SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES

Vendredi 6 juillet 5 06 /07 /Juil 06:43

      Image associéeQuand je vais vous dire que ma bite fait 20/6, ça ne va pas vous surprendre outre mesure. Il y en a d'autres ! mais moi mon gros zob est pointu au niveau du gland et fait 8 cm à la base. Je sais que la progressivité des augmentations de diamètre en fait un outil de jouissance extrême  et c'est pour ça que je suis recherché : à la suite de quoi je cherche un homologue, mais je ne l'ai pas trouvé. J'aimerais pourtant me faire piner moi aussi par un 20/2->/5->/8, pour savoir l'effet que je produis à mespartenaires. Mes partenaires passifs m'ont rendu jaloux ! -lol- ...mais je me résigne et je m'amuse en attendant... 

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           jetjrCONFIDENCES : Déjà, quand le gars est pris par ma grosse, il ne peut plus avoit envie que je ressorte, vu les 8 cm de diamètre à la base qui à chaque poussée lui font pousser  le cri de la première fois.  J'aimerais-en plus- avoir un pénis qui enfle pendant la baise, à un point que le gars une fois pris ne puisse plus se dégager (on en a l'exemple sous forme de gode gonflable qu'on ne peut plus ressortir) mais je veux du naturel ! -lol-       

    Résultat de recherche d'images pour "in the shape of a penis" aucune de ces représentations ne convient à ma bite qui est longue, TRES épaisse à la base et fine et trompeuse au"sommet" puisqu'elle fait -de haut en bas-  20/2->/5->/8

 Vié de baleine, le mien est homotétique, mais 20 cm de long  

Vrai penis de baleine (Copenhagen Botanical Gardens): 

moi c'est pareil mais version 20 cm fin au bout pour qu'on ait envie que ça rentre...la surprise vient après  

 

     

    Récit :     ...25 cm en pyramide dans son... 

  Il a crié alors que je faisais monter ma bite dans son petit cul musclé, pilonnant en lui, tout en le serrant "à mort"par les épaules, le plaquant dans le lit avec mes poussées puissantes, ma bite grossissant et durcissant avec ma passion folle. Ses grognements et ses cris de surprise ne me firent que le pilonner de plus en plus fort; mes couilles tapant contre les siennes qui pendaient derrière lui, puis je m'arrêtai et je gardai ma bite moulée  dans son  conduit, mes hanches se mouvaient dans une cadence folle à la poursuite de mes courtes respirations haletantes. Ses sanglots se faisaient plus doux maintenant.

"Dis-le-moi que tu veux être baisé plus hard  salope. Dis-le moi !" Tandis que mes mains passaient de ses épaules à ses hanches Je m'agrippai davantage à lui , mes doigts s'enfonçant dans ses chairs. Il a gémi. Brusquement je l'ai giflé en travers du cul, laissant une autre marque de main rouge vif qui resterait là pendant des heures. "Si tu en veux plus il faut me supplier." Ai-je dit d'un ton qui se voulait sans concession.

-"S'il te plaît, baise-moi plus, oooohhhhhhh, oui, s'il te plaît, fais-moi mal avec ta grosse bite, donne-moi tout ton sperme, je veux ton énorme bite enfouie tout le long, tout au fond dans mon cul ... Baise-moi plus "hard" ... oooooh, "Murmura-t-il alors qu'il poussait ses fesses contre contre ma queue.
 credo : 
   
J'ai souri. Je n'arrivais pas à croire ce que j'entendais alors que je ne connaissais même pas cette magnifique salope-baiseuse 2 heures avant.

-"Je m'ennuyais, ma femme était hors de la ville et j'avais besoin d'un homme qui me fasse l'amour de la pire façon. Ayant été gay, pute au placard depuis le collège, quand on m'a parlé de me marier et de prendre la relève de l'entreprise familiale,
  Alors, maintenant, ce que je veux c'est me payer une bonne bite plusieurs fois par semaine dans l' établissement de bains que j'ai trouvé sur le web à moins de 100 bornes de notre petite ville et l'endroit idéal pour vivre et élaborer mes fantasmes loin des regards indiscrets".
                
>"généralementJe suis  un passif très reconnaissant. Plus la queue est grosse et épaisse, plus heureux je suis !  et j'attache beaucoup de prix à faire un bon "repas" avec une bonne queue et consommer tout le sperme que je peux avaler. Mais il y a  aussi des jours où j'aime moi même défoncer des culs serrés. Aujourd'hui, ce serait le cas le plus exemplaire...
                
 >"En arrivant j'ai payé mon entrée à la réception et j'ai commencé à déambuler devant les box déjà occupés et d'où sortaient des bruits de succion et de claques accompagnés de cris de plaisir. Comme je passais devant un box, il y avait ce que je pensais être un jeune garçon allongé sur la banquette, son cul blanc en l'air, attendant une bonne bite pour donner à son petit cul une bonne baise. Mais je ne lui donnais pas plus de 14 ou 15 ans et je ne pouvais pas croire qu'ils l'aient laissé entrer et que personne n'intervienne pour le faire sortir. 
Les "chambres" sont louées pour la journée, je suis passé devant lui et je suis entré dans la mienne, aussitôt j'ai glissé hors de mes vêtements et j'ai enroulé une serviette autour de ma taille suis retourné vers le box du garçon. "Qu'est-ce que tu fais ici," demandai-je en entrant dans sa chambre. "Il faut avoir 18 ans pour entrer ici."
Ce beau jeune homme se retourna en riant et s'assit en face de moi. Il était blond, frisé et n'avait pas de poils . Sa queue plutôt mince et bandée se détachait de sa peau nue, ses jambes étaient évidemment rasées. Je pouvais voir que ses aisselles étaient également rasées. Il avait le visage d'un ange. Il ne devait pas, à mon avis peser plus de 45-50 kg tout habillé. Il mesurait à peine 1,60m  et ses pieds pendaient en l'air de la banquette par-dessus le sol.

