SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES

Dimanche 3 août 7 03 /08 /Août 07:45

 

 

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Un jeune délinquant a été arrêté pour vol. Il se retrouve incarcéré dans la prison pour jeunes délinquants. C’est son premier jour, il vient d’arriver et son maton va lui faire une fouille au corps très poussée. Tellement, qu’en fait c’est un viol qui va se dérouler entre les murs de la cellule. De l’action bareback, sans capotes. Une vidéo en 5 parties. Plein écran disponible.

 

Par ESTRA#N0 - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 28 juillet 1 28 /07 /Juil 23:35

 

 

 

 

 

 

 

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J'M LES BEAUTES NON CONVENTIONNELLES

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Pour montrer toute l'étendue des dégâts causés par sa chute, le coureur Allemand a posté sur Twitter une photo de lui entièrement nu et de dos. Cette photo a beaucoup fait réagir les internautes. Et pour cause, puisqu'une semaine plus tard les blessures de l'Allemand sont toujours aussi impressionnantes.


 

 oh la belle...

 

 

 

 

 
 
 
 
 
 
 
 
 
Par DELARUE - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 25 juin 3 25 /06 /Juin 00:24

 

 

Je rentre dans la taverne avec une seule idée en tête: baiser avec un inconnu. Cette taverne est situé dans un des quartiers très mal famés . Je ne m’en soucie pas, ce soir, je suis à la recherche de sensations fortes. Et de la manière que je suis vêtu, il n'y aura aucun doute dans la tête de tous ces gars qui seront dans la taverne parce que j’affiche très bien ce que je recherche.

Je suis un jeune homme de 19 ans, grandeur normale avec un corps bien musclé, sans être de style culturiste. Une chevelure noire bouclée qui me vient à la hauteur des épaules. On me dit viril, je dégage selon plusieurs, beaucoup de sensualité. Je porte un pantalon de cuir noir, ajusté sur ma peau, moulant mes formes, surtout mes fesses et mon entrejambe. Ces hommes vont me trouver irrésistible. Je suis si provocant que rien ne m’arrête ou me fait peur.

Des bottes de cow-boy, torse nu, mon habillement les aidera à deviner que je serai accessible, un homme à la recherche de sexe. Je ne porte pas de slip, je ne veux surtout pas cacher ce que je veux tant leur montrer. Je suis à la recherche de sensations fortes, du sexe viril, vite fait, juste une bonne botte sans histoires ni sentiments, tout ce que je veux, c’est une belle queue en moi, et, ce soir, n’importe quelle queue peut faire l’affaire. Je ne veux même pas attacher un visage à l’acte, surtout ne rien savoir de sa vie à lui, tout ce que je recherche c’est une bonne baise sans aucune attache ni histoire, que du sexe viril.

Je vois tout de suite ce que je recherche, il joue au billard en face du bar. Il a l’allure d’un dur, d'un gars de bicycle, un tee-shirt blanc moule sa poitrine de gars qui aime s'exercer régulièrement avec des altères et la veste de cuir noire lui donne encore plus un air de vrai dur. Des jeans serrés et la fameuse chaîne qui retient son portefeuille suspendu en toute évidence à sa taille, lui révèle tout ce que je veux savoir de lui. Oui, que je me dis, lui, c’est un vrai dur, comme je me l’imaginais, exactement le genre que je recherche.

Mentalement, je ne suis pas en état pour aucune discussion, je ne veux surtout pas perdre du temps à jouer le jeu de la séduction ni le rituel de la drague. Je ne veux rien savoir de sa vie à lui. J’ai seulement envie de ressentir sa verge bien dur me pistonner le cul.

En marchant directement jusqu’à lui, je sais trop bien que tous ces durs à cuire me désirent. Il est costaud, plus grand que je croyais, mais, je sais qu’il fera l’affaire. Je lui murmure quelque chose à l’oreille. Il dépose sa baguette sur la table de billard et me suit. Pour nous rendre à l'extérieur, nous devons retraverser tout le bar devant ces hommes qui me déshabillent des yeux. Je continue ma démarche provocante jusqu'à ce que je disparaisse dans la rue sombre.

