

— Oui, bien sûr ! Dit Julien.

Quel cachotier, ce Julien ! Nous aurions dû nous y attendre aussi. Comment les parents de Julien auraient-ils pu faire autrement, eux qui ne portaient rien sur eux l’été non plus ?

— Tous à poil alors ! S’écria Adrien.

Nous nous dessapâmes rapidement et nous jetâmes tous à l’eau. Ce fut un après-midi super sympa. Nous avions également installé un filet de volley dans la prairie. Les matchs France – Allemagne furent très amusants.

Julien, Adrien et moi ne perdions pas une miette de nos amis. Il faut dire qu’on était gâté… Stefan était un beau blond déjà musclé (l’aviron) et avait de plus une bite de taille impressionnante pour son âge. Il portait un collier de surfer très sexy autour du cou. Patrick était brun, assez musclé également, avec des yeux bleus magnifiques.

Ils avaient tous les deux des cheveux en bataille et une légère barbe de deux jours. Ils faisaient un peu plus matures que nous, mais avaient le même âge. Ils nous expliquèrent qu’ils étaient naturistes comme beaucoup de gens en Allemagne. À Munich, là où ils vivaient, il était même possible de bronzer nu au milieu d’un jardin public en plein centre-ville. Le bonheur !

Inutile de dire que nous fantasmions déjà sur ces deux corps magnifiques. Ils étaient naturistes, c’était déjà énorme, mais homos, ce serait trop beau pour être vrai. On se contenterait de les mater, ça serait déjà ça de pris.

Comme les parents d’Adrien étaient partis en vacances cette semaine, Adrien dormait chez Julien. Stefan partageait la chambre de Julien et Patrik celle d’Adrien.

La soirée fut sympa, un diner sur la terrasse où des bières furent ouvertes. On avait 17 ans maintenant. La journée du lendemain fut agréable, pleine de sport. Cependant nous, Français, commencions à être frustrés de ne pas pouvoir nous isoler pour faire l’amour.

L’opportunité se présenta en fin d’après-midi. Après d’intenses séances de volley, les Allemands demandèrent à pouvoir faire une sieste dans la chambre d’Adrien et Patrik. Oh, non, ça ne nous gênait pas. Nous nous échappâmes donc tous les trois dans la grange et nous jetâmes les uns sur les autres. Nous étions tellement frustrés de ces quelques jours sans sexe. Ce fut torride… Nous nous vidâmes rapidement les couilles dans les culs et les bouches des uns et des autres.

Nous revînmes tranquillement à la maison et nous installâmes dans la chambre de Julien pour souffler. Toutefois au milieu d’une conversation, Adrien nous fit taire.

— Chut ! Vous n’entendez rien ?

— Non !

— Si, des petits gémissements, en provenance de ma chambre.

— Tu déconnes ?

Nous avançâmes à pas de loup vers le porte et regardâmes par le trou de la serrure. Quel spectacle ! Patrik était en train de sucer Stefan dont la queue en érection avait une taille impressionnante. Elle devait être autour des 18 cm déjà. Nous n’en revenions pas. Elle remplissait vraiment toute la bouche de Patrik. Nous nous sommes relayés devant le trou de la serrure jusqu’à ce que Patrik se lève en un éclair pour ouvrir la porte.

— Vous n’avez pas perdu une miette, bande de salauds !

— Oui, on est pédés, ajouta Stefan, et alors ?

Nous nous excusâmes ; ils n’avaient rien à craindre car nous étions bien pédés nous aussi. Ils furent extrêmement surpris. Cela les calma quelque peu mais ils restaient assez mécontents d’avoir été espionnés. Ils eurent aussi l’air un peu soucieux en apprenant que nous formions un ménage à trois. Toutefois, cette mise au point avait du bon : il n’y avait pas de tabou maintenant pour s’isoler et faire l’amour ou se donner quelques gestes d’affection les uns devant les autres.

Patrik et Stefan devinrent même de bons amis. Ils se confièrent, nous avions des goûts communs. Tout le monde fut ravi d’avoir un couple (ou un trio !) d’amis homos pour la première fois. Nous pouvions aussi parler de sexe et de nos expériences. Seulement voilà, quand on est jeune, homo, toujours en quête d’expérience et qu’on passe ses journées à poil avec deux mecs canons en face de soi, la tentation est grande. Très grande…

La brèche est venue de Julien et Stefan. Julien trouvait Stefan craquant. Il était fasciné par la taille de son sexe. Stefan, lui, avait écouté les confidences de Julien sur les orgasmes anaux qu’Adrien et moi lui donnions.

Cela les démangeait d’essayer ensemble. Ils ne voulaient pas semer la zizanie, pourtant. Comme d’habitude, Julien voulait en parler avec nous et Stefan, qui formait un couple avec Patrik, ne voulait pas blesser son amoureux. Ils souhaitaient donc que cela se fasse librement, pourquoi pas dans le cadre d’autres expériences entre nous, à plusieurs.

À l’issue d’un match épique de volley, Julien et Stefan proposèrent donc, sans pudeur, sur un ton à moitié rieur, de prolonger le match France – Allemagne dans la grange ou dans la chambre de l’un ou l’autre.

Adrien et moi n’avions rien contre, mais Patrik se vexa fortement :

— Non les gars, désolé. Nous, on est un vrai couple. Stefan et moi, on ne se partage pas…

Stefan essaya de la convaincre :

— Amusons nous un peu. On n’a jamais la chance de rencontrer des mecs sympas, beaux et prêts à s’amuser. C’est unique…

Patrik était maintenant furieux.

— Ça va pas ? Tu m’aimes ou pas ?

— Ça n’a rien à voir, répondit Stefan.

Stefan et Julien étaient dépités. Même si Stefan était fou amoureux de Patrik, il lui reprochait de le mettre en cage à 17 ans seulement et de l’empêcher de faire son expérience.