-«J'ai 20 ans et j'ai dû le prouver avec mon permis de conduire pour entrer ici. Je suis juste un gentil petit mec qui adore se faire baiser la bouche et baiser le cul... Bien profond, bien dur et bien "trash". Si tu es entré ici c'est que tu veux profiter un peu de ce jouet, n'est-ce pas? " Il sourit et tendit la main pour défaire ma serviette. Ma queue était comme une barre d'acier, droite et tendue. Il m'a attiré vers lui et a rapidement porté sa bouche à mon gland rouge vif, léchant le pré-sperme qui coulait de ma fente baveuse. Une main a caressé  ma bite à longs coups, la tirant vers sa bouche humide. De l'autre main il a saisi mon sac suspendu et a commencé à masser mes couilles douloureuses du fait de mon extrème tension. En quelques secondes il avalait la bite et je la poussais dans sa bouche gourmande aussi fort et loin que possible.
Ses mains agrippaient maintenant mes fesses et bientôt il pressait son visage contre mon ventre, les 20 cm de ma bite enfoncés jusqu'à la garde dans son gosier. 

 

     >A quel point c'était bon je ne pouvais pas le croire . C'était le 'petit garçon' le plus excité, le plus affamé, le meilleur pour les gorges profondes que j'aie jamais rencontré. Lors de mon meilleur exploit, même quand j'étais un débutant très enthousiaste, je ne pouvais pas prendre une bite pareille aussi vite, aussi profond.
    
Ce jour là je me souviens que j'étais dans un tel manque que je pouvais sentir le sperme s'accumuler dans mes couilles. J'étais tellement excité que je suis presque venu dans ma voiture pendant le trajet. Et là il faisait maintenant glisser mon sexe de long en large ... Je l'ai saisi par la tête et j'ai commencé à le marteler à coups de queue,  mes couilles se balançant sous son menton et en le giflant à la gorge, je lui mordillais aussi le visage et les oreilles en mordant la figure. Je devenais fou et le baisais sans retenue, m'abandonnant à mes instincts ainsi qu'il le demandait, le tenant dans une poigne serrée, tenant sa tête à deux mains pour le pilonner, baisant son petit visage, le regardant fixement, le regardant avidement prendre ma longue queue entre ses lèvres minces et distendues, ses yeux brillants me regardant également fixement, faisant passer de tendres et confiants messages. La voix décousue que j'entendais en arrière-plan était la mienne, criant à ma garce de compagnon de jeux de prendre ma bite et sucer mon sperme .....

>Puis ma vue s'est brouillée et je l'ai perdu de vue, comme éjecté et volant " par dessus bord", le garçon soufflant pour ingurgiter le sperme accumulé dans sa gorge, salves de feu chaudes, longues cordes de ma passion l'inondant de mes jus, de mon énergie, de mes fluides de Vie. Finalement, il ne put en prendre davantage et commença à dégorger mon monstre, le jus suintant abondamment sur les côtés de sa bouche, le long de son menton et sur sa poitrine. Je me penchai et étalai un peu de mon sperme sur ses tétons roses et durcis. "Bon, après il faudra que je m'occupe un peu mieux de ces tétons " pensai-je. Il agrippa ma bite à deux mains et dispersa les dernières gouttes de mon jus en sortant mon gros zob encore gonflé et commença à le lécher proprement. Il leva les yeux vers moi, léchant le sperme encore brillant de ses lèvres. Je m'assis à côté de lui et le pris dans mes bras et nos bouches se rencontrèrent, affamés l'un de l'autre. Ma langue s'aventura dans les profondeurs de sa bouche goûtant mon sperme mêlé à sa douceur. Je m'étends maintenant sur lui, ses jambes écartées pour me laisser reposer contre la chaleur de son corps brûlant.

Je m'éloignai lentement de ses lèvres et léchai encore le sperme qui venait de sa gorge et goûtai bientôt ces délicieux mamelons alors qu'il enroulait ses jambes autour de mon corps et me tenait fermement dans ses mains. Comme un enfant il dit :- "Oh, mec, c'est si bon, adorable, rends ton petit salopard heureux, rends-moi heureux ... fais-le moi," dit-il en arquant son corps contre moi alors que je léchais et mordillais doucement ses doux tétons.

Je pouvais sentir sa bite dure contre ma poitrine et je m'y frayai un chemin, léchant la générosité pré-éjaculatoire des lèvres suintantes de son méat et puis suçant goulûment, lui rendant ce qu'il m'avait donné j'attaquai sa queue , j'y suis allé d'une succion gourmande et frénétique, prenant toute sa longueur encore et encore en plaquant ma tête dessus , en  et en poussant mon visage contre son ventre tendu et musclé à chaque descente de ma bouche et montée de son sexe en moi. Je voulais ses jus, je voulais sentir cette vague de jus d'homme exploser dans tout mon être par osmose et, en quelques minutes, mon petit homme arquait son bébé palpitant sur mon visage et criait alors que son jus éclaboussait et tapissait ma gorge.J'ai sucé sa bite jusqu'à ce qu'elle devienne molle et sèche.

Je roulai sur mon dos, l'amenant facilement sur moi, l'embrassant à nouveau et mélangeant nos sucs d'amour nos bouches et nos langues creusant dans le feu et la passion de notre accouplement urgent.

