Quand je vais vous dire que ma bite fait 20/6, ça ne va pas vous surprendre outre mesure. Il y en a d'autres ! mais moi mon gros zob est pointu au niveau du gland et fait 8 cm à la base. Je sais que la progressivité des augmentations de diamètre en fait un outil de jouissance extrême et c'est pour ça que je suis recherché : à la suite de quoi je cherche un homologue, mais je ne l'ai pas trouvé. J'aimerais pourtant me faire piner moi aussi par un 20/2->/5->/8, pour savoir l'effet que je produis à mespartenaires. Mes partenaires passifs m'ont rendu jaloux ! -lol- ...mais je me résigne et je m'amuse en attendant...
http://cavaillongay-lesitelocal.erog.fr/
CONFIDENCES : Déjà, quand le gars est pris par ma grosse, il ne peut plus avoit envie que je ressorte, vu les 8 cm de diamètre à la base qui à chaque poussée lui font pousser le cri de la première fois. J'aimerais-en plus- avoir un pénis qui enfle pendant la baise, à un point que le gars une fois pris ne puisse plus se dégager (on en a l'exemple sous forme de gode gonflable qu'on ne peut plus ressortir) mais je veux du naturel ! -lol-
aucune de ces représentations ne convient à ma bite qui est longue, TRES épaisse à la base et fine et trompeuse au"sommet" puisqu'elle fait -de haut en bas- 20/2->/5->/8
Vié de baleine, le mien est homotétique, mais 20 cm de long
Vrai penis de baleine (Copenhagen Botanical Gardens):
Récit : ...25 cm en pyramide dans son...
"Dis-le-moi que tu veux être baisé plus hard salope. Dis-le moi !" Tandis que mes mains passaient de ses épaules à ses hanches Je m'agrippai davantage à lui , mes doigts s'enfonçant dans ses chairs. Il a gémi. Brusquement je l'ai giflé en travers du cul, laissant une autre marque de main rouge vif qui resterait là pendant des heures. "Si tu en veux plus il faut me supplier." Ai-je dit d'un ton qui se voulait sans concession.
-"S'il te plaît, baise-moi plus, oooohhhhhhh, oui, s'il te plaît, fais-moi mal avec ta grosse bite, donne-moi tout ton sperme, je veux ton énorme bite enfouie tout le long, tout au fond dans mon cul ... Baise-moi plus "hard" ... oooooh, "Murmura-t-il alors qu'il poussait ses fesses contre contre ma queue.
-"Je m'ennuyais, ma femme était hors de la ville et j'avais besoin d'un homme qui me fasse l'amour de la pire façon. Ayant été gay, pute au placard depuis le collège, quand on m'a parlé de me marier et de prendre la relève de l'entreprise familiale, Alors, maintenant, ce que je veux c'est me payer une bonne bite plusieurs fois par semaine dans l' établissement de bains que j'ai trouvé sur le web à moins de 100 bornes de notre petite ville et l'endroit idéal pour vivre et élaborer mes fantasmes loin des regards indiscrets".
>"généralementJe suis un passif très reconnaissant. Plus la queue est grosse et épaisse, plus heureux je suis ! et j'attache beaucoup de prix à faire un bon "repas" avec une bonne queue et consommer tout le sperme que je peux avaler. Mais il y a aussi des jours où j'aime moi même défoncer des culs serrés. Aujourd'hui, ce serait le cas le plus exemplaire...
>"En arrivant j'ai payé mon entrée à la réception et j'ai commencé à déambuler devant les box déjà occupés et d'où sortaient des bruits de succion et de claques accompagnés de cris de plaisir. Comme je passais devant un box, il y avait ce que je pensais être un jeune garçon allongé sur la banquette, son cul blanc en l'air, attendant une bonne bite pour donner à son petit cul une bonne baise. Mais je ne lui donnais pas plus de 14 ou 15 ans et je ne pouvais pas croire qu'ils l'aient laissé entrer et que personne n'intervienne pour le faire sortir.
