SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES

Lundi 28 avril 1 28 /04 /Avr 01:45

 

mail en or !

jeanmarievaudon@tiscali.it

20:14 (Il y a 3 heures)
A prostitutionmasculine.

cher Ami

L'autre jour j'étais à l'eros center je regardais un filmX dans la salle et deux mecs sont sortis d'une cabine. Un vieux, un jeune très beau. Visiblement ils étaient trop à l'étroit dans la cabine...et ils cherchaient sans doute un public. On les matait. Ils reprirent leur jeu sur les sièges. C'était du fist. Le vieux fistait le jeune, mal installé, qui était pâmé, renversé sur son siège. Le visage crispé, mais heureux, il était ailleurs, les yeux révulsés. Cela dura un moment. Le vieux enfin sortit son poing de l'anus du jeune, tourna un peu sur lui-même, murmura quelque chose comme "Putain il en veut lui..." et, tournant les talons il prit les escaliers et disparut.

Je m'approchai, le jeune était dans les vaps', bien réellement shooté par le fist. Il mit du temps à se lever. Je me mis en devoir de le soutenir, ne sachait nt où il voulait aller. Il me dit "laisse, ça va aller" . Je le suivis à la cabine lui portant son jeans et ses affaires. Il s'assit la porte de la cabine ouverte et ses jambes dépassant dans le couloir. Il haletait encore légèrement.

Je lui dis : "Putain, toi ! tu m'as étonné. T'es crevé on dirait, non ? " Il hocha la tête en réponse, continuant, très pâle, à récupérer. J'étais censé être là pour assister sa récup'. En réalité, je voulais savoir des choses sur le fist. Son fist. Son trip.

Il chercha ses cigarettes dans son jeans en boule sur le siège voisin. Il fumait de manière affamée et inspirée. Il était moitié là et moitié dans son trip qui semblait se prolonger. Ca se voyait dans son visage et dans ses yeux encore voilés de plaisir (???). -"c'était bon ?" Hochement éloquent de tête. Je le plaignais et l'admirais, complètement subjugué par la scène. J'avais vu des vidéos, mais c'est pas comme le vrai réel. Il me dit : - "tu comprendrais pas." -"Si ! Pourquoi non ? " Ca y était. Il réussit à me fixer dans les yeux. Il était sorti de son rêve. Il se rhabilla rapidement et prit les escaliers à son tour sans me dire ni au-revoir ni merci. Brusquement je ressentis que, si j'avais été un voyeur privilégié, allant regarder la main dans le cul en gros plan, aussi j'avais été indiscret. Mais bon, je regrettais pas. Je crois que jamais je ne franchirais le pas.

Ou alors il faudrait que ce soit moi aussi avec un initiateur qui sache me persuader, me donner envie.

Claudio, merci pour ton site, ce que j'y lis me plaît. C'est un peu pareil que ce jour-là : le suis voyeur, je vis très fort, émotivement, les récits et tout ce que tu publies sans toutefois arriver aussi loin.

Bonne suite, j'attends tes posts avec avidité. @+

_______________________________________________________________________

Oh, salut Jean-Marie ! Merci ! Ce que tu racontes, pris sur le vif, vaut tous les récits érotiques.

Là j'avais dans mes archives la confession d'un jeune homme initié au fist en quelques jours avec

un guide plein d'expérience et de savoir-faire (encore un mec mûr).

 

" — Tu as l’air en forme petit, je vois que tu bandes.

— c’est le plug.

— Ah, montre ça.

Il se rapprocha du divan et prit la pompe sur laquelle il appuya un bon coup, sans que cela ne change rien. Il eut l’air surpris

— Tu as déjà gonflé au maximum ?

— Ouais, je pense (je me sentais rougir.)

— Tu penses ? J’en suis sûr. Tu es incroyablement doué, petit.

Il se retourna et déplia la bâche étrange qu’il tenait sous le bras. Puis il attacha une sorte de sangle à l’un des anneaux fichés dans une poutre que j’avais remarqués la veille, lorsque je calculais pour m'évader. Il attacha des sangles de la sorte à chacun des quatre anneaux. Je constatai que la matière que j’avais prise pour une toile était en réalité du cuir. Jean se retourna vers moi.

— Voilà, leçon du jour : le sling. Je vais t’y installer.

Il se saisit une nouvelle fois de moi et me déposa sur le dos dans le sling, attachant mes chevilles et me poussant à saisir les chaînes derrière moi, me forçant par là à lui présenter mon cul à hauteur de torse. Dans un grognement, il saisit la base du plug.

— Je vais le retirer

— Non, dégonfle-le, ça ne passera jamais !

— Si si, tu vas voir, détends-toi, je vais y aller doucement.

Et il tira doucement. Pendant quelques secondes, je crus que mon cul allait exploser, puis le plug glissa d’un coup, me laissant complètement vide. Jean émit un sifflement.

— Ton cul est super ouvert.