Les bruits des klaxons au loin de taxis et de toutes ces autos qui poursuivent leurs folles courses sont les seules sons qui perturbent la nuit. Je marche jusqu’au coin de la rue, il suit tout près de moi. Je vais vers un coin sombre près du mur de la ruelle. Je m’appue contre ce mur, il connaît son rôle, nous n'avons pas besoin de se dire un seul mot. Il réagit rudement, il me prend les poignets et il les immobilise au dessus de ma tête, il m’embrasse sans aucune délicatesse, sa barbe de quelques jours irrite ma peau. Je lui retourne son baiser, ma langue plonge dans sa bouche, suçant la sienne, il me serre de toutes ses forces contre son corps, je ressens la bosse de sa verge en érection qui palpite contre mes cuisses.

Mon cul commence à mouiller, je reconnaîs cette douce chaleur qui monte à l'intérieur de mon corps. Je me sens si vivant pendant que chacun de ses nerfs réagit dans son corps au rythme fou de ses désirs. Je reconnais ces sensations qu’il déclenche dans mon anus qui se contracte. Il descend son zipper d’un coup sec, avec bruit, déclenchant en moi ces moments de jouissance si anticipée.

De ses mains impatientes, il caresse mon torse. Sa peau rude écorche la mienne. Je pousse des gémissements. Sans délicatesse, ses mains me pincent et me griffent les mamelons. Mes souffrances deviennent plaisirs. Je le supplie pour qu'il enfonce sa queue en moi, pour qu'il me pistonne de son membre viril et qu'il me bourre le cul comme le salop que je suis.

Il arrête l'étreinte, s’éloigne un peu de moi, il admire mon corps pendant que mes yeux se font suppliant. De ses mains, il joue avec sa ceinture, il défait la boucle, la détache. Il sort sa queue qui est dur comme fer. Elle n’est pas très longue mais bien grosse. le macho se rapproche de moi et sans ménagement il m’empoigne les poignets et il les attache en les liant avec sa ceinture. Pendant un moment, ses yeux fixent les miens.

Il ne parle pas mais son regard est très dur. Il pose ses mains sur mes épaules et soutenant toujours mon regard, il me dit, ou plutôt m’ordonne: "Suce!" À peine ai-je le temps de m’accroupir que ses mains se pose sur ma tête et m’enfoncent sa queue dans la bouche. Ce sont ses mains qui guide le rythme et je m’efforce de le sucer du mieux que je le peux. Sa queue entre et sort de ma bouche, m’étouffant presque mais d’entendre ses grognements de plaisir m’excite au plus au point.

Sans doute satisfait de sa pipe, il me relève et me retourne brusquement face au mur pendant que je pousse des cris plaintifs. Je cambre encore plus mes fesses, mon corps a si besoin du sien. Je le sens bouger derrière moi, il me descend d’un coup sec mon pantalon jusqu’à mes chevilles, ses mains impatientes se promènent sur mes fesses et caressent mon anus déjà bien éveillé. Le macho tient son pénis d’une main et il en frotte le gland contre mon trou et sans avertissement, il l'enfonce profondément en moi d'un seul coup de rein. Je crie de douleur, je me sens comme si je venais d’être coupé en deux.

Son membre viril me pistonne à longs coups, je crie en poussant mes fesses contre son corps viril comme si mon cul voulait l'avaler en entier. Il ne fait plus du tout attention à ce que je veux. Lui, il ne pense qu'à me défoncer, m’entendre hurler de plaisir. Il me pistonne, de son gros pénis, il me lime de toutes ses forces. À chaque nouveau coup, ses testicules frappent contre les miennes. Je me donne sans aucune retenue, j’ai envie de sentir sa verge en moi, je lui laisse faire tout ce qu'il désir de moi.

Il m'empoigne par les hanches et il me tire brusquement contre sa queue pour que je la sente bien qui vibre en moi, tout son corps se démène dans une chevauchée sauvage tout le temps qu'il me pistonne. Je suis chatouillé par des gouttes de sueurs qui coulent du front de mon amant dans la craque de mes fesses et chacune des gouttes déclenche une nouvelle vague de plaisirs.