Mon sexe était dur comme un caillou et son cul continuait à pousser contre lui, pour se faire baiser. J'atteignis la petite table et pris une noisette de gel et attrapai son cul.

Il s'est levé pour moi et a chevauché ma poitrine, me procurant une  entrée plus aisée. Mes doigts ont trouvé son trou plissé et j'ai inséré EN MEME TEMPS
-lol- mon index et mon majeur. Laissez-moi penser qu'il était heureux quand je travaillais à la dilatation et à l'ouverture de son trou d'amour tandis qu'au- dessus de moi s poursuivaient les convulsions involontaires que lui imprimait ce que je lui faisais . Quand j'ai senti qu'il était prêt, le troisième doigt s'est glissé dedans et j'ai agité le doigt rapidement jusqu'à ce qu'il grognât et gémisse à mon propre rythme. J'ai travaillé son cul jusqu'à ce que j'eusse la moitié de ma paume à l'intérieur de lui. Il souffrait maintenant, mais il poussait de nouveau vers ma main, prenant tout ce que je pouvais lui donner. Maintenant, son cul était ouvert et il suppliait pour avoir la bite.

Voulant lui maintenir des sensation fortes, tout en levant les yeux vers lui j'ai retiré ma main et cela fit un petit bruit de bisou mouillé. Ses traits demeuraient impassibles sauf que  ses yeux étaient vitreux et des larmes coulaient sur son visage. "Oh, prends-le mon trou de bébé, s'il te plaît, s'il te plaît, s'il te plaît," murmura-t-il.

Je vous l'ai dit, il n'était pas lourd. Je le cueillis comme un fruit mûr, le soulevai, sous les bras, le maintains en l'air un instant au-dessus de mon venre et guidai son trou du cul prêt à revevoir ma bite. Dès que je sentis que mon gland  atteignait son chemin parsemé d'étoiles et glissait dans son trou noir béant, je l'envahis complètement, enfouissant ma bite en lui. Il gémit un peu, ses yeux encore vitreux et lointains. J'étais choqué de voir à quel point il semblait petit, assis là, empalé sur  le piston dema bite dure

Il grinçait des dents pour lutter contre la douleur alors que je poussais plus loin en lui, alors qu'il se collait contre moi, poussant contre ma queue. Je lui ai presque proposé qu'on arrête, mais bientôt je pouvais voir la douleur se dissiper un peu et mon épée est entrée à fond. Il a lentement commencé à bouger, glissant de haut en bas sur mon axe rigide. Je pouvais voir comment ma bite  entrait et sortait en lui, il gémissait doucement alors qu'il commençait à se détendre puis quand il se la prenait au plus profond et donc au plus fort diamètre, poussait un attendrissant petit cri de surprise mêlée de plaisir. Je le tenais mon petit bonhomme, jamais il n'oublerait ça. Sa queue était à nouveau dure, se balançant à chaque montée et descente de son corps. Je l'ai attrapé et l'ai serré fermement à la taille qui'il avait si fine, pendant qu'il commençait à prendre son rythme. Pour souligner ce ryhme et marquer qu'on jouait un duo, e commençai à grogner chaque fois qu'il me claquait ses fesses contre mes cuisses. Maintenant, il chevauchait le mustang au galop, baisant contre moi de tout son corps, se balançant d'avant en arrière sur mon bâton de baise, son visage rayonnant de faim, de désir et d'extase
 .
      
Avec la souplesse d'un chaton il se pencha au-dessus de moi, tendit la main vers ma bouche ouverte, haletant dans sa gourmandise pour en avoir plus. J'ai attiré ses lèvres sur les miennes et il s'est couché sur moi maintenant, ses jambes étirées le long des miennes, ma bite toujours enfouie profondément dans son cul brûlant et brisé. J'ai fait courir mes mains sur son corps, sa douceur, alors que nous unissions nos hanches ensemble dans un rythme né de nos passions.

Il s'est relevé et s'est mis dans une position de "push-up" et a commencé à pousser avec plus de force. Pousser de plus en plus fort contre ma bite maintenant, grognant et gémissant à chaque poussée. Mon sexe commençait à brûler chaque fois davantage de manière incroyable, alors qu'il jetait tout son corps contre moi. Je me demandais à combien d'allers et retours je pourrais résister avant de jouir.

Maintenant, je pouvais voir ma bite luisante et dure entre nos corps, glissant dedans et dehors, encore et encore. Son cul battait contre mes couilles et je pouvais sentir le feu "au navire", la douleur à la base de mes couilles chaque fois qu'il descendait. Ma bite et mon cul se tendaient de plaisir, et il commença à grogner bruyamment à chaque poussée. Sa queue giflait contre son ventre alors qu'il labourait contre moi dans une putain de folie frénétique. J'étais au paradis, et je pouvais sentir ma propre queue pulser de plaisir alors qu'elle glissait le long des murs intérieurs étroits de son puits d'amour, dans son joli cul. Mes mains étaient sur ses seins, massant la chair gorgée de sang à la surface tandis que je m'abandonnais aux pulsions les plus élémentaires de mon corps, poussant un rugissement de fauve tandis que les fluides se déchaînaient hors de moi et que mon jus chaud jaillissait de mon être profond dans ce  paradisiaque "jouet sexuel", où ma queue chérie se branlait contre lui pendant que je le toujours plus remplissais de mon amour.à chaque nouvelle giclée de sperme.                                                Sa propre queue commença à dégainer des cordes de sperme, me frappant au visage et à la poitrine alors qu'il expulsait ses propres sucs pour s'assortir à mon torrent de lave bouillonnante.
 