Il m’enfonça deux doigts qui rentrèrent sans difficulté. C’était à peine si je les sentais. Il en ajouta un troisième, puis un quatrième, et bientôt un cinquième. C’était super bon, mais je ne bandais plus.

— Encore, encore, le suppliais-je.

— Plus que mes doigts ? alors, c’est ma main. Tu es sûr que tu veux ?

— Oh oui, c’est bon, trop bon. Prends-moi le cul avec ta main.

Il retira ses cinq doigts, puis saisit une bouteille d’un autre lubrifiant que celui qu’il avait utilisé sur le plug. Celui-ci semblait plus visqueux et plus élastique. Il s’enduisit la main jusque sur l'avant-bras et puis repositionna ses cinq doigts devant mon cul. Il les enfonça doucement et je sentis mon sphincter s’ouvrir grand pour les accueillir. Il me dit de pousser, comme pour rejeter ses doigts et je contractai le cul un maximum. Lorsque je relâchai, sa main avança un peu en moi et les articulations de la base de ses doigts glissèrent dans mon cul. Je sentis une petite douleur dans le pourtour de mon cul hyper-dilaté. Mais il maintint la pression et, progressant millimètre par millimètre, il arriva à la base du pouce. Je n’en pouvais plus, c’était trop gros. Il me dit de recommencer à pousser, ce que je fis de toutes mes forces, persuadé qu’il ne passerait pas plus loin… Mais, alors que je relâchais à l’issue de l’effort, il enfonça toute sa main jusqu’au poignet dans mon cul. Je n’y croyais pas vraiment : j’avais une main dans mon cul, l’énorme main de Jean ! Cette pensée et la sensation incroyable dans mon cul provoquèrent une vague de plaisir qui parcourut tout mon corps. De ses doigts habiles il me caressait l'intérieur. J'y voyais trouble. J'étais à lui encore plus que quand il m'enculait de sa grosse bite et, quelques minutes plus tard, par des convulsions hyper jouissives, j’expulsais une quantité que je jugeai hallucinante de sperme.

Jean retira lentement sa main et je me sentis complètement vide. J'aurais eu besoin de tendresse mais Jean se saisit de moi, me libérant du sling pour me laisser tomber lourdement sur le sofa. Il me regarda et m'offrit un énorme sourire. Il rayonnait.

— Tu es très doué. Ca t'a plu ?

— Oui, mais je croyais pas y arriver.

— Tout est dans la tête tu sais. Voilà ! tu deviens une lope, avec une vraie chatte de mec bien souple.

Je rougis à cette phrase. Oui, je devenais accroc à mon cul, ce cul qui était toujours béant et que je n’arrivais plus à refermer sur l’instant, cette énorme cavité qui venait de se prendre la main de Jean."

________________________________________________________

Voilà. J'apprécie comme toi. J'ai jamais fait non plus. J'espère que tu as aimé.

Amitiés @+

J'ai trouvé ça comme photo de fist :

everythingyoucanputin: http://everythingyoucanputin.tumblr.com/

"le regard voilé...il est ailleurs"

bottomfagwhore: My wrecked cunt

"une vraie chatte de mec bien souple"

 

 

 

Par jmarie - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Samedi 26 avril 6 26 /04 /Avr 01:01

  Subjugué et en plein rêve avant même que je le touche... 

 

 

        ....

 

  Profile Photo trois coups de reins de psychopathe

 

LE VERLAN POUR  PD  c'est ...

J’avais envie de passer une soirée pèpère en me louant un bon dvd pour squatter tranquille chez oim. Je descends au vidéo club pour choper un bon film d’action avec un super héros qui niquent tout le monde. C’est pas très original mais y’a que les amerlocs pour faire des films où t’as pas le temps de souffler et surtout pas le temps de réfléchir !


