SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES

Vendredi 24 mai 5 24 /05 /Mai 07:24

Résultat de recherche d'images pour "greek gay picture house porn front"  Image associée   Il a de quoi vous satisfaire (remplir) , le mexicain, Alejandro Castillo offre à Devin Franco sa bite mexicaine de 25 cm brut (9 pouces), dure à cuire, avec laquelle jouer.   Image associée            T'en fais pas, tu vas aimer  

Image associéeAlejandro sera sans concession avec le cul serré de Devin , il ne se laisse pas décourager par Devin, pas même un peu. Il fait apparaître son trou en abaissant son maillot et lui lèche les fesses, et c’est juste pour le taquiner car  ce dernier ne perd rien pour attendre !. Devin se comporte amicalement  et fait une gorge profonde à Alejandro ce qui  lui surtend la bite.  

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  Image associée  C'est bien rentré, on va plus loin maintenant. Attends, le vrai plaisir arrive !

 


 

commentaire :

 

 

Par ALEJANDRO CASTILLO - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Jeudi 16 mai 4 16 /05 /Mai 06:42

«J’en voulais à mon anus, qui restait toujours fermé, et qui ne me laisserait jamais y faire passer quoi que ce soit. Je tenais mon achat flambant neuf, un tube de lubrifiant qui allait, à défaut, me servir de plug. »

Résultat de recherche d'images pour "GAY GIF BOMBE DE DEO DANS LE CUL"  Résultat de recherche d'images pour "GAY GIF BOMBE DE DEO DANS LE CUL" LA CHAUDE DESCRIPTION DE ANNO QUI EST UN AUTHENTIQUE ARTISTE dans l'évocation des émotions et des ensations

 

Lire l'intégralité du contexte, voire l'ensemble des 4 épisodes :  

https://cyrillo.biz/histoire-gay-2018-mon-pote-Hector-04.php  (De retour, quatrième épisode… Bonne lecture !)

EXTRAIT : J’avais ma main sous mon tee-shirt, qui triturait la surface de mes tétons sensibles ...Je le voyais si large et si long, ça serait un déchirement.

 

Résultat de recherche d'images pour "gay gif auto godage avec un tube de lubrifiant" Hector, par vengeance, exerce un chantage sur Anno, l'auteur 

Qu’allais-je faire ? Je n’avais jamais acheté un seul plug ! À peine avais-je mis, un jour, deux doigts dans mon fondement, par poussée de désir, en me branlant.

Puis je revins à moi, je tremblais de rage, contre cet homme, ce bandit, ce criminel, et contre moi-même ! Je criai de rage.

 

 Je me remis à pleurer. J’en voulais maintenant à mon anus, qui restait toujours fermé, et qui ne me laisserait jamais y faire passer quoi que ce soit. J’avais ma main sous mon tee-shirt, qui triturait la surface de mes tétons sensibles. L’autre, elle, tenait mon achat flambant neuf, un tube de lubrifiant qui allait, à défaut, me servir de plug. Je le voyais si large et si long, ça serait un déchirement.

Slim et caleçon moulant glissèrent le long de mes jambes et la peau se hérissa ; je me mettais déjà à gémir. Instinctivement, mes jambes s’écartaient et laissaient ma rondelle caressée à la surface, là où la peau est toute sensible, par le vent frais. Me saisissant du tube, qui, remarquai-je, de sa forme phallique, se portait bien à la situation, je m’enduis les doigts de lubrifiant. Les portant à mon derrière, j’étalais tout, consciencieusement d’abord, sensuellement ensuite. Malgré moi, trois doigts glissèrent dans mon trou qui les avala, glouton et insatisfait. C’était tout chaud ! Ça y est, avais-je murmuré, je suis dans mes entrailles ! Je pliais, dépliais les doigts, doucement, tâtant la paroi douce qu’est celle d’un anus. Je tentai d’aller plus loin, et ce fut un énorme frisson, je me tendis de plaisir. Je m’écroulais, pour mieux me doigter. Je faisais maintenant des allers-retours, creusant de ma main profondément. Une fois mon cul bien bourré, j’essayai d’écarter mes doigts les uns des autres, le plus possible, comme repoussant les parois. Du coup, un liquide tout aussi chaud s’écoula par terre ; j’en avais plein la main.

Puis je me positionnais. Les jambes écartées, j’étais devant un banc. Le tube phallique, bien droit, saillant, s’imposait dessus. J’hésitais à m’asseoir. Je commençai à m’empaler. Les larmes reprirent, ma conscience se révoltant une nouvelle fois contre la débauche dans laquelle je glissais, à l’image de ce vulgaire tube dans mon vulgaire cul, la fureur du désir. Et néanmoins, je m’abaissais toujours plus, repoussant mes limites, et soudain, dans un bruit de ventouse, tout fut gobé dans mon fondement. M’asseoir n’avait jamais été aussi plaisant. Tout mon anus palpitait, se contractait par à-coups, ce qui l’embrochait toujours plus. Seule l’extrémité de mon gode improvisé sortait et laissait une prise (attention à ce que ça ne rentre pas totalement !). Je me jetai, me roulai dans la terre, hurlant. Je tordis mes tétons, au bord de la jouissance.Résultat de recherche d'images pour "gay gif auto godage avec un tube de lubrifiant"

 

 

(De retour, quatrième épisode… Bonne lecture !)

La sonnerie cria. On sortait tous, on poussait avec les bras, les hanches. On suait d’être restés coincés dans la salle de labo, on sentait sur la nuque le souffle fort d’hommes qu’on imaginait nus la nuit. Évidemment, on sortait le téléphone, fébriles, les doigts tremblant d’anticipation qui déverrouillent l’engin, et le temps déjà trop perdu. Il y en eut un, parmi les garçons, qui rattrapait ses messages. Mais déjà il était bousculé, ça glissa de ses mains. À terre, l’écran trop lumineux renvoyait l’image d’une grande forme, couchée sur une autre, comme la chevauchant ; on eût dit des bêtes. C’était moi.

