SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES

Mardi 23 janvier 2 23 /01 /Jan 15:22

 

  Image associée Jean Genet ecrivain homo et repris de justice

Un gardien de la paix du temps de la jeunesse de Jean Genet :  Résultat de recherche d'images pour "gardien de la paix 1940" "Il faut dire que mon flic, c’était plutôt un petit gros, assez moche et plutôt décrépit*"

 

Je suis un type infréquentable. Un pédé doublé d’un voyou. C’est pour ça que plein de mecs veulent me connaître. Je les fais bander, avec ma gueule de repris de justice. Donc, des petits trous du cul, je m’en suis enfilé, et largement plus que ma part. Mais cette nuit, le coup de ma vie : je me suis tapé un flic ! Et c’était même pas par hasard. Le bourre savait très bien que j’étais de l’autre bord : il venait de m’arrêter.

Je m’explique. Je venais de me faire gauler rue Pigalle, où je fais un peu de trafic. Je me retrouve dans le car. On file vers le commissariat. Je connais la musique. Je sais que je risque pas grand-chose. Mais, à un moment, le car qui m’emmène s’arrête. Les keufs veulent faire une descente dans un clandé, en passant. On me laisse dans le car, sans même me foutre de menottes, en compagnie d’un seul flic. Un brave mec : il me donne une clope. Nous fumons tous les deux, sans rien dire. On regarde par la fenêtre grillagée, comme des animaux en cage, les gens qui passent dans la rue, les gonzesses et le trav’ qui racolent, les gros touristes américains et allemands qui viennent claquer leurs thunes. Le flic dit : “Je me ferais bien une pute.” Et moi, machinalement, je réponds : “Pas moi. Je préfère les mecs...” “Tu te fais mettre ou tu encules ?” Je lui dis que j’encule, pour faire viril, sinon, il m’aurait pris pour une femmelette. En fait, je ne dédaigne pas me faire enculer, comme tous les pédés, je suppose. Et c’est ça que je trouve chouette dans le cul homo : c’est qu’on peut rendre ce qu’on reçoit.

Enfin bon, mon flic ne tient plus sur son siège. Il se dandine. Il veut me demander quelque chose mais, visiblement, il ose pas. Il m’agace. Je le pousse : “De toute façon, tout à l’heure, on va m’interroger. Autant commencer tout de suite.” Et alors là, tout de go, il me demande si je veux bien l’enculer. “Me sodomiser” il a dit. Si je m’attendais à ça ! Je le regarde et je lui réponds : “T’es pas fou ! Et si tes collègues rappliquent ?” Il monte alors son petit plan foireux : “On va dans un café boire un coup. Tu demandes à pisser. Moi, comme je ne dois pas te lâcher, je suis bien obligé de t’accompagner aux chiottes. Le taulier ne se doutera de rien. Et dans les chiottes, tu me le fais.” Et il ajoute : “J’ai jamais essayé. J’ai envie de connaître ça.” Et puis : “Je me demande si je suis pas un pédé refoulé. Je suis marié depuis dix ans. Mais je m’entends mal avec ma femme. Et depuis quelque temps, je regarde les mecs, surtout quand ils sont bien gaulés comme toi.” (Il faut dire que mon flic, c’était plutôt un petit gros, assez moche et plutôt décrépi*). Moi, il me faisait pas du tout envie, mais le plan de me farcir un bourre, ça m’excitait. Mais, surtout, je commençais à entrevoir un moyen de lui filer entre les pattes.

Je le suis dans un rade, tout à côté. Là-dedans, c’est plein de putes et de michetons. Je suis un peu connu. Mais comme je suis avec un flic, personne ne me salue. On commande chacun un demi et je demande à aller aux gogues. Le flic m’y accompagne, comme prévu. Arrivés là, il me pousse dans la cabine et ferme le loquet. C’est des chiottes à la turque, assez dégueu. Tout de suite, je défais ma braguette. Je sors ma queue. Elle bande un peu. Lui ne bouge pas. Il a l’air tout con. Il regarde ma bite, fixement. Il défait sa ceinture et baisse son froc, lentement. Puis il se retourne. Il me tend son cul. “Allez, vas-y” qu’il insiste. Je me branlotte un peu pour me durcir en me disant que ce salaud aurait pu me sucer un peu. Mais je crois qu’il ne sait pas y faire du tout avec les mecs. Il a jamais dû toucher une bite de sa vie. Eh bien, avec moi, il va en connaître.

J’écarte ses miches. Elles sont pas mal, pour un petit gros. Je vois son trou. Il est tout serré. Ça m’excite. Je crache un coup dessus et je mets mon gland en position. Et vlan, d’un bon coup de reins bien placé, je lui mets tout mon morceau. Il manque de hurler. Il ravale son cri et geint. Ma bite est enfonçée jusqu’aux couilles. Je reste un temps immobile, pour qu’il se calme. Il souffle. Je lui demande s’il en veut encore. Faut pas être vache. Mais il veut continuer. “Bouge, qu’il me dit, je veux la sentir bouger dans mon cul.” J’arrête pas de me répéter dans ma tête : “Je mets un flic, je mets un flic, je mets un flic” et ça m’excite. Je sens le foutre me monter des couilles. Je vais lui expédier ma sauce. Je le préviens, histoire de le faire jouir aussi. II se branle. Il crache avant moi. Il beugle. Visiblement, ça lui fait du bien. Il aime ! Je lui envoie toute la purée au fond des entrailles en gueulant : “Je décharge dans ton cul.” Il adore. Il reste un moment appuyé au mur. Il reprend son souffle. Mes méninges s’agitent. Il faut que j’arrive à me casser, que je trouve le moyen, vite. Je vois du foutre qui lui coule du cul. Je lui dis : “Ça coule sur ton bénard. T’en as plein. Ça va se voir...” Il panique. Il remonte son fute et court aux lavabos pour nettoyer, mort de trouille à l’idée que ses collègues verront ça.

Je file en douce, traverse le café en moins de deux et m’enfuis en courant dans la rue. J’ai remarqué en passant que le panier à salade était toujours là, vide. Quand mon enculé de flic est ressorti de son rade, j’étais déjà loin. J’en ris encore.

Cisco, 29 ans. Rennes

  NOTES : *Qui est dans la décrépitude. "Un lion décrépit, goutteux, n'en pouvant plus". — (Jean de La Fontaine); "En songeant à cela j'arrivai chez le sonneur de cloches Brainstein, qui demeurait au coin de la petite place, dans une vieille baraque décrépite "; […]. — (Erckmann-Chatrian, Histoire d'un conscrit de 1813,


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Par claudio - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 22 janvier 1 22 /01 /Jan 00:41

ENCORE UNE VIDEO DE QUALITE...pas seulement pour les images et le son , mais pour la verite de leur relation

 

si tu n'es pas lassé de voir le bonheur des autres,

alors continue à les mater et n'en aie jamais honte !