J’arrive devant le distributeur automatique de ma rue et j’aperçois un p’tit keumé pas mal du tout. De dos, je fixe son petit boule bien moulé dans un jean déchiré au cul et je jette un œil par dessus son épaule. Le keumé est en train de faire défiler des films de boules et mate très concentré les jaquettes qui défilent.
Avec un fute pareil, j’aurais dû m’en douter, c’est un dèp qui commence à se chauffer sur les couvs mettant en valeur des gigolos américains surmusclés avec des teubs de cheval des grandes plaines ! Je crois que je vais laisser tomber Jean Claude Vandhame pour ce soir et que je vais montrer à cette petite chaudasse qu’un bon rebeu vaut quatre acteurs X américains professionnels ! J’attaque direct :
« Wesh man, c’est och ce que tu mates là. Si tu kiffes les grosses teubs, ramène moi chez oit tu vas pas être déçu ! »
Le petit céfran se retourne en sursautant et peut pas s’empêcher de jeter instinctivement un regard vers ma braguette. Le zob bien moulé dans mon jean, je me palpe la teub vite fait en lui lançant un sourire vicelard. Il sort un dvd de cul et me propose de le suivre. En deux deux on se retrouve dans son appart.
En montant les escaliers, il tortille du boule comme une chienne en chaleur et je comprends vite que je vais passer un bon kiffe à m’occuper de son boule devant le film qu’il vient de pécho. Arrivé chez lui, il balance le dvd et je me pose sur le canapé en me palpant le zboub à travers le jean . Sur l’écran, un latino se fait sucer par un petit blanc et la bosse dans mon caleçon commence à être impressionnante. Le céfran me mate discrétos et ose pas faire le premier pas. Cash, j’ouvre ma braguette et je fais jaillir mon zeub bien raide et lui fait signe en un clin d’œil de se la jouer comme dans le film.
A genoux devant oim, le pd suce comme une reine. Il joue avec sa langue sur mon gland circoncis, lèche ma teub de haut en bas en me malaxant les couilles. Il a du en voir passer des kilomètres de bite dans sa bouche pour pomper aussi bien. Même les pires tepus du Bois de Boulogne font pas mieux et là, c’est gratos.
Ca commence à chauffer grave aussi sur l’écran et le latino déchire son partenaire en levrette. Tant qu’à jouer les imitateurs, autant aller jusqu’au bout. Le céfran me ramène une capote et se doigte avec du gel pendant que je déroule le latex sur mon zbouby en folie. Une fois qu’il est en position, je vais lui déchirer la rondelle sans pitié et en trois coups de reins de psychopate, je lui défonce son petit cul de taspé. Il gueule comme une vraie lopsa et se crie se mélange aux râles rauques du latino du dvd, on a l’impression d’être dans une touze ou tout le monde nique avec tout le monde.  

 

 


Mon regard se ballade entre les scènes de l’écran qui me chauffe un max et la vue de mon zeub qui s’engouffre dans le cul serré et lisse de ma tepu vidéophile. Le latino se met à claquer le boule de son keumé et je fais de même : le céfran monte au septième ciel et rugit de plaisir à chaque claque sur le cul qui rythme les coups de butoirs que je lui donne sans pitié. Soudain, le latino sort sa grosse teub et balance son jus sur le cul de son partenaire. J’ai les couilles en ébullition et j’ai à peine le temps de virer la capote qu’en trois coups de poignets, je décharge moi aussi de longs jets crémeux de foutre sur son petit cul blanc. La lopsa jouit comme un ouf en se branlant sa petite teub et crache sur le parquet en remuant son cul comme une chatte en chaleur.
Je trace vers la salle de bain pour me rincer la teub et quand je reviens, je retrouve le keumé sur le canapé les pattes en l’air. Sur l’écran, un kebla surmembré est en train de déchirer un passif dans la même position. Le céfran me lance un regard de chienne, apparemment il en voudrait bien encore un peu.
« Sorry man, tu m’as pris pour un khalouch ou quoi ! Finis toi avec un gode ! » et je me barre aussi sec en claquant la porte. Il a beau être accueillant, j’allais quand même pas refaire tout le film avec le dèp  

   

 

 

 

Par gaybeuparis - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 20 avril 7 20 /04 /Avr 10:20

 

 

les amis sont bien plus fidèles que les amants.

 Amoureux du patron

J’ai envie de lui. Depuis déjà plusieurs semaines, je croise son regard. Il est le patron derrière le bar. Toujours un mot pour chacun. La stature de l’homme qui commande, et une impression de tendresse pour ses habitués. Je croise son regard clair et j’ai l’impression que ses yeux perçants se plantent dans les miens avant de me déshabiller en pensée. Je veux qu’Il me prenne. Ça doit arriver, je me demande seulement quand ???

Un soir d’été, alors que la fréquentation est plus faible que d’habitude, un dimanche, quand le bar ferme plus tôt… “Tu restes prendre un verre ?” J’en meurs simplement d’envie.

Alors qu’Il compte la caisse, un serveur est là qui passe le balai, range les tables, descend le rideau de fer. Je suis assis sur le comptoir, derrière lui et nous bavardons gentiment. Je sirote mon cognac en sachant que tout cela va durer un bon moment. Un long moment pendant lequel j’ai tout loisir d’appréhender la suite. Je sais déjà qu’Il va me soumettre. Je le vois dans son regard, nous nous sommes compris. Je crois. J’espère.
Cette compréhension ne suffit pas. Être soumise c’est avoir peur. Toujours avoir peur de l’autre. Se demander jusqu’où Il peut aller. Et parfois espérer, dépasser ses limites.
Je pense à ce que j’aimerais qu’Il fasse, ce que je redoute qu’Il fasse, ce que je ne supporterais pas qu’Il fasse, ce que je crains qu’Il ne fasse pas. Et je pense aussi que trop fantasmer à l’avance c’est s’exposer à être déçu.

