SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES

Jeudi 10 avril 4 10 /04 /Avr 00:10

sur la route ...les parkings de drague

       

  

Moi c'est Jori  Je trouve que les mâles actifs virils sont assez rares, et moi j'ai toujours aimé les hommes de 40 ans. Ils dégagent un quelque chose, de bien. Ils ont du goût, une odeur de mâle, leur queue est excellente à sucer et ils aiment qu'on les papouille, qu'on les suce, qu'on les tripote. En plus, je les préfère routiers, alors là pour moi c'est super aussi je vais vous raconter une de mes aventures.

Ce qui m'est arrivé, il y a peu de temps en fait. C'était jeudi soir à 19h. J'habite sur Avignon et je revenais de Marseille, aussi avant d'aller voir ce qui se passait sur le parking du pont de Bonpas, sortie Avignon sud (84), je me suis arrêté sur les 4 parkings avant de sortir. Sur les 3 premiers, personne. Sur le quatrième, des voitures, un vieux (mais très vieux) dans un camion. Il n'est pas resté longtemps... et est parti faire sa route. Les 3 homos, sont partis également. Je suis seul sur ce parking. Je me demande si je vais rester... "C'est vraiment désert ce soir. Enfin je reste, je vais bien voir!"

Au bout d'un moment, une semi blanc arrive, se gare. Le gars au volant allume sa cabine, cherche quelque chose, descend de son bahut, et part vers les toilettes: un petit mec, la quarantaine, barbu, bien foutu. Je descends de ma voiture en me disant "Allons voir de plus près". J'arrive aux toilettes, il finissait de pisser. Il se secoue la bite, et repart à son bahut. Je me dis: "Bon, ben c'est pas pour ce soir!" J'avais faim, je remonte en voiture. Il ne part pas, il attend, allume une cigarette, et redescend de son camion! "Tiens! ho, ho!" me dis-je.

Il me regarde, s'approche de ma voiture. Je baisse ma vitre. Il me demande d'une fort jolie voix: "Tu cherches un copain?" Je réponds que, oui en effet, c'était le but de ma présence ici. Il me dit: "Viens!" Mais à ce moment, deux camions arrivent suivis de trois voitures. Un peu gêné, il me dit: "Bon! Tant pis!" Je lui réponds: "Bon, ben tant pis! Dommage!" Il s'en retourne dans son bahut, mais ne part pas! Je décide, moi aussi de rester sur ce parking.

Là, le balai des tapettes commence! Les trois voitures circulent lentement de long en large, appels codes/phares... Et ça tourne et ça retourne. Mon homme, imperturbable commence à tendre un truc sur son pare brise comme pour se protéger de ce bordel. Au bout de presque vingt-cinq minutes, les deux camions quittent le parking sans qu'apparemment ils n'y ait eu de rencontre...

Soudain mon homme baisse sa vitre et me fait signe en criant: "Viens!" Surpris, je regarde autour de moi les trois ersatz dépités, qui remontent dans leurs autos. En attendant, je descends de la mienne, je monte dans le camion... Ça sentait le jules propret et la cigarette dans cette tanière. On discute un peu... Il me dit que son rideau pare-brise ne fonctionne pas. Il baisse celui de mon coté et me dit sans transition, en se déshabillant, qu'il aime tout. Il garde son pull et son t-shirt. Mais le slip, le bénard, tout ça, ça vire. Je vois dans la demi-obscurité une jolie paire de fesses. Ce joli monsieur s'allonge en travers sur sa couchette et me dit: "Fais moi ce que tu veux!" Je lui demande, ce qu'il aime, "Tout!" me répond-il, "mais moi, je ne fais rien."

Bon alors j'approche ma bouche de sa cuisse gauche, puis droite; je remonte, lui caresse avec mes lèvres ses couilles, je papouille sa queue qui se met à gonfler. Elle n'est pas très grosse, mais bien jolie et odorante comme je les aime. Je goutte, son gland, et là j'entends "hummmm". Je quitte pour aller embrasser son ventre, ses seins. Il n'est pas poilu, un peu potelé, adorable... Je redescends sur son joli petit bâton, je descends sur ses couilles, je les gobe, et il relève les cuisses. Je lui demande: "Tu aimes qu'on te bouffe le cul?" Il me répond: "J'adore ça!" Je le voyais bien et là, l'extase...

