Mercredi 22 janvier 3 22 /01 /Jan 12:51

plus tard, qu'il consent à se laisser aller à son plus cher désir : tomber dans les bras de Julien et Matthieu

L"INITIATION  D'ADRIEN

  Recit 2/3 Matthieu, Adrien, Julien

        

 

Adrien était un peu déçu, mais surtout très excité par la perspective qu’il allait perdre sa virginité d’une manière inoubliable. Nous échangeâmes nos premiers baisers ce soir-là. Les lèvres d’Adrien étaient d’une douceur extrême. J’en étais tout retourné. Puis nous allâmes nous coucher…

Adrien dormit mal cette nuit-là. Il était à la fois nerveux et excité. Il se réveilla très tôt. Comme Julien et moi étions encore endormis, il se leva et s’habilla. Le contact de ses vêtements sur sa peau nue lui fit une drôle d’impression. Cela faisait plusieurs semaines qu’il n’en avait pas enfilé. Il avait décidé de nous faire une surprise et d’aller à vélo chercher des croissants à la boulangerie du village. Cela faisait bien 20 kilomètres aller-retour. Cela l’occuperait le temps que nous nous réveillions. Quand il rentra, Julien et moi étions en train de boire un jus d’orange sur la terrasse. Les croissants étaient chauds et délicieux – c’était adorable de sa part. Ça faisait drôle de voir Adrien habillé. Il avait un peu transpiré avec ce long trajet à vélo. Une fois les croissants avalés, Adrien demanda timidement :

— Quand est-ce qu’on commence ?

Julien et moi approchâmes lentement et l’embrassâmes sur les joues en déclarant :

— Maintenant, Adrien chéri !

Main dans la main, nous descendîmes vers le lac, plus précisément vers la petite prairie en son bord. C’était un jour magnifique, un ciel bleu sans nuage, une température chaude sans excès, avec une légère brise. Le fait qu’Adrien soit habillé était en fait excitant. Autant être nu en permanence procurait un bien-être infini, autant démarrer l’acte sexuel par un déshabillage était très érotique. Julien et moi commençâmes à déshabiller ensemble Adrien tout doucement, mais en le laissant debout.

Nous défîmes son t-shirt, découvrant son torse magnifique, imberbe, avec des pectoraux naissants. Adrien se laissait faire, il ne bougeait pas. Seule une gaule énorme sous son short trahissait son excitation. Puis nous fîmes glisser son short, Julien et moi tirant chacun sur un coté. Même chose pour son petit caleçon écossais bleu et blanc. En tirant sur le caleçon, la bite d’Adrien claqua contre son nombril tellement il bandait. Il n’avait plus que ses Adidas aux pieds ce que nous trouvions tous les deux terriblement bandant : debout, nu, avec ses baskets blanches. Julien et moi étions à ses côtés. Nous lui donnions des baisers sur la bouche et caressions tous les deux ses épaules, son dos et ses cuisses. Julien le masturbait doucement.

Adrien était un adolescent naturiste magnifique. Son corps était sublime, parfaitement sain, mince, des muscles très légèrement saillants. Son bronzage était intégral, parfait. Il avait des yeux marron intense, des cheveux très bruns, le teint très légèrement mat, mais qui bronzait fort et vite. Ses fesses étaient a la fois petites mais bien rondes, telles des fruits mûrs. Des poils bruns en quantité idéale (ni trop, ni trop peu) parcouraient ses mollets. Sa toison pubienne était noire, idéalement fournie. Un léger filet de poils reliait sa toison à son nombril. Ce corps parfait était dû à une vie saine, à l’air libre et au sport qu’Adrien pratiquait souvent. Des dents très blanches apportaient dans son sourire la touche ultime à sa beauté. Adrien avait sûrement reçu ce que la nature pouvait offrir de mieux à un adolescent naturiste. Il aurait pu posé, rayonnant, en couverture de la « Vie au Soleil », le magazine naturiste dont nos parents étaient de fidèles lecteurs.