Je me jetai sur mon téléphone et par réflexe tentai de le cacher avec ce que j’avais sous la main, un sac de piscine. Aussitôt Hector demanda :

«Eh mec ! C’est quoi ça, tu déconnes ? Vas-y montre, partage un peu !»

En rigolant, il s’était penché sur moi, me taquinait, et mine de rien, posait une main sur mon torse, et, repliant sa poigne, finit par tirer mon téton droit. Il avait tout vu, c’était sûr. Dépassé par les événements, je ne trouvais quoi faire. Du coup, je dis une connerie, bien grosse, la première qui m’était venu.

«Euh, rien. C’est juste une photo de moi.»

Hector ne répondait plus, il avait un air sérieux. Sexy. Le sang me brûlait le visage. D’ailleurs les autres élèves avaient déjà déserté le couloir, laissant derrière eux une vague odeur de déo, puis de transpiration. Je n’en reviens toujours pas, de ma connerie, ou de mon audace : je venais littéralement de lui avouer que le minet qui se faisait défoncer sur la photo du téléphone, et qui en jouissait, c’était bien moi. Au moins, il n’avait pas vu que l’autre gars, qui justement me ramonait le cul, c’était son frère.

Il me redemanda la photo, car il avait cru mal voir, il croyait avoir reconnu quelqu’un, à coup sûr, oui, on aurait dit son frère.

J’avais peur, je ne disais rien ; mes yeux troublés devaient certainement lui donner confirmation. Je n’entendais que mon cœur. Boum boum. Et ma queue qui s’agitait. Boum boum. Je crois bien qu’il a crié, à ce moment, qu’il m’insultait, jurait. Crachait. Un vrai pote, lui, ne lui cacherait rien, disait-il.

Je me mis à courir. J’avais perdu mon pote Hector. Je courais. Boum boum. Des larmes tombaient sur la bosse de mon entrejambe. Boum boum.

La nuit était déjà là quand les grilles claquèrent, flanquées par le jardinier communal. Elles m’avaient surpris, caché dans un coin, les genoux entre mes bras. Sur mon téléphone, vingt-deux heures. Les deux petits chiffres s’écrasaient sur le dessus de l’écran, où le message prenait tout, toute la place. Je le lisais – relisais. Dix-septième fois.

Matéo, en souvenir de ton initiation, une photo que tu apprécieras. Tu reviens me voir ce soir. Je le sais, tu es en manque, c’est dur. C’est tout naturel pour une apprentie esclave. Tu as besoin d’être comblée, puis remplie. Tu porteras donc un plug en arrivant ce soir. Débrouille-toi si tu n’en as pas encore. Évidemment, tu seras nue.

PS C’est pour ton bien.

Qu’allais-je faire ? Je n’avais jamais acheté un seul plug ! À peine avais-je mis, un jour, deux doigts dans mon fondement, par poussée de désir, en me branlant.

Puis je revins à moi, je tremblais de rage, contre cet homme, ce bandit, ce criminel, et contre moi-même ! Je criai de rage. Je me remis à pleurer. J’en voulais maintenant à mon anus, qui restait toujours fermé, et qui ne me laisserait jamais y faire passer quoi que ce soit. J’avais ma main sous mon tee-shirt, qui triturait la surface de mes tétons sensibles. L’autre, elle, tenait mon achat flambant neuf, un tube de lubrifiant qui allait, à défaut, me servir de plug. Je le voyais si large et si long, ça serait un déchirement.

Slim et caleçon moulant glissèrent le long de mes jambes et la peau se hérissa ; je me mettais déjà à gémir. Instinctivement, mes jambes s’écartaient et laissaient ma rondelle caressée à la surface, là où la peau est toute sensible, par le vent frais. Me saisissant du tube, qui, remarquai-je, de sa forme phallique, se portait bien à la situation, je m’enduis les doigts de lubrifiant. Les portant à mon derrière, j’étalais tout, consciencieusement d’abord, sensuellement ensuite. Malgré moi, trois doigts glissèrent dans mon trou qui les avala, glouton et insatisfait. C’était tout chaud ! Ça y est, avais-je murmuré, je suis dans mes entrailles ! Je pliais, dépliais les doigts, doucement, tâtant la paroi douce qu’est celle d’un anus. Je tentai d’aller plus loin, et ce fut un énorme frisson, je me tendis de plaisir. Je m’écroulais, pour mieux me doigter. Je faisais maintenant des allers-retours, creusant de ma main profondément. Une fois mon cul bien bourré, j’essayai d’écarter mes doigts les uns des autres, le plus possible, comme repoussant les parois. Du coup, un liquide tout aussi chaud s’écoula par terre ; j’en avais plein la main.

Puis je me positionnais. Les jambes écartées, j’étais devant un banc. Le tube phallique, bien droit, saillant, s’imposait dessus. J’hésitais à m’asseoir. Je commençai à m’empaler. Les larmes reprirent, ma conscience se révoltant une nouvelle fois contre la débauche dans laquelle je glissais, à l’image de ce vulgaire tube dans mon vulgaire cul, la fureur du désir. Et néanmoins, je m’abaissais toujours plus, repoussant mes limites, et soudain, dans un bruit de ventouse, tout fut gobé dans mon fondement. M’asseoir n’avait jamais été aussi plaisant. Tout mon anus palpitait, se contractait par à-coups, ce qui l’embrochait toujours plus. Seule l’extrémité de mon gode improvisé sortait et laissait une prise (attention à ce que ça ne rentre pas totalement !). Je me jetai, me roulai dans la terre, hurlant. Je tordis mes tétons, au bord de la jouissance. À peine rhabillé, je courus à fond vers l’appart d’Hector, mon gode s’agitant furieusement en moi et qui, du coup, ouvrait toujours plus mon cul. Puis je bondis hors de l’ascenseur et, à quatre pattes, un pieu dans les fesses, comme une chienne, je gémis pour appeler mon maître.

Dans l’encadrement de la porte, ses yeux sévères me foudroyèrent.