J'embrasse ce cul propre, je le lèche goulûment, j'enfonce ma langue et ce cul qui se dilate, s'entrouvre accompagné par des "hummm" de plaisir. Il m'arrête voulant d'autres caresses... Je remonte ma bouche pour lui sucer cette belle queue raide et lui caresser le ventre, les seins, les épaules. Il me prend les mains... Je les sens un peu rudes et dures mais les doigts bien faits... comme la queue que je lui astique. Je la sors de ma bouche, je la lèche, je l'embrasse. Il me dit: "Que c'est bon! Tu me régales." Je suis aux anges.

Il envoie ses pieds en l'air et là je lui caresse les fesses, je lui lèche son trou comme un affamé. Il soupire et pousse des petits cris quand je lui masse, le haut des cuisses, les ischions. Je lui masse les fesses, je lui caresse les couilles, la queue, il est fou, il me crie d'arrêter. J'engage le pouce dans son trou du cul largement dilaté maintenant en lui suçant sa queue en même temps. Je retire mon pouce pour lui enfoncer à nouveau après l'avoir mouillé de ma salive. Je lui fous ensuite mon index, puis mon majeur, deux doigts en même temps. Il aime! Je tourne mes deux doigts doucement. Il aime vraiment ça, le coquin...

Je retourne avec ma bouche travailleuse lui sucer son organe délicieux, à grand et petits coups de langue. Il n'en peut plus... Soudain, il jouit en criant "OOUUIIIIIIIII!" Sa rondelle se contracte, et il crache une semence blanche. Moi je le caresse avec les mains partout et je lui lèche ce cul avec lequel je l'ai fait jouir comme un fou. Un moment après, il me dit: "Tu m'as tué!" Je lui réponds que ce fut délicieux. Il est content (et moi donc!).

Après la redescente, nous parlons de choses et d'autres. Il doit aller sur Paris... douze heures de route, mais en forme maintenant. Il est 21h30. Nous sommes restés plus de deux heures ensemble... Et je lui ai bouffé le cul pendant au moins une heure. Je suis aux anges et lui aussi. Nous nous reverrons peut être...

Moi, voilà comment j'aime les mâles! En partant il m'a dit "Merci!!!" Alors ça les mecs, c'est le must! C'est super gentil, un macho qui vous dit merci comme ça, du fond de ses tripes, sincèrement. Rien à voir avec les tantes blasées que l'on peut rencontrer le plus souvent...

Voilà, je vous raconterai peut être encore une histoire, car des moments et des mecs comme ça j'en connais quelques-uns uns qui laissent rêveur. D'ailleurs, tous, lorsqu'ils passent sur Avignon, me téléphonent pour savoir si je suis libre et si on peut se voir! Hé hé, moi ça me rend super content!

Voilà Pleins phares à tous.

 

jori

    

 

 

 

 

 

Par jori - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 9 avril 3 09 /04 /Avr 00:57

 

"C'est Antoine qui m'a fait le coup et m'a initié."

 

briefopinion: Gimme more!

 

Cher ami Je vous écris pour vous dire combien il est difficile parfois d'échapper au regard sournois et aux petites phrases assassines, tout ça parce qu'on a plus de quarante ans et qu'on aime un (ou plusieurs) jeune(s) pédé(s) d' au moins vingt ans de moins que vous. J'ai toujours aimé les jeunes mecs. Lorsque j'avais vingt ans, nous avions le même âge et ça ne gênait personne. Puis les années ont passé et mon désir est resté intact pour les mecs de cet âge-là. Aussi je me suis efforcé de "rester dans le vent".  Et qu'on n’aille pas me dire que c'est parce que j'aime le rôle d'initiateur! Au contraire, avec des plus jeunes, j’ai l'impression d'en apprendre tous les jours. Je me sens tellement bien avec eux. J’aime autant leur sérieux que leur insouciance. Ils savent baiser avec des préservatifs, par exemple. Pour dire la vérité, ce sont eux qui m'ont appris à baiser avec. Je ne savais pas. Je m'en foutais. C'est Antoine qui m'a fait le coup et m'y a initié.

