Partager l'article ! handicap : Y A PAS DE LEZARD ! ILS SONT BI .: RECIT REEL Avoir un(e) ASSISTANT(e) S ...
RECIT REEL
Avoir un(e) ASSISTANT(e) SEXUEL(le) c'est bien légitime pour eux- elles-"les handis" ESCORT POUR HANDI surtout comme Loic...lequel, laquelle d'entre nous ne voudrait pas l'être ou le devenir? Plus tard, "qui vivra verra" mais beaucoup de liaisons de même sexe sont vécues au départ en protestant sur son hétérosexualité...ainsi, nos deux compères... LOIC ET MARTIN |
Je sais, j’ai eu «de la chance». Une nuit passée avec des copains au début des grandes vacances dans le mobil-home de mes parents, partis depuis peu de temps, quelques canettes de bière alors que je n’en ai pas du tout l’habitude, un mégot mal éteint d’une de mes premières cigarettes (et la dernière...) tombé sur la moquette et ce fut l’incendie, sournois au début mais qui s’est rapidement développé du fait de ma léthargie.
Quand je sortis de ma torpeur, le mobil-home était embrasé, la porte inaccessible et la température si élevée que la peau de mon visage cuisait littéralement. Affolé, suffoquant à cause de la fumée, j’ai défoncé à coups de poings la paroi incandescente, là où le feu l’avait déjà fragilisée. Je suis ainsi parvenu à sortir sans même sentir la douleur et j’ai à peine vu les voisins alertés par les flammes qui me roulaient dans l’herbe humide pour éteindre le feu qui prenait à mes vêtements, avant que je sombre dans une semi inconscience... Une sirène, la bienfaisante morphine, puis une salle d’opération.
J’ai appris après, de la bouche de ma mère en larmes, que je m’en étais sorti par miracle. Mon corps était intact sauf une brûlure superficielle au visage et des cheveux grillés - grâce à mes sauveteurs qui avaient éteint les flammes de mes vêtements. La figure me cuisait un peu, mais une crème apaisante me soulageait. En revanche mes mains étaient dans un état catastrophique et une reconstitution s’est avérée nécessaire, faite par un chirurgien de renom. Je ne souffrirais – sauf complication imprévue - d’aucune séquelle mais leur immobilisation pour cinq semaines était incontournable, après dix jours d’internement en service des grands brûlés. J’avais au bout des bras deux «poupées» dont on devait refaire les bandages trois fois par jour et il m’était impossible de faire quoi que ce soit. Je subissais en plus des démangeaisons pénibles, signe d’une bonne cicatrisation, paraît-il.
Mes parents ne sont pas cons. Le mobil-home était assuré, ils avaient gardé leur fils unique, ils comprenaient que la punition naturellement infligée était largement à hauteur de la sottise. J’ai donc échappé aux remontrances et nous nous sommes organisés dès la sortie de l’hôpital. Le matin, mon père me lavait avant qu’un VSL m’emmène à l’hôpital pour le renouvellement de mon pansement, Ensuite je revenais à domicile où je patientais parfois seul – quand des copains ne pouvaient se déranger. Ma mère rentrait me faire manger, becquetée par becquetée à midi, je revenais à l’hosto pour changer les «poupées», on me ramenait chez moi jusqu’au soir; j’avais chaque après-midi et souvent le matin la visite de mon ami Martin que je connais depuis toujours: j’ai su plus tard qu’il avait fait annuler son séjour d’été, sans me le dire, pour rester à mes côtés pendant cette période. Retour le soir à l’hosto pour les soins, puis quand mon père rentrait, toilette; ensuite dîner, etc. Sinon, dans la journée, télé, parties d’échecs avec Martin qui déplaçait mes pièces selon mes indications. Quasi impossibilité de lire. Bref, l’emmerdomètre affichait le niveau maximum - sauf quand mon meilleur ami était là avec sa bonne humeur perpétuelle.
