SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES

Dimanche 9 mars 7 09 /03 /Mars 14:26

PETER, PETER, PETER IL FAIT LEVER MON NOEUD !

Holidays, oh holidays (Popol Nareff)
C´est l´avion qui descend du ciel
Et sous l´ombre de son aile
Une ville passe   et là-haut de belles choses il se passe...
Il avait un joli nom mon guide, Peter et dire qu'on a fait l'amour dans les airsde Québec à Frisco' .

 "Don't forget! Be safe! Love. Peter."

 

Enfin... Je pars... Depuis de longs moments, je triture mon billet dans mes poches, je regarde l'heure et j'examine la foule de touristes et de gens d'affaires qui prenaient différents vols vers des destinations diverses. Moi, c'est mon baptême de l'air, mon premier grand voyage à l'étranger: San Francisco. Frisco Bay. Le Golden Gate. La Mecque des gays! Je me sens fragile, seul, devant tant d'inconnus...

Depuis des semaines déjà, je consultais les guides gays, les cartes géographiques de Frisco, Los Angeles, San Diego; j'étudiais les circuits d'autobus, les réseaux ferroviaires; je rêvais devant les photos des buildings ultra-modernes, anti-tremblements de terre. Je prenais des notes, j'imaginais mon itinéraire ponctué de beaux Américains ou de sensuels Mexicains... "Les passagers du vol 644 de Delta Airlines en direction de San Francisco sont priés..." C'est à mon tour. À moi la West Coast! À moi l'Amérique! Le rêve américain...

Soulevé par l'allégresse du départ autant que par les forces quasi-magiques du supersonique, je tente de vivre l'instant du décollage d'une manière inoubliable... À ma gauche, une dame sort son ordinateur portatif et se met à pitonner; à ma droite, un homme d'âge mûr se plonge dans un livre. Je suis seul à vivre cet instant unique dans ma vie, cet instant féerique, avec la pleine conscience du moment exceptionnel. La jouissance première passée, un agent de bord nous offre une consommation; ce qu'il est séduisant dans son uniforme, et quel sourire invitant! Il m'observe de trop brefs instants et me frôle de son regard bleuté... Je phantasme... Je le regarde aller dans l'étroit passage, manipulant avec dextérité verres et bouteilles, tasses et café; mes yeux sculptent ses formes en mouvance. Il se rapproche... "Café, monsieur?... Alcool? Autres choses?..." Son regard m'électrise. Je balbutie "Scotch sur glace..." "Est-ce votre premièr voyage?" me dit-il avec un accent aussi charmant qu'enjôleur... "Euh...oui..." Répondis-je distraitement. "Alors, bon séjour à Frisco!" répondit-il avec assurance... Je ne sais si c'est le mal de l'air, mais sa phrase résonne en moi comme un écho de plénitude et d'euphorie; mon esprit vole, plane, divague..

Le dîner terminé, l'homme à ma droite s'endort; la dame reprend son pitonnage. À de multiples reprises, j'ai croisé le regard de l'agent de bord. Il s'appelle "Peter"; c'est indiqué sur son insigne. Quel nom banal pour un si bel Américain! Je me lève pour aller aux toilettes. La petite dame semble offusquée que je la dérange; la nature possède tout de même ses exigences... Au sortir, Peter est devant moi. Profitant d'une accalmie relative chez les passagers, il engage la conversation: "Où vas-tu exactement? Que fais-tu? As-tu des parents là-bas?" Rapidement, Peter me tient des propos moins banals. "Et qu'est-ce qui t'a poussé à voyager seul?" Alors, je lui réponds spontanément: "La liberté, la découverte, Freedom..." Il me regarde fixément: "Tu n'as jamais vu un cockpit?... Viens, je vais te montrer, visiter..." En moins de deux, me voici suivant Peter qui gravit l'escalier tirebouchonné menant à la cabine de pilotage. Il me présente au co-pilote, puis m'offre un verre dans le petit salon privé, adjacent à la cabine. "C'est ici réservé pour la personnel." Et rapidement il m'informe des exigences et particularités de son métier et, en bon Américain direct, il m'avoue qu'il est gay. Je ne m'attendais pas à un aveu aussi spontané. Était-ce aussi une invitation?... Je ne tarderais pas à le savoir...

Bientôt il me confie qu'il a droit à deux heures de repos étant donné la longueur du vol Montréal-San-Francisco et qu'il me trouve très "sexy"... À peine ai-je eu le temps de lui répondre "Like wise" qu'il me plaque contre une cloison et m'administre un french-kiss des plus étourdissants tout en promenant ses mains fouineuses sur tout mon corps. Je m'active à mon tour, et nous voici enlacés, entre ciel et terre, frôlant voluptueusement nos corps l'ur sur l'autre... Mon veston se retrouve par terre, le sien aussi, suivis des chemises puis des pantalons... Nus, nous nous caressons dans des élans intempestifs; je découvre et recouvre son corps de mes yeux et de mes mains. La volupté d'être nous entraîne sur une banquette et nos sexes se confrontent à travers des caresses douces et bienfaisantes. Nos corps se déchaînent... Poussé par je-ne-sais quel élan, la rondeur et la fermeté de ses fesses m'invitent à un voyage plus intime, intérieur... Ma queue frémit sous les tourments de sa langue pendant que mes mains et mes doigts explorent toutes les zones sensibles de son anatomie; les touchers se font plus précis, ma langue devient hardie puis s'aventure lascivement jusqu'à son anus qui tremble sous la chaleur tempérée de ma salive abondante. J'humecte et humecte encore cet orifice et je sens Peter prêt à tout... Soudain, il empoigne énergiquement ma queue et, d'une manière aussi charnelle que surprenante, il applique et déroule savamment un condom sur mon organe rigide, tendu au maximum, l'enveloppant avec l'art du connaisseur... Il s'étend ensuite sur le ventre en me présentant son derrière callipyge comme en offrande à un baptême de l'air... Après quelques caresses sournoises, je m'exécute sans hésiter, plantant et replantant mon phallus en-caoutchouté à travers spasmes et convulsions sonores. Ma queue triture tendrement ses entrailles; je m'enfonce en lui par secousses rythmées, jusqu'à ce que j'enserre fortement sa queue qui se contracte alors en rebondissements frénétiques jusqu'à l'éjaculation. Je redouble d'ardeur et, dans un long gémissement, un interminable soupir de jouissance, je déverse spasmodiquement mon sperme comme pour involontairement faire éclater le condom. Heureusement, il résiste... Essoufflés, abasourdis, nous nous détachons sensuellement...

Peter se relève doucement, lentement. Il essuie distraitement la banquette puis me serre un long moment dans ses bras musclés. "You are really sexy. But, fais attention à Frisco. Ne fais pas comme ça, si tu n'as pas de condom. It's too dangerous now-a-days. You're way too good-looking to get..." Je ne comprends pas le reste de sa phrase mais je saisis toute la portée de son avertissement. Une fois rhabillés à travers caresses et tendresses, nous sortons du salon privé sous le regard visiblement complice du co-pilote... Je regagne rêveusement mon siège, flottant sur un nuage... Le monsieur de droite dort et la dame pitonne toujours..

Quelques minutes avant l'atterrissage, Peter vient me trouver et me remet une petite lettre qu'il timbre d'un clin d'oeil sensuel. Il y avait inscrit ses nom, adresse, numéro de téléphone ainsi que son horaire des prochains jours. Il a même ajouté: "Don't forget! Be safe! Love. Peter."

Je fis un merveilleux voyage à San Francisco. Même que Peter me servit de guide pendant les deux premiers jours. Et bien sûr que nous avons rebaisé très agréablement, prudemment...

 

      pas seulement, mais...

 

la chaleur des maisons de bois...

 la cpitale cosmopolite et GAY

/ SAN fRANCISCO GAY BASKETBALL ASSOCIATION

L'accueil de Frisco'

Et moi aussi je vous aime !

 

 

Par jacques lamoureux - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Samedi 8 mars 6 08 /03 /Mars 15:29

Lucas a décidé de se faire marin, officier si possible...

À l'ouverture du bureau il jetait des regards furtifs pour voir la tête de celui qui allait le recevoir. Il était encore jeune et son air sympa effaça toutes ses craintes.

 

Pourquoi nous rejoindre ?

Chaque année, la Marine nationale recrute 3000 marins, de 16 à 29 ans, de niveau 3ème à Bac +5.

300 recrutements "officier" ont lieu tous les ans

Pour Lucas vint le jour des tests. Il était convoqué au Ministère de la marine, rue Royale. Il se présenta le matin et toute la journée se passa en des séries de questionnaires, des jeux diaboliques, des exercices de physique, de maths, on demandait si la recrue savait à quoi sert la défense nationale, quelles étaient ses motivations. Après une longue pause chaque futur marin passait devant un médecin psychologue. Il y en avait deux, Lucas sut tout de suite devant lequel il allait passer, les candidats étaient appelés par ordre alphabétique et comme toute la journée s'était déroulée dans cet ordre, il connaissait sa place.