 

   
Par XHAMSTER - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 2 janvier 2 02 /01 /Jan 09:42

quand vous vous changiez tout à l'heure avant la messe, mes yeux se sont posés sur votre anatomie...je sais que j'ai pas le droit et que c'est pas bien, mais c'était plus fort que moi http://www.cyrillo.biz/histoire-gay-2014-enfant-de-choeur.php plein d'histoires gay encore à lire sur Cyrillo.com

désormais on peut atteindre cavaillongay  directement par une simple recherche google ce qui doit faire plaisir aux petits coquins rebutés par le rempart d'erog

dans le récit sur Cyrillo.com, LEO a 18 ans...libre à nous de  croire

Ceci est une fiction les noms et prénoms sont fictifs ainsi que les lieux  :

LA FAUTE DE L'ABBE OSCAR ( ce n'est pas du Zola mais LEO a bien du merite )-lol-

j'étais enfant de choeur à la paroisse de .... Mes parents étaient super catho et au début j'y allais un peu à reculons mais au final, on s'amusait bien avec mes potes et c'était pas si chiant que ça.

On se retrouvait tous les dimanches matins à 11h pour la messe en compagnie du prêtre Oscar, la quarantaine, un beau mec grand et musclé, pas mal pour un curé! Nous étions 5 enfants de choeur, plus ou moins de mon âge et on se donnait rendez vous dans la salle derrière l'église pour se mettre en tenue, une aube blanche longue assez épaisse qui tenait bien chaud et en cette journée d'été, la chaleur était insupportable.

Le prêtre Oscar nous accueille, encore en tenue de civil, il fait encore moins curé habillé en "normal!".

-"Bonjour les enfants! Il fait chaud aujourd'hui, je vous conseille de ne vous mettre qu'en sous vêtements sous votre aube, je vais en faire de même. "

Du coup, on se déshabille tous et on se retrouve en slip ou boxer, avant de mettre notre aube. Le curé Oscar fait de même, il hôte sa chemise et son pantalon, je le matte, absorbé par ce corps d'homme viril, il porte un beau slip blanc qui lui fait de belles fesses rebondies et un gros paquet au niveau de l'entrejambe. Ses jambes sont poilues, et il a de belles cuisses de sportif épaisses. Je sais que c'est un péché de regarder un homme mûr, mais je n'y peux rien...Ses yeux d'ailleurs se fixent sur moi...
-"Qu'y a t il Léo?

-"Euh rien rien " Il me sourit et enfile son habit par dessus ce beau corps de mâle.

La messe se déroule, je joue mon rôle d'enfant de choeur, chantant ces chants religieux en tenant avec fierté le cierge.

A la fin, on se retrouve dans la petite pièce derrière.

-"Merci les enfants, c'était parfait. Arthur, chante moinsfort la prochaine fois par contre, on entend que toi!" On rigole tous.

Par contre, vous savez que c'est le jour des confessions aujourd'hui. Vous allez donc passer chacun votre tour dans le confessionnal. C'était le rituel une fois par mois, on allait dans cette espèce de guérite en bois, le prêtre d'un côté et le confessé de l'autre, séparés par une grille.

Arrive mon tour, j'entre dans le confessionnal.

-"Alors Léo, je t'écoutes, dis moi tes péchés et ils te seront pardonnés.

-"Et bien je sais pas si je dois vous le dire...

-"Tu sais que tu peux tout me dire Léo

-"Et bien, quand vous vous changiez tout à l'heure avant la messe, mes yeux se sont posés sur votre anatomie...je sais que j'ai pas le droit et que c'est pas bien, mais c'était plus fort que moi

-"Et que ressentais tu à ce moment?

-"Une sorte d'attirance....Je ne sais pas comment m'en défaire

-"La meilleure chose dans ces situations c'est d'aller au bout de cette envie et de tester ta force de résistance, sois tu céderas ou bien tu te résigneras. Je te propose de passer de mon côté, tu t'assieras par terre sous ma soutane, j'hôterai mon slip et devant le fruit défendu, tu verras ta réaction, je poursuivrai de mon côté la confession des autres, tu n'entendras pas de toute façon sous ma soutane.

-"d'accord mon père".

Je sors donc et le rejoins de l'autre côté, il referme la porte derrière moi. Je le vois enlever son slip de sous sa soutane, ça m'excite encore plus de l'imaginer à poil sous son vêtement.

-"Viens dessous, et laisse-toi aller, je poursuis pour ma part avec les autres." Il appelle Arthur au confess. J'entends la porte d'Arthur qui entre de l'autre côté...moi je suis accroupi par terre, sous son espèce de grande jupe...j'ai chaud, très chaud....et je ne vois rien c'est le noir complet...je peux juste sentir son odeur de mâle décuplée avec la chaleur...et j'imagine ses deux jambes musclées et velues écartées devant moi, avec l'objet de tous les désirs à quelques centimètres de moi...je n'avais encore jamais touché une autre bite que la mienne...normal à 18 ans.  Je reste quelques secondes comme ça dans le noir sans bouger ni rien toucher puis la tentation est trop grande...de mes mains je caresse ses cuisses, ses poils me chatouilles les paumes, ses cuisses sont très larges par rapport aux miennes, je lui caresse les jambes pendant quelques minutes, remontant des mollets juqu'en haut des cuisses, je sens le prêtre bouger de temps à autre, je n'entends strictement rien de la conversation avec Arhur sous sa soutane.