  Finalement, après que nos corps aient arrêté les secousses et les spasmes et que nous soyons "descendus" comme on descend d'un trip de drogue,  de notre fantastique orgie de satisfaction sexuelle, il est retombé sur moi et nous nous sommes endormis, épuisés par nos rapports sexuels. Ma queue était toujours dans son corps merveilleux, ses lèvres sur les miennes. Nous restons ainsi longtemps à nous éveiller alors que ma douce queue apaisée et ramollie sort enfin de son nid d'amour. Une quantité de sperme a coulé de son trou de chatte sur ma bite et mes couilles.

Il a tourné son corps dans une position 69 et a commencé à me laver en me léchant pour me mettre propre. J'ai commencé à répondre, en léchant ses propres boules encore pleines de sperme et sucé sa verge jusqu'à ce qu'elle se lève encore. Je suçais goulûment son gentil bâton, mes mains couraient le long de ses cuisses et de ses fesses glabres, si lisses et si blanches. Je pouvais sentir ses efforts de succion éveiller ma bite de nouveau affamée... Je souris en sentant à l'intérieur de moi-même que les choses remuaient.
Je l'ai changé de position et, en lui fourrant un oreiller dessous, j'ai voulu qu'il élève son ventre, le ramenant à la position où il était quand je suis passé devant sa porte. Il s'est rapidement plié, de nouveau avide de baise. Je regardais son joli cul, si étroit et si petit, si ouvert et prêt à se faire baiser. Ma queue était de nouveau bandée à faire mal, sa tête, petite, rouge vif, plus tendue encore que je ne l'avais jamais vue malgré sa minceur à ce niveau. Cela ressemblait à un coutelas prêt à déchirer le corps devant lui ! Son trou du cul était plissé et gonflé de la première baise et le sperme en sortait encore.

J'étendis ses jambes et le remontai par derrière, Là j'étais à nouveau comme l'animal en action que je vous ai décrit et que j'étais devenu. Je pressai ma queue qi écarta ses lèvres de chatte gonfles et me laissai tomber en lui, faisant mordre ma bite dans son trou d'amour avec un bruit de souffle. Il a poussé un cri de plaisir quand j'ai atteint son point chaud. Je le tenais là comme un jouet, par les hanches et je commençai, ma bite dure, glissant en lui, dedans et dehors avec environ un tiers de ma longueur, jouant avec son cul, le préparant pour une baise chaude, un long et jouissif parcours avant que je puisse jouir à nouveau.

Je me suis glissé jusqu'à ce que mon sexe soit complètement à l'intérieur et prêt à nous donner [à lui et à moi] la baise de sa vie. "supplie-moi , prie-moi de te baiser, pute adorée, supplie ma queue de baleine, mendie mon chaton ! mendie ! "

>-"Ahh, ah, ah, baise-moi , ohhhh, fais-moi mal avec ta bite enfouis-la dans mon ventre ... oh donne-moi, donne-moi encore ta semence. ", S'écria-t-il d'une voix rendue rauque par le plaisir.

Je me levai et brusquement déculai pour lui faire sentir le manque, puis je le biflai très fort de mon pénis qui avait repris son terrain et le pilonnait, mes couilles claquant contre les siennes alors que je l'enfonçais dans le lit avec ma poussée. Il hurla de douleur alors que ma queue pénétrait dans des profondeurs qu'il n'avait jamais aussi bien ressenties avant que le monstre ne reprenne et que je chevauche son cul minuscule jusqu'à ce que je perde la notion du temps et de l'endroit, tombant avec lui dans un rythme de luxure et de folie débridée. Je ne voulais pas faire souffrir mon ange, mais Par mes claques sur ses fesses et ses jambes  -ce n'était pas cruauté- je le faisais accéder à "l'inaccessible". Son cul et ses cuisses en étaient rouge vif. 

 

  J'admirais la beauté insensée du garçon qui gisait sous mes yeux, se prenant, absorbant plutôt, cette baise sauvage, ses phalanges blanches s'agrippant au lit, son visage rosi par l'épreuve, ses cheveux blonds emmêlés de sueur, geignant et haletant à chaque plongeon de ma bite dans les profondeurs de son être.

À un moment donné, je me suis senti flotter hors de moi-même, regardant ce "gamin" maigre alors que je chevauchais son cul avec ma monstrueuse queue d'adulte, l'écoutant gémir et lutter pour respirer pendant que je le martelais de mon amour féroce. Tandis que je tirais ma bite et la lui enfonçais, encore et encore, puis l'enfouissais profondément et la mariais complètement à sa chair, je pouvais voir un peu de sang se mêler au sperme.

Quelque part au milieu de notre extase, nos esprits et nous sommes allés en un lieu de brumes et de rivières et de hautes montagnes et quelque part en moi, je me souviens des jus qui se détachaient de nous et je volais dans les nuages ​​alors que je me vidais en lui. Je sentais que l'orgasme venait de la plante de mes pieds , de ma racine, et que j'étais dans une grande souffrance, quelque part là-bas alors que j'inondais son âme de mon être même, éclatait l'auroreaprès une explosion douloureuse alors que des parties de moi se détachaient de son être magique.

Je me suis réveillé plus tard, toujours au-dessus de son corps brisé et rempli, ma bite toujours implantée dans son cul, ses mains n'étaient plus serrées, mais détendues dans un état de paix endormie.¤
  

  Image associée  mon bébé, lit défait, se reposait doucement maintenant dans le nirvana où j'avaisi réussi à le mettre 

 

NOTES: Grosse bite baveuse, trait d'union entre les hommes

"Si vous n'aimez pas ça, n'en dégoûtez pas les autres
J' n'ai pas, sur ce point-là, le même avis que le vôtre
Quand c'est tout petit
C'est bien plus gentil
Quand y en a beaucoup
On n'en voit plus l' bout
D'ailleurs c'est toujours beaucoup mieux
De garder un juste milieu !"   