À l'ouverture du bureau il jetait des regards furtifs pour voir la tête de celui qui allait le recevoir. Il était encore jeune et son air sympa effaça toutes ses craintes.

(fake) Quand arriva son tour, Lucas était presque endormi. Il pénétra dans la pièce nonchalamment et resta debout devant le bureau.

— Lucas Guimarch, c'est pas Breton ça comme nom de famille?

— Oui, c'est le nom de mon père, je l'ai pas connu mais ma mère m'a dit qu'il était de Brest.

— Eh bien moi aussi. Je suis le capitaine de vaisseau Pustoc'h, bien que je sois en civil, je suis marin. Asseyez-vous Guimarch.

— Merci M'sieu.

— Voyons les résultats... À mon avis c'est excellent, vous deviendrez un excellent marin. Vous avez le bac S, super, il faudra être studieux et à mon avis vous pourrez même devenir officier. Tout ce que vous avez fait est au-dessus de la moyenne, vous êtes content?

— Oui Monsieur.

— Il faut dire: oui commandant, enfin ce n'est pas grave vous ne connaissez pas encore les grades.

— Non commandant.

— J'ai encore quelques questions personnelles, vous répondez, vous répondez pas. Vous avez une petite amie, si oui elle est d'accord avec votre départ.

— Non commandant rien de tout cela.

— Un petit ami?

— Pardon?

— Vous avez compris la question, vous avez un petit ami?

Lucas sentit le rouge monter aux joues.

— Bon je ne repose pas ma question. Vous savez la marine ne demande pas exactement si vous êtes homo, mais si vous l'étiez sachez que les relations sexuelles de toutes sortes sont proscrites pendant le service. Quand vous embarquerez vous aurez aussi des collègues féminines, alors il faudra être très sage si vous êtes hétéro... et si ce sont les garçons qui sont votre choix, pas de petits câlins, un navire c'est pas un bordel. Libre à vous en dehors de votre vie militaire d'avoir les aventures que vous désirez. L'armée ne veut pas le savoir.

Lucas acquiesça:

— Oui comandant, j'ai compris, je vous promets de retenir ces conseils.

— Voilà Guimarch, bienvenue dans la marine, vous serez convoqué officiellement à Hourtin pour vos classes dans trois semaines, vous avez une adresse à Paris ou c'est toujours celle qui est indiquée?

Lucas donna l'adresse de Charles et remercia l'officier, en sortant il s'enhardit et lança:

— Vous savez commandant, je suis homo, si ça pose un problème je pense que le mieux est de refuser mon engagement.

— J'avais bien vu. Non Guimarch, je suis sincère, tu feras un excellent marin.

Lucas remercia et tourna les talons, il eut un peu de mal à retrouver la sortie. Il était 16 heures, il traversa, entra chez Maxim's, s'installa à une table et commanda un Perrier, il sortit de son sac à dos des cartes postales et commença sa correspondance, une pour les Bertrand, une pour Aurore, une pour Kévin, etc, etc. Il en avait une longue liste.

Trois Perrier plus tard, la pile de cartes était terminée, il s'était écoulé une heure et il paya et franchit la porte de verre. 

    

 

Un beau garçon comme Lucas ne pouvait s'oublier. Tout en notre futur jeune officier forçait l'amitié...et le désir...Le commandant se souvint de l'avoir examiné...

 

Au même moment le commandant Pustoc'h franchissait la rue pour entrer au bar déguster son demi de bière:

— Guimarch, encore dans le quartier! Entrez avec moi je vous offre un verre.

Lucas accepta l'invitation. Il ne savait pas encore qu'il aurait le privilège, le soir même, de baiser son premier officier de marine.


Lucas - Ma première journée de tests au Ministère de la Marine s'est bien passée. Le capitaine de Vaisseau Pustoc'h avait été sympa. Je l'ai rencontré en sortant d'un bar rue Royale et il a tenu à m'offrir un verre. Il était pas mal malgré ses quarante ans bien sonnés.

— Guimarch, c'est bien Lucas votre prénom? m'a-t-il demandé après que nous nous soyons assis à une table isolée.

— Oui commandant!

— Bon, écoute, on ne se reverra pas. Alors ce soir tu me tutoies et tu m'appelles par mon prénom Arsène.

J'ai rigolé à cause du prénom!

— Te moques pas! C'est le prénom de mon grand-père, Dieu ait son âme! Alors comme ça t'es homo? T'as un copain?

— J'ai un copain, mais on s'est quitté pour que je puisse m'engager!

— Et pendant cinq ans tu vas lui rester fidèle?

— Je ne sais pas!

— Je t'ennuie avec mes propos?

— Non... Arsène, je te trouve sympa et assez attirant pour un vieux!

— Arrête... Je n'ai que 40 ans. Bon, c'est vrai quand j'avais ton âge je pensais comme toi! Ça te dit de venir dîner avec moi, au resto?

— Oui, mais dis-moi, toi aussi tu es homo?

— Je suis bi! Je suis marié, mais ma femme est partie en vacances avec les enfants. Je t'invite... Tu n'es pas obligé de baiser avec moi après!

Arsène était vraiment cool! On s'est promené sur le bas des Champs-Élysées. Il m'a montré le palais de l'Élysée. Et puis, vers 20 heures, il m'a invité dans un beau resto dans le quartier Montorgueil, un resto où il n'y avait que des mecs qui me regardaient comme dans le Marais.

Arsène a tout voulu savoir de moi. Je ne lui ai pas parlé de tout, ni de mes bêtises, ni de mon viol. J'ai évoqué, ma passion amoureuse avec Manu, ma relation sans espoir avec Aurore, mes aventures sexuelles avec Kévin et Farid. J'ai encore évoqué Jules que j'ai conduit vers Aurore! Il m'a parlé de la marine. Il était passionné. Après le dîner, il m'a proposé un verre chez lui, dans le XIIe arrondissement. J'ai encore dit oui après qu'il m'eut assuré de ses sages intentions.

Chez lui Arsène s'est mis à l'aise, en tee-shirt et en short, il avait un je-ne-sais-quoi qui me faisait bander! Il m'a dit:

— Tu es très beau Lucas et je suppose que tu as une belle queue!

— Tu veux la voir?

— Oui, s'il te plaît!

J'ai ouvert la braguette de mon jeans et j'ai sorti ma bite toute raide. J'ai bien dégagé le gland! Le capitaine était tout rouge! Il a hésité un peu, a approché la main pour me caresser la queue! Puis il l'a sucée!

Il s'est déshabillé entièrement! Il était plutôt bien foutu! Il triquait. Il s'est mis à genoux sur le canapé et m'a montré son cul en me disant:

— Je t'en supplie Lucas, baise-moi!

— Tu veux que je t'encule? - ai-je osé lui dire et sans attendre sa réponse je me suis foutu à poil.

C'était la première fois qu'un mec voulait que je le domine! Avec Manu je faisais la plupart du temps le papa, mais c'était un échange amoureux. Là, j'allais enfiler un mec, un capitaine, le baiser comme une fille, lui jouir dans le cul et pouvoir faire le macho!

Il m'a tendu une capote! Je me suis protégé et j'ai dirigé ma bite sur son trou.

J'ai baisé un commandant! Il gémissait comme moi quand je faisais la femelle pour Farid ou Kévin! Il a joui comme moi quand je me suis fait violer par deux fois par Raoul! Je me suis vidé les couilles via la capote avec rage dans son cul! J'étais devenu un homme avant même l'armée!

Il m'a fait des câlins et je l'ai pompé à mon tour. J'avais baisé avec Arsène pas par amour, mais pour un vrai plaisir partagé.

— Ça représente quelque chose ce beau papillon sur ton épaule, mon petit Lucas chéri?

— Oui, l'union entre Manu, Aurore, Jules et moi! Pour qu'on ne s'oublie jamais!

— Tu es trop craquant Lucas, beau et romantique! a conclu le beau commandant.

Arsène, le lendemain, il m'a téléphoné chez Marcel et Charles! Il m'a remercié sans préciser de quoi et m'a dit qu'il me recommandait à mes instructeurs! Il m'a même offert ses services pour suivre ma carrière dans l'armée. Un frisson me parcourt : j'entre dans l'Aventure et je suis encadré par Jean Cocteau, Jean Genet et...Arsène. Hourrah !

Arsène avait rejoint Marcel et Charles dans le clan des vieux sympas qui ne pensaient pas forcément qu'à mon cul, Arsène, lui, ne pensait plutôt qu'à satisfaire le sien!

Ce soir, avec Arsène, un homme marié et père de famille, il découvrait combien les apparences pouvaient s'avérer trompeuses. Charles, le toubib au grand coeuravait été "bi" un temps, mais Marcel et Charles assumaient leurs préférences et se proclamaient pédés et fiers de l'être alors qu'Arsène, s'il s'acceptait intimement comme gay, se trouvait loin du coming out des deux premiers.

 

N'est-ce pas Freud qui a décrété que les hommes naissaient tous bisexuels ? Lucas se posa alors la question de savoir s'il existait une façon de reconnaître quels hommes pourraient devenir les partenaires sexuels d'un soir ou d'une vie et quels étaient ceux pourvus d'une hétérosexualité sans faille.