Imaginez vous ce que c’est que de vivre sans vos deux mains? Pour la douche, mon père me mettait entièrement nu, cachait les «poupées» (nom des gros pansements) dans des sacs étanches et m’aidait à entrer dans la baignoire où il me savonnait avant de me rincer. Humiliant, à 15 ans, surtout quand cela provoquait des bandaisons intempestives qu’il tentait de ne pas voir mais qui demeuraient, provoquant de graves frustrations. Je vivais au cours de la journée en peignoir et en caleçon ample - ce qui me permettait, en me tortillant pour baisser ce dernier – de satisfaire mes besoins naturels en m’asseyant sur le siège des toilettes. Pour pisser, cela allait mais pour déféquer, impossible de me nettoyer seul. Je tentais donc de le faire avant ma toilette et mon père me lavait le cul avec un torchon pour éviter un contact par trop intime. L’ambulancier qui conduisait le VSL m’aidait à enfiler un jogging quand personne n’était avec moi, le temps des déplacements.
Ce qui était le plus pénible, c’était encore l’impossibilité de me masturber. Vous imaginez, au seuil de l’adolescence, la perspective de ne pas se branler pendant au moins cinq semaines? Je pratiquais la chose depuis trois ans déjà, sans y attacher beaucoup d’importance d’ailleurs jusqu’à ce que je remarque à quel point la difficulté me frustrait. Alors qu’avant l’accident je me soulageais machinalement deux ou trois fois par jour (toujours seul et pudiquement), le manque m’obsédait littéralement: je ne pensais «qu’à ça». Au bout de quelques jours, j’imaginai un substitut: poser un torchon sur mon lit, me mettre nu à plat ventre et tenter de jouir en me frottant dessus. Je parvenais certes à éjaculer, à baisser la «pression», mais la jouissance était des plus médiocres.
C’est Martin qui me «sauva» après une semaine de cet enfer. Il avait la clé de la maison (j’aurais été incapable d’actionner la serrure) et un après-midi où justement je me livrais à cet onanisme du pauvre, il entra. Il dut appeler d’en bas, mais absorbé par la recherche de la conclusion forcément frustrante de mon «activité» je ne l’entendis pas et il pénétra dans ma chambre au moment précis où je me frottais en geignant, en sueur.
Je sursautai, rouge de honte, Cherchant quelque chose à dire, confus, je me taisais quand il éclata de rire. Il faut dire qu’autant je suis pudique, autant il est extraverti sur les choses du sexe, même un peu exhibitionniste dans les vestiaires ou dans toute circonstance bonne à en parler, à se montrer, à délirer sur la chose. Cela durait depuis un an environ et m’excitait intérieurement, quoique je cachais soigneusement mes sentiments. J’aurais obtenu un billet de vingt euros à chaque fois que je l’ai traité d’obsédé, je serais millionaire!
Pourquoi cette timidité et cette réserve sur le sujet? Je l’ignore. J’étais certes fils unique mais mes parents m’avaient élevé de façon ouverte, j’étais sociable, sportif... Je n’étais certes pas le mieux doté de mes camarades (on me donnait même un peu moins que mes quinze ans) mais il y avait «pire» et si j’étais encore imberbe – sauf au pubis – on me trouvait mignon et pas trop gamin. Des filles m’avaient même déjà discrètement fait comprendre que si je faisais le premier pas, je pourrais peut être «sortir» avec elles... mais cette foutue timidité avait retardé le cours des choses.
Mais revenons à ce moment, de gêne inimaginable...
Mon ami éclata de rire, spontanément, avec fraîcheur et gentillesse.
— Putain, mais c’est vrai, j’y ai pas pensé, tu peux plus te pogner, mon pauvre!
— Ouais! bah c’est pas la peine d’en rajouter, dis-je tout rouge en tentant maladroitement de me rajuster
Il y eut un moment de silence et doucement il ajouta, le sourire aux lèvres mais pas du tout en se moquant:
— Je suis ton ami, non? Pourquoi tu m’as rien dit? À qui tu peux demander de te dépanner, sinon à moi? Je sais que t’as pas de copine! Pas à tes vieux, quand même!