La chanson « Si vous n'aimez pas ça » a été interprétée par Maurice Chevalier          


Paroles de la chanson :

Pourquoi, plein d' dédain
Dites-vous "Je crois bien
Qu'elle a des p'tits seins" ?
C'est idiot!
Les p'tits seins, monsieur,
D'abord sachez-le
Cela tient beaucoup mieux
Que les gros
Puis on a l' plaisir
De les voir grandir,
Pousser, s'arrondir
Et bondir
Quoi d' plus ingénu
Que des seins menus
Et puis, monsieur, au surplus

Si vous n'aimez pas ça, n'en dégoûtez pas les autres
J' n'ai pas, sur ce point-là, le même avis que le vôtre
Quand c'est tout petit
C'est bien plus gentil
Quand y en a beaucoup
On n'en voit plus l' bout
D'ailleurs c'est toujours beaucoup mieux
De garder un juste milieu !
Si vous n'aimez pas ça, n'en dégoûtez pas les autres
J' n'ai pas, sur ce point-là, le même avis que le vôtre
Enfin pour la mode
C'est bien plus commode
Pour danser l' shimmy
C'est bien plus mimi
Si vous n'aimez pas ça, n'en dégoûtez pas les autres

L'autre jour, silence dans un restaurant
Où pour trois cents francs
On mange peu
En plein dans l' potage
Charmant badinage
Qu'est-ce que j' vois qui surnage ?
Un cheveu !
Je crie au garçon
"Quelle dégoûtation !
Regardez mieux, voyons, votre bouillon !"
Du doigt m' désignant
Autour ses clients
Il me dit en souriant

Si vous n'aimez pas ça, n'en dégoûtez pas les autres
Qu'ils mangent leur consommé si vous n' voulez plus du vôtre
Sans en avoir l'air
Avec votre cuiller
Poussez-le dans l' coin
Pour qu'on n' le voie point
Pourquoi donc pour un cheveu tout p'tit
De tout l' monde couper l'appétit ?
Si vous n'aimez pas ça, n'en dégoûtez pas les autres
Qu'ils gardent leurs illusions si vous n' voulez plus des vôtres
À la réflexion
Un très bon bouillon
A toujours des yeux
Pourquoi pas des cheveux ?
Si vous n'aimez pas ça, n'en dégoûtez pas les autres !

La saison dernière
Dans un trou pas cher
J' prenais mes bains d' mer sans maillot
D'ailleurs, à quoi bon
Porter un caleçon
Voir un joli garçon, c'est plus beau (hum !)
J' prenais donc mes aises
Quand une vieille Anglaise
Tout à coup surgit
Et rugit
"Oh, fit-elle, mon Dieu !
Comme c'est affreux !"
J' répondis d'un air gracieux

Si vous n'aimez pas ça, n'en dégoûtez pas les autres
Les beautés d' votre pays sont-elles différentes des nôtres ?
Dans mon p'tit complet
Qu'est-ce qui vous déplaît ?
Je vous en supplie
Voyez-vous un pli ?
Car je m'aperçois qu' vos yeux tiquent
Sur un endroit de ma plastique
Si vous n'aimez pas ça, n'en dégoûtez pas les autres
Vous n'avez pas c' truc-là probablement sur la vôtre
C'est un grain d' beauté
Je peux pas l'ôter
Il est mal placé
Mais il plaît assez
Si vous n'aimez pas ça, n'en dégoûtez pas les autres !   Maurice Chevalier
Par CAVAILLONGAY copyright - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 1 juillet 7 01 /07 /Juil 15:19

c'est le perdant qui se fait baiser au sens propre.(sale si vous voulez -lol- )et le gagnant qui baise... 

 

 

Chez-nous quand-à la pétanque- on perd les deux parties et la belle on doit baiser Fanny.Résultat de recherche d'images pour "baiser fanny" C'est souvent matérialisé dans un coin du bar par le cul d'une pin-up  escagassante comme on dit ici et qu'on doit s'humilier à biser. Rien de bien sérieux et ça reste très hygiénique. Dans ce bar du quartier chaud d'où je vous parle, la règle est à l'inverse : il y a bien profanation d'un cul mais  ce n'est ni imaginaire ni virtuel c'est le perdant qui se fait baiser au sens propre.(sale si vous voulez -lol- )

 Parfois, il est excitant d'admettre que quelqu'un est meilleur que vous. Le sentiment écrasant de la défaite nous oblige à rechercher d'une manière désespérée l'approbation d'un mec pour lequel auparavant vous n'aviez aucune considération ni estime...  C'est comme ça que je me suis retrouvé à genoux la bouche grande ouverte suppliant le foutre chaud de Roger, conséquence de ma drague irréfléchie.

J'avais rencontré Roger  plus tôt ce jour là en jouant au billard dans le bar gay local où je vais souvent. Je ne suis pas vraiment un champion, mais j'aime le billard et je me considère comme un bon joueur. Si bon que je sois, j'ai découvert que Roger est meilleur que moi au billard et il a pris grand plaisir à nous enseigner, à moi et à mon cul, ce que cela signifie d'être «perdant».

C'était un samedi après-midi et le bar était vide à l'exception du barman, de quelques habitués et de Roger. Je jouais nonchalamment un jeu face à moi-même quand Roger, solitaire, juché sur son tabouret de bar , a commencé à me chahuter et se moquer de mes coups.