La chaleur m’envahit. L’alcool m’a déjà enhardi et j’ai l’impression que mon corps est uniquement tendu vers ce but. Je crève de me jeter à ses pieds pour le sucer. Mon sexe s'est allongé, encore mou mais plein de désir.  Et toutes ces banalités débitées pendant que ces images m’agitent me rendent encore plus nerveux.
Et enfin. Enfin. Le serveur nous souhaite une bonne soirée avec un clin d’œil complice. Il croit que ce qui va se passer n’est un secret pour personne. Comme Il se trompe !

Le patron est là. Seul. Debout devant moi. C’est enfin le moment, où tout peut se décider, où chacun de nous va dévoiler son jeu. Et c’est à lui de commencer. Je suis toujours assis sur le comptoir, mon verre à la main, face à lui. Il me regarde. Comme s’Il n’arrivait pas à se décider. Comme s’Il ne savait pas par où commencer. Comme s’Il hésitait, comme s’Il avait peur. Il sourit légèrement puis en me regardant dans les yeux me dit simplement : “T’es une vraie petite salope toi, pas vrai ?” Pourquoi faut-il que le sexe soit teinté de culpabilité?  Je pense que c'est pour rejeter "la faute" sur l'autre...

Bref c'est une attaque qui dit son nom. Eh ben voilà !
Rien n'est changé, sauf que mon cœur manque un battement. Il m’a touché, attrapé, ficelé avec cette phrase. Maintenant je ne bougerai plus c’est sûr. Je lui jette un regard troublé, intimidé, avec un petit sourire.

C’était le signe qu’Il attendait. Il semble parfaitement détendu maintenant. Je vois qu’Il est rassuré. Qu’Il a les choses en main et qu’Il va les mener avec assurance. Il garde le silence maintenant. Il recule d’un pas et commence à défaire sa ceinture en gardant son regard planté dans le mien. Je sens l’adrénaline monter en moi. Alors qu’Il défait son pantalon, je me laisse glisser du bar et dans un seul mouvement me retrouve à genoux devant lui, prêt à officier.
Il extrait son sexe, mou. D’une main Il l’approche de ma bouche et de l’autre donne une inflexion légère à ma nuque. J’ouvre la bouche en tirant la langue et le prends délicatement. Je commence à sucer doucement et je le sens durcir progressivement, prendre de l’ampleur dans ma bouche.
Je me sens affamé. Comme si je pouvais pomper pendant des plombes. J’ai envie de l’avaler entièrement. J’y mets tout mon cœur. D’abord délicatement, je caresse son gland de ma langue et enfonce son pénis le plus profond possible dans ma bouche. J’aspire, de plus en plus fort dans un mouvement de va et vient. Puis je reprends conscience du reste de mon corps. Je bande ferme.
J’approche une main de ses couilles que je commence à malaxer doucement. Ses gémissement me parviennent de plus en plus appuyés, de plus en plus libres : personne dans le bar.  Il ne dit rien.
Après quelques minutes, brutalement, Il retire son sexe de ma bouche. Je me sens comme un enfant à qui on retire son jouet, sans explication. J’aurais voulu le garder pour toujours.

Il m’attrape par le bras pour me relever et me pousse contre le bar. Derrière moi, je le sens bouger mais je ne vois pas ses mouvements. Puis je n’entends plus rien. Enfin, Il s’approche, doucement. Il pousse mon buste contre le comptoir tandis qu’Il baisse mon jean pour exposer mes fesses. Je l’entends s’exclamer. “Quel cul !” Je rougis, Il ne peut pas le voir. Il fait glisser et mon boxer et l’enlève tout à fait. Je repose sur mes pieds en chaussettes, troussé comme une pute, mon cul offert à sa vue. Il recule. Je ne l’entends plus. Je me sens exposé. Vaguement mal à l’aise.
Il s’approche à nouveau et commence à malaxer brutalement mes fesses.
Puis, sans crier gare, une main enserrant fermement ma taille, Il enfonce un doigt. Au milieu de mon gémissement Il murmure que je suis déjà bien mouillé, que j’aime ça hein ? Je chuchote que oui.

Il glisse un autre doigt puis passe sa main sur ma chatte de garçon... My pussy en anglais. Dans ma chatte. Je sens qu’Il prend plaisir à me barbouiller de salive. A prendre possession des lieux. Et plus Il se comporte en propriétaire, plus je désire être sa propriété. Tout en continuant à farfouiller dans ma chatte d’une main, de l’autre, Il remonte sous ma chemise blanche de loufiat et attrape un de mes tétons, le malaxe rudement.
Il m’attrape par les cheveux pour me redresser et enlève ma chemise. Ceci fait, Il me repousse vers le comptoir. Il appuie ma face contre le bois puis de ses deux mains sur mes hanches, m’oblige à me cambrer encore un peu plus. De sa main gauche Il enserre mon cou fermement. Je me sens prisonnier, à sa merci. De sa main droite, Il reprend son mouvement de va et vient dans ma chatte. Dans cette position, Il est penché sur moi et je sens son torse contre mon dos nu. Sa respiration.
Un doigt. Deux… Trois. Je ne sais plus. Plus profondément. Plus brutalement. Je gémis de plus en plus fort. Peu à peu, mon champ de conscience se réduit à mon derrière. J’ai l’impression qu’Il s’ouvre démesurément. Je ne pense plus qu’à ces doigts en moi. Le temps pourrait s’arrêter.

