Mercredi 15 mai 3 15 /05 /Mai 05:29

Peut-être ce sont les bisex et les hétéros indécis qui 'peuplent' le plus les dragues, les saunas, les wc publics et d'autoroutes ainsi que les applications et sites de rencontres... peut-être, mais, quand je rencontre un gars, je ne lui demande pas ses 'données personnelles' -lol- je me contente qu'on se plaise en tout ou en partie et c'est pas pour un mariage...  

 

 

 VRAI : Au grand Dam des hétéros  et des furies la population gay-bisex augmente à grandes enjambées depuis 2013. Comme ça reste très personnel de le dire ou pas, les statistiques  demeurent incertaines quoiqu'en dise l'IFOP. Nous à cavaillongay oon fait partie des gens qui disent à quoi bon ranger les gens dans des catégories : vivons heureux et on verra après...!

 

Résultat de recherche d'images pour "pêche à la ligne" je veux tout ! Et je suis patient… très patient…

l'original :  https://cyrillo.biz/histoire-gay-2013-Ah-ces-heteros-01.php

Ah... ces hétéros...

Salut à vous chers lecteurs. Les récits qui vont suivre sont nés dès suite de l’excitation éprouvée à ma propre lecture de certains récits d’auteurs anonymes tels que vous. Lecture qui m’a donné l’envie de communiquer à mon tour le désir et le plaisir par ma plume. Ces mêmes histoires que je vais vous conter sont nées de certaines expériences, ou de fantasmes… parfois même, elles mélangeront les deux.
Je me nomme Daniel, j’ai 27 ans. Physique plutôt agréable… voir très agréable ! 1m78, 75kg tout en muscles, que mon travail dans la métallurgie me permet de cultiver sans perdre mon temps à la gym. Cheveux noirs corbeau, yeux bleus-gris. La nature a été diront nous, quelque peu généreuse avec moi. Je suis passionné par la musique, la nature, j’aime cuisiner et je peins des corps nus. J’ai une allure plutôt hétéro, comme le milieu dans lequel j’évolue… Et j’aime ce milieu, j’aime les hétéros…. C’est ça mon truc… ! Je kiffe les détourner du droit chemin ! Quel intérêt de me taper des mecs qui bavent déjà sur moi … même si ça reste agréable. Mais tellement simple quand ils n’attendent que ça. Non, vraiment, la vraie victoire est d’aller dénicher de bonnes salopes chez ceux qui s’ignorent voire se l’interdisent et luttent contre leur nature profonde. Même s’il n’en a pas toujours été ainsi. Les tous débuts n’étais pas si drôles, laisser moi vous raconter ces histoires…

I / Edouard

La première histoire m’est arrivée il y a 8 ans, c’était en Février et j’étais dans cette boite depuis un peu plus d’un an seulement, un an dans le métier que j’exerce aujourd’hui, j’étais donc plus jeune moins baraqué… mais pas moins sexe ! Et je savais déjà utiliser mon pouvoir de séduction, bien que plus maladroitement… Cela a bien changé… Bref ! Une journée d’octobre, démarrait comme toute autre journée de travail il est 5h, et j’entends parler de l’arrivée d’un nouvel intérimaire qui venait remplacer celui parti le vendredi précédent. 8h00, l’équipe de journée arrive, et quelques dizaines de minutes plus tard, accompagné d’une pure bombe, le directeur du personnel qui vient nous présenter ce beau mec comme notre nouveau collègue, Edouard. Environ 1m75 corps taillé comme un athlète, blond foncé, les yeux bleus… et à priori très beau paquet et cul sublime moulé dans un jeans bien serré… Edouard me sert la main et mon chef me demande de le former… Quel pied ! Pas de problème !

Je commence par lui expliquer les quelques informations concernant la sécurité… Cela aurait été tellement dommage d’abîmer un si joli corps ! Puis on commence la formation et les jours passent, le collègue devient un personnage plutôt sympathique et nos journées de travail sont mafois bien agréables. On plaisante l’un avec l’autre, on commence à se voir en dehors du travail, je lui montre mes toiles de mecs et nanas à poil. Il me félicite et on apprend à se connaitre. Il se moque pas mal d’un des mecs de la boite qui fait très efféminé… pour ne pas dire carrément folle ! Je lui cache donc mon homosexualité. Et puis Edouard est un mec assez secret, je sais qu’il aime le reggae et le dance hall. L’univers festivalier, comme moi. Je sais qu’il a une copine depuis près de 4 ans… mais à part ça je n’en saurai jamais plus. Alors me taire sur ma vie sexuelle me paraît une assez bonne idée… les quelques réflexions qu’il peut faire sur les pédés  sont peu reluisantes… il n’a pas l’air d’aimer les homos… quel gâchis ! me disais-je…
Et un beau jour au taf, monsieur décide d’en livrer davantage sur sa personne…

« Je kiffe la baise ! me dit-il.
_ Ben oui moi aussi, comme tout le monde je pense.
_ Nan je veux dire je kiffe vraiment ça, c’est une drogue !
_ Ah t’es une nympho, tu veux dire !!!
_ D’une certaine manière… Même me faire sucer par un mec, ça me plaît… Tant que j’ai la queue bien raide, ça me va… »
Je me suis senti mal à cette révélation… m’avait-il percé à jour, et prêchait-il le faux pour avoir le vrai… Après toutes les saloperies qu’il avait pu balancer sur Yann (la folle…) Un long silence demeurait…. Puis il revint à la charge.

« Tu dis rien…
_ Tu veux que je dises quoi… ?
_ Ben je sais pas moi, tu t’es déjà fais pomper par un mec ?
_ Pourquoi t’as envie de ma bite !!! en riant pour masquer mon malaise et surtout ne pas répondre…
_ Tu réponds pas à ma question… Mais non je suis hétéro et je ne suce pas. T’es malade ou quoi… Y’a que les pédés qui taillent des pipes… »
Décidément il ne lâche pas le morceau et en plus il joue les gros cons… Du coup je la joue franc jeu.
« Si tu veux savoir si je suis gay, la réponse est oui… mais, toi tu t’es vraiment fait pomper par un mec… ?
_ Oui, et pas qu’un. Y’avait même un mec, quand j’étais en internat à l’âge de 17-18 ans avec qui j’avais essayé plus… mais j’ai pas aimé. Du coup il me suçait, je lui défonçais le cul… mais c’est tout.
_ Ouais, j’ai bien compris… t’es un mec, un vrai !
_ C’est ça… Pas trop déçu…
_ Pourquoi… le monde grouille de beaux mecs… au cas ou tu pensais être le seul mec attirant de la planète… Pas trop déçu ?! »

Du coup il rit et la tension redescend. On continue notre journée de taf, et deux semaines passent sans que le sujet revienne sur le tapis. Jusqu’à un vendredi de Juillet où il me propose de l’accompagner pour un festoche dans un département voisin. Un groupe qu’on adore tous les deux se produit ce soir là. Je lui dis qu’évidement je suis partant. Et on part du boulot ensemble pour aller préparer notre week-end à ce festival. On passe juste chez moi, puisqu’il a, me dit-il, déjà tout ce qu’il lui faut. Je prends un sac à dos dans lequel je glisse deux calbuts et deux paires de chaussettes, un t-shirt et quelques capotes que je prends soins de planquer… on sait jamais ! Je prends mon portefeuille, J’ouvre le frigo et je prends quelques bières… un bon festoche c’est class, mais leurs bières sont dégueulasses lui dis-je. Il se marre et me confie qu’il est d’accord. Je prends ma toile de tente, mon sac de couchage, et ma caisse curver « spéciale festoche » que je lui demande de prendre, un bidon de 5 litres d’eau et on part.

Je vous passerai les détails des concerts de la première soirée… tout est cool on danse bien, on picole bien. Super première soirée qui se termine et on s’en va comme tout le monde vers le camping. Là, près de la voiture, on se prépare à installer notre campement.