 

L'histoire de A àZ :  https://cyrillo.biz/histoire-gay-2018-mon-pote-Hector-01.php 

                               https://cyrillo.biz/histoire-gay-2018-mon-pote-Hector-02.php...etil y a des suites jusqu'au 4e épisode 

 

 

 

 

Par ANNO - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 30 avril 2 30 /04 /Avr 18:25

quel apprentissage de la vie ! j’ai appris à taire ma pudeur, à lui exposer mon corps nu dans une situation plutôt délirante, et incroyable, nu au milieu de son lit, dans une position totalement impudique

 

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  j'ai"lâché les chiens" je vous dis ! et dire qu'il y a des cavaillonnais qui me regardent

  Image associée pourvu que personne ne me reconnaisse !

Image associée Image associée Et lui qui guette sur ma gueule l'effet que ça me fait d'être doigté ! faut pas que ça me fasse honte ! Rassurez-vous, je partage sans problème mon impudeur.     

  

d

one shot imprévu

https://cyrillo.biz/histoire-gay-2018-one-shot-01.php

  puis,dans un mélange de râles de plaisir et de baisers étouffés nous basculons dans un monde parallèle et rien ne nous relie à la vraie vie.

 

  Nouveau livre : Le Prisonnier du ciel de Carlos Ruiz Zafón. New book : The Prisoner of Heaven by Carlos Ruiz Zafón.Prends ma main
Car je suis étranger ici

Perdu dans le pays bleu
Ma tête quand j’ai lu certaines révélations sur la famille de Daniel. How I looked when I read some scoops about Daniel’s family.Étranger au paradis

Et je sais qu'en chemin

Le danger dans un paradis

C'est de rencontrer un ange

Et qu'il vous sourie

Simple mortel

Je m'émerveille

Les yeux remplis d'étoiles

Et de fraîcheur

Comme un enfant

Qui se réveille

Je te retrouve

Alors je n'ai plus peur

Ne laisse surtout pas ma main

Ô bel ange qui me conduis

Déjà je me sens bien moins

Étranger au paradis

Et si tu veux bien de moi

L'étranger dans ton paradis

Alors nous irons je crois

Plus loin que la vie

 

  quel apprentissage de la vie ! moi jusqu'à présent timide, j’ai appris à taire ma pudeur, à lui exposer mon corps nu dans une situation plutôt embarrassante, sinon incroyable, allongé nu au milieu de son lit, totalement impudique, toute honte "bue"! Image associée

   Image associéeJe comprenais que, si je la voulais,même quitte à avoir un peu mal,  je devais lui donner des signes de 'la' vouloir dans mon cul. Et lui devait montrer, sans fièvre, de l'intérêt pour mon trou !   

 

Mais la situation s’est rapidement révélée plus confortable que je ne l’imaginais avant de commencer. J’étais pourtant on ne peut plus nerveux, avec le cœur qui cognait dans ma poitrine à l’en faire éclater.

  Image associée Image associée

. Avec le second mec que j'ai rencontré, je me sentais encore vulnérable, mais intrigué par ces sensations piquantes qui m’habitaient, et que je ne pouvais pas freiner. Il y avait une forme d’attirance vers l’inconnu, une sorte de mise au défi personnelle. Visiblement beaucoup plus à l’aise que moi en tenue d’Adam, il s’est approché de moi, m’a tapoté affectueusement les fesses nues, pour m’indiquer le chemin de la salle de bains

 

 

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Image associée

 

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Il se montrait doux, rassurant, agréable, sans négliger l’humour, qui aide bien à faire passer la saveur baroque de ces moments très spéciaux. J’avais manifestement laissé ma pudeur et mes inhibitions au vestiaire. Malgré mes hésitations et mon côté un peu gauche, il ne me trouvait finalement pas si maladroit que ça dans mes gestes Il  

  Résultat de recherche d'images pour "gay porn gif he very well opens my butthole" Il s'avérait bien plus imposant et exigeant que mon premier amant, mais je demeurais confiant et disposé à de plus grands sacrifices.

 

  

Petit à petit, la sensation de brûlure s’est estompée, les va-et-vient sont devenus supportables, puis agréables, au fur et à mesure que je suis parvenu à me relaxer. Une fois qu’on est habitué à la présence de ce sexe, ça va beaucoup mieux. La gêne demeure, mais on se sent bien malgré tout, et le plaisir apparaît peu à peu. Je ne pensais pas que l’on pouvait ressentir du plaisir de cette manière. C’était une véritable surprise, comme une petite vague de chaleur qui me secouait de partout, et je tanguais doucement à chacun de ses coups de reins, de plus en plus rapprochés, car imperceptiblement, il avait légèrement haussé le rythme.

 

 

il m’a délicatement massé les bords de l’anus à l’aide d’une pommade ou plutôt d’un gel frais et décontractant. Il étendit du gel entre mes fesses - c’était un peu froid -, puis il commença à me doigter doucement. J’avais un peu d’appréhension, c’était un drôle de sentiment. Il commença à me mettre un deuxième doigt, et je ne sais pas trop comment dire ce que je ressentais. C’était une intrusion dans mon intimité, plutôt agréable.  

    Ce petit jeu de touche-touche, ça avait  affolé mes sens, genre "tu veux ou tu veux pas ?" Puis...

 

   il est rentré  .

  

 

Je le sentais aller et venir avec plus de fougue que précédemment, en me secouant les hanches. Des frissons parcouraient mon corps, une chaleur se faisait ressentir intensément, tandis qu’il me massait les fesses de ses grandes mains. J’avais la bouche grande ouverte pour aspirer le plus d’air possible, et pour gémir à chacun de ses coups de reins.

 

   Long, oui il m'a baisé longtemps, mais j'étais ailleurs dans ma jouissance absolue, dans un monde parallèle 

 

     A un moment, je lui ai demandé d’accélérer encore la cadence, tant les sensations étaient délicieuses.