J’aime ces sensations violentes que sa verge me cause pendant qu’il est à l'intérieur. Je sens venir l’orgasme, il le sait lui aussi. Je crois deviner qu'il va me donner un dernier grand coup, profond, viril. Au lieu de cela, il me fait attendre, il veut me tester, le macho veut que j’en redemande, que je le supplie. Je pousse du bassin pour tenter de m'enfoncer son pénis encore plus profond dans mon cul, mais, je m’aperçois qu’au lieu de me pénétrer, le macho se retire complètement. J’en pleure, j’ai tant besoin de cette queue en moi.

Il se tient immobile en face de moi, le pénis à la main, le macho se masturbe pendant que je le regarde, il jouit de me voir le supplier comme le vrai salop que je suis pendant que je viens près de s'évanouir tellement je suis fou de frustration. Il me pogne par les épaules et sans ménagement, il plonge sa verge au plus profond de moi, et, il arrête complètement de bouger. Je gémis sous la douleur, mais, cette douleur devient jouissance. J’en oublie de respirer pendant que je m’aperçois que je n’ai plus le contrôle de mon corps, mon anus se contracte tout autour de son sexe.

Il me pistonne en me ramonant à grands coups tout l’int�rieur de mon cul, il veut me défoncer comme jamais. Il me secoue les épaules en me donnant un dernier grand coup de butoir tout en lâchant un cri animal. Il se retire de moi et il éjacule sur mon dos. Je sens son sperme couler dans ma craque des fesses. J’ai des gémissements d’homme en chaleur pendant que son pénis, toujours en érection, malgré le fait qu’il a éjaculé abondamment, se repose dans la craque de mes fesses, bougeant de haut en bas.

Il me prend de nouveau par la taille et il m'oblige à me pencher la tête au niveau du sol. Aussitôt, je panique, j’essaie de voir ce qui se passe, mais en l’espace un clin d'œil, sans aucun avertissement et sans aucun préliminaire, il m’enfonce de nouveau son pénis dur comme fer dans l'anus, la douleur devient insupportable, je crois que je vais m'évanouir. Sa queue m’a défoncé si brutalement l’anus, avec encore plus de force que je n’aurait jamais cru possible. Les sons de ses gémissements sont étouffés par les sons ambiants, pour quelques secondes tout l’intérieur de mon corps semble momentanément paralysé sous cette charge de cavalerie, je souffre mais la douleur me réveille et se transforme de nouveau en plaisir. J’entends mes propres gémissements qui augmentent au même rythme que cette force qui me pénètre.

Je sens la main du macho qui prend possession de ma queue et commence à me branler. Je commence à jouir au même rythme que ce pénis qui abuse de mon cul. Je pousse encore plus mes fesses contre les assauts de son membre pour qu’il sache que je le veux, mais, lui le savait déjà, il sait que j’ai si besoin de ressentir son gros membre en moi. Je sens sa main qui abandonne momentanément ma queue pour se promener sur mon torse et venir pincer mes mamelons. Je frissonne sous tous ces plaisirs qui montent dans mon corps. C’est plus fort que moi, mon cul bouge d'un bord à l'autre suivant chaque mouvement de son pénis en moi.

Je sens monter en moi comme la puissance d’un volcan qui serait près à faire éruption, ce qui me fait perdre tout control. Je ressens son pénis qui palpite à pleine force, m'ouvrant et me labourant l'intérieur. Je n’en peux plus, ma jouissance est devenu trop forte. Son pénis me fait presque mal lorsqu'il crache son sperme pour une deuxième fois tout au fond de moi et que je gicle violemment à mon tour. Nous gémissons tous les deux tellement notre jouissance nous a ébranlé.

Il se lève en m’aidant à me relever, il retire son pénis du refuge étroit de mon anus. Il s’éloigne un peu de moi en tenant son pénis dans sa main, il le masturbe délicatement pour en faire ressortir les dernières gouttes pendant qu’il doit prendre de profondes respirations. Il revient vers moi et me détache les poignets. La ceinture a laissé des profondes marques rouges à mes poignets et il est certain que ces blessures me laisseront des bleus.