On s'était rencontrés sur les bords de la Loire. J'ai tout de suite craqué pour son joli minois, ses yeux noisette et ses cheveux gris-blond . Il faisait doux, c'était l'automne. On a marché un peu ensemble avant de se décider à aller chez lui. Il avait un studio pas loin. Comme dans la majorité des cas, mon âge ne semble rebuter que ceux... de mon âge. Antoine était fougueux, empressé, et j'étais loin d'être son premier coup. J'ai admiré sa dextérité à me dessaper avant même que j'enlève quoi que ce soit. Son agilité à ouvrir ma chemise, à me débraguetter, à s'agenouiller pour rendre hommage à ma virilité. Il ne m'a pas sucé mais m'a peloté les couilles avant de me palucher un peu. J'aime l'excitation de ces jeunes mâles en rut. Ils baisent beaucoup et sont, en définitive, les maîtres du jeu. Je l'ai caressé un peu, puis nous nous sommes retrouvés enlacés sur le lit. Il était temps de passer à autre chose de plus sérieux qu'une petite branlette.

Il avait envie de se faire mettre. Il me l'a dit comme ça tout de go: «J’ai envie de me faire mettre!» J'étais ravi. J’ai pris ma queue dans mes mains et j'ai fait signe au garçon de se mettre à quatre pattes. C’est là qu'il m'a dit qu'il ne baisait pas sans préservatif, et qu'il ne se faisait jamais mettre sans, non plus, quel que soit son partenaire. Sur le moment, ça m'a déconcentré et j’ai débandé. On a discuté un peu. Tout en discutant, il m’avait pris la queue entre ses doigts et me caressait très doucement le nœud. Il me racontait comment il aimait sentir une grosse bite bien lourde comme la mienne lui défoncer la rondelle. Je n'ai pas tardé à rebander entre ses doigts agiles. Il a dit: «Ferme les yeux!» J'ai fait ce qu'il disait, et j'ai senti qu’il glissait quelque chose sur ma queue, comme du lubrifiant. C'était doux. Je me suis abandonné à ses caresses. Soudain, une sorte de paroi dure a pris la place des doigts, et ma queue s'est heurtée à ce mur de chair. J'ai compris que mon amant s'était retourné et qu'il tentait de s'empaler sur mon vit. J’ai poussé ma queue et j’ai fait céder cette paroi musclée. En agrippant vigoureusement Antoine par la taille, je me suis enfoncé avec délectation dans son boyau. J'ai compris qu’il avait réussi à me mettre un préservatif, sans que je m'en aperçoive. Ça ne me faisait plus débander, au contraire. J'étais trop heureux de pouvoir défoncer ce beau trou de balle. Le préservatif ne me gênait plus vraiment, je l'oubliais presque. J'ai accéléré la cadence alors que je prenais la bite d'Antoine à pleine main pour la branler. Finalement, j'étais tellement excité que j'ai craché toute ma purée bien au fond de son puits d'amour, alors que mon jeune pédé se secouait le nœud en répandant son sperme sur les draps et en gémissant comme un chiot. Je me suis retiré et on est resté un bon moment sans rien dire, l'un contre l'autre. Comme il est étudiant, et j'ai connu autrefois la même situation, moi qui suis très à l'aise, je lui ai donné un coup de main. Il ne voulait pas, mais pour l'occasion j'ai joué les "papas".

Il m’a parlé du sida. Je me suis rendu compte que j'étais complètement inconscient. Après j’ai été faire un test, sur son conseil. Je suis séronégatif, par chance! Depuis que je connais Antoine, je ne baise plus que SSR. Je n'oublierai jamais que c'est un jeune gay de vingt berges qui a complété mon éducation et m'a, peut-être, sauvé la vie  ! .  

