Samedi 23 décembre 6 23 /12 /Déc 00:22

Le "bacha bazi", tradition afghane des jeunes esclaves sexuels

à titre de comparaison, Dans la Grèce classique, l'éraste était un homme adulte engagé dans un couple pédérastique avec un adolescent, appelé son éromène. L'éraste était généralement un citoyen influent, engagé dans la vie sociale et politique de sa cité, le plus souvent marié et père de famille, jouissant d'une certaine fortune.Ils assumaient la part homosexuelle de cette relation ...

 

Un jeune Afghan victime de la tradition pédophile du "bacha bazi", le 31 octobre 2016-AFP/AREF KARIMI

L'AFP a recueilli les témoignages de plusieurs familles afghanes victimes de "bacha bazi", une tradition locale pluriséculaire qui consiste à prendre pour esclave sexuel un jeune garçon.

"Bacha bazi" signifie jouer avec les garçons en dari, l'une des deux langues officielles afghanes. Cette coutume pédophile constitue pour les observateurs l'une des violations les plus cruelles des droits humains dans ce pays très conservateur, mais c'est aussi une source de conflit et d'insécurité.

- Qu'est-ce que le "bacha bazi" ? -

Chefs de guerre, commandants, policiers, hommes politiques... tout homme riche ou influent peut être tenté de garder chez lui un "bacha" comme symbole de son autorité et de son influence.

Habillés en femme, maquillés et les cheveux parfois teints, ces garçons âgés de 10 à 18 ans sont utilisés comme danseurs et jouets sexuels lors de soirées entre hommes. Cette pratique est largement acceptée dans un pays qui condamne l'homosexualité comme une perversion, interdite par l'islam.

- Est-il répandu ? -

Bashir, le parent d'un jeune garçon victime du "bacha bazi", une tradition d'esclavage sexuel des adolescents, le 6 octobre 2016 à Lashkar Gah en Afghanistan-AFP/Wakil KOHSAR

Bashir, le parent d'un jeune garçon victime du "bacha bazi", une tradition d'esclavage sexuel des adolescents, le 6 octobre 2016 à Lashkar Gah en Afghanistan-AFP/Wakil KOHSAR

"Les femmes sont là pour l'éducation des enfants, les garçons pour le plaisir", peut-on entendre dans plusieurs régions d'Afghanistan.

Le "bacha bazi", interdit par les talibans quand ils étaient au pouvoir (1996-2001), a connu une forte résurgence ces dernières années. La pratique serait aujourd'hui largement répandue dans les zones rurales pachtounes, dans le sud et l'est du pays, ainsi que dans les régions tadjikes du nord.

- Pourquoi cette pratique ? -

La stricte ségrégation des sexes au sein de la société afghane et le manque de contact avec les femmes ont contribué à son développement, estiment les associations de défense des droits de l'Homme.

Mais la pratique a prospéré aussi en raison de l'absence d'Etat de droit, la corruption, la difficulté d'accès à la justice, l'illettrisme, la pauvreté, l'insécurité et la présence de groupes armés, a indiqué la Commission indépendante des droits de l'Homme en Afghanistan (AIHRC) dans un rapport de 2014.

Elle soulignait que la loi afghane punit le viol et l'homosexualité mais ne contient aucune disposition précise concernant le "bacha bazi", d'où un "vide et une ambiguïté" du système sur le sujet.

"De nombreux adeptes disposent de réseaux au sein des organes de sécurité et jouent de leur influence et de pots-de-vins pour échapper à toute sanction", écrivait-elle.

- Qui sont ces garçons ? -

Les "bachas" ont pour la plupart entre 10 et 18 ans. Ils sont parfois enlevés et parfois vendus par des familles pauvres à leurs agresseurs, selon l'AIHRC. Les 13 familles rencontrées par l'AFP ont évoqué un enlèvement.

"Les victimes, régulièrement violées, souffrent souvent de graves traumatismes psychologiques", pointait l'AIHRC dans son rapport. "Elles présentent des signes de stress et de perte de confiance en soi", de "désespoir" et "un désir de vengeance".

