SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES

Lundi 23 décembre 1 23 /12 /Déc 08:05

en construction et sera classé dans RECITS REELS

En général, même s'ils ont eu du plaisir avec un gay les hétéros purs et durs font semblant qu'il ne se soit rien passé  et de ne se souvenir de rien... les enfoirés ! Le contraire existe...chez les gays. 

J'ai connu Stéphane à l'école secondaire. Quand j'étais en secondaire un, je le voyais à tous les jours, traversant la grand'place, difficile de le manquer, alors que tous les gars de notre âge faisaient près de 1,70m lui n'avait même pas 1,50m... C'est simple, la hauteur de sa tête arrivait juste un peu plus bas que mes épaules. Oui, il était petit, mais ô, combien je le trouvais superbe ! Il m'aura fallu attendre à ma deuxième année de secondaire pour mieux le connaître. Gêné comme je l'étais, je n'avais jamais osé l'approcher, et ce n'est pas parce qu'il était dans ma classe que ça changeait quoi que ce soit!

Durant la classe, nous avions des places fixes, alors il était toujours assis à quatre tables derrière la mienne. Je ne sais pas s'il s'est aperçu que je le regardais souvent, ou encore s'il avait décelé combien j'étais attiré par lui, toujours est-il qu'au courant du second mois après le début des classes, "baveux"(1) comme toujours (j'allais l'apprendre plus tard qu'il l'était tant!), il me balançait son sac rempli de cahiers dans le dos ou sur les jambes en passant à côté de moi. La première fois, je croyais que c'était un accident, alors je n'ai eu aucune réaction sauf si ce n'était que j'étais quelque peu vexé qu'il ne s'excuse de la manoeuvre. Mais les cours suivirent et les coups revenaient et revenaient... Agacé - pour ne pas dire écoeuré! - je lui lançais donc à brûle-pourpoint:

— Hey toé! Y'a d'autres manières de devenir amis tu sais?  

Même moi, je n'en revenais pas de mon audace... enfin pour vous c'est peut-être bien peu, mais pour ma timidité, c'était tout un exploit! Il me fit alors un sourire, s'assit à son pupitre et, dès lors, nous sommes devenus des amis inséparables. Nous étions toujours ensemble, aux récréations et sur l'heure du dîner. Bien entendu, tous les autres de la "gang" (2)étaient là aussi, mais moi, je n'avais d'yeux et d'oreilles que pour mon beau Stéphane. Jamais un gars m'avait fait autant d'effet ! C'est d'ailleurs à cause de lui que j'ai réellement pris conscience de ma différence. Mes nuits étaient peuplées de rêves où nous étions ensemble et que nous osions ces choses que seuls les meilleurs copains osent faire entre eux lorsqu'ils ont notre âge. en rêve   en rêve

Les semaines passèrent, notre amitié s'était beaucoup développée, nous étions aussi proches l'un de l'autre que les convenances le permettaient. Comme j'habitais non loin de chez lui, il m'arrivait le soir ou encore les weekends d'aller le rejoindre chez lui et vice-versa. Jamais je n'osais quoi que ce soit de déplacé, jamais nous ne parlions de sujets "chauds". Nous parlions musique et surtout de cinéma; nous avions tous les deux une passion pour le septième art. Ses parents avaient la télé payante, qui était toute nouvelle, et ça nous donnait l'occasion de nous voir encore plus souvent.

C'est durant l'hiver que nous avons dépassé le stade de l'amitié pure et simple. Alors que j'avais remporté dans un quizz radio une paire de billets pour un match de hockey collégial, je lui avais donc offert de m'accompagner. Je n'étais pas un fan de hockey, mais je savais que lui, tout ce qui touchait le sport, l'intéressait. Il accepta avec joie, à mon grand bonheur. Après l'école, nous avions donc convenu de retourner chacun chez soi pour souper et nous nous allions nous retrouver à l'arrêt d'autobus. Il arriva presque en retard. Il avait eu quelques difficultés à convaincre ses parents de le laisser aller; nous avions école le lendemain, nous n'avions que 15 ans et nous ne serions de retour que très tard! Mais finalement on fut d'accord...

Après quelques heures dans plusieurs trajets d'autobus - on nous avait mal informés ! - nous avons finalement trouvé l'aréna.(patinoire) Le match était à sa seconde période, mais même si nous n'avons pas vu tout le match, le spectacle était enlevant.(captivant) Notre équipe a gagné 11-2, vivement les 7 buts d'un jeune joueur aujourd'hui président d'un club de hockey dans la nationale! Le match terminé, il ne restait plus qu'à retourner chez nous.

Quand nous sommes sortis, l'air froid nous a immédiatement pris de court. Il ne nous avait pas semblé faire si froid quelques heures plus tôt, mais la température avait chuté dramatiquement et les vents du nord s'étaient levés. C'était le pire froid sibérien que j'avais connu. Comble de malheur, nous voyions l'autobus s'en aller à quelques centaines de mètres de nous, impossible à rattraper. Nous étions donc au milieu de nulle part, les spectateurs avaient eu tôt fait de s'en aller en voiture, il n'y avait plus personne aux alentours. Nous étions pris à attendre plus une heure pour le prochain bus.

Nous avons tenté de nous abriter du vent le plus possible, mais rien à faire, les rafales glaciales déferlaient l'une après l'autre, nous congelant sur place. Soudainement, avant que l'on puisse même penser à se réfugier dans l'aréna, toutes les lumières aux environs s'éteignirent et nous n'étions plus que nous deux, sur le bord de la route, sous un réverbère qui émettait une faible lumière. N'en pouvant plus de supporter ce froid et ce vent, je dis donc à Stéphane que j'allais me réfugier dans la neige. Je me souvenais que mon père m'avait dit un jour, que si j'étais pris dans le froid, que je devais me protéger avec de la neige. Cette dernière est froide, mais beaucoup moins que l'air et le vent, et qu'une bonne couche de neige isolait bien du vent.

À quelques pas de nous se trouvait un énorme banc de neige. Avec mes mains, je creusai un trou qui allait me permettre de m'y enfouir le plus possible. Stéphane, me voyant faire quoique perplexe, vint à mes côtés et m'aida à agrandir le trou pour que nous puissions nous y installer tous les deux. J'ai donc pris place et il s'assit à côté de moi. Nous étions collés l'un contre l'autre et ça me faisait presque oublier le froid déjà! Son corps tremblait, alors machinalement, sans y penser, j'ai mis mon bras autour de ses épaules pour le coller contre moi. Lui non plus ne devait pas y penser car il s'est immédiatement blotti contre moi, glissant son visage au creux de mon épaule. Je pouvais sentir son souffle chaud sur mon cou; ça m'excitait comme c'est pas possible. J'aimais le sentir tout contre moi et je ne pus m'empêcher de profiter de la situation.

Je le serrai encore plus contre moi, et avec les mains, je me mis à caresser vigoureusement son dos. Il me souffla: "Ça réchauffe, ça fait du bien..." alors je continuai tout en descendant un peu dans son dos, feignant de vouloir en couvrir toute la superficie. Naturellement, à la grandeur qu'il avait, ce ne fut pas long que j'arrivais au bas du dos et je continuai mon manège en m'aventurant sur le haut de ses fesses bombées. Je massai quelque peu les globes de chair sans trop m'y attarder, ne voulant pas briser ce moment spécial.

Alors que je continuais en remontant vers ses épaules, je sentis les mains de Stéphane qui commençaient à me masser le dos également pour me réchauffer. Comme j'aurais aimé que ce moment se passe dans une situation moins difficile, où j'aurais pu risquer de me dévêtir pour savourer ces caresses, le dévêtir afin de sentir sa peau qui me semblait si douce lorsque nous nous changions dans les vestiaires de l'école. Mais ce n'était pas le cas et je devais profiter au maximum du moment présent.

En me décollant un peu de lui, mais pas trop afin de lui permettre de continuer ce qu'il faisait, j'ai commencé à frotter à l'avant en commençant par les épaules et en descendant sur ton torse. Quand je suis arrivé sur son ventre, il se décolla le bassin un peu plus pour me laisser un meilleur accès et c'est là que je me rendis compte que son rythme respiratoire s'était de beaucoup accéléré! Je continuais donc de descendre comme si de rien n'était jusqu'à ce que j'arrive à ses hanches. Je lui massai les cuisses en causant de petits "accidents" au cours desquels "j'accrochais" son entrejambe. Moi, j'étais bandé depuis bien longtemps et c'est avec stupéfaction que je le surpris aussi bandé que moi.