Arsène n'annonçait pas la couleur, il cachait son jeu... un peu tricheur, un peu profiteur, pas courageux sans doute, mais très certainement un poil malheureux.

 

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Par Lucas - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 4 mars 2 04 /03 /Mars 00:43

RECIT REEL

Avoir un(e) ASSISTANT(e) SEXUEL(le) c'est bien légitime pour eux- elles-"les handis" ESCORT POUR HANDI surtout comme Loic...lequel, laquelle d'entre nous  ne voudrait pas l'être ou le devenir?

Plus tard, "qui vivra verra" mais beaucoup de liaisons de même sexe sont vécues au départ en protestant sur son hétérosexualité...ainsi, nos deux compères... LOIC ET MARTIN

 

 

Je sais, j’ai eu «de la chance». Une nuit passée avec des copains au début des grandes vacances dans le mobil-home de mes parents, partis depuis peu de temps, quelques canettes de bière alors que je n’en ai pas du tout l’habitude, un mégot mal éteint d’une de mes premières cigarettes (et la dernière...) tombé sur la moquette et ce fut l’incendie, sournois au début mais qui s’est rapidement développé du fait de ma léthargie.

Quand je sortis de ma torpeur, le mobil-home était embrasé, la porte inaccessible et la température si élevée que la peau de mon visage cuisait littéralement. Affolé, suffoquant à cause de la fumée, j’ai défoncé à coups de poings la paroi incandescente, là où le feu l’avait déjà fragilisée. Je suis ainsi parvenu à sortir sans même sentir la douleur et j’ai à peine vu les voisins alertés par les flammes qui me roulaient dans l’herbe humide pour éteindre le feu qui prenait à mes vêtements, avant que je sombre dans une semi inconscience... Une sirène, la bienfaisante morphine, puis une salle d’opération.

J’ai appris après, de la bouche de ma mère en larmes, que je m’en étais sorti par miracle. Mon corps était intact sauf une brûlure superficielle au visage et des cheveux grillés - grâce à mes sauveteurs qui avaient éteint les flammes de mes vêtements. La figure me cuisait un peu, mais une crème apaisante me soulageait. En revanche mes mains étaient dans un état catastrophique et une reconstitution s’est avérée nécessaire, faite par un chirurgien de renom. Je ne souffrirais – sauf complication imprévue - d’aucune séquelle mais leur immobilisation pour cinq semaines était incontournable, après dix jours d’internement en service des grands brûlés. J’avais au bout des bras deux «poupées» dont on devait refaire les bandages trois fois par jour et il m’était impossible de faire quoi que ce soit. Je subissais en plus des démangeaisons pénibles, signe d’une bonne cicatrisation, paraît-il.

Mes parents ne sont pas cons. Le mobil-home était assuré, ils avaient gardé leur fils unique, ils comprenaient que la punition naturellement infligée était largement à hauteur de la sottise. J’ai donc échappé aux remontrances et nous nous sommes organisés dès la sortie de l’hôpital. Le matin, mon père me lavait avant qu’un VSL m’emmène à l’hôpital pour le renouvellement de mon pansement, Ensuite je revenais à domicile où je patientais parfois seul – quand des copains ne pouvaient se déranger. Ma mère rentrait me faire manger, becquetée par becquetée à midi, je revenais à l’hosto pour changer les «poupées», on me ramenait chez moi jusqu’au soir; j’avais chaque après-midi et souvent le matin la visite de mon ami Martin que je connais depuis toujours: j’ai su plus tard qu’il avait fait annuler son séjour d’été, sans me le dire, pour rester à mes côtés pendant cette période. Retour le soir à l’hosto pour les soins, puis quand mon père rentrait, toilette; ensuite dîner, etc. Sinon, dans la journée, télé, parties d’échecs avec Martin qui déplaçait mes pièces selon mes indications. Quasi impossibilité de lire. Bref, l’emmerdomètre affichait le niveau maximum - sauf quand mon meilleur ami était là avec sa bonne humeur perpétuelle.

Imaginez vous ce que c’est que de vivre sans vos deux mains? Pour la douche, mon père me mettait entièrement nu, cachait les «poupées» (nom des gros pansements) dans des sacs étanches et m’aidait à entrer dans la baignoire où il me savonnait avant de me rincer. Humiliant, à 15 ans, surtout quand cela provoquait des bandaisons intempestives qu’il tentait de ne pas voir mais qui demeuraient, provoquant de graves frustrations. Je vivais au cours de la journée en peignoir et en caleçon ample - ce qui me permettait, en me tortillant pour baisser ce dernier – de satisfaire mes besoins naturels en m’asseyant sur le siège des toilettes. Pour pisser, cela allait mais pour déféquer, impossible de me nettoyer seul. Je tentais donc de le faire avant ma toilette et mon père me lavait le cul avec un torchon pour éviter un contact par trop intime. L’ambulancier qui conduisait le VSL m’aidait à enfiler un jogging quand personne n’était avec moi, le temps des déplacements.

Ce qui était le plus pénible, c’était encore l’impossibilité de me masturber. Vous imaginez, au seuil de l’adolescence, la perspective de ne pas se branler pendant au moins cinq semaines? Je pratiquais la chose depuis trois ans déjà, sans y attacher beaucoup d’importance d’ailleurs jusqu’à ce que je remarque à quel point la difficulté me frustrait. Alors qu’avant l’accident je me soulageais machinalement deux ou trois fois par jour (toujours seul et pudiquement), le manque m’obsédait littéralement: je ne pensais «qu’à ça». Au bout de quelques jours, j’imaginai un substitut: poser un torchon sur mon lit, me mettre nu à plat ventre et tenter de jouir en me frottant dessus. Je parvenais certes à éjaculer, à baisser la «pression», mais la jouissance était des plus médiocres.

C’est Martin qui me «sauva» après une semaine de cet enfer. Il avait la clé de la maison (j’aurais été incapable d’actionner la serrure) et un après-midi où justement je me livrais à cet onanisme du pauvre, il entra. Il dut appeler d’en bas, mais absorbé par la recherche de la conclusion forcément frustrante de mon «activité» je ne l’entendis pas et il pénétra dans ma chambre au moment précis où je me frottais en geignant, en sueur.

Je sursautai, rouge de honte, Cherchant quelque chose à dire, confus, je me taisais quand il éclata de rire. Il faut dire qu’autant je suis pudique, autant il est extraverti sur les choses du sexe, même un peu exhibitionniste dans les vestiaires ou dans toute circonstance bonne à en parler, à se montrer, à délirer sur la chose. Cela durait depuis un an environ et m’excitait intérieurement, quoique je cachais soigneusement mes sentiments. J’aurais obtenu un billet de vingt euros à chaque fois que je l’ai traité d’obsédé, je serais millionaire!

Pourquoi cette timidité et cette réserve sur le sujet? Je l’ignore. J’étais certes fils unique mais mes parents m’avaient élevé de façon ouverte, j’étais sociable, sportif... Je n’étais certes pas le mieux doté de mes camarades (on me donnait même un peu moins que mes quinze ans) mais il y avait «pire» et si j’étais encore imberbe – sauf au pubis – on me trouvait mignon et pas trop gamin. Des filles m’avaient même déjà discrètement fait comprendre que si je faisais le premier pas, je pourrais peut être «sortir» avec elles... mais cette foutue timidité avait retardé le cours des choses.

Mais revenons à ce moment, de gêne inimaginable...

Mon ami éclata de rire, spontanément, avec fraîcheur et gentillesse.

— Putain, mais c’est vrai, j’y ai pas pensé, tu peux plus te pogner, mon pauvre!

— Ouais! bah c’est pas la peine d’en rajouter, dis-je tout rouge en tentant maladroitement de me rajuster

Il y eut un moment de silence et doucement il ajouta, le sourire aux lèvres mais pas du tout en se moquant:

— Je suis ton ami, non? Pourquoi tu m’as rien dit? À qui tu peux demander de te dépanner, sinon à moi? Je sais que t’as pas de copine! Pas à tes vieux, quand même!

— Tu déconnes, mec, répliquai-je. Je suis pas pédé!

— Mais qui te parle d’être pédé? T’as besoin de te branler comme tous les mecs, t’as pas de main, je te propose la mienne, c’est tout. En tout cas, si c’était l’inverse, c’est à toi que je l’aurais demandé parce que je sais que t’es mon ami et que tu le répéterais pas!

Je ne répondis rien, mais ma verge parla pour moi, se dressant de façon éloquente. Martin s’assit à côté de moi, et murmura:

— Ferme les yeux, pense à rien ou à quelque chose qui t’excite si ça peut t’aider.

Je secouai négativement la tête, mais sans rien dire. Une semaine de frustration, la perspective d’un mois de plus au moins (parce que les pansements retirés, je n’en aurais peut-être pas fini de suite), cela me trottait dans la tête. C’est inconsciemment que j’écartai les jambes... sans fermer les yeux. Martin sourit, et caressa ma queue d’un doigt léger, ce qui provoqua un gémissement de surprise. actionbuddy: Mind if I re-reblog this one again?… ;)   Il la saisit et je la sentis palpiter, m’envoyer des ondes de plaisir comme jamais je n’étais parvenu à en créer seul. Il faut dire que personne ne m’avait jamais touché «là», sauf mon père pour la toilette et dans un tout autre contexte.