On frappe à la porte. Je sursaute. Il s’arrête. Il se penche un peu plus vers mon visage pour me chuchoter de ne pas bouger. Il va ouvrir. Les battements de mon cœur s’accélèrent. Une personne qui regarderait par la porte entrebaillée tomberait à coup sûr devant mon cul offert. Mes jambes écartées. Ma chatte ouverte et trempée de salive. Je voudrais disparaître. Mais je ne bouge pas. Puisqu’Il me l’a demandé. Et que c’est lui le patron.

Je l’entends ouvrir la porte. Il parle très bas. Impossible de comprendre ce qu’Il dit, ni à qui Il s’adresse. La personne en question peut-elle me voir ? Va-t-Il interrompre notre jeu pour une urgence quelconque ? Les minutes semblent s’étirer à l’infini. Je reprends peu à peu conscience de mon corps. Mes jambes me font mal. Les os de mes hanches ont cogné contre le bord du comptoir. Je vais avoir des bleus. Il y a un truc qui colle sous ma main… J’entends la porte claquer. Ses pas qui s’approchent.

Il contourne le bar pour s’asseoir en face de moi. Il murmure “Changement de programme.” Il soulève mon menton, approche mon visage du sien. Ses yeux dans les miens, tout près…Il me roule une pelle conquérante. “Un ami est venu me rendre visite. Il t’a croisé au bar, Il a très envie de toi. - Qui est-ce ? - Chhh… Ne pose pas de question, d’accord ? - … - D’accord ?” Comme je fais mine de me retourner, Il me retient. “Tu es d’accord ? insiste-t-il - … oui.”
Mais j’en tremble presque. De peur ? Ou d’excitation. A ce point, je ne sais plus.

- Chhh… c'est un ami, tu le connais aussi.

J’entends du bruit derrière moi. Des pas qui s’approchent, le bruissement de vêtements qu’on défait. Montée d’adrénaline. Des mains se posent sur mes fesses. Caresses. Mon dos. Mes seins. Plus rien. Le patron a reposé mon visage contre le comptoir. Une main posée sur mes cheveux Il regarde l’autre.
Douleur fulgurante. Il m’a frappé. Sur les fesses. Du plat de la main, il m’a frappé. Et il recommence. Encore et encore. Chaque fois, mon corps bute contre le bois du bar et m’arrache des cris aigus. Je ne cherche pas à les retenir. Je connais ce genre d’hommes, je sais que ça l’excite. J’ai mal mais c’est supportable. Il retient ses coups. Mais continue. Encore. Encore. Ça brûle. Je serre les dents.
Je n’aime pas ça. Il ne s’arrêtera que quand mes fesses auront atteint la teinte recherchée. Un rouge vif. Luisant. Il ne me touche pas. Sauf du plat de sa main. Il frappe. Encore. Encore. Les larmes commencent à monter. Je ferme les yeux. Le patron, caresse mes cheveux. Et l’autre continue. J’ai l’impression que ça dure depuis de longues minutes déjà. Et il continue. Et cette fois, je pleure tout à fait. J’ai arrêté de crier et ne pousse plus que quelques gémissements.

Et puis il s’arrête. Enfin. Je sens qu’il approche son sexe de mon orifice. Je ne suis plus du tout excité maintenant. Il me pénètre. Brutalement. Profondément. M’arrachant à nouveau des cris. Il commence un lent et profond va et vient. Son sexe me paraît épais, je me sens déchiré. Et il accélère. Il me baise fort. J’ai mal mais la situation m’excite et je commence à y prendre plaisir. Je plonge mon regard dans celui du patron. Il me dévisage, guette le froncement de mes sourcils, ma bouche qui se déforme dans l’étreinte. Je ne le quitte pas des yeux. C’est avec lui que je baise vraiment. L’autre continue à baiser tandis qu’Il caresse doucement mes cheveux. Enfin Il m’embrasse à pleine bouche. Je le ventouse et m’accroche à sa bouche comme tout à l’heure à sa bite, comme un naufragé.

Puis l’autre s’arrête. Il se retire. Je sens qu’il maintient mes fesses fermement écartées tandis que sa langue s’approche de mon trou. Il la glisse doucement sur le haut de mes cuisses. La caresse est douce alors que mon cul me brûle. Il remonte lentement. Je sens mon anneau se gonfler d’excitation quand il s’y pose délicatement. Je tressaille. Il lape. Il fait ça bien. C’est rare, des hommes qui sachent me prendre. Comme ça. C’est… si bon. Je suis totalement immobilisé. Mon torse contre le bar, mon visage dans Ses mains, mes yeux dans les Siens. Mes jambes maintenues dans les mains de l’autre, à la merci de la jouissance. Qui monte. Tranquillement. Sans un faux mouvement. Est-ce que ? Oui. Il glisse une main vers mes fesses. Il va le faire. Il glisse un doigt dans mon cul. S’il continue, c’est sûr je vais jouir.