-«J'ai 20 ans et j'ai dû le prouver avec mon permis de conduire pour entrer ici. Je suis juste un gentil petit mec qui adore se faire baiser la bouche et baiser le cul... Bien profond, bien dur et bien "trash". Si tu es entré ici c'est que tu veux profiter un peu de ce jouet, n'est-ce pas? " Il sourit et tendit la main pour défaire ma serviette. Ma queue était comme une barre d'acier, droite et tendue. Il m'a attiré vers lui et a rapidement porté sa bouche à mon gland rouge vif, léchant le pré-sperme qui coulait de ma fente baveuse. Une main a caressé ma bite à longs coups, la tirant vers sa bouche humide. De l'autre main il a saisi mon sac suspendu et a commencé à masser mes couilles douloureuses du fait de mon extrème tension. En quelques secondes il avalait la bite et je la poussais dans sa bouche gourmande aussi fort et loin que possible. Ses mains agrippaient maintenant mes fesses et bientôt il pressait son visage contre mon ventre, les 20 cm de ma bite enfoncés jusqu'à la garde dans son gosier.
Ce jour là je me souviens que j'étais dans un tel manque que je pouvais sentir le sperme s'accumuler dans mes couilles. J'étais tellement excité que je suis presque venu dans ma voiture pendant le trajet. Et là il faisait maintenant glisser mon sexe de long en large ... Je l'ai saisi par la tête et j'ai commencé à le marteler à coups de queue, mes couilles se balançant sous son menton et en le giflant à la gorge, je lui mordillais aussi le visage et les oreilles en mordant la figure. Je devenais fou et le baisais sans retenue, m'abandonnant à mes instincts ainsi qu'il le demandait, le tenant dans une poigne serrée, tenant sa tête à deux mains pour le pilonner, baisant son petit visage, le regardant fixement, le regardant avidement prendre ma longue queue entre ses lèvres minces et distendues, ses yeux brillants me regardant également fixement, faisant passer de tendres et confiants messages. La voix décousue que j'entendais en arrière-plan était la mienne, criant à ma garce de compagnon de jeux de prendre ma bite et sucer mon sperme .....
>Puis ma vue s'est brouillée et je l'ai perdu de vue, comme éjecté et volant " par dessus bord", le garçon soufflant pour ingurgiter le sperme accumulé dans sa gorge, salves de feu chaudes, longues cordes de ma passion l'inondant de mes jus, de mon énergie, de mes fluides de Vie. Finalement, il ne put en prendre davantage et commença à dégorger mon monstre, le jus suintant abondamment sur les côtés de sa bouche, le long de son menton et sur sa poitrine. Je me penchai et étalai un peu de mon sperme sur ses tétons roses et durcis. "Bon, après il faudra que je m'occupe un peu mieux de ces tétons " pensai-je. Il agrippa ma bite à deux mains et dispersa les dernières gouttes de mon jus en sortant mon gros zob encore gonflé et commença à le lécher proprement. Il leva les yeux vers moi, léchant le sperme encore brillant de ses lèvres. Je m'assis à côté de lui et le pris dans mes bras et nos bouches se rencontrèrent, affamés l'un de l'autre. Ma langue s'aventura dans les profondeurs de sa bouche goûtant mon sperme mêlé à sa douceur. Je m'étends maintenant sur lui, ses jambes écartées pour me laisser reposer contre la chaleur de son corps brûlant.
Je m'éloignai lentement de ses lèvres et léchai encore le sperme qui venait de sa gorge et goûtai bientôt ces délicieux mamelons alors qu'il enroulait ses jambes autour de mon corps et me tenait fermement dans ses mains. Comme un enfant il dit :- "Oh, mec, c'est si bon, adorable, rends ton petit salopard heureux, rends-moi heureux ... fais-le moi," dit-il en arquant son corps contre moi alors que je léchais et mordillais doucement ses doux tétons.