Je prends donc ma « 2 secondes » que je déplie en deux secondes… Edouard me regarde… complètement saoul, et me dis…
« La vache, faudrait que je m’en achète une comme ça, ce serait moins galère que ma vieille tente de merde… il se dirige vers le coffre de sa bagnole, l’ouvre et ajoute… ben de toute façon je l’ai zappée…
_ C’est con ça… tu vas faire comment ?
_ Ben t’as l’air d’avoir de la place pour 4 dans la tienne…
_ Ben c’est pas gratuit… lui dis-je avec un petit sourire au coin des lèvres.
_ T’es sérieux là… visiblement gêné.
_ Mais non, c’est bon, amène-toi. »
On se couche donc, et la première nuit se passe ainsi, en dormant comme deux simples potes, à l’hôtel des culs tournés comme dirait ma frangine.

Le lendemain, au réveil, je me lève laissant ce sublime mec en train de cuver quasi à poil dans ma quechua, je n’avais évidement pas rater le spectacle de cette magnifique trique matinale qui mettait en valeur son boxer… quelle belle queue. Un bon 19cm à vue d’œil, que je léchais des yeux en préparant le café dont l’odeur réveilla le beau mec qui me grilla en train de mater la bite…

« Le spectacle te plaît coquine ? me dit-il en se caressant la tige…
_ Ma foi… c’est plutôt un beau morceau !
_ Ben une bonne pipe au réveil, ça me le ferait bien…
_ J’imagine bien… mais tu devras attendre de rentrer chez toi pour voir ça avec ta meuf ! Avec moi, c’est donnant-donnant !
_ Ok… dommage. En tout cas cool pour le café… c’est ça qu’il y avait dans ta caisse « spéciale festoche »… carrément class, t’es vachement bien équipé !
_ Et t’as pas vu l’équipement sous le pantalon ! »

Il se marre, prend le café que je lui tends et se roule un joint. Sans prendre la peine de relever ma petite réflexion. Et la journée se passe sans un mot concernant le sujet qui nous met mal à l’aise, moi crevant d’envie de baiser avec lui, mais le faisant mariner, car je sais que plus t’as du mal à avoir quelque chose, plus tu le veux… et lui voulant se faire pomper mais sans rien donner de plus… et même si je kiffe ce mec… ce que je veux, c’est certainement pas être juste sa pute… je veux tout ! Et je suis patient… très patient… Il ne me faudra pourtant pas atteindre plus d’une journée pour voir Edouard se révéler enfin ! Le soir même, après la deuxième et dernière soirée de festoche, le beau gosse encore bien bourré, se désape entièrement pour se coucher… Je matte et tousse, lui demandant s’il n’enfile pas un calbut pour la nuit…
« Ben vu que t’as l’air d’apprécier sa présence, je te la laisse à l’air, tu finiras bien par craquer et me pomper…
_ L’espoir fait vivre lui dis-je… C’est donnant-donnant, souviens-toi… ?
_ Je me rappelle… t’inquiètes ! Et au passage, ton équipement sous le pantalon, j’ai vu aussi… j’suis juste plus discret que toi.
_ Ah bon… Ben heu…
_ Bon tu te mets à poil, ou on discute toute la nuit… ? »

Il fallut quelques secondes pour assimiler ce que je venais d’entendre… alors que je lui tournais le dos. Etre sûr… Après tout j’en avais un bon coup dans le nez aussi… Est-ce que je n’étais pas en train de me faire un film, de rêver tout éveillé… Mais ses mains en train de me dessaper me confirmaient que j’avais bien entendu.
Il m’enleva d’abord mon T-shirt. Je le sentais là , derrière moi, tout contre moi. Ses mains douces et fortes à la fois, caressant chaque parcelle de mon torse, puis de mon ventre. Elles prirent la direction de mon jeans, où elles dégrafèrent ma ceinture en moins de temps qu’il ne faut pour le dire… ma respiration s’accélérait de même que les battements de mon cœur. Sa respiration aussi s’intensifiait, et je sentais son souffle chaud dans ma nuque. Une de ses mains se glissait alors dans mon pantalon et y attrapa ma queue déjà bien raide. Il me massa un moment puis me déshabilla entièrement après m’avoir mis sur le dos. Nous nous retrouvions nus tous les deux, lui, à genoux entre mes deux jambes, me regardant dans les yeux et ne disant mot. Moi allongé sur le dos, le regardant, n’en disant pas davantage. Ses mains caressèrent mes cuisses de chaque coté de lui et remontèrent en direction de ma queue aussi longue et large que la sienne…

il me branlait lentement et longuement avant de se décider à s’en approcher et de me sucer enfin. Sa bouche était juste divine. Il léchait, branlait et pompait mon chibre de plus en plus vite et de plus en plus profondément… De temps en temps il ressort ma queue de sa bouche et reprend haleine en léchant mes couilles, et me branle lentement ma tige dégoulinante de salive… il est doué ce con… et il pourra bien me dire ce qu’il veut… mais il y a maîtrise de l’art de la pipe là… Alors le coup de l’hétéro pur jus… à d’autres ! J’en peux plus et lorsqu’il reprend ma bite en bouche, il faudra peu de vas et vient dans sa gueule pour la remplir… je le préviens par courtoisie, mais il me garde en lui et je crache tout mon jus au fond de sa gorge.

« Et il avale en plus… Donner un mec comme toi à une meuf, c’est du gaspillage !
_ Ah ah ah ! Ferme ta gueule et rends-moi la politesse salope !
_ Ok… mais pour info, les insultes et la soumission n’a aucun effet aphrodisiaque sur moi… donc t’es mignon et tu me la refais poliment s’il te plait… Ou tu te la mets sur l’oreille !
_ Comme tu veux… Ferme ta gueule, et rends moi la politesse salope, S’il te plaît !!! »
J’éclate de rire, et me jette sur lui, le retourne et m’allonge sur lui…. Je l’embrasse dans le cou et lèche chaque partie de son anatomie tout en descendant le long de son corps. En passant sur son torse, je tète ces beaux tâtons, je les lèche, les mordille, les pince… il aime ; il gémit… sa queue est bien dure contre moi… je continue alors ma lèche-descente vers son beau chibre… je l’ai en main et le branle… et à mon tour m’apprête à le pomper aussi magistralement qu’il le mérite…
« - Par contre j’avale pas moi…
_ M’en fous, suce ! »

Et d’une main derrière ma nuque, il avance ma tête vers sa grosse queue. Ca y est, je l’ai en bouche, je le pompe lentement, et je lèche, putain qu’elle est bonne, putain qu’elle sent bon, je la branle contre ma joue, pendant que je lèche la base de sa belle pine et ses couilles. Je le reprends en bouche et suce et lèche encore et encore, alternant les deux, j’aime son bon gros gland bien rond, dur et juteux… je salive, je suce et tète encore et encore, de plus en plus vite. Il adore ma bouche et me donne de légers coups de reins pour que la lui fasse gorge profonde… j’étouffe et manque de gerber… je cale ma main à la base de sa queue et le laisse continuer à donner ses coups de reins qui l’excitent tant… il vient, je le sens se crisper, il me tape sur l’épaule et se retire et m’envoie la sauce dans la gueule dans un râle énorme… Là il me met sur le dos, s’allonge sur moi et lèche son propre jus sur ma gueule… je m’apprête à l’embrasser mais il me repousse et me dit qu’il n’embrasse pas. Mais continue de lécher jusqu’à la dernière goutte de son foutre. Puis me lèche le cou, puis le torse et me dit…
« Putain, t’as encore joui… Elle est bonne ma queue hein !? Attends je vais te nettoyer… »
Et il reprit sa lèche afin d’avaler mon jus à nouveau sur ma queue qui se raidissait une troisième fois…
« Ben mon salaud… tu m’kiffe hein ! »