— Tu déconnes, mec, répliquai-je. Je suis pas pédé!
— Mais qui te parle d’être pédé? T’as besoin de te branler comme tous les mecs, t’as pas de main, je te propose la mienne, c’est tout. En tout cas, si c’était l’inverse, c’est à toi que je l’aurais demandé parce que je sais que t’es mon ami et que tu le répéterais pas!
Je ne répondis rien, mais ma verge parla pour moi, se dressant de façon éloquente. Martin s’assit à côté de moi, et murmura:
— Ferme les yeux, pense à rien ou à quelque chose qui t’excite si ça peut t’aider.
Je secouai négativement la tête, mais sans rien dire. Une semaine de frustration, la perspective d’un mois de plus au moins (parce que les pansements retirés, je n’en aurais peut-être pas fini de suite), cela me trottait dans la tête. C’est inconsciemment que j’écartai les jambes... sans fermer les yeux. Martin sourit, et caressa ma queue d’un doigt léger, ce qui provoqua un gémissement de surprise. Il la saisit et je la sentis palpiter, m’envoyer des ondes de plaisir comme jamais je n’étais parvenu à en créer seul. Il faut dire que personne ne m’avait jamais touché «là», sauf mon père pour la toilette et dans un tout autre contexte.
— Putain, rigola-t-il, elle est chaude et remuante, elle en a besoin la pauvre!
Son autre main caressa mes bourses et là je lâchai un râle de plaisir, pendant qu’il commençait à me masturber avec tendresse. Je me tordais de droite à gauche sur le lit.
— C’est bon, hein, Loïc, sourit-il... Tout seul on en perd, des trucs... Moi je l’ai déjà fait avec un autre, c’est pas pareil... rien à voir!
Je soufflais comme un phoque. J’avais tout oublié de mes réticences passées, mais la tension était énorme. Il ne fallut que quelques minutes pour qu’un orgasme foudroyant me transperce, me faisant projeter d’énormes jets de sperme sur mon ventre pendant que mes abdos se crispaient et que je me cambrais, sur la nuque et les talons. Martin continuait de me caresser les couilles en tenant ma verge bien serrées, et les ondes de plaisir ne semblaient pas devoir cesser... J’oubliai toute pudeur et lui souris.
— Merci mon pote, c’était génial... Tu sais, j’en avais besoin... Rien depuis l’accident!
— T’inquiète, Loïc, on le refera, dit-il en riant. Tant que tu veux, et sois pas gêné de demander si j’y pense pas tout seul. Moi tu sais, c’est au moins quatre fois par jour alors...
Je rougis un peu car je l’imaginais en train de s’astiquer et cela me donnait de nouveaux picotements: je l’avais déjà vu à poil bien sûr, même bandé, mais jamais «en action».
— Bon, en attendant, dis-je... on se fait une partie d’échecs?
— OK Loïc, à toi les Noirs cette fois! Attends quand même que je te nettoie, dit-il en rigolant et en passant le torchon sur mon ventre avant de remonter mon caleçon.
Cette partie se déroula assez vite parce que je manquais totalement de concentration... en seize coups j’étais mat, et Martin me regardait, hilare:
— J’aurais dû proposer un gage avant!
Ce fut inconscient... je ne répondis pas mais mon regard descendit sur mon entrejambe pendant que ma tige durcissait de nouveau.
— T’en as envie, hein? Encore, mon salaud... Putain j’aurais jamais cru ça de toi le mois dernier, seulement... Loïc la pudeur qui me traitait d’obsédé! Ouais, mais moi aussi, tout à l’heure ça m’a excité grave, alors on va faire ça ensemble...
