Partager l'article ! Dieu merci je ne suis pas son père...mais un peu-lol-...stroking a boy: Il a les yeux revolver, i ...
Il a les yeux revolver, il a le regard qui tue et en plus un cul, une peau à vous damner, à damner un
saint...
il m'a touché, c'est foutu…
Pas le moindre poil alors que je passais mes doigts
dans le dos de Michael et sur son cul. Ses "joues" étaient aussi craquantes
que des pommes, et, quand j'en aurais fini avec lui, elles seraient encore plus rouges que des pommes. Son corps était impeccable, moulé à la perfection par plusieurs années de sport. Je devrais remercier le Coach Harris la prochaine fois que
j'accompagnerais un match de Michael.
EN MEME TEMPS (lol) que je le fessais, je me penchai et mâchouillai une bouchée de ses globes pour les goûter et ventousai sa
raie près de l'anus en le faisant gémir comme une chienne. J'ai écarté ses joues et ai poussé ma langue entre
elles. Son trou palpitait quand je l'ai lâché.
Il avait un goût de fruit mûr, sucré et vierge, prêt à être dévoré. Et après 23 ans de mariage, je mourais de faim pour un repas chaud. J'ai poussé ma langue en lui et j'ai souri quand il s'est tortillé autour d'elle, cloué par le plaisir.
"S'il te plaît, baise-moi,
'papa'," haleta-t-il (PAPA ? je voulais bien être son père et même son dieu incestueux s'il le voulait !)
"S'il te plaît, baise-moi, 'papa'," répeta-t-il, donnant des coups de cul
de haut en bas pour que ma langue glisse plus profondément. Le désespoir dans la voix suppliante mettait le feu à ma queue raide
qui, 'l'eau à la bouche', coulait sur le tapis. J'allais savourer ce moment. J'aimais la
manière délicieuse dont il pleurnichait quand je faisais entrer et sortir ma langue dans son trou...
C'était étrange d'entendre
Michael dire quelque chose de si lubrique, et ça me rendait fou. Avec sa permission j'ai bombardé son trou encore et encore, en tirant ma bite, puis en lui
claquant les fesses et en frappant mes grosses balles contre lui. Mes phalanges devinrent blanches en
massant ses omoplates. Mes orteils se sont étendus derrière moi alors que des vagues de plaisir
submergeaint mon âme et mon corps.
"Tu l'as, TOUTE ,"
murmurai-je alors que la sueur dégoulinait de ma poitrine poilue sur le dos lisse et le cul ferme de mon fils VIRTUEL. Une sensation sauvage a inondé mon membre car il a enflé et est devenu plus épais qu'il
n'avait jamais été, tout le sang de ma vie affluait dans cette verge qu'il adorait. Je me suis instinctivement enfoui à l'intérieur de lui
juste avant qu'un flot de graine ne jaillisse de ma tête-même, pas seulement de mon gland, mais aussi de ma matière grise, de mon cerveau ! car j'étais tout à la fécondation de Mickaël,
recouvrant ses entrailles avec le sperme nacré...et sacré. Ses gémissements se
répercutaient sur les miens alors que son trou pressait spasmodiquement mon "arbre" dans les volutes de son propre orgasme.
Je me suis effondré sur Michael et son corps s'est écroulé sous moi. Il marmonna, "C'était génial, papa. Je te remercie."
«Qu'est-ce que tu veux dire, c'était?...» Demandai-je en balançant mes
hanches pour déplacer ma bite encore rigide en lui. "Je vais pilonner ce trou jusqu'à ce que tu ne puisses plus en
prendre."
Il gémit quand je lui ai envoyé
une poussée profonde, et j'ai baissé les yeux vers ma bite gargantuesque enfouie dans son cul rougi, aussi rouge qu'une pomme. On dit que la pomme ne tombe pas de l'arbre, mais
fresque :
il haussait son cul pour que ma langue le pénètre plus profondément
son aîné de plus de 25 ans
SES YEUX REVOLVER:
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