— Putain, rigola-t-il, elle est chaude et remuante, elle en a besoin la pauvre!

Son autre main caressa mes bourses et là je lâchai un râle de plaisir, pendant qu’il commençait à me masturber avec tendresse. Je me tordais de droite à gauche sur le lit.

— C’est bon, hein, Loïc, sourit-il... Tout seul on en perd, des trucs... Moi je l’ai déjà fait avec un autre, c’est pas pareil... rien à voir!

Je soufflais comme un phoque. J’avais tout oublié de mes réticences passées, mais la tension était énorme. Il ne fallut que quelques minutes pour qu’un orgasme foudroyant me transperce, me faisant projeter d’énormes jets de sperme sur mon ventre pendant que mes abdos se crispaient et que je me cambrais, sur la nuque et les talons. Martin continuait de me caresser les couilles en tenant ma verge bien serrées, et les ondes de plaisir ne semblaient pas devoir cesser... J’oubliai toute pudeur et lui souris.

— Merci mon pote, c’était génial... Tu sais, j’en avais besoin... Rien depuis l’accident!

— T’inquiète, Loïc, on le refera, dit-il en riant. Tant que tu veux, et sois pas gêné de demander si j’y pense pas tout seul. Moi tu sais, c’est au moins quatre fois par jour alors...

Je rougis un peu car je l’imaginais en train de s’astiquer et cela me donnait de nouveaux picotements: je l’avais déjà vu à poil bien sûr, même bandé, mais jamais «en action».

— Bon, en attendant, dis-je... on se fait une partie d’échecs?

— OK Loïc, à toi les Noirs cette fois! Attends quand même que je te nettoie, dit-il en rigolant et en passant le torchon sur mon ventre avant de remonter mon caleçon.

Cette partie se déroula assez vite parce que je manquais totalement de concentration... en seize coups j’étais mat, et Martin me regardait, hilare:

— J’aurais dû proposer un gage avant!

Ce fut inconscient... je ne répondis pas mais mon regard descendit sur mon entrejambe pendant que ma tige durcissait de nouveau.

— T’en as envie, hein? Encore, mon salaud... Putain j’aurais jamais cru ça de toi le mois dernier, seulement... Loïc la pudeur qui me traitait d’obsédé! Ouais, mais moi aussi, tout à l’heure ça m’a excité grave, alors on va faire ça ensemble...

Il se déshabilla lentement devant moi, souriant, un peu vicelard, désireux de me provoquer. Une fois de plus, comme dans les vestiaires, j’avais en face de moi son corps longiligne à la peau mate et imberbe, si on excepte une fine toison pubienne que manifestement il commençait à entretenir.

— Allonge-toi bien, mec, jambes serrées!

Puis il se mit à genoux sur moi, sa queue à hauteur de la mienne.

— Putain, dis-je, qu’est ce que tu fous? On va pas faire des trucs de... des trucs de pédés?

— Oh, ça je le fais depuis un an et je me crois pas plus pédé que toi... et même si je l’étais, si ON l’était, qu’est-ce que ça pourrait foutre si ça fait du bien? Tu sais, ça s’attrape pas!

Sa main s’avança et chopa nos deux bites, unies sous la même pression. J’avais le souffle coupé de bonheur de sentir contre la mienne ce morceau chaud qui palpitait. Il nous tripotait, en commentant:

— Finalement la tienne est plus longue, oh pas de beaucoup! Et un peu plus épaisse aussi... mais je décalotte mieux, on dirait... Fais voir tes couilles (il les caressait). Ah elles remontent à fond, les miennes pendent un peu... Tu devrais te tailler la touffe un peu, le zob a l’air un peu plus long. Et moi, je me rase les couilles (rire). Remarque, t’as pas grand chose dessus!

Il aperçut le tube de crème qui m’avait servi à soulager les échauffements que j’avais eus sur le visage, dont je ne me servais plus...

— Ouais! Avec ça, ça glissera mieux!

Il nous enduisit, pendant que je suffoquais de plaisir...

— OK, Loïc, on doit être à égalité: t’as déjà juté donc en principe t’es moins excité, mais c’est ma main qui agit, pas la tienne: ça doit compenser. Je branle les deux queues collées l’une à l’autre et le premier qui crache a perdu...

Le contact de sa tige, la douceur de sa main qui enserrait les deux bites bien lubrifiées, la subtile variation qu’il imprimait dans la pression, ses caresses faites avec l’autre main sur les couilles ou les abdos, ça me rendait dingue et je voulais que ça dure, que ça dure éternellement... Mais comme il l’avait dit, nous étions excités tous deux et au bout de quelques minutes, nous explosâmes de façon absolument synchrone.

— Merde! dit-il en rigolant... Faut recommencer, égalité!

Il gardait nos bites serrées à la base pour éviter qu’elles ne ramollissent, tout en continuant ses caresses, tantôt sur moi tantôt sur lui... Ça dura quelques minutes, puis il reprit son mouvement de va-et-vient. Là, ce fut plus long, il fut obligé d’insister, d’accélérer le mouvement. Je le voyais en sueur, bouche pincée, ses abdos crispés, haletant... Cette fois, de peu, c’est lui qui jouit avant moi, en criant de joie...

— Merde, j’ai perdu, rigola-t-il. C’est quoi mon gage?

J’étais complètement désinhibé.

— Pauvre vieux, t’es condamné à refaire ça demain, rigolé-je en même temps que lui, qui par jeu prenait un air boudeur.

Puis j’ajoutai, après une longue hésitation:

— Martin, euhh, s’il te plait...

— Oui?

— Je dois puer le foutre à cinq mètres et c’est mon père qui me lave. Ça t’emmerderait de m’aider à prendre une douche? Sinon il va se poser des questions.

— OK mais comment tu fais?

— D’habitude, il me protège les bandages avec des sacs en plastique qu’il ferme au sparadrap et me lave dans la baignoire; mais sous la douche, ça doit pouvoir le faire...

— Bah y’a pas de lézard! En plus je la prendrai avec toi, parce que j’en ai bien besoin aussi...

Il goûta une des traces de sperme sur sa poitrine...

— Tiens, ton foutre est moins salé que le mien!

Je rougis un peu, parce que je n’avais jamais goûté à ma semence.

— OK mec, on y va?

Après avoir bien protégé mes «poupées», il se glissa avec moi sous la douche et me savonna tendrement. J’étais vidé, donc je ne rebandais plus mais j’adorais ces sensations que j’essayais de lui rendre en me collant à lui. Ses lèvres s’approchèrent doucement des miennes... Une seconde après nos langues s’entremêlaient dans un baiser farouche, le second de ma vie - le premier avait été avec une fille, dans une soirée. Il dura une éternité...

— Martin, dis-je... Ça me fout les boules quand mon vieux me lave et que je bande devant lui; en plus je crois qu’il est encore plus gêné que moi. Ça t’emmerde si je lui demande que tu me le fasses?

— Pas de lézard, Loïc, si tu crois qu’il va pas se douter d’un truc. Tu vas présenter ça comment?

— Facile! Je lui dirai la vérité, qu’on se douche ensemble au sport, que j’ai l’habitude depuis des années. Mais tu sais, je crois qu’il sera soulagé, il est aussi emmerdé que moi. Tu restes dîner ce soir? On en causera avec mes vieux. Bon là faut que tu me sèches et que tu me passes mon jogging: le VSL vient me chercher dans un quart d’heure pour changer mes pansements. Tu m’accompagnes? Ça dure qu’une demi-heure et au retour on causera avec eux...

— D’acc! Le temps de passer un coup de fil chez moi pour prévenir ma mère...

Ils discutèrent un peu puis il revint:

— Elle est d’accord si je peux rester dormir chez toi: elle ne veut pas que je traverse la ville de nuit.

— Pas de lézard, tu l’as déjà fait...

Je rougis... Il avait souvent dormi à mes côtés mais jamais nous ne nous étions touchés... Une question me trottait par la tête... Il fallait que je me libère.

— Martin, tu crois que... je suis pédé? Parce que j’ai jamais joui comme tout à l’heure, tu sais...

Il me regarda, sérieusement, cette fois.

— Loïc, tu sais... Moi ça, je le fais souvent avec un mec. Ça m’empêche pas de triquer en pensant aux filles. Et... Bon jure-moi de garder le secret... L’année dernière... la mère de Luc a déliré et elle m’a dépucelé. Crois-moi, j’ai pas eu de mal à lui faire l’amour trois fois de suite alors que j’avais que quatorze ans et demi et j’ai adoré ça. Si j’ai pas recommencé c’est qu’elle a plus jamais voulu... et je flashe grave sur des filles! Moi je sais que je suis bi! Et toi, t’as fait des trucs avec une nana?

Je rougis.