De nombreux adolescents ayant eu à souffrir de cette pratique la perpétuent une fois devenus adultes, entretenant ce cycle de violence. Mais "faute de services adéquats pour prendre en charge ces enfants qui furent confrontés aux pires abus, il est difficile de savoir exactement ce qu'ils deviennent par la suite", regrette Charu Lata Hogg, chercheur à l'institut britannique Chatham House.

- Quel impact sur la sécurité ? -

Les talibans se sont servis du "bacha bazi" en retournant contre les forces de sécurité afghanes de jeunes esclaves sexuels exploités, selon des responsables afghans.

Un jeune garçon afghan, qui après un enlèvement avait été utilisé comme esclave sexuel, le 31 octobre 2016-AFP/AREF KARIMI


Un jeune garçon afghan, qui après un enlèvement avait été utilisé comme esclave sexuel, le 31 octobre 2016-AFP/AREF KARIMI

Une pratique qui, au sein de la police afghane, accentue l'insécurité dans des provinces déjà instables, comme Uruzgan dans le sud du pays.

En outre, cela mine le soutien pour les forces afghanes soutenues et formées par l'Otan.

Dans un rapport publié fin 2015, le Congrès américain prévenait que "le comportement de prédateurs sexuels des soldats et policiers afghans est susceptible de miner le soutien américain et afghan à ces forces et de mettre en péril" les dizaines de milliards investis par Washington pour renforcer les forces de sécurité afghanes.

Cette pratique renforce aussi la détermination des talibans à imposer la loi islamique dans le pays et alimente leur insurrection.

 

  sexe forcé chez les afghans 

 

 

 

 

     ; ;       

 

  •       Dans la société afghane conservatrice et ségréguée entre genres, le bacha bazi n'est pas associé à l'homosexualité, interdite par l'Islam, ni même à la pédophilie. Posséder de jeunes garçons est dans certains milieux une façon d'asseoir son pouvoir, comme ailleurs le fait d'exhiber une belle épouse.  

*Après deux échecs, Gul, 15 ans, a récemment réussi à s'enfuir d'un poste de police du district de Nad Ali dans le Helmand (sud), où il était captif depuis trois mois. Il vit désormais terré, paralysé à l'idée d'être de nouveau enlevé.

Ses parents et ses frères aussi ont dû quitter la maison, craignant que le commandant qui s'était approprié l'adolescent ne vienne le réclamer.

"+Habille toi en femme+, me disait le commandant du poste", avec du maquillage et des clochettes au pied, rapporte Gul, joint au téléphone par l'AFP. "Je ne veux pas revivre cette vie-là".

Gul était l'un des trois bachas du poste. Mais, insiste-t-il, les policiers ne cessaient de roder en quête de nouvelles victimes, le plus souvent arrachés à des familles pauvres.

"Les policiers n'arrêtaient pas de se chamailler, +mon bacha est plus joli que le tien+, +le mien danse mieux+...", se souvient le garçon.

Aimal, un ancien 'bacha', lors d'une interview avec l'AFP, le 23 mai 2017 chez lui à Kaboul, en Afghanistan / AFP 

* Aimal, un ancien "bacha", lors d'une interview avec l'AFP, le 23 mai 2017 chez lui à Kaboul, en Afghanistan / AFP

Parfois, la seule solution pour les jeunes victimes consiste à passer un accord avec les talibans, qui ont par le passé recruté ces garçons avides de revanche pour monter des attaques contre des postes de police, en servant comme "cheval de troie", appâts pour les policiers pédophiles comme l'a révélé l'AFP l'an passé.

- 'Sauvez mon enfant' -

A la différence de beaucoup, Gul a eu la chance que sa famille ne le rejette pas.

"L'honneur familial, c'est comme un verre d'eau, la moindre salissure le souille intégralement", confie Aimal: cet autre ancien bacha, âgé de 30 ans aujourd'hui, a été abandonné par ses parents. "Si j'avais été une fille, ils ne m'auraient même pas laissé en vie."