Mais il s’arrête. Se relève. Son doigt toujours en bonne place. De l’autre main, il continue de caresser ma verge. Je sens mon anus se dilater progressivement. Est-ce qu’il va ? Je crois qu’il va le faire. Il crache. Je sens que son doigt glisse, de mieux en mieux, de plus en plus profondément. Je veux qu’il le fasse. Je gémis. J’ai envie de lui crier de le faire. Mais. Ce n’est pas mon rôle. J’attends. C’est ce que je dois faire. Il prend son temps. Je crois qu’il a senti mon impatience. Il veut me torturer un peu. C’est son rôle, à lui. Et enfin… il m’encule.
J’ai peur qu’il me fasse mal mais je suis tellement excité que je doute que ça puisse arriver. Je sens enfin sa pine. Dans mon cul. Il pénètre lentement mais avec assurance. En moins d’une minute il est chez lui. Sa main toujours sur mon sexe. La langue du patron que je suce dans ma bouche. Je suis plein. Et heureux. Je crois qu’Il commence à se branler. Et l’autre accélère. Accélère encore. Si ma bouche n’était pas obstruée, je hurlerais pour de bon. Mon plaisir monte et monte. A ce moment, la seule chose que je redoute c’est qu’il s’arrête. Je vais jouir. Je me prends à rêver qu’il jouisse dans mon cul. C’est tellement excitant.
C’est si bon, tout ce qu’il y’a dans ma tête c’est “Mon dieu que j’aime me faire enculer !” L’autre garde le rythme, ne cesse pas le va ét vient sur ma queue et… je jouis. Le patron retire sa langue de ma bouche et alors je me mets à crier si fort qu’on doit m’entendre de la rue. Je sens que mes jambes vont se dérober. L’autre me maintient d’une main, il s’immobilise, je l’entends grogner. Il tremble. Je tremble. Il a déchargé dans mon cul. Je lui en suis… reconnaissant. Ce sentiment me surprend moi-même. Il reste un moment sans bouger. Puis, quand il se retire, je me sens humide entre les cuisses.

Je suis haletant, les larmes aux yeux. Le patron m’embrasse. Essuie mes larmes. Tandis que l’autre se rhabille et sort. Quand j’entends la porte claquer, je me laisse glisser sur le carrelage froid. Il me rejoint. S’assoit à mes côtés et me prend dans ses bras. Il caresse mes cheveux, mes épaules, mon ventre. Après toute cette sauvagerie, j’ai tellement besoin d’un câlin. Et c’est si rassurant de savoir qu’Il sait ça. Nous restons comme ça de longues minutes.

Et puis il se relève et m’attrape par le bras. Il me présente sa bite et il est temps pour moi de le remercier. Je suis épuisé mais tellement reconnaissant que je n’aurai pas de mal à trouver l’énergie pour le satisfaire. Il a perdu son érection. Je le prends donc tout doucement dans ma bouche. Je titille son gland avec ma langue, remplis ma bouche avec sa bite. Mais elle ne gonfle pas. Je descends ma bouche sur ses cuisses, l’embrasse, le caresse. Je glisse mes mains sous ses couilles, les soulève légèrement, les lèche, remonte jusqu’à la base de son sexe, le reprends. Mais mes caresses sont sans effet. Je sens qu’il trépigne, qu’il est mal à l’aise. Cela va rendre notre relation plus complexe. Même s'il est comme moi, en attente qu'on le baise, je vais l'aimer, aimer sa complicité. On peut monter des coups tous les deux : les amis sont bien plus fidèles que les amants.
Tout à coup il me soulève et me serre contre lui. Alors que je pose sur lui un regard interrogateur il me dit “Non, mais… T’es pas un garçon qu’on baise toi. T’es un mec dont on tombe amoureux.”

 

 

Par claudio - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES
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Mardi 15 avril 2 15 /04 /Avr 22:03

 

Montage photo...d'un bain idéal et DIVIN

#hamam hamam tellak kese

 

J'ai dit à Sven : — Je n’ai pas envie de voir des églises et des monuments tout l’après-midi, j’ai regardé sur internet, j’irai au hammam.

— C’est intéressant, je n’y suis jamais allé. Je n’aime pas trop les visites culturelles. Pourrais-je venir avec vous, j’ai pris un maillot de bain.

— Ce ne sera pas nécessaire, mais, rassurez-vous, nous ne serons pas nus. Permettez-moi de vous inviter.

 Nous avons pris un  PESTEMAL (vêtement turc) et nous sommes entrés dans le vestiaire des hommes, nous étions seuls. J'ai dit à Sven :

 

— Voilà, nous pouvons nous déshabiller. Il faut enlever les sous-vêtements et mettre le pestemal.

