Chris a posté ce texte où beaucoup reconnaîtront le lieu de drague de la route d'Apt ce qui ajoute beaucoup de vraisemblance à ce qu'il
raconte
http://gai-eros.org/w/index.php/J%27te_la_mets_toute!
tu reconnais Richard ? et moi tu m'as déjà rencontré ?
son smartphone nous a
fait de belles pics
SUR LE CAPOT
un MMS que j'envoie volontiers à mes contacts
Je te la mets toute !
Salut, les petits loups! Ça y est, c’est le printemps... Du moins, presque, ici en Provence. Je suis de Cavaillon, ça vous dit quelque chose? Un
coin très sympa, surtout dès qu’il commence à faire beau. Et qui dit printemps dit bonne baise dans la nature. Moi, c’est ce que je préfère: m’éclater en pleine forêt avec un beau mâle avec le
seul soleil pour témoin. Enfin... S’il y a quelques voyeurs en plus, ils sont les bienvenus. Leur présence m’aide à me rendre encore plus salope avec la tige que je pompe ou qui me défonce le
cul.
Vous l’aurez sans doute compris, je suis très exhib. Déjà, chez moi, je vis complètement à poil. Ou... En culotte de nana! Ben, oui! Je vais sans
doute en surprendre ou en choquer plus d’un, mais moi qui suis homo à cent pour cent depuis toujours, j’aime bien porter des trucs de filles. Je ne suis pas du tout un travesti. Au contraire,
j’ai le look très mec. Tout ce qui est bas, porte-jarretelles, guêpières, perruques ou maquillage ne me fait pas bander. Par contre, je me mets à triquer dur dès que je porte une jolie culotte en
dentelle. Ce que je préfère, c’est le brésilien.
J’en commande des tas par correspondance. Rouges, noirs, blancs, en dentelle ou en lycra, de quoi mettre en valeur mon joli petit cul. J’en porte
souvent au boulot également. Personne ne le sait, ce qui ferait désordre dans l’administration où je bosse. Je ne cache pas mon homosexualité, mais il y a des endroits où il vaut mieux se montrer
discret sur ce plan. Pour moi, c’est plus simple d’aller baiser sur Avignon, Aix ou Marseille, ou de faire quelques petites escapades sur Nîmes ou Montpellier.
Physiquement, je suis un mec assez bien foutu: brun, les cheveux courts, vingt-six ans, 1m80 pour 73 kg, très peu poilu, une queue de 18
sur 5 et de très belles fesses. Je trouve mon visage banal, mais je suis fier de mon corps. Côté baise, j’aime à peu près tout. Il m’arrive d’enculer, mais c’est assez rare. Je suce et je me fais
sucer, j’adore les 69 et les jeux de langues sur le trou du cul, embrasser, palucher, me faire travailler les seins et recevoir une bonne bite bien à fond dans le trou de balle. J’aime les types
voyeurs, directs et décidés, les mots crus, les mecs qui aiment mater ma rosette avant de la limer et, comme je l’ai écrit plus haut, les bonnes parties de jambes en l’air dans la nature. Surtout
quand je tombe sur un mec comme Richard.
Il était marié, barbu, quarante-huit ans. Je ne suis pas du genre à refuser les bisex d’autant plus qu’il avait la braguette plutôt bien garnie, ce
salaud: une belle pine de 21 sur 6 qu’il n’avait jamais pu enfoncer entre les fesses de sa femme. Je n’ai jamais su si Richard était son vrai prénom ni ce qu’il faisait dans la vie. C’est lui qui
m’a branché sur le net et m’avait dit être seulement de passage à Cavaillon. Ce qu’il voulait: une bouche gourmande et un bon petit cul de femelle a remplir. J’étais libre tout
l’après-midi et je lui ai rapidement donné mon numéro de téléphone pour mettre au point un rancard et parler un peu plus de nos envies réciproques. Quand je lui ai demandé s’il aimait les mecs en
slip à frou-frou, il m’a répondu: “Pas de problème! C’est même encore mieux! Si tu as un truc qui fasse bien salope, mets-le!”