Même les parents les mieux intentionnés sont consumés par la honte quand ils amènent leur enfant blessé chez le médecin.

"De plus en plus de parents amènent leurs fils en bredouillant qu'ils ont des problèmes intestinaux", raconte un chirurgien du Helmand, province dans laquelle le phénomène des bachas bazi est largement répandu.

"Mais l'examen montre que ces enfants ont été violés et qu'ils ont besoin d'être recousus. Les parents éclatent alors en sanglots et supplient +Nous ne voulons pas que ça se sache, mais sauvez notre fils+", assuren-t-ils.

Son témoignage corrobore celui de deux autres praticiens contactés par l'AFP, sous condition d'anonymat.

Aimal - un pseudonyme pour taire son identité - a été libéré quand sa barbe a commencé à apparaître, après des années d'esclavage au service d'un commandant jihadiste dans la province de Balkh (nord). (quand ils deviennent trop virils les bachas n'intéressent plus les pédos...alors que c'est justement le moment où ils intéressent les gays ! )

Installé désormais à Kaboul, Aimal milite contre la pratique du bacha bazi et pour la protection des victimes. Il explique qu'il ne voulait pas finir à son tour en prédateur, comme de nombreux anciens bachas.

Pour la première fois cette année, le président Ashraf Ghani a proposé de sanctionner la pratique par un amendement au code pénal - mais le gouvernement n'a pas encore annoncé de calendrier pour sa mise en oeuvre. -lol-

En revanche, les autorités ont conduit en février un raid contre une soirée "bacha bazi" en plein Kaboul et ont arrêté, non pas les organisateurs, mais les jeunes danseurs ! (1) ont rapporté de nombreux témoins à l'AFP.

    (1)Sans doute parce que souvent, les agresseurs sont eux-mêmes membres des forces de sécurité qui se protègent des poursuites.

"Qu'est-ce qu'on reproche aux bachas ???Danser n'est pas un crime," s'insurge Aimal. "Il faut en finir avec cette culture qui consiste à punir les victimes au lieu des criminels ."¤

  afp 

     "En Afghanistan on préfère les garçons "...
des militaires du corps expéditionnaire, des chercheurs en mission, nombre d'entre eux se sont vus invités à des soirées... 

  "...[...]- Oui, oui ! C'est bacha bazi ! Après la danse, son entraîneur choisit avec qui elle part pour la nuit.

[...]...

Après une danse frénétique et endiablée, la musique se coupe et la danseuse apaise ses mouvements, sous les applaudissements du public et les miens. Jamais je n'avais vu pareille merveille auparavant. L'homme à la radio vient la rejoindre et pose ses mains sur les délicates épaules de sa petite afghane, un grand sourire aux lèvres. Il se met à parler aux spectateurs qui lui répondent avec vivacité. Le ton monte dans la pièce, les hommes assis parlent tous en même temps, causant un brouhaha infernal.
 
J'attrape Jamal par la main pour lui faire signe de partir mais il se rapproche de moi et me dit:
 
- Attends, attends mon ami ! Pas problème, ils décident qui va avec elle maintenant.
- On... on peut passer la nuit avec elle c'est ça ? Lui fis-je d'un ton timide.
- Oui, oui ! C'est bacha bazi ! Après la danse, son entraîneur choisit avec qui elle part pour la nuit. J'ai vu que tu aimais beaucoup danse ! Tu veux la nuit avec elle ?
- Euh... eh bien... ouais, enfin oui... oui j'aimerais beaucoup. Répondis-je assez surpris par la tournure des évènements.
- Pas problème ! me dit Jamal avant de se lever vers l'homme à la radio.
 
Ils discutent quelques instants puis Jamal revient vers moi en me disant:
 
- Argent, toi argent ?
- De quoi ?
- Est ce que tu as argent avec toi ? Il veut bien te la laisser mais tu dois payer.
 
Je fouille rapidement dans mon portefeuille et lui sors deux billets de 20 euros que je n'ai pas eu le temps de changer en arrivant.
 
