J'ai bien sûr accepté avec
la bénédiction de ma mère...
«L'aider dans certaines tâches à l’Église... » On comprend tout un mécanisme, pas souvent prémédité, qui consiste à choisir parmi les catéchumènes,un « chouchou »
'Encore beau comme un enfant, déjà fort comme un homme' et par suite succomber à la tentation , oubliant que le diable a mis des monstres très serrés les uns contre les autres dans l'aube des enfants de choeur et, ainsi, tel Don Camillo luttant contre lui-même, nombre de prêtres auront dit :
« Seigneur, dis seulement une parole et je serai guéri de ma tentation ». Et, la parole n'étant pas venue, ils sont réduits à implorer le pardon de Dieu en tant que simples pécheurs ! Si c'était de notre ressort, ne les
aurions-nous pas absous, sous réserve que leurs jeunes disciples leur aient pardonné. Il semble bien qu'Eric ait apprécié et, bien réellement
pardonné.
cavaillongay
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Jeune, j’allais régulièrement à l'église le samedi et le dimanche. M. le curé, qui est un ami de mes parents, m'a demandé si je voulais l'aider dans certaines tâches pendant la messe.
es
avec les remerciements de cavaillongay à Corinne SIMON/CIRIC
Me voilà donc enfant de coeur deux fois par semaine, et je pense que je ne le méritais pas car j'avais
déjà ce qu'on appelle un faible pour le sexe...masculin. Je flashais donc sur le curé Martin d’une soixantaine d’années mais rien ne se passait..
Maintenant que je suis majeur, je ne vais plus à l’église mais rencontre souvent le curé Martin qui me regarde toujours d’un air
malicieux.
Un samedi matin de printemps, le curé m’interpelle :
-Tu ne viens plus te confesser, tu dois avoir une foule de pêchés à me raconter. Viens donc me voir cet après midi.
J’avais l’impression qu’il se décidait à faire de moi son objet.
Je me suis retrouvé seul dans l'église puis dans le confessionnal avec lui. J'avais encore une heure devant moi avant de rentrer. Je me suis donc
installé pour bien le voir et il a ouvert la petite grille.
Je lui raconte quelques fadaises, des petites sottises…
- Dis donc ce ne sont pas des péchés ça ! Il faut aller plus loin mon enfant… Tu ne joues jamais avec des copains à quelques jeux pervers ?
Je ne pouvais que lui dire OUI !
Alors il m'a beaucoup questionné sur la façon de m’y prendre. Je lui ai donc tout raconté. Mes séances de masturbation, les moments où je m'encule
avec de gros objets et même qu'il m'arrive, couché sur mon lit, les jambes au dessus de ma tête, les pieds accrochés à la tête de lit, ma bite au dessus du menton, de me branler afin de
m’éjaculer dans la bouche. Je lui ai aussi avoué que j'aimais bien sucer mes petits copains.
Pendant que je lui raconte tout ça, je remarque sa main frottant lentement sur la bosse que son sexe façonne sous sa soutane. J'ai alors deviné
qu'il s’échauffait pendant que je lui raconte toutes mes histoires perverses de jeune homme.
Je ne sais pas ce qui m'a pris, mais j'ai regardé intensément cette main bouger sur cette bosse et je me suis mis à bander très fort. Le curé l'a
bien remarqué et a continué à me questionner. Plus je lui raconte en détail mes exploits, plus il bouge sa main. Puis il déboutonne quelques boutons et son gros sexe tout dur m’apparait. Je suis
complètement hypnotisé par ce phallus dressé laissant apparaître un gland superbe. Il se mit à se masturber en sachant que le regardais. Soudain il me dit :
- Dis donc… Je vois que tu bandes aussi petit ?
- Oh oui… Monsieur le curé.
- Eh bien qu’attends-tu pour la sortir… Fais donc comme moi mon grand !!!
Alors, baissant mon pantalon, je me suis mis à me masturber en même temps que lui, fixant toujours ce gland qu’il secoue sans ménagement et je ne
cache pas que c'est super excitant!
- Toi aussi tu es une vraie petite salope dis-moi !
- Oui M. le curé, j'aime ça autant que vous....
- Regarde bien ma bite, elle est dans cet état grâce à toi et je t'en remercie. Mais nous allons jouer à un jeu encore plus excitant.
- Comme vous voulez.
- Alors je vais te dire tout ce que tu dois faire, surtout avec tout ce que tu m'as raconté je sais que tu aimeras ce que je te réserve.
- Oui Monsieur le curé. !!!
Je ne pouvais pas dire non car j'étais complètement ensorcelé par ce que je voyais et ne voulais pas que ça s’arrête.
Plus je regarde son sexe plus le feu monte en moi… Le diable aussi !
- Viens par ici et mets toi à genoux, pour ta punition tu vas faire une prière entre mes jambes.