Sven avait un caleçon blanc, mais il a mis le pestemal autour de sa taille avant de l’enlever.

Nous sommes montés au premier étage. La première station était le sogukluk (bain de vapeur aux herbes à 35° C). Nous nous sommes assis quelques minutes, puis nous avons fait couler de l'eau sur notre corps avec une coupelle argentée. La deuxième station était le kese (gommage du corps avec un gant). J'ai tout de suite enlevé mon pestemal. Sven s'en est étonné:

— A-t-on le droit d'être nu?

— Dans cette salle, c'est autorisé.

Sven a hésité, puis s'est aussi dénudé. C'était la première fois que je le voyais entièrement nu. Il était mince, avait les cheveux blonds assez longs, les yeux bleus. Son pénis était mince et long, avec un long prépuce. Il n'était pas rasé. Il avait déjà un tatouage sur l'omoplate gauche, une sorte d'oiseau stylisé. J'ai fait semblant de me concentrer sur le gommage, mais je le regardais furtivement.

La station suivante était le sicaklik (bassin central avec une hauteur sous plafond de 13 mètres dans de l’eau chaude à 35° C). Puis ont suivi le bingul (bain de vapeur chaud aux herbes à 45° C) et le lif (de nouveau un gommage, mais avec du savon).

Nous nous sommes reposés quelques minutes sur des pierres chaudes. Ensuite, nous avions un enveloppement aurhassoul (argile minérale naturelle extraite dans les montagnes de l’Atlas marocain). Nous étions quatre dans une pièce, un couple nous avait rejoint. Une fois la lumière tamisée, nous pouvions nous dénuder et appliquer le rhassoul sur notre corps. Après une douche, la lumière s'est rallumée. Nous sommes de nouveau montés d'un étage, nous nous sommes séchés et avons pris un drap sec. Nous avons bu un verre de thé.

J'avais encore réservé le bain du sultan, un bain privatif de 20 minutes. C'était l'heure de vérité, j'allais être seul avec Sven. Nous sommes entrés dans la salle de bain. La masseuse nous a dit :

— Les baignoires se rempliront automatiquement. La lumière restera tamisée jusqu’à la fin, environ 20 minutes.

Elle a fermé la porte et nous sommes restés seuls. J’ai enlevé mon pestemal et j'allais entrer dans la baignoire. Par contre, Sven ne bougeait pas. Il m'a soudain dit :

— Et là, qu’est-ce que je suis sensé faire, bander ?

J’étais surpris. Il a ajouté :

— Je pensais que ce local était réservé aux relations intimes.

— Oui, c’est certainement le cas, mais je ne comprends pas.

— Vous vous êtes bien moqués de moi, ton ami le guide et toi.

— Que veux-tu dire ?

— Ma mère est allemande, j’ai tout compris vos messes basses lors de la distribution de la clef. J’ai aussi compris à la caisse que tu avais réservé ici depuis cinq jours.

— Bon c’est vrai, je voulais que tu viennes avec moi au hammam et te voir nu. Et toi, pourquoi es-tu quand même venu si tu avais tout compris?

— Je voulais aussi me moquer de toi et jouer au naïf.

— Bon, et maintenant, que fait-on ? On se fait la gueule pendant le reste du voyage ?

— Ou on baise ensemble ?

— Es-tu gay ?

— Je ne sais pas vraiment, je pense que oui. Je t’avoue, je n’ai encore jamais eu de relations avec un homme, ni avec une femme d’ailleurs.

— Veux-tu essayer avec moi ?

— Avec toutes ces discussions, nous n’avons plus que 15 minutes, baignons-nous, on verra plus tard.

Nous avions ensuite un massage à l'huile de 50 minutes. Je conseillai à Sven. qui n'avait jamais eu de massage, de rester très détendu. Nous nous sommes couchés sur le ventre, puis sur le dos. À la fin, Sven m'a dit:

— Comment fais-tu pour rester si calme? Je bandais presque, j'espère que le masseur n'a rien vu sous la serviette. Cet endroit est si sensuel.

Nous sommes encore montés au dernier étage, le camekan(salle de repos) et nous nous sommes reposés pendant une demi-heure. Je pense que Sven s'est masturbé, mais il l'a fait discrètement. C'était évidemment interdit. Il avait cependant une tache suspecte sur sa serviette. Nous sommes redescendus au vestiaire et nous avons quitté le hammam.

Par jules de gai eros - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Jeudi 10 avril 4 10 /04 /Avr 00:27

Dans leurs "bahuts " on trouve facilement à s'arranger !

 

Moi c'est Jori 2  Je passe souvent sur un lieu de drague à Avignon sur les bords de la Durance. Là, on trouve de tout et quelques routiers parfois, et ce jour-là, j'avais envie de me faire un mec, j'avais très faim. Je m'installe dans ma voiture et j'attends... Ça tourne et retourne les voitures et moi, j'ai pas envie de de genre là. Au bout d'un moment, un tracteur plus sa semi s'engage dans le passage, tourne et se gare.