Je pouvais sentir sa bite dure contre ma poitrine et je m'y frayai un chemin, léchant la générosité pré-éjaculatoire des lèvres suintantes de son méat et puis suçant goulûment, lui rendant ce qu'il m'avait donné j'attaquai sa queue , j'y suis allé d'une succion gourmande et frénétique, prenant toute sa longueur encore et encore en plaquant ma tête dessus , en et en poussant mon visage contre son ventre tendu et musclé à chaque descente de ma bouche et montée de son sexe en moi. Je voulais ses jus, je voulais sentir cette vague de jus d'homme exploser dans tout mon être par osmose et, en quelques minutes, mon petit homme arquait son bébé palpitant sur mon visage et criait alors que son jus éclaboussait et tapissait ma gorge.J'ai sucé sa bite jusqu'à ce qu'elle devienne molle et sèche.
Je roulai sur mon dos, l'amenant facilement sur moi, l'embrassant à nouveau et mélangeant nos sucs d'amour nos bouches et nos langues creusant dans le feu et la passion de notre accouplement urgent.
Mon sexe était dur comme un caillou et son cul continuait à pousser contre lui, pour se faire baiser. J'atteignis la petite table et pris une noisette de gel et attrapai son cul.
Il s'est levé pour moi et a chevauché ma poitrine, me procurant une entrée plus aisée. Mes doigts ont trouvé son trou plissé et j'ai inséré EN MEME TEMPS -lol- mon index et mon majeur. Laissez-moi penser qu'il était heureux quand je travaillais à la dilatation et à l'ouverture de son trou d'amour tandis qu'au- dessus de moi s poursuivaient les convulsions involontaires que lui imprimait ce que je lui faisais . Quand j'ai senti qu'il était prêt, le troisième doigt s'est glissé dedans et j'ai agité le doigt rapidement jusqu'à ce qu'il grognât et gémisse à mon propre rythme. J'ai travaillé son cul jusqu'à ce que j'eusse la moitié de ma paume à l'intérieur de lui. Il souffrait maintenant, mais il poussait de nouveau vers ma main, prenant tout ce que je pouvais lui donner. Maintenant, son cul était ouvert et il suppliait pour avoir la bite.
Voulant lui maintenir des sensation fortes, tout en levant les yeux vers lui j'ai retiré ma main et cela fit un petit bruit de bisou mouillé. Ses traits demeuraient impassibles sauf que ses yeux étaient vitreux et des larmes coulaient sur son visage. "Oh, prends-le mon trou de bébé, s'il te plaît, s'il te plaît, s'il te plaît," murmura-t-il.
Je vous l'ai dit, il n'était pas lourd. Je le cueillis comme un fruit mûr, le soulevai, sous les bras, le maintains en l'air un instant au-dessus de mon venre et guidai son trou du cul prêt à revevoir ma bite. Dès que je sentis que mon gland atteignait son chemin parsemé d'étoiles et glissait dans son trou noir béant, je l'envahis complètement, enfouissant ma bite en lui. Il gémit un peu, ses yeux encore vitreux et lointains. J'étais choqué de voir à quel point il semblait petit, assis là, empalé sur le piston dema bite dure
Il grinçait des dents pour lutter contre la douleur alors que je poussais plus loin en lui, alors qu'il se collait contre moi, poussant contre ma queue. Je lui ai presque proposé qu'on arrête, mais bientôt je pouvais voir la douleur se dissiper un peu et mon épée est entrée à fond. Il a lentement commencé à bouger, glissant de haut en bas sur mon axe rigide. Je pouvais voir comment ma bite entrait et sortait en lui, il gémissait doucement alors qu'il commençait à se détendre puis quand il se la prenait au plus profond et donc au plus fort diamètre, poussait un attendrissant petit cri de surprise mêlée de plaisir. Je le tenais mon petit bonhomme, jamais il n'oublerait ça. Sa queue était à nouveau dure, se balançant à chaque montée et descente de son corps. Je l'ai attrapé et l'ai serré fermement à la taille qui'il avait si fine, pendant qu'il commençait à prendre son rythme. Pour souligner ce ryhme et marquer qu'on jouait un duo, e commençai à grogner chaque fois qu'il me claquait ses fesses contre mes cuisses. Maintenant, il chevauchait le mustang au galop, baisant contre moi de tout son corps, se balançant d'avant en arrière sur mon bâton de baise, son visage rayonnant de faim, de désir et d'extase .