Adrien avait légèrement transpiré sur son vélo et il fallait qu’il soit parfait pour son dépucelage. Je déclarai :

— Mon chéri, c’est maintenant l’heure de ton bain !

Julien et moi défîmes chacun l’une de ses baskets et le conduisîmes vers le lac en le tenant par la main. L’eau était légèrement fraiche en cette matinée. Julien avait ramené un savon bio et, assis dans l’eau, nous savonnâmes Adrien qui se laissait faire. C’était une scène érotique et tendre. Julien et moi passions doucement nos mains sur son corps pour le laver.

Une fois rincé, nous allongeâmes Adrien dans l’écrin de verdure. Julien se plaça entre ses jambes pour démarrer une fellation tout en douceur. Je me plaçai, quant à moi, au côté d’Adrien pour lui rouler des pelles et titiller ses petits tétons avec le bout de ma langue. Adrien était bouche bée devant de telles sensations de plaisir. Il était si surpris qu’aucun son ne sortait de sa bouche. Quand Julien commença à embrasser son gland et à se caresser les joues avec sa verge, Adrien émit ses premiers gémissements de petit pédé :

— Ah ! Oui ! Ah !

Pendant ce temps, je continuai mes caresses sur sa peau d’une douceur exquise et l’encourageai :

— Adrien, tu es tellement beau, fais-moi goûter ton zizi.

Julien me laissa la place et je pris le membre dans ma bouche. Il était délicieux et avait encore la fraicheur de l’eau du lac. Comme pour toute première fois, Adrien ne fut pas long à éjaculer et il déversa son foutre dans l’herbe drue. Des baisers profonds entre nous trois vinrent célébrer l’évènement.

Nous fîmes une petite pause. Adrien planait et ne cessait de sourire et de nous remercier. Il fut très câlin et tactile dans l’heure qui suivit.

Quelques temps après, Adrien recommença à bander. Il nous demanda s’il pouvait goûter nos bites. Il rêvait de savoir quel goût ça avait. Nous nous plaçâmes au milieu de la petite prairie. Julien et moi restâmes debout côte à côte et fîmes mettre Adrien à genoux. Celui-ci se jeta goulûment sur nos bites. Il se montrait très actif et appliqué, branlant Julien d’une main pendant qu'il me suçait, et vice versa. Il était doué ! On percevait des « mmmhhh » de gourmet entre les bruits de succion ; une belle carrière de suceur de bites s’annonçait. Julien et moi nous tenions par les épaules. Nous ressentions à la fois le plaisir des caresses buccales d’Adrien et la douce chaleur du soleil sur nos fesses et nos dos. Adrien, toujours à genoux, se pencha légèrement en arrière et, offrant son torse magnifique, nous déclara :

— Arrosez-moi !

Seules deux ou trois branlettes eurent raison de nous tant nous étions excités. Adrien reçut huit jets puissants de sperme sur le torse. Il était dégoulinant de foutre.

— Me voilà baptisé ! Dit-il en riant.

Nous partîmes tous les trois dans de grands éclats de rire et courûmes nous jeter dans le lac pour nous laver et nous rafraichir. Le soleil était maintenant au zénith, il devait être près de midi. C’était vraiment un jour magnifique. Nous étions assis dans l’herbe tous les trois quand Julien se pencha doucement vers l’épaule brune d’Adrien, qu’il embrassa, et glissa : « Es-tu prêt à expérimenter ce qui fera de toi un vrai homo ? » Adrien désirait vraiment des rapports anaux, mais il avait encore un peu peur. Il répondit :

— Est-ce que je peux essayer en actif d’abord ?

— Bien sûr, répondit Julien. Je vais te donner mon petit trou d’amour pour ta première sodo.

— En fait, dit Adrien, j’ai un fantasme depuis que je t’ai vu pris par derrière par Matthieu dans la clairière. Je rêverais de te prendre en levrette, ici, au milieu de cette prairie.