- Ça va, ça ? Lui dis-je.
 
Jamal apporte les billets au négociateur qui les rafle aussitôt, des étoiles pleins les yeux. Il tapa trois coups contre le mur pour calmer les hommes autour de lui et leur dit en dari que la danseuse est pour moi ce soir, qu'elle partira avec moi et personne d'autre et qu'elle reviendra demain soir. Après quelques protestations, les hommes s'en vont chacun leur tour en me jetant de temps à autre des regards colériques, déçus de ne pas pouvoir repartir avec la nymphette.
 
Une fois la pièce vidée, il ne reste que moi, Jamal, la danseuse et son "propriétaire". Ce dernier s'avance devant moi et commence à me parler dans sa langue pendant que Jamal me fait la traduction: il me dit que j'ai gagné la nuit avec sa danseuse et que je peux lui faire ce qu'il me plait, du moment que je ne la blesse pas, et que je devrais la ramener ici demain matin sans faute; sinon il préviendra ses amis et ils.... (Jamal n'a pas voulu me traduire la suite mais m'a assuré qu'il était sage de la ramener en temps et en heure à son maître).
 
Avant de nous en aller, une question bête me vient à l'esprit:
 
- Comment s'appelle-t-elle ?
- Missy, Missy l'étoile du désert. Me traduisit Jamal."

 

"Si vous avez aimé ce texte, remerciez Lxxx...z,
c'est pour lui une motivation pour continuer d'écrire :
lxxx.rich[at]xxx.fr  (remplacez [at] par @)
 
Provient_des_HISTOIRES_TABOUES = 

 https://www.asstr.org/~Histoires_Fr/txt2017/lavaaz_-_la_danseuse_afghane_-_chapitre_2.14.html
 
Gardez à l'esprit que toutes les situations décrites dans ce texte ne sont que des fantasmes.
Avoir des relations sexuelles avec un mineur de moins de 16 ans est un délit voire un crime passible de nombreuses années de prison dans la plupart des pays du monde.

Cette œuvre reste la propriété de son auteur.
Sauf si stipulé autrement, vous pouvez la republier sur un autre site gratuit à condition de ne rien modifier et de laisser les notices de début et de fin de page."

 



  NOTES & DOCUMENTS : Afghanistan /scène de baise surprise par des militaires en patrouille :

 "By fair means or foul"   

  Afghan Fuck Mission
by Martin Rammsonde (martramm@hotmail.com)

***

Soldiers come across a couple of Afghan civilians
engaged in homosexual activity and decide to intervene.
(MMM, intr, military, asian, anal)

***

"The HMMVW* rolled to a stop before a farmhouse north of
Kandahar. PFC Chu raised his IR goggles and surveyed
the scene. The heat sources bloomed and receded as he
adjusted the image, until three sources stood clear.
"Sergeant!" he called clearly to the companion seated
beside him, "three signatures, two engaged!"

Sgt Willsen chewed his lit cigar. He was a tough
African-American, an army man since graduating high
school, and hard to impress. Chu hadn't let him down
since they'd arrived in theatre. Best fucking IR
analyst he'd had. He bit the end off his cigar and spat
a wad of tobacco.

"All male?" he asked.

Chris Chu viewed the balls of light that illuminated
his goggle. "Affirmative. Single male in north-west
corner of compound, two males, uh, plowing ass in the
south-east corner". The horny asian grabbed his own
crotch and squeezed as he watched the blurry
fornicators thrusting in his goggles.

"You sure?" his section commander asked. "three target
males?" He trusted Chu implicitly, but he would ask all
the same. Plowing ass was interesting. His cock
twitched at the thought of watching handsome Afghans
breeding Afghans.

"IR don't lie," Chris replied, "I can see their fuckin'
peckers." The lone Afghan was lit up in IR by his
sweaty balls. The other two were illuminated where
one's cock was sliding into the other's tight ass, and
by the IR signature given off by their jizz-swollen
balls.