Il mit quelques coups de langue sur ma bite puis vint s’allonger contre moi et me branla jusqu’à me vider les couilles complètement et avala mon foutre et le sien qu’il avait déchargé sur mon ventre une dernière fois. Il s’allongea à nouveau près de moi après m’avoir remercié de l’avoir si bien pomper…
« Ben écoutes, je sais qui doit remercier l’autre… t’étais je pense bien meilleur que moi…
_ Je n’avais pas le choix… je la voulais ma pipe… »
Genre, le mec, il fait ça juste pour se faire pomper… En tout cas… il aime le jus. Aucun doute à ce sujet. Le lendemain au réveil, il m’ignore, genre il regrette… Il évite le sujet comme mon regard. On rentre, il me dépose chez moi, refuse une bière et repart direct chez lui. Les semaines passent, taf sans problèmes mais vraiment pas d’échanges entre nous, il esquive pour ne pas bosser avec moi… Bref l’ambiance entre nous c’est pas ça. J’aimerais avoir une discussion avec lui et régler le problème, mais il évite de se retrouver seul avec moi et ne répond pas au téléphone ni aux texto…

Ça devient particulièrement tendu entre nous… Jusqu’à cet évènement, ma bagnole tombe en rade. J’allais bosser en stop ce jeudi là de septembre, j’arrivais avec près de deux heures de retard. Pour rentrer, même galère pour rentrer… je partais à pied, et après seulement quelques mètres hors du parking de l’usine, Edouard s’arrête à mon niveau et me dit de monter, qu’il me ramène chez moi.
« Tu vas pas te taper encore 30 bornes à pieds…
_ Parce que t’en as quelques chose à foutre… ?
_ C’est bon, monte je te dis… »
Je monte, et le remercie. On ne dit rien ni l’un, ni l’autre dans cette foutue voiture pendant la moitié du trajet… Puis malgré la boule au ventre…
« Faut qu’on parle Edouard.
_ J’vois pas pourquoi, on a rien à dire, ni l’un ni l’autre.
_ Je ne suis pas d’accord… Ce qui c’est passé au festoche, je comprends pourquoi ça te met mal à l’aise, mais tu…
_ Il s’est rien passé, on était bourré, on a fait une connerie, c’était naze…
_ Ben écoute, jouir trois de suite, je trouve pas ça naze du tout !
_ Arrête, on en parle plus ! OK ?
_ Comme tu veux, mais ne m’ignore plus s’il te plaît…
_ Ça marche »
On arrive chez moi et il repart aussitôt après m’avoir dit qu’il passait me chercher à 4h30 le lendemain pour le boulot.

Ainsi notre relation redevint peu à peu ce qu’elle était avant cette folle nuit. Il était venu me chercher le lendemain et m’avait ramené après le travail. Il était resté pour l’apéro puis était reparti, après m’avoir dit de lui envoyer un texto si j’avais besoin qu’il vienne me chercher pour le taf dans le cas où ma voiture ne serait pas réparée lundi.
Ce fût le cas, trop de frais à faire pour la réparer, ça ne valait absolument pas le coup, je devais en changer. Et du coup il se proposait de me servir de chauffeur jusqu’à ce que je change de voiture. Ce qui prit environ deux semaines. Une semaine de plaisir avec lui. Il s’attardait de plus en plus le soir. La vérité c’est que j’étais en train de tomber amoureux de lui. Plus j’en apprenais sur lui, Plus je fondais littéralement. Devais-je aborder le sujet, ou réfréner mes sentiments naissants… ? Le plaisir d’être avec lui était gâché par la torture de ne pas lui dire ce que j’éprouvais pour lui. Durant ces deux semaines, il se trouvait présent ce vendredi après-midi où je recevais un coup de téléphone d’un homme qui me commandait un tableau de nu masculin pour mettre dans son salon, je pris la commande sous les yeux ébahis d’Edouard, qui de toute évidence, se demandait comment une personne pouvait passer ouvertement une commande si particulière. Et surtout comment il pouvait être prêt à y mettre le prix que je lui avais annoncé…

L’homme en question me demandait un tableau de 1m20 par 65cm en peinture à l’huile, représentant un homme jeune au physique agréable et imberbe se masturbant et se doigtant. Sa position devait être aussi excitante que possible… J’expliquais à Edouard que le plus dur n’allait pas être de peindre le sujet, mais de le trouver… ! A ma grande surprise, Monsieur se proposa comme modèle…

«  C’est gentil, mais je ne trouve pas que ce soit une très bonne idée…
_ Je te jure que ça me gène pas…
_ Moi si !
_ Mais tu m’as bien dit que tu peignais, que t’aies une pomme ou un mec ça te faisais le même effet… non ?
_ Là c’est différent…
_ Ouais je suis mieux qu’une pomme c’est clair, mais en quoi je différent des autres mecs que tu as peins la pine à l’air…
_ Parce que c’est toi…
_ Oui… et ? Parce qu’il y a eu cette histoire… ?
_ Pas seulement…
_ Dis moi… ?
_ C’est gênant Edouard. Mieux vaut changer de sujet…
_ Nan, je veux savoir pourquoi tu ne veux pas de moi comme modèle…
_ Parce que je suis en train de tomber amoureux de toi… »
Un long silence, puis il me dit que si je changeais d’avis, ou si je ne trouvais personne d’autre, il resterait dispo…
« C’est tout ce que ça te fait ? J’viens de te dire que…
_ J’ai entendu ce que tu as dit… j’ai bien compris. Qu’est ce que tu veux que je te dise… C’est normal… j’suis une bombe… Et j’ai une super bonne queue… Normal que tu me kiffes…
_ T’es con ou quoi ?
_ Ecoutes… ça me gêne pas, mais faut juste que tu gardes à l’esprit que toi et moi, c’est mort… il se passera plus rien. C’était top mais une fois c’est suffisant…
_ Et tu crois que je me contenterais de ça… ? De cette explication de merde pour passer outre ce que je ressens… ?
_ Il va bien falloir… T’inquiète pas… ça te passera avec le temps. »

Je secouais la tête, il ne comprenait rien, ou ne voulait pas comprendre. Mon téléphone sonna, je décrochai. C’était ma banquière qui m’annonçait que le crédit auto était accordé. Et que les fonds seraient sur le compte sous 24h. J’appelais donc le propriétaire de la Seat Leon que j’avais vu la veille et qui m’intéressait que je prenais bien son véhicule… Ce jour là il me proposait de passer la soirée ensemble et de m’emmener le lendemain aller chercher ma nouvelle voiture. Ce vendredi soir, nous passâmes la soirée chez lui. Sa copine était en week-end chez ses parents. En arrivant à son appart, il alla prendre une douche. Quand il en sortit, avec une simple serviette autour de la taille, je ne savais où me mettre… son corps encore mouillé, l’odeur de son gel douche noix de coco… il passa près de moi en se dirigeant vers sa chambre et me sourit… je me demandais à quoi il jouait…J’étais troublé… et lui demandai donc si je pouvais aller à mon tour prendre une douche.
« Fais comme chez toi… Je t’apporte une serviette propre… vas-y, je te la mettrai sur le lavabo… »

Il me demandait d’aller me foutre à poil sous la douche, et me dit qu’il entrerait pendant que j’y serais pour y déposer une serviette… Je trouvais ça étrange… il aurait pu de la même manière me donner la serviette avant d’aller se changer et avant que j’aille me doucher non ?... Bref, je partais me doucher, et me mis à poil, m’attendant à le voir débarquer pendant que je me savonnerais… Après m’être déshabillé, je commençai à me doucher. Mon imaginaire se mit alors en route pendant que je me savonnais avec son gel douche…
Je me dessapais posant mes vêtements à l’arrache sur le sol, me restait seulement mon boxer quand Edouard entra dans la salle de bain, nu avec ma serviette… et me demanda s’il ne me manquait rien…
« Si… toi !
_ Ben voilà je suis là beau mec... »