Puis l'envie est trop forte, je remonte mes mains vers son entrejambe en glissant vers ses cuisses et j'arrive à sa paire de couilles, bien grosses, bien lourdes que je malaxe....c'est une sensation bizarre, lui se laisse faire et ne bouge pas d'un poil...puis mes petites mains saisissent la base de sa bite...qui est en pleine érection....cela me perturbe... je remonte le long de sa verge avec mes deux mains, elle me parait interminable....je fais à peine le tour avec mes deux petites mains, quelle grosseur! je redescends et remonte pour apprécier encore davantage la taille de son engin...même dans le noir c'est très très impressionnant, je n'avais pas idée qu'une bite pouvait être aussi grosse, elle devait dépasser les 20 cm je pense. La sensation de tenir une queue qui bande dure ne fait que confirmer mon attirance envers l'objet défendu...et d'ailleurs je me mets moi-même à bander dans mon petit slip, je m'amuse d'ailleurs à toucher la mienne et me rend vraiment compte de la taille de son attribut....Bon ben je crois que j'ai plutot opté pour me laisser aller sur cette interdiction, impossible de résister... je le branle sous sa soutane des 2 mains, je commence à avoir très chaud dessous, je transpire grave, sa bite est toujours aussi dure, aussi dressée, aussi forte...a ce moment là je me rappelle de la vidéo que j'avais vu sur internet, lorsque le mec sucait l'autre...et je sentais ma petite bouche comme attirée par ce pénis d'homme mûr...avais je le droit de le faire? ici? quelle serait sa réaction? tant pis, j'en avais trop envie, je rapproche mes lèvres de son gros gland et, toujours dans l'obscurité, je le mets en bouche...sensation nouvelle pour moi, je sens un petit gout salé, il me parait gros, très gros, je joue avec ma langue dessus....Je sens les jambes du curé bouger, peut etre allait il s'énerver mais non, au contraire, il remuait ses jambes, au rythme de mes mouvements de langue...je décide d'en mettre davantage dans la bouche et me rapproche de son entrejambe. Je tiens la base de sa qu!
 eue de mes deux mains et ouvre grand la bouche, sa pine me remplit la bouche et la gorge, je ne peux pas tout mettre tellement elle est grosse....c'est ma première pipe et je trouve ça trop bon, très excitant....Alors que je prend de l'aisance, je sens une main se poser sur ma tête à travers la soutane....Il me caresse les cheveux doucement alors que je le pompe goulument....c'est une vraie révélation pour moi, j'aime la bite, et la grosse bite....j'imagine avec une petite bite fine de moins de 15 cm ce serait pas pareil.....Je le suce à fond...je me rends compte que je peux rentrer désormais les 2/3 de sa bite dans ma bouche....je m'aide de mes petites mains pour le branler....putain c'est bon, je le suce je le suce, j'arrête pas, ses mains se crispent sur ma tête et je sens ses cuisses se refermer contre moi, je continue à le sucer à fond et là d'un coup je ressens quelque chose de bizarre et d'innatendu, de chaud, visqueux et amer, collant qui me déboule dans la bouche sans prévenir, je ne sais pas si je dois avaler ou recracher, le jus arrive encore, je n'ai pas le choix que d'en avaler une partie, ça picote un peu la gorge...le reste coule sur sa verge....Je crois que c'est ce qu'on appelle l'éjaculation.....autrement dit la jouissance j'avais donc réussi à lui procurer du plaisir....

Le curé relève sa soutane, me libérant de cette chaleur insoutenable....mes yeux piquent avec la luminosité bien que faible dans le confessionnal.

-"Alors Léo?

-"C'était trop bien ....je vous ai fait jouir alors?

-"Oui, tu m'a fait jouir...." je pouvais voir enfin sa queue à la lumière, vraiment imposante, comment avais je pu mettre ça dans ma bouche?

-"Tu es allé au bout de tes envies, et la jouissance de mon attribut équivaut à un pêché pardonné... "

Il remet son slip en disant ca.

-"Allez, leves toi et rentres chez toi Léo".

C'était ma première expérience avec un homme, ma première pipe.... J'en étais fier.

Le dimanche d'après, rebelote, on se retrouve tous dans la pièce avant la messe, on rigole avec mes potes.

Oscar arrive et me sourit largement.

-"Tu viendras me retrouver après la messe si tu veux bien"

Ma foi, oui, j'avais envie! La messe se déroule puis comme convenu, je rejoins Oscar dans la pièce où mes camarades se changent.

-"Attendons que tout le monde parte" me dit il à voix basse.

Une fois le dernier parti, il se rapproche de moi.

-"Léo, as tu envie d'aller plus loin dans la découverte de tes envies?

-"Euh ...oui

-"Enlève ton slip mais garde ta soutane". Je m'execute et lui fait de même, on est donc tous les 2 à poils sous nos soutanes.
-"Viens" Il m'emmene dans le petit vestibule où sont stockées les affaires pour la messe et referme la porte à clé.

-"Laissons nous aller à nos désirs Léo"

Il me prend alors dans les bras et passe ses mains sous ma soutane, ses mains me caressent mon petit corps, elles s'arrêtent sur mes fesses qu'il caresse activement. Il me retourne et me soulève la soutane derrière, il a mon cul à sa portée, il y glisse sa bouche me couvrant de bisous et m'embrasse le trou...puis sa langue me léche généreusement la raie et s'attarde sur mon trou.....

-"Tu aimes Léo?

-"Oui c'est trop bon comme sensation, je savais pas qu'en me faisant lécher l'anus je pouvais avoir du plaisir...."

Le curé me broute le cul dans le vestibule puis il attrappe un cierge de la main.
-"Tu sais Léo, la sodomie est un péché mais je suis un homme d'église, le fait de te la procurer te délivrera de ce pêché

-"Oui mon père".

Il s'assied sur une chaise et m'allonge le ventre sur ses genoux, il remonte ma soutane, j'ai les fesses à l'air. D'une main il prend le cierge blanc qu'il retourne, le met d'abord dans sa bouche puis le place devant mon trou

-"Souffle bien Léo, laisses toi aller"

Je souffle fort...le cierge me rentre délicatement dans l'anus....ça me fait un peu mal mais c'est supportable. Le curé enfonce l'objet tout doucement, j'ai plusieurs centimètres de rentrés. Il le ressort, le remet dans sa bouche et me le rerentre doucement....cette sensation nouvelle me procure du plaisir, je pousse un petit râle de plaisir lors de cette seconde pénétration....En même temps, je sens un truc dur pousser sous la soutane du curé, si dur que ca me fait mal sur le ventre sur lequel je suis appuyé...Oscar soulève sa soutane, libérant sa grosse bite dure et bien grosse....Instinctivement je la prends en bouche, lui, il saisit un second cierge, plus gros, beaucoup plus épais et me le rentre dans le cul....Oscar gémit à son tour au rythme de mes mouvements de bouche sur sa grosse bite, ma salive coule sur sa verge et descend vers ses couilles, lui me pénètre toujours avec le cierge...le second me procure davantage de plaisir encore...
-"Ca va Léo, tu aimes?
-"Ouiiiii....plus c'est gros plus c'est bon mon père

-"Tu veux autre chose de plus gros encore Léo?

-"Ouiii"

Il se relève et m'enlève complètement ma soutane.