— Tu nous fais vivre comme un couple de vieux, lui balança-t-il.

Patrik partit, fou de rage. Stefan dit :

— Laissez tomber !

L’atmosphère fut lourde les heures d’après, chacun s’occupant un peu de son côté. Puis vint l’heure du dîner. Patrik et Stefan se jetaient des regards courroucés. Julien, lui, continuait à regarder Stefan avec envie. C’était plus fort que lui. Il avait de l’affection pour Patrik, il trouvait que Stefan et lui formaient un beau couple, mais il ne trouvait pas cela incompatible avec de bons moments de plaisir… La bière coula fortement ce soir-là. Les parents de Julien étaient libéraux et buvaient pas mal de bière aussi. Stefan et Patrik noyèrent leur aigreur dans l’alcool. Tout le monde était bien chargé à l’issue du dîner. Je suis rentré chez moi tandis que mes quatre compères montèrent dans leurs chambres.

Stefan, sûrement ivre, demanda à Patrik, avec provocation :

— Je suppose que je ne suis pas autorisé à dormir dans la chambre de Julien, tu dois trouver ça douteux !

Patrik répondit :

— Fais ce que tu veux. De toutes les façons, je n’ai pas forcément envie de passer la nuit avec toi.

— Si c’est comme ça, alors… » répondit Stefan en se dirigeant finalement vers la chambre de Julien.

Une fois dans la chambre, grisé par la colère et l’alcool, Stefan se jeta sur Julien pour l’embrasser et lui dit :

— Julien, j’ai tellement envie de te baiser, depuis le premier jour.

— Moi aussi, répondit Julien. Je rêve de ta queue depuis le début.

Julien se glissa à genoux et enfonça la bite de Stefan dans sa bouche, le plus qu’il put. C’était très gros, Julien se régalait. Il la lâchait, faisait glisser sa langue dessus, s’attardait sur le gland.

— Tu suces comme un dieu ! Lui lâcha Stefan.

Ils se mirent ensuite confortablement sur le lit en 69 et Stefan s’attaqua au zizi de Julien. « Délicieuse, cette petite queue française », pensa-t-il.

Julien ne pouvait plus attendre d’avoir cette belle pièce dans son petit cul, même s’il appréhendait un peu la douleur. Pour inviter son partenaire, il se leva et se mit en levrette sur son lit, puis lui jeta un regard complice. Stefan le regarda avec envie. Ses fesses brunes et bien rebondies l’attiraient. Il se mit à genoux derrière Julien et commença à lui lécher la raie et la rosette délicatement. Puis il commença à le doigter.

— Ne t’inquiète pas, je vais bien te préparer le trou, tu n’auras pas mal, lui dit-il.

Stefan, effectivement, savait s’y prendre. Il allait doucement. Il inséra un doigt, puis deux. Au fur et à mesure que Julien se détendait et s’ouvrait, il ajoutait un doigt. Il restait tendre avec Julien. Il accompagnait son doigtage de baisers sur les fesses et de caresses sur le dos. Julien sentait le plaisir monter. D’un regard plein d’assurance, il indiqua à Stefan qu’il était prêt. Ce dernier approcha son engin et commença à forcer l’entrée. Julien soufflait et alternait les « Ah » et les « Oh ». Il serrait les dents.

Quand Stefan fut complètement en lui, il souffla à fond et tenta de se détendre. C’était vraiment plus gros. Petit à petit, comme à chaque fois, la douleur se transforma en plaisir. La sensation de se faire posséder pleinement et la pression sur la prostate, plus grandes que d’habitude, contribuaient à un plaisir plus intense. Un fin filet de sperme commença à s’échapper de la bite de Julien dès que Stefan fut en lui. Ce dernier démarra ensuite ses mouvements. La machine à plaisir commença à se déclencher en Julien : c’était si bon, une expérience plus forte en plaisir que jamais. Il prenait un pied énorme.

— Oh oui, c’est bon, vas-y continue, défonce moi !

Stefan accéléra la cadence. Julien bougeait bien les fesses pour accompagner les mouvements et accroitre son plaisir. C’était génial. L’orgasme vint très vite. Julien se déchargea rapidement sur les draps. Stefan sortit de Julien et lui jouit abondamment sur l’anus dilaté. Il repoussa ensuite le foutre avec son gland dans le trou béant. Ses petits coups de queue supplémentaires ravirent Julien.

Pendant ce temps-là, dans la chambre voisine…

Patrik était toujours en colère. Adrien était gêné. Il était partagé entre une attirance énorme pour Patrik et une compréhension pour ce qu’il éprouvait. Il cherchait le grand amour lui aussi. Il pensait que Patrik l’avait trouvé et qu’il avait peur de le perdre. Que ferait-il à sa place ? L’amour et le sexe sont-ils une seule et même chose ? Ça semblait étrange.

Mais bientôt les bruits délibérément forts et explicites de la chambre voisine résonnèrent comme une provocation. Patrik s’approcha d’Adrien et lui glissa :

— Je ne vois pas pourquoi je serai le seul à ne pas m’amuser, puisque cet imbécile de Stefan a décidé d’être infidèle.

Et il roula une énorme pelle à Adrien. Ce dernier n’était pas mécontent. Deux pipes plus tard, Patrik était allongé sur le lit, jambes écartées, avec la bite d’Adrien dans le cul. Il ne se gêna pas pour faire suffisamment de bruit afin de le faire savoir à la chambre d’à côté : « Oh oui, Adrien, vas-y, baise moi ! »

Le lendemain matin, Stefan et Patrik crevèrent l’abcès violemment. Patrik reprochait à Stefan d’avoir brisé leur couple en le trompant. Stefan lui faisait le même reproche et lui dit que contrairement à lui, il n’avait rien caché de ses intentions. Les mots étaient durs. Même avec nos bons niveaux d’allemand, nous ne comprenions pas toutes les insultes…

Patrik et Stefan se rhabillèrent, déclarant vouloir rentrer à Munich chacun de leur côté. Ils vinrent chez moi pour me l’annoncer, laissant Julien et Adrien dans le désarroi.