Il me prit alors par la taille et m’embrassa langoureusement tout en m’enlevant mon calbut. Puis il me conduit sous la douche, et mis l’eau à couler doucement. Il m’embrassait toujours en me caressant les fesses avec force. Je lui en faisais autant, puis le fis se retourner afin d’entamer ce qui deviendrait sa meilleure branlette. Ainsi tout en frottant ma queue entre ses fesses, j’astiquais la sienne vigoureusement en continuant de lui rouler une bonne pelle… Puis doucement je commençai à lui enfoncer doucement ma tige sans qu’il ne me repousse…

« Ben dis donc, c’est mon gel douche qui te met dans cet état ??? »
Edouard, était là près du lavabo, où il venait de déposer ma serviette comme convenu. Il n’était pas à poil, comme je venais de me l’imaginer… moi j’avais une trique monumentale… il souriait…
« T’inquiètes pas mec ! Y a pas de mal à se faire du bien !!! Hé hé… Continue !!! Et il sortit de la salle de bain. »
Je finis ma douche sans prendre la peine de finir de m’astiquer le manche, m’habillai et l’ai rejoint dans le salon où il m’avait préparé un apéro qu’il me tendit :
« Sky sans glace, sans coca !
_ J’vois que tu me connais bien ! en lui souriant…
_ Dis-donc tu t’es finis rapidement…
_ Wouaip… j’ai rien fini du tout.
_ Merde, désolé si t’ai coupé ton envie…
_ Pas grave ! Santé, Bonheur…
_ Et pipe à toute heure…
_ Hé hé hé… on va l’éviter celle là !!! Inutile de remuer le couteau…
_ Ok… ben joie dans ta sœur alors…
_ Nan ben je préfère l’autre finalement ! »

Et on continue la soirée en se marrant de la même manière…
Je prépare le repas, et il ressert un apéro… j’en ai déjà tellement bu que je ne saurais dire à combien on en est ! Ce que je sais c’est qu’on s’en tient une bonne une fois encore et qu’il vient d’enlever son t-shirt prétextant qu’il avait chaud. On mange tranquillement, devant un film qu’il a choisi. Un film d’action à la con genre hyper tension…
« A part les muscles de l’acteur, y a pas grand-chose qui me plaît dans ce film… mais bon faut savoir faire plaisir à son homme… lui dis-je sur le ton de l’humour…

_ Ben t’aura qu’à mater mon torse et mon paquet pendant que je regarderais le film…
_ Heu… wouais si c’est le ton de la soirée… ça risque de déraper…
_ Nan je t’assure ça risque pas ! »
Il nous ressert un verre chacun… puis réalise qu’il a loupé une émission … je ne me souviens plus du nom de l’émission en question, c’était une connerie du genre l’ile de la tentation ou du même genre… Et la soirée prend une tournure bizarre… bref je lui dis à ce moment là…
« Mais non, c’est le samedi.
_ Non, non… c’est le vendredi. Je la regarde toutes les semaines.
_ Ben écoutes, mon chéri… soit ils passent ton programme adoré deux soirs de suite… Soit c’est bien le Samedi, ça tombe le même soir que Poltergeist… je le sais, je zappe dessus pendant les pubs.
_ Nan, j’te dis, tu dois te planter… c’est le Vendredi… J’suis pas fou.
_ T’énerves pas. J’te dis pas que tu es fou, J’te dis juste que Poltergeist, c’est tous les Samedis, en deuxième partie de soirée, que je regarde cette série, et que pendant les pubs, quand je zappe, je tombe sur ta merde… sans vouloir être malpoli !!!!
Il s’énerve…
_ Arrête de dire de la merde et de me faire passer pour un con, j’te dis que c’est le vendredi et que je l’ai loupé…
_ OK, ok… t’énerve pas. Déjà ça vaut vraiment pas la peine de se prendre la tête pour ça, et puis entre nous, si tu savais comme je m’en tape…
_ Tu me crois pas… ? Tu veux qu’on parie… ?
_ Tu sais bien que je ne parie jamais Edouard.
_ T’as pas envie de perdre hein…
Là c’est moi qui commence à perdre patience, et il commence un peu à me gonfler avec son histoire de pari sur le jour d’un programme… en plus un programme aussi naze…
_ Non, je suis sûr de moi, mais admettons, si on pariait, on parirait quoi ?
_ Je suis tellement sûr de moi, que je te laisse choisir… me dit-il d’un air hautain pas franchement agréable.
Je bous intérieurement…
_ Ok… je souris
_ Alors… ? Tu veux parier quoi… ?
_ Le perdant devient l’esclave du gagnant tout le Week-end…
Il a un moment d’hésitation, puis me tape dans la main… et me dit :
_ Tu vas bientôt regretter… il a un sourire nerveux. »

Il attrape près de lui le magazine télé et commence à chercher son programme sur la journée du Vendredi, et ne trouve pas ce qu’il cherchait… Il blêmit… Bafouille en me disant que son programme a sûrement été remplacé depuis cette semaine… Ce à quoi, je lui réponds, que c’est peut-être parce que son émission est tout simplement diffusée le Samedi et qu’il devrait plutôt jeter un œil du coté de cette journée de la semaine… Il cherche la journée en question… et ne la trouve pas… ben Merde ils ont fait un magazine qui ne couvre que Six jours sur Sept… c’est naze comme concept !!!! J’attrape le magazine et effectue la recherche moi-même pour le mettre face à son échec… Ce qui est fait en deux secondes !

Il admet sa défaite… et me demande ce qu’il doit faire… je lui demande donc de me masser les pieds, j’ai aperçu un flacon d’huile de massage dans sa salle de bain… Il s’exécute en me souriant. Pendant plusieurs minutes il me masse les pieds… Et je dois dire qu’il s’y prend divinement bien… Si bien que je lui demande de me masser le dos et les épaules… J’enlève mon t-shirt et m’allonge sur le BZ. Il se met à califourchon sur moi et commence son massage… contre mon cul, je sens sa bite… c’est trop bon. Plus les minutes passent et plus le massage m’excite… et de toute évidence, lui aussi, vu la dureté de sa queue contre mes fesses. Je me retourne pour me trouver face à lui. Il reste sur moi, et je lui demande de me masser le torse et le ventre. Il obéit. Et longuement il me masse le torse en passant de temps à autre sur mes épaules et ma nuque, puis il descend vers mon ventre qu’il caresse longuement…
« Edouard…
_ Oui ?
_ Oui, Maître ! Appelle-moi Maître. dis-je en lui souriant.
_ Oui Maître ?
_ Tu bandes encore… ?
_ Non, Maître.
_ Mais bandais tout à l’heure quand j’étais sur le ventre… ?
_ Mais, euh, non, pas du tout… Maître.
_ Menteur… Dessape-toi ! »

Il enleva son jeans et laissa apparaitre une queue bien raide comme je le savais, pas de sous-vêtement, et rougit de honte.
« Allez esclave, reprends ton massage à poil…
_ Oui Maître… t’es content hein !
_ Oui, mais vu comme t’as la trique, je dirais que toi aussi ! Masse ! »

Il reprit donc mon massage à califourchon, toujours, mais cette fois complètement nu, et le dominer me plaisait, je prenais vraiment goût à ce pouvoir que j’avais sur lui… Le voir obéir à tous mes ordres était vraiment très excitant. Il commençait à faiblir à force de me masser, je ne m’en étais pas aperçu, mais il me palpait depuis déjà depuis plus d’une heure. Je décidai donc de passer à la vitesse supérieure et lui en fis part… suite 1

Ramon

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Mardi 14 mai 2 14 /05 /Mai 15:43

C’est dans notre enfance que se consolide, ou non, notre confiance face à la vie. L’attitude de nos parents est bien sûr déterminante. En

bien ou en mal.