— Rien encore... Cathy m’a bien branché à la soirée de mon anniversaire, on s’est même roulé un palot, elle m’a tripoté la bosse et moi ses seins, j’étais fou d’excitation, mais j’ai pas osé...

— Bah on dirait que t’es bi aussi, rigola-t-il. Et très con parce t’as une gueule d’ange et un petit corps d’athlète, et en plus tu hais te fringuer, et t’es pas con. Je vois bien comment elles te matent. T’as déjà raté de sacrées occases, je suis sûr. Bon, au final c’est génial! À nous les nanas et quand on n’en aura pas, on se fera plaisir ensemble. De toute façon, Loïc, ajouta-t-il plus bas, enfin sérieux, t’es mon meilleur ami, avec ou sans le sexe. Mais je crois qu’on oubliera jamais cet après-midi, quoiqu’il arrive.

On s’embrassait quand la sonnette retentit. C’était l’ambulancier. FIN

 A TOUS LES COMPLEXéS :  

Sois bon envers toi-même.

Tu es un enfant de l’univers, tout comme les arbres et les étoiles: tu as le droit d’être ici. Et même si cela n’est pas clair en toi, sois assuré que tout se passe dans l’univers selon ses règles propres. Par conséquent, sois en paix avec ton Dieu, quelle que soit en toi son image. Et par-delà tes peines et tes aspirations, au milieu de la confusion de la vie, sois en paix avec ton âme. Max Erhmann Le manuscrit de Baltimore.1927

 

 

Par LOIC2007 - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 3 mars 1 03 /03 /Mars 14:26

  RECITS REELS 

 

 

 

  Quand un client aime le fun :

 

Rosso

 

 

deathhorsemen: massivemusclebears: My name is Randy. I work in a independent local Men’s store. It’s a dream job for me, really, since I have this fetish about changing rooms. You wouldn’t believe the stuff I see and have experienced. Like this guy… Two weeks ago, he came in and tried on a bunch of suits (another fetish, but I digress). He asked if I could help him and I gladly accepted the offer. While changing in and out of the suits we teased each other and joked around playfully grabbing and acting silly. He ended up buying one of the suits. Just for kicks, when I packaged up the suit for him, I slipped my cell phone number in the right front pocket, hoping that our playful banter would get a good result. Today, on my phone I got this pic!!! HOLY FUCK!!! and the best part about it, was I recognized the changing room as one of mine. Thank God, it was close to closing on a Monday night, so the store was relagtively empty. I waited for the last customer to leave and I closed up early. I walked back into the hall of changing rooms and only one door was closed. I knocked. "Come in…Randy!!!" The door couldn’t open fast enough and there was my prize, spread eagle and eager for my mouth and ass to satisfy him. Not only did we have fun in the changing room, but Josh and I fucked and sucked all over the store, and yes, he even fucked me in a suit. God I love my job!!! Omfg

     Bien sûr ça tente mais...

 

Je travaille dans une grande boutique de sport dans un grand centre commercial de l’ouest de Paris, et je vais vous raconter une aventure que j’ai eue avec un client.

Ce mec débarque un midi, clairement en pause déjeuner. À son accoutrement, je devine qu’il travaille dans les tours au-dessus. Il doit avoir 35 ans, il mesure 1,85m, il est brun, avec une barbe joliment taillée, les cheveux coupés courts avec une pointe de gel. Il a la peau très mate, il doit être issu d’un métissage entre les civilisations méditerranéennes. Il porte un costume, et des chaussures de ville, classique pour le quartier. Il est plutôt beau mec. Je ne me gêne absolument pas pour le mater de loin, espérant secrètement qu’il s’approche de moi pour que je puisse mieux l’observer.

Il traîne au rayon de l’équipement de tennis. Je le vois essayer plusieurs raquettes. Je le vois regarder les pancartes en l’air et se diriger vers le rayon des vêtements. C’est là que je suis, c’est ma chance.

  • Bonjour monsieur, je peux vous aider ?

  • Bonjour, euh, oui… Je cherche un polo et un short pour faire du tennis.

  • Vous êtes au bon endroit, ha ha. Pardon, c’était pas drôle. Donc vous faîtes quelle taille ? Vous avez un large torse, je dirais L, je me trompe ?

  • Non, non, me dit-il avec un sourire gêné, si je prends du M, ça devient un peu moulant…

  • Je comprends bien. Écoutez, je vous propose d’essayer… celui-là, tiens, et éventuellement celui-là, ce sont des Lacoste, réputés pour leur longévité. Les cabines sont juste là.

  • Merci !

Qu’est-ce qu’il était beau putain ! Pourquoi j’ai pas insisté ? Quelques minutes plus tard j’entends quelqu’un qui m’appelle. C’était ce même mec. Il s’était déplacé jusqu’à moi.

  • Excusez-moi, qu’est-ce que vous en pensez, pas trop moulant alors ? Je me sens légèrement à l’étroit, là.

  • Mais monsieur vous avez gardé votre pantalon de ville, vous avez l’air un peu… Enfin c’est bizarre ! Vous voulez pas mettre un short avec ? Sinon, je dirais que ça moule « comme il faut », quoi. Ça… vous met en valeur.

Il sourit et décroche un short à sa taille. Il retourne dans la cabine, mais cette fois je le suis. Il ne prend pas la peine de fermer la porte derrière lui. Je lui fais remarquer mais il hausse les épaules. Je ne me gêne pas pour le dévisager. Il déboucle sa ceinture, déboutonne son pantalon et l’abaisse. Il est en boxer et me laisse voir ses jambes extrêmement poilues et musclées. Je hausse les sourcils en souriant. Il me regarde et sourit à son tour. Il enfile le short et le remonte à ses fesses.

  • Et là, pas trop moulant ?

  • Encore une fois, c’est une question d’appréciation personnelle. Est-ce que vous pouvez marcher ? Cela semble quand même très serré.

En effet, tout son paquet était mis en avant. Cela devait être inconfortable au possible.

  • Cela dit, on peut dire que vos atouts sont clairement exposés.

  • Que voulez-vous dire ?

  • Et bien, votre poitrine, vos bras, vos fesses, votre… équipement, ça laisse peu à l’imagination, quoi !

  • Ah oui ? Je devrais peut-être prendre les tailles au-dessus ?

  • Je suis partagé, c’est quand même très agréable de vous voir comme ça… Désolé, je devrais pas vous dire ça, ce n’est absolument pas professionnel. Choisissez ce qui vous convient, monsieur. Et pardonnez-moi encore mon écart.

  • Non, vous avez l’air de savoir ce qui compte, je prends tous les avis. Bon, je vais quand même changer de polo. Par contre je suis coincé, vous pensez pouvoir m’aider à le retirer ?

  • Avec plaisir.

J’entre dans la cabine et me place devant lui avec un grand sourire. Il fait une tête de plus que moi et le double de volume, mais il ne m’intimide pas. Il me regarde de haut avec un sourire en coin lui aussi. Je place mes mains au niveau de ses hanches pour attraper le tissu du polo. Là, il lève ses bras et je tire vers le haut pour le faire passer au-dessus de sa tête. Il se laisse totalement faire. J’ai mis à jour son corps couleur ambre et sa musculature. Il avait un torse prononcé et couvert de poils noirs. Ses épaules étaient carrées, tout comme ses abdominaux. Je me pince les lèvres alors que mon cœur bat de plus en plus vite. Je le regarde intensément, mais ne sais pas quoi faire. Soudain, je baisse la tête. Je vois la bosse de son short qui a grandi. Je jette un œil à l’extérieur, personne. Je ferme la porte de la cabine.

  • Comme je vous disais, ce short vous met en valeur, par exemple, là, je ne peux me retenir de vouloir vous l’arracher sur-le-champ. Et je vois que mes flatteries vous ont atteint. Vous m’avez l’air excité, peut-être puis-je y remédier ?

  • Ah oui ? Et comment comptez-vous faire ?

Je plaque ma main sur son paquet. Il sursaute légèrement en soupirant. Je me mets à genoux et lui baisse le short. Sa queue est déjà complètement tendue. Elle doit bien mesurer 22 cm, le bougre. Je la décalotte un peu et je vois son gland marron. Je la mets en bouche sans attendre, j’en ai trop envie, là, maintenant. J’essaye de le gober complètement mais je n’y parviens pas. Je le suce lentement, mais efficacement, jouant de ma langue pour le rendre fou. Il place ses mains sur les deux parois, comme pour s’empêcher de vaciller. Je lui fais signe avec mon doigt de faire moins de bruit pour ne pas se faire griller. Il prend son pied comme jamais.

  • C’est la première fois… que je me fais sucer par… un mec… putain c’est trop bon !

  • C’est la première fois que je suce un client dans une cabine d’essayage.

Il me faut mes deux mains pour tenir sa bite en place tellement elle est grande. Il prend ma tête et se force en moi, prenant le contrôle des choses, j’aime ça chez un homme. Il prend quand même soin de ne pas non plus m’étouffer, mais un peu de domination ne tue personne. Je me laisse entièrement faire par ce mec qui a clairement de plus en plus envie de moi.

  • J’ai envie que tu me baises, là, j’en n’ai jamais vu une aussi grosse, mais je veux que tu me prennes.

