Vendredi 6 juillet
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08:07
Quand la panne de jus est une panne d'électricité ...et qu'en fait nous, du jus... on n'en manquait pas !
-lol- ----
j'ai entendu le soudain orage :
pendant l'une de ces nuits orageuses...
«Chat'raide, c'est toi ?»,
Nous, geignant et gémissant à l'unisson... comme eux, et
dans le noir !
C'est pendant l'une de ces nuits orageuses dont ils ont le secret dans la région, j'étais dans le dortoir en train de regarder la télévision quand il y a eu un énorme éclair et un coup de
tonnerre qui a secoué tout le bâtiment. Les lumières
s'éteignirent, se rallumèrent pendant près de deux minutes, avec un bourdonnement constant et une forte détonation toute proche, les lumières s'éteignirent pour de bon.
C'était totalement noir, tellement noir que tu ne pouvais même pas voir ta main à
quelques centimètres de ton visage. A l'occasion, avec un éclair je pouvais distinguer où étaient les
choses .
Je me suis assis sur le lit en regardant les flashs qui traversaient la fenêtre, j'ai finalement eu le courage d'écarter les rideaux et de voir que toutes les lumières du campus et du voisinage
étaient éteintes.
Alors j'entendis le
bruit d'un battement dans le couloir et quelque chose frappa la porte suivi d'une série de malédictions à la 'Capitaine Haddock' et en anglais comme 'fuck' et 'damned it' d'une
voix que je reconnus. Je
me dirigeai vers la porte et fouillai pour trouver le bouton de la porte, ouvrant la porte et je criai à mi-voix : «Chat'raide, c'est toi ?», il répondit: «Qui d'autre pourrait se
casser la gueule dans l'obscurité ?»
Jared est
un étudiant anglais en érasmus chez-nous. Tout le monde l'aime et, moi, je l'appelle 'Chat'raide'.
C'est un joli nom n'est-il pas ? et, vu la proximité des sons J et CH , il ne s'en rend pas compte. -hihi
En allumant mon briquet, je l'ai appelé 'hé, mec, viens
par ici avec moi jusqu'à ce que les lumières reviennent'. Jared est venu dans ma chambre, nous nous sommes assis au bureau et nous avons
bavardé pendant que la tempête augmentait en volume.
Jared, dans son mauvais français, a suggéré que la
tempête était là pour rester et j'ai répondu "rien n'est éternel, ça va bientôt passer".
Je sentis que la main de Jared touchait la mienne et il dit doucement «this storm is a very good opportunity...», je me raclai la gorge sans savoir comment réagir quand Jared brisa le silence et
dit avec son inénarable accent «ma bite est dure comme un roc, viens en prendre soin pour moi '.
J'ai entendu la chaise bouger et sa
fermeture éclair glisser il y eut ce que j'ai cru être un massage de ses parties intimes et j'ai pris conscience d'un arôme de mec quelque part en face de moi. La main de Jared frappa le côté de mon visage et finalement me saisit le
menton, Jared dit 'sorry, j'espère que je ne t'ai pas choqué. Allez, là, fais-moi une petite fête. Pouvais-je refuser ?
Comment savait-il qu'il pouvait s'adresser à moi en ces termes ? Quelqu'un avait dû lui faire quelques confidences, c'est sûr !
Jared guida mon menton jusqu'à son
entrejambe et à son gland à la fois souple, rigide et glissant comme tous les glands ! -lol- et son gland dis-je, glissa sur mes lèvres les enduisant au passage de sa mouille un
peu salée. J'ai écarté mes lèvres et ai aspiré la tête de son pénis profondément dans ma cavité
buccale. Jared gémit intensément et glissa sa bite
d'avant en arrière dans ma bouche tout en berçant doucement ma tête dans ses mains.
Je suçai avidement son sexe
rigide jusqu'à ce que Jared sorte de mes lèvres, provoquant un claquement de son sexe sur son ventre...c'est dire si... et mes lèvres se séparant de son contact furent désorientées et
soudain en manque. Jared me souleva en plaçant ses mains sous mes aisselles
jusqu'à ce que je me lève. (Il est costaud, n'en doutez pas !) Il défit mon short et je le
laissai tomber par terre et en sortis. Nous nous sommes
déplacés vers le lit sous la fenêtre, j'ai récupéré le tube de lubrifiant que je garde dans le tiroir et j'ai appliqué une quantité généreuse au sexe de Jared et à mon ouverture anale. Toujours
ensuire les deux parties come il se doit.