Par Isabelle Taubes  Revue Psychologies   Mis à jour le 14 Mai 2019 à 10:18
On ne naît pas timide, on le devient
© iStock
  • Je n’ose pas m’affirmer ", " je ne sais pas dire non ", " j’ai peur du jugement des autres ", " je suis timide ", " je perds mes moyens quand je dois parler en public ", " quand je suis amoureux, j’ai le sentiment de ne pas mériter d’être aimé en retour ", " j’ai l’impression d’être sans valeur "… Autant de façons de faire entendre que l’on n’a pas confiance en soi.
    " En fait, l’expression “manque de confiance en soi” est un fourre-tout qui, sur le plan théorique, ne signifie rien, explique Gérard Louvain, psychothérapeute. En l’utilisant, le patient révèle que quelque chose ne va pas dans ses relations à lui-même ou aux autres, à l’amour ou au travail : ça ne marche pas, “parce que” je n’ai pas confiance en moi. En outre, on peut être très à l’aise dans le domaine professionnel et pas du tout dans sa vie affective. Etre performant pour lancer un projet et totalement inhibé à l’idée de négocier une augmentation de salaire. D’où la nécessité d’inviter la personne à décrire “comment ça cloche” pour elle, afin de comprendre l’origine du problème. "

Le constat " je n’ai pas confiance en moi " est toujours le produit d’une histoire singulière. On ne naît pas timide ou complexé, on le devient. Toutefois, on repère un point commun : c’est à partir des péripéties de la relation aux parents qu’ont surgi les éléments ayant donné lieu à ce manque de confiance en soi. Plusieurs types d’attitudes parentales, conscientes ou pas, sont en cause, même si les parents ne sont jamais entièrement responsables des névroses de leurs enfants. C’est parce qu’on les aime, qu’on les admire, qu’on les sacralise, qu’ils influent de la sorte sur notre destin.

 

 

Résultat de recherche d'images pour "gay boy watching his NOTEBOOK super protective mom" Môme ! fais attention à ce que tu regardes sur ton ipad !

Les parents qui projettent leurs rêves sur leurs enfants

" C’est fou ce que tu manques de grâce ! " déclare la mère irritée par l’aspect un peu pataud de sa fillette de 5 ans. Elle avait rêvé de devenir danseuse, en vain. Pour se consoler, elle avait espéré donner le jour à un futur petit rat de l’Opéra… On le sait depuis Freud, les parents ne peuvent s’empêcher de projeter leurs rêves de grandeur sur leurs enfants : là où ils ont échoué, leurs petits réussiront. Mais certains tiennent trop à leur rêve pour accepter l’enfant tel qu’il est. Et quand ils s’aperçoivent qu’il ne comblera pas leurs souhaits, ils en conçoivent une immense déception, suivie de représailles en forme de dénigrement systématique. Et puisque les paroles parentales ont valeur d’oracle, l’enfant s’imagine qu’effectivement il ne vaut pas grand-chose. D’où des inhibitions susceptibles de toucher divers domaines – l’amour, le travail, la relation à autrui –, de préférence ceux qui ont été fortement investis par les parents.

 

Résultat de recherche d'images pour "gay boy watching gay clips on ipad"ah môme j'adore te voir mater les gars qui se paient toutes les filles !

 

Le refus de voir les problèmes

"Quoi qu’il arrive, tu réussiras dans la vie !” me répétait mon père. Je comprends maintenant que c’était un déni de mes difficultés : il ne voulait pas s’inquiéter pour moi. Résultat : un rien me déstabilise, confie Catherine. Aujourd’hui, j’ai une petite fille et je sais qu’aider un enfant, c’est être attentif aux signes d’inhibition : pourquoi il a si peu d’amis, pourquoi il n’ose pas s’exprimer à l’oral en classe… " Des parents, déjà encombrés par leurs propres problèmes, auront malheureusement tendance à jouer la politique de l’autruche. Difficile de leur jeter la pierre. Même s’il n’est pas rare que cet aveuglement signifie, plus tard, pour leur progéniture devenue adulte, quelques années sur un divan, à traiter des inhibitions qui, abordées dès l’enfance, auraient rapidement disparu. Autre cas : les parents qui préfèrent ne rien voir pour se préserver psychologiquement. Pour ceux-là, plutôt brillants et à l’aise en société, un enfant timoré (et souvent il l’est, parce que trop intimidé par eux) entraîne une blessure de leur amour propre.

 

 

 

La surprotection

" Pas question que nous t’offrions une Mobylette, tu pourrais avoir un accident. " Les parents anxieux ont tendance à surprotéger leurs enfants : la vie est si dangereuse, lorsqu’on la contemple sur fond d’angoisse… Or rien n’est plus contagieux que ce sentiment qui vous envahit sans que vous puissiez le contrôler. Papa et maman ont peur pour leur enfant, le croient sans cesse en danger de mort ? Il intériorise leur peur et commence à craindre lui aussi pour son existence ! Il se met à éviter les activités susceptibles de présenter un risque. Il accumule les précautions. Et perd peu à peu confiance en lui. " De plus, l’anxiété, affect très mobile, peut parfaitement se métamorphoser en une peur d’affronter les autres ou de faire face à l’autorité, observe Gérard Louvain. D’où, plus tard, des inhibitions et des peurs dans des domaines sans lien apparent avec la cause première de l’angoisse. "

L’absence de transmission d’un idéal

Les parents de Stéphanie, de grands pessimistes, ne lui ont jamais permis de penser qu’elle pourrait mener une vie conforme à ses espérance. Au contraire, ils lui ont seriné que, dans l’existence, il faut se contenter de ce que l’on a. Du coup, devenue adulte, elle s’ennuie à mourir dans son job mais n’ose pas en changer… " Ce qui nous incite à oser les changements, ce sont nos idéaux intérieurs, explique Elisabeth Martin, psychothérapeute. Mais pour les construire, il est nécessaire d’avoir eu des parents qui croyaient en vous, qui vous ont encouragé à écouter vos désirs. "

La survalorisation

" Ma fille est extraordinaire. Elle est d’une intelligence rare. Et quelle beauté ! " affirme la mère, tandis que la petite, gênée, ne sait pas où se mettre. Pour s’attribuer une valeur, se respecter soi-même, encore faut-il avoir été respecté et valorisé. Toutefois, " la survalorisation est aussi néfaste que la dévalorisation, poursuit Elisabeth Martin. Elle fragilise tout autant, car elle ne permet pas d’acquérir une conscience exacte de ses potentialités réelles. Elle condamne l’individu à se mesurer sa vie durant à l’image surdimensionnée que ses parents lui ont demandé d’incarner. Et il ne peut qu’échouer, se sentir insuffisant ".

 

Résultat de recherche d'images pour "father dreaming of a hetero son" Plus tard, mes jumeaux, vous serez...des tombeurs de gonzesses  

 

Les désirs parentaux inconscients

Nettement plus ravageurs sont les désirs parentaux inconscients, surtout quand ils sont hostiles. Parce que l’inconscient est justement ce que personne ne peut maîtriser. Or il existe des parents suffisamment infantiles et névrosés pour voir en leurs rejetons de dangereux rivaux, dont la réussite leur porterait ombrage. Le psychisme de l’enfant enregistre les vœux de ses parents et, effectivement, fabrique des symptômes en forme d’empêchement, de blocages, de peurs.

Le rôle des relations parents-enfants dans l’apparition du manque de confiance en soi n’est donc plus à démontrer. Toutefois, si une enfance peu propice à l’épanouissement est un handicap, elle est rarement une infirmité définitive. Il reste toujours possible, à l’âge adulte, de reprendre en main les cartes de son destin.

 

 

 

 

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Mardi 14 mai 2 14 /05 /Mai 07:30
  • Résultat de recherche d'images pour "les pyrénées de charles trenet jeune" Tout le monde il est pédé vous saviez pas ça ?
  •   Comment il a pu faire ça ? dit-il à haute voix.
  • Il reprit, en hochant la tête :
  • Il a pas froid aux yeux, ce drôle…

Puis, avec quelque chose de louvoyant dans l'expression :

  • Et dire qu'il est pédé… c'est à n'y rien comprendre.

