Partager l'article ! MERVEILLEUX HETERO, le dominé n'est pas celui qu'on pense...: avec un garçon de cette classe devenir le maître est illusoire, il faut sa ...
avec un garçon de cette classe devenir le maître est illusoire, il faut saisir l'instant privilégié
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Le hasard... je n'y crois pas mais parfois la vie fait drôlement les choses. |
Un après-midi de vélo...
Il vient de remonter son seadoo sur la remorque. Un après-midi à se faire trémousser par les vagues des gros bateaux. Il jette un coup d'oeil aux environs, il ouvre sa portière avant. Il ne remarque pas ma présence. Je suis là, en vélo, caché sous l'ombre d'un arbre. Le hasard, je n'y crois pas et le fait d'être là au bon moment me donne prétexte à mille et un fantasmes. Je guette comme le loup devant sa proie. Et quelle proie: un mec sculpté au couteau, à la peau bronzée, ressemblant à ces jeunes surfers de la Californie. Se sentant à l'abri des regards indiscrets, lentement, il enlève son "WetSuit" aux couleurs fluos.
Je découvre
un corps basané et musclé par le sport. Un mec comme on n'en voit que dans les revues. |
Ses cheveux blond cendré finement bouclés tombent sur ses épaules larges et carrées. Ses pectoraux bombés par l'exercice forment deux montagnes de muscles qui gonflent au moindre geste. Il laisse tomber finalement son survêtement. À demi penché, ses fesses bombent le tissu de son bikini, un slip de plage orangé moulant parfaitement ses attributs. Ça lui donne même un air érotique. Très échancré, le tissu remonte ses cuisses musclées. C'est le bon moment. Je sors de ma cachette, provoquant un effet de surprise. Surpris il se relève. Il suit des yeux mon vélo.
Je me dirige vers un tas d'arbustes, juste ce qu'il faut pour le regarder à distance et lui laisser le temps d'être intrigué par ma présence. Il vérifie la remorque tout en jetant de temps à autre un coup d'oeil vers le taillis où je me suis caché. Je prends le temps de descendre mon cuissard et de masser doucement mon slip. Il semble avoir remarqué mon geste et la couleur fluo de mon bikini qui fait contraste. Son regard se fait plus insistant.
Un homme un vrai qui n'a pas froid aux yeux. Finalement, intrigué, il ferme sa portière et d'un pas assuré, il se dirige vers moi. |
À proximité, debout, il cherche à deviner ce que je suis en train de faire. Il se rapproche doucement. Je sens sa présence, il est tout près. L'excitation monte, ma main travaille l'énorme bosse qui remplit mon slip. Il est là... debout devant moi, légèrement à l'écart, son slip cachant difficilement son érection. Il sait maintenant toute l'envie qui tenaille ma queue encore dissimulée sous le tissu.
Il se raproche lentement, incertain. Je sens son parfum de mâle en chaleur. Je remplis mes pensées de cette vision divine. Je peux deviner son sexe tendu sous son slip. Une bosse garnit son bikini et ça m'excite tellement de le voir ainsi. Il regarde les alentours, comme pour s'assurer que personne ne viendra nous déranger. Il s'avance. Enfin... il se décide!
Il peut maintenant me regarder, me voir me trémousser. Comme une invitation, j'écarte les jambes et lui montre l'énorme bosse que présentait le devant de mon maillot, pour lui faire voir à quel point je suis prêt au plaisir. À genoux, ma main tend vers son slip et caresse tendrement la chair tendue qui s'y cache. Debout,
ce mâle de rêve se laisse aller à mes caresses habiles. J'en suis content, presque heureux |
de le voir se laisser faire. Son sexe bande sous mes doigts. Il forme une rondeur appréciable que je lèche lentement de ma langue. Qu'il sent bon ce slip, ce sexe d'homme! Quel plaisir d'y enfouir mon visage, de respirer l'odeur de cette queue qui frémit. De palper avec mes lèvres toute sa longueur. De toucher ce slip si doux. Le temps de quelques prémisces et voilà, ma main pénètre le vêtement. Hum! Son sexe est de bonne taille et déjà quelques gouttes de précum perlent au bout de son gland. Je masse doucement ce sexe plein d'envie, une envie qui gagne lentement ce bel inconnu qui se déhanche langoureusement.
Lentement, je descends le slip devenu inutile et son sexe bandé prend enfin une gorgée de liberté. Éphémère, car ma bouche se referme sur cette chair excitée. Comme j'ai goût à le sucer, de lui faire découvrir le vrai plaisir entre hommes ! Comme j'ai envie... Ha oui! Envie de le prendre complètement dans ma bouche. Assoiffé de sexe, je suce son membre gorgé de sang. Maudit qu'elle est bonne cette queue. Elle est douce et suave.
Son gland décaloté se gonfle sous l'assaut de ma langue qui travaille le frein tandis que mes mains pelotent ses fesses |
rondes et musclées. De petits cris sortent de ses lèvres pour me dire que c'est bon et de continuer. Je continue à pomper toute son énergie. Je m'applique à faire glisser sa queue du bord de mes lèvres au fond de ma gorge. J'aime sentir toute la retenue de ce sexe qui tente de freiner mes ardeurs. Je sais qu'il trouve ça bon et c'est bandant de le voir. Il se déhanche comme un diable dans l'eau bénite.
