— J'étais certain que tout ce qui se racontait sur toi était vrai. Tu vas en prendre pour ton grade, ma
salope...
|
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
— J'étais certain que tout ce qui se racontait sur toi était vrai. Tu vas en prendre pour ton grade, ma
salope...
|
DOUCE CRUAUTE
respire très fort, je vais pas te faire mal
feu !
SANS PITIE ? :
dès ses sphincters passés il a été projeté loin dans ses sensations confuses entre douleur et plaisir
quand on est gosse on adore ces effets de la balançoire ; à l'âge adulte, avec le sling, le plaisir est décuplé
Là, on va t'asseoir sur lui, ça va te faciliter...
t'en fais pas : un cul ça prend encore mieux qu'une bouche
-------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
commentaire :
L'innocence c'est très beau, à condition de la perdre
Le soir je repense à tout ça...
Oui, moi aussi c'est le soir que je réfléchis à tout ça mais sans regret
Non il fait pas exprès mais moi j'en serais malade de son cul
Ben j'aurais pas cru que tu l'aies si grosse. Mais elle est super tu sais !
Sur cette photo (que je garde précieusement) je commence à "partir" avec son savant doigtage et céder à ma nature
Tu es bien hein ? - ouihhhhhhhhh
On te l'a déjà dit que tu as un beau cul ? me demande Jo. Putain c'est bien de lui ce léger cynisme
Goûte ! c'est le tien !
Putain ça a du goût, ça sent aussi. Ouais c'est bon.
Je peux la voir ? Dis je peux la voir ?
Attends, je regarde.
Ouf ! Je croyais que tu avais enlevé la capote !
Bon ! là tu l'as vue...Alors quoi ?
Ben moi j'ai pas à me plaindre mais toi alors tu l'as grosse !
Fais le voir ton petit trou.
Je me reconnaissais pas : d'un coup je m'étais jeté sur son paf.
On a commencé en prétendant apprendre à embrasser...à tirer un patin à...une fille ! Arrête de te mentir !
Tellement festif !
Trop de joie à être devenus trois. Mais c'était trop : l'un deux a trahi notre secret et on a été harcelés
Je te viole pas. Tu la veux ?
Avant l'idée de faire ça, ou même de sucer une bite me révulsait. Si j'avais su ! Aussi je rattrape le temps perdu.
Le miroir c'est moi qui l'ai installé C'est cool non ?
Qu'est-ce que tu attends ? on se désape, non ?
C'est génial d'être trois et qu'on se filme en train de baiser. Ca m'apprend des choses sur moi.
Le vieux monsieur nous paie pour qu'on fasse l'amour devant lui.
Il saisit toutes les occasions pour m'étreindre
Le garçon d'étable ne monte jamais jusqu'ici Trois c'est trop bon et j'aime être filmé :
là je prends mon pied
Pressé de me rejoindre
il défit sa ceinture et dézippa sa braguette. Il baissa son jean jusqu'aux genoux, révélant ainsi un short jockey noir avec un large renflement
à l'avant.
Puis ce fut le tour du caleçon...j'avais l'eau à la bouche et la peur au ventre.
commentaire :
d
il m'avait suivi depuis le marché arabe juqu'à mon hôtel arabe
il m'a fait renoncer à la capote et oublier toute prudence
quand il m'a eu rempli (de chez rempli !) j'ai compris, moi qui avais conservé mon jock, qui ne lavais pas sucé, que je lui avais procuré un intens plaisir avec mon cul ouvert à sa pénétration. Il n'arrivait plus à me quitter bien que jel'aie vidé à fond : il a voulu terminer en me felchant et me faisant goûter le sperme qu'il avait prélevé à mon anus. Avec tous ses dehors rugueux c'était un tendre qui m'a fait perdre toute inhibitions et repères !
Ils parlent français !!! la chose est rare !
ils échangent quelques aspects de leurs vies perso et se découvrent sportifs. Il y a du réalisme à ce que les protagonistes, inconnus l'un à l'autre ne bandent pas tout de suite. Les réalisateurs se sont appliqués à avoir de belles images bien réalistes et un son qui fait...que vous vous y croyez ! c'est le but, non ?
RECIT Alors que c'était l'heure du déjeuner, je me suis assis et j'ai commencé à lire le magazine que j'avais
acheté ce matin-là et à manger mes sandwichs. Après quelques minutes, une ombre est passée derrière moi, j'ai levé les yeux pour trouver le coach qui se tenait devant moi.
"Alors tu es une pute " dit-il et ça choquait dans sa bouche de coach.-"Oui mais ..." -"Bon, ben si tu l'es, je parie que tu rêves que je te baise" "Pas vraiment" mentis-je en me
tournant, mon coeur martelant ma tête et mon esprit cravaché comme un cheval de course en se demandant ce qui allait se
passer ensuite.
J'allais parler quand il a pris mes épaules à deux mains et a tiré ma tête vers son entrejambe, j'ai laissé tomber mon journal et mis mes mains sur ses jambes pour le repousser "Mec je ne ....."
"Ne cherche pas à discuter pense à retirer mon jeans et à sortir ma bite
», dit-il d'un ton menaçant.