Ses mains avaient cessé de me masser le dos depuis quelques instants et en regardant son visage, je vis que ses yeux étaient fermés. Prenant mon courage à deux mains, je fis des "accidents" de plus en plus fréquemment jusqu'à ce que sa respiration s'en transforme en halètement. J'en déduisis que j'avais le feu vert! Sans plus de retenue, ma main droite se plaqua contre le devant de son pantalon et je caressais son sexe bandé au travers de son jeans. Stéphane demeurait là, les yeux fermés, mais sa main s'aventura vers mon entrejambe et il commença à m'administrer les mêmes caresses que je lui faisais. Son silence s'est peu à peu transformé en gémissement et c'est alors que j'ai décidé de tenter le tout pour le tout.

J'ai retiré mes gants et me suis frotté les mains vigoureusement pour les réchauffer au maximum. Ensuite, j'ai remis mon gant de gauche, et, la mode des jeans moulant n'étant pas encore arrivée, j'ai pu aisément glisser ma main droite sous la ceinture de son jeans. Quand mes doigts ont rencontré son sous-vêtement, j'ai les ai soigneusement glissés sous l'élastique pour me diriger directement sur sa verge. Sur le coup, je fus très surpris. Stéphane avait beau comme moi être dans ses quinze ans sous peu, il n'avait qu'un fin duvet qui lui couronnait la verge. Ayant atteint son objectif, ma main entoura son sexe avec douceur et commença à faire les petits mouvements que me permettaient son jeans toujours attaché. Le va-et-vient avait beau être faible, il n'en fallut peu avant que Stéphane, dans un cri étouffé, se laisse aller et éjaculait entre mes doigts.

Encore sous l'effet de la jouissance, Stéphane entreprit donc de faire la même chose que moi, mais lorsqu'il entra sa main dans mon caleçon, ses doigts atterrirent directement dans une flaque de sperme encore chaud. Il me regarda alors dans les yeux, et en retirant sa main, me fit le même petit sourire narquois qu'il m'avait fait un jour en classe.

Une chance que j'avais éjaculé dans mon pantalon car mon copain n'aurait eu le temps de me faire quoi que ce soit; on entendait enfin l'autobus arriver à notre arrêt. Nous nous sommes rapidement relevés de notre trou afin que le chauffeur ne passe tout droit. Il faisait bon être à nouveau au chaud. Le retour chez nous fut moins long qu'on ne l'avait pensé. Avec ce froid de canard, peu de gens étaient sur la route.

À notre arrêt, nous nous sommes quittés comme si rien ne s'était passé, on s'est souhaité bonne nuit et dit qu'on se reverrait le lendemain à l'école. Le lendemain, nous étions là, à la cafétéria, avec nos amis, et sans rien dire, on s'échangeait un sourire plein de sous-entendus de temps à autre... 

  

C'est notre histoire d'amour qui débute...et nous nous découvrons en même temps gays tous les deux.

 

  secret ?    les faits de la dernière partie de ce récit ne souffrent aucune représentation les personnages adultes aujourd'hui mais mineurs à l'époque Gay teens

Par PATRICE - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 23 décembre 1 23 /12 /Déc 00:07

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ILLUSTRATIONS DU WEB

Fabien Fabien
18:10 (Il y a 7 heures)
   
à claudio
Hello mon Claudio,

Désolé de ce silence, mais plus le temps passe et plus je suis occupé...
Mais ça me manque nos dial...
Bien sûr, je vais régulièrement sur le blog, mais j'écris plus à part ce nouveau récit pour ton petit Noël
Bisous 
Fabien

  

 ...il avait dû encore se masturber avant de se lever. Me penchant, j’approchai mon nez des taches de sperme encore humides pour les sentir. J’aimais particulièrement cette odeur de sexe acre et puissante qui provoqua instantanément une jolie érection...

Youssef mon frère

Seul à la maison, mes parents étant partis en vacances, je déambulais complètement nu dans l’appartement. Je m’arrêtai devant la porte de la chambre de mon frère et entrai sans frapper. La pièce était vide puisque Youssef était parti chez sa petite copine. Comme d’habitude un vrai capharnaüm régnait dans son antre. Des chaussettes et des slips éparpillés sur la moquette, le lit en pagaille. Des revues de toutes sortes recouvraient complètement son bureau. M’approchant du lit, je remarquai quelques taches d’un blanc laiteux sur les draps, il avait dû encore se masturber avant de se lever. Me penchant, j’approchai mon nez des taches de sperme encore humides pour les sentir. J’aimais particulièrement cette odeur de sexe acre et puissante qui provoqua instantanément une jolie érection. Au milieu des draps, un slip en boule, avec des traces brillantes, qui avaient certainement servi à essuyer son foutre. Je le ramassai et ne pus m’empêcher d’y coller mon nez, puis goûtai enfin ce nectar qui m’enflammait tant le corps et l’esprit. Le bout de ma langue se posa sur cette texture tiède et une goutte y resta collée. Je m’en délectais en la faisant tourner dans ma bouche puis l’avalai goulument, c’était salé. Ma queue, prise de frénésie, se tendit comme un arc prêt à tirer ses flèches. 
J’enfilai ce slip divinement souillé et me couchai à plat ventre sur le lit, la tête enfouie dans les draps tachés. Le contact entre mon sexe tendu et l’humidité collante du slip de Youssef décuplait mon excitation. Ma queue s’écrasait en se frottant violemment contre le matelas tandis que mon nez, enfoui dans le tissu odorant, s’emplissait de ces effluves masculins. Mes fesses montaient et descendaient de plus en plus vite, en donnant de grands coups de bassin pendant que de la mouille suintait de ma verge pour se mélanger au jus de mon frère. Mon souffle s’accéléra et des gémissements de plaisir se ruèrent hors de ma gorge. Mon corps se tendit une dernière fois tandis que des jets puissants de semence se marièrent à ceux de mon seul amour. À bout de souffle je restais étendu de longues minutes tandis que mon cœur cognait à tout rompre dans ma poitrine. 
Me relevant à contrecœur, je me plaçai devant la penderie pour me regarder dans le miroir. Du haut de mes 18 ans j’avais un joli corps aux muscles bien dessinés, grâce aux séances de gymnastique que je faisais avec Youssef. Mon visage était beau, des lèvres pleines et charnues, des yeux bleu acier et des cheveux noirs et légèrement frisés m’encadraient le visage. Mon regard se dirigea vers mon bas-ventre, le slip de mon frère était complètement souillé, je l’enlevai en regardant les dégâts. De grosses taches de sperme engluaient toute la poche avant où les couilles et la bite de mon Youssef avaient laissé leur empreinte. Prenant un mouchoir sur la table de chevet, j’essayai tant bien que mal d’effacer mon forfait. 
Mon I-Phone se mit à sonner. Je lâchai le slip et le mouchoir qui tombèrent au sol. Atteignant ma chambre au pas de course, je répondis au bout de la troisième sonnerie. C’était lui. 
— Allo frérot, t’es pas chez Aline ? 
— Non, elle ne veut plus de moi. Elle m’a largué, Fabien, tu comprends ? 
Les sanglots que je percevais dans la voix de mon frère me brisèrent le cœur. 
— Où es-tu ? 
— Sur la route, je serai à la maison dans une dizaine de minutes. 
— D’accord, mais surtout sois prudent, je t’attends. 
Raccrochant mon I-appareil, je courus vers la salle de bain afin de me doucher avant l’arrivée de Youssef. Ma douche terminée, je me donnai un coup de peigne, courus dans ma chambre pour enfiler mon short en jeans et un T-shirt blanc. A ce moment-là, la porte d’entrée s’ouvrit, il était là. J’entendis des pas dans le couloir, il était là. Mon visage se couvrit de sueur. Dans mon excitation, j’avais complètement oublié son slip, glissant de mes doigts avec le papier que j’avais utilisé pour l’essuyer… Les jambes flageolantes, je frappai à la porte de Youssef. Personne ne répondit. J’entrai. 

— Youssef ? Parle-moi. 

— Oh Fabien ! Elle m’a largué ! Elle en aime un autre. 
Il s’effondra dans mes bras en pleurant.