On se revoit de temps en temps et, sans arrière-pensée, il m'a présenté plusieurs de ses copains de fac. Rien que des mecs de son âge, complètement craquants avec leurs petits culs bien moulés dans les jeans. Même si je pourrais être le père de ces jeunes mâles, ils ne font pas attention à mon âge. Même si je me montre quelquefois généreux,  ils ne m'ont jamais pris pour un gigolo. Je me sens très proche d'eux et j'aime baiser avec eux, quand ils en éprouvent le désir (plusieurs copains d'Antoine, hélas! ne sont pas homosexuels). C’est comme cela que je me suis retrouvé avec trois jeunes étalons dans une soirée assez chaude, avec l’un qui me suçait la queue, l'autre qui me roulait une pelle, et le troisième qui faisait joujou avec mon trou de balle en m'enfonçant ses doigts dedans. On s'est bien défoulés. Je dois dire que j'aime faire l'amour dans la bonne humeur. J’ai coincé un de ces petits minets bien fermement et je lui ai fourré ma queue dans les entrailles. Après, j'ai senti que, par-devant, on lui happait la queue pour la lui sucer. On a passé la nuit, allant d'un corps à l'autre, c’était un vrai plaisir! Et on a fini par se faire des câlins, par se rouler des pelles, se mordiller la nuque, les seins, la peau des couilles. C'est incroyable comme ces jeunes pédés peuvent être tendres, avides de câlins et caressants sous des allures de gros durs parfois.

L’autre jour, l'un d'eux m'a dit qu'il n'osait pas être aussi tendre avec les mecs de son âge qu'avec moi. Question de pudeur, peut-être. Dans tous les cas, ce n'est pas moi qui vais m’en plaindre! Baiser avec des hommes de mon âge ne m'attire pas. Je crois que ça m'emmerde. Et si ça m’arrive, je n'ai qu'une hâte: retrouver mes petits mâles de vingt ans pour d'autres jeux coquins. Finalement, je voulais raconter tout cela, pour vous dire que je suis un mec de quarante-sept ans qui aime baiser avec des jeunes, et que j'aime autant ça qu'eux aiment baiser avec moi. Et que j'emmerde une bonne fois pour toutes tous les grincheux qui me font des réflexions, qui me traitent de micheton ou de pervers. On a l'âge de son désir et le plaisir qu'on peut offrir à l'autre, c'est tout.

 

Urlimit

 

 

Par urlimit - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 6 avril 7 06 /04 /Avr 06:28
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Par phoeniq - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Vendredi 28 mars 5 28 /03 /Mars 23:59
 classé dans RECITS REELS INITIATIONS en raison du caractère expérimental de ce post
 

Cher ami

En "lisant" l'autre soir la vidéo " http://www.xvideos.com/video485105/una_buena_cogida#47.3   " de ton blog j'ai eu une révélation. Ne te moque pas de moi, mais, j'ai caché l'image et seulement écouté le son. Il m'est arrivé très souvent de couper le son des vidéos que je regarde pour ne pas attirer l'attention de mon entourage. Je suis idiot car (quand c'est bien fait) c'est le contraire qu'on devrait faire : recouvrir  l'image par une autre et n'écouter que le son. Combien ces gémissements, ces chuchotements, cris, grincements de la literie nous invitent encore plus dans l'intimité des personnages. A la manière des écrits, des romans, cela excite notre imagination et on s'y voit. Un gars pénétré crie. C'est une peur mêlée d'un désir de transgression. Comme quand enfants ou ados on craignait d'aller plus loin et on allait quand même, pris par la fièvre dévorante de l'interdit, de la découverte des délices de la Vie où les "Non"  veulent dire "Oui", où le silence soudain veut dire encore! et que demander grâce veut dire "n'arrête surtout pas "!Une vraie renaissance. Bien sûr tu auras compris que ce n'est ni vrai des vidéos muettes ni des vidéos trop kitsch. Bien sûr on a tous une façon différente d'apprécier et, moi-même j'aime l'image... 

Pour que tu en juges, je t'envoie ici l'embed code d'une courte vidéo de baise qu'on peut trouver banale alors qu'on peut retrouver par le son sans image des moments sublimes.