-"Mets toi )à genoux sur la chaise"  Je me place à genou, le cul tourné, il soulève sa soutane, il a sa grosse pine énorme qui dépasse...je crois que la pénétration va avoir lieu...il se rapproche de mon trou et glisse sa bite dedans...tout doucement....

-"aie c'est gros là ! doucement !

-"Oui doucement, comme ca" Il l'enfonce centimètre par centimètre, elle me remplit bien tout le trou....

-"On y est Léo, la sodomie ne sera plus un péché pour toi...profites maintenant" Il me donnait de grands mouvements de bassins qui font plonger sa grosse queue au fond de moi...elle glissait bien toute seule, jamais je n'aurai penser qu'un tel calibre aurait pu rentrer en moi...mais c''était même mieux...je prenais mon pied  grave.....Il accélère la sodomie, m'attrappe les cuisses et me pilonne désormais à grands coups, il pousse quelques râles aussi de son côté.....

-"Je vais te lacher ma semence en toi Léo, prends ça comme un baptême, une bénédiction de la haut..oh oui oh oui...ca vient ca vient oh ouiiiiiiiii" "Au même moment je jute sur la chaise....et je sens son jus chaud s'épandre en moi.....J'étais dépucelé....par un mec de 30 ans de plus que moi...mais c'était bon trop trop bon.....Je me sentais bien....

Il enleva sa grosse bite de mon chatte dilatée....et vint m'embrasser doucement...moi je lui saisis de nouveau sa bite encore bien dure, je me laisse descendre une dernière fois vers le fruit défendu pour la reprendre en bouche...elle est encore meilleure avec ce goût de sexe et de sperme...il me caresse les cheveux, je le suce encore et encore, je pourrai le faire pendant des heures....sa queue regonfle meme dans ma bouche.....au fur et à mesure je dois en ressortir tellement elle grossit...je continue ma pipe, lui gémit de plaisir...je le pompe encore et encore...Puis il me relâche une fois de plus sa purée en pleine bouche...j'avale tout cette fois ci....lui me regarde dans les yeux et me sourit..je ne recrache aucune goutte de son sperme....

-"ce n'est plus un péché mon père?

-"Non Léo, à chaque fin de messe, je te donnerai ma semence au plus prodond de tes entrailles, ma semence est pur Léo

-"D'accord, avec plaisir".

Le curé me baisa pendant  4 ans chaque dimanche dans le petit local à fourniture, je recus au total 200 doses de sa part dans le cul ou la bouche.

La dernière année, il y avait également Arthur avec nous, le prêtre nous déshabillait complétement et nous faisait asseoir sur les genoux sur une chaise puis il nous baisait en passant de mon cul à celui d'Arthur. Il aimait nous baiser en soutane, il ne se mettait jamais nu. Avec Arthur, on aimait sucer sa grosse bite à 2 et on se battait pour avoir son jus en bouche. Un dimanche, il nous présenta un ami prêtre à lui qui s'appelait Mamadou il venait du Bénin. Quand Mamadou avait soulevé sa soutane, on s'était regardé avec Arthur....il avait une bite énormissime, encore bien plus grosse que celle d'Oscar....On s'est jeté dessus à 2 et il y avait de la place pour nos deux langues et nos 2 bouches, je me rappelle que lorsque je l'ai prise seul dans ma bouche, son gland me remplissait toute la bouche et je ne pouvais rentrer que le dixieme de son membre....

-"maintenant, Mamadou va vous donner sa semence dans vos entrailles, Léo, donne-toi à lui. "

Je savais que ca signifait: " Léo, écarte ton trou tu vas te faire baiser".....La bite de Mamadou me démonta le cul comme jamais, j'étais pourtant bien habitué a celle d'Oscar déjà si grosse...jamais dans ma vie d'adulte après je ne repris une si grosse queue...Pendant qu'il me démontait, le prêtre Oscar me donnait sa bite a sucer qui me semblait petite lol...Arthur me regardait d'un air compatissant..attendant son tour, son petit cul imberbe tendu vers le ciel.....

La semence de Mamadou a été à la hauteur de son engin, abondante et épaisse, j'en avais plein le cul, je m'en souviens encore, ca me coulait meme apres etre rentré à la maison dans mon slip alors que je dinais avec mes parents..... Le petit Arthur a dû nettoyer la queue qui venait de me remplir avant de se la prendre lui aussi dans le cul...par contre, lui a vraiment dérouillé car Mamadou venait de juter et du coup était très endurant avec lui.....Il l'a baisé pendant au moins 45 minutes, je n'avais jamais vu un cul aussi dilaté....A la fin, le collègue black d'Oscar pouvait ressortir son chibre et le rerentrer dans son cul sans s'aider des mains, Arthur gémissait a gorge déployée....

Depuis, lorsque je vais à la messe, je regarde ces petits enfants de choeur, me demandant ce qu'il se passe derrière l'autel.....¤


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Par LEO59 SUR CYRILLO - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 1 janvier 1 01 /01 /Jan 06:25

  Ma nature ? je ne sais pas ce qu'elle aurait été si mes parents n'avaient pas travaillé en Afrique....  

Ce matin-là, j’étais endormi profondément lorsque je sentis soudain une main chaude se poser sur mon épaule puis descendre doucement sur mon dos. Lorsqu’elle atteignit le bas de mes reins, elle hésita, puis se glissa dans mon caleçon de nuit. Un doigt commença a suivre la raie de mes fesses et vint rapidement effleurer mon jeune trou. Toujours en demi sommeil, je n’arrivais pas à comprendre ce qui se passait alors même que le doigt tentait de s’introduire dans mon rectum. Il y parvint sans difficulté rejoint aussitôt par un second. Mon anus acceptait cette pénétration et le plaisir inondait mon ventre d’une douce chaleur. Cette fois complétement éveillé, je regardais qui était en train de me doigter avec autant de dextérité mais je fus déçu de constaterque ce n'était pas Alou, mais qu’il s’agissait de Louis :

— Alors Willy ? Toujours aussi chaude du cul même au réveil à ce que je sens !

Il enfonça ses doigts bien profonds me faisant pousser un gémissement que j’essayais d’étouffer dans mon coussin. Le garde du corps s’approcha au plus près de mon oreille pour me murmurer :

— Tes parents sont à coté, et toi, tu te fais doigter le cul par un ivoirien et t’aimes ca !

— Hummm ! ouiiii !

— J’appartiens déjà à un autre homme..

— Oui, c'est Alou, je le sais, ettu veux lui être fidèle ?

— Oui désolé…

— C’est bien Willy, tu es un bon garçon et il a bien de la chance mais tu devrais essayer une fois avec moi… pour être sûr de ton choix.