Il s'était couché sur le dos au milieu de son lit, les bras croisés contre son visage. Son T-shirt blanc légèrement remonté, découvrait une partie de son ventre musclé. Je ne pus m’empêcher de diriger mon regard un peu plus bas, au niveau de la braguette de son jeans où une bosse déformait légèrement le devant du tissu. C’est vrai qu’il était bien monté, lorsque nous travaillions nos muscles ensemble, il mettait plus volontiers des slips que des shorts. Ce qui me permettait de profiter avantageusement de cette vision qui me chauffait l’esprit. Il était bien monté avec ses 18,5 cm sur 5 et ses « Aussiebum » avec lesquels il faisait ses entraînements le moulaient à la perfection. 
M’approchant doucement de lui, je m’étendis à ses côtés. Je posai une main sur son torse et de l’autre lui caressai tendrement les cheveux. Youssef était si beau malgré son chagrin, il était de 3 ans l’ainé mais avait la même carrure que moi avec ses 1,80 m et ses 67 kg, un visage très expressif avec de magnifiques yeux marron et un sourire charmeur qui faisait craquer n’importe qui. Son corps était parfait, des muscles aux reliefs bien dessinés, imberbe et très bien proportionné. La couleur de sa peau était légèrement basanée, un héritage que lui avait laissé son père marocain, premier mari de notre mère, emporté par une crise cardiaque. Deux années plus tard elle s’était remariée, et de cette nouvelle union, je vins au monde. 
— Youssef ? Parle-moi. 
Il se redressa légèrement et regarda son petit frère de ses yeux humides. Le menton tremblant, il articula avec peine : 
— Oh Fabien ! Elle m’a largué ! Elle en aime un autre. 
Il s’effondra dans mes bras en pleurant. Je le serrai très fort entre contre moi, c’était la première fois que je le voyais dans cet état-là, sa souffrance était palpable. Continuant à lui caresser les cheveux d’une main pendant que l’autre lui tapotait doucement le dos pour essayer de le calmer. Dans un souffle, je lui glissai à l’oreille : 
— Ne t’inquiète pas, mon Youssef, je suis là. 
Il s’agrippa à moi comme à une bouée de sauvetage en continuant à pleurer. Je sentis mon T-shirt se mouiller légèrement au contact de ses larmes. Sentir le corps de mon frère collé contre le mien me procura un sentiment de bonheur intense mélangé à la tristesse que je partageais avec lui. 
Sentir le corps de ce frère tant aimé, couché à moitié contre le mien, sa cage thoracique secouée par ses nombreux sanglots qui vibrait contre la mienne, son visage enfoui au creux de mon cou tandis que ses bras m’enserraient de toutes leurs forces me fit frissonner de tout mon être. Malgré moi, je sentis mon sexe se réveiller à nouveau, heureusement qu’aucune partie de son corps n’était en contact avec cette zone. Tout mon esprit était concentré sur ce bout de chair qui grossissait dangereusement, malgré tous mes efforts, ma queue se déployait, tel un boa, à l’intérieur de mon slip. Il devenait dur à m’en faire mal, je le sentais prêt à faire exploser le tissu. Me dégageant doucement de l’étreinte de mon frère, je me redressais légèrement afin de m’asseoir. Déséquilibré par ce mouvement Youssef voulut se redresser également, et pour s’aider, sans le vouloir, posa sa main sur mon short. 
Son visage perdit quelque peu sa couleur et il me regarda la bouche grande ouverte. 
— Mais tu bandes ? 

sa tristesse avait fait place à de la colère. J’étais tétanisé sur le lit,

Ma gorge se crispa, les mots n’arrivaient pas à sortir de ma bouche. La bosse que faisait ma queue au niveau de la braguette était éloquente. Le relief de mon sexe en érection était manifeste et on devinait même la pression sanguine qui pulsait à l’intérieur de ma verge. 
Youssef se dégagea de moi et se leva d’un bond en s’éloignant du lit. Dans ses yeux je lisais une incompréhension totale. Son regard fut attiré vers le sol, il se baissa et ramassa quelque chose. En se relevant je vis avec horreur, qu’il tenait son slip souillé ainsi qu’un papier froissé à l’intérieur de sa main. 
Maintenant sa tristesse avait fait place à de la colère. J’étais tétanisé sur le lit, mon corps complètement immobile, incapable de faire le moindre mouvement. De la sueur dégoulinait de mon front et me piquait les yeux. Mon cerveau était incapable de la moindre réflexion. 
Me faisant face, le visage rougi et déformé par la rage, il ouvrit la bouche et un cri rauque et violent en sortit. Je le vis se tendre comme un arc et il bondit sur moi comme un boulet de canon. 
Je reçus son corps comme un coup de tonnerre, mon souffle fut coupé par la violence du choc. Je basculai aussitôt en arrière et me retrouvai plaqué contre le matelas par le poids du corps de mon frère. Il se redressa, m’enjamba et s’assit sur moi à la hauteur de mon bassin, ses mains s’agrippèrent à mes épaules. Il commença à me secouer de toutes ses forces, le regard fou et encore rougi par les larmes versées auparavant. Sous la puissance générée par sa colère, ma tête ballottait de gauche à droite. Sentant le poids de son corps et la pression de ses fesses en contact avec mon bassin, mon sexe toujours en érection grossit encore davantage. 
— T’es vraiment un sale porc, tu bandes toujours, mon cochon ? 
Une de ses mains me relâcha et vint s’écraser violemment contre ma joue. C’était la première fois que mon frère me frappait, jamais auparavant il ne l’avait fait. On s’était déjà disputés verbalement,

 on avait lutté quelque fois ensemble mais plus par jeu qu’autre chose. Je ressentis aussitôt une colère gronder en moi tandis que ma joue me brûlait sous l’effet de la gifle qu’il m’avait donnée.

Je pliai mes jambes pour poser mes pieds bien à plat contre le matelas et d’une puissante ruade je décollai mes fesses. Cela eut pour effet de déstabiliser Youssef, qui, surpris, se retrouva déséquilibré et il partit en arrière. Mon corps suivit le mouvement. Il se retrouva couché sur le dos, ses lombaires reposaient sur le bord du matelas, ses épaules et sa tête se retrouvèrent en dehors du lit, touchant la moquette. 
Mon corps s’écrasa contre le sien et je sentis ses jambes s’enrouler autour de mon bassin. Mon torse également en dehors du matelas se plaqua contre celui de Youssef. Mes bras s’enroulèrent autour de sa taille. Son corps arqué en arrière me procura un plaisir immense, mon bassin écrasé contre le sien pouvait sentir, à travers le tissu de son jeans, le volume de son sexe au repos. Ma queue tressauta à l’intérieur de mon short et dans un réflexe irréfléchi, je frottai mon sexe emprisonné contre le sien. Mon visage au dessus du sien, mes yeux se fixèrent sur son regard toujours chargé de colère et d’incompréhension, et cette fois, venant d’une envie irrésistible émanant du plus profond de mes tripes, mes lèvres s’écrasèrent sur celles de mon frère. 
Sa réaction fut étonnante, des larmes coulèrent de ses yeux et il me sembla sentir entre nos deux bassins son sexe frémir sous le contact de mes lèvres chaudes contre les siennes. Son corps se démenait, comme pris de folie entre mes bras, ses mains m’attrapant par mon T-shirt tirèrent de toutes leurs forces et le fin tissu se déchira sur toute la longueur. Me dégageant rapidement je me débarrassai du vêtement qui m’entravait les mouvements. Sans lui laisser le temps de réagir, mes mains s’accrochant au col de son T-shirt, tirèrent d’un coup sec et le coton se déchira. Youssef essaya tant bien que mal de se libérer de son T-shirt, j’en profitai pour me ruer sur lui afin de défaire les boutons de son jeans. Le dernier bouton détaché, je me redressai et prenant le bas de son pantalon je tirai un grand coup et mon frère se retrouva en slip. Il avait mit son Aussiebum et je pus m’assurer qu’une légère érection déformait la poche avant du slip. 
Décontenancé, il roula sur lui-même et ses jambes chutèrent hors du lit. Il se redressa aussitôt, se rua sur mon short et me l’arracha. Mon sexe, enfin libéré, se tendit devant moi. 
— Tu portes même pas de slip sous ton short ??? 
Je rougis légèrement, mais le moment n’était plus à ça.

Il fallait que je lave l’affront de ce frère que je croyais connaître si bien et qui ne m’acceptait pas comme j’étais. 

ok bro….u pinned him…..now put that cock where u REALLY want it 2 b…..

