Partager l'article ! Chagrin d’amour RYTHMAIT NOS JOURS ET NOS NUITS ! à l'avènement des radios libres nous aussi on était LIBRES: ouais...chacun fait c'q ...
ouais...chacun fait c'qui lui plaît à condition que ça nous plaise à nous les homophobes ! sinon rien ! hé, attention, t'es sûr que c'est privé ici ?
ouais...et maintenant ? ça a bcp changé ?
sauf...que privé c'était privé et qu 'il fallait faire gaffe de ne pas trop éveiller l'attention si on était PD ...
Dites que vous êtes PD qu'on vous casse !
Cette augmentation des agressions physiques LGBTphobes de plus de 60% entre 2017 et 2018 est principalement liée aux chiffres du dernier trimestre, avec un cas d'agression par jour en moyenne signalé à SOS Homophobie, peut-on lire dans le rapport.
En tout, en 2018, "SOS Homophobie a recueilli 1.905 témoignages d'actes LGBTphobes", dont les données sont collectées via la ligne d’écoute de l’association, son tchat ou son formulaire en ligne. Une augmentation de 15% par rapport à l’année précédente (1650 témoignages), confirmant une troisième année de hausse consécutive. Les faits les plus courants rapportés par les victimes sont les manifestations de rejet (62%) et les insultes (51%), devant les discriminations (38%), le harcèlement (20%), les menaces (17%) et la diffamation (17%).
Si l’association enregistre une hausse de 42% des signalements de violences contre les lesbiennes, cela est davantage le résultat d'une "prise de parole" des victimes que d'une "augmentation de la lesbophobie", assure SOS Homophobie. "Les témoignages de lesbiennes s'inscrivent assurément dans une vague revendicative", dans la foulée des mouvements #MeToo et #Balancetonporc.
Les hommes, qui représentent 66% des témoignages, sont "plus enclins à s'exprimer et à se tourner vers SOS Homophobie pour dénoncer ce qu'ils ont subi" tandis que les femmes (21%) et les personnes trans (5%) ont "tendance à s'autocensurer ou à se tourner vers d'autres associations", souligne le rapport.
Comme chaque année depuis 2010, Internet, à l'origine de 23% des signalements en 2018, reste "le premier lieu d'expression des LGBTphobies", déplore l'association. En tête de liste, Facebook et Twitter, d’où surviennent plus d’un signalement sur deux, font office de "caisse de résonance" de l’homophobie du quotidien.
ouais...et maintenant ? ça a bcp changé ?
1982-2019 : Chagrin d’amour refait c’qui lui plaît ! Mais nous on aimerait bien !
RAPPORT - L'association SOS Homophobie déplore dans un rapport une "année noire" pour les agressions physiques envers les personnes LGBT en 2018. Avec 231 faits signalés, ces agressions bondissent de 66% par rapport à 2017.
UN DISQUE CULTE avec une pochette sublime signée Richard Avedon (Harper’s Bazaar, Life, Vogue).
En 1982, le monople d’Etat sur la radiodiffusion est brisé, les radios libres explosent et, avec elles, ce refrain :
« Chacun fait fait fait c’qui lui plaît plaît plaît… » Rythmique funky et paroles crues, ce dialogue insolite entre le brun Grégory Ken (disparu en 1996) et Valli, blonde aussi fraîche qu’américaine, révolutionna la musique hexagonale au point d’être qualifié de premier rap en français. Mais on a parfois oublié que ce titre faisait partie d’un tout. Et ce tout, c’était le premier disque de Chagrin d’amour, au titre éponyme, que l’on peut poser sur nos platines, à l’occasion de cette réédition en vinyl et en digital. Les premières notes afro-pop d’Eden Nouba confirment qu’il mérite une nouvelle vie ! Car, plus que des chansons agglomérées autour d’un tube, il s’agit d’un concept album sexy et barré, imaginé par l’homme de l’ombre de Chagrin d’amour, le parolier Philippe Bourgoin. Ancien scénariste, il décline 15 titres autour du thème d’Adam et Eve, avant et après la pomme. Quinze titres qui empruntent à Gainsbourg (les textes suggestifs susurrés par la voix de fausse ingénue de Valli dans Fais le waou waou !) autant qu’aux musiques noires : ça pulse le funk, le rap, le reggae, l’afrobeat. Pile entre le son des clubs new-yorkais et la sono mondiale du Paris de l’époque : culte.
Chagrin d’Amour, Because.
.années 80 on chantait ça entre jeunes...signe de reconnaissance
Cinq heures du mat' j'ai des frissons
Et à c'moment là, qu'est-ce que vous avez fait?
Six heures du mat' faut qu'j'trouve à boire Ah, qu'est-ce t'as là, qu'est-ce t'as?
Tout près d'une poste y a un p'tit bar
Et vous êtes rentré comment?
Sept heures du mat', l'hôtel
Son sourire rouge, son corps qui bouge
Et vous, vous souvenez vraiment pas de c'qui s'est passé?
Alors j'me sauve dans le matin gris
Madame pipi a des ennuis
Huit heures du mat' j'ai des frissons Source: LyricFind Paroliers : Gerard Maurice Henri Presgurvic / Philippe Jacques Florentin Timbert
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Marianne
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