Je fus surpris de les avoir arriver, qui plus est tout habillés. J’eus droit au débrief de la veille. J’éprouvais un sentiment de gâchis énorme… Un couple superbe, qui s’aimait et semblait prêt à partager tout en ayant peur de se perdre, et nous, au milieu, prêts à nous joindre à l’aventure sans sous-entendu, en nous assurant qu’ils resteraient ensemble.

Je m’efforçai de les calmer. D’expliquer. De trouver les mots justes. Il fallait leur faire comprendre qu’ils pouvaient s’aimer, rester un couple, mais qu’ils pouvaient aussi tenter des expériences ensemble, qu’ils étaient encore jeunes et qu’ils pouvaient goûter d’autres plaisirs. Le tout était d’être transparent et ouvert l’un à l’autre, sans secret, sans jalousie. Ils m’écoutaient. Je les sentais tous les deux en pleine réflexion. J’argumentai de nouveau. Cela dura bien une bonne heure… Puis je les sentis progressivement évoluer. Ils me glissèrent :

— Donc, il s’agit que nous éprouvions tous les deux du plaisir en même temps, sans blesser ni l’un ni l’autre ? Prouve-le-nous !

Je m’avançai, mis une main sur la joue de chacun en même temps, et les embrassai tendrement l’un après l’autre. La démonstration pouvait commencer.

Je commençai à déshabiller Patrik. J’enlevai son t-shirt légèrement moulant et son short, laissant apparaitre un boxer Hugo Boss noir. Je m’attaquai à Stefan et le laissai dans son petit slip Diesel blanc moulant. J’attaquai les caresses simultanément sur les deux corps musclés. Quel délice ! Les peaux étaient douces, chaudes et déjà bronzées. Les muscles étaient plus saillants que chez Julien et Adrien. Sensation nouvelle ! Je fis glisser ensuite les sous-vêtements sur le sol, redécouvrant deux beaux pénis, cette fois au garde-à-vous.

Il fallait faire très attention. Donner du plaisir aux deux à la fois, en même temps, en même quantité. Ne pas donner à l’un l’impression que je portais plus d’attention à l’autre. Je massais leurs bites en même temps. Eux me caressaient les cheveux tout en s’embrassant longuement. La réconciliation était en marche.

J’attaquai les fellations. Je frissonnai. C’était ma première fois avec « d’autres », en dehors de Julien et Adrien. Les bites étaient délicieuses, dures. Celle de Stefan me remplissait la bouche. Je la dévorai tout en massant Patrik. J’adressai aussi des soins particuliers à Patrik, titillant son gland avec ma langue.

Puis je m’allongeai sur mon lit et déclarai : « Patrik, Stefan, prenez moi maintenant. Faites-moi l’amour par tous les trous ! » Je frissonnai de nouveau de plaisir. J’avais déjà fait l’amour avec Julien et Adrien dans ma chambre l’été dernier. Le faire de nouveau, au milieu de mes livres et posters d’ado, avec deux mecs différents, me faisait tripper. Les deux Allemands s’approchèrent pour me couvrir le corps de baisers et de caresses. Ils inspectèrent mon entre jambes. « On préfère les petits culs bien lisses, sans poils, on va arranger ça. » Je compris que même si ma pilosité demeurait modeste, c’était trop pour eux.

Ils fouillèrent dans la salle de bains et revinrent avec des ciseaux et un rasoir électrique. Patrik me coupait les poils des couilles, tandis que Stefan me rasait l’anus et l’entre jambes. Ça chatouillait et c’était excitant de les voir s’affairer autour de mon trou.

Quand ils eurent fini, ils me passèrent de la crème Nivéa pour adoucir le feu du rasoir. C’était agréable. Ils en profitèrent pour me passer un ou deux doigts dans le cul. C’était frais.

— Voilà ! Ton petit cul sera meilleur comme ça, conclurent-ils.

Stefan commença à me lécher l’anus tandis que Patrik s’allongeait sur le lit à côté de moi pour me sucer. C’était bon. Ils étaient doués. Des amants exquis. Ils échangèrent leurs positions. Ils rimmaient et suçaient aussi bien l’un que l’autre. Je les voulais maintenant en moi, je voulais leur donner du plaisir à tous les deux, au même moment. Leur offrir mon corps.

Patrik me fit lever les jambes et s’introduisit en moi. Je pensai : « J’ai encore une bite dans le cul. Une bite nouvelle. C’est génial, mais toujours différent. Nouvelle taille, nouvelle forme, nouvelle façon de se faire prendre. » Stefan fit glisser son membre dans ma bouche. J’étais au paradis. J’étais pris par devant et par derrière par deux mecs canons qui s’aimaient. J’étais le jouet de leur couple. Je gémissais.

— Oui, oui, prenez moi tous les deux. Allez y profond !

Eux aussi prenaient un pied énorme. Patrik lâchait de temps en temps une de mes chevilles pour attraper la tête de Stefan avec sa main et l’embrasser longuement ou titiller sa langue avec la sienne. Ils se jetaient des regards amoureux. Ils comprenaient. Ils prenaient du plaisir ensemble, avec un ami. Ils s’aimeraient encore après, en tant que couple.

Puis je demandai à Stefan de m’éclater le fion et à Patrik de m’offrir sa bite à lécher. Patrik m’avait bien dilaté, j’étais prêt à recevoir Stefan. Cela fit un peu mal quand même, mais c’était fabuleux. Mon cul brûlait de plaisir. Cette queue était merveilleuse. Ses saccades précipitaient ma tête vers la bite de Patrik. J’étais prêt à accueillir leurs semences.