Il se déshabilla lentement devant moi, souriant, un peu vicelard, désireux de me provoquer. Une fois de plus, comme dans les vestiaires, j’avais en face de moi son corps longiligne à la peau mate et imberbe, si on excepte une fine toison pubienne que manifestement il commençait à entretenir.
— Allonge-toi bien, mec, jambes serrées!
Puis il se mit à genoux sur moi, sa queue à hauteur de la mienne.
— Putain, dis-je, qu’est ce que tu fous? On va pas faire des trucs de... des trucs de pédés?
— Oh, ça je le fais depuis un an et je me crois pas plus pédé que toi... et même si je l’étais, si ON l’était, qu’est-ce que ça pourrait foutre si ça fait du bien? Tu sais, ça s’attrape pas!
Sa main s’avança et chopa nos deux bites, unies sous la même pression. J’avais le souffle coupé de bonheur de sentir contre la mienne ce morceau chaud qui palpitait. Il nous tripotait, en commentant:
— Finalement la tienne est plus longue, oh pas de beaucoup! Et un peu plus épaisse aussi... mais je décalotte mieux, on dirait... Fais voir tes couilles (il les caressait). Ah elles remontent à fond, les miennes pendent un peu... Tu devrais te tailler la touffe un peu, le zob a l’air un peu plus long. Et moi, je me rase les couilles (rire). Remarque, t’as pas grand chose dessus!
Il aperçut le tube de crème qui m’avait servi à soulager les échauffements que j’avais eus sur le visage, dont je ne me servais plus...
— Ouais! Avec ça, ça glissera mieux!
Il nous enduisit, pendant que je suffoquais de plaisir...
— OK, Loïc, on doit être à égalité: t’as déjà juté donc en principe t’es moins excité, mais c’est ma main qui agit, pas la tienne: ça doit compenser. Je branle les deux queues collées l’une à l’autre et le premier qui crache a perdu...
Le contact de sa tige, la douceur de sa main qui enserrait les deux bites bien lubrifiées, la subtile variation qu’il imprimait dans la pression, ses caresses faites avec l’autre main sur les couilles ou les abdos, ça me rendait dingue et je voulais que ça dure, que ça dure éternellement... Mais comme il l’avait dit, nous étions excités tous deux et au bout de quelques minutes, nous explosâmes de façon absolument synchrone.
— Merde! dit-il en rigolant... Faut recommencer, égalité!
Il gardait nos bites serrées à la base pour éviter qu’elles ne ramollissent, tout en continuant ses caresses, tantôt sur moi tantôt sur lui... Ça dura quelques minutes, puis il reprit son mouvement de va-et-vient. Là, ce fut plus long, il fut obligé d’insister, d’accélérer le mouvement. Je le voyais en sueur, bouche pincée, ses abdos crispés, haletant... Cette fois, de peu, c’est lui qui jouit avant moi, en criant de joie...
— Merde, j’ai perdu, rigola-t-il. C’est quoi mon gage?
J’étais complètement désinhibé.
— Pauvre vieux, t’es condamné à refaire ça demain, rigolé-je en même temps que lui, qui par jeu prenait un air boudeur.
Puis j’ajoutai, après une longue hésitation:
— Martin, euhh, s’il te plait...
— Oui?
— Je dois puer le foutre à cinq mètres et c’est mon père qui me lave. Ça t’emmerderait de m’aider à prendre une douche? Sinon il va se poser des questions.
— OK mais comment tu fais?
— D’habitude, il me protège les bandages avec des sacs en plastique qu’il ferme au sparadrap et me lave dans la baignoire; mais sous la douche, ça doit pouvoir le faire...
— Bah y’a pas de lézard! En plus je la prendrai avec toi, parce que j’en ai bien besoin aussi...
Il goûta une des traces de sperme sur sa poitrine...
— Tiens, ton foutre est moins salé que le mien!
Je rougis un peu, parce que je n’avais jamais goûté à ma semence.
— OK mec, on y va?