Ca n'était pas que Roger fût irrésistible et vous êtes témoin que c'est un homme moins qu'ordinaire, pas loin du marginal et du clodo. A trente-cinq ans, il commençait à perdre ses cheveux et avait un petit peu de ventre. Je le regardai avec colère et calculai son chaume paresseux, ses vêtements miteux et son attitude arrogante. Je l'ai immédiatement détesté. Je l'ai ignoré autant que possible, mais après quelques minutes d'être appelé "petite chienne", en colère, j'ai eu le courage la sottise de le défier pour une partie.

J'avais tort. J'aurais dû savoir que c'était un faiseur d'embrouilles toujours prêt à tricher. Nous avons convenu que le perdant paierait les boissons et quand le jeu a commencé Roger me sembla malchanceux et même inapte. J'ai facilement gagné les deux premières parties et je me considérais comme un vainqueur insolent buvant son whisky aux frais de Roger. Roger a alors acheté un autre lot de boules et a alors décidé d'augmenter le pari. J'étais ivre, confiant et prêt à prendre presque n'importe quel pari; alors quand Roger a dit qu'il paierait pour toute ma dépense si je gagnais, j'ai accepté. Puis il m'a dit en retour qu'il voulait m'enculer-fuck me-, j'ai ri. Comme je ne croyais pas pouvoir perdre, j'ai parié. Ben...

Roger a commencé le jeu et s'est mis à travailler de façon experte sur le tapis. J'ai compris que j'avais fait une erreur quand il a gagné le jeu en quelques minutes et m'a regardé avec un sourire effrayant. "Ce jeu est une vraie saloperie" dit-il avec un ironique mépris. J'étais bouleversé, je pouvais sentir mon visage devenir rouge d'embarras. "Mon 'terrier' est à quelques pâtés de maisons d'ici, dit-il, allons-y, à moins que tu ne veuilles augmenter les mises de notre pari et tes pertes. Révolté, luttant contre moi-même, je fermai ma gueule, et sortis du bar avec Roger, qui avait déjà commencé à me donner des claques sur le cul  et à m'empoigner les hanches.

Quelques minutes plus tard, j'étais dans le studio de Roger. L'endroit était sale et n'avait même pas de lit, juste un canapé où Roger, assis, me regardait me tenir maladroitement près de la porte. «Je vais te baiser comme une chienne, tu sais ça?» Dit-il avec un sourire sournois. "Bien sûr, chérie, que tu vas le faire, tu ne serais pas là si tu n'aimais pas les grosses queues qui éperonnent ton petit trou, et te font trémousser de plaisir." J'étais fou, furieux d'avoir perdu,  mais je pouvais sentir ma bite commencer à pousser dans mon pantalon, sachant très bien qu'il y avait une certaine vérité dans ce qu'il disait.
Roger sortit sa grosse bite à moitié dure et commença à se la caresser en me regardant dans les yeux. Mes yeux ne purent s'empêcher de se  tourner vers la bite grandissante de Roger. Je ne pouvais pas me contrôler et j'ai léché mes lèvres. «Allons, je sais que tu veux la regarder de plus près,» rit Roger, «mets-toi à genoux : tu vas goûter à la bite du vainqueur. La conversation vulgaire de Roger me  mettait dans une étrange colère comme je n'avais jamais éprouvé. J'aurais dû partir et je restais. a me rappelait cette bite d'Alain quand nous étions ados. Il avait une mauvaise hygiène mais l'envie de le sucer (et le reste) était plus  forte  !  Il n'y avait aucun honneur à "payer" cette dette de jeu au billard . Je voulais le frapper et le sucer tout en même temps. Je lui ai lancé un regard de mort alors que je marchais vers lui et posais mes mains sur ses cuisses tout en je m'agenouillant pour lui donner son plaisir. Il avait vraiment une bite triomphante. J'attrapai ses testicules qui pendaient bas et passai ma main sur sa longue tige veineuse. J'ai essayé de refermer ma main autour de son pénis et il m'était impossible de la refermer tout à fait. Je regardais fixement sa queue rose tendre, bombée et grandissante."Eh bien, qu'est-ce que tu attends?" Roger rapprocha sa bite de mon visage et la plaqua dessus.

Je sentis une poussée d'adrénaline m'envahir et commençai à faire tourbillonner ma langue autour du bout de sa queue. Celle-ci était si lisse, si sensitive, je ne pouvais pas croire qu'elle appartenait à un mec aussi louche que Roger. Je lui lançai un regard méchant tout en caressant sa hampe et papillotai ma langue sur le bout de sa queue. "Ouais chienne, fais ta salope". Dit Roger en rejetant la tête en arrière. L'ordre de Roger réveillait soudain mon courage. Je me sentais vraiment bien tout d'un coup et j'ai commencé à me laisser aller à ma passion de la suce. Couché  J'avançai ma bouche et avalai davantage de la grosse bite de Roger.

 

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       Image associée J'étais aussi étonné que ce gars devant l'effort à fournir !  

-"Installe-toi 'mon chéri', allonge toi bien détendu, prends des respirations et ouvre ouvre grand surtoutImage associée

Image associée        Image associée  Image associée     Image associée  ouf quand même !  

Moi couché sur le canapé, lui debout,  J'ai lentement tourné la tête avec la queue de Roger dans ma bouche. Je l'ai ingurgitée de plus en plus profond jusqu'à ce que j'aie la nausée. Et là, j'ai dû arrêter par manque d'air. C'est vrai qu'elle est énorme la bite de Roger. Il manquait quelques centimètres pour une gorge profonde pubis-au-ras-des- lèvres.
    
Roger n'était qu'un connard. Il me disait "Allons, chérie, tu ne peux pas tout prendre? j'ai besoin de te baiser un peu la bouche avant de te baiser le cul". Roger m'a attrapé par les tempes et a poussé sa bite à fond. Il se retira puis recommença.