Le son de sa voix grave et autoritaire m’a tout de suite fait bander. Il était d’accord pour un plan en nature et pour quelques jeux d’exhibitions
avant de m’enfiler. Il désirait également me photographier et m’a demandé d’emporter un gode pour des photos assez hard. Son programme me plaisait... Je l’ai renseigné sur un coin que je
connaissais, dans la direction d’Apt, à seulement à quelques kilomètres de Cavaillon. Il m’a attendu sur le parking d’un resto et nous n’avons roulé quelques minutes avant d’arriver dans l’un de
mes “baisodromes” préférés. Pendant le trajet, Richard m’a avoué qu’il baisait régulièrement avec des mecs depuis plusieurs années. Il était sympa, détendu, carré d’épaules et portait un
costard-cravate. Je conduisais et j’avais hâte de découvrir la belle tige qui gonflait sa braguette. Question baise, ce fut super! Pour la queue, il n’avait pas menti. C’est moi qui l’ai libérée
de son froc et j’ai dégagé une teub superbe. Elle n’était pas encore raide mais déjà gonflée avec de grosses veines bleutées. Je n’ai eu qu’à l’astiquer un peu pour voir son manche se raidir.
Richard possédait également de belles couilles, noires de poil, des bourses lourdes et fripées que j’ai malaxées dans mes doigts tout en branlant sa tige.
Adossé contre ma voiture, il se laissait faire. Je me suis agenouillé pour le pomper, lécher son gland et ses burnes qui dégageaient une bonne odeur
de mâle. Je me suis appliqué à lui tailler une bonne pipe, encouragé par ses phrases crues et ses mots obscènes. Richard répétait que j’étais une bonne salope, que je pompais aussi bien que les
putes. Il me plantait son dard au fond de la gorge et me promettait de bien me défoncer le cul quand j’aurais fini de le piper.
Au bout d’un moment, il a défait sa ceinture et baissé son froc, me tournant le dos et se penchant vers l’avant. J’ai entendu: " Bouffe-moi un peu
le cul avant que je m’occupe du tien!” Il était très poilu dans la raie et j’ai découvert un fion sombre et ourlé que j’ai longuement léché avant d’enfoncer ma langue à l’intérieur. Je continuais
à lui branler le chibre qui restait plaqué contre son ventre.
J’étais excité comme un fou quand j’ai retiré mon jean. Par-dessous, je portais un brésilien noir. Richard m’a tout de suite couché sur le capot de
ma voiture pour mater mon cul. Debout, derrière moi, il me demandait de bien me cambrer, puis il m’a ordonné d’écarteler mes fesses avec mes mains pour lui exhiber ma rosette. Il m’a mitraillé
avec son appareil numérique, faisant des gros plans de ma rondelle, m’ordonnant de la masser avec mes doigts, de la mouiller de salive et de m’enculer avec mon index et mon majeur pour bien me
dilater l’œillet. Il m’a encore photographié pendant que je me godais tout en me faisant changer plusieurs fois de posture. Je devais planter le gode à fond et le laisser faire quelques clichés
avant de prendre une autre position.
Pour m’enculer, il m’a redemandé de me coucher sur le capot de ma voiture. J’étais bien ouvert grâce au gode, mais il a dû me forcer un peu pour
introduire son gros gland. Il s’est retiré et m’a encore pénétré, répétant plusieurs fois l’opération tout en s’enfonçant un peu plus chaque fois. Au bout d’un moment, j’ai entendu: “Cette fois,
je te la mets toute!” Il a donné plusieurs coups de reins en m’insultant, et son ventre rond est venu s’écraser contre mes fesses. J’ai eu un peu mal durant les premiers va-et-vient, mais la
douleur s’est rapidement estompée. C’était délicieux de se faire embrocher par cette grosse tige. À chaque coup de boutoir, il se retirait jusqu’au gland avant de revenir jusqu’aux couilles. Il
rythmait son enculage par des: “Tiens, salaud! Je vais t’éclater le cul avec ma grosse bite!” Pour l’exciter davantage, j’ai glissé une main entre mes cuisses et j’ai empoigné ses couilles.
Richard s’est mis à me traiter de tous les noms, de putain, de pétasse, de chienne... Il m’enculait de toutes ses forces en me tirant vers lui. J’ai lâché ses couilles quand il m’a prévenu qu’il
allait juter, et j’ai branlé ma queue pour cracher avec lui.
Avant de me laisser me rhabiller, il a voulu faire quelques dernières photos de mon trou rouge et élargi par sa bite. Je me suis prêté volontiers à
cette dernière exhibition et j’ai reçu, il y a deux jours, par mail, toute la série de clichés réalisés par Richard; des photos que je compte utiliser à présent pour m’exhiber à travers Internet,
car je les trouve réussies.
sa bite en massue
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