Merci de ce blog que j'apprécie bcp

Urlimit

 

 La vidéo de Urlimit à écouter selon lui (c'est vrai que les imagesici sont de peu d'intérêt) :
 
 
 
Par Urlimit - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Vendredi 14 mars 5 14 /03 /Mars 14:57

   

 

 

 

Je lis souvent des choses sur la campagne, sur la solitude des pauvres pédés, etc. Eh bien moi, je ne me plains pas. Je ne suis pas une pauvre pédale abandonnée.

 

J'ai vingt-sept ans, et j'aime bien me palucher la bite en lisant des récits Gay. Je suis marié et j'ai deux gamins. J'aime bien ma femme mais je préfère baiser les mecs. C'est comme ça. J'ai toujours aimé toucher les couilles, la bite d'un autre mec et puis enfoncer ma queue dans un bon trou de balle, tout en touchant les grelots.

Je vis dans un village (dont je ne vous dirai pas le nom), près d'un grand lac. Je lis souvent des choses sur la campagne, sur la solitude des pauvres pédés, etc. Eh bien moi, je ne me plains pas. Je ne suis pas une pauvre pédale abandonnée. J'ai des copains dans le village et dans quelques villages aux alentours, et on ne s'ennuie pas vraiment. On est tous plus ou moins casés et ça nous facilite la vie. Mais la nouveauté, c'est bien aussi. ( pour ma part je ne suis pas copplexé par ma bisexualité)

 

Je vis avec ma famille dans une grande baraque qui était autrefois une ferme. Une partie a été transformée en location pour des touristes. Dès le printemps, j'ai le cœur et la queue qui battent la cadence, en fantasmant sur ce qui va arriver. Il y a pas mal de familles (en apparence tout à fait hétéro), mais faut pas croire que ça empêche d'être pédé. J'en suis un bon exemple! Et puis il y a des hommes qui ne savent pas ce qu'ils sont, et je me fais un plaisir de leur faire découvrir les vrais bonheurs de la vie: se faire sucer la bite par un vrai mâle, se faire doigter ou même se faire défoncer la rondelle en poussant de gros rugissements.

 

J'ai la chance de travailler avec des horaires décalés par rapport à ceux de ma femme et de mes gosses. Quand l'une est au boulot et les autres à l'école, il m'arrive souvent d'être chez moi. Quand un mec d’une location me plaît, je m'arrange toujours pour aller chez lui en son absence et lui mettre une ampoule grillée à la place d'une bonne. Ça ne loupe jamais, le coup de la lampe!

 

Le dernier mec que je me suis fait comme ça, c'était un mec de Paris, genre branché, avec une petite boucle d'oreille. Il avait loué pour lui tout seul et il voulait faire de la planche à voile. Quand il est arrivé, énervé comme une mouche, il nous a serinés avec ça: sa planche à voile ! Puis il nous a demandé s'il y avait des boites dans la région et des bars, et des supermarchés. Nous, on se marrait bien. Ils nous prennent vraiment pour des demeurés! Moi, je reluquais son bas-ventre, les muscles de ses cuisses qui sortaient du short. Je me faisais tout un cinéma, par exemple en train de l'enculer sur sa planche à voile. J'avais une de ces envies de lui foutre ma main au cul! Je me suis dit que celui-là, j'allais rapidement lui faire le coup de l'ampoule grillée. Je n'ai même pas eu besoin... On était en train de manger avec ma femme et mes gosses quand il est arrivé comme une trombe en gueulant qu'il y avait un rat dans la salle de bains. Un rat! Pourquoi pas un éléphant pendant qu'on y est !

J'ai quitté la table, je vous jure que je bandais déjà. J’ai emboîté le pas du mec en le serrant aux fesses. On a monté les escaliers comme ça, mon souffle contre sa nuque. Il a dû comprendre quelque chose, parce qu'il a perdu son air arrogant d'un seul coup. Il s'est retourné: j'avais la main posée sur mon jean à me tripoter le paquet. Il a ouvert la bouche et puis il l'a refermée. Je savais que celui-là, il ne ferait pas de manières.