 Louis me regarda droit dans les yeux puis me dit :

— J’ai pensé a ton cul toute la nuit, et tu me l'offriras j’en suis sur très bientôt !

Dans cette ambiance il me fallut me mettre à mesdevoirs du lycée. Je ne croisai Louis qu’une fois qui me sourit en portant sa main à son entrejambe. Je ne portais pas attention au geste provocateur de l’agent de sécurité et passai mon chemin. Mes parents décidèrent d’aller faire un tour à la plage l’après-midi : Louis dut donc nous protéger de loin pendant que nous nous détendions dans la mer et je m’amusais d’autant plus qu’il devait bouillir d’envie en me voyant si peu vêtu.

J’en profitais pour regarder rapidement les autres hommes allongés sur le sable ou dans l’eau avec un œil différent, celui du garçon qui a connu le sexe pour la 1ere fois Il y avait 2 jours. Beaucoup étaient grands, certains costauds d’autres fins, des poilus, des imberbes…et de couleur variant du chocolat au lait au presque noir bleuté. Mon regard avait tendance à se porter sur les entrejambes de ces messieurs qui pour la plupart semblaient bien pourvus…

Un homme d’une quarantaine d’année, crâne rasé, aussi noir qu’Alou, bien bâti, attirait particulièrement mon attention : son slip de bain présentait une énorme bosse qui m’impressionnait fortement. Le grand black du s’apercevoir de mon trouble car il vint se mettre à l’eau juste à côté de moi et profita que nous étions seuls pour me parler

— Salut petit ! Tu es venu avec tes parents ici ?

— Oui c’est ca, c’est la 1ere fois qu’on vient sur cette plage.

— Oh et ca te plaît ?

— Beaucoup, la mer est chaude c’est agréable.

— Y a d’autres choses qui sont chaudes et agréables…

Il se positionna dos à la plage et baissa le devant de son maillot de bain exhibant ainsi un sexe gros, poilu, très veiné et circoncis. Personne ne pouvait le voir mis à part moi, et il passa sa main tranquillement dessus, se caressant pour faire bander son membre viril. Il atteignit rapidement la taille d’environ 21-22cm de longueur mais aussi épais qu’une canette de 25cl de coca, un vrai gourdin ! J’avais les yeux qui ne pouvaient plus se détacher de cette vision, et l’ivoirien continua sa masturbation sous l’eau pour éviter d’être surpris tout en me regardant d’un air vicieux.  Le quadragénaire accéléra son mouvement et dans un grognement se colla à ma cuisse pour expulser plusieurs jets chauds de sperme dans ma direction. Personne n’avait rien vu et il remit son maillot comme si rien n’avait eu lieu.

— Moi c’est Boubacar, désolé j’étais excité par ton regard… tu as aimé ?

— Oui… c’était bizarre, je m’appelle Willy.

— J’ai toujours voulu essayer de faire l’amour avec un jeune garçon blanc, tu dois me prendre pour un pervers mais quand j’ai vu que tu regardais mon paquet…j’ai cru que tu en voulais.

— Je voulais voir oui… j’avoue

— Oh Willy ! Tu me rassures…essaye de venir seul la prochaine fois, je suis la tous les dimanches et je te promets de bien te faire l’amour ok ? Tu l'as déjà fait ? Excuse-moi, tu as déjà dû constater qu'ici au Sénégal quand on veut une fille ou un garçon on est directs. 

— .....

— Je vois... tu devrais essayer une fois avec moi… pour être sûr de ton choix.

— … je ne dis pas non, on verra.

— Allez je te laisse mais réfléchis bien, je sais bien faire l’amour aux femmes, je ferai pareil avec toi. Tu sais ou me trouver.. à bientôt j’espère.

Drôle d’expérience qui me fit comprendre que j’attirais comme un aimant les hommes africains et qu’il fallait faire attention car le moindre regard ou geste pouvait déclencher chez eux une pulsion sexuelle animale.

Mes parents me firent signe de revenir car il fallait rentrer à la maison, et en sortant de l’eau je passais à coté de Boubacar qui me sourit en se tâtant le paquet vulgairement ( décidément ils ont tous la même attitude me dis-je intérieurement ).

Dimanche la matinée fut consacrée à mes devoirs scolaires dans ma chambre sans interruption. Une fois terminés, je demandai à ma mère s’il était possible d’aller à la plage après le repas. Elle m’accorda sa permission mais que cette fois j’irais seul avec Lucien comme accompagnateur, le garde du corps du dimanche.Arrivant à la plage, il me proposa de m’accorder 2h seul car il ne voulait pas me « gêner » pour draguer les jolies filles. Je le remerciai de cette attention et lui promis de revenir dans le temps donné.  

Assis face à la mer je ne vis pas l’individu qui s’approchait de moi

— Alors petit Willy t’es venu seul cette fois ?

— Oh Boubacar… je t’avais pas vu…dis-je en sursautant

Excussez-moi ! ... Il s’assit à côté de moi comme si de rien était, puis en plongeant ses yeux au fond des miens :

— Si tu es là seul c’est que tu as réfléchi à ce que je t’ai di non ?

— Pas vraiment non..

— Oh si, et je vais te faire l’amour si bien que tu reviendras encore et encore !

Sa main se posa sur le haut de ma cuisse, puis remonta doucement vers mon maillot de bain. Le grand black regardait de droite à gauche pour voir si quelqu’un se rendait compte de la situation tout en glissant 2 doigts sous le tissu qui se tendait de plus en plus. Difficile de dire non, lorsque son corps hurle un oui…… surtout qu’avec les caresses j’avais une vue imprenable sur l’entrejambe de l’ivoirien qui lui aussi prenait des formes imposantes. Voyant que je ne cherchais pas à fuir, Boubacar continua son exploration dans mon maillot de bain, tâtant de ses doigts épais mon sexe, puis mes couilles lisses.

— Huuum t’es doux comme un agneau…tu as quel âge dis moi petit Willy ?

— Juste 16 ans..

— Et tu n’as aucun poil nulle part ?

— Pas de poil c’est gênant je trouve.

— Au contraire, ca me plait beaucoup et j’ai hâte de pouvoir regarder. Tu vois la cabane la bas à 400 mètres ?

— Oui

— Et bien tu vas m’y rejoindre dans 5 minutes ok ?

— Mais je….

— Y a pas de mais ! Tu es venu seul, c’est que tu avais envie de te faire faire l’amour par moi ! Tu m’as chauffé maintenant faut assumer petit Willy !!