Le temps d’un clin d’œil, on se regarde dans les yeux, on sait qu’on ne se reverra jamais. Je vais partir de mon côté et lui du sien, j’ai eu ce que je voulais et lui aussi. Il s’éloigne de moi et revient vers moi pour m’embrasser sur la bouche. Je le remercie pour cette bonne baise et il disparaît au coin de la rue.

 

 

 

 

 

 

Par sexstuctor - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Samedi 10 mai 6 10 /05 /Mai 15:04

 

Moules Frites...OUAIS VOUS M'AVEZ COMPRIS !

Hot husky guy backside outside

 

 

Samedi dernier, je suis allé à une soirée moules-frites dans un petit bled près de chez moi. Après avoir mangé en compagnie de mes potes et bien bu, je suis sorti dehors fumer une petite clope et j'en ai profité pour pisser un coup.

 

Il faisait pratiquement nuit et je vais derrière la salle et commence à pisser quand j'entends des mecs qui rigolent et je me rend compte qu'ils ont une vue sur ma bite. Je leur demande s'ils veulent me sucer ? Et me répondent que non mais que si moi je voulais les sucer y avait pas de problème.

 

Je leur réponds que faut pas me prendre au mot (homo), que je suis cap.
Et les voilà qui commencent à sortir leur bites et me disent d'y aller.
Je m'agenouille et commence à sucer l'un puis l'autre et les 2 en même temps.
J'ai toujours pas remis ma queue dans mon fute et je commence à me branler en même temps et je descends mon pantalon sur mes chevilles et un des 2 commence à mettre sa main aux fesses et je sens qu'il essaie d'atteindre ma rondelle et il y parvient.

 

Je suis toujours entrain de sucer son pote et l'autre se met derrière moi et le voilà qui me bouffe le cul, hummmm j'adore c trop bon il va me faire jouir s'il continue.
Je lui dis que sa langue est bonne mais qu'il a mieux que sa langue s'il veut.

 

Je sors une capote de ma poche (j'en ai toujours dans les poches, je suis prévoyant) et lui dit que j'ai envie de lui la mettre avec ma bouche. Je lui déroule la capote sur sa bite avec ma bouche et le suce un peu pour bien le faire bander.
Pendant ce temps là son pote se branle en nous regardant.Night-time activities at Dickman University
Je me penche en avant et lui montre bien mon cul afin qu'il s'enfonce en moi.
Il m'a tellement bien mouillé le cul avec sa langue que je ne mets pas de gel.
Je le sens qui commence à me taper sur les fesses avec sa queue.
Je le supplie de me prendre, que j'ai envie de le sentir me défoncer, que je suis une grosse salope qui aime me faire défoncer. Ce qui m'excite le plus c'est que d'autres mecs puissent venir et nous surprendre.

 

Je sens son gland se poser contre ma rondelle et d'un coup de rein il me transperce et me bourre sans ménagement et son pote en avait profité que j'étais pencher pour me remettre sa bite dans la bouche. Je prends mon pieds, une bite dans la bouche et une dans le cul, c'est le bonheur total, j'adore. Le mec que je suce commence à me dire qu'il va pas tenir longtemps, que je suce trop bien, mieux que sa meuf et splashhhh le voilà qui me jouis dans la bouche, j'avale tout et lui nettoie bien sa queue qui diminue rapidement de volume et juste après son pote me jouis dans le cul dans la capote. Je viens à mon tour et jouis, oh ouiiiiiiiiii je jouis c bon les mecs putain vous m'avez fais prendre mon pieds. Les voilà qui se refroque et repartent.

 

Juste au moment ou je me refroque mes potes se pointent en me demandant ce que je faisais. Je leur dis que je pissais et ils me répondent "putain il t'en faut du temps pour pisser". J'ai eu chaud....

 

On retourne dans la salle et j'aperçois les 2 mecs avec qui j'ai pris mon pied, ils sont avec leur meufs....