 

Je ne sais pas si son sexe entrait à chaque fois en entier, mais je ne sentais plus les muscles de mes fesses, comme endormis. Pour le reste, j’avais décollé du sol. Je n’avais encore jamais rien ressenti de tel, et je n’arrêtais plus de gémir

 

Bien sûr, très endurant. Il y a tout eu, il m'a tout fait

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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On se sent planer, transporté au-dessus d’une autre planète. Je pense que lui aussi éprouvait beaucoup de plaisir à me prendre, car il miaulait à la façon d’un petit chat.

 

Lancer le diaporamaVitesse
 

  béatitudes...

 

dans un mélange de râles de plaisir et de baisers étouffés. Nous basculons dans un monde parallèle et rien de nous relie à la vraie vie.

   

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    J'appelle ce premier moment le ravissement  

 

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  Image associéebéatitudes ... 

 

  peut-être l'un des deux amants veille-t-il encore sur l'autre, jusqu'à accéder lui-même au Ciel ?  

                                                Image associée

 

 

 

 

Par SEXTRUXION - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Jeudi 21 mars 4 21 /03 /Mars 09:11

Vous avez bien réfléchi, je ne veux pas avoir d’emmerdement avec vos parents, vous n’allez pas venir me traiter de violeur après, de vicelard ! ça va peut-être vous surprendre, vous faire mal, quoique il y en a pas qui se soient jamais plaints (là ils me regardent fixement) ou vous décevoir. A vous de bien ressentir la bite et vous laisser faire à fond

Séjour en suisse extrait illustré par cavaillongay 

Lire l'histoire in extenso : 

https://cyrillo.biz/histoire-gay-2013-sejour-en-suisse.php

 

 

 ...Il s’approche de moi et me dit tout de go :
- Vous … Tu ne voudrais pas nous initier Sam et moi ? »J’ai fini de me raser, je me retourne surpris, Je le regarde droit dans les yeux.
- Moi ? Ben oui je te regarde depuis tout à l’heure (je ne lui dis pas que j’ai remarqué son petit manège) et je me dis que tu serais un bon prof.

 Je suis bien tenté de répondre favorablement à sa demande mais je ne connais pas son copain Sam, comment est-il ? , quel âge a-t-il ? Et où habite-t-il ?
- Ok si je peux vous aider à passer le cap de la fin de votre adolescence. Et ton copain quel âge a-t-il ? » »Un jour de plus que moi. On est presque jumeaux. Enfin presque » dit-il en souriant.
- Vous êtes d’accord, alors ? »me demande -t-il . J’opine du chef  »Super génial, trop cool » Il me saute au cou et me roule une pelle (je crois que c’est une habitude chez lui, ou il a des origines russes !)J’appelle Sam tout de suite dit-il en sortant de la salle de bains à toute vitesse. Il manque envoyer valser le chat qui passe à ce moment là. Je sors de la salle de bains sur ses talons et la bite pendante comme lui.
- Il habite où ton copain ? » »Bah, dans l’immeuble en face. On se connaît depuis tout petit on était à la maternelle ensemble. C’est mon jumeau je te dis. Enfin presque »...

  Image associée son jumeau qui, lui, serait noir Image associée  Et c'tidée de leur permettre d'aller plus loin

Un magnifique black trône au milieu du hall la queue bien raide dans son jogging. »Heu, salut. Excusez-moi pour la tenue (bien élevé le petit) je suis Sam le copain de John » » enchanté, moi c’est Paul un ami de ses parents »Et tout de suite :
- Alors, c’est vous, c’était pas une connerie »Il se retourne vers John et avec un clin d’œil :
- Tu as du bol, toi tu sais. Moi j’étais prêt » »Prêt pour quoi ? » lui rétorque John avec un petit sourire innocent. Sam se retourne vers moi cette fois et lance :
- On commence quand ? »
- Ben tout de suite

»Ce serait dommage que vous ne vouliez pas me dit Sam en se passant la langue sur les lèvres. Maintenant que je vous ai vu je suis partant à fond et plus vite on commencera et mieux ce sera »Et là-dessus il recommence à vouloir se foutre à poil pour être comme nous. Je le stoppe à nouveau.
- Vous avez bien réfléchi, je ne veux pas avoir d’emmerdement avec vos parents, vous n’allez pas venir me traiter de violeur après, de vicelard ! ça va peut-être vous surprendre, vous faire mal, quoiqu' il n'y en a jamais eu qui se sont plaints (là ils me regardent fixement) ou vous décevoir. A vous de bien ressentir et vous laisser faire à fond »
- Bon on est majeurs maintenant, on sait ce qu’on fait, on n’est pas des PD comme pensent nos ex-copines et c’est pour parfaire notre éducation. Merci à vous de bien vouloir nous initier. C’est un peu comme si vous étiez notre coach sexuel .

Image associée  Image associéeImage associée encore si tendres !

   Image associéetous les deux en attente,

  

Image associée   Image associée  Image associéeaprès. Résultat des courses....