Ils se levèrent tous les deux et firent quelques pas avant de se rouler un énorme palot où les langues se mêlèrent. Puis Julien se mit à quatre pattes dans l’herbe. J’étais surexcité, je bandais comme un fou. J’avais déjà pris Julien par derrière, mais toujours debout, jamais en levrette. Je fixai Julien dans cette position, il était magnifique. Ses petites fesses rondes étaient prêtes. Le soleil faisait briller les poils blonds qui recouvraient ces deux superbes fruits. Adrien se plaça derrière Julien et le pénétra en douceur. Au moment où son zizi entrait dans ce nouveau monde, sa bouche s’ouvrit en grand, entre sourire et soupir d’extase. Puis il commença à limer l’orifice de Julien lentement mais profondément.

J’aurais pu me joindre à eux, mais je restai à les contempler en me masturbant. Ses deux corps nus, bronzés, gorgés de soleil en plein midi, bougeaient en rythme et offraient un spectacle que je préférai ne pas troubler, laissant Adrien se concentrer sur les sensations de son premier accouplement. Julien aussi ne voulait pas en faire trop pour cette première, laissant à Adrien l’unique sensation chaude et serrée d’un anus sur son sexe. Avec son instinct de passif, il se contentait de synchroniser parfaitement les mouvements de son derrière avec les coups de queue d’Adrien. Celui-ci jouit dans les secondes qui suivirent et se retira. Julien resta à quatre pattes et écarta davantage les jambes pour lui offrir la vue sur son petit trou dilaté qui se refermait lentement, laissant échapper des larmes de sperme. Adrien, soupirant, regardait avec exaltation.

Nous nous sommes ensuite détendus au bord du lac, à discuter de choses et d’autres. Un petit break de sexe était nécessaire pour charger les batteries… et les couilles. Nous avions tous un peu faim et nous sommes donc remontés déjeuner sur la terrasse de mes parents. Légumes et fruits frais étaient au menu. Le déjeuner fut sympa, on riait bien.

Après le dessert, Adrien me dit en rigolant :

— Quand on déjeunait avec tes parents ici, les fois précédentes, je fantasmais à l’idée de te faire l’amour sur cette table, après le repas.

Je rigolai puis me dis intérieurement :

— Il ne m’a jamais fait l’amour. Quel cadeau ça serait d’exaucer son fantasme dès notre premier rapport ! Qui sur terre peut se vanter d’avoir vu ses fantasmes réalisés à l’occasion de son dépucelage ?

Je n’hésitai pas un instant. Je dégageai la table, m’y couchai sur le dos près du bord et écartai mes jambes en l’air au maximum. Je regardai Adrien et lui dit :

— Pour notre première, je veux t’offrir ce cadeau. Encule-moi comme tu en as toujours rêvé !

Adrien n’en revenait pas (Julien non plus d’ailleurs !), il avait dit cela en plaisantant. Je l’attendais, grand ouvert. Je ne m’étais jamais retrouvé comme ça, le cul béant à l’air libre, prêt à accueillir une bite. C’était bien. Je sentais l’air passer sur mon anus, habituellement caché entre mes fesses. Adrien se leva, déjà en érection complète, et me planta son membre. Il me prit ensuite par les chevilles et commença son travail de top. Je fermai les yeux et m’abandonnai aux rythmes de ces mouvements. Pendant ce temps, Julien s’était placé derrière Adrien et admirait la vue superbe de son dos, jambes légèrement écartées, bras levés et écartés. Le mouvement saccadé de ses petites fesses rondes était superbe, ainsi que le balancement de métronome de ses testicules. Adrien se masturba en moi jusqu’à l’orgasme qu’il ponctua de grands cris, pour la première fois :

— Ah, oui, Matthieu, je jouis, je jouis, je jouis en toi !

Julien s’approcha et lui donna une petite tape sur les fesses :

— Tu fais un bon « actif » ; pour un débutant tu es impressionnant !