 

Julien

 

 

 

Par julien cyrillo - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 4 mai 7 04 /05 /Mai 09:41

RECITS REELS INITIATION


  COMMENTAIRE DE PENGRY EN BAS DE PAGE 

  

 

Avec Pengry La tendresse domine...mais chut ! le silence est exigé par le compagnon de sa mère...

 

 

 

Pengry Butozakori

09:33 (Il y a 3 heures)
 
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À moi

Ma mère m'a donné naissance lorsqu'elle n'avait que 19 ans. Mon père l'a ensuite quittée lorsque j'avais 4 ans, et est parti aux États-Unis et je ne l'ai jamais revu. Je n'ai même plus jamais eu de nouvelles de lui à ce jour. Lorsque j'ai eu 10 ans, ma mère s'est remise avec un autre homme, Thierry, 5 ans plus jeune qu'elle.

L'histoire se passe lorsque j'avais 16 ans, ma mère 34 et mon nouveau beau-père, 29 ans.

Je me suis tout de suite très bien entendu avec lui, il occupait la place de mon père laissée vacante très (trop) tôt dans mon enfance. Thierry était très affectueux avec moi. Je savais aussi qu'il satisfaisait entièrement ma mère du point de vue sexuel. Il n'était pas rare que je me réveille la nuit et que j'entende des bruits dont l'origine ne laisse aucun doute dans la chambre voisine.

Je les avais même déjà surpris lorsque je rentrais plus tôt que prévu après l'école, à faire l'amour sur la table du salon ou même, un soir, dans la salle de bain. Comme ils ne m'avaient pas entendu (sans doute trop occupés dans leur affaire), je ne me suis pas fait remarquer et les ai observés.

Les voir faire l'amour comme ça, si près de moi, m'excita fortement, et je suis allé dans ma chambre pour me branler, décharger mon trop plein de libido et calmer mon excitation. Ces images sont longtemps restées dans ma tête et ont alimenté mes phantasmes.

Au bout d'un moment, je me suis rendu compte que ce qui m'excitait le plus, c'était la bite de Thierry. L'imaginer donner du plaisir à ma mère m'excitait au plus haut point. Cette bite était si belle, si puissante. À un tel point que cela devint une obsession pour moi: il fallait que je la voie encore. Et je l'ai revue: d'abord en regardant par le trou de la serrure de la salle de bain, puis par celle de la porte de leur chambre. À chaque fois, je la trouvais énorme par rapport à la mienne.

Un lundi matin, ma mère était partie travailler, je me suis levé et je suis descendu dans la cuisine afin de manger mes céréales. À peine assis, Thierry est arrivé et quelle ne fut pas ma surprise de voir son boxer gonflé par une énorme érection. Il est venu me dire bonjour et s'est servi des céréales à moins 1m de moi. Ma tête était au niveau de son vit bandé. J'ai rougi de voir cette bite à travers le tissu. De si près, elle me paraissait encore plus énorme. Thierry remarqua que je fixais son short et me lança:

— Et oui, ça m'arrive souvent le matin. Mais tu dois aussi avoir l'habitude! Et puis, entre hommes, y'a pas à avoir honte!

Je n'ai rien dit et j'ai mangé mes céréales.

À partir de ce jour, Thierry se promenait de plus en plus souvent torse nu et en boxer, à mon plus grand plaisir. J'adorais le mater et je pense qu'il prenait aussi du plaisir à s'exhiber.

Un soir, ma mère et Thierry m'annoncèrent que j'allais devenir grand frère. Ma mère était enceinte. J'étais très heureux à cette idée et on a fêté ça. Thierry et moi avons donc bu une bouteille de vin, puis une deuxième et je me suis endormi dans le divan.

Le lendemain, je me suis réveillé dans mon lit en pyjama. J'ai appris plus tard que c'était Thierry qui m'avait mis au lit, m'avait déshabillé et revêtu de mon pyjama. Cette perspective m'a beaucoup excité et a été source de pas mal de branlettes: j'imaginais ce qu'aurait pu être la situation si je m'étais réveillé au moment où il m'avait déshabillé...