Image associéeC’est bien joli tout ça mais il va falloir faire une petite séance de rasage. Vous êtes trop poilus de la bite même si vos torses sont imberbes eux.
- Comment ça nous raser ? Tu veux nous enlever notre virilité? » Ils ont baissé leurs mains pour les passer dans leurs toisons bien fournies.
- Votre virilité je la vois poindre et un petit élagage fortifiera tout ça. Il n’est pas question de vous raser complètement, enfin à part vos belles couilles, un petit coup de tondeuse sabot réglé sur 2 afin de laisser une petite barbe de 3 jours fera l’affaire. » »Ah bon ! on croyait que tu allais nous raser complètement le cul compris » »Votre cul certainement pas j’aime trop bouffer des beaux culs bien poilus. Allez le matériel est déjà sorti. Je parle du rasoir, de la mousse et de la tondeuse. John tu vas raser Sam et Sam bien sûr tu vas raser John . Moi je tiens les bites et je rectifie le tir si besoin. On commence par Sam. » »Ok, John t’as pas intérêt à me couper sinon je te la fait bouffer pour me cautériser !
-
- On va commencer par la tondeuse ensuite tu lui raseras bien les boules. Je vais garder vos beaux pelages pour ma collection.»Ils se marrent, mais Sam rit jaune. »Montez dans la baignoire pour pas en mettre partout » Je lui tiens la bite pendant que John s’affaire. Il ne se débrouille pas trop mal. Je récupère une bonne touffe bien noire et bien frisée. Je ne peux pas m’empêcher dans bouffer quelques-uns.
- Te gêne pas surtout bouffe-moi la touffe et pourquoi pas le cul ? » Il s’enhardi le petit.
- T’inquiète pas le cul je vais te le bouffer aussi !  mais pas te le déplumer ! »
- chouette ! » »Bon John enduit lui bien les couilles de mousse et attaque avec le rasoir BIC.
- Fais pas le con sinon tu suces ! » »Je serai bien tenté de te faire une petite entaille pour voir » »Va pas trop près du gland, t’as vu la bite de Mike, le rabbin l’a esquinté et maintenant il pisse de travers ! Heureusement pour le reste c’est bon une fois à l’intérieur de la chatte ou du cul. Tant mieux parce qu’il est super bien monté. Comme nous quoi ! » pendant ce temps John s’applique et a bientôt terminé.
- Voilà, je t’ai bien rasé la queue et les couilles, je suis pas allé trop loin derrière. » »Super t’es un chef tu vas pouvoir t’installer barbier de zob ! » nous éclatons de rire tous les trois.
- A toi Sam, montre-nous comment tu t’y prends. » »
- et pour toi-même punition si tu me coupes le zob. Je veux pas être circoncis comme Mohammed. Le pauvre, son gros gland a froid l’hiver quand on fait de l’aviron sur le lac. » »Je vais te faire une super coupe ! passe-moi la tondeuse. J’ai déjà tondu des moutons en Afrique du sud chez mon oncle. »Comme pour Sam je tiens la bite de John par le prépuce. Tous les deux ont de quoi faire. »Allez la mousse et le rasoir maintenant. Pourquoi tu fermes les yeux. T’as peur du sang ? »Sam s’en sort aussi très bien il ne voulait pas esquinter son pote. »On va pouvoir s’installer barbiers tous les deux. Un fera les bites et les couilles et l’autre les culs. On va se faire un max de fric en vendant les touffes aux fabricants de moustache. Nouvelle crise de rire alors que j’ai récupéré les beaux  poils blonds et soyeux de John et que j’en bouffe quelques uns avec ceux de Sam.
- Secouez-vous bien la nouille pour faire tomber le surplus l faut rien gâcher. Attendez  je vais vous aider. Je secoue leur bite en  les caressant bien au passage. La réaction ne se fait pas attendre. Rebandaison éclair. Je m’approche avec le rasoir pour paufiner le travail. Une bonne odeur de bite m’arrive au nez.
- Voilà deux beaux zobs rasés de près » Je ne me gêne pas pour donner un coup de langue au passage. Elles ont bon goût .
-  Retournez-vous que je voie le résultat par derrière. Ecartez les jambes et pliez-vous en avant » Ils obéissent sans broncher. Je me baisse pour voir leur belles grosses couilles pendantes avec leur long zobs devant.
- ça va, vous avez bien bossé. » Je mate un long moment le spectacle en vaut la peine. Deux beaux culs bien musclés me font face, un couleur ébène et l’autre bien blanc avec des reflets de toison dorés. Je me crois dans Out of Africa !
- Maintenant qu’on est prêts, on commence quand ? » lance Sam.
- Retournez-vous et au garde à vous . Un petit rinçage à l’eau tiède et on commence » et je gobe sans plus attendre le gros dard de Sam. Il a un mouvement de recul.
- Excuse-moi mais c’est la première fois »
- T’inquiéte  pas ça va aller. J’ouvre la bouche et il vient me fourrer sa queue à fond. Cette fois c’est moi qui recule.
- Doucement ! j’ai manqué étouffer . Fais de petits va et vient. N’importe comment, vu le morceau tout ne pourra pas rentrer. Dommage j’aurais bien voulu te la bouffer en entier. Voilà doucement essaye quand même d’en rentrer le plus possible mais doucement. » Pendant ce temps John n’en perd pas une bouchée (enfin façon de parler) et il a commencé de lents mouvements de bassin pour s’entraîner. Je crois que ça va être bon mais vu comment il est monté également le petit salaud je ne vais pas pouvoir en profiter aussi en entier.
- Putain, c’est trop bon cette bonne bouche chaude, aussi bon qu’une chatte bien humide. »

Il y prend goût car il commence à me bourrer la gueule bien en mesure et active le mouvement. C’est trop bon pour moi aussi cette bonne grosse queue bien parfumée, elle me remplit bien la bouche.  
- Bon, au tour de John maintenant » »Déjà mais on commence à peine »râle Sam »Ne t’inquiète pas ce n’est que le hors d’œuvre.  A toi John »Il a bien suivi le cours car il s’introduit délicatement et commence un mouvement lent  et petit à petit il va de plus en plus loin.
- C’est vrai que c’est super bon. Je ne regrette pas cette étude après les cours ! »Il y va de bon cœur le bougre. Il rentre il sort sa pine gonfle bien et me remplit complètement la bouche. Elle a un parfum différent et me réjouit tout autant . Bon maintenant cours de léchage.
- Super ! me lancent-ils la queue bien en avant
-
- Vous mettez quoi sur vos tartines le matin ? » »Bah ! du Nutella que nos mères nous envoient » »Ok alors Nutella pour tout le monde. » Je pars à la cuisine en quête du pot, c’est un maxi pot que je ramène dans la salle de bains. Ils me regardent avec les yeux écarquillés.
- Ben oui je n’ai pas encore pris mon petit déj. Je mouille la bite et les couilles de Sam et je l’enduis de la pâte à la noisette. Evidemment on ne voit pas le contraste puisqu'il est noir !  mais sa queue est bien brillante maintenant et sans plus attendre je me mets à le nettoyer.
- Ben toi alors ! tu en as d’autres comme ça ? »Me dit Sam ravi de se faire reluire au Nutella.
- C’est pas nos ex qui nous auraient fait ça ! » John qui attend son tour se passe la langue sur les lèvres. Il commence à avoir faim. Je le mouille à son tour (toujours humidifier avant d’enduire de Nutella) Il mouille aussi comme Sam le précum est abondant et vient ajouter son goût particulier. J’enduis les couilles et le braquemard de John. Il voudrait bien se lécher lui-même.
- Voilà pourquoi tu nous as rasés. On comprend mieux maintenant. Et nos culs ? »

