Partager l'article ! J'ai perdu mon pari. L'enjeu est sexuel. Maintenant il faut que je paie...cher !: c'est le perdant qui se fait baiser au sens propre.(sale s ...
Chez-nous quand-à la pétanque- on perd les deux parties et la belle on doit baiser Fanny. C'est souvent matérialisé dans un coin du bar par le cul d'une pin-up escagassante comme on dit ici et qu'on doit s'humilier à biser. Rien de bien sérieux et ça reste très hygiénique. Dans ce bar du quartier chaud d'où je vous parle, la règle est à l'inverse : il y a bien profanation d'un cul mais ce n'est ni imaginaire ni virtuel c'est le perdant qui se fait baiser au sens propre.(sale si vous voulez -lol- )
Parfois, il est excitant d'admettre que quelqu'un est meilleur que vous. Le sentiment écrasant de la défaite nous oblige à rechercher d'une manière désespérée l'approbation d'un mec pour lequel auparavant vous n'aviez aucune considération ni estime... C'est comme ça que je me suis retrouvé à genoux la bouche grande ouverte suppliant le foutre chaud de Roger, conséquence de ma drague irréfléchie.
J'avais rencontré Roger plus tôt ce jour là en jouant au billard dans le bar gay local où je vais souvent.
Je ne suis pas vraiment un champion, mais j'aime le billard et je me considère comme un bon
joueur. Si bon que je sois,
j'ai découvert que Roger est meilleur que moi au billard et il a pris grand plaisir à nous enseigner, à moi et à mon cul, ce que cela signifie d'être «perdant».
C'était un samedi après-midi et le bar était vide à
l'exception du barman, de quelques habitués et de Roger. Je jouais
nonchalamment un jeu face à moi-même quand Roger, solitaire, juché sur son tabouret de bar , a commencé à me chahuter et se moquer de mes coups.
Ca
n'était pas que Roger fût irrésistible et vous êtes témoin que c'est un homme moins qu'ordinaire, pas loin du marginal et du clodo. A trente-cinq ans, il commençait à perdre ses cheveux et avait un petit peu de ventre. Je le regardai avec colère et calculai son chaume paresseux, ses vêtements miteux et son attitude
arrogante. Je l'ai immédiatement détesté. Je l'ai ignoré autant que possible, mais après
quelques minutes d'être appelé "petite chienne", en colère, j'ai eu le courage la sottise de le défier pour une partie.
J'avais tort. J'aurais dû savoir que c'était un faiseur d'embrouilles toujours prêt à tricher. Nous avons convenu que le perdant paierait les boissons et quand le jeu a commencé Roger me sembla malchanceux et
même inapte. J'ai facilement gagné les deux premières parties et je me
considérais comme un vainqueur insolent buvant son whisky aux frais de Roger. Roger a
alors acheté un autre lot de boules et a alors décidé d'augmenter le pari. J'étais ivre,
confiant et prêt à prendre presque n'importe quel pari; alors quand Roger a dit qu'il paierait pour
toute ma dépense si je gagnais, j'ai accepté. Puis il m'a dit en retour qu'il voulait m'enculer-fuck
me-, j'ai ri. Comme je ne croyais pas pouvoir perdre, j'ai parié. Ben...
Roger a commencé le jeu et s'est mis à travailler de façon experte sur le tapis. J'ai compris que j'avais fait une erreur quand il a gagné le jeu en quelques minutes et m'a
regardé avec un sourire effrayant. "Ce jeu est une vraie saloperie" dit-il avec un ironique mépris. J'étais bouleversé, je pouvais sentir mon visage devenir rouge d'embarras. "Mon 'terrier' est à quelques pâtés de maisons d'ici, dit-il, allons-y, à moins que tu
ne veuilles augmenter les mises de notre pari et tes pertes. Révolté, luttant contre moi-même, je fermai ma gueule, et sortis
du bar avec Roger, qui avait déjà commencé à me donner des claques sur le cul et à m'empoigner les hanches.
Quelques minutes plus tard, j'étais dans le studio de Roger. L'endroit était sale et n'avait même pas de lit, juste un canapé où Roger,
assis, me regardait me tenir maladroitement près de la porte. «Je vais te
baiser comme une chienne, tu sais ça?» Dit-il avec un sourire sournois. "Bien sûr, chérie, que tu vas le faire, tu ne serais pas là
si tu n'aimais pas les grosses queues qui éperonnent ton petit trou, et te font trémousser de plaisir." J'étais fou, furieux d'avoir perdu, mais je pouvais sentir
ma bite commencer à pousser dans mon pantalon, sachant très bien qu'il y avait une certaine vérité dans ce qu'il disait.