Un mois plus tard, alors que j'étais sous la douche, Thierry est entré et m'a demandé s'il pouvait se raser pendant que je terminais car il était à la bourre et risquait d'être en retard. Je n'ai pas pu refuser et il s'est mis torse nu pour se raser. Le savoir à côté de moi m'a provoqué une énorme érection. Lorsque j'ai dû sortir, elle était encore bien présente et difficilement dissimulable. J'étais ennuyé car mon essuie était à l'autre bout de la salle de bain. Thierry a dû s'en rendre compte car il m'a demandé:

— Tu veux que je te passe ton essuie?

— Ho oui, merci!

Il me l'a donné en jetant un coup d'oeil sur mon bas-ventre, j'ai immédiatement rougi!

— Waw, bien membré, Seb!

— Heu. merci! Tu trouves?

— Évidemment, surtout à ton âge! Elle mesure combien? 15 cm?

— Oui, plus ou moins.

Je suis sorti, moins gêné, et me suis essuyé devant lui. Thierry s'est retourné, m'a regardé et m'a adressé un grand sourire. Il a ensuite retiré son boxer et j'ai pu voir l'objet de tout mes phantasmes. Il s'est gratté les couilles et est rentré, toujours en me regardant, dans la douche.

À peine sorti, j'ai foncé dans ma chambre et me suis branlé. J'ai joui rapidement et abondamment en pensant à ce qui venait de se passer.

L'épisode s'est reproduit plusieurs fois par la suite. À chaque fois, Thierry et moi, on se retrouvait à poil dans la salle de bain. J'ai vu sa bite bandée, un matin. Il m'a appris qu'elle faisait 24 cm en érection. Ce petit jeu devenait une habitude pour moi, chaque matin et j'attendais ce moment avec impatience. Le weekend, cela n'était pas possible car ma mère ne travaillait pas.

Puis les vacances sont arrivées. Comme Thierry est prof, il avait congé et restait avec moi. Ma mère a pris aussi deux semaines de congé et a profité de sa seconde semaine pour aller voir sa soeur près de Deauville. Elle est partie seule et nous a laissé à deux dans la maison.

Le premier soir, nous sommes allés au cinéma. En rentrant, Thierry m'a proposé de boire un verre. On a bu deux ou trois bières puis il m'a proposé de bières spéciales venant de Belgique. Je n'avais jamais goûté ça et on en a dégusté une première. Comme il faisait chaud, Thierry s'est mis à l'aise, torse nu, en boxer. Je l'ai imité un instant plus tard. À une différence près, c'est que lorsque j'ai retiré mon jeans, je bandais comme un âne. Ça n'a pas échappé à Thierry qui m'a taquiné:

— C'est moi qui te fais cet effet là?

J'ai rougi et je n'ai rien dit. Thierry s'est mis aussi à bander et là c'est moi qui lui ai renvoyé:

— On dirait que je ne te laisse pas indifférent non plus.

L'alcool m'avait aussi désinhibé!

— Que veux-tu, je n'ai plus baisé depuis 3 mois. Depuis que ta mère est enceinte!

— Oh, je comprends.

Là dessus, il a retiré son boxer et sa queue est sortie, à la verticale. Il a commencé un petit va-et-vient sur sa queue en me regardant.

— Ça fait tellement longtemps, je peux plus. Et toi, à ton âge, on doit avoir envie de se branler environ toutes les 3-4 heures?

— Ça dépend des jours.

— Allez, une petite branlette entre mecs n'a jamais fait de tort à personne.

Là, je ne me suis pas reconnu car j'ai lancé, tout de go:

— OK!

 

Re : Un désir d'ado qui tarde à dire son nom... et, jaloux (?), piquer l'amant de sa maman ça le tente... Il n'a que 16 ans...ça tourne à l'inceste...doublé de p......ie.