Il s'est relevé et s'est mis dans une position de "push-up" et a commencé à pousser avec plus de force. Pousser de plus en plus fort contre ma bite maintenant, grognant et gémissant à chaque poussée. Mon sexe commençait à brûler chaque fois davantage de manière incroyable, alors qu'il jetait tout son corps contre moi. Je me demandais à combien d'allers et retours je pourrais résister avant de jouir.
Maintenant, je pouvais voir ma bite luisante et dure entre nos corps, glissant dedans et dehors, encore et encore. Son cul battait contre mes couilles et je pouvais sentir le feu "au navire", la douleur à la base de mes couilles chaque fois qu'il descendait. Ma bite et mon cul se tendaient de plaisir, et il commença à grogner bruyamment à chaque poussée. Sa queue giflait contre son ventre alors qu'il labourait contre moi dans une putain de folie frénétique. J'étais au paradis, et je pouvais sentir ma propre queue pulser de plaisir alors qu'elle glissait le long des murs intérieurs étroits de son puits d'amour, dans son joli cul. Mes mains étaient sur ses seins, massant la chair gorgée de sang à la surface tandis que je m'abandonnais aux pulsions les plus élémentaires de mon corps, poussant un rugissement de fauve tandis que les fluides se déchaînaient hors de moi et que mon jus chaud jaillissait de mon être profond dans ce paradisiaque "jouet sexuel", où ma queue chérie se branlait contre lui pendant que je le toujours plus remplissais de mon amour.à chaque nouvelle giclée de sperme. Sa propre queue commença à dégainer des cordes de sperme, me frappant au visage et à la poitrine alors qu'il expulsait ses propres sucs pour s'assortir à mon torrent de lave bouillonnante.
Finalement, après que nos corps aient arrêté les secousses et les spasmes et que nous soyons "descendus" comme on descend d'un trip de drogue, de notre fantastique orgie de
satisfaction sexuelle, il est retombé sur moi et nous nous sommes endormis, épuisés par nos rapports sexuels. Ma
queue était toujours dans son corps merveilleux, ses lèvres sur les miennes. Nous restons ainsi longtemps à nous éveiller alors que ma douce queue apaisée et
ramollie sort enfin de son nid d'amour. Une quantité de sperme a coulé de son trou de chatte sur ma bite
et mes couilles.
Il a tourné son corps dans une position 69 et a commencé à me laver en me léchant pour me
mettre propre. J'ai commencé à répondre, en léchant ses propres boules encore pleines de
sperme et sucé sa verge jusqu'à ce qu'elle se lève encore. Je suçais goulûment son gentil bâton, mes mains couraient le long de ses
cuisses et de ses fesses glabres, si lisses et si blanches. Je pouvais sentir ses efforts de succion éveiller
ma bite de nouveau affamée... Je souris en sentant à l'intérieur de moi-même que les choses remuaient.
Je l'ai changé de position
et, en lui fourrant un oreiller dessous, j'ai voulu qu'il élève son ventre, le ramenant à la position où il était quand je suis passé devant sa porte. Il s'est rapidement plié, de nouveau avide de baise. Je regardais son joli cul, si étroit et si petit, si ouvert et prêt à se faire baiser. Ma queue était de nouveau bandée à faire mal, sa tête,
petite, rouge vif, plus tendue encore que je ne l'avais jamais vue malgré sa minceur à ce niveau. Cela ressemblait à un coutelas prêt à déchirer le corps devant lui ! Son trou du cul était plissé et gonflé de la première baise et le sperme en sortait encore.