 Image associéeC'est vrai qu'on l'a bien arrangé le beau John !
- vous verrez tout à l’heure » J’entreprends de les lécher  à tour de rôle. Quel plaisir de leur lécher leurs grosses couilles bien pleines et bien lisses, ainsi que leurs longs zobs bien charnus.  Leurs sexes commencent à leur faire mal tellement ils sont gonflés. Ils voudraient bien décharger.

- On va pas pouvoir tenir encore longtemps et tu vas déguster du lait concentré en plus du Nutella » me dit John qui n’en finit pas de gémir. Sam arrive à se contenir. Il semble plus endurant.
- Interdiction de vous toucher bien sûr ! » »Salaud, tu nous fais jouir comme jamais ! »Leurs queues ont retrouvé leur couleur naturelle. Malgré mes coups de langues bien appuyés je n’ai pas pu blanchir celle de Sam il vrai qu’elle est trop belle comme ça. J’en ai profité aussi pour leur caresser les fesses et commencé à leur chatouiller la rondelle, ce qui les faisait se trémousser au bout de mon doigt.
- La vache ! ça a l’air aussi bon  derrière je crois qu’on va bien jouir du cul » s’exclame Sam
- Tu ne regrettes pas mon appel de ce matin qui a interrompu ta grasse mat’ » » Tu parles ! C’était parti pour une méga branlette en regardant le Dvd de boules que tu m’as prêté. J’allais même t’appeler pour qu’on fasse ça ensemble comme  de temps en temps dans la piaule quand on a rien trouvé à sauter. Par mesure d’hygiène il faut bien  se vider régulièrement. N’est-ce pas Paul ?»
- Mouais » dis-je avant d’avaler ma dernière lampée de crème à la noisette.
- Maintenant retournez –vous que je m’occupe du verso et quel verso ! » »ça te plait aussi ? » »c’est si super que ça ? »me demande John
-  je connais le beau cul  de Sam mais je n’ai jamais pu comparer le mien, même dans un miroir. » »T’inquiète fiston ça vaut  également le détour. Cinq étoiles. Je suis tombé sur des super élèves » »Merci Prof » »Ecartez bien vos belles cannes et asseyez vous sur le bord de la baignoire en faisant bien ressortir votre cul et penchez-vous bien en avant que j’ai un bel accès à votre orifice et mettez vos mains sur la tête, à nouveau, sinon vous allez en profiter pour vous palucher. »
- accroupi derrière eux, de plusieurs coups de langue je leur nettoie bien la rondelle. Quel bon goût de cul et quel parfum différent. Les poils noirs et crépus de Sam me font un super effet sur les papilles. Quel contraste  avec les poils blonds et soyeux de John. Des frissons parcourent leur dos à chaque coup de langue en même temps que des gémissements se font entendre. Cette fois c’est Sam qui gémit le plus.
- C’est top bon aussi. Continues encore. »me dit celui-ci. »Qu’est-ce que vous prenez avec vos tartines ? » »Pourquoi cette question ? » »Qu’est-ce que vous prenez ? » »Bah, comme on est en Angleterre on a pris l’habitude de prendre du thé avec de la crème fraîche. » »Ok c’est ce que je voulais savoir . je me lève et retourne dans la cuisine et ramène le pot de crème fraîche trouvé dans le frigo. Je leur tartine la rondelle avec chacun une belle quantité.

NUTELLA EN GUISE DE LUBE QUI N'AIMERAIT PAS ?
- C’est froid
- me disent-ils en cœur »Mais c’est agréable. C’est la première fois qu’on se prend de la crème par le trou du cul. » Vous imaginez que mes deux majeurs rentrent tous seuls, enfin pas vraiment car deux autres doigts l’accompagnent après que j’ai bien fait le passage. Je suis surpris car ils n’ont pas le trou si serré que ça.
- Dis donc John tu as vraiment retourné le god à ton oncle? »un moment d’hésitation de sa part et d’une voix mal assurée :
- Heu oui, oui. Mais j’en ai un plus gros » finit-il par lâcher »et on se le prête avec Sam. On voulait se préparer un peu au cas où. » »Dites-donc pas si innocents que ça les petits ! Vous m’avez fait marcher. » Ce qui ne m’empêche pas de bien leur doigter le fion et ça rentre et ça sort. Je remets un peu de crème de temps en temps car je me lèche bien les doigts au passage. Vraiment bon ce goût de jeune cul bien frais mélangé à la crème.
- Super cette crème » »Et nos culs alors ? » »Pas mal, pas mal. »Ils sont bien prêts pour la séance suivante.  

- John, sort de la baignoire et mets toi à quatre pattes  sur la petite table en teck, met un drap de bain dessus pour que ce soit bien confortable et écarte bien tes belles cuisses qu’on voit bien ton beau cul blanc » »Pourquoi je passe en premier ? » »Parce-que c’est moi qui décide ! » »Ok, ok je m’installe mais vas-y doucement je suis vierge du cul. » »Mon œil et ton gros god tu te le mets dans l’oreille peut-être ? » Sam et lui éclatent d’un rire complice.
- Sam, passe le pot de crème stp » »tu veux de l’aide ? » »Vas-y tartine lui bien son petit cul. »Sam se prive pas pour bien enduire le cul de son pote et en profite pour lui glisser un doigt.
- ça c’est encore un coup de Sam ! Espèce de vicelard ! » Je demande à Sam de reculer et je commence à bien lécher ce petit cul encore plus blanc. Ma langue se déchaîne et John se trémousse au bout. Je lui pénètre l’orifice la langue en pointe et il m’aide en reculant (c’est le cas de le dire !) Je lui rentre plusieurs fois bien profond car il a l’air d’aimer étant donné ses gémissements. Quel bon goût de puceau du cul, plus pour longtemps. Un god ça compte pas. Il est bien préparé. Je pointe mon gros gland à l’entrée et s’en frapper j’entre. Il pousse un soupir plus qu’un cri. Je m’enfonce au plus profond et commence à le ramoner.