Le ton était autoritaire, sans être menaçant et son regard dur en aurait effrayé plus d'un. Intérieurement je m'étonnais à la fois de ma docilité et de ma témérité à continuer avec un homme comme lui. Sans la présence de mon garde du corps j'étais conscient de braver des dangers bien réels. Il se leva, fier et se dirigea vers sa serviette, en faisant rouler tous ses muscles. Il remballa tranquillement ses affaires et se dirigea vers le lieu indiqué sans que personne ne se doute qu'il m'avait subjugué pendant les 3 minutes ou il m’avait parlé et caressé. 

Dans la cabane de pêcheurs, l’odeur était difficile à supporter, mélange de poissons pourris et de saletés en tout genre. Pas un endroit pour faire l’amour mais pour niquer pensai-je alors. Un claquement sec me fit sortir de mes pensées et soudain je vis que Boubacar avait verrouillé le lieu avec un taquet.

— J’étais sûr que tu viendrais ! Tu vas pas regretter crois moi ! 

Je remarquais qu’en prononçant ces paroles il avait déjà enlevé son t-shirt, me permettant de regarder en détail son torse viril, pectoraux gonflés sans poil et abdominaux bien dessinés. Du nombril partait une ligne de poils drus qui formait un losange que je savais bien fournis mais encore couvert par son maillot. Son physique était proche de celui d’Alou, mon initiateur. Dans les plus de 100 kilos mais les cicatrices en moins ce qui devait lui permettre d’avoir toutes les femmes qu’il voulait sans difficulté. Il approcha de moi et me saisit d’un geste ferme par la nuque, puis colla ses lèvres sur les miennes, sa langue s’infiltrant aussitôt dans ma bouche caressant la mienne et jouant avec.

Ses mains pendant ce temps glissèrent dans mon dos puis sur mes fesses passant sous l’élastique de mon slip de bain pour les palper sans retenue. J’étouffais a moitié cherchant ma respiration pendant qu’il m’aspirait la bouche et j’essayais de me décoller de lui mais au lieu de relâcher son étreinte, il ressorti ses mains pour m’enserrer la taille me prenant au piège. Je me rendis compte à cet instant précis que j’avais fait une belle erreur en entrant dans ce lieu et que maintenant mon sort était lié au bon vouloir de cet homme. J’avais donc intérêt à montrer que je le voulais et lui obéir.

Sentant que ma résistance diminuait, l’ivoirien reprit ses explorations dans mon slip et pour faciliter sa tache il défit d’un geste le lacet du maillot qui m’enserrait la taille. Il était assez brutal et me pinçait les fessiers plus qu’il ne me les caressait mais mon sexe bizarrement, lui, coulait d’excitation. Au bout de 2 minutes il baissa le bout de tissu couvrant mon intimité, libérant ainsi ma verge qui vint frapper mon bas ventre. Boubacar me demanda alors de me mettre au centre de la pièce pour pouvoir m’admirer et j’obéis docilement.

— Wow Willy, tu as un très joli sexe pour un petit blanc ! Et ton cul, huuum, je vais le manger comme un beau fruit juteux! Mais avant ca…

Le grand black tira sur son maillot de bain qui tomba par terre me permettant de voir l’objet qui m’avait poussé à entrer dans la cabane. Le long serpent noir et circoncis était toujours aussi épais et impressionnant. La mouille qu’il avait l’air de produire de manière abondante coulait déjà à terre et naturellement je me mis à genoux devant pour y goûter. Il laissa donc perler le liquide sur mes lèvres tout en caressant mes cheveux.

Puis il présenta son gland en forme de champignon devant ma bouche et je l’avalai goulument.

La forme de champignon est un réel avantage pour les partenaires je n'ai pu que le constater...Pour l'heure, je dus bien écarter les mâchoires, au vu du gourdin qu’il poussa au plus profond de ma gorge. Le goût était puissant mais loin d’être désagréable et je tétais l’énorme membre rythmé par les coups de reins de l’africain. J'en avais plein la bouche bien sûr et ma langue cherchait tout le temps à parcourir l'énorme et exceptionnel sillon sous la couronne de son gland.   Ma salive coulait sur ses couilles et ses cuisses, j’arrivais à peine à reprendre ma respiration à chaque fois qu’il retirait sa queue pour la renfoncer ensuite dans ma gorge. J'imaginais sans peine l'effet de piston de pompe à bicyclette qu'un tel engin devait faire dans un cul. D’un coup il arrêta et me fit relever.

Boubacar s’agenouilla et commença à me lécher le ventre puis le bas ventre ce qui me fit frissonner de plaisir. La langue agile continua son parcours vers mon sexe mais l’évita au dernier moment pour aller se poser sur mes couilles et les caresser. Aux anges, mon gland lâchait un flot de mouille continue qui tombait sur le crane du quadragénaire. J’avais pour la 1ere fois un homme qui s’occupait de mon sexe et j’espérais secrètement qu’il irait plus loin et me sucerait. Mais au lieu de cela, de peur de me faire jouir prématurément,  il me retourna et je dus me pencher en avant à demi allongé sur la table de fortune lui présentant ainsi mes fesses qu’il écarta pour découvrir mon anus imberbe. Aussitôt sa langue explora mon jeune trou encouragée par mes gémissements. Pétrissant mes fesses assez fortement, l’action de sa bouche sur l’entrée de mon fondement commença à porter ses fruits, sa puissante et ferme langue me dilatant doucement.

D’un coup je sentis 2 doigts s’enfoncer directement me faisant pousser un petit cri de douleur et de surprise. Fouillant mon rectum, Boubacar continua à utiliser sa langue en faisant des allers retours à l’aide de ses gros doigts. Complètement ouvert à cet homme, je n’arrivais pas à me retenir de gémir et ce dernier devait intérieurement se dire qu’il m’avait totalement soumis à sa puissance. Il m’allongea sur le dos et debout devant moi entre mes cuisses me dit

— Maintenant tu vas enfin comprendre ce que c’est un homme !

Son sexe gros comme un boudin, trempé, était effrayant et lorsqu’il le saisit pour coller le gland à l’entrée de mon ventre je me dis que j’allais souffrir. En un seul coup de rein il me déchira, se plantant jusqu’aux couilles en 3 secondes m’arrachant un hurlement qu’il étouffa en mettant sa main devant ma bouche. Brutalement il utilisa toute sa force pour labourer mon jeune trou qui, bien qu’habitué au membre d’Alou souffrait de l’extraordinaire épaisseur du serpent de cet ivoirien. Sortant et entrant complètement , le male africain m’insultait, me traitant de « salope » « pute blanche »…

Loin de me déplaire, j’appréciais cette « baise » regardant cette bête ruisselante de sueur besogner dans mon ventre, pensant à la couronne débordante de son vit qui allait et venait , chair contre chair, faisant monter son plaisir comme le mien. Se retirant de moi après quelques minutes, il me jeta à terre à 4 pattes pour à nouveau se replanter dans mes fesses et continuer dans la poussière de ce lieu à me pistonner. Je couinais tellement fort que j’avais l’impression que la plage entière pouvait entendre ma jouissance. Son souffle chaud dans ma nuque et ses grognements complétaient le tableau d’un monstre à 2 dos et 2 têtes. Tapant fort contre ma prostate, mon grand black me déclencha une première éjaculation qui se répandit sur le sol en 4 jets blancs abondants.