— Donnez-moi votre jus ! Remplissez-moi !

Je les sentis se vider en même temps. J’avalai l’intégralité du sperme de Patrik pendant que celui de Stefan s’écoulait dans mon rectum. Ils étaient radieux. Ils me remercièrent. Je leur avais ouvert les yeux. On se reposa un peu.

Ils voulurent me remercier, surtout Patrik.

— Merci Matthieu, tu as été formidable. J’ai compris que tu cherchais à nous faire plaisir, rien de plus. Pour te remercier, et pour mon plaisir aussi, je t’offre le cul de Stefan.

Je commençai donc à prendre Stefan par derrière, alors qu’il se tenait debout au milieu de la chambre. Patrik, tout en se branlant, jetait des regards amoureux à Stefan qui lui rendait des sourires. Le cul de Stefan était agréable, chaud. Comme celui de Julien, on sentait de l’expérience, de la souplesse. J'invitai ensuite Patrik à nous rejoindre et lui demandai de me sodomiser. Je voulais être en sandwich entre deux tranches de pain allemand. Patrik s’approcha, me caressa doucement le dos puis me pénétra. Je m’agrippai à la taille de Stefan tandis que Patrik lui attrapait les épaules par-dessus les miennes. Nous étions bien collés. Les pénétrations étaient bien profondes. La chaine était parfaite, bien synchronisée.

Les Allemands n’avaient pas encore gouté le foutre français. Nous nous désemboîtâmes donc. Ils se mirent à genoux pour lécher mes couilles bien rasées et lisses. Je me branlai sur leurs visages. Ils se léchèrent copieusement les joues et raclèrent tout le reste avec les doigts. En échange, ils m’offrirent une superbe douche de sperme sur la face. A eux deux, ce furent six jets crémeux que je reçus. Le nectar fut léché par tout le monde et circula de bouche en bouche en ultime remerciement pour cette baise mémorable.

Nous prîmes ensuite une bonne douche (ensemble, un peu serrés) et rejoignîmes Julien et Adrien, tout sourire.

— Tout est arrangé. Je vous expliquerai, glissai-je dans un sourire. Allez, tous dans le lac !

Ils étaient bluffés…

Après une baignade dans le lac ponctuée de batailles d’eau, nous bronzâmes dans la prairie. Beau spectacle, cinq ados tout nus et tout bronzés allongés dans l’herbe, offrant leur corps au soleil. Nous avons ensuite joué au volley dans une ambiance joyeuse. En fin d’après-midi, Stefan glissa cette phrase énigmatique : « Le match France-Allemagne continue ce soir dans la grange. »

Nous nous réunîmes donc dans la grange le soir venu. Nous avions amené quelques lampes à huile pour créer une lumière tamisée. Les reflets sur les peaux nues étaient magnifiques.

Patrik déclara :

— Au volley, on peut dire que c’était match nul. Nous allons maintenant voir quel pays est le plus fort en baise. Cependant il nous faut un arbitre.

Ayant déjà fait l’amour aux quatre joueurs, et étant d’humeur voyeuse, je me sacrifiai donc.

Stefan et Patrik se levèrent et s’enlacèrent pour se couvrir de caresses et de baisers. Julien et Adrien firent de même. Deux belles équipes l’une contre l’autre. Les Français prirent l’initiative. Julien descendit à genoux et délivra à Adrien une fellation lente, tendre et méticuleuse. Il sculptait le corps d’Apollon d’Adrien avec ses mains qu’ils passaient sur ses fesses, son torse, ses cuisses et ses mollets. Stefan releva le challenge et assit Patrik sur un ballot de paille. Il lui embrassa les cuisses puis lui lécha les couilles. Il le prit ensuite en bouche et lui pompa la queue par d’amples mouvements de tête. Patrik passait sa main dans la crinière blonde de Stefan.

L’arbitre était ravi. Je m’assis dans un coin pour observer les deux couples et me branlai doucement.

Changement de tactique des deux équipes. Stefan s’allongea dans la paille et Patrik vint s’allonger sur lui pour faire un 69. Les Français en firent autant à même le plancher en bois de la grange, Julien au-dessus d’Adrien. Les deux bruns firent aussi descendre leur petit cul sur le visage des deux blonds pour se faire rimmer et doigter comme il se doit.

Les deux équipes étaient douées et maîtrisaient bien tous les compartiments du jeu pour l’instant.

C’était tellement beau que je ne pouvais pas rester sans rien faire. Je passai d’un couple à l’autre caressant les dos lisses, imberbes et bronzés. J’offrais aussi ma queue à toute bouche ouverte qui se présentait.

Puis vint l’heure d’exercer les talents d’actifs et de passifs. Les bruns allaient enculer les blonds. Après les anulingus de rigueur, Julien fut pris allonger dans la paille tandis que Patrik enculait Stefan par derrière, debout, agrippé à une poutre en bois. Les deux équipes y allèrent fort. Les actifs éclataient les passifs. Ces derniers rivalisaient entre eux de gémissements et de petits mots crus : « oh, oui, baise moi, éclate moi le fion !» Tout le monde était à fond dans le trip. Je continuai à passer d’un couple à l’autre, les encourageant à coups de baisers, caresses… et bites dans la bouche.

Patrik sortit alors de Stefan pour éjaculer sur son dos et lécher le tout. Adrien éjacula juste après sur le ventre de Julien qui lui donna son sperme à manger avec les doigts. Les deux blonds se vengèrent alors en jouissant sur le visage de leurs compatriotes qui effacèrent toutes les traces et nettoyèrent les pénis avec leur langue.

Pendant ce temps, je jouis et me suçai les doigts couverts de sperme.

— Alors, qui gagne ? demandèrent tous les joueurs.

— Je crois que c’est un match nul… mais pas un zéro – zéro ! répondis-je.