On se tenait l’un en face de l’autre, moi sur le matelas, le sexe tendu pointant vers le haut, lui debout devant le lit, une bosse frémissante déformant légèrement l’avant de son slip. Tous les muscles de nos corps étaient tendus à l’extrême, on se regardait droit dans les yeux, l’affrontement allait commencer. Je le laissai monter sur le lit, nous nous retrouvâmes l’un en face de l’autre nous défiant du regard. Dans un même élan on se jeta l’un contre l’autre. Le choc fût brutal, nous prenant mutuellement à bras le corps, nos deux torses se heurtèrent violemment. Je l’enserrai contre mon corps et mes mains se dirigèrent vers son slip. Je tirai vers le haut de toute mes forces, le tissu lui rentra dans la raie de ses fesses tout en comprimant son sexe à l’extrême. Le slip craqua d’un coup. 
Pour la première fois de ma vie, je sentis la chaleur de son sexe contre le mien, qui s’épanouissait encore davantage. Youssef se débattit comme un fou et je dus malgré moi le libérer de mon étreinte. Mais il n’avait pas pu m’empêcher de sentir que le contact entre nos deux queues lui avait procuré un plaisir qu’il avait eu du mal à refréner. Éloignés de quelques centimètres on reprenait notre souffle. Il s’élança vers moi et m’attrapa par l’arrière du crâne tout en me tirant vers le bas, je fis de même mais avec un léger temps de retard. Il avait pris un certain avantage en lançant son attaque le premier et je dus résister à la pression qui poussait ma tête vers le bas. Dans un sursaut d’orgueil, ma main droite se lança vers le bas et je réussis à attraper l’arrière de sa cuisse gauche. Je tirai de toutes mes forces et tout en m’entraînant avec lui il s’écroula en arrière. Je me retrouvai couché sur son corps, ses bras m’enserrant la taille. D’un coup de bassin il nous fit rouler sur le lit où le mur nous arrêta. Mon dos se retrouva collé contre le mur et Youssef, agrippé à moi, me plaquait contre le plâtre froid. Je sentais toute la surface de sa peau collée à la mienne, je ne pus m’empêcher de frotter mon bassin contre cette queue en demi-érection qui s’écrasait contre ma verge durcie par l’envie. 

Je voulus marquer ma quasi victoire : "— Alors frérot, tu bandes aussi ?" 

 Prenant appui avec mes pieds contre le mur, je donnai de l’élan à mon corps pour le faire basculer à nouveau sur le dos. Aussitôt couché sur lui, je sentis ses jambes m’enserrer le bassin et ses pieds se croisèrent juste en- dessous de mes fesses. Mes mains se jetèrent sur ses poignets et les bloquèrent et les remontant au-dessus de sa tête. Poussant sur mes mains je redressai le haut du corps au-dessus du sien. Je pressai une fois encore ma bouche contre la sienne, il me mordit. Du sang perla et se déposa sur ses lèvres. Mon bassin était pris dans l’étau de ses cuisses et j’en profitai pour l’écraser de toute ma passion contre le sien, tout en frottant vigoureusement mon sexe en délire contre celui chaud et de plus en plus dur de mon frère adoré. Sans rien dire, nos yeux se fixèrent un instant, son regard avait changé, une douceur que je ne connaissais pas avait remplacé la colère d’avant. Un sourire éclaira son visage où je lus une invitation nouvelle, lui libérant les mains, mes doigts se posèrent sur ses lèvres où j’étalais la goutte de sang encore présente. Je sentis une main me caresser tendrement les cheveux, nos lèvres s’approchèrent timidement jusqu’à se frôler. Le contact fut doux et suave puis se fit plus fort et plus sauvage. Nos bouches s’ouvrirent, nos langues se trouvèrent enfin et fondirent l’une sur l’autre pour se dévorer avec passion. 
Mon excitation décupla et je sentis le liquide séminal s’échapper de mon gland et lubrifier nos deux verges qui se frottaient violemment l’une à l’autre. Mon cœur s’emballa tandis que le sang pulsait violemment dans ce totem de chair et c’est dans sa bouche que je criai mon plaisir tandis que mon sperme giclait en de longs jets entre nos deux ventres. Après quelques secondes, je me décollai à regret de son corps pour me coucher à ses côtés. Son sexe était toujours bandé et mon sperme avait souillé ses poils frisés. Il se releva sur les coudes et se mit sur le côté. Ses mains se posèrent sur mes flancs et me caressèrent, la pression devint plus forte et il me fit rouler sur le ventre. Aussitôt je sentis son corps s’écraser sur moi, ses cuisses s’insérèrent entre les miennes pour les écarter, ses mains se glissèrent sous mes aisselles pour se rejoindre sur ma nuque tandis que son sexe énorme se pressait entre mes fesses. Écartelé comme le Christ sur la croix, le visage écrasé contre le matelas, je ne pouvais plus bouger. 
Des gouttes de sueur envahirent mon front. Mon anus était vierge, à part les quelques fois où j’y avais mis un doigt ou deux, et entre mes fesses je sentais son énorme barre d’acier pulser violemment. Je le sentis bouger sur moi, il décolla légèrement son bassin de mes fesses, et bien positionné sur ses genoux, m’écarta les jambes un peu plus. Il libéra sa main droite et je la sentis se glisser sous mon ventre et s’enduire de mon foutre encore humide, il la retira et je l’entendis cracher. Aussitôt ses doigts humides s’introduisirent entre mes fesses pour humidifier ma rondelle détendue par l’écartement forcé de mes cuisses. Il se redressa légèrement et

son gland se positionna sur mon anus. 
— Non Youssef, je t’en prie, ne fais pas ça !
 


Je ne voulais pas me faire violer par mon frère, je l’aimais de toutes mes forces. Je voulais de l’amour, de la tendresse, mais surtout pas me sentir abusé de cette manière. Je sentais des larmes de colère et de peur me piquer les yeux. Sa queue se fit plus pressante et malgré moi, je sentis mon anus s’écarter sous la pression. La chaleur qui inonda mon cul se transforma rapidement en douleur. J’étouffai un cri en me concentrant sur l’objet de convoitise de mon frère, je me relâchai le plus possible et mon anus se détendit légèrement. En grognant il poussa son bassin en avant, je sentis son gland passer d’un coup et un cri s’échappa de mes lèvres. 
Il continua à pousser, mais je sentais qu’il se retenait, qu’il poussait un peu moins fort afin que mon anus s’habitue doucement au volume imposant de son sexe. La douleur reflua, et sous le frottement de sa verge contre les parois de mes entrailles, ma queue se réveilla et se déroula sous mon ventre. La naissance de ce nouveau plaisir commençait à me procurer mille et une sensations délicieuses. La chaleur de son membre me comblait et c’est avec un petit sentiment de manque que je sentis son sexe se retirer doucement de moi, cet abandon ne dura qu’une seconde. Avec une infinie lenteur il me fit profiter de toute la longueur de sa virilité humide et vibrante. Des gémissements de plaisir s’échappèrent de mes lèvres. 
Il se décolla de moi afin de me libérer, je me mis à genoux, mes mains posées à plat sur le lit, me cambrant un maximum. Il se glissa derrière moi, ses deux mains se plaquèrent de chaque côté de mes fesses afin de mieux les écarter et présenta son sexe brûlant et raide à l’orée de ma raie. Dans un grand cri il poussa violemment son bassin en avant. La pénétration fut brutale, mais combien attendue et le plaisir submergea la souffrance que provoqua la grosseur de son engin lors de son assaut. Tout mon corps frémit et c’est avec avidité que je reçus ce morceau de chair écartelant mon conduit. Youssef haletait sous l’effort en grognant de plaisir à chacun de ses énormes coups de bassin, sa pénétration était intense et toute en force. En y mettant toute son énergie, il ne pensait qu’à son plaisir grandissant, à sa victoire sur son petit frère qui lui avait révélé sa véritable identité sexuelle. Sa rupture avec Aline devait être toujours présente à son esprit, mais le fait de pouvoir assouvir ses fantasmes sexuels avec moi submergeait toute autre pensée. Les pulsations intenses à l’intérieur de sa verge se propageaient à travers mes muqueuses, ses mouvements devinrent plus violents, plus rapides, plus désordonnés. Des cris rauques sortaient de sa gorge et il s’enfonça une dernière fois en criant : 
— Fabien !!! 
Contrôlant ma respiration et les battements de cœur qui enflammaient ma poitrine, je pus me concentrer suffisamment pour que je puisse serrer mon anus sur son sexe lorsque ses testicules se cognèrent une ultime fois à mes fesses. Son mouvement fut stoppé. Me redressant aussitôt tout en relâchant mes muscles anaux, pris par son élan, son corps bascula en arrière et chuta en dehors du lit. Je sentis une partie de son foutre se répandre en moi et l’autre s’éparpiller sur mes fesses et le bas de mon dos lors de sa chute.

...d’un grand coup de rein, tout mon être le pénétra... 