On a été dans la salle de bains. La souris avait disparu. Je lui ai dit: «On est toujours emmerdé par les souris, hein?» Il a compris l'astuce. J'ai mis la main sur son épaule. Il m'a regardé autrement, avec du désir dans les yeux. J'aime ça, sentir le désir qui monte. Je ne l'ai pas laissé être surpris très longtemps, et ma main a glissé vers sa ceinture. J'ai senti que sous son slip, il en avait. Deux grosses couilles bien chaudes et une queue qui, une fois sortie, se révéla être d'un beau calibre. J'ai commencé à rendre hommage à ce pieu. Il sentait un peu la sueur, comme j'aime. Chaque homme a une odeur qui lui est propre. Lui, je ne sais pas pourquoi, j'ai trouvé qu’il sentait la vanille. Peut-être que je délirais...

Une fois sa bite dans la bouche, je l’ai sucée comme on suce un bonbon, en faisant durer le plaisir, le plus longtemps possible. Lorsque je sentais qu'elle durcissait encore, prête à cracher sa soupe, je ralentissais la cadence. Je suçais le gland puis m'enfonçais la bite jusqu'aux couilles. 

   

 Il s'était appuyé contre la porte et je l'entendais qui gémissait: «Oui, vas-y, je vais jouir, vas-y!» J'ai sorti cette belle queue de ma bouche et je l'ai branlée énergiquement avec ma main. Elle a craché en un rien de temps. J'ai juste eu le temps de m'écarter pour ne pas prendre son foutre sur la gueule. Je me suis relevé; j'avais une sacrée trique moi aussi. Mais on n'avait plus le temps. Un quart d’heure pour trouver une souris, ça va comme ça! On s'est regardés, le mec et moi. Il semblait à peine plus vieux que moi. J'ai remarqué qu'un mec, quand il vient de se faire vider les couilles, est plus calme, moins arrogant. C'est comme ça que je les aime. Il a fait un geste vers ma queue. J'ai dit qu'on n'avait plus le temps, mais que le lendemain... et puis j’ai ajouté: «Ah non, c'est vrai, demain, vous faites de la planche à voile!» Il a bafouillé qu'il avait le temps. J'en étais sûr!

On s'est retrouvés le lendemain matin, juste avant que je ne parte bosser. J’avais vraiment envie de retrouver ce mec, j'avais envie de me faire sucer par lui. Depuis la veille, je n'arrêtais pas d'y penser, et j'avais une de ces gaules... Ça devenait urgent! Il était onze heures du matin. Il dormait encore, complètement à poil, et il bandait quand je l'ai réveillé. Il m'a fait un grand sourire et j'ai ouvert ma braguette en lui disant:

— Suce mon sucre d'orge, ça fait partie des vacances!

Il s’est mis à rire tout en matant sérieusement ma bite. Il avait des mains très fines, un peu froides. Il m'a pris la queue entre ses mains et les a fait rouler autour, exactement comme on ferait d'un bâton de sucre d'orge. Je me suis allongé sur le lit. J'aime mieux comme ça, c’est plus relax. Je me suis fait sucer vraiment bien. J'avais l’impression que ma bite avait triplé de volume tant le traitement qu'il m'infligeait me ravissait. Il avait lubrifié ses mains. J'ai commencé à donner des coups de boutoir comme si je défonçais un fion. C'était aussi bon. Je me disais que j'étais en train de l'enculer sur sa planche à voile. Je pensais à ça quand j’ai senti qu'une des deux mains glissait vers mon fion, oui, le mien, pour me caresser la rondelle. C'est une caresse qui me rend fou. Je n'ai pas pu retenir ma sauce et j'ai joui très fort. Après je suis resté quelques secondes en respirant fort. J'avais l'impression de planer; ça me fait toujours ça quand on me suce ou lorsqu’on me branle bien. On s'est revus plusieurs fois, lui et moi, mais pas autant que ça. Il a voulu m'emmener en boîte, mais moi, ça ne me disait rien. Et puis, c’était vrai que c'était un mordu de la planche à voile: il partait des journées entières sur le lac. Je ne l'ai jamais enculé sur sa planche, mais ça reste un beau fantasme. Je sais qu'il reviendra.

Si vous tenez un gîte, faites le coup de la lample grillée : imparable !    

 

 

 

 

Par dutrou - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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