Tout le monde rit et s’affala dans la paille. On avait amené quelques bières, on plaisantait, on se sentait bien, tous à poil, entre homos. C’était bon. Les yeux et les corps brillaient.

— Et si on changeait les équipe ? Proposa Stefan, qui fantasmait sur Adrien.

— Qu’en pense l’arbitre ? demandèrent les autres.

— Je pense que c’est une bonne idée… pour la beauté des échanges. Mais l’arbitre souhaiterait pouvoir intervenir de temps en temps pour pimenter le jeu, répondis-je.

— Accordé !Dirent les joueurs à l’unanimité.

Stefan se leva et prit tendrement Adrien par la main. Il admirait son corps d’adolescent naturiste. Il était toujours aussi beau. Stefan lui susurra à l’oreille : « Tu es le plus beau mec que j’ai jamais vu, je vais te donner beaucoup de plaisir. » Ils s’embrassèrent. Stefan se baissa légèrement pour lécher les tétons d’Adrien du bout de la langue. Ce dernier gémissait et sa queue raide s’inclinait davantage à la verticale, à chaque coup de langue. Pendant ce temps, Julien et Patrik avaient déjà attaqué un 69 et se bouffaient les bites goulûment. Adrien gouta à son tour la grosse bite de Stefan. À genoux devant cet énorme pieu, il semblait apprécier l’engin qui lui remplissait la bouche et se touchait avec sa main libre.

Moi, je passais de couple en couple, roulais des pelles, glissais un doigt par-ci par-là… Il était maintenant temps de s’enculer.

Adrien avait peur. Même si Stefan l’avait pourtant bien léché et doigté, il s’attendait à avoir mal. Il sollicita notre aide. Stefan s’allongea par terre, avec son pieu à la verticale. Julien et moi portâmes Adrien, en position assise, jambes bien écartées, pour l’empaler doucement. Il respirait profondément pour se détendre. Nous le calmions par des bisous. Nous le fîmes doucement glisser sur la queue dressée de Stefan. Patrik nous observait. La queue rentra plus facilement que prévu. Adrien grogna, mais nous le portions toujours pour le faire légèrement monter et descendre sur le pieu de Stefan. Adrien se transforma d’un coup :

— Ah c’est trop bon, c’est énorme, continuez !

Julien nous abandonna pour aller croquer le cul de Patrik qui l’attendait telle une petite salope, légèrement penché en avant, écartant ses fesses des deux mains.

— Oh oui, bouffe le moi !

Julien savourait cette raie complètement épilée et le petit trou rose au milieu.

Stefan faisait maintenant rebondir Adrien sur lui ; la bite coulissait. Adrien ressentait énormément de plaisir. La douleur avait complètement disparu. Il se penchait régulièrement sur Stefan pour l’embrasser.

De mon côté, j’enjambai Stefan pour offrir alternativement ma bite et mon trou de balle à lécher à Adrien. Je fis faire à ma bite un petit crochet par la bouche de Stefan, avant de me diriger vers Patrik qui était en train de défoncer Julien par derrière.

Patrik avait un large sourire sur le visage. Il n’avait jamais enculé un passif comme Julien. Son trou était souple, il se contractait à merveille sur sa queue. Patrik exprima le désir d’être pris en sandwich entre deux Français. Je réalisai que je n’avais pas encore enculé ce beau brun. Deux secondes après, j’étais en lui et y allais fort. Il reportait intégralement mes saccades en coups de boutoir dans le cul de Julien. Nos couilles oscillaient en rythme.

Puis il me vint une super idée. Je positionnai un ballot de paille à coté de nos deux amis et grimpai dessus. J’avais ainsi une vue magnifique, de haut, sur les deux amants. J’agrippai une poutre du plafond d’une main et de l’autre guidai ma bite tour à tour vers leurs bouches ouvertes.

Adrien n’en pouvait plus de plaisir. Au moment où Stefan expulsa son sperme dans son cul serré, Adrien lui jouit sur le torse et le visage. Les deux amants partagèrent ce festin crémeux avec les doigts. Je balançai alors ma purée sur les langues pendantes de Julien et Patrik. Je vins ensuite me placer entre les jambes de Julien pour le sucer. Patrik ne tarda pas à lui donner un orgasme anal. Julien se vida dans mon bouche et Patrik dans le cul de Julien.

Fin de la deuxième mi-temps. Quel match !

Nous fîmes une nouvelle pose dans la paille. Nous rigolions. Adrien raconta à quel point avoir Stefan en lui avait été fort. Il comprenait maintenant le fantasme sur les grosses bites…

Il se faisait tard. Nous étions encore électrisés, sans envie d’aller nous coucher. Julien n’avait encore enculé aucun des deux Allemands et cela le démangeait. Il dit :

— Je crois qu’en cas d’égalité, on procède aux tirs au but, n’est-ce pas ?

Je compris et déclarai :

— C’est l’équipe qui reçoit, la France, qui tire en premier.

Je fis installer Stefan et Patrik à quatre pattes, côte à côte, au milieu de la grange. Adrien décréta qu’il fallait préparer les buts et commença à lécher et doigter Stefan. Julien fit de même avec Patrik. Une fois les buts préparés, les sodomies commencèrent. Les Allemands furent bien labourés, en profondeur. Ils aimaient ça, se faire prendre ensemble. Ils mettaient à profit les quelques secondes libres entre les saccades françaises pour se rouler des pelles. Et Julien fourrait le cul de Patrik pour la première fois.

Je décrétai qu’il était de changer. Les buts se changèrent en buteurs et inversement. Les cages furent bien léchées et Patrik apprécia le cul d’Adrien qu’il pénétrait pour la première fois. Julien et Adrien gémissaient. Patrik et Stefan me regardaient. Qui avait gagné les penalties ? Je ne savais que répondre. Je déclarai :

— Match nul !