Résultat de recherche d'images pour "les pyrénées de charles trenet jeune"

Catastrophe atomique ? on ne sait pas...La nuit étendait son voile sinistre sur la pauvre masure dans laquelle croupissaient les deux survivants. Bientôt, elle ensevelit tout et ne laissa plus des silhouettes qui étaient là que des ombres indistinctes.

Les ombres s’endormirent...

MALEVIL facon PD !YVES EST L'AUTEUR DE  "Les survivants " ici le ch.-7

Pendant les trois jours suivants, Servan n'eut pas un mot, pas un regard, pas une expression propre à trahir son secret. Jason ne s'étonnait pas peu de ce comportement entre cuir et chair, mais paraissait devoir lui décerner la moindre importance qui répertorie les lubies d'un godelureau dont les rouages et les ressorts lui étaient devenus familiers.
Cela fit qu'il baissa la garde.

Baisser la garde, c'est-à-dire ne plus entourer son déshabillage du soir du luxe de précautions qui lui servait jusque-là de garde-fou.
Servan était à l'affût et attendait le gibier. Quand venait l'heure de dormir, il écoutait, toutes oreilles en exergue, les bruits caractéristiques du bienfait qu'on se dispense sous sa couverture. Seulement, il n'était pas exclu que Jason, rendu circonspect une attitude devenue brusquement trop singulière pour être inoffensive, redoublât de discrétion et expédiât son affaire sans se dénoncer. Servan imagina alors un coup de partie qui lui mettrait dans les mains la clef des agissements de celui qu'il se proposait de confondre : dès que le silence s'établissait dans la cabane, il changeait de position, intervertissait tête et pieds et observait, grâce à l'accoutumance à la pénombre, bien à l'abri du coin du meuble qui dérobait son camarade et qui faisait là comme un promontoire derrière lequel il était aisé d'établir une surveillance assidue.
Voir sans être vu, c'est l'art suprême de tout espionnage.
La veille et l'avant-veille, rien ne s'était passé. Raison de plus pour insister.
Au soir du troisième jour, Servan sentit son coeur s'emballer. Le lent bruissement d'une main qui s'agite sous le tissu venait de rompre le silence du cabanon. Il éprouva alors un de ces vertiges qui égarent même le flegme le plus rassis. Mais l'instant n'était pas aux états d'âme, il s'agissait avant tout de se commettre à l'événement. Avec un aplomb dont il ne se serait jamais cru capable, il se souleva sur ses mains paumes à plat, s'agenouilla et, sans laisser le temps à la réflexion de contrarier son projet, exécuta une reptation vers la couche de Jason.
Ce dernier n'avait évidemment pas prévu pareille ingérence : tout à coup, une voix toute proche susurra, d'une manière particulièrement onctueuse :

  • Alors, tu t'éclates ?

Jason, surpris, mais encore plus affolé, eut une réaction instinctive facilement prévisible :

  • Eh ! ça va pas, non ? s'écria-t-il.
  • Ça va très bien, répondit Servan en continuant de ramper.

Jason avait tenté de reculer, mais l'autre le serrait à la botte.

  • Dégage, merde ! invectiva Jason, qu'est-ce que tu veux ?
  • Toi.
  • J'suis pas pédé !
  • Ah non ? fit Servan en sautant sur lui.

L'agressé essaya de se libérer, de ruer, d'échapper à l'étreinte qui lui était imposée. En vain : Servan le tenait ferme et à présent lui causait de fort près, tout son corps plaqué contre le sien.

  • Tu t'es pas branlé au-dessus de la baignoire, l'autre jour ?
  • Moi ? Non, qu'est-ce que…
  • J'ai vu ton sperme, salopard !
  • Tu dis n'importe quoi, gémit Jason.
  • Tu t'es branlé après m'avoir vu à poil en train de faire la même chose.
  • T'es con, ou quoi ?
  • Tu veux pas l'avouer, mais tu perds ta peine.
  • Arrête ! fit Jason, où tu veux en venir ?
  • A la franchise, à la fin de ton inhibition et du mensonge permanent dans lequel tu t'étouffes comme dans du vomi : ça te dirait de baiser avec moi ? Je te laisse le rôle actif.
  • Quoi ?
  • J'ai envie de mesurer la puissance balistique de ton bel objet que tu tiens caché comme un puceau sous ta couverture pour que je ne voie pas qu'il trique encore plus à mort depuis que je suis à plat ventre dessus.
  • Non, brailla Jason, pas ça, t'es qu'une fiotte !
  • Là, là, fit Servan, pas d'injures, s'il te plaît, tu t'insultes toi-même.
  • Laisse-moi, tu me fais mal.
  • Je ne te laisserai pas ; ce soir, tu vas vider ton abcès purulent, dans les deux sens du terme, c'est-à-dire au propre comme au figuré.

Jason haletait, tentant de desserrer l'étau de son camarade dont la force, supérieure à la sienne, le réduisait totalement à sa merci.
Brusquement, Servan retira d'un coup la couverture. Jason prétendit repousser ce nouvel assaut, mais l'autre s'amalgamait à lui de toute la vaillance d'un désir rendu plus attrayant par la résistance qu'il y rencontrait.
La résistance tomba. Servan entendit ces paroles, prononcées sur un ton pitoyable, tant elles trahissaient la reddition acceptée sans combattre :

  • Tu me le paieras…
  • Bien plus tôt que tu ne penses, fit Servan.

En disant cela, il avait glissé une main entre son ventre et celui de Jason. Ce dernier sentit qu'on lui empoignait le sexe.
L'ennuyeux, pour quelqu’un qui proteste de sa normalité, c'est que le contact d'un pair est censé éteindre toute disposition favorable. Or, ainsi que l'avait prophétisé Servan, l'ustensile qu'il palpait réalisait l'exacte antithèse de la cacochymie et semblait au contraire apprécier les douceurs qu'on lui prodiguait.

  • Tu vois ? fit Servan, c'est pas si méchant que ça : il suffit de s'accepter tel qu'on est.

Jason ne répondit pas. Brusquement, Servan s'assit sur lui, rectifia la posture en génuflexion et dirigea la longue barre rigide là où les garçons écrivent le dernier mot de leurs ébats.
Jason, certes humilié, mais plus en conscience qu'en faits, n'opposa plus rien au coulissement de sa vigueur dans la gaine. Pendant quelques secondes, Servan imprima le mouvement de va et vient qui conditionne l'avancée vers le dénouement inéluctable de cette osmose.
Il advint que l'agent accorda son initiative au diapason du patient. D'abord timides, ses impulsions acquirent de plus en plus d'indépendance, il se mit à soupirer, puis à geindre, tête renversée en arrière, tandis que son bassin réglait la mesure de son ascension vers la félicité.
En ce moment, Servan le souleva aux épaules, l'attira à lui par un jeu de balancement et dit :

  • Viens comme ça…

La notation d'intention de cette parole s'éclaircit lorsque Servan prit lui-même l'initiative de la réintroduction. Une longue période commença alors, épicée de tous les vertiges d'un désir désormais impossible à désavouer. Jason, inondé de sueur, poussait de brefs geignements qui attestaient sans l'ombre d'un doute que ce qu'il faisait n'appartenait plus à son domaine de répulsion, s'il lui avait jamais appartenu.
Soudain, les geignements s'accentuèrent, le mouvement s'interrompit, devint erratique, un petit sanglot troua le silence de la cabane, une rosée brûlante inonda les entrailles de Servan. Jason, ébahi par la puissance du dégorgement et l'intensité de l'éclair qui l'accompagnait, multipliait les convulsions et ne consentait pas à se retirer.
Quand la source fut tarie, il s'affaissa sur le lit comme un enfant et se mit à sangloter.