Mes contractions anales lui firent comprendre qu’il avait touché au but mais au lieu de ralentir pour me permettre de souffler, son pistonnage augmenta en cadence, me brûlant presque l’anus à cause de sa vitesse. D’un geste brusque il s’écroula sur mon dos m’obligeant à m’allonger dans la terre poussiéreuse, lui écartant mes cuisses au maximum pour continuer à bien lui permettre d’amples mouvements de bassin. La poussière et la terre se collaient à notre peau ruisselante de sueur nous faisant ressembler de plus en plus à 2 animaux en plein coït.

Ses plus de 100 kilos m’écrasaient contre le sol, et il ne cherchait pas à savoir s’il me faisait souffrir. Boubacar ne pensait plus qu’à son plaisir et dans un grognement déversa dans mes entrailles d’adolescent son jus de male africain. M’ayant ainsi fécondé, il resta planté en moi quelques secondes puis se retira lentement. Lorsque le dernier centimètre de son serpent fut sorti, je sentis le trop-plein de sperme s’échapper de mon anus béant, signe que l’ivoirien avait dû bien me remplir. Il se mit debout et présenta son sexe souillé à mes lèvres qui s’ouvrirent pour laisser s’introduire le membre encore bien épais. Je pompais les dernières gouttes de sperme avec avidité, nettoyant du mieux que je pouvais ce sexe en forme de champignon qui m’avait tant fait jouir.

— Alors petit Willy ? Je vois que tu as aimé ma grosse queue hein ?

— …

— Pas de réponse c’est que oui ! Tu as jouis lorsque je te baisais, j’ai bien senti ton anus battre et palpiter,  non ?

— Oui c’est vrai…mais je ne crois pas apprécier la brutalité. On aurait autant joui tous les deux si tu avais été plus doux.

— En tout cas, j’ai adoré lâcher ma jute dans ton petit cul de gamin blanc! Un fantasme que j'avais depuis très longtemps et que tu m'as permis de réaliser !

Alors qu’il disait ça, il prit tranquillement sa serviette et s’essuya le corps et le sexe. Puis il s’habilla alors même que je n’avais pas encore bougé. J’étais comme pétrifié, des douleurs dans tous les membres et surtout à l’anus m’empêchant de réagir. Boubacar prit alors sa serviette et commença lui-même à effacer sur moi les traces de nos ébats. Péniblement je remis mon maillot puis mon short alors que l’ivoirien m’attendait à la porte.

— On peut pas sortir ensemble Willy, si jamais y a quelqu’un qui nous voit..

— Oui je comprends

— Mais dimanche prochain, je serais ravi d’à nouveau visiter cette cabane avec toi !

Il sortit en me balançant un dernier sourire de mâle satisfait et j’attendis quelques minutes avant de faire de même et retourner vers la voiture de mon garde du corps. Ce dernier m’attendait déjà depuis 10 minutes et s’inquiétait :

— Willy tu es en retard !

— Désolé j’ai pas vu l’heure..

— Lucien me regarda bizarrement mais démarra le véhicule qui nous reconduisit sans incident à la maison.¤


FRESQUE :  :

Embout de ramonage :

 

Parfait en tous points :

 

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huntr21: Me in my Clever underwear! Well sort of

. Résultat de recherche d'images pour "porn gay champignon de ramonage anal"  un vrai p'tit PD de côte d'Ivoire ...affame de bites de toutes couleurs/ j'vous dis pas la   suite.... -lol-Résultat de recherche d'images pour "porn gay# à lunettes gay champion de ramonage anal" depuis les

  Image associée  gros glands, moi ça me fait flasher...

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Image associéeENH

ORRRME !

Le champignon

 

 

 

Ce type de pénis possède un embout très développé de la forme d’un champignon de Paris ou d'ailleurs  (mais pas forcément de la couleur marron ou blanche ce qui serait au contraire la manifestation d’une maladie vénérienne rare). Très pratique d’une part pour ouvrir l’appétit anal "La grosse tête" : se caractérise par un gland disproportionné par rapport au reste du corps du pénis. Le gland est gigantesque et la couronne le serre, voire l'étrangle, provoquant l'effet beaucoup plus visible de "la grosse tête

 

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 une flèche d'amour !

 

Par valérian 76 - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 24 décembre 7 24 /12 /Déc 07:20

       Il a les yeux revolver, il a le regard qui tue et en plus un cul, une peau à vous damner, à damner un saint...
il m'a touché, c'est foutu…  

 

graybeards: “Not a single bristle as I ran my fingers down Michael’s back and across his ass. Those cheeks were as crisp as apples, and they’d be just as red by the time I was done with him. His body was flawless, molded to perfection by years of...

 

Pas le moindre poil alors que je passais mes doigts dans le dos de Michael et sur son cul. Ses "joues" étaient aussi craquantes que des pommes, et, quand j'en aurais fini avec lui, elles seraient encore plus rouges que des pommes. Son corps était impeccable, moulé à la perfection par plusieurs années de sport. Je devrais remercier le Coach Harris la prochaine fois que j'accompagnerais un match de Michael.

EN MEME TEMPS
(lol) que je le fessais, je me penchai et mâchouillai une bouchée de ses globes pour les goûter et ventousai sa raie près de l'anus en le faisant gémir comme une chienne. J'ai écarté ses joues et ai poussé ma langue entre elles. Son trou palpitait quand je l'ai lâché.

Il avait un goût de fruit mûr, sucré et vierge, prêt à être dévoré. Et après 23 ans de mariage, je mourais de faim pour un repas chaud. J'ai poussé ma langue en lui et j'ai souri quand il s'est tortillé autour d'elle, cloué par le plaisir.
    "S'il te plaît, baise-moi, 'papa'," haleta-t-il (PAPA ? je voulais bien être son père et même son dieu incestueux s'il le voulait !) 
"S'il te plaît, baise-moi, 'papa'," répeta-t-il, donnant des coups de cul de haut en bas pour que ma langue glisse plus profondément. Le désespoir dans la voix suppliante mettait le feu à ma queue raide qui, 'l'eau à la bouche', coulait sur le tapis. J'allais savourer ce moment. J'aimais la manière délicieuse dont il pleurnichait quand je faisais entrer et sortir ma langue dans son trou...