— Match nul ? répétèrent-ils, déçus. Aux chiottes l’arbitre ! Crièrent-ils tous en cœur en se jetant sur moi.

Ils me balancèrent dans la paille en riant. Ils étaient maintenant à quatre sur moi. Je fus consciencieusement sucé, léché, doigté par leurs mains et leurs langues. J’étais en extase. J’avais quatre mecs qui me faisaient l’amour. Il m’avait allongé, jambes écartées. Les bites défilèrent dans ma bouche et dans mon cul sans répit. C’était fabuleux. Chaque parcelle de mon corps était sollicitée.

Puis la tournante se figea alors que j’avais Stefan dans mon cul, Patrik dans ma bouche, la bouche d’Adrien sur ma queue et que je branlai Julien de la main. Nous jouîmes tous ensemble : les Allemands se déchargèrent en moi, les Français m’aspergèrent le visage et je me jouis dessus. J’étais heureux, comblé. J’avais vécu une nouvelle expérience dans ma vie de petit pédé. J’avais été le centre d’attention de quatre mecs qui m’avaient fait l’amour tous ensemble.

Nous nous endormîmes dans la paille, tous ensemble, les uns sur les autres, épuisés…

La fin du séjour arriva vite. Il fallait se quitter, à regret. Nous célébrâmes le départ des Allemands par notre première vraie partouze. Autant la première fois, il s’était agi de jeux à deux ou trois, autant cette fois nous fîmes l’amour à cinq, tous ensemble. Tous les corps se touchaient les uns les autres ; les doigts, les bites et les langues pénétraient les orifices qui les entouraient avec passion. C’était une vision de rêve pour chacun d’entre nous. C’était le sommet de notre jeunesse. Cinq corps superbes d’adolescents, nus, bronzés, entrelacés, se léchant, se pénétrant et se jouissant les uns sur les autres sans limites.

Les adieux, et la fin de l’été, furent tristes.

Vivement l’été prochain !

 

 

 

 

Par matthieu - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 17 janvier 5 17 /01 /Jan 02:49

RECITS REELS 

Je n’ai jamais cherché à appartenir à une communauté. A savoir si j’étais gay, ou bi, ou hétéro, etc ... Je m’en fichais.

Série "hétéro swingers"  suite des événements...

En anglais les couples libertins s'appellent des "swinger couples"

A l'intérieur de la "classe" homo il y a aussi des swingers, qui aiment changer et échanger...

 

 

— Je suis pas homo, je suis bi!

— Bi?

— Bin oui, bisexuel! J’aime les hommes et les femmes! J’ai une copine mais de temps en temps, je baise avec un homme!

 

EBAUCHE D'UN TRIO QUI A FAILLI...

J'ai souvent eu l'impression que l'intervention de Michel dans le débarras avait été une pure crise de jalousie... un sentiment pernicieux à bannir. 

Onétait au début de l'été 2011. Ma récente rupture avec mon amant m'avait forcé à me trouver un nouvel appartement. Ce qui se fit sans trop de peine. Même que, j'étais plutôt fier, j'avais mis la main sur un magnifique dix et demi en plein coeur du Plateau Mont-Royal et ce, pour une bouchée de pain. Une chance inespérée. Ce logement avait appartenu à des notables au début du siècle, voyez le genre; hauts plafonds, boiseries, vitraux, foyer de marbre et tout, et tout. Il était un peu délabré mais vu le prix, je n'avais rien dit.

UN OUVRIER NOMMÉ MICHEL

Afin de me donner un coup de main, un de mes amis m'avait offert les services d'un jeune homme habile et débrouillard qu'il se chargeait de rémunérer pour la durée des travaux. J'étais aux oiseaux. D'autant plus que mon ouvrier avait des charmes physiques indéniables! En effet, Michel était un superbe petit mâle de vingt-cinq ans au corps robuste et à la démarche de jeune matou. De plus il avait une gueule splendide avec des traits doux et carrés, des cheveux châtains un peu longs et des yeux limpides qui cachaient, on aurait dit, une certaine tristesse. Michel était vraiment beau. et puis, ce qui ne gâchait rien, il était agréable et dévoué.

Les premiers jours, notre conversation porta essentiellement sur le travail à abattre, la qualité des matériaux, les fournisseurs et la façon d'opérer. En fin d'après-midi on buvait quelques bières et Michel retournait sagement chez lui. Je restais seul avec le vide qu'il laissait derrière lui dans ces grandes pièces dénudées, encombrées de gallons de peinture et d'échaffaudages.

Un soir, avec la bière, je lui proposai de fumer un peu de hachisch. Il accepta avec ravissement. Notre conversation devint alors plus personnelle. Ainsi j'appris, sur un fond de Pink Floyd, qu'il avait eu des démélés avec la justice pour une vague histoire de possession de marijuana. Il en était sorti traumatisé, voire amèrement écorché. Ses parents l'avaient renié et sa blonde l'avait quitté.

À partir de ce soir-là, Michel s'était rapproché de moi. Le fait d'avoir déballé cette sombre histoire l'avait délivré de son isolement et mis en confiance. Son attitude avait changé du tout au tout. Michel était de jour en jour plus joyeux et semblait de plus en plus heureux de venir travailler. Les journées où il faisait très chaud, il enlevait sa chemise et peinturait torse nu. Son corps m'émouvait, ses seins ronds légèrement duveteux me perturbaient au plus haut point. De plus Michel avait la mauvaise habitude de porter ses jeans très bas, accrochant ainsi mon regard sur la fine ligne de poils sombres qui, de son nombril, allait mourir quelques centimètres plus bas derrière la boucle en métal de sa ceinture. Cette façon de porter le jean me provoquait délibérément. Un jour, alors qu'il était de dos et penché offrant à ma vue l'orée de sa raie, je ne pus retenir cette remarque:

— Faut que je te prévienne quand je vois trop de peau je risque de devenir dangereux, je peux me changer en loup-garou.

