SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES

Jeudi 1 mars 4 01 /03 /Mars 23:51

Brian Kinney: Écoutez, je ne crois pas en l'amour. Je crois en la baise. C'est honnête, c'est efficace. Vous entrez et sortez dans un cul avec un maximum de plaisir, et un minimum de conneries à venir...MAIS LEURS PULSIONS,LEURS EMOTIONS LES GOUVERNENT

 DIALOGUES DANS QUEER AS FOLKS

Brian Kinney: Écoutez, je ne crois pas en l'amour. Je crois en la baise. C'est honnête, c'est efficace. Vous entrez et sortez dans un cul avec un maximum de plaisir, et un minimum de conneries à venir. L'amour est quelque chose dans quoi les hétéros prétendent être, afin de pouvoir coucher. Ensuite, ils finissent par se blesser les uns les autres, parce que tout était basé sur des mensonges dès le départ . Si c'est ce que vous voulez, alors allez-y et trouvez-vous une jolie petite fille ... et mariez-vous !

 
Justin: Ce n'est pas ça que je veux. Moi je te veux TOI.

 
Brian Kinney: Tu ne peux pas. Je suis trop vieux ... Tu es trop jeune pour moi. Tu as dix-sept ans, j'ai vingt-huit ans.

 
JustinTu as  vingt-neuf ans.

 
Brian Kinney: D'accord, vingt-neuf. Raison de plus. Maintenant mon petit ange, va, cours faire tes devoirs.

 
Michael Novotny: Ouais, eh bien, la chose que tu dois savoir à propos de Brian c'est ... ce n'est pas ton petit-ami. Brian ne se fait jamais de petit ami.

 
Justin: Ouais,  ben ... Tu n'étais pas là quand on l'a fait.  Tu ne sais rien les choses que nous avons faites. Comment il m'a embrassé...ça ne ment pas...

 
Michael Novotny: Je ne sais qu'une chose : Brian est un connard égoïste qui ne se soucie que de lui-même. Si j'étais toi, je l'oublierais.
   

 
M. Bonnebaise : Ca ne me dérangerait pas qu'on se fasse un trio. Même si c'est une jeune pousse.

 
Brian: Une jeune pousse qui est en train de nous quitter en quelque sorte.

 
Justin: Qui est-ce ?

 
Brian :
(ironisant) Pardonne-moi de ne pas t'avoir présenté. Justin, voici M. Bonnebaise. Monsieur Bonnebaise, permettez-moi de vous présenter Justin.

 M. Bonnebaise
: Mon nom est George.

 
Brian: Désolé. George ...euh.. Bonnebaise.

 
Justin: Tu ne le connais même pas.

 
Brian: Bon eh ben, j'espérais y arriver mais.... Maintenant, pourquoi ne pas nous faufiler tous les trois à la maison.

 
[Justin part]

 
Brian: c'est lui qui me cherche.

M. Bonnebaise : 
Ce n'estt pas très gentil. Quoi ?, tu  envoies, un enfant de cet âge, tout seul à cette heure de la nuit ?

 
Brian: Oui. Qui êtes-vous, père Bonnebaise ? Le bon Samaritain ?

• La séquence d'après nous entraîne devant une affiche de cinema  

 
Justin: "Dirty Dancing". C'est vraiment un vieux film  .

 
Brian Kinney: Quoi?

 
Justin: J'ai dit que "Dirty Dancing"est un film vraiment vieux.

 
Brian Kinney: Ce n'est pas si vieux.

Justin: Quel âge as-tu ?

 
Theodore 'Ted' Schmidt: Pfffff.

 
Brian Kinney: Quel âge me donnes-tu ?

 
Justin: Trente-trois?[Tout le monde rit.]
               
 
 
Brian Kinney: Va te faire foutre.

 
Michael Novotny: Il a vingt-neuf ans.

 
Brian Kinney: Eh merde toi aussi ! POurquoi tu lui as dit?

 
Michael Novotny: Ce qui est vrai est vrai !.

 
Theodore 'Ted' Schmidt: Et nous savons tous ce que cela signifie. Dans quelques mois, il aura trente ans. Serait-il aussi mort ?

 
Brian Kinney: Eh bien, toi, tu devrais le savoir.
Tu l'es déjà !  ¤
     

 

 

Et Justin va recoucher avec son héros, son idole, son initiateur

 

 

 

 

 

On lit en marge...

 

d

Par QUEER AS FOLK extrait traduit - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Samedi 24 février 6 24 /02 /Fév 20:58

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 le premier instant de la pénétration compte le plus, de même que l'acceptation

 

 

 

 

 

 

Par DOZEUR - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 18 février 7 18 /02 /Fév 08:15

jour après jour ensemble et heureux

                    

           

 

Par SKIN&FLESH - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Samedi 17 février 6 17 /02 /Fév 23:25

« Non! Non! Criais je ...je ...je ne veux pas! Il va me déchirer! Non! »



Tu n'étais pas là.