Après avoir débarrassé la table, nous sommes descendus à nouveau au lac pour faire une petite sieste à l’ombre des arbres. Nous dormîmes longtemps. Deux heures ? Qui sait ? Le temps s’était arrêté aujourd’hui. Au réveil, Adrien nous regarda avec un mélange d’envie et d’angoisse dans le regard : « Le moment est venu. Je vous veux en moi maintenant. Je veux me faire enculer. »

Il fallait tout faire pour le mettre à l’aise. Comme ma bite était légèrement plus petite que celle de Julien, Adrien désira que je sois le premier à le pénétrer. Nous l’installâmes sur un lit de mousse à l’ombre agréable d’un gros arbre. Je levai ses jambes et les plaçai sur mes épaules – cela rendrait la sodomie plus facile. Adrien tremblait mais me demandait d’y aller. Julien lui tenait la main et lui faisait des bisous sur le front et les joues en l’encourageant :

— Détends-toi, tu vas y arriver, tu verras que le plaisir est au bout.

J’étais électrisé, j’allais me taper son petit cul vierge. J’allais dépuceler mon ami ! Malgré mon excitation, je tentai de rentrer en douceur. Adrien grimaça. Je forçai et entrai. Adrien se tordait, il avait mal, mais m’ordonnait de rester en lui, sans bouger. Julien continuait à l’encourager.

Quelle sensation ! Il était incroyablement serré, c’était tellement bon. Quelle comparaison avec Julien dont l’orifice avait déjà gagné en souplesse après nos premiers enculages ! Je commençai à bouger tout doucement. Les soupirs de douleur d’Adrien se transformèrent soudain en légers cris de plaisir. Plus je commençais à bouger, plus son visage commençait à s’éclairer. Il souriait maintenant et se mit à se tortiller de plaisir. Il nous regardait tous les deux et disait tout haut :

— Je n’y crois pas ! Je n’y crois pas ! C’est tellement bon ! Ah, mmh ! Oh, oui, c’est incroyable !

Il s’était mis à bander presque aussitôt et je voyais des gouttes de sperme perler à l’extrémité de son pénis. Il commença à se branler et Julien en fit de même au-dessus du ventre d’Adrien. Les trois orgasmes se produisirent au même moment, dans des gémissements de plaisir. Adrien était plein de foutre. Son cul était gorgé de mes semences et une mare de crème blanche recouvrait son ventre.

Nous courûmes nous jeter dans le lac. Adrien était fou de joie, il sautait dans l’eau, riait, nous éclaboussait. Il était euphorique. C’était à la fois une révélation et une libération, un trop plein d’énergie à décharger soudainement. Le comprenant, nous passâmes un moment à faire du sport et à nous défouler. On grimpa aux arbres, fit quelques parties de ping-pong, de foot, etc. On alla ensuite se baigner un moment. Nous nous posâmes dans la prairie, ruisselant d’eau fraîche. Adrien nous confia :

— Quel pied de se faire enculer ! J’ai vraiment adoré sentir une bite dans mon cul. J’ai hâte de le refaire, sans appréhension. Le seul truc qui est moins bien, c’est le côté passif. Celui qui t’encule fait tout le boulot. Et puis toi, ton orgasme vient en te masturbant, alors que l’actif n’a pas besoin de ses mains pour jouir.

Julien écarquilla les yeux :

— Mais non, pas forcément, le passif peut prendre le contrôle et se faire jouir de l’intérieur, sans masturbation.

Adrien était stupéfait : un pan entier de la sexualité gay venait de lui être révélé. Une vague de rut monta en lui. Julien lui dit :

— Tu verras, un jour, tu en feras l’expérience.

Adrien sentait son cul le démanger. Il répondit aussitôt :

— Apprends-moi comment y arriver, Julien. Maintenant.

Julien ne s’y attendait pas, mais son ami lui demandait à être initié. Faire profiter de son expérience en matière de sexe, alors qu’il était puceau il y a à peine plus d’un mois, le gonflait d’orgueil, Son orgueil n’était pas le seul à gonfler d’ailleurs. Il prit Adrien par la main, le conduisit au milieu de la prairie puis s’allongea sur le dos. Adrien était excité de se faire baiser une deuxième fois et s’empala sur la queue de Julien, avec une douleur moins forte que la fois précédente. Je m’installai près d’eux et me caressai. Julien plaça ses mains sous les fesses d’Adrien pour l’encourager à bouger.