Je sautai hors du lit et me mis derrière lui au moment où il essayait de se relever, le pris à bras-le-corps en le poussant en avant. On s’affala en avant, le haut de son corps sur le lit, ses genoux à terre et moi derrière lui dans une même position. Ma main se posa sur ses omoplates pour lui plaquer le torse contre le lit. Je crachai dans mon autre main afin d’enduire mon sexe tendu à l’extrême. D’un doigt vorace et humide je testai l’élasticité du conduit de mon frère de plusieurs allers et retours. Mon doigt céda la place à mon sexe qui se plaça contre cet œillet palpitant et d’un grand coup de rein, tout mon être le pénétra. 
Il hurla… 
De plaisir…¤ /
FABIEN CH

 



 

 

 

 

 

 

 

Par FABIEN CH - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Samedi 21 décembre 6 21 /12 /Déc 06:48

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mouloud

J’ai mis du temps à l’accepter, mais, aujourd’hui, le fait d’être l’amant de mon frère ne me pose plus de problème de conscience. Certes, notre liaison reste secrète mais j’ai fini par tolérer pas mal de petites choses.

Par exemple : Mouloud m’a présenté plusieurs de ses amis et deux d’entre eux craquent littéralement pour moi (où pour ma bite). Ca m'a fait des ouvertures mais je tiens absolument à ce que les baisés ne communiquent pas entre eux et cela a entraîné quelques petits mensonges. Hier soir, nous étions couchés dans mon grand lit, lorsque mon frère m’a parlé de ses amis.

— Rachid est fou de toi! Il te trouve craquant.

— Arrête! (putain il fait chier !)

— Je t’assure que c’est vrai.

— Peut-être mais ça ne m’intéresse pas…

— Et ça, ça ne t’intéresse pas non plus…

Il a roulé sur le ventre et a claqué sa main sur ses fesses. J’ai souri.

— Ça n’a aucun rapport, Mouloud !

— Ah non?!

— Tes amis ne savent pas au moins… pour nous?

— Je sais garder un secret, mon frère! En plus, je veux te garder pour moi.

— Je finirai bien par me marier, Mouloud !

— Tu niques encore des filles?

— Tu n’as pas le monopole. Ma bite est libre, non ?

— Oui, mais… enfin… tu ne préfères pas les mecs ? (au fond il aimerait choisir ses rivaux !) 

— Je n’en ai baisé qu’un, mais il est plutôt pas mal!

 

Il m’a foutu un coup dans l’estomac et s’est rué sur moi pour m’embrasser. Je lui ai rendu son baiser. D’habitude, mon frère me suce longtemps pour commencer… Là, nous avions tout de suite envie de plus… Mon gland a caressé sa raie. Doux plaisir. Je n’en peux déjà plus et j’ai envie de le posséder. Je glisse la main vers une capote posée sur la table de chevet. Il retient mon bras et sans dire un mot dirige l’extrémité dure de ma bite sur son œillet serré. Je m’enfonce doucement en lui. Il gémit doucement. J’adore ce petit couinement doux et tendre qui me rappelle combien il est agréable de lui donner du plaisir.

— Oh oui, baise-moi…

Le temps s’effilocha doucement tandis que je le limais avec passion. Je sortais peu de lui et j’y rentrais avec sensualité. J’ai tourné sa tête pour voir la jouissance s'épanouir sur sa figure. Il a souri.

— Vas-y! Vas-y! Baise…

J’ai commencé à lui prodiguer des mouvements plus amples et, d'instinct, il s’est mis à calquer ses propres mouvements sur les miens. Il respirait de plus en plus fort et allait maintenant au-devant de mon sexe. Il gémissait en venant s'empaler sur ma bite prête à exploser. C’était bien trop tôt pour que je jouisse. J’ai calmé le jeu, mais mon frère ne l’entendait pas de cette oreille. Il donnait des coups de fesses lorsque je tardais à le pénétrer. Ses mains se posèrent sur mes reins, les saisirent avec force, guidant mon mouvement en lui. Il imposa son rythme fougueux et dynamique.

— Pas trop vite, chérie ! lui ai-je demandé.

— Déjà prêt?

— Si tu accélères encore, je jouis…

— Moi, je jouis déjà… du cul!

Je l’ai donc laissé monter vers un orgasme qui se devinait à travers le son plus rauque de son souffle, à la crispation de ses mains sur mes hanches. Il perdait pied et son râle m’encouragea à bien le baiser comme il le désirait.

Les yeux clos, il cria son plaisir alors que l'orgasme l’envahissait. Il est difficile pour un « actif » de comprendre le plaisir extrême du sodomisé. Mouloud, lui, jouit plus fort du cul que de la bite. Sa jouissance déclencha la mienne et j’ai planté ma bite au plus profond de son cul dilaté. De puissants jets de sperme, brûlants et interminables, ont inondé son cul serré. Chaque jet semblait lui donner un nouvel orgasme. Dans un dernier sursaut d’excitation, je l’ai pilonné avec force. Il m’a exhorté de continuer. Enfin, je me suis effondré sur son corps bouillant. Nous sommes restés un moment, immobiles, profitant de notre plaisir.

Lui et moi aimons que bite et cul baignent longuement dans mon sperme.  

Il a fait rouler son corps sous le mien pour me faire face. Sa bouche a sucé la mienne et j’ai vu le bonheur dans ses yeux de braise.

C’est toujours si bon avec toi!

— On n’aurait pas dû sans capote!

— Arrête! Il n’y a qu’avec toi que je fais ça… Tu le sais!

— Je l’espère, oui.

Il colla à nouveau ses lèvres aux miennes et me roula le patin le plus tendre et le plus passionné. C’était si excitant que mon sexe se raidit très vite. Il me sourit puis posa sa tête dans le creux de mon cou. Ce câlin était attendrissant. Il me fit fondre mais certainement pas débander...

— C'est merveilleux de baiser, non?

— Moi, je te fais l’amour, Mouloud! C’est avec tes amis que tu "baises"!

Il planta ses grands yeux au fond des miens et passa rapidement au-dessus de moi. Son cul se posa doucement sur ma queue déjà dure.

— Fais-moi encore l’amour!

— Tu es insatiable, toi!

— Tu n’aimes pas me faire l’amour? dit-il d’un air boudeur.

— Bien sûr que si! J'ai souvent envie de faire l'amour avec toi! Seulement, tu es très gourmand…

— Tu as dit «très»… pas «trop»!

J’ai ri. Je lui ai caressé le ventre et j’ai dit:

— Tu es adorablement excitant quand tu fais l'amour, c'est très bon et doux, et j'ai joui très fort en toi!

— Quand tu entres en moi, c’est trop bon!... Rien qu’en te sentant entrer, je jouis! J’ai presque tourné de l’œil tellement c’était bon… J'ai repris conscience quand j'ai senti que tu jouissais en moi. J’adore te sentir gonfler dans mon ventre et coulisser jusqu’au fond. Putain, tu m'as rempli de sperme chaud. Hummm... Je suis plein de toi!

— Je ne sais pas si c’est bien prudent.

— Nous avons fait le test, mon amour. Je te jure que tu es le seul à qui je permets ça… J’en ai trop besoin de ton jus… Je te veux encore dans mon cul ! Ce que tu es raide!

Je sentais à nouveau ma bite palpiter contre ses fesses. Saisissant mon membre raide, il le caressa doucement, amoureusement, sans aucune timidité ni pudeur, juste avec un petit grognement de satisfaction. Il s’abaissa et le suça avec application.

Hot Kuwaiti car sex 

— Il n’y a pas que moi qui suis très gourmand…

Nous étions repartis pour un tour. La main de Mouloud caresse ma bite tout humide de ma dernière jouissance et il la manipule avec tant de douceur qu’elle gonfle à vue d’œil. Elle se tend et j'ai vraiment envie de le… baiser. J’ai beau lui dire et lui répéter que c’est de l’amour que je lui prodigue, il y a des moments où il me rend «animal».

— Mets-toi sur le ventre!

Il s’exécute et j’admire la rondeur de ses fesses brunes. J’écarte ses lobes et j’embrasse sa rosette palpitante qui a un léger goût de sperme. Mon sperme! On n'est pas pour rien les fils du même père : même odeur (parfum !), même aspect. Je devrais trouver ça dégoûtant, mais l’excitation rend tout différent. Nous nous plaçons en 69. Moi, je m’occupe de son trou et lui de ma bite. Ma langue titille le pourtour plissé de ce qu’il appelle son "puits d’amour". Hum, en effet c'est une vraie pâtisserie !  Ma bite coulisse dans sa bouche et enfle à faire mal. J'halète de plus en plus fort et il découvre ainsi le plaisir qu’il me donne. D'une main, il me masturbe doucement en continuant à me sucer. La pointe de ma langue s’enfonce délicatement dans son trou serré. Je me demande parfois comment il peut être encore si serré à force de pénétrations. Lui aussi commence à respirer plus fort, l'excitation le gagne et il gémit. Ma bite touche le fond de sa gorge et il reste ainsi quelques instants, savourant les palpitations de mon sexe dur. Sa langue joue autour de ma bite, augmentant encore mon plaisir. Ma bouche suce son trou et aspire et ma langue darde en alternance. Nous nous connaissons si bien qu’il nous est facile d’amener l’autre là où nous désirons l’amener. Mouloud sort ma bite de sa bouche et la lèche, la suce, trouvant rapidement les endroits où je réagis le plus vivement. Il caresse tout son visage avec mon sexe, puis l'avale à nouveau. Je regarde un instant la rosette brunâtre qui palpite en attendant l’estocade. Très vite, mon frère va me supplier de le pénétrer et je vais le satisfaire illico. Le plaisir monte en moi, je retiens difficilement mon orgasme. Pourtant, il le faut. Mouloud veut que je l’encule. C’est un besoin, une nécessité… Ce qu’il a avec moi il ne va pas le chercher ailleurs et c’est, pour moi, une satisfaction.

