quel apprentissage de la vie ! j’ai appris à taire ma pudeur, à lui exposer mon corps nu dans une situation plutôt délirante, et incroyable, nu au milieu de son lit, dans une position totalement impudique
j'ai"lâché les chiens" je vous dis ! et dire qu'il y a des cavaillonnais qui me regardent
pourvu que personne ne me reconnaisse !
Et lui qui guette sur ma gueule l'effet que ça me fait d'être doigté ! faut pas que ça me fasse honte ! Rassurez-vous, je partage sans problème mon impudeur.
d
one shot imprévu https://cyrillo.biz/histoire-gay-2018-one-shot-01.php puis,dans un mélange de râles de plaisir et de baisers étouffés nous basculons dans un monde parallèle et rien ne nous relie à la vraie vie. |
Prends ma main
Car je suis étranger ici
Perdu dans le pays bleu
Étranger au paradis
Et je sais qu'en chemin
Le danger dans un paradis
C'est de rencontrer un ange
Et qu'il vous sourie
Simple mortel
Je m'émerveille
Les yeux remplis d'étoiles
Et de fraîcheur
Comme un enfant
Qui se réveille
Je te retrouve
Alors je n'ai plus peur
Ne laisse surtout pas ma main
Ô bel ange qui me conduis
Déjà je me sens bien moins
Étranger au paradis
Et si tu veux bien de moi
L'étranger dans ton paradis
Alors nous irons je crois
quel apprentissage de la vie ! moi jusqu'à présent timide, j’ai appris à taire ma pudeur, à lui exposer mon corps nu dans une situation plutôt embarrassante, sinon incroyable, allongé nu au milieu de son lit, totalement impudique, toute honte "bue"!
Je comprenais que, si je la voulais,même quitte à avoir un peu mal, je devais lui donner des signes de 'la' vouloir dans mon cul. Et lui devait montrer, sans fièvre, de l'intérêt pour mon trou !
Mais la situation s’est rapidement révélée plus confortable que je ne l’imaginais avant de commencer. J’étais pourtant on ne peut plus nerveux, avec le cœur qui cognait dans ma poitrine à l’en faire éclater.
. Avec le second mec que j'ai rencontré, je me sentais encore vulnérable, mais intrigué par ces sensations piquantes qui m’habitaient, et que je ne pouvais pas freiner. Il y avait une forme d’attirance vers l’inconnu, une sorte de mise au défi personnelle. Visiblement beaucoup plus à l’aise que moi en tenue d’Adam, il s’est approché de moi, m’a tapoté affectueusement les fesses nues, pour m’indiquer le chemin de la salle de bains
Il se montrait doux, rassurant, agréable, sans négliger l’humour, qui aide bien à faire passer la saveur baroque de ces moments très spéciaux. J’avais manifestement laissé ma pudeur et mes inhibitions au vestiaire. Malgré mes hésitations et mon côté un peu gauche, il ne me trouvait finalement pas si maladroit que ça dans mes gestes Il
Il s'avérait bien plus imposant et exigeant que mon premier amant, mais je demeurais confiant et disposé à de plus grands sacrifices.
Petit à petit, la sensation de brûlure s’est estompée, les va-et-vient sont devenus supportables, puis agréables, au fur et à mesure que je suis parvenu à me relaxer. Une fois qu’on est habitué à la présence de ce sexe, ça va beaucoup mieux. La gêne demeure, mais on se sent bien malgré tout, et le plaisir apparaît peu à peu. Je ne pensais pas que l’on pouvait ressentir du plaisir de cette manière. C’était une véritable surprise, comme une petite vague de chaleur qui me secouait de partout, et je tanguais doucement à chacun de ses coups de reins, de plus en plus rapprochés, car imperceptiblement, il avait légèrement haussé le rythme.
il m’a délicatement massé les bords de l’anus à l’aide d’une pommade ou plutôt d’un gel frais et décontractant. Il étendit du gel entre mes fesses - c’était un peu froid -, puis il commença à me doigter doucement. J’avais un peu d’appréhension, c’était un drôle de sentiment. Il commença à me mettre un deuxième doigt, et je ne sais pas trop comment dire ce que je ressentais. C’était une intrusion dans mon intimité, plutôt agréable.
Ce petit jeu de touche-touche, ça avait affolé mes sens, genre "tu veux ou tu veux pas ?" Puis...
il est rentré .
Je le sentais aller et venir avec plus de fougue que précédemment, en me secouant les hanches. Des frissons parcouraient mon corps, une chaleur se faisait ressentir intensément, tandis qu’il me massait les fesses de ses grandes mains. J’avais la bouche grande ouverte pour aspirer le plus d’air possible, et pour gémir à chacun de ses coups de reins.
Long, oui il m'a baisé longtemps, mais j'étais ailleurs dans ma jouissance absolue, dans un monde parallèle
A un moment, je lui ai demandé d’accélérer encore la cadence, tant les sensations étaient délicieuses.
Je ne sais pas si son sexe entrait à chaque fois en entier, mais je ne sentais plus les muscles de mes fesses, comme endormis. Pour le reste, j’avais décollé du sol. Je n’avais encore jamais rien ressenti de tel, et je n’arrêtais plus de gémir
Bien sûr, très endurant. Il y a tout eu, il m'a tout fait
On se sent planer, transporté au-dessus d’une autre planète. Je pense que lui aussi éprouvait beaucoup de plaisir à me prendre, car il miaulait à la façon d’un petit chat.
dans un mélange de râles de plaisir et de baisers étouffés. Nous basculons dans un monde parallèle et rien de nous relie à la vraie vie.
J'appelle ce premier moment le ravissement
peut-être l'un des deux amants veille-t-il encore sur l'autre, jusqu'à accéder lui-même au Ciel ?
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