  • T’es sûr ? On va pas nous entendre ? Tu risques de gueuler si tu prends trop ton pied.

  • Je tenterai de me retenir, mais je peux rien promettre, t’as vu la taille de ta bite ? Manquerait plus que tu sois un super bon coup !

  • Ça, ça sera à toi d’en juger. En tous cas, tu es un super suceur, d’ailleurs on va s’arrêter parce que je vais jouir si tu continues !

  • Laisse-moi au moins lubrifier ta queue.

Je crache abondamment sur son sexe espérant ainsi faciliter son entrée en moi. Je me redresse et caresse son torse.

  • Putain que t’es beau… j’ai trop envie de toi.

  • Moi aussi, ma bite est raide à cause de toi, j’ai envie de te défoncer maintenant. J’espère que t’es prêt, je suis pas un doux.

  • Toujours prêt pour me faire prendre, vas-y, donne-moi tout.

  • Oh crois-moi je vais tout te donner.

Il me pousse contre la paroi, me retire le bas de mon uniforme et lève une de mes jambes. Il crache à son tour dans sa main et m’étale sa salive contre mon trou, et un peu à l’intérieur. Son gland suit et s’immisce dans mon intimité.

  • Oh putain, on m’a jamais pris comme ça, par « devant », oh mon dieu, rentre en moi, allez.

Il pousse lentement et je le sens s’enfoncer, centimètre après centimètre. Il arrive au bout et je suis dans ses bras musclés, son visage contre le mien, son corps contre le mien, son énorme sexe dans mon anus dilaté au maximum et vibrant d’excitation. Il me donne un brusque coup de hanche. Je ne l’avais pas vu venir. Puis un deuxième, puis il accélère et garde ce rythme effréné. Je me fais troncher par ce mâle qui a choisi de se vider les bourses en moi, juste parce que j’ai su le flatter comme il fallait. J’étais pas mal fier de moi, en fait. Je me suis déjà fait niquer par pas mal d’hétéros, mais là c’est une première. Qu’il est doué en plus. Sa queue uniformément large et son gland fuselé se frayent un chemin dans mes entrailles. Je me sens complètement sous son emprise, je suis à lui, le temps de notre coït. Mon anus sert de réceptacle à son excitation démente et je l’accepte. Je suis accroché à son cou et il commence à transpirer. Soudain il me porte et place mes cuisses de part et d’autre de son bassin. Encore une première. Il me soulève avec aisance, grâce à ses bras forts et me pénètre d’autant plus profondément. Je vois des étoiles tellement il s’y prend bien. Il y va fort, il va loin, avec des coups de hanches à l’allure d’une mitraillette.

  • Oh continue, c’est trop bon, vous les hétéros vous savez y aller sans retenue, je te sens en moi, vas plus loin encore, oh oui

  • Je vais faire de la bouillie de ton trou du cul, je t’ai dit que j’y allais pas de main morte. Je vais te montrer ce que je sais faire.

À ma grande surprise, il augmenta encore la cadence, je ne savais que c’était possible. Je suis attaché à son cou, comme pour ne pas tomber. Je sens qu’il va jouir. J’ai la tête qui tourne.

  • Oh oui défonce-moi, jouis en moi, balance-moi ta purée de mâle dans mon cul.

  • Je vais te remplir comme il faut, oh, je viens, sens mon sperme monter en toi et prends tout

  • Oui, vide-toi entièrement dans mon trou !

Je le sens se retenir de hurler pendant son éjaculation qui ma foi a l’air puissante, puisque je sens chacun des jets au fond de mon trou du cul. Il n’avait toujours pas fini de me donner des coups de reins. J’ai l’impression d’avoir été inséminé par un taureau sauvage. C’est un peu ce qu’il s’est passé en y repensant. Il se retire de mon cul et me dépose au sol. Avant que son sperme ne puisse s’écouler de mon trou usé, il vient placer trois doigts pour me branler le cul huilé de sa propre semence alors que j’essaye de me faire jouir à mon tour. Il ne faut pas beaucoup de temps et je me vide sur le sol de la cabine. Par chance, nous n’avons rien souillé autour de nous, à part cette flaque de sperme chaud. Nous nous rhabillons en silence. Je jette un œil dehors, toujours personne. Nous sortons discrètement et nous enfuyons chacun de notre côté. J’étais un peu déçu qu’il s’enfuie de la sorte. Il devait avoir honte.

Je suis parti dans les toilettes me nettoyer, en espérant le revoir… Entre temps, je ne me suis pas assis de la journée. Le soir à la fermeture, il revient, dans une nouvelle tenue. Il me raconte qu’il avait eu besoin de se doucher dans les vestiaires de sa tour. Il m’a promis qu’on se reverrait, mais pas ici, et m’a laissé son numéro de téléphone. 

 

 

  tumblinwithhotties: Bravo Delta

Par claudio - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Vendredi 7 février 5 07 /02 /Fév 14:39

 

 

>Et mon ex pendant ce temps-là ...

Earrings and Piercings: The easiest things to lose at an orgy. They’re a bitch to find once they’re lost so plan accordingly. Or just take them off prior to sex.

 

 ui, moi Marc D. je suis devenu(e) la femme de Didier, mon Didou, mon mec… Mais, il faudrait que je m’explique. J’avais 20 ans, employé de bureau, sans grand avenir et surtout malheureux en amour. L'ai-je laissé voir? Je croyais aimer une fille, Chantal, oui, mais elle m’aimait bien, mais en tant que copain, voire de colocataire, elle avait fait de mon appart une sorte de pied à terre, rien de plus… et puis un soir...

Coup monté ou coup arrangé ??? En ce cas Chantal aurait décelé dans ma nature des tendances homo... Chose qu'elle avait dû remarquer chez Didier aussi ??? puisqu' elle avait fait quelques allusions sur Didier du genre : "...on dit de lui, qu’il serait un peu homo". En ce cas cela ferait de Chantal une marieuse de mecs. Qui sait faire les bons choix, fabriquer un coupe homo bien assorti. Je n'arrive pas à le croire complètement...il y a des femmes comme ça et pas sectaires* ni bêtement féministes qui veulent le VRAI bonheur des autres, à commencer par leurs ex...et pour sûr GAY FRIENDLY ? 

*Au fait quel serait le féminin de "macho" ? hihi

..

 

 

Elle était venue passer la soirée, mais avec son amant du moment, Christian, et un pote, Didier. Cela faisait "la salope"+ son amant+ le cocu plus le témoin....Je vais vous démontrer que je me trompais.  La soirée se passe bien, mais on boit un peu, voire beaucoup ! Ils flirtent sans retenue, il fait chaud… je suis gêné, mais aussi troublé, surtout que Didier, se met à l’aise, il tombe le maillot, le jeans et exhibe son corps d’athlète, sportif le garçon, le torse velu, des pectoraux… je ne peux m’empêcher de le regarder, de l’admirer, surtout que moi, je suis plutôt du genre fluet, voir androgyne. Allons bon, je regarde les hommes, moi maintenant ? Il sent mes regards et me sourit, je suis de plus en plus gêné alors je remets des tournées…

Pas question pour eux de rentrer dans cet état alors j’héberge tout ce beau monde. Chantal prend la chambre d’amis, avec bien sûr Christian… Je laisse le fauteuil à Didier et je vais dans mon lit. Après une demi-heure, on entre dans ma chambre : Didier. Il m’explique que le fauteuil c’est un casse dos ! Il me demande si je ne pourrais pas lui laisser un peu de place, après tout nous sommes entre garçons… Je ne peux qu’accepter bien sur.

— Mon lit est en 120, alors nous essayons de nous faire petits.

Mais pas évident… J’éteins la lumière, mais je ne peux trouver le sommeil, je suis troublé, je sais ce que l’on dit de lui, qu’il serait un peu homo et cela me trouble. C’est vrai qu’il est beau garçon, je repense à son corps musclé… Nous entendons dans la pièce d’à côté le couple qui fait l’amour, des cris, des râles… Ma respiration se fait courte, et celle de Didier aussi… Je me retourne, lui tourne le dos et son corps est contre le mien… Le reste se fait tout seul… Il se colle contre moi, commence à me caresser, le dos, le bas du dos.

— Mais qu’est ce que tu fais ?