Après avoir bien protégé mes «poupées», il se glissa avec moi sous la douche et me savonna tendrement. J’étais vidé, donc je ne rebandais plus mais j’adorais ces sensations que j’essayais de lui rendre en me collant à lui. Ses lèvres s’approchèrent doucement des miennes... Une seconde après nos langues s’entremêlaient dans un baiser farouche, le second de ma vie - le premier avait été avec une fille, dans une soirée. Il dura une éternité...
— Martin, dis-je... Ça me fout les boules quand mon vieux me lave et que je bande devant lui; en plus je crois qu’il est encore plus gêné que moi. Ça t’emmerde si je lui demande que tu me le fasses?
— Pas de lézard, Loïc, si tu crois qu’il va pas se douter d’un truc. Tu vas présenter ça comment?
— Facile! Je lui dirai la vérité, qu’on se douche ensemble au sport, que j’ai l’habitude depuis des années. Mais tu sais, je crois qu’il sera soulagé, il est aussi emmerdé que moi. Tu restes dîner ce soir? On en causera avec mes vieux. Bon là faut que tu me sèches et que tu me passes mon jogging: le VSL vient me chercher dans un quart d’heure pour changer mes pansements. Tu m’accompagnes? Ça dure qu’une demi-heure et au retour on causera avec eux...
— D’acc! Le temps de passer un coup de fil chez moi pour prévenir ma mère...
Ils discutèrent un peu puis il revint:
— Elle est d’accord si je peux rester dormir chez toi: elle ne veut pas que je traverse la ville de nuit.
— Pas de lézard, tu l’as déjà fait...
Je rougis... Il avait souvent dormi à mes côtés mais jamais nous ne nous étions touchés... Une question me trottait par la tête... Il fallait que je me libère.
— Martin, tu crois que... je suis pédé? Parce que j’ai jamais joui comme tout à l’heure, tu sais...
Il me regarda, sérieusement, cette fois.
— Loïc, tu sais... Moi ça, je le fais souvent avec un mec. Ça m’empêche pas de triquer en pensant aux filles. Et... Bon jure-moi de garder le secret... L’année dernière... la mère de Luc a déliré et elle m’a dépucelé. Crois-moi, j’ai pas eu de mal à lui faire l’amour trois fois de suite alors que j’avais que quatorze ans et demi et j’ai adoré ça. Si j’ai pas recommencé c’est qu’elle a plus jamais voulu... et je flashe grave sur des filles! Moi je sais que je suis bi! Et toi, t’as fait des trucs avec une nana?
Je rougis.
— Rien encore... Cathy m’a bien branché à la soirée de mon anniversaire, on s’est même roulé un palot, elle m’a tripoté la bosse et moi ses seins, j’étais fou d’excitation, mais j’ai pas osé...
— Bah on dirait que t’es bi aussi, rigola-t-il. Et très con parce t’as une gueule d’ange et un petit corps d’athlète, et en plus tu hais te fringuer, et t’es pas con. Je vois bien comment elles te matent. T’as déjà raté de sacrées occases, je suis sûr. Bon, au final c’est génial! À nous les nanas et quand on n’en aura pas, on se fera plaisir ensemble. De toute façon, Loïc, ajouta-t-il plus bas, enfin sérieux, t’es mon meilleur ami, avec ou sans le sexe. Mais je crois qu’on oubliera jamais cet après-midi, quoiqu’il arrive.
On s’embrassait quand la sonnette retentit. C’était l’ambulancier. FIN
A TOUS LES COMPLEXéS :
Sois bon envers toi-même. Tu es un enfant de l’univers, tout comme les arbres et les étoiles: tu as le droit d’être ici. Et même si cela n’est pas clair en toi, sois assuré que tout se passe dans l’univers selon ses règles propres. Par conséquent, sois en paix avec ton Dieu, quelle que soit en toi son image. Et par-delà tes peines et tes aspirations, au milieu de la confusion de la vie, sois en paix avec ton âme. Max Erhmann Le manuscrit de Baltimore.1927
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