— Arrête! Je sens que je vais te jouir dans la bouche! C’est ce que tu veux?

— Non! Prends-moi… Vite, vas-y…

Nous changeons rapidement de position. Couché sur le dos, il guide ma bite à l'entrée de son cul. Il respire fort. Moi aussi. Je le sens fondre sous moi, s'ouvrir pour laisser le passage à ma bite tendue comme un arc. Il attrape ma nuque et me plie vers lui. Il pousse sa langue dans ma bouche au moment où mon gland pénètre son trou. Il se cambre, augmentant brutalement ma pénétration. Mouloud est devenu un expert du sexe. Il connaît le moindre geste qui permet d’améliorer, d’augmenter une sensation divine. Il respire un grand coup.

— Tu as mal?

J’ai toujours tellement peur de le blesser.

— Tu rigoles?! C’est délicieux, oui!

Je sors un peu ma bite, la regarde au bord des plis de son anus maintenant ouvert et ourlé, puis je la replonge avec tendresse. Mouloud me veut en lui et lorsque j’essaie de sortir à nouveau, de ses fesses il suit mon mouvement pour que je reste enfoncé en lui.

— Reste! Tu es bien dans moi, non?

— Très bien!

Les reins cambrés, la tête rejetée en arrière, tout son corps se tend vers mon sexe qui le pénètre. Je m'enfonce dans son cul parfaitement lubrifié.

— Reste comme ça, ne bouge plus! me demande-t-il.

— Possessif, hein?

Je l’embrasse. Planté en lui, je ne fais plus un mouvement. Je lui donne ce qu’il désire. Nous restons ainsi un long moment.

— Baise-moi… Ne me fais pas l’amour… Baise-moi!

Sa supplique est convaincante. Je le tiens par les hanches et je commence à lui donner des coups de reins. Il se contracte chaque fois violemment et 

se met à commenter ses sensations, ses désirs, sa jouissance. Je sens que mes coups de bite l'amènent très vite à la jouissance. Je voudrais faire durer longtemps ce moment, mais son plaisir paraît tellement imminent que je ne peux pas le lui refuser. Mes yeux captent dans les siens un:

— Baise-moi à fond! Défonce-moi!

— Putaaaaaaaaaaaain que c’est booooon!

Toujours planté en lui, je le soutiens pendant qu'il reprend ses esprits.

— Fais comme l'autre jour, vide ta vessie en moi s'il te plaît ! 

— mmmmm je renâcle...booooon... Pour lui faire plaisir j'attends de pouvoir uriner...Je n'y pensais pas et puis ça m'excite à mort.

Mon urine bouillante se rue en lui.

Tu veux tout ? Tu vas tenir ?

— Ouihhh, oh mercihhhh. C'est bonhhhhhhhh.

Il gémit de contentement. Comme un con j'ai du plaisir à soulager ainsi mon envie de pisser serré ainsi dans son anneau.

Il se redresse, ma bite humide sortant doucement de son trou.

— Serre fort, ne salis pas !

— ça vahhhh.

Il cherche mes lèvres et me roule un baiser d’enfer. Il se tait, mais ses yeux ont l’éloquence du plus beau des discours. Je vais avec lui aux toilettes. Assis, pendant qu' il évacue il m'attire à lui et me suce encore. Je ne pense pas pouvoir  autant faire reculer les tabous avec un autre que Mouloud qui en fait, avec sa totale liberté, conduit nos intenses rapports

Je n’ai pas joui cette  fois mais j’ai le cœur rempli de bonheur. Mon frère

 a changé ma vie, l’a bouleversée et je lui en suis si reconnaissant.

...PS : j'ai idée que nos amours vont se poursuivre tout aujourd'hui...what else ? 

"Je continue à m’agiter en lui et soudain il jouit avec un grand cri".

son regard de braise....ses yeux qui pétillent....

charles be.

 

Sur l'urine  je projette un article

si vous avez des idées ne vous gênez pas

pour m'en faire part. Je trouve, en me forçant à y réfléchir,

que nous avons, à ce sujet, des répulsions  inculquées par

la notion occidentale et anglo-saxonne de l'hygiène. Nos mères

aussi avec cette manie de propreté des bébés (justifiée) qui a fait, dans notre inconscient de tout ce qui sort du corps, un objet de rejet.

Comme de tout ce qui est humain il y en a à prendre et en laisser !

claudio

Par charles be - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Jeudi 19 décembre 4 19 /12 /Déc 10:12

 avec un garçon de cette classe devenir le maître est illusoire, il faut saisir l'instant privilégié

classé dans RECITS REELS 

 


 

  

 

Le hasard... je n'y crois pas mais parfois la vie fait drôlement les choses.

 

Un après-midi de vélo...

Il vient de remonter son seadoo sur la remorque. Un après-midi à se faire trémousser par les vagues des gros bateaux. Il jette un coup d'oeil aux environs, il ouvre sa portière avant. Il ne remarque pas ma présence. Je suis là, en vélo, caché sous l'ombre d'un arbre. Le hasard, je n'y crois pas et le fait d'être là au bon moment me donne prétexte à mille et un fantasmes. Je guette comme le loup devant sa proie. Et quelle proie: un mec sculpté au couteau, à la peau bronzée, ressemblant à ces jeunes surfers de la Californie. Se sentant à l'abri des regards indiscrets, lentement, il enlève son "WetSuit" aux couleurs fluos.

Je découvre

un corps basané et musclé par le sport. Un mec comme on n'en voit que dans les revues.

Ses cheveux blond cendré finement bouclés tombent sur ses épaules larges et carrées. Ses pectoraux bombés par l'exercice forment deux montagnes de muscles qui gonflent au moindre geste. Il laisse tomber finalement son survêtement. À demi penché, ses fesses bombent le tissu de son bikini, un slip de plage orangé moulant parfaitement ses attributs. Ça lui donne même un air érotique. Très échancré, le tissu remonte ses cuisses musclées. C'est le bon moment. Je sors de ma cachette, provoquant un effet de surprise. Surpris il se relève. Il suit des yeux mon vélo.

Je me dirige vers un tas d'arbustes, juste ce qu'il faut pour le regarder à distance et lui laisser le temps d'être intrigué par ma présence. Il vérifie la remorque tout en jetant de temps à autre un coup d'oeil vers le taillis où je me suis caché. Je prends le temps de descendre mon cuissard et de masser doucement mon slip. Il semble avoir remarqué mon geste et la couleur fluo de mon bikini qui fait contraste. Son regard se fait plus insistant.

Un homme un vrai qui n'a pas froid aux yeux. Finalement, intrigué, il ferme sa portière et d'un pas assuré, il se dirige vers moi.

 À proximité, debout, il cherche à deviner ce que je suis en train de faire. Il se rapproche doucement. Je sens sa présence, il est tout près. L'excitation monte, ma main travaille l'énorme bosse qui remplit mon slip. Il est là... debout devant moi, légèrement à l'écart, son slip cachant difficilement son érection. Il sait maintenant toute l'envie qui tenaille ma queue encore dissimulée sous le tissu.

Il se raproche lentement, incertain. Je sens son parfum de mâle en chaleur. Je remplis mes pensées de cette vision divine. Je peux deviner son sexe tendu sous son slip. Une bosse garnit son bikini et ça m'excite tellement de le voir ainsi. Il regarde les alentours, comme pour s'assurer que personne ne viendra nous déranger. Il s'avance. Enfin... il se décide!