    Les les lèvres bien salivées ont couru le long de sa verge aller-retour jusqu'à ce que je sois prêt à nouveau à la gorge profonde. Je respirai profondément et descendis la queue tout le long dans ma bouche, réfrénant, réprimant mon réflexe nauséeux. Je me suis battu de plus en plus profondément je suis descendu et descendu, la parole coupée n'étant plus capable que de borborymes confus et de gémissements jusqu'à ce que mon menton touche ses couilles. -"Aww putain ouais, c'est mieux bébé, juste comme ça" Roger m'attrapa la tête et recommença à fourrer sa bite dure et tendue comme de l'acier dans ma bouche. Ça faisait du bien de lui faire plaisir, de rendre ce mec impoli tellement heureux, je travaillais et je transpirais. J'oeuvrais pour les paumés de ma ville -lol- Il se leva, enleva sa chemise, laissa tomber son pantalon. "Je veux voir ton cul maintenant chienne". Paumés ??? qui était le paumé là ?  

 

 

J'ai obéi à sa demande et je me suis déshabillé. Roger me pencha sur le canapé et commença à me lécher et à me frotter de la salive sur mon tendre trou du cul. Il m'a giflé le cul plusieurs fois et a commencé à travailler son doigt dans mes fesses. -«Je savais que j'allais avoir ce cul à la seconde même où j'ai posé les yeux sur toi chienne, tu étais si mignonne en pensant que tu pouvais me battre au billard» Tout en parlant il fourrageait mon cul maintenant avec deux doigts. -"Chiennes inconscientes c'est vous qui  avez les meilleurs trous du cul." Il se pencha et commença à frotter mes fesses tendrement. Il laissa échapper un grand gémissement d'excitation. Je me tenais les jambes écartées, branlant ma propre bite dure pendant que Roger chauffait mon cul, utilisant seulement de la sueur et du crachat comme lubrifiant. Quand je fus bien prêt, il a commencé à descendre. "Mmm, belle salope de cul, laisse-moi te voir danser comme la salope que tu es." Même moi, j'ai ri et j'ai claqué mon propre cul tandis que Roger applaudissait.


Roger écarta les jambes et se pencha en arrière, son long manche reposant magnifiquement sur son entrejambe. Il tendit la main vers >le tiroir de la table de nuit et en sortit du lubrifiant. "Ok perdant, prends ce coq prêt avec ta bouche parce que je vais punir ce cul et je sais que tu le veux dur." Je me levai avec empressement et m'allongeai le visage sur le canapé jambes demi pliées pour pouvoir sucer Roger et me lubrifier le cul EN MEME TEMPS  -lol- . J'ai commencé à sucer Roger sans faire attention alors qu'il tenait le lubrifiant au-dessus de mes fesses et le laissait s'égoutter lentement. Un délice d'attente exaspérée. Il l'a frotté le long de ma raie  jusqu'à ce que mon cul soit tout brillant et prêt à être baisé.

Roger m'a attrapé et m'a mis dans la position inverse : jambes toujours pliées, genoux vers le divan. Roger m'a aidé à me recroqueviller à fond, cul en position, et a lentement guidé sa bite vers mon trou. C'était presque un rêve jusqu'à ce qu'il dise, "Je vais baiser ce cul douloureux, parce que tu es le perdant douloureux, et les perdants doivent plaire à la bite du gagnant quoi qu'il leur en coûte". Et, là dessus, il s'est enfoncé dans mon cul. Ça m'a fait mal pendant un moment et j'ai gémi de douleur. Roger a ralenti sa poussée et a lentement commencé à travailler mon trou du cul. Je pouvais le sentir s'étirer et devenir de plus en plus coopérant à la bite de Roger. Au fur et à mesure que je reprenais mon souffle, j'ai commencé à pousser mon cul à la rencontre de la bite massive de Roger, mes couilles qui tapaient sur les siennes, ma bite qui coulait de mouille, mon visage rouge d'un feu d'extase pure. Roger a commencé à pomper et à pomper, je pouvais le sentir accumuler  une énorme éjac. Il gémit et ralentit. -"Mets-toi à quatre pattes."
 
J'ai rampé et fièrement mis mon cul en l'air en provoquant Roger. Roger s'est précipité et a recommencé à faire courir sa queue entre mes fesses. Roger m'a attrapé les cheveux et tout en me claquant aussi fort que possible. Je pouvais à peine l'entendre marmonner des monologues coquins sur mes gémissements de plaisir. Roger avait l'air un peu au bout de sa forme, mais il avait confiance en lui-même et, d'une main, il cherchait ma bite. J'ai rapidement craché ma charge dans le courant de ce torrent de baise. Roger cela ébranla la conviction de Roger qui ralentit  et me murmura à l'oreille: «Où veux-tu que je jouisse chienne?

Je ne sais pas quand j'ai décidé de faire cela, et cela ne faisait pas partie du pari, mais je savais que je voulais faire plaisir à tous ses fantasmes, dépasser ses attentes et gagner son respect. "Je veux que tu jouisses dans ma bouche, gagnant." J'ai crié. Roger appréciait cela et assurait de nouveau. Il a déculé et m'a retourné sur mes genoux. Son sexe planait au-dessus de mon visage. Je l'attrape et commence à le caresser furieusement.
    