Damn, I want that dick!!… 👅👅👅👅

Vendredi aprèm les façadiers avaient terminé leur chantier et soi disant m'ont averti qu'ils devaient démonter leur échaffaudage...ils sont entrés par la fenêtre. Je leur ai offert à boire, mais, comme ils sont arabes ils ne voulaient que de l'eau... 

Hussein, leur chef d'équipe...


 

 

 

gaycheats: “holy-ass-hole: “FOLLOW Holy Asshole ” I know you have a boyfriend………..but check out my butthole. ” Love a hungry hole!

Se penchant vers moi, Hussein me caressa la joue du revers de sa main, « Allons, tu verras, il va te faire crier de bonheur avec son calibre ma chérie! » Mais je tremblais de tous mes membres et Hussein s'en aperçut. Je tournai vers lui un regard suppliant. « Je vous en prie, ne le laissez pas faire, je ...je vais avoir mal, j'ai déjà très mal au ventre. »

« Sois courageuse ma pute, tu vas voir, tu vas apprécier. » Il venait de me glisser ces mots à l'oreille en même temps qu'il faisait signe à son collègue de s'approcher. L'homme qui n'attendait qu'un feu vert pour monter sur le lit qui accusa le coup en gémissant. Il s'affala sur moi et je me sentis totalement écrasé sous lui, à jamais offert sans possibilité de fuite. Aussitôt, son sexe se présenta à l'entrée de ma fente. Je retenais mon souffle tandis que Hussein continuait à me caresser la joue. Je lui jetais un regard éperdu quand je sentis ma corolle s'ouvrir et mes muscles anaux se distendre au passage de ce gland triomphant. Hussein me fixait avec curiosité, guettant le moindre rictus sur mon visage. Je crispais mes traits, me mordais les lèvres, mon souffle trahissait mon angoisse. Hussein semblait de plus en plus intéressé par mes réactions. Je me cambrais en lâchant une plainte quand le sexe démesuré atteignit le fond de mon ventre. Hussein me sourit, « Tu vois bien, il est entré en toi, tu as un peu mal parce que c'est la première fois, mais dis toi qu'après ça, tu es prête à accueillir toutes les bites de la terre. »

Je sentais cette chair dure et brûlante sur toute la longueur de mon intestin. Mes chairs distendues à l'extrême me faisaient souffrir. Je serrais les dents pour ne pas crier, crispé sur la brûlure qui irradiait dans mes reins et tout mon ventre.

« Allez salope, prends ton pied, profites-en, tu n'en verras pas de si grosses tous les jours. Vas y Hamed, fais lui voir comment tu te sers de ta bite. »

A ces mots l'homme qui m'écrasait de son poids, se mit en mouvement. Je poussai une plainte, son sexe commençait à remuer en moi. Je criais de douleur, une douleur vive que je ressentais dans tout mon ventre. Mon pauvre anus n'était plus qu'un anneau de feu au passage de son engin.

Je jetai un regard éperdu à Hussein mais il restait de marbre. Il se pencha vers moi et me demanda ce que je ressentais. « tu aimes sa queue à Hamed? Oui je sais elle est un peu grosse mais bon, tu verras comme elle est bonne. Chez lui au bled il lui faut trois femmes pour le soulager, alors tu imagines, ça fait presque un an qu'il attend une baise. Quand il rentre au bled, il engrosse ses trois femmes à chaque fois, que veux tu, il n'y a pas de pilule par là-bas. »

Je regardais Hussein les dents serrées, m'efforçant de ne pas lui montrer une quelconque émotion, je figeais mon regard. Allongé sur moi, l'homme avait commencé à ahaner, j'avais son souffle pas très frais dans le cou, sa bite labourait mon pauvre fondement et son gland tapait durement le fond de mes tripes en feu.

« Laisse toi aller chérie, tu vas voir tu finiras par aimer. »

L'homme prenait son rythme maintenant, ses reins battaient à une cadence élevée. Je ne pouvais retenir des gémissements au-delà de la douleur que j'éprouvais. Je ne sais pas pourquoi, mais à ce moment la, j'étais femme, ces trois-là, étaient en train de faire de moi une femme, une femelle, une vicieuse avide de bites. Hussein me fixait toujours, sans doute voyait il dans mes yeux la lueur de la lubricité.

Je sentis sa main s'agiter sur ma cheville soudain libre. Son compère de l'autre coté du lit avait lui aussi défait le lien sur ma cheville. Après ce furent mes bras qui furent délivrés, j'étais libre de mes mouvements. Hussein était attentif à mes réactions, il scrutait mon visage, cherchant la moindre réaction.

Je gémissais plus fort, entre douleur et jouissance que je sentais monter de mes chairs malmenées. La bite en moi fouillait mes entrailles, sa présence, sa force, ses palpitations de plus en plus proches me faisaient penser à une imminente délivrance, je décidais d'aider l'homme à venir, je nouais mes cuisses autour du corps trapu aux reins si forts, le retenant en moi. Je nouais mes bras autour de son torse puissant, Hussein en sourit, même si je le regardais sans broncher, j'accompagnais les coups de reins, les coups de bite tout en fixant Hussein penché sur moi son sourire aux coin des lèvres.