Ma main se retira et tomba durement sur son jeune cul souple. La claque fit écho à travers la maison et même me fit sursauter. Michael laissa échapper un cri de douleur, mais ses hanches continuaient à onduler de manière excitante devant moi. Je regardai ma main 'coupable', et l'empreinte rouge foncé qu'elle avait laissée sur le garçon à la blanche peau. Chez-moi l'amour ne va pas sans une dose d'agression et ce flux se répandait dans mes veines, comme une infusion soudaine de testostérone dominant mes sens.
   


Du plus profond de ma poitrine,  une voix sauvage mal maîtrisée gronda entre mes lèvres et je lui dis :«Calme-toi mon garçon» ; «Je te dirai si je veux que tu me supplies.» Mes mains agrippèrent et serrèrent tout le garçon. Ma voix continuait à murmurer dans son oreille.  Ma longue queue épaisse était allongée dans sa raie, sur son cul parfait. C'était moi complètement qui lui faisais l'amour, mais je ne maîtrisais rien, je ne conduisais pas. Quelque chose de primaire, un instinct de prédateur, m'avait poussé du "siège du conducteur" sur le "siège du passager" et pris la relève. C'était étrange, mais exaltant. Et le chauffeur ne voulait plus attendre : je ne l'avais que trop caressé et fessé.

J'ai pressé mon champignon gorgé de sang contre son trou lisse. L'anneau vierge me serra avidement la pointe, me suppliant de le pénétrer. J'ai planté mes mains sur les hanches fermes de Michael et l'ai épinglé sur le lit comme un collectionneur fait d'un papillon encore vif. Bien qu'il voulait ma queue de toute son âme, la douleur le faisait lutter contre moi. Quand j'ai poussé mes hanches vers le bas, son sphincter a résisté admirablement, mais ma virilité rigide a pénétré sa défense et a forcé son chemin d'amour à l'intérieur de la  vierge caverne .

Il laissa échapper un mélange de gémissements répétés comme un animal blessé résigné à son destin, mais étrangement heureux de l'accomplissement de son désir charnel, alors que ma poitrine ronronnait avec les grognements d'un prédateur victorieux. Je me suis dit que ce serait bien de faire une pause, ou au moins de ralentir mon avance, mais ma bite avait faim de plus. La tentative désespérée du trou pour me repousser m'avait stimulé, tout simplement . Accordé au rythme de chaque pression du sphincter du garçon, j'ai investi une autre paire de cm en lui. Nous vivions tous les deux ce paradoxe qu'il me désirait intensément et son cul me repoussait, me résistait...
 
    
       
 
                      Les hanches de Michael se pressèrent contre moi alors que mon sexe s'épaississait vers la base. Chaque mouvement affaiblissait la résistance de son trou. Le moment décisif était venu et je suis simplement tombé en avant, enfouissant la tête gonflée de mon membre aussi profondément que possible en enveloppant le corps lisse de Michaël sous le mien alors que je caressais  ses omoplates tendues. Il n'y rien d'autre à faire qu'attendre que son corps s'abandonne et se remodèle autour de ma virilité.

Je lui ai chuchoté à l'oreille alors que je commençais à bercer lentement mes hanches, "Je suis fier de toi, mon petit." Je me suis agenouillé sur le lit et j'ai allongé mes chevilles, devenant plus confiant chaque fois que je plongeais à l'intérieur de Michaël. -"C'était courageux de me dire ce que tu voulais. Sinon je ne l'aurais jamais su". Je redressai mes bras pour relever ma poitrine et laisser glisser toute ma longueur dans le trou étroit du garçon. "Mais je veux que tu le mendies, mon garçon.  Pour me prouver que ton cul et toi tiez d'accord pour que je te pénètre "
           
Il haletait et gémissait au fur et à mesure que mon coup de reins s'intensifiait, mais, à bout de souffle, il réussit à plaider et marquer son ardent consentement : "S'il te plaît, papa. Je t'en supplie, je veux que tu possèdes mon cul. Remplis-moi de ton sperme et fais-moi tien".          

  C'était étrange d'entendre Michael dire quelque chose de si lubrique, et ça me rendait fou. Avec sa permission j'ai bombardé son trou encore et encore, en tirant ma bite, puis en lui claquant les fesses et en  frappant mes grosses balles contre lui. Mes phalanges devinrent blanches en massant ses omoplates. Mes orteils se sont étendus derrière moi alors que des vagues de plaisir submergeaint mon âme et mon corps.

 

"Tu l'as, TOUTE ," murmurai-je alors que la sueur dégoulinait de ma poitrine poilue sur le dos lisse et le cul ferme de mon fils VIRTUEL. Une sensation sauvage a inondé mon membre car il a enflé et est devenu plus épais qu'il n'avait jamais été, tout le sang de ma vie affluait dans cette verge qu'il adorait. Je me suis instinctivement enfoui à l'intérieur de lui juste avant qu'un flot de graine ne jaillisse de ma tête-même, pas seulement de mon gland, mais aussi de ma matière grise, de mon cerveau ! car j'étais tout à la fécondation de Mickaël, recouvrant ses entrailles avec le sperme nacré...et sacré. Ses gémissements se répercutaient sur les miens alors que son trou pressait spasmodiquement mon "arbre" dans les volutes de son propre orgasme.

Je me suis effondré sur Michael et son corps s'est écroulé sous moi. Il marmonna, "C'était génial, papa. Je te remercie."

«Qu'est-ce que tu veux dire, c'était?...» Demandai-je en balançant mes hanches pour déplacer ma bite encore rigide en lui. "Je vais pilonner ce trou jusqu'à ce que tu ne puisses plus en prendre."

Il gémit quand je lui ai envoyé une poussée profonde, et j'ai baissé les yeux vers ma bite gargantuesque enfouie dans son cul rougi, aussi rouge qu'une pomme. On dit que la pomme ne tombe pas de l'arbre, mais Mickaël était vaincu, conquis...à moi qui suis son aîné de plus de 25 ans  ! ¤

Mon rêve allégorique :

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Image associée
    

  fresque : 

   il haussait son cul pour que ma langue le pénètre plus profondément

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  son aîné de plus de 25 ans

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SES YEUX REVOLVER:

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Par SUGARFUCKER - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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