- Vas-y c’est trop bon. T’es meilleur que mon god. T’es vraiment super. Je rentre et je sors en faisant de petites pauses et très vite il en redemande. Sam  matte bien la scène et se lèche ses belles lèvres charnues. Il s’est mis de la crème sur le zob et se fait bien raidir le salaud, je ne peux pas l’en empêcher. Je sors de l’antre tout chaud, fait un clin d’œil à Sam en lui montrant l’orifice bien ouvert de son pote d’école. Il comprend vite et prend ma place à l’entrée du gouffre. Sans ménagement il encule d’un coup son meilleur pote. John hurle :
- Dis donc ta bite a vachement grossi elle me rempli plus le cul que tout à l’heure ! continues c’est encore meilleur et j’ai l’impression qu’elle est plus chaude !» Sam s’est mis à le limer frénétiquement, son vieux fantasme se réalise enfin. C’est alors que John réalise enfin que c’est son meilleur pote qui est en train de le sauter sauvagement.

- Salauds c’est toi Sam qui est en train de me bourrer. Et en plus j’aime ça ! »John n’avoue pas que son fantasme se réalise aussi. Ils sont beaux à voir ces deux là le black en train de bien s’introduire dans le white. Quel mélange !Voyant  le beau cul de Sam avancer et reculer je ne peux plus tenir. Je prends le pot de crème et je lui inflige la même punition qu’à son pote préféré. Ma langue le fourre bien car il a compris qu’il fallait qu’il ralentisse pour bien en profiter. Je m’introduis maintenant bien à fond et calque mon rythme sur le sien. Il aime ça le petit con (nouvelle façon de parler vu le beau cul) Je savoure bien aussi les quelques poils de cul blonds et bruns bouffés au passage. Il est endurant le mec et je commence à fatiguer.
- Au tour de John de nous montrer ce qu’il a appris. Sam râle en sortant du cul tout chaud de son pote :
- Dommage, ça commençait à devenir intéressant.
- T’inquiète c’est pas terminé.  C’est moi qui vais servir de cobaye» John s’est relevé et roule une pelle à son pote en signe de remerciement et dit en saisissant le pot de crème  :
- Chouette c’est à mon tour, c’est donc moi qui vais t’enculer. »Tout à fait et vous serez même deux.»Ils ne comprennent pas tout de suite. Je demande à John de se mettre sur le dos et je viens m’embrocher sur sa belle grande queue. Il ne tarde pas à me limer bien profond. Il a bien compris l’exercice. Il met du cœur à l’ouvrage. Au bout de quelques minutes je fais signe à Sam qui nous regarde nous ébattre et qui a toujours la bite en feu de retrouver son pote en lui montrant  mon cul. Pas besoin de lui dire deux fois. Il vient s’introduire en duo dans mon trou bien élargi au grand plaisir de John.

- T’es vraiment super toi tu fais profiter les copains »Il me roule une pelle magistrale pendant que Sam me défonce bien.
- C’est super de glisser comme ça sur la bite de mon meilleur pote et en plus dans le cul bien ouvert de mon nouvel ami, et prof d’éducation sexuelle ! ». C’est comme ça que j’ai initié et me suis bien fait reluire par deux super étudiants en vacances chez leurs parents. Ils m’ont dit qu’ils avaient des potes bien gaulés aussi qui pourraient peut-être être intéressés par mes cours. Mohammed et Mike ? et qu’ils participeraient bien à des cours de perfectionnement les petits cons.

DIEGO

tequiero...entero@...

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  INTERMEDE :

Fun : l'homme qui avait vu l'ours et l'a rasé au taille-haies !Résultat de recherche d'images pour "gay porn black man shaving white mans genitals"

 

  Fun : Sam la peur de sa vie la nuit d'Halloween : Image associée

 

  Image associée Image associée

 

  Sérieux : chacun son tour Image associée  moi Diégo, alias Paul, je me "paie"le beau JohnImage associée et John va se "taper" son pote !Résultat de recherche d'images pour "gay porn black man shaving white mans genitals"Image associée  Image associée  

Il est au au nirvana très vite avec son pote de toujours

Moi, Paul, leur coach sexuel je leur ai permis d' aller

 

Image associée   Image associée  plus loin avec son copain depuis la maternelle.... Image associée copain qui a bien changé depuis ! Résultat de recherche d'images pour "gay porn black man shaving white mans genitals" John aussi a bien changé depuis la maternelle et Sam n'aurait jamais cru que ce serait si bon de se faire prendre par la belle queue de John Image associée ... 

 

ET MOI,PAUL, NE M'OUBLIEZ PAS :

 

  Image associée

 


commentaire :  Merci à Cyrillo de m'avoir fait bander au point d'avoir envie de le traduire en images...

 

 

Par TEXTE DE DIEGO SUR CYRILLO - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 12 mars 2 12 /03 /Mars 00:45

dire qu'un livre est interdit va le faire lire et vendre.  C'est  l'une des bases -impures mais ô combien humaines  - du "nudging"

 

Image associée 

 

 

 

 Ah, s'ils avaient su, les bienpensants du passé n'auraient pas interdit la masturbation: on sest branlés de plus belle à travers les siècles  ! -lol- claudio

 

 

 

 

Image associée une mouche ! Une mouche gravée sur la porcelaine ! Je pense que vous avez compris l'intérêt d'une telle invention : cela permet à l'usager de rester concentré sur sa besogne car en visant l'insecte - réflexe humain - il n'ira pas salir l'extérieur de la cuve et ainsi on va économiser sur les frais d'entretien ...