Il peut maintenant me regarder, me voir me trémousser. Comme une invitation, j'écarte les jambes et lui montre l'énorme bosse que présentait le devant de mon maillot, pour lui faire voir à quel point je suis prêt au plaisir. À genoux, ma main tend vers son slip et caresse tendrement la chair tendue qui s'y cache. Debout,

ce mâle de rêve se laisse aller à mes caresses habiles. J'en suis content, presque heureux

de le voir se laisser faire. Son sexe bande sous mes doigts. Il forme une rondeur appréciable que je lèche lentement de ma langue. Qu'il sent bon ce slip, ce sexe d'homme! Quel plaisir d'y enfouir mon visage, de respirer l'odeur de cette queue qui frémit. De palper avec mes lèvres toute sa longueur. De toucher ce slip si doux. Le temps de quelques prémisces et voilà, ma main pénètre le vêtement. Hum! Son sexe est de bonne taille et déjà quelques gouttes de précum perlent au bout de son gland. Je masse doucement ce sexe plein d'envie, une envie qui gagne lentement ce bel inconnu qui se déhanche langoureusement.

Lentement, je descends le slip devenu inutile et son sexe bandé prend enfin une gorgée de liberté. Éphémère, car ma bouche se referme sur cette chair excitée. Comme j'ai goût à le sucer, de lui faire découvrir le vrai plaisir entre hommes ! Comme j'ai envie... Ha oui! Envie de le prendre complètement dans ma bouche. Assoiffé de sexe, je suce son membre gorgé de sang. Maudit qu'elle est bonne cette queue. Elle est douce et suave.

Son gland décaloté se gonfle sous l'assaut de ma langue qui travaille le frein tandis que mes mains pelotent ses fesses

rondes et musclées. De petits cris sortent de ses lèvres pour me dire que c'est bon et de continuer. Je continue à pomper toute son énergie. Je m'applique à faire glisser sa queue du bord de mes lèvres au fond de ma gorge. J'aime sentir toute la retenue de ce sexe qui tente de freiner mes ardeurs. Je sais qu'il trouve ça bon et c'est bandant de le voir. Il se déhanche comme un diable dans l'eau bénite.

À grands coups, ses testicules frappent mon menton. La bouche ouverte, ses mains sur ma tête, il cherche à faire durer le plaisir. Je veux le sucer, lui montrer comment on peut s'amuser et

je sais maintenant qu' il est venu me voir pour ça. Je sais... je sais! Sa blonde n'en saura rien... ses chums non plus. Car un homme comme ca, ça ne peut être qu'un straight...un hétéro

Ça se sent, ça se voit et c'est ça qui m'excite le plus. Il est beau à voir, le slip à demi descendu. L'air macho, il se laisse aller au gouffre de ma bouche toujours avide de prendre un gros sexe. Un sexe énorme, jeune, lisse, long et rigide qui valse au rythme de ma langue. Je le sens frémir, je sens toute l'énergie vibrer dans sa verge et monter jusqu'à son gland bleuté.

Je m'allonge, il bascule. Placé par-dessus ma tête qui oscille, il cherche à reprendre son souffle. Il place sa queue dans ma bouche et commence la cadence. Installé par-dessus moi, il a tout le plaisir de contrôler le mouvement. Sa queue entre et sort lentement de ma bouche. Ma langue salive toute la verge. Il entre complètement sa queue, je sens ses testicules ; il s'arrête. Le moment est chaud, je sais que cette pause est palpitante. Je le garde au fond de ma gorge et je fais travailler les muscles de mon cou. Puis il reprend la cadence. J'essaie de contrôler cette force brutale mais il semble en transe et désire, sans concession, prendre son pied.

Je pose mes mains sur ses fesses et je pénètre le slip qui recouvre encore ces deux montagnes de muscles fermes. Mes doigts ont trouvé la raie qui les sépare, cherchant la sensibilité de son point anal.

L'anus se présente humide et contracté. Je sais que c'est décisif pour maîtriser cet étalon sauvage et, s'il n'était pas déjà quasiment en mon pouvoir, il se déroberait.

D'un mouvement circulaire, je le taquine doucement pour finalement le pénétrer du majeur. Je commence un va-et-vient langoureux. Il se contracte et il semble découvrir un autre plaisir tout aussi sensuel. Il est maintenant complètement à ma merci. Il ne bouge plus, c'est moi qui le suce, c'est moi qui contrôle enfin ce mâle prêt à exploser de plaisir. Il se cambre, se contracte. Il se colle contre mon visage, sa queue complètement dans ma bouche. Je resserre mes lèvres, il recommence à bouger. Il monte pour mieux redescendre. Lentement, je resserre l'étau que mes lèvres font sur sa queue. Je travaille maintenant son gland que je lèche avidement. Le plaisir monte.

Il semble perdre le contrôle. Sa queue est dure comme une barre de fer et gonflée comme un tuyau sous pression et mon doigt, au fond de son cul, semble ne rencontrer aucune résistance. Il va jouir, je le devine. Je peux entendre ses lamentations.

Il lance des obscénités, il me supplie de continuer, il ne faudrait pas qu'il se sente en infériorité. je me fais humble et dévoué, dominé.

Le mouvement est plus rapide et sa respiration plus saccadée. Il s'arrête quelques secondes pour reprendre de plus belle avec frénésie le va-et-vient. Sur le point du non-retour, sa queue est tendue dans toute sa splendeur, ses couilles se contractent et son déhanchement est plus intense. À ce point, il en perd la tête, comme ensorcelé par le plaisir qui le gagne.

J'accélère le mouvement : c'est la finale. Le diable se déchaîne, il se déhanche avec force. Je contrôle sa fougue avec mon doigt qui pénètre l'anus et qui travaille son entraille. Pris de spasmes violents, il s'écrit. Des cris venus du fond de son âme, il va jouir. OUI! Il va exploser sa jouissance et je vais boire sa semence. Il se lamente de plaisir et je sais qu'il va s'éclater. Il se contracte, il se retient mais sa retenue est vaine. Je donne un dernier coup de langue et je fais tournoyer mon doigt dans l'ouverture anale complètement décontractée et domptée. Il se cambre, il gémit, il grogne.

Voilà, une bonne contraction et je sens sa queue gonflée se retirer de ma bouche. Je la reprends rapidement au bout du gland. Sous une douce folie, il crie sa délivrance mais je ne lâche pas prise. Haletant, il contracte tous ses muscles. Ses mains dans mes cheveux pressent ma tête. Vainement. La jouissance le prend avec fougue. Conquis par le plaisir, il se détend. Criant, suppliant, sa semence emplit ma bouche. Je sais que ça bdevient presque douloureux mais je n'ai aucune pitié. Enfin je lèche son gland pour ne pas perdre une seule goutte de ce précieux liquide. Sa semence est abondante. Elle remplit ma bouche de quelques jets blancs et salés que j'avale gloutonnement. Je suce jusqu'à la dernière goutte. Je garde sa queue au fond de ma gorge, comme pour mémoriser cet instant. Il reprend son souffle, il me regarde, appréciant j'espère ce moment. Je bécote une dernière fois sa queue libérée de toutes tensions.  Je la replace sagement sous le slip.

Assouvi, frictionnant mes cheveux il se penche et, le souffle encore altéré, il me murmure à l'oreille : "putainhhh, tu suces comme un dieuhhh !".

 Il arrange sa bite comme pour s'assurer de sa réalité.... Il sera là demain, c'est un bon coin pour mettre le jet ski à l'eau...demain, oui, qui sait... J'y serai, oui! Je sens ses lèvres frôler les miennes. Je fonds sous ce semblant de reconnaissance et de promesse. Faut-ily croire ? Nous sommes ingrats, nous les hommes. Mes doigts contournent une dernière fois son torse bombé. Il s'en va... Demain... oui... demain, j'y serai, fidèle et dévoué à ses plaisirs.

 

    Hummmmh, le tenir par la taille tandis qu'il nous conduit sur son jet-ski

vers une crique solitaire où toutes chances de s'épanouir lui seront accordées...

 

 

Par domino - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Jeudi 12 décembre 4 12 /12 /Déc 14:08
  classé dans BISEXUELS  UN COEUR PLUS GRAND (32) 
 

 

Non, je ne trompe pas Astrid, j’ai découvert autre chose!  — Quoi? T’as découvert internet et le cyber sexe? — T’es con! Ça ou la main droite, c’est la même chose ! — Dis-moi quoi alors! — Tu m’jures de garder le secret? — Promis! — Et bien, c’est bien simple, j’ai découvert le sexe entre hommes et, ça, ça m’a permis de tenir! —??? ...Esteban

 

discodrake: White string bikini. La Senza Moi en culotte sexy de nana !
 