Il ne répond pas, enfin pas vraiment, il glisse sa main sur mon ventre, descends et touche, puis caresse ma verge, je suis en érection ! Je ne sais comment me sortir de ce mauvais pas, et je me demande surtout si je veux en sortir ! Surtout, qu’il triche, Il lâche ma bite et me caresse le bas-ventre, glisse entre mes cuises, c’est comme un électrochoc ! Un spasme me parcourt, et ce faisant mes fesses se collent contre lui et je sens sa bite contre mes fesses. Je devrais me sauver, mais je me colle contre cette chose, chaude et douce… Il me retourne et nous sommes l’un contre l’autre, nos verges se mélangent, et il pose ses lèvres sur les miennes. J’ouvre la bouche et sa langue me pénètre, s’enroule autour de la mienne, j’essaie de lui rendre la pareille, mais je ne peux, ni ne veux. C’est lui qui m’embrasse et je me laisse faire, c’est délicieux, je me sens mou, sans volonté, je me donne à lui… Il me met sur le dos, se couche sur moi, il est fort, volontaire… Je crois, je sens que même si je le voulais, je ne pourrais lutter avec lui, il est fort, massif, je suis prisonnier de ses bras…

Il tend la main, allume la lumière… son regard sur moi… Je me sens fondre, je suis sans résistance. Il passe une main, écarte ma verge, la colle entre nos ventres, et glisse la sienne entre mes cuisses tout en m’embrassant et me caressant la poitrine, d’abord doucement puis avec fougue. Il me pince les tétons, il me fait mal, mais cette douleur est délicieuse. Il commence à se branler entre mes cuisses et comme en même temps ma bite se caresse contre son ventre si doux, ses poils me caressent… Je sens son corps se tendre, et un liquide chaud couler entre mes cuisses, et je jouis moi aussi ! C’est merveilleux et je ne peux m’empêcher de crier mon bonheur ! Il pose une main sur ma bouche.

— Chut, se sont les femmes qui crient en jouissant ; quoique…

Il sourit, descend sa main sur mes fesses, me soulève et glisse, un doigt dans le cul, puis deux puis trois… Aïe !

— Tu es bien serré, j’adore. Tu vas avoir un peu mal, mais n’aie pas peur, je serai doux…

Attends, mais il veut m’enculer ! Il semble lire dans mes pensées. Il me retourne, il est fort, mais je ne résiste pas trop… Sa bite à repris de l’énergie, je sens son gland se coller contre mon petit trou. C’est étrange, j’ai peur mais j’ai surtout envie de me faire prendre… Alors je me laisse faire, j’obéis à ses consignes, il me guide. Je m’ouvre au maximum, lorsque son gland commence à me pénétrer, j’ai mal, mais bien moins que je ne le craignais et lorsque la tête est passée et que je me sens envahir par son sexe, je découvre le bonheur, cette chose que je sens vivre en moi… Il le ressent et commence de longs va-et-vient en moi…

— Suis mon rythme, cela viendra tout seul. Je sais que tu aimes, dis-le moi. Tu aimes te faire enculer ?

— Oh oui, continue !

Et il continue, moi je perds assez vite pied et je le prends aussi. C’est vrai que je le devine assez vite et nous nous complétons, je me donne tout entier, enfin tout, plutôt toute, car il me dit des choses… Il me traite de putain, de salope, et cela me donne le frisson. Je plonge dans son délire car c’est aussi devenu le mien… Et quand son corps se cambre, je devine qu’il va venir. Alors je me resserre en cadence pendant qu’il se vide en moi… Il se retire doucement et je regrette de ne plus sentir son membre en moi ! Il regarde sa verge, aïe, il s’est souillé en m’enculant. Il me regarde, la met devant mon visage.

— Il va falloir apprendre à te préparer à accueillir ton homme. Va pour cette fois, mais nettoie-moi !

Il a raison, mais je ne pensais pas que cette nuit serait celle de mon dépucelage ! Alors je commence à lécher son tronc, puis le gland, c’est un peu écœurant au début, mais finalement, c’est bon de manger ces petites boulettes, de prendre sa bite dans ma bouche, ma bouche est comme un autre sexe, qui accueille sa virilité, et quand je dis virilité… Il se reprend aussi vite. Bon sang, quelle bête, et j’ai pris tout cela dans mes fesses, pas étonnant que le passage ait été un peu douloureux ! Il ne tarde pas à cracher, et moi à avaler, enfin a avaler, je commence par un haut-le-cœur, puis je découvre le goût dans ma bouche… Pas désagréable du tout, même bon, alors je mâche lentement, la masse odorante qui se liquéfie et je la fais tourner dans ma bouche et je l’avale doucement, il me regarde en souriant :

— Alors tu en penses quoi, du miel de ton homme ?

— Oh, oui ! Que c’est bon !

Au fait, il ma dit mon homme ? Je dirais bien que c’est n’importe quoi, mais je ne peux que m’avouer qu’il a raison, je n’ai pas été viril sur ce coup là ! Et en plus j’ai adoré me donner !

— Hé bien, il va te falloir attendre demain matin, maintenant je suis fatigué et nous allons dormir !

Dormir ? Mais il veut régenter, même nos horaires ! C’est lui qui fait l’homme et maintenant il me commande. Mais il a raison, et puis je suis sans volonté propre, j’aime lui obéir, je le sens fort et je sais qu’il le fait pour mon bien. Alors, je me colle contre lui, la tête sur son torse, entre ses bras et avec encore le goût de son sperme en moi, je me sens bien. En sécurité contre son torse musclé, je m’endors. Mais peut-être suis-je un peu brusque, je renverse la lampe qui se brise au sol…

Le réveil est un peu douloureux après les excès de la veille… Je suis un peu perdu, mal à la tête, mais je me rappelle bien cette nuit… Et si j’avais un doute, mes fesses douloureuses et ce goût dans ma bouche… Par contre je suis seul, j’entends du bruit en bas, ce doit être Didier, il va falloir que lui parle, que je mette les choses au point, lui dire que ce fut une erreur… Ma vie est bien assez compliquée comme cela !

Je suis nu, m’habiller… Je veux allumer mais la lampe est brisée… Je cherche à tâtons mon slip sous le lit, le trouve, et le passe dans le noir, un peu serré peut-être, mais je n’y prête pas attention. C’est vrai que je bandouille et je descends dans une sorte de brume. J’entre dans le salon, Didier est là, il est là mais il est complètement nu ! J’en reste figé. Qu’il est beau ! Sa bite est en semi érection, il me regarde et me sourit, me prend dans ses bras par la taille et m’embrasse. Je me laisse délicieusement faire et je réponds à sa langue qui fouille ma bouche… Franchement en me comportant comme cela, comment lui dire que ce fut une erreur…

La porte s’ouvre, ce doit être Chantal et son copain. Je voudrais reprendre une tenue plus correcte, mais si Didou arrête son baiser, avec sa bite en érection… Il se tourne vers eux, sans gêne, et sort se vêtir un peu, non sans me peloter les fesses au passage ! C’est comme un choc, je me cabre sous sa caresse !

— Je t’attends dans la chambre, ma chérie ! Pense à laver ton intimité !

Je rougis, Chantal, le remarque et me sourit.

— C’est bien, tu sembles avoir trouvé ton bonheur. Remarque, je m’en doutais mais par contre, tu penseras à me rendre mon slip...

Son slip ? Je me regarde. Bon sang ! Dans le noir, j’ai pris un des siens, une adorable petite culotte de dentelle noire ! Cela ne s’arrange pas pour moi ! Je bredouille des explications et je courre me changer. Après un passage aux toilettes, cela gargouille dans mon ventre. En tirant la chasse, je comprends, en plus de quelques horreurs internes, je vois une grosse masse blanchâtre, le sperme dont mon amant m’a rempli ! Il a peut être été rapide mais il a été efficace !

Cela me fait penser que Didier m’a demandé de me laver l’intime, oui mais comment ? Mais oui, j’avais eu des problèmes intestinaux et il m’en reste une poire à lavement… Et c’est vrai qu'en plus à l’époque, j’avais trouvé cela encore assez sympa. Je ne savais pas que… Alors, je fais, en fait je sais maintenant que c’est bien, et comme en plus le tuyau est beaucoup plus fin que la bite de Didou… Au fait, je pense à lui comme Didou. C’est vrai que maintenant nos rapports ont bien changé ! Par contre pour ressortir et aller dans ma chambre me changer… Surtout que j’ai lavé le slip de dentelle. J’attrape une serviette, m’en ceins et j’y vais. Didier est là, il me regarde entrer en souriant. Il a ouvert les volets, il vient à moi, ou plutôt c’est moi qui vais à lui. Il faut dire que j’ai devant moi mon amant, merveilleusement nu, en érection…

— Et en plus, tu mets une jupe…

Une jupe ! Comment il y va lui ! Mais il passe les mains sur, puis sous ma serviette, y glisse ses mains, l’écarte et me caresse les cuisses, fait tomber le tissu au sol ; finalement encore assez pratique comme vêtement… Il prend ma verge qui grossit, commence à me branler, doucement puis plus vite et je ne tarde pas à éjaculer dans sa main… Il me tend sa paume ouverte et me dit :

— Lèche…

J’obéis, bien sûr et une fois terminé, comme sa verge est là, devant moi, je l’engouffre dans ma bouche… J’adore nos goûts mélangés, mon sperme et sa mouille ! Je n’ai pas encore une grande expérience dans ce genre de rapport mais j’apprends vite. Je fais de lents va-et-vient et lorsque son gland se repose un peu, je le caresse avec ma langue. Il semble adorer lorsque je titille son triangle juste sous la tête, je ne suis pas déçu, à chaque fois il mouille et je peux déguster le doux liquide qui en sort… Superbe, mais ces préliminaires ne lui suffisent pas longtemps. Il passe un bras vigoureux sous mon ventre et je me retrouve à quatre pattes… Il colle sa verge contre mes fesses et son gland tout humide n’a aucune difficulté à se glisser en moi… J’adore !