À grands coups, ses testicules frappent mon menton. La bouche ouverte, ses mains sur ma tête, il cherche à faire durer le plaisir. Je veux le sucer, lui montrer comment on peut s'amuser et
je sais maintenant qu' il est venu me voir pour ça. Je sais... je sais! Sa blonde n'en saura rien... ses chums non plus. Car un homme comme ca, ça ne peut être qu'un straight...un hétéro |
Ça se sent, ça se voit et c'est ça qui m'excite le plus. Il est beau à voir, le slip à demi descendu. L'air macho, il se laisse aller au gouffre de ma bouche toujours avide de prendre un gros sexe. Un sexe énorme, jeune, lisse, long et rigide qui valse au rythme de ma langue. Je le sens frémir, je sens toute l'énergie vibrer dans sa verge et monter jusqu'à son gland bleuté.
Je m'allonge, il bascule. Placé par-dessus ma tête qui oscille, il cherche à reprendre son souffle. Il place sa queue dans ma bouche et commence la cadence. Installé par-dessus moi, il a tout le plaisir de contrôler le mouvement. Sa queue entre et sort lentement de ma bouche. Ma langue salive toute la verge. Il entre complètement sa queue, je sens ses testicules ; il s'arrête. Le moment est chaud, je sais que cette pause est palpitante. Je le garde au fond de ma gorge et je fais travailler les muscles de mon cou. Puis il reprend la cadence. J'essaie de contrôler cette force brutale mais il semble en transe et désire, sans concession, prendre son pied.
Je pose mes mains sur ses fesses et je pénètre le slip qui recouvre encore ces deux montagnes de muscles fermes. Mes doigts ont trouvé la raie qui les sépare, cherchant la sensibilité de son point anal.
L'anus se présente humide et contracté. Je sais que c'est décisif pour maîtriser cet étalon sauvage et, s'il n'était pas déjà quasiment en mon pouvoir, il se déroberait. |
D'un mouvement circulaire, je le taquine doucement pour finalement le pénétrer du majeur. Je commence un va-et-vient langoureux. Il se contracte et il semble découvrir un autre plaisir tout aussi sensuel. Il est maintenant complètement à ma merci. Il ne bouge plus, c'est moi qui le suce, c'est moi qui contrôle enfin ce mâle prêt à exploser de plaisir. Il se cambre, se contracte. Il se colle contre mon visage, sa queue complètement dans ma bouche. Je resserre mes lèvres, il recommence à bouger. Il monte pour mieux redescendre. Lentement, je resserre l'étau que mes lèvres font sur sa queue. Je travaille maintenant son gland que je lèche avidement. Le plaisir monte.
Il semble perdre le contrôle. Sa queue est dure comme une barre de fer et gonflée comme un tuyau sous pression et mon doigt, au fond de son cul, semble ne rencontrer aucune résistance. Il va jouir, je le devine. Je peux entendre ses lamentations.
Il lance des obscénités, il me supplie de continuer, il ne faudrait pas qu'il se sente en infériorité. je me fais humble et dévoué, dominé. |
Le mouvement est plus rapide et sa respiration plus saccadée. Il s'arrête quelques secondes pour reprendre de plus belle avec frénésie le va-et-vient. Sur le point du non-retour, sa queue est tendue dans toute sa splendeur, ses couilles se contractent et son déhanchement est plus intense. À ce point, il en perd la tête, comme ensorcelé par le plaisir qui le gagne.
J'accélère le mouvement : c'est la finale. Le diable se déchaîne, il se déhanche avec force. Je contrôle sa fougue avec mon doigt qui pénètre l'anus et qui travaille son entraille. Pris de spasmes violents, il s'écrit. Des cris venus du fond de son âme, il va jouir. OUI! Il va exploser sa jouissance et je vais boire sa semence. Il se lamente de plaisir et je sais qu'il va s'éclater. Il se contracte, il se retient mais sa retenue est vaine. Je donne un dernier coup de langue et je fais tournoyer mon doigt dans l'ouverture anale complètement décontractée et domptée. Il se cambre, il gémit, il grogne.
Voilà, une bonne contraction et je sens sa queue gonflée se retirer de ma bouche. Je la reprends rapidement au bout du gland. Sous une douce folie, il crie sa délivrance mais je ne lâche pas prise. Haletant, il contracte tous ses muscles. Ses mains dans mes cheveux pressent ma tête. Vainement. La jouissance le prend avec fougue. Conquis par le plaisir, il se détend. Criant, suppliant, sa semence emplit ma bouche. Je sais que ça bdevient presque douloureux mais je n'ai aucune pitié. Enfin je lèche son gland pour ne pas perdre une seule goutte de ce précieux liquide. Sa semence est abondante. Elle remplit ma bouche de quelques jets blancs et salés que j'avale gloutonnement. Je suce jusqu'à la dernière goutte. Je garde sa queue au fond de ma gorge, comme pour mémoriser cet instant. Il reprend son souffle, il me regarde, appréciant j'espère ce moment. Je bécote une dernière fois sa queue libérée de toutes tensions. Je la replace sagement sous le slip.
Assouvi, frictionnant mes cheveux il se penche et, le souffle encore altéré, il me murmure à l'oreille : "putainhhh, tu suces comme un dieuhhh !". |
Il arrange sa bite comme pour s'assurer de sa réalité.... Il sera là demain, c'est un bon coin pour mettre le jet ski à l'eau...demain, oui, qui sait... J'y serai, oui! Je sens ses lèvres frôler les miennes. Je fonds sous ce semblant de reconnaissance et de promesse. Faut-ily croire ? Nous sommes ingrats, nous les hommes. Mes doigts contournent une dernière fois son torse bombé. Il s'en va... Demain... oui... demain, j'y serai, fidèle et dévoué à ses plaisirs.
Hummmmh, le tenir par la taille tandis qu'il nous conduit sur son jet-ski
vers une crique solitaire où toutes chances de s'épanouir lui seront accordées...
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