Salut, les potes ! Ça y est, il se remet à faire un peu beau... Du moins, presque, ici en Provence. Je suis de Cavaillon, plus exactement de Coustellet sur la route d'Apt ça vous dit quelque chose? Un coin très sympa, surtout dès qu’il commence à faire beau. Et qui dit beau temps dit bonne baise dans la nature. Moi, c’est ce que je préfère: m’éclater en pleine forêt avec un beau mâle avec le seul soleil pour témoin. Enfin... S’il y a quelques voyeurs en plus, ils sont les bienvenus. Leur présence m’aide à me rendre encore plus salope avec la tige que je pompe ou qui me défonce le cul.
Vous l’aurez sans doute compris, je suis bi très exhib. Chez moi, si je pouvais, je vivrais complètement à poil ou... En culotte de nana!  Ben, oui ! Je vais sans doute en surprendre ou en choquer plus d’un, mais moi qui suis bi à cent pour cent depuis mon mariage,  j’aime bien porter des trucs de filles. Je ne suis pas du tout un travesti. Au contraire, j’ai le look très mec. Tout ce qui est porte-jarretelles, bas, guêpières, perruques ou maquillage ne me fait pas bander. Par contre, je me mets à triquer dur dès que je porte une jolie culotte en dentelle. Ce que je préfère, c’est le brésilien.
J’en commande des tas par correspondance de sorte que ma femme(ravie) ne se retrouve plus dans ses comptes et je peux en utiliser sans me faire pécho ! Rouges, noirs, blancs, en dentelle ou en lycra, de quoi mettre en valeur mon joli petit cul. J’en porte souvent au boulot également. Personne ne le sait, ce qui ferait désordre dans l’administration où je bosse. Je ne cache pas ma bisexualité, mais il y a des endroits où il vaut mieux se montrer discret sur ce plan. Il m'arrive d’aller baiser sur Avignon, Aix ou Marseille, ou de faire quelques petites escapades sur Nîmes ou Montpellier, mais, grâce à internet, et bien planqués il m'arrive de faire d'excellentes rencontres dans mon coin et Cavaillon.  
 
Physiquement, je suis un mec assez bien foutu: brun, les cheveux courts, vingt-six ans, 1m80 pour 73 kg, très peu poilu, une queue de 18 sur 5 et de très belles fesses. Je trouve mon visage banal, mais je suis fier de mon corps. Côté baise, j’aime à peu près tout. Il m’arrive d’enculer, mais c’est assez rare. Je suce et je me fais sucer, j’adore les 69 et les jeux de langues sur le trou du cul, embrasser, palucher, me faire travailler les seins et recevoir une bonne bite bien à fond dans le trou de balle. J’aime les types voyeurs, directs et décidés, les mots crus, les mecs qui aiment mater ma rosette avant de la limer et, comme je l’ai écrit plus haut, les bonnes parties de jambes en l’air dans la nature. Surtout quand je tombe sur un mec comme Richard.
Il était marié, barbu, quarante-huit ans. Je ne suis pas du genre à refuser les bisex d’autant que j'en suis un ! Il avait la braguette plutôt bien garnie, ce salaud : une belle pine de 21 sur 6 qu’il n’avait jamais pu enfoncer entre les fesses de sa femme. Je n’ai jamais su si Richard était son vrai prénom ni ce qu’il faisait dans la vie. C’est lui qui m’a branché sur internet et m’avait dit être seulement de passage à Cavaillon.
 
Ce qu’il voulait : une bouche gourmande et un bon petit cul de femelle a remplir. J’étais libre tout l’après-midi et je lui ai rapidement donné mon numéro de téléphone pour mettre au point un rancard et parler un peu plus de nos envies réciproques. Quand je lui ai demandé s’il aimait les mecs en slip à frou-frou, il m’a répondu: “Pas de problème! C’est même encore mieux ! Si tu as un truc qui fasse bien salope, mets-le!” msterg: She looks a little excited in her frilly sissy panties  
Le son de sa voix grave et autoritaire m’a tout de suite fait bander. Il était d’accord pour un plan en nature et pour quelques jeux d’exhibitions avant de m’enfiler. Il désirait également me photographier et m’a demandé d’emporter un gode pour des photos assez hard. Son programme me plaisait... Je l’ai renseigné sur un coin que je connaissais, dans la direction d’Apt, à seulement à quelques kilomètres de Cavaillon. Il m’a attendu sur le parking d’un resto et nous n’avons roulé quelques minutes avant d’arriver dans l’un de mes “baisodromes” préférés. Pendant le trajet, Richard, très brun et noir de poil, m’a avoué qu’il baisait régulièrement avec des mecs depuis plusieurs années. Il était sympa, détendu, carré d’épaules genre VRP et portait un costard-cravate. Je conduisais et j’avais hâte de découvrir la belle tige qui gonflait sa braguette. Question baise, ce fut super! Pour la queue, il n’avait pas menti. C’est moi qui l’ai libérée de son froc et j’ai dégagé une teub superbe au milieu d'une touffe aux poils brillants. Elle n’était pas encore raide mais déjà gonflée avec de grosses veines bleutées. Je n’ai eu qu’à l’astiquer un peu pour voir son manche se raidir. Richard possédait également de belles couilles, noires de poil, des bourses lourdes et fripées que j’ai malaxées dans mes doigts tout en branlant sa tige.
Adossé contre mon break, il se laissait faire. Je me suis agenouillé pour le pomper, lécher son gland et ses burnes qui dégageaient une bonne odeur de mâle. Je me suis appliqué à lui tailler une bonne pipe, encouragé par ses phrases crues et ses mots obscènes. Richard répétait que j’étais une bonne salope, que je pompais aussi bien que les putes. Il me plantait son dard au fond de la gorge et me promettait de bien me défoncer le cul quand j’aurais fini de le piper.
Au bout d’un moment, il a défait sa ceinture et baissé son froc, me tournant le dos et se penchant vers l’avant. J’ai entendu: " Bouffe-moi un peu le cul avant que je m’occupe du tien!” Il était très poilu dans la raie et j’ai découvert un fion sombre et ourlé que j’ai longuement léché avant d’enfoncer ma langue à l’intérieur. Je continuais à lui branler le chibre qui restait plaqué contre son ventre.
J’étais excité comme un fou quand j’ai retiré mon jean. Par-dessous, je portais un brésilien blanc. Richard m’a tout de suite couché sur le capot de ma voiture pour mater mon cul. Debout, derrière moi, il me demandait de bien me cambrer, puis il m’a ordonné d’écarter mes fesses avec mes mains pour lui exhiber ma rosette. Il m’a mitraillé avec son appareil numérique, faisant des gros plans de ma rondelle, m’ordonnant de la masser avec mes doigts, de la mouiller de salive et de m’enculer avec mon index et mon majeur pour bien me dilater l’œillet. Il m’a encore photographié pendant que je me godais tout en me faisant changer plusieurs fois de posture. Je devais planter le gode à fond et le laisser faire quelques clichés avant de prendre une autre position.
Pour m’enculer, il m’a redemandé de me coucher sur le capot de ma voiture. J’étais bien ouvert grâce au gode, mais il a dû me forcer un peu pour introduire son gland. Il s’est retiré et m’a encore pénétré, répétant plusieurs fois l’opération tout en s’enfonçant un peu plus chaque fois. Au bout d’un moment, j’ai entendu: “Cette fois, je te la mets toute!” Il a donné plusieurs coups de reins en m’insultant, et son ventre rond est venu s’écraser contre mes fesses. J’ai eu un peu mal durant les premiers va-et-vient, mais la douleur s’est rapidement estompée. C’était délicieux de se faire embrocher par cette grosse tige.
 À chaque coup de boutoir, il se retirait jusqu’au gland avant de revenir jusqu’aux couilles. Il rythmait son enculage par des: “Tiens, salaud! Je vais t’éclater le cul avec ma grosse bite!” Pour l’exciter davantage, j’ai glissé une main entre mes cuisses et j’ai empoigné ses couilles. Richard s’est mis à me traiter de tous les noms, de putain, de pétasse, de chienne... Il m’enculait de toutes ses forces en me tirant vers lui. J’ai lâché ses couilles quand il m’a prévenu qu’il allait juter, et j’ai branlé ma queue pour cracher avec lui.
Avant de me laisser me rhabiller, il a voulu faire quelques dernières photos de mon trou rouge et élargi par sa bite. Je me suis prêté volontiers à cette dernière exhibition et j’ai reçu, il y a deux jours, par mail, toute la série de clichés réalisés par Richard; des photos que je compte utiliser à présent pour m’exhiber à travers Internet, car je les trouve réussies.
  discodrake: Pink string bikini  
  un nouvel article va s'ajouter : Une nouvelle histoire
"la profession de foi d'un bisex 2"  
Par Esteban - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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