  • Pourquoi tu pleures ? fit doucement Servan en lui caressant les cheveux.
  • Ce que j'ai fait, balbutia lamentablement l'autre, c'est, c'est…
  • C'est quoi ? C'est dans ta tête que ça déconne, juste dans ta tête. Mais dans ton corps, c'était autre chose, pas vrai ? D'ailleurs, tu n'as pas à t'inquiéter, quoi qu'il advienne, personne d'autre que moi ne le sait, et personne ne le saura.
  • C'est vrai ?
  • Je n'ai qu'une parole.
  • Je suis désolé, fit Jason en reniflant.
  • Ne sois pas désolé, tu as conjuré le signe indien. Il était temps.

Quelques secondes s'écoulèrent, muettes et immobiles. Servan murmura, avec une douceur pleine d'émotion :

  • Jason ?
  • Oui…
  • Tu voudras bien le refaire ?
  • Je sais pas….
  • Il est beau de vivre dans la lumière. Et la lumière, c'est le reflet de la pureté de notre âme. Aujourd'hui, toi et moi on est devenus des espèces de frères, mi-frères, mi-amants. Ça te choque ?

Jason hésita à répondre. Il finit par bredouiller :

  • Non, mais…
  • Ecoute : le code génétique d'un être est une chose, et le conformisme social en est une autre. Si les deux sont en déséquilibre, il y a discordance. Ton drame, c'est le conflit intérieur que tu dois à la tyrannie d'un ramas de préjugés destructeurs d'une liberté qu'on t'a peinte odieuse. Il n'y a rien d'odieux à se faire du bien, et personne n'a le droit de te juger, tu entends ?
  • Oui…

Un nouveau silence succéda à cette espèce de sentence. Servan, assis au pied du lit, contemplait la nudité de ce garçon qui avait tant brillé par l'écorce d'une pudibonderie de raccroc ; l'écorce une fois exfoliée, que montrait-il ? Le tuf. Du reste, Servan n'insista pas ; il savait qu'à prolonger cette espèce de monologue, il risquait d'aggraver l'embarras de son camarade et par-là de détruire tout ce qu'il venait de conquérir.
Il allait rejoindre son lit, quand il se ravisa :

  • Et puis, ajouta-t-il, dis-toi bien que l'exception confirme la règle, et que d'aimer un mec, ça n'a jamais empêché d'aimer les filles, sauf si on leur est totalement étranger, comme c'est mon cas.
  • Bien sûr…

Toutes les réponses de Jason se faisaient rares et entrecoupées. En conscience, Servan le remerciait de l'immense effort qu'il consentait sur lui-même. N'avait-il pas cédé à un attrait que probablement il ne cessait de combattre depuis qu'il avait mesuré l'empire qu'il exerçait sur lui et qu’il exercerait encore davantage s'il avait le malheur de s'y livrer ? Ce n'est pas autrement que nous détestons, parfois jusqu'au meurtre, ce que nous sommes. Qui sait si Hitler n'avait pas des ascendances juives ?

Jason se coucha sans ajouter mot. Servan fit de même et se mit à songer.
Son propre désir n'avait pas survécu à la scène qui venait de se dérouler. Celui de Jason avait été le sien, au-delà de tout. Il ne rêvait plus que de reprendre dans ses bras cet être si compliqué, si confronté à toute la variété des conformismes délétères et des idées bifurquées que véhicule un certain milieu social. A un moment, il revint auprès de lui sur la pointe des pieds. Jason s'était endormi d'une seule masse. Servan lui arrangea la couverture, fut au point de l'embrasser mais y renonça. Il se recoucha avec au fond du coeur l'inexprimable sentiment d'avoir franchi le seuil du temple au-delà duquel le récipiendaire d'un nouveau culte découvre que le diable qu'on lui avait peint sur la muraille est en réalité le gardien du jardin d'Eden.

Yves

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Les lendemains de fête, les noceurs ont la tête lourde. Les lendemains de trahison, les sycophantes ont la conscience accablée. Or, dans l'esprit de Jason, c'était bien une trahison qu'il avait perpétrée, la pire de toutes, celle que l'on commet contre soi-même. Dès son réveil il en mesura l'énormité. Il ouvrit les yeux avec l'impression physique d'être sale. Il se dit à part soi : ce n'est pas possible…
Il n'osa ni se lever, ni même remuer. Il était la proie d'un de ces désordres intérieurs où rien n'est cohérent, où l'amplitude des visions que l'on subit prend un aspect déformant, où le dégoût et le remord s'entrecroisent et se chevauchent dans un inexprimable chaos.
Un remuement du côté du lit de Servan acheva de l'affoler. Avec une hâte presque fébrile, il se tourna sur le flanc et enfouit sa tête sous la couverture. Il devina l'ombre de son camarade qui s'approchait de lui. Une voix chaleureuse et tendre, pour lui la voix du diable, lui murmura :

  • Tu dors encore ?

Jason eut à peine la force de répondre :

  • Laisse-moi, s'il te plaît.

L'autre dut peser dans son jugement le respect de la dignité bafouée, car il ne répliqua rien tout de suite. Au bout d'un moment, toutefois, il souffla, du bout des lèvres :

  • Tu as honte ?
  • Qu'est-ce que tu crois ? balbutia Jason sans bouger d'un poil, ce qui a eu lieu hier soir, pour moi c'est la déchéance…
  • Je savais que tu réagirais comme ça reprit Servan, et c'est pour ça que je t'ai poussé à la roue.
  • Mais, c'est dégueulasse, merde…
  • C'est salutaire.
  • Quoi ?

Quoi, avait été prononcé sur ce ton lamentable qui tire la diphtongue en longueur et prête à la note une courbe ascendante. Servan reprit :

  • Il était temps que tu tues le démon.
  • Le démon, c'est toi.
  • Non, Jason, pas moi, mais toi-même.
  • Je comprends pas.
  • Tu t'es toujours joué la comédie, c'est ça ton démon.

Jusqu'ici, Jason ne s'était pas départi de sa posture lovée qui ne laissait voir à son interlocuteur que ses cheveux, tout le reste étant à l'abri des draps. Variante du syndrome de l'autruche dans lequel nous nous sommes tous réfugiés au moins une fois au cours de notre vie. Tout à coup, il fit un demi-tour complet sur lui-même, fixa son camarade au fond des prunelles et s'exclama :

  • Tu sais pas à quoi je pense, en ce moment ? A me foutre en l'air…

La réaction de Servan le désarma intégralement, en ce qu'au lieu de se condouloir avec lui, il se mit à rire :

  • Tiens donc ! fit-il, le suicide ? Et tu t'imagines que ça résout tout, ce genre de fuite en avant ? Tu vas bien te faire foutre de ta gueule là-haut quand tu expliqueras : vous savez, je me suis flingué parce que j'ai enfilé un mec.
  • Quoi, là-haut ? fit Jason avec une moue d'incrédulité, qu'est-ce tu racontes comme salades ?
  • Salades ? Mais mon cher, apprends ceci que notre bref passage sur terre, il faut tâcher de l'assumer, qu'on nous donne des équations à résoudre et que de refuser le travail, rechigner aux petits travers de notre existence, c'est se montrer mauvais élève. On attend de nous non pas une copie parfaite, pas un vingt sur vingt, mais le meilleur qu'on soit capable de donner.
  • Tu dis n'importe quoi…
  • Ah oui ! N'importe quoi ? Essaie donc de réfléchir un peu : qu'y a-t-il de certain dans ta vie, à part qu'il faudra bien lui dire adieu un jour ou l'autre ? Tout le reste est en suspens, rien de sûr, incertitude partout : tu ignores de quoi demain, l'heure suivante, la minute même, seront faits. Est-ce que tu avais prévu qu'un engin du diantre, météorite, bombe ou autre chose nous tomberait sur le nez et réduirait tout un canton en cendres ? Est-ce que tu avais prédit qu'on échouerait toi et moi dans une cabane, à crever la faim puis à se gaver la panse de bonne bouffe parce qu’on aurait trouvé une baraque où il y en avait ? Est-ce que tu savais que ton chemin croiserait un garçon du même âge que toi qui t'enfoncerait le clou là où ça fait mal et en t'arracherait le masque derrière lequel tu te déguises depuis des années ? Tu ignores tout et tu agis comme si ton unique avenir était ce globe où tu finiras mangé des vers ; c'est ça, l'aveuglement, c'est ça, l'incroyance, vivre avec des œillères, s'enfermer dans son monde fini, alors que le monde infini est là, qu'il nous attend, mais que pour y entrer il faut prouver un peu plus d'intelligence et de hardiesse que tu n'en as en ce moment. Alors, vas-y, tue-toi, si tu en as le cran, mais ne te berce pas d'illusions : ce que tu auras raté ici-bas, il faudra le recommencer.
  • C'est du pipeau, ton blabla.
  • Dans ce cas, je ne peux rien pour toi. Quant à notre… fantaisie d'hier soir…