« Vas y ma pute, vas y! donne lui ta chatte, tu vas voir il va te noyer de foutre. » Puis s'adressant à Hamed, « Vas y Hamed lâche lui tout dans le ventre a cette salope! Vas y bourre la, mec, remplis lui le ventre, fourre la jusqu'à ce qu'elle n'en puisse plus, jusqu'à ce que ton foutre l'envahisse jusqu'aux amygdales  »

Les reins d'Hamed étaient des marteaux pilons qui tapaient sans répit mon bas ventre, la douleur et la jouissance me faisaient crier, je hurlais sous l'homme qui me contreignais sous lui, coupant mon souffle, me brisant entre ses bras puissants.

Quand il se figea, je tressaillis avant de sentir le spasme puissant qui secoua mon ventre et le jet brûlant de sperme suivi d'autres spasmes encore et encore éjectant à chaque fois des giclées abondantes au fond de mon pauvre corps qui n'en pouvait plus.

Je fus soulagé de sentir qu'il relâchait son étreinte et roulait sur le coté dans un soupir de satisfaction. Aussitôt je portai une main en creux sur mon sexe, et l'autre sur  ma fente  gluante de foutres mélangés. Dessous je sentis le lit trempé d'une grande flaque de sperme. Je m'empressais de me relever pour évaluer les dégâts. Je vis du sang mêlé au sperme qui trempait le lit. J'en eus peur.

Mais Hussein déjà était près de moi, « Assieds toi au bord du lit » m'ordonna-t-il. Comme je n'allais pas assez vite à son goût, il me prit le bras et me força à m'asseoir. Ensuite il appela ses acolytes et tous les trois ils se pressèrent devant moi, très près, tout contre moi et accolés les uns aux autres. J'avais un trio de bites face à moi.

« Suce »

Je me penchai sur le sexe qui était le plus proche et je le pris en bouche, aussitôt, un soupir de satisfaction exhala de la bouche de celui que je suçais. Une main vint se positionner derrière ma nuque, me forçant à prendre le membre bien au fond de ma bouche. Je sentais le gland qui frôlait mon palais tandis que mes lèvres entouraient le sexe, le tout dans le goût âcre du sperme. 

Bientôt je fus sollicité par un autre sexe qui vint frôler ma joue, je tournai la tête et bientôt une autre bite se mit à palpiter entre mes lèvres tandis que je pompais le long de la hampe durcie. Encore quelques secondes et puis la troisième, la plus grosse, je reconnus Hamed. Lui aussi me força la nuque pour que je le prenne bien dans ma bouche qui s'arrondissait autour de la tige et qu'il imprimait à ma tête des va et vient impérieux. Encore une sollicitation, un gland me frôle la joue, je tourne la tête je prends en bouche, je suce et ainsi pendant un temps suffisamment long pour que j'attrape un mal à la mâchoire à force de crisper mes muscles autour des queues qui défilaient dans ma bouche.

Ce fut encore une fois Hussein qui donna ses ordres, « Allez les mecs on se branle bien pour cette pute elle va nous faire gicler les uns après les autres. » Dans le même temps il me prenait la tête, forçait mes lèvres et introduisit sa bite dans ma bouche. Sa main se positionna sur ma nuque et ce fut lui qui imprima le rythme de ses reins jusqu'au tressaillement de son membre suivi d'une longue giclée chaude qui me remplit la bouche d'un liquide épais et chaud qu'il m'ordonna d'avaler alors qu'il me maintenait fermement par la nuque. Je dus déglutir trois fois avant que ma bouche se trouve vidée de son sperme.

A peine avais-je avalé qu'aussitôt un autre membre se présenta à mes lèvres, je le pris encore une fois et une autre main retint ma nuque pour que je ne puisse esquiver le spasme qui cracha dans ma bouche un long trait de semence d'un goût différent du précédent. Sans plus attendre le troisième réclama sa part et ma tête fut tournée dans sa direction, ma bouche absorba le plus gros des trois, une main encore me retenait, et le spasme ne tarda plus, j'avais la bouche pleine de sperme, il dégoulinait de mes lèvres, sur mon menton et mes tétons.

Cette fois j'en avais bien fini avec les trois compères, c'est en tout cas ce que je me dis après le dernier tressaillement de bite entre mes lèvres.

« Mets toi à quatre pattes sur le lit. »

Incrédule, je levai les yeux vers Hussein, . Comment? Ils n'en finiraient donc jamais? Je commençais à sentir l'épuisement me gagner, une lourde fatigue qui rendait mon corps lent.

« Plus vite salope! Mets toi à genoux. »

Je me mis dans la position qu'il me demandait. Aussitôt je sentis quelqu'un sauter sur le lit et me prendre les hanches, puis il fouilla vaguement entre mes fesses et encore une fois une bite se présenta à ma fente. Un coup de reins et elle me pénétrait. Je poussai un cri de douleur, mon anus endolori n'en pouvait plus de se faire prendre ainsi. Pourtant les coups de reins reprirent et la position où je me trouvais faisait que je ressentais mieux encore ce sexe qui labourait mon ventre. Je râlais de douleur quand tout à coup Hussein se glissa devant moi le sexe encore vigoureux et me força à le prendre en bouche. Sa main sur ma nuque me maintenait son membre presque dans la gorge tandis que derrière moi le pakistanais se défoulait dans mon ventre, une main vint se positionner sur mes fesses et je sentis un doigt me forcer l'anus pour imprimer à mes reins le mouvement voulu. Je ne pouvais que proférer des cris étouffés, la bouche remplie de cette chair où le sang affluait à nouveau, tendant le membre.

Cette fois la jouissance de mes tourmenteurs fut plus longue à venir, je n'en pouvais plus de maintenir cette position, surtout ma tête et mes lèvres qui se crispaient sur Hussein. Je fis de mon mieux pour les amener à la jouissance, et que cesse enfin mon calvaire.

Ce fut une éruption double, du sperme chaud envahit encore une fois mon ventre tandis que je devais déglutir celui qu'Hussein déversait dans ma gorge.

Quand ils se retirèrent, je m'affalai sans force sur le lit ravagé exhalant une forte odeur de sperme . A ce moment là je sentis un poids lourd s'abattre sur moi et un sexe se positionner entre mes deux globes fessiers. Une main solide écarta mes fesses et des doigts cherchèrent mon anus. Je voulus protester, me soustraire, je criais que non je ne voulais pas mais les deux autres étaient déjà là et ils me tenaient fermement. Mes cuisses furent écartées et le corps lourd s'enfonça entre elles. Un sexe dur bien plus gros que les précédents était à présent contre mon sphincter et il poussait fort  contre lui. Je serrais les dents, décidé à résister, une plainte continue tombait de mes lèvres et je fermais mon sphincter aussi solidement que je pouvais. Mais un doigt dur s'efforçait de le détendre, et comme j'étais enduit de sperme il n'eut pas trop de mal à s'introduire en moi. Je me cambrais, je hurlais n'attirant que des ricanements des deux autres qui me maintenaient et se régalaient du spectacle. Je haletais, usant mes dernières forces en une résistance de plus en plus vaine. Un second doigt s'introduisit entre mes fesses, je criais encore, le visage crispé couvert de sueur. Les deux doigts allaient et venaient s'efforçant d'ouvrir la voie convoitée, ils tournaient dans mon cul, élargissant le passage. Après ce fut un autre doigt, je m'effondrais sur le lit, haletant, l'anus douloureux je les suppliais rien n'y fit, Hussein s'approcha de moi et me murmura à l'oreille « Sois courageuse, après tu pourras tout te permettre tu verras, ce n'est qu'un mauvais moment à passer. Cesse de te débattre, ça ne sert qu'à te faire plus mal encore. »

Je m'effondrais en larmes, cette fois je lâchais tout, vaincu, épuisé par la résistance vaine que j'avais fournie. Je sentis les trois doigts ouvrir mes fesses, s'implanter en moi, tourner pour distendre mon sphincter et puis ils se retirèrent. Le corps de Hamed se fit plus lourd, son gland se présenta de nouveau à l'entrée de mon cul et il poussa fort en continu. Je hurlais de douleur, je croyais qu'il était en train de me déchirer mais on ne se rend pas compte de la souplesse du corps humain. Je m'ouvrais, inexorablement son gland s'imposant à mon anus. J'avais les yeux exorbités, la bouche ouverte sur un cri sans fin, horrifié de ce qui m'arrivait la. Il poussait fort et tout à coup il fut en moi, le gland avait passé le sphincter, instinctivement je me cambrais sous la douleur, mon cri déchirait l'air. Je sentis encore une poussée continue, il s'enfonçait dans mes tripes. J'implorais, je suppliais, les doigts crispés sur le drap, haletante, sous le double regard intéressé de Hussein et du pakistanais tandis que, derrière moi, Hamed s'appuyait de tout son poids faisant entrer plus loin encore son sexe énorme.

Il resta en moi un long moment sans bouger, la douleur s'estompa un peu, mes gémissements se firent plus discrets. Hussein me caressa les cheveux, « Tu vois que tu peux prendre des grosses bites dans le cul! Je suis sûr que dans tes rêves les plus fous tu n'aurais jamais imaginé qu'un jour tu te prennes une bite arabe aussi profond » Il m'interrogeait du regard. « Allons réponds moi salope, dis moi que tu aimes ça! Que tu aimes te faire enculer par Hamed! » Pour toute réponse je sanglotais, perdu et désespéré.

Son visage s'approcha du mien, sa main se referma sur mes cheveux qu'il tira en arrière, forçant ma tête à se relever et à lui faire face.

« Réponds moi! Dis moi que tu aimes prendre sa grosse queue dans ton cul! » Sa main se raffermissait sur mes cheveux, les tirant presque douloureusement. Ses yeux fiévreux se plantaient dans les miens, ils avaient une brillance presque irréelle, surnaturelle. Je pris peur et je murmurai doucement « Oui! Oui! J'aime sa bite. »

Il se recula un peu, toujours en me fixant, un sourire satisfait aux coins des lèvres. « Tu vois chérie que ce n'est pas si difficile de devenir une pute. Maintenant tu pourras aller tapiner sans problème, tu ne crains plus rien. Tiens, si j'étais plus libre, je m'occuperais de toi, je te trouverais un coin de trottoir du coté de la goutte d'or. »

Tout mon corps se révulsa en entendant ces mots. Je ne voulais pas, non, jamais, je tenais trop à ma liberté. Mais les yeux de Hussein étaient fous, je le voyais bien, il me fallait subir cet outrage pour le satisfaire et, après, tout cela s'arrêterait. C'était mon désir, mon envie la plus profonde. Mon corps devenu un jouet me semblait extérieur à moi, j'avais mis la douleur entre parenthèses, les dents serrées je subissais.

Hussein encouragea Hamed et celui-ci se déchaîna derrière moi, ses mains dures retenant mes hanches, il raffermit ses reins et trouva encore le moyen de progresser de quelques centimètres dans mon ventre. Je cambrais mon corps en poussant une plainte avant que je ne sente les vas et viens meurtriers qu'il prodiguait à mon anus tétanisé de douleur. Je serrais encore les dents, crispais mon visage sous le regard persistant et intéressé de Hussein qui me fixait. Ses yeux laissaient percevoir une satisfaction perverse, sa main lâcha mes cheveux pour me caresser la joue. Encore une fois il s'approcha de moi pour me murmurer à l'oreille.

« Allons ma pute, laisse toi aller, tu vas voir, tu peux jouir par là aussi, décontracte toi et sa bite passera mieux, c'est toujours utile pour une pute de se faire enculer par des hors normes pour s'entraîner  Tu sais, les hommes aiment ça, enculer, c'est la possession maximale, l'humiliation suprême à faire subir à une pute, et pour la pute, la preuve définitive de sa soumission. »

Je geignais sous les coups de reins derrière moi, je m'efforçais de me soustraire par la pensée, j'étais ailleurs, je n'entendais plus Hussein me proférer des horreurs à l'oreille, je me transportais ailleurs. Et là je fus saisi des spasmes que je n'attendais plus.Je fus même surprise quand Hamed se crispa, ses doigts s'enfonçant dans mes hanches en y laissant des traces rouges et qu'il se figea en moi partageant l'orgasme puissant et irrésistible qu'il avait provoqué. Encore une fois des jets chauds qui inondent mon ventre, des coups de reins et puis le soulagement. Il se retire. Je pousse une dernière plainte quand son gland franchit mon sphincter mais cette fois, c'est pour se retirer.

Mon corps est brisé, je suis incapable de bouger sur ce lit de torture, et que je ne regarderais plus jamais comme avant.

Les trois hommes discutent autour du lit. Ils se rhabillent. J'évite de montrer un quelconque soulagement, je n'attends qu'une chose, qu'ils partent pour me précipiter sous la douche.

Hussein se penche encore vers moi, « On va te laisser ma pute, on doit démonter l'échafaudage, j'espère que tu te souviendras de nous. »

Les voila partis! Mon corps tout endolori ne répond plus et je reste la, affalé sur ce lit qui ressemble plus à un champ de bataille. Pourtant il me faut réagir, il me faudra mettre de l'ordre dans cette chambre où les cravates de Georges traînent par terre, froissées, où les draps de lit sont souillés de sperme et de sang.

J'essaie de bouger, j'y parviens avec mille douleurs qui se réveillent en moi. Mon anus et tous mes membres me font souffrir, je sens mes cuisses gluantes de sperme pas encore tout à fait figé. J'arrive à me mettre debout, ma tête tourne, je dois me raccrocher aux meubles, il faut que j'y arrive, je me force à rejoindre la salle de bains, je fais couler de l'eau pour me faire un semblant de toilette, laver mes tétons douloureux de diverses morsures, salis de la salive des trois salopards. Je frissonne. Après je passe rapidement le gant de toilette entre mes cuisses et mes fesses pour enlever le plus gros, ce qui coule encore sur mes cuisses, ne plus sentir ce liquide gluant couler sur ma peau. 

Je dois rappeler Georges. Je ne lui dirai rien !

« Tu as vu cette bite ma chérie? Dans deux secondes tu vas l'avoir dans la chatte et rien que pour toi. J'espère que tu sauras apprécier ce cadeau. »

« Non! Non! Criais je ...je ...je ne veux pas! Il va me déchirer! Non! »

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

                                                                                                                                            

 

 

 

 

Par LAFCADIO - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 14 février 3 14 /02 /Fév 14:05

un plan à trois qui tourne en coup monté - un bon coup par ailleurs -c'est un grand pas de franchi : je me donne à un autre que Marc

 

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      Résultat de recherche d'images pour "gay porn let me see :gif undress" nous étions deux amis, deux minets,  et Marc et moi nous aimons.   Image associéeAvec ce qu'il me donne, je peux me considérer comme très favorisé.C'est déjà toute une histoire ! Mais les fantasmes aidant, je...

Marc et moi nous entendons très bien. On ne prétend pas être ensemble, mais nous sommes amants depuis environ trois mois et tout se passe bien. Nos relations sexuelles sont extraordinaires, nous inversons souvent nos rôles et personne ne sait qui finira dominant ou dominé. Certes, à ce petit jeu, Marc est très fort : il est mon dépuceleur et nos expériences n’ont rien de comparable, mais j’apprends vite et ne manque pas de le lui prouver dès que j’en ai l’occasion.  

 

 

Nous aimons beaucoup discuter, surtout après une nuit mouvementée. Nous parlons forcément de sexe, c’est un sujet inépuisable et j’aime tellement ça…

La discussion s’oriente tout naturellement vers nos phantasmes. Je suis allongé sur le côté, je regarde Marc en fumant ma cigarette. Je me remémore mes premiers phantasmes homos…

 

— J’aime bien m’imaginer complètement soumis à un homme, lui dis-je.

— C’est un classique, mais on l’a réalisé plusieurs fois, celui-là !

— Oui, mais c’est un jeu, tu ne me forces pas vraiment… heureusement d’ailleurs ! En fait, plus jeune, j’imaginais ça en me branlant. Cette sensation d’être un jouet, soumis complètement au désir d’un inconnu, forcé de se laisser donner un plaisir brutal. J’imagine ça très jouissif, rien de vraiment désagréable bien sûr.

— Hum, très bon phantasme, en effet, et avec un joli petit cul comme le tien, ça ne doit pas être trop dur à trouver, un inconnu qui ait envie de te baiser.

— Pourquoi dis-tu ça ?

— Si un jour tu veux réaliser ce phantasme, je dois pouvoir trouver d’anciennes relations qui pourraient t’aider, voilà tout.

— Je n’en suis pas encore là, dis-je, un peu surpris. Mais j’y penserai. À toi, maintenant : qu’est-ce qui plairait à un petit pervers comme toi ?

— J’aimerais faire l’amour à trois… et voir un autre que moi te baiser, mais ça en fait un peu partie.

— C’est un classique aussi, mais je reconnais bien ta petite touche personnelle de mateur.

— D’ailleurs, si tu ne sais pas quoi m’offrir pour mon anniversaire…

— Eh bien voyons ! C’est dans deux semaines, je ne sais pas encore si j’ai envie de faire ça, tu sais.

— Allez, s’il te plaît, pour me faire plaisir…

 

Une main a déjà rejoint mon sexe et commence à l’exciter. Marc me lance un regard empreint de douceur, presque suppliant. Ma queue est maintenant toute dure et se fait branler franchement.

Marc en approche ses lèvres, lui donne quelques coups de langue et la prend à pleine bouche.

Il s’applique vraiment beaucoup pour me faire l’une des meilleures pipes de ma vie. Une main masse délicatement mes boules pendant que l’autre astique ma verge juste comme il faut. Je sens que je vais déjà éjaculer et Marc aspire ma bite encore plus fort. Il l’enfonce au plus profond de sa gorge quand il me sent venir et j’éjacule abondamment dans sa bouche.

Marc se redresse, avale mon sperme en me regardant (il avale rarement) et, avec un petit sourire en coin, me demande si je me suis décidé.

Que voulez-vous que je lui réponde ? Je n’ai jamais autant joui avec une simple pipe. Je redescends doucement, je lui réponds que c’était merveilleux et que c’est d’accord pour son cadeau d’anniversaire.



Le plan à trois : Marc a tout organisé : nous serons avec un certain Claude, sûrement un ancien amant, quelqu’un de parfait pour un trio, m’a-t-il dit. Je n’en sais pas plus, mais je fais confiance à mon chéri pour tout organiser parfaitement.

Nous avons choisi le week-end du 14 Juillet pour faire ce « goûter d’anniversaire ».

 

[Ratage ?] Nous attendons l’arrivée de Claude, quand Marc reçoit un coup de téléphone. Il me dit devoir s’absenter une petite heure à cause d’une urgence à son travail ou quelque chose comme ça.

Claude arrive à ce moment. Il est impressionnant, black, 1m90 minimum, musclé et en plus avec une belle gueule.

Marc l’embrasse, lui explique qu’il doit partir pour une urgence mais qu’il revient très vite, puis s’adresse à moi :

 

— Claude est un très vieil ami, tu vas voir, il est vraiment très bien… Faites connaissance, mais essayez de m’attendre pour commencer les festivités, je fais vite. (Il claque la porte)

— Qu’est-ce que tu bois Claude ?

— Comme toi.

— Bon, deux verres de vin, alors !

 

Nous nous installons tous les deux dans le canapé, en nous détaillant de la tête aux pieds.

 

— Alors je te plais ? me lance Claude.

— Heu… oui, je te trouve très beau et bien fait, c’est vrai.

— Et encore tu n’as pas vu mon engin, tu vas l’adorer.

 

Pour un premier contact, c’est un peu cru à mon goût, mais je ne dis rien, c’est l'ami de Marc, et ce n’est pas bien grave non plus.

 

— Et toi, comment t’es foutu ? Fais voir !

— Attends, chaque chose en son temps ! On pourrait discuter un peu avant, apprendre à se connaître un minimum, non ?

— C’est inutile, Marc t’a bien dit d’être gentil avec moi, non ? Allez, viens à côté de moi.

 

Claude me tire à lui, il caresse mon visage et embrasse mon cou. Je suis bien obligé de me laisser faire : il est là pour ça, après tout, et je ne veux pas décevoir mon chéri non plus.

Claude déboutonne son pantalon et en sort une belle bite noire d’une bonne vingtaine de centimètres. Elle est encore en train de gonfler.

Il chuchote à mon oreille :

 

— Tu as vu ce que j’ai pour toi ? Suce-moi, maintenant.

 

Sa main passe derrière ma nuque, il me tient fermement tout en dirigeant ma tête vers son sexe. Je ne peux pas résister, et même si je le voulais, Claude est beaucoup trop fort pour moi. Je pose mes mains sur sa cuisse.

 

— Attends, attends… Je vais te sucer, mais laisse-moi prendre mon temps, s’il te plaît.

— Bon, d’accord, vas-y, je te regarde.

 

Claude a lâché ma nuque. Je me saisis de son membre qui semble bien large. Je commence des va-et-vient avec ma main, tout en approchant ma bouche du gland. Je le saisis avec les lèvres, puis le fais glisser entièrement dans la bouche ; je lèche, je pompe, j’aspire…

Claude m’attrape par les cheveux pour que je lâche prise, je laisse donc échapper sa queue et il tire ma tête vers le haut, me tourne face à lui et écrase ses lèvres sur les miennes.

 

— C’est un bon début, tu es doué, petit. Mets-toi debout, maintenant, je voudrais te goûter.

 

Claude m’aide un peu brusquement à me lever et me voilà debout face à lui.

 

— Déshabille-toi ! me dit-il sèchement, tout en attrapant son verre de vin.

 

 my dream !" putain ! fais-toii voir dit Claude, toujours aussi cash.   

J’enlève donc doucement mes quelques vêtements. Il me dévore des yeux. J’ai cette sensation bizarre de n’être pas plus qu’un morceau de viande à ses yeux, c’est embarrassant mais très excitant EN MEME TEMPS. Me voilà nu comme un ver face à mon dominateur. Il ne me regarde pas en parlant :

 

— En voilà une jolie bite, et tu bandes déjà, mon salaud ! Je savais que tu aimerais me sucer. À moi, maintenant.

 

Claude pose son verre, se met à genoux face à moi et gobe ma queue d’un seul coup. Il suce vraiment très bien, je gémis déjà sous ses coups de langue, mon plaisir monte très vite, la fellation continue un peu et je ne tarde pas à exploser. Claude s’est dégagé juste avant et me fait éjaculer dans sa main. Mon sperme fourni en abondance coule entre ses doigts, mais il en garde un maximum dans le creux de son immense main.

 

— Tu as bien fait de juter autant, ça va pouvoir me servir de lubrifiant, me dit-il en souriant.

— Comment ça ?

— Eh bien pour te baiser, bien sûr !

— Je pensais attendre le retour de Marc pour aller plus loin ! En fait, on en a déjà fait beaucoup, là.

— Ecoute, dans tous les cas, je vais te baiser ce soir, avec Marc. Je veux t’essayer avant, pour connaître un peu ton corps et tes réactions. Tu dois être gentil avec moi et je n’aime pas qu’on me dise non. Alors va dans la chambre et attends. Je prends une capote et j’arrive.

 

Claude est très directif. Comme l’objet sexuel qu’il m’a fait devenir en si peu de temps, je fais ce qu’il me dit ou plutôt m’ordonne.

Je suis assis sur le lit, quand Claude arrive, complètement nu, une petite sacoche à la main.

 

— C’est toutes tes capotes, ça ?

— Tais-toi ! Pourquoi es-tu assis ? Mets-toi à quatre pattes.

 

Je m’exécute dans le plus grand silence, j’espère qu’il ne sera pas trop brutal, quand même, mon petit cul a besoin de douceur aussi.

 

Claude me regarde en cette position de totale soumission. Il a toujours mon sperme dans la main. À l’aide de deux doigts, il en étale sur mon anus. Très vite un doigt me pénètre, puis un deuxième. J’ai affaire à un expert, mon trou est bien lubrifié, dilaté progressivement et j’ai déjà envie d’y sentir cette belle bite noire, même si sa largeur me fait un peu peur.

 

Claude se penche au-dessus de moi, en enfonçant ses doigts bien au fond de mon cul.    

— Ça y est, ma chérie, tu es prête à me recevoir, me dit-il à l’oreille.

 

  Je suis comme une poupée gonflable pour lui. À aucun moment il ne se soucie de mon avis, il me baise comme il en a envie et je dois me laisser faire.  

 

Claude se redresse, sort ses doigts de mon intimité et attrape une capote. Je reste là, le visage contre le lit, les bras le long du corps, de mon anus coule mon propre sperme. Je me sens flotter, comme dans un monde parallèle. J’attends mon sort, les fesses en l’air, pendant que Claude enfile une capote.

  — Vas-y doucement, lui dis-je.  

— Non, je ferai comme j’ai envie et tu vas aimer ça, c’est compris ? tout de suite, montre-moi ton trou de balle.    

 

 

Je ne réponds pas et m’attends à le recevoir brutalement, d’un instant à l’autre. À ma grande surprise, Claude s’approche assez doucement de moi, pose son gland sur mon trou et le rentre lentement par mon anus. Je suis un peu soulagé, le gland me paraît énorme, mais il arrive à entrer complètement, sans vraie douleur. Mon plaisir monte doucement. Quand Claude pousse d’un coup sec sa queue dans mes entrailles, j’en ai le souffle coupé. En moi jusqu’à la garde, il commence des va-et-vient de plus en plus prononcés. Que c’est bon ! Sa bite énorme me remplit complètement, ses testicules battent les miens en rythme et je hurle mon plaisir à chaque coup de reins.

 

Claude me tient fermement par les hanches. Je n’en peux plus, je me redresse sur mes bras pour sentir encore mieux sa bite, quand il m’attrape les cheveux et me tire en arrière contre lui. Mes bras ne touchent plus le lit, Claude passe son autre main sous mon ventre pour me maintenir dans cette position. Sa bouche est maintenant contre mon oreille.

  Image associée 

— T’es vraiment un bon coup, toi. Là, c’est juste pour t’essayer, mais tu vas voir ce soir, ce que je vais lui mettre, à ton joli petit cul.

 

Je suis une poupée de chiffons entre ses mains, il me place comme il veut ; car en plus d’être plus grand et plus fort que moi, sa bite ancrée au plus profond de moi me soumet totalement au plaisir qui m’envahit. La main sur mon ventre descend sur ma queue prête à exploser et la branle vigoureusement. J’éjacule sur le lit et sur la main de Claude. Il l’essuie sur ma bouche pour se nettoyer.

 

— Tiens, goûte ton sperme, petit cochon, il est bon, hein ? Bon, tu vas goûter le mien et j’en aurais fini avec toi.

 

Claude se retire et me pousse dédaigneusement sur le lit. Je me relève pour m’asseoir. Je vois Claude se branler. Il place sa queue juste devant ma bouche en s’astiquant de plus en plus. Je lui lance un regard implorant et ouvre timidement la bouche. Une giclée de sperme me recouvre presque la moitié du visage, Claude tient ma tête d’une main et plonge sa queue dans ma bouche pour y déverser le reste de sa semence, dans un grognement. Ma bouche est remplie, je ne réfléchis pas trop et avale ce sperme tout chaud, pour pouvoir aisément nettoyer cette bite gluante et source d’autant de plaisir.

  Marc est de retour.  

Je suis encore en train de sucer Claude, quand on entend la porte d’entrée s’ouvrir.      

— On est ici, dit Claude.    

Je suis gêné que Marc me retrouve ainsi, visiblement soumis à son ami, comme une petite chose fragile et faible qui vient de se faire enculer.

  — Vous avez fait connaissance, à ce que je vois.  

— Je suis désolé, je voulais t’attendre, mais Claude a insisté…

— Ce n’est rien, et connaissant Claude, tu n’as pas dû avoir tellement le choix non plus, n’est-ce pas ?

— Heu… oui, il m’a un peu forcé au début, mais j’ai bien aimé en fait, ça a accentué mon plaisir, je crois.

 

Marc me regarde malicieusement

 

— J’espère bien ! C’était ton phantasme, quand même !

— Quoi ! Heu… oui, c’est vrai, mais…

— Ne dis rien : j’avais demandé à Claude de faire comme ça. Tu ne m’en veux pas, j’espère ?

— Non, pas du tout, j’ai adoré et il ne m’a rien fait de désagréable, c’était vraiment super !

— C’est vrai ? me demande Claude. Je n’y ai pas été trop fort ?

— J’ai été très surpris, mais je pense que c’est à peu près comme ça que j’imaginais la chose. Bon, je vais me laver, parce que tu m’en as mis partout, et je vous rejoins au salon.

— Attends, je t’accompagne !

 

Claude se joint à moi pour cette douche plus que nécessaire. Nous discutons un peu et il me dit avoir adoré « jouer » avec moi, qu’il est plus passif, d’habitude. Cette remarque m’amuse, car il est vraiment très convaincant, en actif dominateur… mais ce n’est pas tombé dans l’oreille d’un sourd.

 

Nous finissons de nous laver mutuellement et allons terminer nos verres de vin. L’heure avancée et ces exercices nous ont ouvert l’appétit. Marc n’a pas mangé non plus. Nous sortons donc dîner tous ensemble.

 

Il faut prendre des forces : ce n’est que le début de la soirée et Marc n’a pas encore eu son plan à trois en cadeau… Encore une chaude soirée en perspective !

 


NOTES : http://revebebe.free.fr/histoires/rvb095/reve09587.html 

Par PHOLIUS revebebe - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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