Il y a probablement de jeunes curieux encore vierges sui lisent cette page et sont tentés par l'aventure. Le choix du narrateur me semble judicieux, si ce n'est pas que la pulsion de ses fibres homo, en effet, la plupart des expériences entre débutants sont décevantes et surtout incomplètes. On ne saurait que conseiller un jeune adulte expérimenté pour vous initier et vus confirmer ou infirmer dans votre choix homosexuel. Un escort ? oui c'est bien aussi. Ici un jeune prof futur père, idéal comme sex instructor ! NDLR

 

J'ai retiré mon boxer et j'ai commencé un va-et-vient sur ma queue tendue.

— Si tu veux, j'ai une cassette qu'on peut regarder en même temps.

Il est parti et est revenu avec une cassette qu'il a mise dans le magnétoscope. À la télé, 2 hommes s'occupaient d'une jeune femme. Il a repris sa branlette en venant s'asseoir juste à côté de moi. Je ne regardais même plus l'écran mais sa main qui parcourait son énorme queue. Au bout d'un instant, il l'a remarqué.

— Tu veux la toucher?

Encore timide, je n'osais pas.

— Allez, vas-y! T'en meurs d'envie!

J'ai pris sa bite en main et j'ai commencé un mouvement de haut en bas. Thierry commençait à soupirer. Moi, je m'enhardissais. Après quelques minutes, j'ai avancé ma bouche et ai donné un baiser à son gland où perlait une goutte de jus.

— Allez, vas-y, prends-moi en bouche. Imagine que c'est une grosse glace.

J'ai fait ce qu'il m'a dit et j'ai commencé à le lécher. D'abord par petits coups puis de haut en bas.

— Allez, prends-là en bouche, suce-moi! Aspire-moi!

Sa main est venue dans mon cou et m'a poussé à le prendre en bouche. Là, ça a été une révélation. Je ne me sentais plus! Je le pompais, enfournant son membre de plus en plus profondément. Sa main rythmait mon mouvement.

— Vas-y, enfourne tout!

— Elle est trop longue!

— Non, vas-y, tu peux le faire!

— Non, elle est trop longue!

— Allez, ma petite pute, enfourne tout et ne discute pas!

Et il m'a poussé la tête. J'ai effectivement enfourné quasi tout l'engin! Je suis remonté puis j'ai recommencé quatre ou cinq fois. Puis, je l'ai regardé, cherchant son jugement.

— On appelle ça une gorge profonde! T'es doué! On dirait que t'as fait ça toute ta vie!

— Merci !

Il m'a attiré vers lui et s'est penché. Il m'a léché le torse et puis est descendu sur mes tétons. Je n'étais pas habitué et cette sensation excita tous mes sens. Il m'a couché sur le fauteuil et a pris ma queue en bouche. Il me pompait maintenant rapidement. J'accompagnais ses mouvements de bouche par un mouvement de reins. Ses mains ne restaient pas inactives: il tenait mes couilles et les massait d'une main et de l'autre, me caressait la raie des fesses.

Il m'a fait relever les jambes et est venu me lécher le petit trou. Quelle sensation! Sa langue s'introduisait dans mon tréfonds. Je me dandinais tellement c'était bon. Quel plaisir!

— Prêt à devenir un homme?

— Vas-y doucement, c'est ma première fois! J'ai peur d'avoir mal.

— D'accord, je serai doux. Tu me dis si tu as mal et on arrête tout de suite.

— D'accord.

— Suce-moi d'abord un peu pour lubrifier ma queue!

Et il s'est mis en 69. Je le suçais pendant qu'il déposait sa salive sur mon petit trou. Il a d'abord introduit son index. Il est passé facilement. Thierry commençait à tourner son doigt et mon anus se détendait. Puis il m'a introduit un second doigt. Il a repris ma queue en bouche tout en tournant ses doigts. Un troisième doigt est venu s'ajouter ensuite.

— Vas-y, prends-moi! J'en peux plus! Prends-moi!

— Tu veux vraiment?

— Oui, vas-y! Dépêche-toi de venir en moi! Depuis que j'attends ça!

— Ça ne m'étonne pas! Vous êtes des pervers dans la famille! Tu vas prendre ma grosse queue dans ton petit cul de pédé!

— Vas-y, prends-moi!