J'étendis ses
jambes et le remontai par derrière, Là j'étais à nouveau comme l'animal en action que je vous ai décrit et que j'étais devenu. Je pressai ma queue qi écarta ses lèvres de chatte gonfles
et me laissai tomber en lui, faisant mordre ma bite dans son trou d'amour avec un bruit de souffle. Il a poussé un cri de plaisir quand j'ai atteint son point chaud.
Je le tenais là comme un jouet, par les hanches et je commençai, ma bite dure, glissant en lui, dedans et dehors avec environ un tiers de ma longueur, jouant avec son cul, le préparant pour
une baise chaude, un long et jouissif parcours avant que je puisse jouir à nouveau.
Je me suis glissé jusqu'à ce que mon sexe soit
complètement à l'intérieur et prêt à nous donner [à lui et à moi] la baise de sa vie. "supplie-moi , prie-moi de te baiser, pute adorée, supplie ma queue de baleine, mendie mon chaton !
mendie ! "
>-"Ahh, ah, ah, baise-moi , ohhhh,
fais-moi mal avec ta bite enfouis-la dans mon ventre ... oh donne-moi, donne-moi encore ta semence. ", S'écria-t-il d'une voix rendue rauque par le plaisir.
Je me levai et brusquement déculai pour lui faire
sentir le manque, puis je le biflai très fort de mon pénis qui avait repris son terrain et le pilonnait, mes couilles claquant contre les siennes alors que je l'enfonçais dans le lit
avec ma poussée.
Il hurla de douleur alors que ma queue pénétrait dans des profondeurs qu'il n'avait jamais aussi bien ressenties avant que le monstre ne reprenne et que je chevauche son cul minuscule
jusqu'à ce que je perde la notion du temps et de l'endroit, tombant avec lui dans un rythme de luxure et de folie débridée. Je ne voulais pas faire souffrir mon ange, mais Par mes
claques sur ses fesses et ses jambes -ce n'était pas cruauté- je le faisais accéder à "l'inaccessible". Son cul et ses
cuisses en étaient rouge vif.
J'admirais la beauté insensée du garçon qui gisait sous mes yeux, se prenant, absorbant plutôt, cette baise sauvage, ses phalanges blanches s'agrippant au lit, son visage rosi par l'épreuve, ses
cheveux blonds emmêlés de sueur, geignant et haletant à chaque plongeon de ma bite dans les profondeurs de son être.
À un moment donné, je me suis senti flotter hors de moi-même, regardant ce "gamin" maigre alors que je chevauchais son cul avec ma monstrueuse queue d'adulte, l'écoutant gémir et lutter pour
respirer pendant que je le martelais de mon amour féroce. Tandis que je tirais ma bite et la lui enfonçais, encore et encore, puis l'enfouissais profondément et la mariais complètement à sa
chair, je pouvais
voir un peu de sang se mêler au sperme.
Quelque part au milieu de notre extase, nos esprits et nous sommes allés en un lieu de brumes et de rivières et de hautes montagnes et quelque part en moi, je me souviens des jus qui se
détachaient de nous et je volais dans les nuages alors que je me vidais en lui.
Je sentais que l'orgasme venait de la plante de mes pieds , de ma racine, et que j'étais dans une grande souffrance, quelque part là-bas alors que j'inondais son âme de mon être même, éclatait
l'auroreaprès une explosion douloureuse alors que des parties de moi se détachaient de son être magique.