Roger sortit sa grosse
bite à moitié dure et commença à se la caresser en me regardant dans les yeux. Mes yeux ne purent s'empêcher de se
tourner vers la bite grandissante de Roger. Je ne pouvais pas me contrôler et j'ai léché mes lèvres. «Allons, je sais que tu veux
la regarder de plus près,» rit Roger, «mets-toi à genoux : tu vas goûter à la bite du vainqueur. La conversation
vulgaire de Roger me mettait dans une étrange colère comme je n'avais jamais éprouvé. J'aurais dû partir et je restais. a me rappelait cette bite d'Alain quand nous étions ados. Il
avait une mauvaise hygiène mais l'envie de le sucer (et le reste) était plus forte ! Il n'y avait aucun honneur à "payer" cette dette de jeu au billard
. Je voulais le frapper et le sucer tout en même temps. Je lui ai lancé un regard de mort alors que je marchais vers lui et posais
mes mains sur ses cuisses tout en je m'agenouillant pour lui donner son plaisir. Il avait vraiment une bite
triomphante. J'attrapai ses testicules qui pendaient bas et passai ma main sur sa longue tige
veineuse. J'ai essayé de refermer ma main autour de son pénis et il m'était
impossible de la refermer tout à fait. Je regardais fixement sa queue rose tendre, bombée et
grandissante. - "Eh bien, qu'est-ce que tu attends?" Roger rapprocha sa bite de mon visage et la plaqua dessus.
Je sentis une poussée d'adrénaline m'envahir et commençai à faire
tourbillonner ma langue autour du bout de sa queue. Celle-ci était si
lisse, si sensitive, je ne pouvais pas croire qu'elle appartenait à un mec aussi louche que Roger. Je lui lançai un regard méchant tout en caressant sa hampe et papillotai ma langue
sur le bout de sa queue. "Ouais chienne, fais ta salope". Dit Roger en
rejetant la tête en arrière. L'ordre de Roger réveillait soudain mon courage. Je me sentais vraiment bien tout d'un coup et j'ai commencé à me laisser aller à ma passion
de la suce. Couché J'avançai ma bouche et avalai davantage de la grosse bite de
Roger.
il a commencé par se foutre de ma gueule
J'étais aussi étonné que ce gars devant l'effort à fournir !
-"Installe-toi 'mon chéri', allonge toi bien détendu, prends des respirations et ouvre ouvre grand surtout
Moi couché sur le canapé, lui debout, J'ai lentement tourné la tête avec la queue de Roger dans ma bouche. Je l'ai ingurgitée de plus en plus profond jusqu'à ce que j'aie la nausée. Et là, j'ai dû arrêter par manque d'air.
C'est vrai qu'elle est énorme la bite de Roger. Il manquait quelques centimètres pour une gorge profonde pubis-au-ras-des- lèvres.
Roger n'était qu'un connard. Il me disait "Allons, chérie, tu ne peux pas tout prendre? j'ai besoin de te baiser un peu la bouche avant de
te baiser le cul". Roger m'a attrapé par les tempes et a poussé sa bite à fond. Il se retira puis
recommença.
Les les lèvres bien salivées ont couru le long de sa verge aller-retour jusqu'à ce que je sois prêt à nouveau à la gorge profonde. Je respirai profondément et descendis la queue tout le long dans ma bouche, réfrénant, réprimant mon réflexe nauséeux. Je me suis battu de plus en plus profondément je suis descendu et descendu, la parole coupée n'étant plus capable que de borborymes confus et de gémissements jusqu'à ce que mon menton touche ses couilles. -"Aww putain ouais, c'est mieux bébé, juste comme ça" Roger m'attrapa la tête et recommença à fourrer sa bite dure et tendue comme de l'acier dans ma bouche. Ça faisait du bien de lui faire plaisir, de rendre ce mec impoli tellement heureux, je travaillais et je transpirais. J'oeuvrais pour les paumés de ma ville -lol- Il se leva, enleva sa chemise, laissa tomber son pantalon. "Je veux voir ton cul maintenant chienne". Paumés ??? qui était le paumé là ?
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