Ce à quoi il m'a répondu d'un sourire goguenard:

— Tu peux te changer en n'importre quoi, j'ai pas peur, ch'us capable de me défendre.

Je ne savais que trop ce qu'il voulait dire et il s'en amusa. Or, comme c'était l'heure de la bière, je l'invitai à s'arrêter. Assis par terre, on a bu, on a fumé. Les Rolling Stones chantaient "I can't get no satisfaction".

Michel s'est levé pour se rendre à la toilette, il a ouvert la porte et ne l'a pas refermée, il a défait sa ceinture, a baissé son pantalon à mi-cuisses et s'est mis à pisser. De ma place, je pouvais parfaitement distinguer la chute vertigineuse de ses reins et le profil de sa verge qu'il tenait virilement entre son pouce et ses quatre autres doigts. Lors de sa miction il a retiré son prépuce, dégageant ainsi entièrement son gland rose et lustré. Ses couilles étaient particulièrement grosses et très poilues. Au terme de son envie il a généreusement secoué sa lourde bite qui, me semblait-il, avait acquis quelque proportion. Il se reculotta et revint s'asseoir devant moi, mine de rien. C'en était trop, j'éclatai:

— Coudon, le fais-tu exprès?

Innocemment il répondit:

— Qu'essé qui a, t'as jamais vu ça un gars qui pisse?

— Certain que j'ai déjà vu ça, mais ça m'excite.

C'est alors qu'il me répondit de la façon la plus banale:

— Si t'aime ça tant que ça regarder un gars tout nu, allume un autre joint pis viens prendre ta douche avec moé.

Cette fois l'invitation était on ne peut plus directe. Je me suis mis à rouler pendant qu'il enlevait ses bottines et ses bas de laine. Il descendit son jean jusqu'en bas de l'aine, puis tout naturellement il s'est foutu à poil. Lorsqu'il a baissé son pantalon, sa queue était tellement raide qu'elle resta accrochée à l'élastique de ses sous vêtements blancs. Une fois dégagée, elle alla claquer dans un bruit mat, sur son ventre plat.

Il me regarda en faisant des petits yeux, la voix rauque il me dit:

— C'est écoeurant, quand je fume d'la dope ch'us tellement sensible que je viens tout excité pi je bande pour rien.

Je compris que c'était sa façon à lui de cacher son désir homosexuel. Je n'en fis pas de cas et j'ajoutai:

— Ben oui, j'comprends ça, moi aussi ça me fait la même affaire.

C'est alors qu'il allongea la main pour vérifier mes dires. Il eut un petit sifflement admiratif:

— Wow, t'as l'air à être ben pris.

Même si je savais avoir une petite longueur d'avance sur lui, je me plu à lui répondre:

— Presque autant que toé.

C'est alors que je me glissai à plat ventre sur le plancher et que je lui écartai ses cuisses musclées. Sa queue pointait vers le plafond tel un flambeau glorieux, sa poche volumineuse touchait le sol. J'approchai mon visage jusqu'à son pubis sombre et odorant, un léger vertige me prit. Je réalisai que je frôlais enfin l'objet de ma convoitise. J'ouvris la bouche et aspirai l'une de ses énormes couilles, j'arrivais à peine à l'engloutir et je pris bien garde de ne pas serrer trop fort cette partie si sensible de l'anatomie masculine. Michel se renversa la tête vers l'arrière et émit un faible gémissement. De ma langue je ramassais cette belle bourse cossue, sur mon front sa queue brûlante donnait des secousses vives et répétitives. Lentement ma bouche monta le long de son pieu, arrivé tout au bout j'avalai son gland d'un geste preste, ce qui provoqua la surprise escomptée; mon homme saisi par l'astuce poussa un long râlement. Je tentai alors d'engouffrer son manche au plus profond de ma gorge. Mission difficile, s'il en fut, puisque le sexe de mon ouvrier était un outil genre gros modèle, or je n'arrivais pas à l'engloutir complètement. Il n'en fallait pas plus cependant, Michel ressentait sans contredit les délices de ma succion. J'entrepris de glisser mes lèvres chaudes, mouillées et avides à une cadence retenue puis, petit à petit, j'accélérai. Des soubressauts envahirent son corps tendu et crispé pendant que l'une de ses mains s'accrochait à ma chevelure comme un noyé désespéré. Michel grommelait maintenant des paroles inaudibles comme si la folie s'était emparée de lui. Je le suçais passionnément ajoutant toujours un peu plus de pression. Michel délirait:

— Crime que tu suces ben, oooooh, encore, encore, lâche-moi pas, aaaah, suce, suce, j'vas venir comme ch'us jamais venu... hooooon!....

Enhardi par la jouissance de mon beau jouisseur, j'astiquai sa vibrante bite encore plus en profondeur. J'avais atteint un rythme qui ne lui laissait plus la chance de respirer, ma salive abondante coulait sur son membre de marbre jusque sur sa poche gonflée tel un gant de boxe. De ma main, j'enserrai fortement la base de cette belle pissette veineuse en la pressant encore un peu plus de mes lèvres jusqu'à ce que cette mesure l'entraîne irréversiblement vers le point de non retour. Je sentais, à entendre ses gémissements saccadés, que la sève s'acheminait maintenant dans le canal déverseur. Michel, la bouche grande ouverte, n'arrivait plus à émettre un son. Tous ses muscles étaient bandés comme la corde d'un arc. Soudain un premier jet éclata dans ma bouche, Michel hurla comme une bête qu'on égorge:

— J'VIENS, J'VIENS, J'VIENS, AAAAAAAH!