Je me suis réveillé
plus tard, toujours au-dessus de son corps brisé et rempli, ma bite toujours implantée dans son cul, ses mains n'étaient plus serrées, mais détendues dans un état de paix
endormie.¤
mon bébé, lit défait, se reposait doucement maintenant dans le nirvana où j'avaisi réussi à le mettre
NOTES: Grosse bite baveuse, trait d'union entre les hommes
"Si vous n'aimez pas ça, n'en dégoûtez pas les autres
J' n'ai pas, sur ce point-là, le même avis que le vôtre
Quand c'est tout petit
C'est bien plus gentil
Quand y en a beaucoup
On n'en voit plus l' bout
D'ailleurs c'est toujours beaucoup mieux
De garder un juste milieu !"
La chanson « Si vous n'aimez pas ça » a été interprétée par Maurice Chevalier
Paroles de la chanson :
Dites-vous "Je crois bien
Qu'elle a des p'tits seins" ?
C'est idiot!
Les p'tits seins, monsieur,
D'abord sachez-le
Cela tient beaucoup mieux
Que les gros
Puis on a l' plaisir
De les voir grandir,
Pousser, s'arrondir
Et bondir
Quoi d' plus ingénu
Que des seins menus
Et puis, monsieur, au surplus
Si vous n'aimez pas ça, n'en dégoûtez pas les autres
J' n'ai pas, sur ce point-là, le même avis que le vôtre
Quand c'est tout petit
C'est bien plus gentil
Quand y en a beaucoup
On n'en voit plus l' bout
D'ailleurs c'est toujours beaucoup mieux
De garder un juste milieu !
Si vous n'aimez pas ça, n'en dégoûtez pas les autres
J' n'ai pas, sur ce point-là, le même avis que le vôtre
Enfin pour la mode
C'est bien plus commode
Pour danser l' shimmy
C'est bien plus mimi
Si vous n'aimez pas ça, n'en dégoûtez pas les autres
L'autre jour, silence dans un restaurant
Où pour trois cents francs
On mange peu
En plein dans l' potage
Charmant badinage
Qu'est-ce que j' vois qui surnage ?
Un cheveu !
Je crie au garçon
"Quelle dégoûtation !
Regardez mieux, voyons, votre bouillon !"
Du doigt m' désignant
Autour ses clients
Il me dit en souriant
Si vous n'aimez pas ça, n'en dégoûtez pas les autres
Qu'ils mangent leur consommé si vous n' voulez plus du vôtre
Sans en avoir l'air
Avec votre cuiller
Poussez-le dans l' coin
Pour qu'on n' le voie point
Pourquoi donc pour un cheveu tout p'tit
De tout l' monde couper l'appétit ?
Si vous n'aimez pas ça, n'en dégoûtez pas les autres
Qu'ils gardent leurs illusions si vous n' voulez plus des vôtres
À la réflexion
Un très bon bouillon
A toujours des yeux
Pourquoi pas des cheveux ?
Si vous n'aimez pas ça, n'en dégoûtez pas les autres !
La saison dernière
Dans un trou pas cher
J' prenais mes bains d' mer sans maillot
D'ailleurs, à quoi bon
Porter un caleçon
Voir un joli garçon, c'est plus beau (hum !)
J' prenais donc mes aises
Quand une vieille Anglaise
Tout à coup surgit
Et rugit
"Oh, fit-elle, mon Dieu !
Comme c'est affreux !"
J' répondis d'un air gracieux
Si vous n'aimez pas ça, n'en dégoûtez pas les autres
Les beautés d' votre pays sont-elles différentes des nôtres ?
Dans mon p'tit complet
Qu'est-ce qui vous déplaît ?
Je vous en supplie
Voyez-vous un pli ?
Car je m'aperçois qu' vos yeux tiquent
Sur un endroit de ma plastique
Si vous n'aimez pas ça, n'en dégoûtez pas les autres
Vous n'avez pas c' truc-là probablement sur la vôtre
C'est un grain d' beauté
Je peux pas l'ôter
Il est mal placé
Mais il plaît assez
Si vous n'aimez pas ça, n'en dégoûtez pas les autres ! Maurice Chevalier
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