Rufus Willsen reached over and killed the ignition. He
swung out of his seat, M-16 slung in his arm. "Let's do
it," he said, spitting out the butt of his cigar.

The two soldiers took up position before the farmhouse
door, and on the count of three Chris burst through,
weapon raised. He moved towards the left, to secure the
southeast corner of the complex. Rufus rushed to the
right, and before Chris had even navigated the narrow
corridor to his targets he heard Rufus shout "Down,
down, get down!" followed by "Secured!"

He entered a dimly lit room. In one corner he saw two
pale bodies, on a rough bed close to the floor, coupled
in coitus. He pulled the trigger on his M-16 twice,
firing into the wall well above them, the muzzle
flashes briefly illuminating the room.

It was enough to see the two Afghans, one atop the
other, ass-fucking. One lay face down on the bed, his
ass pushed up by a pillow under his hips. The other
sprawled against him, his cock deep inside, almost
pulling his fuck-pole free before burying it deep. Chu
shouted in the only Pashto he knew "US Army � you are
arrested!"

As the fuckers disengaged, their faces came into the
spotlight of Chu's M-16 mounted flashlight. The battle-
hardened private's jaw dropped � his two captives were
indistinguishable. The horny fornicators were identical
twins. His already stiff cock swelled in his combats,
slipping free from the confines of his briefs. He
gestured the naked twinks to stand against the wall,
arms up and legs spread. They were clean shaven with
short black hair, fit bodies from farm labor, smooth
except the dense dark hair around their pubes.


From the next room his sergeant brought the other
detainee, hands restrained behind his back. The
prisoner's face, even with its tightly cropped beard,
was similar enough to the twins to mark him as the
older brother. He was shirtless, clad only in partoog,
the baggy cotton trousers worn in Afghanistan. Like his
younger twin brothers his body was fit, but more
muscular, with a trail of black hair leading from a
furry patch on his chest down into his pants.

He audibly inhaled in shock as he saw his younger
brothers standing naked against the wall, their swollen
cocks jutting away from their body: one twin's cock was
slick and lubed; the other twin's ass pink from the
pounding interrupted by the Americans' raid. Their
bodies were witness to their older brother of what
they'd been doing with each other.

Willsen pushed the older brother face first against the
wall beside his brothers. The sergeant had an ID card
he had found. He peered at it. "Who-came," he said, and
looked at the man. No response. He grabbed his hair,
and turned his head to look at the card in his hand.

"Who-came?" he repeated, waving the card.

The man understood. "Hukam," he said, pronouncing his
name.

Rufus grunted. He slapped the ass of the twin beside
Hukam to get his attention, and pointed at his brother
saying, "Hukam," and then pointed at him, with eyebrows
raised.

"Zmarak," the younger man said. He moved sideways to
slap the other twin's bare ass. "Hukam. Zmarak," he
said.

"Kakay," came the response in a low voice.

The two soldiers looked at their captives, squeezing
their swollen cocks through their combat pants. The two
twins, Zmarak and Kakay, stood against the wall, their
arms raised and palms pressed against the cinderblock.
They were naked, their young cocks still stiff and
pulsing. Their older brother Hukam stood beside them.
He stole a look at his younger brothers' cocks,
relieved that his partoog hid his swelling tool. "Fuck,
I need to bust my nut," said the older more experienced
black man.

Chris licked his finger, and pressed the lubed digit
against Zmarak's tight hole. With some effort his digit
slipped in. The Afghan youth moaned as the American
penetrated his luv-hole. Hukam looked away as the asian
GI violated his brother, then slyly glanced back.
Zmarak was pushing back, burying Chris's finger deeper,
rather than recoiling. Hukam's cock bobbed and a drop
of pre-cum leaked from his cock and wicked into his
cotton pants.

Chris guided Zmarak towards his twin brother Kakay; the
young Afghan's swollen fuck-pole pressed briefly
against Kakay's winking sphincter, before it slipped in
and was enveloped by his twin's luv-chute. Zmarak,
encouraged by Chris's hands on his ass, soon found an
easy rhythm fucking his brother's ass.