 

Image associée Il s'agit d'une fausse mouche, peinte à même la porcelaine de certains urinoirs installés dans les lieux publics. Sa présence n'est ni décorative ni humoristique, mais découle d'une découverte récente dans le domaine des sciences du comportement : le phénomène de nudging.

 

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"To nudge" peut se traduire par "pousser du coude". C'est le terme imagé choisi par des chercheurs pour désigner un ensemble de pratiques destinées à modifier notre environnement pour influencer notre comportement en se basant sur des phénomènes de prise de décision présents chez tous les humains. Et le plus étonnant c'est que nous croyons tous que nos décisions sont rationnelles alors qu'elles sont largement influencées par ce qu'on appelle des "biais cognitifs". Exemples :

- le déplaisir ressenti à la perte de quelque chose est plus puissant que le plaisir ressenti lors du gain de la même chose.

Il est plus efficace en termes de changement de comportement, de dire aux consommateurs : "Si vous ne diminuez pas votre thermostat de 1°C, vous allez perdre 300 € par an" que de leur dire "Si vous diminuez votre thermostat de 1°C, vous allez gagner 300 € par an".

- Les individus sont plus enclins à développer un comportement déjà adopté par l'ensemble de la communauté à laquelle ils appartiennent.

Exemple : si un hôtelier indique, dans la salle de bain des chambres, que 75% des personnes ayant occupé cette chambre (une valeur fausse, délibérément exagérée) ont réutilisé leur serviette au lieu de la changer tous les jours, 44% des clients conservent effectivement leurs serviettes, contre 35% si la statistique n’était pas mentionnée.
Au Royaume-Uni, un organisme de dons d'organes a ajouté sur son site "Chaque jour, des milliers de gens qui voient cette page décident de s’enregistrer"... et a récolté 96 000 enregistrements supplémentaires en un an.

- Nous sommes rétifs à réviser nos choix - d'où la fréquence des abonnements par reconduction tacite (depuis quand reportez-vous le moment de vous rendre sur le comparateur pour changer de fournissseur d'énergie ?...)

 - L'effet ludique : les escaliers musicaux entraînent une majorité de passants à les choisir au lieu de l'escalator ; la "plus profonde poubelle du monde" récolte des quantités astronomiques de déchets à cause du bruit qu'ils y font en tombant.

- Nous sommes excessivement optimistes ce qui nous entraîne à prendre trop de risques, notamment au volant, mais aussi avec la cigarette et toutes les autres nuisances pour la santé.

Ces biais cognitifs sont utilisés pour la bonne cause afin de nous inciter à des comportements plus civiques, plus économes en énergie ou bénéfiques pour la santé, ou pour tout autre motif, par exemple constituer une épargne-pension : la mouche peinte des urinoirs incite les utilisateurs à la viser pendant qu'ils...officient, ce qui réduit de 80% les éclaboussures et débordements volontaires ou non ; de même que la bulle à verre-jeu d'arcade ou encore, dans les restaurants d'entreprises, les fruits frais à portée de main seront préférés aux desserts sucrés placés plus loin, selon la loi du moindre effort. Les exemples sont innombrables.

Les gouvernements s'y intéressent également

La théorie du nudging est décrite dans le livre "Nudge - La méthode douce pour inspirer la bonne décision" de Richard H. Thaler et Cass R. Sunstein. L'idée est de défendre un "paternalisme libertaire" qui influence les décisions des gens dans la bonne direction mais laisse le choix final aux personnes. L'administration Obama s'est entourée d'une équipe spécialisée en nudging afin de faire adhérer les citoyens plus efficacement à ses décisions. Récemment à Liège un séminaire de juristes de la faculté de droit étudiait la question de savoir comment mieux concevoir les lois européennes grâce au nudging.

Reste à savoir si c'est toujours pour la bonne cause qu'on nous "pousse du coude"...  Patrick Bartholomé de RTBF

 

 

 Ah, mais les « fake news » n'ont-elles pas gagné en utililité dans ce jeu de la psychologie comportementale  ! -lol- claudio

 

 

 

 Image associéeLe poisson qui mord à l'appât est un poisson mort ! Maintenant je sais pas si on dit ou dira toujours "il faut savoir lire entre les lignes"  -lol- claudio

 

Résultat de recherche d'images pour "gif porn close up gif twink last drops after pissing"  Moi z-aussi je vous ai bien eu avec mes images de bites accompagnant un sujet sérieux ! 

 

 

 


 

  NOTES & commentaire :

UN NUDGE DE L'HISTOIRE DE FRANCE  :

"Les français s'étant montrés réticents et méfiants à l'égard de la consommation de pommes de terre,  Parmentier réussit alors sans difficulté à obtenir l'appui du roi et de plusieurs de ses conseillers pour inciter la population à consommer des pommes de terre en employant en 1786 un stratagème resté célèbre : de jour, il fait monter une garde autour des cultures de pommes de terre qu'il a mises en place près de Paris sur des terres mises à la disposition de l'Académie d'Agriculture par le roi dans les plaines des Sablons et de Grenelle, donnant ainsi l'impression aux riverains qu'il s'agit d'une culture rare et chère, destinée au seul usage des nobles La garde est levée la nuit, ce qui incite la population à voler des tubercules, contribuant ainsi à leur diffusion dans le Bassin Parisien Le roi Louis XVI, qui n’hésite pas à en porter les fleurs à la boutonnière, le félicite en ces termes : « La France vous remerciera un jour d'avoir inventé le pain des pauvres. » La publicité que lui apporte Parmentier, aidé par le soutien du roi, permet à la pomme de terre de se débarrasser son image d'aliment des pauvres. Elle est désormais appréciée par les élites, ce qui lui vaut d'être surnommée « légume de la cabane et du château ]".  

 

 

Par KOUDEPOUS - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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  • : BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
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