 A ce moment-là, j'avais conscience que Roger m'avait bousculé, dégradé, et avait en quelque sorte profité de moi, mais je m'en fotais, le mélange d'émotions me rendait trop excité pour m'en soucier. Le fait que Roger m'avait pris pour un imbécile ne faisait que me rendre plus acharné. "S'il te plaît gagne complètement, donne-moi du sperme, je veux avoir tout ton sperme chaud," suppliai-je. Roger a largué une corde de sperme qui m'a frappé droit dans l'oeil gauche. Il a continué à jouir non pas dans ma bouche, mais sur mon visage, en me tapissant le front, le nez et le menton. Je l'ai attisé jusqu'à ce qu'il tire sa dernière giclée. Il prit sa longue bite à la base et bifla mon visage couvert de sperme comme s'il était peint. Je jouis de sa bite pendant un moment, mais il n'y avait aucun moyen que je puisse avaler toute sa charge. - «Tu vois, je savais que tu étais un peu trou-à-jus».  Son visage s'illumina enfin d'un sourire, il me jeta une serviette et me dit qu'il me paierait une autre bière.
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    Je l'ai attisé jusqu'à ce qu'il tire sa dernière giclée. Il prit sa longue bite à la base et bifla mon visage 
Aujourd'hui, je ne suis toujours pas sûr de ce que je ressens pour Roger, tout ce que je sais, c'est que je veux une revanche au billard ...
 
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Par CAVAILLONGAY - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Vendredi 29 juin 5 29 /06 /Juin 08:39

SUITE / RE: salut ! un abonné de cavaillongay m'a posté ton adresse mail … avons-nous quelque chose en commun ? sinon, ignore !

 

Alain donne déjà sa hotmail c'est beau !

RE: salut ! un abonné de cavaillongay m'a posté ton adresse mail … avons-nous quelque chose en commun ? sinon, ignore !

 
 
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Alain CLEMENT <al.clem.pernes@hotmail.fr>

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À moi
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bonjour

suis intéressé

alain 06302.......par tél ou sms

merci


RE : Quand je disais on crée notre site de rencontres ! Je ne suis qu'à 15 km de toi ! (et je te bise ! )
Merci à toi, notre ALAIN,  ceux qui seront intéressés demanderont ton n° complet et cavaillongay le leur communiquera en  message perso de peur que tu  ne sois envahi d'appels indésirables  le n° de cavaillongay : claudemodou@gmail.com

 


en illustration de l'idée qu'on est tous en train de se draguer l'un l'autre !

 

 

J'ai filmé comme j'ai voulu   sans capote      

  en fait je suis pas sûr que le gars ait été dosé : ça a l'air de s'arrêter quand le baiseur-sa bite plutôt- en a marre -lol- 

 

 

 

  sans capote  

  chacun son tour deux gars  sur un troisième...adorable  

Par ALINGA - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Vendredi 29 juin 5 29 /06 /Juin 06:21

    Image associée allez viens, suis-moi ! "derrière-nous les bois dont on venait et où on s'était rencontrés. On avait conscience que personne ne viendrait on a été à peu près silencieux.Il n'a pas eu besoin que je guide sa verge délicieuse vers mon anus. Il était jeune mais savait bien faire. Je me suis pleinement donné à lui comme si on se connaissait, il a attendu que je m'habitue à sa présence en moi. Quel chic garçon dommage que là ça se borne à du one shot. j'ai joui et lui juste après-moi. Chic garçon : il est un peu resté après qu'on ait chacun joui pour qu'on récupère (comme à la gym récupération active) Vous entendez nos souffles courts mais HEUREUX. Bien sûr il s'est barré le premier après s'être lavé la queue à la rivière (ohhh!). Et moi je restais pour "digérer". On avait fait sans capote et du sperme s'écoulait lentement de mon anus sur mes cuisses, délicieusement. Petit et court bonheur, mais bonheur quand même. Je n'étais pas pressé que les traces soient complètement effacées, sur mes doigts je humais l'odeur de mon copain trop tôt envolé". 


Xtube avec son défaut majeur : ce cercle rouge de chargement ; ils nous font sentir comme quand on espionne à travers un trou dans les toilettes. Bof ! Vous n'avez plus ce défaut si vous faites "replay"après un premier défilement
  ICI  les avignonnais vont reconnaître le plan d'eau du confluent de la Durance et du Rhône...les "étrangers" voudront connaître...le paysage et l'énorme plaisir de ces deux beaux jeunes. Le mistral fait des siennes dans le micro. Vous êtes enchanté mais c'est du faux-vrai car il a fallu quelqu'un pour filmer. A un moment celui qui filme leur demande de se tourner pour qu'on voie la bite rentrer...ouais, mais malgré les critiques, malgré les conseils des curés, des furies, des "culs serrés",des dégoûtés de la vie qui prétendent nous apprendre à vivre,
IL Y A TOUJOURS UNE BONNE PART DE VRAI DANS LE PORNO   

 


commentaire 1 : "ici ou ailleurs...c'est en anglais mais on peut voir un certain nombre de ressemblances dans les faits, les hommes, le paysage le son, le vent, l'émotion et le désir brûlant de l'instant dont ces jeunes ne font pas "un fromage". L'éternité de l'amour est dans tous nos actes que ces jeunes banalisent tout en les célébrant"Zappy 

commentaire 2 : "faux--vrai : eh oui Claude, il y a bien quelqu'un qui filme !" bises Emile    

  commentaire 3:  "comme si on se connaissait " mais oui, on se connaît tous LES DRAGUEURS  en plein air des sites de drague consacrés et fertilisés par le sperme qui coule des bites et des ...culs" Tapy  

Par ZADICH - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Samedi 23 juin 6 23 /06 /Juin 08:15

PROFITEZ DU BEAU TEMPS LES GARS

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  Image associée : la nouvelle forme de censure du porno : 

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Par HARAS MAN - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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  • : BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
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