— Voilà, voilà, encouragea Julien. Chevauche ma bite. C’est bien.

Adrien commençait à bouger, à prendre des initiatives avec son corps pour diriger le pénis de Julien en lui. Julien, lui, continuait à lui prodiguer des conseils :

— Maintenant, serre l’anus, comprime-moi. Voilà, c’est ça, c’est bien. Imagine que ton anus est une bouche qui avale ma bite. Très bien, c’est ça. Tu te débrouilles bien.

Adrien commençait à comprendre, des sensations nouvelles le prenaient. Il se surprit à ressentir des plaisirs en différents endroits de son rectum, plus fort que la première fois. À cela s’ajoutaient d’autres sensations agréables. Celle de l’herbe grasse sous ses genoux et ses pieds. Celle du soleil de cette fin d’après-midi qui chauffait chaque parcelle de sa peau nue. Celle du vent léger qui balayait son visage. Celles des dernières gouttes d’eau fraiche du lac qui perlaient sur ses épaules. Son plaisir était intégral. Il ressentait un bien-être général de tous ses sens. Il contrôlait maintenant parfaitement la sodomie. Il appuyait ses mains sur le torse de Julien ou les plaquait sur ses propres fesses pour mieux les écarter et piloter ses sensations. Il se caressait aussi les tétons, la tête penchée en arrière, la bouche ouverte et les yeux clos. C’était lui le maitre de cet accouplement, il dirigeait toutes les sensations. Julien le laissait complétement faire. Tout au plus offrait-il ses doigts à Adrien pour qu’il les suce au rythme des mouvements de son propre cul.

Je n’en revenais pas. C’était la plus belle scène de sexe que j’avais jamais vu. Aucun de mes rapports avec Julien n’avait atteint un tel sommet. Aucun film porno n’atteindrait ce stade de plaisir et de naturel. Je ne perdais pas une miette. Je contemplais le visage en extase d’Adrien, sa peau mate plus brillante que jamais dans la lumière rasante, les rebonds de ses petites fesses sur le corps de Julien, les contorsions de son bassin. Je m’attardais sur son anus qui mangeait littéralement la bite de Julien. Il était souple et rendu brillant par des secrétions anales.

Une ultime contraction violente de son rectum fit jouir Adrien alors qu’il se cambrait, mains sur les fesses. Dans un grand cri, il laissa échapper cinq puissants jets de sperme sur le torse, la joue et l’oreille de Julien. C’était une jouissance hors du commun, son corps en entier reçut une immense décharge de plaisir : son anus, son rectum, sa prostate, ses couilles, sa bite, et chaque pore de sa peau gorgée de soleil, de vent et de la fraicheur du lac. Julien et moi jouîmes dès l’instant suivant, emportés par la même vague.

Assommés par l’extase et le plaisir, nous nous écroulâmes tous les trois en un seul amas de chair au milieu de la prairie. Le soleil s'approchait de l'horizon. Nous nous endormîmes presque immédiatement. Adrien se réveilla. Quand il ouvrit les yeux, il vit la voute céleste, bleu foncé, sans nuage, sublime. Il regarda les corps de ses amis endormis, leurs pénis enfin au repos. Ils dormaient d’un sommeil profond, leur respiration était douce. Il repensa à cette journée magique où il avait découvert les plaisirs du sexe entre hommes, joui cinq fois et déjà réalisé de nombreux fantasmes. Ses deux meilleurs amis étaient maintenant ses amants.

Il se sentit comme neuf. C’était une nouvelle vie qui démarrait, pleine de plaisirs et de découvertes. Il se rendormit, heureux comme il ne l’avait jamais été.

à suivre

les photos sont fake et viennent du net, zone libre

 

Par matthieu - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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