Un mec en descend, je m'avance et je vois qu'il me regarde. Je le suis dans les petits bosquets, je ne le trouve plus! Merde, où est-il passé? Je marche, je scrute, rien et tout d'un coup (il devait m'espionner) je me vois arriver un mec, 35/38 ans, en jeans, chemise ouverte. C'est vrai, ce jour là il faisait très beau donc, la chemise ouverte sur un torse légèrement velu; une petite queue de cheval, mais très courte, des yeux bleus, charmant enfin à ma convenance. Je lui dis: "Bonjour!", il me répond bonjour et me dit: "J'aime la nature et les arbres qui bourgeonnent."

Je lui mets la main au paquet qu'il avait pas mal garni en lui demandant si ça aussi, ça bourgeonnait. Il me répond: "Ça dépend que de toi..." Il me demande ce que je fais, je lui dit: "Je te suce si tu veux..." Il me répond OK et m'entraîne dans un bosquet en contrebas, au bord de l'eau. Là il baisse son froc, je vois une longue bite, en semi érection. Je m'abaisse à son niveau, je lui sens la queue et les couilles, hum... bonne odeur! Je me la mets en bouche (la bite) puis je lui lèche les couilles, petites, mais bien ovales et poilues, et bien pendantes. Après, je commence à lui sucer son sexe qui ne tarde pas à grossir et à se raidir. Il me caresse les oreilles, les cheveux, je lui caresse les couillles en même temps puis je lui caresse les fesses, ses jambes longues, minces et poilues, les mollets, le dos. Je lui gratte le ventre, des seins au zob et ma bouche travailleuse qui l'astique.

J'entends: "Ho putain! que tu me suces bien! Tu me suces mieux que ma femme. Qu'est-ce que tu fais ça bien, tu aimes la bite toi hen salope? Elle est bonne ma queue, régale toi, tu aimes, tu es un bon petit suceur. Oh là! Là!" Moi, ravi, je continue de plus belle en serrant les lèvres sur cette belle pine. Il me dit: "Montre moi ton cul!" Je me relève, je baisse pantalon et slip, il me retourne, je me baisse pour lui montrer mon trou affamé et là il me dit: "Quel beau cul! Il faut que je te baise..." Il m'enfonce un doigt en me disant: "Tu en as envie hein salope?" Je réponds: "Oui!" Je sorts une capote, je lui enfile, je l'enduis de gel et j'enduis aussi mon trou en me disant "mon pauvre qu'est-ce tu vas te prendre!" vu l'engin, au moins 20 cm et 4 de diamètre.

Il me dit de me baisser en avant, il me tient par les hanches, et me dit: "Laisse toi aller, ça va rentrer tout seul!" Ho surprise, je sens un pieu me forcer et pénétrer sans mal, sans violence, et il commence à me limer le cul en me disant: "Que c'est bon! Ton cul, ha vraiment trop bon! Tu es large, tu pourrais t'en pendre deux, hein salope..." et moi pendant ce temps, je lui caresse les couilles, et lorsque je ne les touche pas, elles viennent effleurer et même frapper les miennes; en plus avec leurs poils, ça me fait de l'électricité. Aie, Aie, trop bon! Il gémit de plaisir et me lime de plus belle. De temps en temps, je lui caresse son trou du cul très serré.

Je m'appuie sur le sol de mes deux mains pour offrir mon cul en feu à ce pompier volontaire et lui dit haut et fort: "Ho ouiii! Baise moi bien, j'aime me faire tirer comme un grosse salope que je suis!" Il me dit: "Continue à me sortir ce genre de choses, tu m'excites!" et c'était vrai, j'ai senti son gigot se raidir et moi de continuer à glousser comme une salope qui se faisait bourrer comme une truie. Et le comble, c'est que j'ai pris mon pied, j'ai senti un plaisir m'envahir et j'ai joui en me faisant baiser, c'était terrible! Je lui caressais les couilles et en sentant mon anus se contracter lors de ma jouissance, en criant, de plaisir, je l'entends me crier à son tour: "oui! Moi aussi je viens! Je t'encule bien comme une salope que tu es, tiens, prends toi ça!" Heureusement qu'il y avait la capote, car lorsqu'il l'a otée, je peux vous dire qu'il y en avait un bon verre à liqueur et le mâle était ravi de m'avoir honoré tout en me déshonorant (sic).

On s'est revu de temps à autre et je peux vous dire que c'est toujours aussi excitant, et il n'est pas homo en plein car, lorsque je lui caresse son trou du cul, il se contracte et me dit qu'il n'aime pas qu'on s'occupe de son cul mais préfère se faire cajoler, sucer, caresser et ce qu'il aime par dessus tout c'est la baise, et je vois bien qu'il aime, mais qu'est ce que c'est bon! Il baise à merveille et moi je suis ravi...

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jori

 

 

 

 

 

 

Par jori - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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