En rafale le sperme jaillit dans ma gorge, mon homme tressautait, le corps plein de convulsions. Son sperme était si abondant que je ne pouvais tout contenir. J'étais moi-même si excité que je sentis, sans me toucher, éclater ma propre éjaculation dans mes pantalons. Michel a lancé un dernier cri et une dernière salve. Il était venu, et pas à peu près. Subitement il me supplia de le lâcher tant sa queue n'en pouvait plus, il s'est alors effondré essoufflé, moi par dessus lui, le coeur battant comme après un dur combat.

Nous sommes restés quelques temps ainsi affalés sur le plancher. Michel a ouvert les yeux, a ri, puis m'a dit:

— Pi, on le fumes-tu ce joint-là?

— Pi, on la prends-tu c'te douche-là? ai-je rétorqué.

— Certain, on en a ben d'besoin...


Les jours qui suivirent m'apparurent des plus paradisiaques. Michel acceptait mes avances sans résistance. Je raffolais le baiser dans les situations les plus saugrenues, tous les recoins de la maison étaient propices à lui pogner le cul. Mon ouvrier était visiblement heureux de la tournure de son emploi. Les travaux avançaient au même rythme que notre relation progressait. Michel se plaisait à exhiber ses charmes sachant parfaitement que je ne pouvais y résister. La canicule était pour lui un beau prétexte. Il s'habillait souvent d'une simple culotte courte munie d'un élastique, ce qui me rendait la tâche très facile pour les lui descendre lorsqu'il était juché dans son escabeau. Le petit vicieux était devenu un excellent partenaire lui qui, au début, était plutôt passif. C'était avec un appétit évident qu'il me mangeait maintenant le lunch. Le jeu du 69 devint vite notre position préférée. Michel me disait:

— J'aime tellement ça quand on vient en même temps. Quand ch'us stone j'ai l'impression que c'est moé que je suce pi que je viens dans ma propre bouche.

Si sa libido avait franchi le mur de la résistance, ses sentiments cependant étaient toutefois bien arrêtés. Il n'était certes pas question de s'embrasser et de se dire des mots compromettants. Un jour il me dit cette simple phrase par laquelle il tenait à me préciser le fond de sa pensée:

— Ch'us pas homosexuel, j'aime le cul, j'aime tripper, tant qu'à me crosser tout seul, j'aime mieux me faire sucer par un gars. Une queue ben bandée a pas de parenté.

Les allégations de Michel s'avérèrent aléatoires puisqu'un beau soir il considéra qu'il serait plus commode pour lui de dormir sur place. Comme je ne possédais qu'un lit, il n'y avait plus d'équivoque sur la localisation de ses prochaines envies. De plus mon petit straight n'eut aucune réticence à mes enlacements lorsque nous fûmes couchés. La proximité de nos deux corps pendant ces nuits torrides provoquaient, chez chacun de nous, des érections quasi continuelles; tant et si bien qu'il était fréquent de refaire la chose trois à quatre fois par nuitée. Quel chaud lapin! Quand on considère que nos journées en comptaient tout autant!

  

Vint un beau samedi soir où on avait tiré le joint et trinqué un peu fort. L'alcool et les substances consommées me rendirent audacieux. Effrontément, j'osai convoquer Michel à mon lit pour une expérience de «frenchage» expérimentale. À mon grand étonnement il ne refusa pas et me fit cette proposition plutôt inattendue:

— O.K. On va frencher mais va falloir que tu te laisses fourrer.

— Tu veux me fourrer? Je sais pas si c'est possible, t'as un gros char pi j'ai un p'tit garage.

— Inquiète-toi pas, j'vas me faire d'la place.

Décidément mon chum hétéro devenait de plus en plus libertin. Il entreprit alors de m'embrasser en s'allongeant sur moi. Il me lécha les lèvres tendrement comme un chat sape son lait puis, il introduisit sa langue dans ma bouche avec avidité. Très rapidement je sentis l'excitation le gagner, son corps à demi nu, vigoureusement, se frottait contre le mien. En moins de temps qu'il ne le faut pour le dire, je pouvais sentir la raideur de son membre s'agiter au pied de mon ventre. Tout en me farfouillant dans la bouche, il entreprit de nous déculotter avec une dextérité remarquable. Cette fois, ça y était. Je possédais mon homme entièrement. Pendant que nos deux langues se débattaient, je caressais ses épaules rondes et lustrées, son dos ruisselant, ses reins creux et ses petites fesses dodues. Michel glissa sa queue entre mes cuisses entreprenant un léger mouvement de va-et-vient; je sentais qu'il tentait de se glisser dans ma raie. Mon défloreur débuta la grande manoeuvre. Il releva dabord mes jambes qui s'accrochèrent à ses hanches, il cracha dans sa main et généreusement me badigeonna sensuellement l'anus. La première tentative fut infructueuse, le bout de son gland n'arrivait pas du tout à s'insérer dans mon petit trou contracté. Mais, il savait y faire car il me tourna sur le ventre et de ses larges mains écarta mes fesses, de sa langue il se mit en frais de détendre mon sphincter anxieux. J'étais au comble du ravissement, des frissons d'extase me parcouraient de la tête aux pieds. Comme un cochon dans sa moulée, Michel me dévastait le trou du cul. Les poils drus de sa barbe pas rasée me griffaient les fesses au passage et sa langue travailleuse parvenait à se faufiler par le chemin obscur de mon fondement.

suite dans l'article suivant

Par lubrik - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

  • : Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • : Gay
  • : BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil
  • Contact

Profil

  • claudio
  • Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • bareback enculer lavement trash hygiène
  • blog iconoclaste-pluraliste-no limits- ouvert à tous aucune discrimination ethnique tous âges 18+; je me doute que des -18 nous regardent et nous suivent. Et alors ?(Fillon l'a dit !) ça leur apprend des choses...

Texte Libre

Archives

Images Aléatoires

  • LAVEMENT 045 A DEUX EN ACTION SUITE
  • PUNITIF 02
  • FAWNS 1
  • 16
  • 324 1000
  • arabic128

Recherche

Créer un Blog

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés