Partager l'article ! L'INVITE->Pas le choix ! il m’a un peu forcé au début, mais j’ai bien aimé en fait, ça a accentué mon plaisir, je crois.: un plan à ...
un plan à trois qui tourne en coup monté - un bon coup par ailleurs -c'est un grand pas de franchi : je me donne à un autre que Marc
nous étions deux amis, deux minets, et Marc et moi nous aimons. Avec ce qu'il me donne, je peux me considérer comme très favorisé.C'est déjà toute une histoire ! Mais les fantasmes aidant, je...
Marc et moi nous entendons très bien. On ne prétend pas être ensemble, mais nous sommes amants depuis environ trois mois et tout se passe bien. Nos relations sexuelles sont extraordinaires, nous inversons souvent nos rôles et personne ne sait qui finira dominant ou dominé. Certes, à ce petit jeu, Marc est très fort : il est mon dépuceleur et nos expériences n’ont rien de comparable, mais j’apprends vite et ne manque pas de le lui prouver dès que j’en ai l’occasion.
Nous aimons beaucoup discuter, surtout après une nuit mouvementée. Nous parlons forcément de sexe, c’est un sujet inépuisable et j’aime tellement ça…
La discussion s’oriente tout naturellement vers nos phantasmes. Je suis allongé sur le côté, je regarde Marc en fumant ma cigarette. Je me remémore mes premiers phantasmes homos…
— J’aime bien m’imaginer complètement soumis à un homme, lui dis-je.
— C’est un classique, mais on l’a réalisé plusieurs fois, celui-là !
— Oui, mais c’est un jeu, tu ne me forces pas vraiment… heureusement d’ailleurs ! En fait, plus jeune, j’imaginais ça en me branlant. Cette sensation d’être un jouet, soumis complètement au désir d’un inconnu, forcé de se laisser donner un plaisir brutal. J’imagine ça très jouissif, rien de vraiment désagréable bien sûr.
— Hum, très bon phantasme, en effet, et avec un joli petit cul comme le tien, ça ne doit pas être trop dur à trouver, un inconnu qui ait envie de te baiser.
— Pourquoi dis-tu ça ?
— Si un jour tu veux réaliser ce phantasme, je dois pouvoir trouver d’anciennes relations qui pourraient t’aider, voilà tout.
— Je n’en suis pas encore là, dis-je, un peu surpris. Mais j’y penserai. À toi, maintenant : qu’est-ce qui plairait à un petit pervers comme toi ?
— J’aimerais faire l’amour à trois… et voir un autre que moi te baiser, mais ça en fait un peu partie.
— C’est un classique aussi, mais je reconnais bien ta petite touche personnelle de mateur.
— D’ailleurs, si tu ne sais pas quoi m’offrir pour mon anniversaire…
— Eh bien voyons ! C’est dans deux semaines, je ne sais pas encore si j’ai envie de faire ça, tu sais.
— Allez, s’il te plaît, pour me faire plaisir…
Une main a déjà rejoint mon sexe et commence à l’exciter. Marc me lance un regard empreint de douceur, presque suppliant. Ma queue est maintenant toute dure et se fait branler franchement.
Marc en approche ses lèvres, lui donne quelques coups de langue et la prend à pleine bouche.
Il s’applique vraiment beaucoup pour me faire l’une des meilleures pipes de ma vie. Une main masse délicatement mes boules pendant que l’autre astique ma verge juste comme il faut. Je sens que je vais déjà éjaculer et Marc aspire ma bite encore plus fort. Il l’enfonce au plus profond de sa gorge quand il me sent venir et j’éjacule abondamment dans sa bouche.
Marc se redresse, avale mon sperme en me regardant (il avale rarement) et, avec un petit sourire en coin, me demande si je me suis décidé.
Que voulez-vous que je lui réponde ? Je n’ai jamais autant joui avec une simple pipe. Je redescends doucement, je lui réponds que c’était merveilleux et que c’est d’accord pour son cadeau d’anniversaire.
Le plan à trois : Marc a tout organisé : nous serons avec un certain Claude, sûrement un ancien amant, quelqu’un de parfait pour un trio, m’a-t-il dit. Je n’en sais pas plus, mais je fais confiance à mon chéri pour tout organiser parfaitement.
Nous avons choisi le week-end du 14 Juillet pour faire ce « goûter d’anniversaire ».
[Ratage ?] Nous attendons l’arrivée de Claude, quand Marc reçoit un coup de téléphone. Il me dit devoir s’absenter une petite heure à cause d’une urgence à son travail ou quelque chose comme ça.
Claude arrive à ce moment. Il est impressionnant, black, 1m90 minimum, musclé et en plus avec une belle gueule.
Marc l’embrasse, lui explique qu’il doit partir pour une urgence mais qu’il revient très vite, puis s’adresse à moi :
— Claude est un très vieil ami, tu vas voir, il est vraiment très bien… Faites connaissance, mais essayez de m’attendre pour commencer les festivités, je fais vite. (Il claque la porte)
— Qu’est-ce que tu bois Claude ?
— Comme toi.
— Bon, deux verres de vin, alors !
Nous nous installons tous les deux dans le canapé, en nous détaillant de la tête aux pieds.
— Alors je te plais ? me lance Claude.
— Heu… oui, je te trouve très beau et bien fait, c’est vrai.
— Et encore tu n’as pas vu mon engin, tu vas l’adorer.
Pour un premier contact, c’est un peu cru à mon goût, mais je ne dis rien, c’est l'ami de Marc, et ce n’est pas bien grave non plus.
— Et toi, comment t’es foutu ? Fais voir !
— Attends, chaque chose en son temps ! On pourrait discuter un peu avant, apprendre à se connaître un minimum, non ?
— C’est inutile, Marc t’a bien dit d’être gentil avec moi, non ? Allez, viens à côté de moi.
Claude me tire à lui, il caresse mon visage et embrasse mon cou. Je suis bien obligé de me laisser faire : il est là pour ça, après tout, et je ne veux pas décevoir mon chéri non plus.
Claude déboutonne son pantalon et en sort une belle bite noire d’une bonne vingtaine de centimètres. Elle est encore en train de gonfler.
Il chuchote à mon oreille :
— Tu as vu ce que j’ai pour toi ? Suce-moi, maintenant.
Sa main passe derrière ma nuque, il me tient fermement tout en dirigeant ma tête vers son sexe. Je ne peux pas résister, et même si je le voulais, Claude est beaucoup trop fort pour moi. Je pose mes mains sur sa cuisse.
— Attends, attends… Je vais te sucer, mais laisse-moi prendre mon temps, s’il te plaît.
— Bon, d’accord, vas-y, je te regarde.
Claude a lâché ma nuque. Je me saisis de son membre qui semble bien large. Je commence des va-et-vient avec ma main, tout en approchant ma bouche du gland. Je le saisis avec les lèvres, puis le fais glisser entièrement dans la bouche ; je lèche, je pompe, j’aspire…
Claude m’attrape par les cheveux pour que je lâche prise, je laisse donc échapper sa queue et il tire ma tête vers le haut, me tourne face à lui et écrase ses lèvres sur les miennes.
— C’est un bon début, tu es doué, petit. Mets-toi debout, maintenant, je voudrais te goûter.
Claude m’aide un peu brusquement à me lever et me voilà debout face à lui.
— Déshabille-toi ! me dit-il sèchement, tout en attrapant son verre de vin.
my dream !" putain ! fais-toii voir dit Claude, toujours aussi cash.
J’enlève donc doucement mes quelques vêtements. Il me dévore des yeux. J’ai cette sensation bizarre de n’être pas plus qu’un morceau de viande à ses yeux, c’est embarrassant mais très excitant EN MEME TEMPS. Me voilà nu comme un ver face à mon dominateur. Il ne me regarde pas en parlant :
— En voilà une jolie bite, et tu bandes déjà, mon salaud ! Je savais que tu aimerais me sucer. À moi, maintenant.
Claude pose son verre, se met à genoux face à moi et gobe ma queue d’un seul coup. Il suce vraiment très bien, je gémis déjà sous ses coups de langue, mon plaisir monte très vite, la fellation continue un peu et je ne tarde pas à exploser. Claude s’est dégagé juste avant et me fait éjaculer dans sa main. Mon sperme fourni en abondance coule entre ses doigts, mais il en garde un maximum dans le creux de son immense main.
— Tu as bien fait de juter autant, ça va pouvoir me servir de lubrifiant, me dit-il en souriant.
— Comment ça ?
— Eh bien pour te baiser, bien sûr !
— Je pensais attendre le retour de Marc pour aller plus loin ! En fait, on en a déjà fait beaucoup, là.
— Ecoute, dans tous les cas, je vais te baiser ce soir, avec Marc. Je veux t’essayer avant, pour connaître un peu ton corps et tes réactions. Tu dois être gentil avec moi et je n’aime pas qu’on me dise non. Alors va dans la chambre et attends. Je prends une capote et j’arrive.
Claude est très directif. Comme l’objet sexuel qu’il m’a fait devenir en si peu de temps, je fais ce qu’il me dit ou plutôt m’ordonne.
Je suis assis sur le lit, quand Claude arrive, complètement nu, une petite sacoche à la main.
— C’est toutes tes capotes, ça ?
— Tais-toi ! Pourquoi es-tu assis ? Mets-toi à quatre pattes.
Je m’exécute dans le plus grand silence, j’espère qu’il ne sera pas trop brutal, quand même, mon petit cul a besoin de douceur aussi.
Claude me regarde en cette position de totale soumission. Il a toujours mon sperme dans la main. À l’aide de deux doigts, il en étale sur mon anus. Très vite un doigt me pénètre, puis un deuxième. J’ai affaire à un expert, mon trou est bien lubrifié, dilaté progressivement et j’ai déjà envie d’y sentir cette belle bite noire, même si sa largeur me fait un peu peur.
Claude se penche au-dessus de moi, en enfonçant ses doigts bien au fond de mon cul.
— Ça y est, ma chérie, tu es prête à me recevoir, me dit-il à l’oreille.
Je suis comme une poupée gonflable pour lui. À aucun moment il ne se soucie de mon avis, il me baise comme il en a envie et je dois me laisser faire.
Claude se redresse, sort ses doigts de mon intimité et attrape une capote. Je reste là, le visage contre le lit, les bras le long du corps, de mon anus coule mon propre sperme. Je me sens flotter, comme dans un monde parallèle. J’attends mon sort, les fesses en l’air, pendant que Claude enfile une capote.
— Vas-y doucement, lui dis-je.
— Non, je ferai comme j’ai envie et tu vas aimer ça, c’est compris ? tout de suite, montre-moi ton trou de balle.
Je ne réponds pas et m’attends à le recevoir brutalement, d’un instant à l’autre. À ma grande surprise, Claude s’approche assez doucement de moi, pose son gland sur mon trou et le rentre lentement par mon anus. Je suis un peu soulagé, le gland me paraît énorme, mais il arrive à entrer complètement, sans vraie douleur. Mon plaisir monte doucement. Quand Claude pousse d’un coup sec sa queue dans mes entrailles, j’en ai le souffle coupé. En moi jusqu’à la garde, il commence des va-et-vient de plus en plus prononcés. Que c’est bon ! Sa bite énorme me remplit complètement, ses testicules battent les miens en rythme et je hurle mon plaisir à chaque coup de reins.
Claude me tient fermement par les hanches. Je n’en peux plus, je me redresse sur mes bras pour sentir encore mieux sa bite, quand il m’attrape les cheveux et me tire en arrière contre lui. Mes bras ne touchent plus le lit, Claude passe son autre main sous mon ventre pour me maintenir dans cette position. Sa bouche est maintenant contre mon oreille.
— T’es vraiment un bon coup, toi. Là, c’est juste pour t’essayer, mais tu vas voir ce soir, ce que je vais lui mettre, à ton joli petit cul.
Je suis une poupée de chiffons entre ses mains, il me place comme il veut ; car en plus d’être plus grand et plus fort que moi, sa bite ancrée au plus profond de moi me soumet totalement au plaisir qui m’envahit. La main sur mon ventre descend sur ma queue prête à exploser et la branle vigoureusement. J’éjacule sur le lit et sur la main de Claude. Il l’essuie sur ma bouche pour se nettoyer.
— Tiens, goûte ton sperme, petit cochon, il est bon, hein ? Bon, tu vas goûter le mien et j’en aurais fini avec toi.
Claude se retire et me pousse dédaigneusement sur le lit. Je me relève pour m’asseoir. Je vois Claude se branler. Il place sa queue juste devant ma bouche en s’astiquant de plus en plus. Je lui lance un regard implorant et ouvre timidement la bouche. Une giclée de sperme me recouvre presque la moitié du visage, Claude tient ma tête d’une main et plonge sa queue dans ma bouche pour y déverser le reste de sa semence, dans un grognement. Ma bouche est remplie, je ne réfléchis pas trop et avale ce sperme tout chaud, pour pouvoir aisément nettoyer cette bite gluante et source d’autant de plaisir.
Marc est de retour.
Je suis encore en train de sucer Claude, quand on entend la porte d’entrée s’ouvrir.
— On est ici, dit Claude.
Je suis gêné que Marc me retrouve ainsi, visiblement soumis à son ami, comme une petite chose fragile et faible qui vient de se faire enculer.
— Vous avez fait connaissance, à ce que je vois.
— Je suis désolé, je voulais t’attendre, mais Claude a insisté…
— Ce n’est rien, et connaissant Claude, tu n’as pas dû avoir tellement le choix non plus, n’est-ce pas ?
— Heu… oui, il m’a un peu forcé au début, mais j’ai bien aimé en fait, ça a accentué mon plaisir, je crois.
Marc me regarde malicieusement
— J’espère bien ! C’était ton phantasme, quand même !
— Quoi ! Heu… oui, c’est vrai, mais…
— Ne dis rien : j’avais demandé à Claude de faire comme ça. Tu ne m’en veux pas, j’espère ?
— Non, pas du tout, j’ai adoré et il ne m’a rien fait de désagréable, c’était vraiment super !
— C’est vrai ? me demande Claude. Je n’y ai pas été trop fort ?
— J’ai été très surpris, mais je pense que c’est à peu près comme ça que j’imaginais la chose. Bon, je vais me laver, parce que tu m’en as mis partout, et je vous rejoins au salon.
— Attends, je t’accompagne !
Claude se joint à moi pour cette douche plus que nécessaire. Nous discutons un peu et il me dit avoir adoré « jouer » avec moi, qu’il est plus passif, d’habitude. Cette remarque m’amuse, car il est vraiment très convaincant, en actif dominateur… mais ce n’est pas tombé dans l’oreille d’un sourd.
Nous finissons de nous laver mutuellement et allons terminer nos verres de vin. L’heure avancée et ces exercices nous ont ouvert l’appétit. Marc n’a pas mangé non plus. Nous sortons donc dîner tous ensemble.
Il faut prendre des forces : ce n’est que le début de la soirée et Marc n’a pas encore eu son plan à trois en cadeau… Encore une chaude soirée en perspective !
NOTES : http://revebebe.free.fr/histoires/rvb095/reve09587.html
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