Hukam was now rock hard as he watched his smooth
younger brothers fuck. His cut fuck-pole leaked a
steady stream of pre-cum that hung like a salty thread
from his throbbing tool.

Chris was stripping out of his combats, anticipating
fucking Pashtun man-ass. His throbbing cock burst out
of his briefs as he slid them off. His smooth asian
body was hairless, other than the silky halo of black
hair that surrounded his cock and balls. His sergeant
looked approvingly at Chu's muscled physique, the
result of vigorous training.

The sight of Zmarak's round Afghan ass tightening and
relaxing as the Pashtun twink pumped his brother's
love-pussy was by now too much for Chris. He dropped to
his knees and spread Zmarak's cheeks, eagerly tonguing
the youth's hole as Zmarak bred his twin. Zmarak moaned
as his fuck-pussy was swabbed and then penetrated by
the American's tongue. The moans turned Chris on more
than ever, his cock throbbing at the thought of mating
with Zmarak's sweet and tasty boy-cunt.

He stood up behind Zmarak, his raging fuck-pole aimed
at the fucker's manhole. He reached around Zmarak to
put his hands on his brother Kakay's hips on either
side, and slowly pulled himself forward, letting
Zmarak's own hip thrust's impale the Pashtun boy on his
Asian-American ass-splitter. Zmarak moaned, enjoying
the fuck-chute massage he was getting. Chris had only
to stand still behind the Afghan fuck-stud to let his
cock be serviced by the youth's tight boy-pussy.

It was Rufus's turn now with the oldest of the three
Afghan brothers. Hukam couldn't help himself at the
sight of the three-way fuck-meet beside him, and had
dropped a hand to stroke his thick meat through his
cotton trousers. Rufus's fat black cock was ready for
action, and Hukam's virgin ass was virtually quivering
to be filled.

Rufus put his hands on Hukam's bare muscled shoulders,
and guided him towards the stained bed mat that lay on
the floor. He pushed him on his back, then slid off the
Afghan's white partoog, leaving him naked, his hard
dripping cock pressed against his furry belly. The
sergeant now stripped bare, his engorged black fuck-
stick springing out of his briefs and wetly slapping
his stomach. Hukam's cock drooled as he stared at the
unimagined black meat.

Rufus spread and raised the Pashtun's legs, throwing
Hukam's legs over his shoulders, and then pressed the
bulb of his man-meat against Hukam's hungry love-hole.
He slowly pressed forward until he felt Hukam yield,
and then he buried his long thick cock deep in Afghan
ass. He started fucking the young man long and deep,
while both of them stole glances at the horny threesome
rutting nearby.

Rufus was slick with sweat by the time he felt his cock
swell in Hukam's ass, and his balls tighten up into
him, and then he was shooting his black seed deep into
the Afghan stud. He kept pumping his ass until his
creamy spooge started pistoning out of the Afghan's
ass.

Hukam was surprised to actually feel the American's hot
mans-punk exploding inside him. And then, with Rufus
still leaning over him, and the spent black cock still
deep in his ass, with his ankles still draped on the
sergeant's powerful shoulders, he felt his balls draw
tight, and hot creamy Pashtun man-juice was splattering
over his chin and chest. He involuntarily made short
inarticulate sounds with each contraction of his balls.
He gasped as his climax faded. Without ever touching
his cock, this black fucker had milked him dry.

Before he slipped out of Hukam's ass, Rufus felt the
contractions of the orgasming Afghan's fuckring around
his cock. He leaned forward to lick the hot white
spooge off Hukam's chin and chest.

Zmarak's cock had been stroking itself in Kakay's tight
boy-hole with every thrust forward, while his
lovebutton in his own fuck-pussy was being massaged on
every thrust backward by the rigid asian man-pole
behind him. When he heard his older brother Hukam's
noisy orgasm, it sent him over the top, and he buried
himself deep in Kakay's ass to deliver his load. Chris
felt the boy's cherry lock around his cock, and took
the cue, vigorously thrusting to stroke Zmarak's g-spot
and prolong the Afghan's fuck-blast.