« Avec tout ce que tu m'as raconté, je sais que tu aimeras ce que je te
réserve» LA CONFESSION QUI VOUS ABSOUT DE VOS PECHES , AU CONTRAIRE ,
M'Y PLONGEAIT On comprend tout le complot, prémédité,
ourdi par le prêtre qui l'avait choisi parmi les catéchumènes, comme son « chouchou » 'Encore beau comme un
enfant, déjà fort
comme un homme' et par suite
succomber à l'appel du stupre, se livrant
aux monstres très serrés les uns contre les autres contenus dans l'aube d'un enfant de choeur
...
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Sans remonter mon pantalon je suis sorti de ma guérite et suis rentré dans celle du curé. Ayant refermé la porte derrière moi, je me suis agenouillé
entre ses cuisses, ai remonté sa soutane jusqu’à la ceinture pour redécouvrir son sexe lourd, ses couilles gonflées, ses poils soyeux.
- Elle te plaît ma queue ? Approche donc ta gueule , suce-moi la mouille qui sort de mon bout.
J’approche mon visage et prends son gland dans ma petite bouche. Je peux facilement le rentrer au delà de mes dents, ma langue le caresse, mes
lèvres le sucent amoureusement. Il aime ça le bougre. Je l’enfonce le plus possible dans ma bouche en bavant car je ne peux plus déglutir ma salive. Il faut dire que c'est très excitant avec lui.
Je le masturbe et, en même temps, ma main libre caresse ses grosses couilles. Il gémit pendant que mes lèvres palpent sa chaude saucisse. Il appuie souvent sur ma tête pour qu’elle aille le plus
loin possible dans ma gorge. Il me traite de petite salope et de bouffeur de bites. Sa façon de parler m'excite beaucoup.
- D'autres garçons m'ont aussi sucé tu sais ! Mais c'est toi le meilleur !!!
Tu vas m'obéir et je vais te faire connaître plein de plaisirs. Je vais te présenter à mes amis prêtres et ils vont s'occuper de toi aussi …
Es-tu d'accord ?
Je fis oui de la tête car j'étais trop occupé à butiner cette queue qui allait bientôt toute se vider.
- Vas-y petit suce moi encore ...plus vite. Voilà comme ça.... HUMMM !!!; je vais tout décharger dans ta gueule d’amour et tu avaleras tout
mon foutre !!
Effectivement mes mains sentent des contractions et ce nectar, tant attendu, se met à déferler de son gland et j'en reçois une grosse quantité dans
la bouche. J'ai du mal à tout avaler car ça n’arrête pas, mais j'adore ça. IL me relève la tête et je dois ouvrir la bouche pour qu'il regarde s’il n’y en a plus. Il en reste encore un peu
derrière mes dents et il m’embrasse, sa langue fouine partout pour le récupérer.
C'était magique et je sais déjà, qu’un jour ou l’autre, qu'on remettrait ça.
Il est resté un moment affalé ... Il était en extase et devait rêver à certaines choses pas très catholiques… Je me suis relevé en pensant, peut-
être, la même chose que lui !! Puis je lui ai présenté mon sexe qu’il a aussitôt gobé à son tour. Il n’a pas fallu trop longtemps pour que je décharge ma jouissance sur cette
langue caressante.
Nous avons remis de l’ordre dans nos vêtements non sans mal car ma main ne voulait plus lâcher sa grosse queue. Puis après quelques bisous nous
sommes enfin sortis du confessionnal.
Il m'a demandé de revenir l’après midi pour préparer la cérémonie du lendemain. Il lui fallait de la main d'oeuvre pour mettre en ordre toutes les
chaises. Il m'a dit aussi, en me montrant le bas de son ventre, que trois autres prêtres seraient là pour nous aider....
Dans un grand sourire, j'ai fait oui de la tête.
Je suis donc reparti chez moi, le goût du sperme du mon curé dans la bouche. Certainement le meilleur apéritif qu’il soit.
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L’après midi, je me rendis donc à l'église où plusieurs personnes rangeaient des chaises pour la préparation de la fameuse cérémonie du lendemain.
Il y avait de vieilles dames et les trois autres prêtres dont un semblait plus âgé encore que M. le curé.
Lorsque ces ecclésiastiques m'ont vu, ils ont tous souri avec un air bien particulier. Il y avait de la canaillerie dans l'air et je pense que ces
prêtres devaient déjà bander sous leur soutane. Je devinais que M. le curé leur avait tout dis. Le fait de me demander ce qu'ils allaient me faire, m'excitait énormément.. Je n'étais pas dupe,
car je savais ce qu'ils souhaitaient. Mais je ne me plaignais pas du tout, car j'aimais ça.....
Et à partir d'ici, cavaillongay vous laisse aller regarder le plan à 4 ou 5 monté pour Eric par le révérend père Martin :
https://cyrillo.biz/histoire/cures-1.html
commentaire :
images plutôt iconoclastes :
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