Jared,
agenouillé, rampa entre mes cuisses et les souleva légèrement, tandis qu'il mettait son bassin à la hauteur du mien. J'attrapai son gland et le sentis palpiter d'anticipation sur ce
qui allait arriver ...et moi c'est mon petit trou qui au lieu de se lâcher se
crispe jusqu'à me faire mal comprenez : j'ai une grosse envie comme ça, dans le noir.
Tenant fermement
la base du pénis et des testicules de Jared, je me glissai plus bas dans le lit et arrondis fermement mes jambes autour de sa taille, mes talons reposant sur ses fesses. Comme
ça on ne risquait pas de se perdre -lol-. La queue bien lubrifiée de Jared a
contacté mon trou également lubrifié et avec une pression régulière mais douce, l'outil de baise de Jared est entré dans mon ouverture heureuse de l'accueillir.
Jared
a lentement travaillé son pénis de plus en plus profond en moi chuchotant dans mon oreille 'Oh David, ta chatte est tellement serrée c'est comme glisser dans un gant, j'aime comment tes muscles
serrent ma bite, ça fait si bon'.
Une fois
que Jared a installé toute la longueur de son énorme outil de baise en moi, il a glissé ses bras sous mes épaules et m'a tracté jusqu'à lui et a broyé très passionnément son outil de baise
en moi. Je m'agrippai à ses épaules et me hissai jusqu'à lui et
allai à la rencontre de chaque poussée avec une poussée tout aussi forte de ma part. La tempête faisait rage et les éclairs furibonds illuminaient de temps en temps la
scène alors que nous nous baisions lubriquement.
Pendant toutes les heures qui suivirent, nous
nous défonçâmes comme des sauvages, grognant et gémissant à l'unisson. Jared se leva et sortit de mon rectum et me tourna vers mon ventre en
écarquillant mes jambes, Jared s'allongea sur mon dos. Je
me suis retrouvé à guider de nouveau sa bite encore lancinante dans mon muscle réceptif du sphincter anal.
Ce qui fut sublime c'est que mon 'Chatraide', ben raide pour la circonstance, gémissait d'un plaisir immense et nous gémissions à l'unisson faisant un duo charmant couvert par le bruit incessant
et roulant du tonnerre.
Je gémissais d'une passion lubrique alors que Jared
rentrait dans mon 'bunghole' comme il dit et recommençait à me baiser avec un abandon tout aussi lubrique. Il ne fallut pas longtemps
avant que Jared agrippe fermement mes épaules et s'enfonce à nouveau profondément dans mes fesses et que je sente le flux chaud de sa substance éclabousser l'intérieur de mon côlon je
suis sûr, qui que vous soyez, que vous pourriez bien en être jaloux. Si le courant électrique a manqué, nous, nous n'avons manqué ni d'énergie ni de fluide à aucun moment !
" nous gémissions à l'unisson faisant un duo charmant"
La chanson du bonheur ♪ Mon coeur la chante Et je sais que ton coeur La chante aussi ♪
La chanson du bonheur ♪
Mon coeur la chante
Et je sais que ton coeur
La chante aussi
Souviens-toi mon amour
De ce jour merveilleux de septembre
Pour que naisse un roman
Simplement quelques mots ont suffi
La chanson du bonheur
Lointaine et tendre
Et l'écho de nos coeurs
Qui nous redit
Car la vie a vraiment commencé
Par ce jour de septembre
Ou le vent tendrement fredonnait
La chanson du bonheur
La Colline Aux Marronniers
Perdue dans la colline
Parmi les marronniers
Une biche mutine {2x}
Est venue me parler {2x}
D'un buisson d'églantines
Où l'amour m'attendait
Depuis ce matin-là
Quand le soleil brille en moi
Je fais le même chemin {2x}
Et j'oublie tous mes chagrins {2x}
La, la, la,...
Perdue dans la colline
Parmi les marronniers
Jusqu'au chant des Mâtines {2x}
Loin des yeux indiscrets {2x}
Une biche mutine
Garde notre secret
Depuis ce matin-là
Quand le soleil brille en moi
Je fais le même chemin {2x}
Et j'oublie tous mes chagrins {2x}
'chantée en son temps, par Lina Margy
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