When his nuts had been milked dry, the sweaty twink
held onto his brother, still deep inside him, as Chris
continued to hammer him from behind. Chris reached in
front of Zmarak's spent balls to where the Afghan's
cock split apart his twin's ass, and scooped the creamy
man-juice leaking from Kakay's luv-hole with his
fingers, then brought it to Zmarak's lips.

The twink eagerly gobbled his own cum from Chris's
fingers, licking them clean. Still fucking the Afgan's
tight ass, Chris reached again for another wad of
Zmarak's boy-honey, but offered it this time to
Zmarak's horny twin. Kakay, still impaled on his
brother's softening fuck-stick, sucked ravenously at
Chris's fingers, consuming the salty treat his brother
had deposited up his ass.

Chris pushed his smooth chest against Zmarak's warm
back, thrusting hard and deep into his velvety boy-
cunt. He was going to bust his nut soon. He banged hard
into the tight fuck-hole twice more, than pulled out
and grabbed Zmarak by the shoulders and forced him to
his knees. He pushed his cock urgently to the Afghan's
lips, which parted to accept the thick cock and swallow
it without question. He grabbed Zmarak's thick black
hair and slammed his engorged cock down his throat.
Once. Twice. And then he pulled free, and blasted wad
after wad of Chu-juice onto Zmarak's surprised face.
His boy-gravy slid down the Afghan's face; Zmarak
licked what he could from his lips.

Kakay's cock still twitched, unsatiated, and his twin's
twinkbatter leaked from his well-fucked lovehole. He
knelt and licked the asian boycream from his brother's
face.

Rufus grabbed the still-horny Kakay, and threw him on
the bed mat. He rolled Hukam onto his side, and bent up
one leg to expose his Afri-bred hole, oozing man milk.
He roughly guided Kakay's cock to his older brother's
hole. Kakay excitedly followed, pushing his throbbing
fuck-rod up Hukam's jizz-lubed boy-cunt. Hukam grunted
as his ass was vigorously violated by the second cock
of the night.

Kakay wrapped his arms around his older brother for
affection as well as for leverage, and aggressively
fucked his sloppy manhole. With each thrust into his
brother, his buttocks squeezed out some of Zmarak's
fresh boy-jizz. The previous exertions with Zmarak and
Chris had left him near the edge, and it wasn't long
before his body spasmed and he bust his nut inside
Hukam, his cream mixing with Rufus's.

Leaving the three brothers naked and sticky with spunk
on the bed, Chu and Willsen pulled on their combats,
their hearts still pounding from the heavy work of
their man-fucking. They made a cursory search of the
dwelling, confiscating an ancient pre-WWI Lee-Enfield
rifle, which they threw in the back of their humvee,
and then they accelerated away, disappearing in a cloud
of Central Asian dust, the same dust that had stirred
under the feet of Alexander's Macedonian army more than
two millennia ago. Like the dust, the people were
immutable.

When the foreigners had left, and with Zmarak and Kakay
exhausted and in a deep fuck-induced slumber, Hukam
crept to the farmhouse's tiny kitchen, and rolled up
the rug on the floor. Underneath the rug lay a wooden
trap door. He pulled up the door and peered into the
darkness of the deep spiderhole that lay beneath. A
bearded turbaned head appeared in the shaft of light
dimly illuminating the base of the ladder that led into
the squalid hole, and blinked.

Hukam sighed. His tall Arab guest would live another
day. He dropped the trapdoor with a bang, and kicked
the rolled carpet back to cover it. His cock was
getting hard again, and only his twin brothers could
extinguish the new and burning thoughts that fired his
mind.

END

~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~
This story was written as an adult fantasy. The author
does not condone the described behavior in real life.

 

  *

HMMWV High Mobility Multipurpose Wheeled Vehicle (4/4 polyvalent de l'arme amricaine) 

 

 

 

 

 

Par AFP - Publié dans : LUTTES HISTOIRE & REVOLTES DES GAYS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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