En levant les yeux, je pus voir qu'il pensait ce qu'il disait en regardant dans ses yeux, alors je pris une profonde respiration et posai mes mains sur sa braguette. Je défis sa ceinture puis
tirai sur ses boutons, baissant son jean, je pouvais voir que sa bite bandée à
mort tendait le tissu de son short jockey,
Il a tiré ma tête droit dans son entrejambe pour enfouir mon
visage dans la bosse de son jockey,
"Ouais, respire mon odeur, maintenant baisse mon slip et suce ma bite dure".
J'ai
tiré son short vers le bas et sa grosse bite est sortie comme si elle essayait de se frayer un chemin jusqu'à ma bouche, "Vas-y, suce-la pédé, prends toute ma bite"
Prendre sa bite dans ma bouche était une sensation incroyable, il avait un goût merveilleux. J'ai commencé à bouger ma tête en arrière et à avancer ma langue sur toute la tête de sa queue, puis
il a commencé à bouger ses hanches en enfonçant sa queue plus profondément dans ma bouche. "Putainc'est incroyable que vous pédales pouvez vraiment sucer la bite mieux que les femmes "
Avec ça, il a commencé à baiser mon visage de plus en plus fort, enfonçant sa queue profondément dans ma gorge, je devais me retenir à ses jambes pour m'empêcher de tomber en arrière, car il me
baisait la bouche si fort, après quelques instants, "Putain je vais jouir ! "
Je travaillais avec ma bouche de plus en plus vite sur sa queue alors qu'il me tirait
dessus. "Avale tout mon foutre", gémit-il.
Après avoir avalé la totalité de son foutre, je léchai sa bite non circoncise et m'éloignai de lui alors qu'il me lâchait la tête. Je pensais que ma propre queue allait déchirer mon jean:
c'était si dur que je voulais vraiment la sortir et me branler Lève-toi et tourne-toi", cria-t-il. Je levai les yeux vers lui "Allez, fais-le"
Alors je me suis levé et je me suis retourné, sachant ce qui allait arriver. "Maintenant, laisse tomber ton pantalon et penche-toi". Je défis mon jean et le tirai, puis je baissai mon slip,
je sentis sa main sur mon épaule puis il me poussa en avant.
Je pouvais sentir sa main
bouger sur mes fesses jusqu'à ce qu'il trouve mon trou, il m'enfonça un, puis deux doigts, mon Dieu, ce bâtard me faisait mal.
De sa main libre, il cherchait ma bite qui était dure comme du roc.
Avec cela, il a
retiré ses doigts de mon cul, je me suis retourné pour le voir cracher sur sa queue, il a frotté la salive sur sa grosse tige puis m'a souri,
"Je vais te baiser si fort que tu vas me supplier d'arrêter"
Il a avancé et son gland s'est logé dans l'arrondi de mon trou, entre mes fesses, puis il a poussé plus fort et ça y était : il était en moi. La douleur était atroce. J'avais l'impression
d'être coupé en deux. Il a poussé plus loin sa bite dans mon trou. Bien sûr je pouvais pas voir et j'ai
avancé ma main pour que mes doigts sentent ce que je voyais pas. Bien sûr il allait et venait et il était à fond dans mon conduit et ses poils pubiens frôlaient mes
phalanges. Je savais qu'il était à fond, il se retira
et la douleur ne se dissipa que pour repartir de plus belle.
"Putain, tu es serré toi !", dit-il. Il commença à bouger sa queue de plus en plus vite dans mon cul puis il se retira presque jusqu'à sortir, puis revint en moi, ça faisait toujours
mal mais la brûlure avait été remplacée par une sensation plus agréable. il a retrouvé ma propre bite dure et a commencé à me branler, ce qui était fantastique
"Ouais, je suis en train de te baiser le cul, salope ! mon dieu, tu aimes ça, pédé" Il me claquait vraiment maintenant la douleur était insupportable mais en même temps ça
m'excitait vraiment, je ne pouvais plus me retenir et je tirai ma charge
sur toute sa main et sur le sol "Tu, jouis, c'est bien, lâche tout, vide tes couilles" dit-il
Il avait son bras gauche enroulé autour de mon ventre et je me suis laissé aller sur son bras en le laissant prendre tout mon poids, je pouvais sentir sa bite tendue au possible en
moi alors qu'il continuait à me fourrer le cul ... "Putain, je jouis"
Là dessus, il a tiré charge après charge dans mon cul, je pouvais sentir son sperme brûlant exploser au plus profond de moi. "Ouais, je vais te remplir le cul de mon foutre sale pédé" Il a
continué à me baiser jusqu'à ce que tout son foutre soit dans mon cul
et commence à courir le long de ma jambe. Alors il a tiré sa bite hors de moi et s'est éloigné, "Maintenant, lève ton pantalon et continue tes exercices, pédé", dit-il en riant et en
arrangeant ses fringues et en s'éloignant.
Nous avons répété cette scène au
moins une fois par semaine après cette première fois, mais cela a toujours été fait de la même façon mais au fond, je pense qu'il m' aimait bien
commentaire :
NOTES : ESSOUFFLEMENTS
Derniers Commentaires