Il a présenté son dard bandé et lubrifié sur mon petit trou et a donné un premier coup de rein. Son gland a commencé à s'enfoncer. Un second coup de rein l'a fait passer le cap.

— Aïe! Doucement!

Il s'est arrêté et s'est penché pour m'embrasser. C'était une sensation bizarre. C'était la première fois que j'embrassais un homme sur la bouche. C'était bon. Je me détendais et Thierry en a profité pour donner des petits coups de reins. Il s'enfonçait de plus en plus profondément pendant que sa langue jouait avec la mienne. Une fois bien au fond. Il s'est arrêté de bouger.

— Serre les fesses, puis détends-toi!

Je me suis exécuté. Thierry a commencé de petits va-et-vient. La gêne de me sentir rempli par un corps étranger se transforma petit à petit en plaisir. Il augmenta l'amplitude de ses mouvements tant et si bien qu'il sortait complètement sa queue pour ensuite me la réenfoncer profondément.

— Oh oui, c'est bon!

Je n'arrêtais pas de crier, de gémir, bref, de prendre mon pied.

Cela dura bien un quart d'heure où j'étais quasi tout le temps sur le fil de la jouissance puis Thierry me demanda de me mettre à 4 pattes. Il me pénétra alors sauvagement. Ce traitement me fit jouir au bout de deux minutes mais Thierry continuait!

— Ton cul est vraiment bon! Bien serré! Comme j'aime!

Moi, je rebandais déjà et l'encourageais:

— Allez viens! Prends-moi!

— T'aimes ça, hein?

— Ho oui, ta bite me fait jouir!

Il accéléra encore le rythme et puis s'enfonça profondément et lâcha 4 ou 5 giclées puissantes dans mes entrailles. Cela déclencha en moi un orgasme jamais atteint qui est parti de mon cul pour me faire éjaculer 3 jets bien épais. Thierry s'effondra sur moi et continua à me caresser.

— Waw! Ça faisait un moment que je n'avais pas connu ça! T'es super Sébastien!

— Merci!

— Et toi, ça t'a plu?

— Génial! C'est bien meilleur que les branlettes!

— Clair ! Si tu veux, on recommence quand ça te dit!

— Ouais?

— Sûr!

— Alors, pendant une semaine, on fait de l'intensif et après, tous les matins quand ma mère est partie au boulot! Ça te va?

— Si j'arrive à suivre.

— Et quand le bébé sera là, on alternera avec ma mère.

— On verra à ce moment là mais il ne faut rien lui dire! Si elle savait ça, elle divorcerait!

— Et moi, je perdrais une baise tous les jours! Niet ! Motus et bouche cousue!

— Ok!

— Au fait, tu t'es déjà fait enculer toi?

— Non.

— Faudra essayer!

— Si c'est toi, ça devrait aller.

Et les jours qui ont suivi sont encore gravés dans ma mémoire pour être quelques-uns de mes meilleurs car je les ai passés avec Thierry. Il avait pas mal de réserve et je lui ai servi de cul à fourrer pendant le reste de la grossesse de ma mère et encore après.

Jusqu'à ce que je rencontre Vincent. Mais ça, c'est une autre histoire!

Discussion:Comment j'ai couché avec mon beau-père

JIMMY18 octobre à 04:13

Il y a un bon moment que j'ai lu cette histoire, mais je la trouve toujours aussi bonne!! :¬P --(EDT)

He ben j'en profite pour dire que moi aussi j'adore cette histoire. Je la relis régulièrement.

 

 

Pengry Butozakori

 09:34 (Il y a 3 heures)
   
a CAVAILLONGAY
Mais claude tu as quelle âge? Tu sais que c'est interdit pour les mineurs. Prends garde!!!!!!!
Après avoir matté cette vidéo, tu vas jouir absolument plus de trois fois. You will go to tell me.
On Saturday, May 3, 2014 4:41 PM, Friend Amigo <claudemodou@gmail.com> wrote:
Oui! J'ai plus que lu
j'ai aimé et si tu le veux je le passe au blog cavaillongay
bisou
claudio

 

Par Pengry - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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  • : BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
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