Et pendant un temps merveilleux, il sait se montrer le plus merveilleux des amants, parfois doux, parfois ferme, mais toujours viril et dominant et je me plie à tous ses désirs, même lorsque il me parle comme à une femme, comme à sa femme… Cela me trouble plus que je le voudrais, en fait cela donne du piquant à nos étreintes, me donne encore plus de plaisir à me donner à lui… Nous ne ‘redescendons’ de notre délire érotique que deux heures plus tard… je suis épuisé. On se sourit, il est onze heure et Didier me demande d’aller faire à manger. Ah bon, c’est à moi de faire à manger ?

— C’est normal que les tâches domestiques te reviennent, non ? C’est qui la femme…

Je trouve qu’il a raison, mais qu’il y va fort, mais… Mais j’obéis, je passe un slip, mais :

— Je préférais celui de ce matin…

Je commence à le connaitre et je vois ce qu’il veut dire, mais je n’y peux rien, mais cette petite chose de dentelle, n’est pas à moi…Mon jean, un tee-shirt long et je descends. Nous sommes seuls, Chantal et Christian sont sortis, chic, j’aime bien vivre ‘peinard’ surtout maintenant avec mon ‘mec’… Je suis un peu interloqué, par ce que j’ai pensé tout haut, et pourtant je dois admettre la vérité, Didier de copain, est devenu ‘mon mec’ et j’adore… Je ferme les yeux et je revois nos étreintes, sa belle bite, je retrouve son goût dans ma bouche… Super ! J’aime ma nouvelle vie, juste un peu de mal à admettre complètement d’être celui à qui il parle au féminin, mais qui aime cela ! Mais par contre, question ménage, la ‘vraie fille’ n’assure vraiment pas, en général le désordre ne me gêne pas, mais là si ! Que va penser Didier, que je ne suis ’bonne’ que au lit ? C’est vrai que c’est une de ses expression préférée, ‘tu es bonne, ma chérie’ cela me choquait un peu les premières fois, mais je prends cela maintenant pour un compliment.

Je commence par ranger tout cela, et en m’activant je me rends compte que je roule et serre les fesses, évidement, avec tout ce que mon amant à éjaculé en moi… Alors passage aux toilettes, effectivement il a joui abondement dans mon ventre… Une pensée émue, en repensant à ces moments de plaisir… plaisirs, plaisirs, il faut que je me prépare aussi pour la prochaine, alors salle de bain. Je remarque que Chantal a repris son petit slip noir, dommage… Par contre je lui pique son parfum, j’adore cette odeur, avant je n’osais pas mais maintenant, je pense que cela plaira à mon ‘Didou’…

Retour dans le salon, mais je suis pieds nus et je n’ai pas envie de mettre des baskets qui puent… Sous le fauteuil, je trouve la solution : les trotteurs noirs de Chantal, on fait la même taille… C’est vrai que c’est agréable à porter, légères, souples et en plus je dois l’admettre assez mignonnes… Elles donnent une jolie forme aux pieds, le seul problème, si problème il y a, c’est qu’ils ont des petits talons, oh pas bien hauts, cinq centimètres. Mais assez rêvassé, j’ai du travail !

Par contre si elle a oubliée ses chaussures, elle a aussi laissé traîner un petit slip blanc… je le ramasse, le tiens en main et je repense à ce que ‘mon homme’ là-haut m’a dit sur mes slips de mec… je n’hésite pas, je me déshabille change de slip, mais au moment de remettre mon jean, j’hésite, il fait bon, voire chaud et je suis seul, alors. Et puis mon tee-shirt est un peu long… donc c’est dans cette tenue que je termine mon ménage, lance le repas. Un dernier regard sur la pièce, il manque quelque chose, mais oui ! Et je vais au jardin cueillir des fleurs que je mets dans un vase. Pas mal du tout, c’est propre, une touche florale et tout à changé !

Et c’est dans cette tenue que Didier, me découvre en descendant. Il sourit en me voyant et me prends dans ses bras, gros bisous, et il me colle la main aux fesses, et cela c’est un truc auquel je ne résiste plus désormais, une bouffée de chaleur dans tout le corps, mais surtout dans le ventre… J’ai envie de lui et je colle une main sur son entrejambe que je découvre gonflé… Maintenant, la suite… je me retrouve couché sur la table, mais lui faisant face, un problème ? Non, car il me fait découvrir un autre plaisir, il prends mes jambes, les passe autour de son cou, et il colle sa bite en pleine érection contre mon petit trou, je dis petit, car dans cette position, j’ai du mal a bien m’ouvrir, mais ce n’en est que meilleurs… Il doit me forcer un peu, faisant entrer son gland, doucement ses yeux dans les miens… Sublime, j’adore le voir me faire l’amour, j’adore son sourire et son air vainqueur… J’ai bien fait de ‘me préparer’…

Mais une odeur de cuisine, me rappelle à la réalité, ma viande ! Il prend quand même, et heureusement pour moi, le temps de me finir. Ah, ce baiser amoureux, pendant qu’il jouit en moi, et quand je dis, jouit, je devrais dire quand il m’inonde, je compte au moins deux longs traits, plus une dernière poussée, qui n’est pas la plus mauvaise ! Je voudrais courir directement à la cuisine, mais il me dit de mettre ‘mon’ joli slip, il n’aime pas que je montre ma petite queue, quoique, comme j’ai joui aussi, elle ne soit pas bien grande ! Donc je lui obéis, après tout, c’est qui l’homme ?

Petit repas sympathique que je sers, et mange à coté de lui, main sur ma cuisse et même plus haut…

— C’est bien de te mettre en robe, mais tu devrais épiler tes jambes !

Il a raison, comme toujours, mais je pensais à tort que comme je n’ai que trois poils blonds sur les cuisses… Aussi après le repas, je dessers la table, vaisselle, et je vais à la salle de bain, et je me rase les jambes, mais aussi le pubis… Retour dans le salon, je le rejoins sur le canapé, il passe sa main sur mes jambes, remonte tout en haut découvre ma ‘petite’, toute nue et me fait un bisou dans le cou.

— C’est bien ma chérie, tu sais obéir et faire plaisir à ton homme. Maintenant viens sucer la bite de ton mari.

C’est plutôt surréaliste, comment il me parle et surtout comment je lui obéis ! Mais, j’aime et je me plie à son désir. Je me penche sur lui, il libère sa bite, qu'elle est belle ! Il a dû s’exciter en m’attendant car il est en érection et son gland est tout humide. Je me régale de son odeur, de sa mouille, je le lèche doucement je le suce, glace ‘parfum d’homme’ et il n’est pas long avant de me retourner et de me pénétrer sans douceur ! Je suis un peu déçu mais je respecte son désir et le prends comme un compliment. Et puis ce n’est vraiment pas désagréable, je me sens encore plus ‘chienne’…

Mon amant m’honore et je suis sa salope, c’est d’ailleurs ce dont il me traite et je ne lui en veux pas, bien au contraire !

L’après-midi, se passe ainsi, je crois bien qu’il y a eu encore trois assauts réussis… je suis comblé et heureux/se… et je ne pense plus au temps qui passe. Le temps qui nous rattrape…

Vers 19h, la porte s’ouvre… Chantal et Christian… Je suis troussé jusqu’à la taille et occupée à faire des bises sur la verge de mon homme, verge un peu en ‘berne’ après nos ébats… Instant de stupeur de la part des arrivants, mais Chantal se reprend vite :

— Alors, les amoureux ? tout semble bien se passer, mais au fait ma 'petite chérie', si tu arrêtais de me piquer mes culottes ?

Je rougis comme une pivoine et essaye de prendre une tenue plus 'sage' et ne peux que marmonner des mots sans suite. Elle prend pitié de moi.

— Allez, ce n'est pas grave, je crois que je vais te la donner, et tu auras même le soutien-gorge! Enfin donner, disons que tu m'achèteras un autre ensemble… Au fait, on mange quoi? Nous vous avons ramené des beafs… Puisqu'il y a maintenant une autre femme à la maison, elle pourra s'en occuper! Au fait bravo, pour le ménage, cela te fait du bien de changer de bord!

Je ne sais pas comment il faut le prendre mais je me sauve en cuisine, c'est trop d'un coup! Surtout qu'en plus, alors je suis presque sorti, j'entends Christian :

— Et en plus, 'elle' bouge bien!

C'est vrai, j'avais déjà remarqué, que les talons plus les pénétrations anales me donnent une démarche 'chaloupée' que je ne peux contrôler!

La suite se passe sans incident, toujours les mains de mon homme sur mes cuisses, il me rend folle… Oui folle, car je ne peux pas dire autrement, j'ai envie de lui, de sa bite! Fin du repas, nous ne nous attardons pas car mon Didier triche : il me caresse les fesses dès qu'il le peut et je suis 'en braise'! Et puis demain, je dois aller au bureaui…

 

 

 

Oui, Didier, je tenais à te dire merci.

Marc 

 

Par Marc - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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