Une brutale interruption enraya net sa phrase :

  • Arrête ! s'écria Jason, s'il n'y avait pas eu ces circonstances, cette vie recluse ici entre ces quatre murs, jamais je n'aurais seulement pensé à faire cette… saloperie.
  • Ouais ! Par hasard, tu oublierais pas ta… complaisance de l'autre jour près de la baignoire ? Ça n'avait pas l'air aussi dégueulasse que tu le clames haut et fort…
  • Oui, peut-être, mais on est deux, on est seuls, aucune fille, alors des fois ça fait comme des prisonniers dans une geôle, on n'est plus maître de soi et on se lâche. Mais si tout à coup une fille se pointait, tout redeviendrait normal.
  • Jason, fit Servan avec un air sérieux presque dur, veux-tu m'affirmer ici que même avant tu n'avais jamais songé à un mec ? Tu me prends pour un jambon, ou quoi ? Si au moment de te passer à l'acte, je m'étais aperçu de ton désintérêt sincère, je t'aurais présenté mes excuses. Mais tu as joui, mon pote, et joui avec beaucoup trop d'enthousiasme pour certifier que c'est un accident de parcours. La vérité, c'est que tu es au moins bi, si ce n'est un parfait bougre comme moi !

Jason se prit la tête entre les mains et dit sur un ton si désolé :

  • Tu veux jouer les inquisiteurs ?
  • Je veux extraire le vrai du faux : qu'est-ce tu redoutes ? Mon jugement ? Ni l'un ni l'autre on n’a le droit de se juger, je te l'ai déjà dit hier.
  • Encore faut-il ne pas employer des stratagèmes retors. Ma prétendue faiblesse pour les mecs, encore une fois c'est tout à fait fortuit, c'est le contexte qui bouleverse les hormones, c'est de l'égarement, l'exception qui confirme la règle, la faute qu'on fait une fois, mais pas deux, et jamais je n'y aurais consenti si tu t'étais occupé de tes affaires et non des miennes. Ça se domine, ces instincts-là… On a le droit d'avoir des principes et de s'y tenir…
  • Des principes ? Oui, bien sûr. Mais tes principes, Jason, je crains fort qu'ils ne s'appellent préjugés.
  • Préjugés ? fit Jason d'une manière un peu emportée, t'en as de bonnes ! Merde à la fin : un garçon est fait pour une fille et pas pour un garçon. C'est immonde de baiser entre mecs ! Même si ça plaît, parfois, ça n'en reste pas moins immonde.
  • C'était immonde, hier soir ? Pour quelqu’un qui trouve ça immonde, chapeau ! tu as le génie de mettre les mains dans le cambouis avec une rare abnégation !

 Il était clair que Jason venait de tendre lui-même le filet dans lequel il se prenait. Comme les arguments lui manquaient, l'autre poursuivit sur son élan :

  • Je connais des gens qui clament partout que rien ne leur inspire plus d'horreur que la guerre. Un conflit éclate, et ils sont les premiers à décrocher les armes du râtelier.

Un ange passa sur cette espèce d'allégorie. Jason en éprouva-t-il le cuir ? Toujours est-il qu'il ne pipa mot, plongé dans une espèce de réflexion abattue qui ne consentait pas à passer carrière.
Il fallait une voie de dégagement à ce huis clos étouffant. Ce fut Servan qui l'indiqua :

  • Bon, dit-il, je vais me laver. Tu viens avec moi ?
  • Ça va pas, non ? J'irai après…
  • Jason, tu recules devant toi-même : viens donc, je te promets de ne pas te faire d'avances.
  • Tu dis ça, mais…
  • Je tiens toujours parole, tu le sais.

Comme Jason ne bougeait pas, son camarade employa une rhétorique énergique :

  • D'ailleurs, se voir à poil, ce sera peut-être salutaire.
  • C'est ça ! Vaincre le mal par le mal, pas vrai ?
  • Exactement. Et puis, je te le redis, on est entre nous. Il n'y a personne à la ronde pour nous surprendre.
  • Nous surprendre ? A quoi faire ? A baiser ?
  • Et alors ?
  • Tu n'y penses pas !
  • Si, j'y pense, et toi aussi.
  • Sûrement pas.
  • Jason, arrête tes simagrées : si j'étais venu ce matin me glisser contre toi, qu'est-ce que tu aurais fait ?
  • Qu'est-ce que je peux faire ? T'es plus fort qu'un turc !
  • Mes muscles, je les ai utilisés à bon escient, pour te contraindre à quitter la tour d'ivoire où tu me jouais les hétéros officiels qui n’en lorgnent pas moins officieusement la braguette du copain d’à côté.
  • Tiens donc !
  • On est deux ici, mon camarade, et on n'a pas le choix des distractions sensuelles. Alors, considère ça comme une parenthèse dans ta vie et, quand on sera sorti de la mouise, il te sera loisible de la refermer.
  • C'est ça ! Ce n'est pas pécher que pécher en silence… J’ai appris la tirade de Tartufe au lycée.
  • Tant mieux si ça t’aide à ne pas en être un ! Mais c'est inapproprié, il n'y a rien de peccamineux dans un acte librement consenti. Et ne me dis pas qu'en dépit de mon initiative un peu brusque d'hier soir, tu t'es pas éclaté.
  • Surprise des sens.
  • Alors, laisse-toi surprendre encore, ça te décrassera.
  • En attendant, c'est moi qui t'ai décrassé, je te ferai remarquer.
  • Et j'en suis heureux.

Un pieux silence succéda à cette joute oratoire. Jason, assis sur le bord de sa couche, regardait alternativement le sol et Servan. Ce dernier vint contre lui et lui coula son bras autour de l'épaule. L'autre ne protesta pas :

  • Ecoute, dit Servan, je vais te demander une chose : on ne le refera pas, si tu veux pas qu’on le refasse, c’est toi qui décide. Mais au moins ne m'en garde pas rigueur, au contraire. Sois affectueux avec moi, comme je veux l'être avec toi. Tiens ! si ça t’arrange, je m'en tiens à tes prescriptions : on s'est trompé, on a cédé à une impulsion, d'accord. Mais retiens de cette expérience qu'au moins tu auras dissous en toi les impuretés du mensonge, et c'est comme ça qu'on avance dans la vie. Quoi que tu en penses, c'est un enrichissement. Un jour, tu le comprendras, un jour tu te diras : aujourd'hui je suis marié, j'ai tant d'enfants, et j'ai fait l'amour dans ma jeunesse avec un garçon. Résultat : quelque chose d'élevé entrera dans ton coeur, tes horizons s'élargiront, tu ne pourras plus poser sur le monde les mêmes yeux à courte vue que naguère et tu comprendras, pour en avoir fait l’expérience charnelle, que les mecs comme moi n'y peuvent rien d'être ce qu'ils sont, pas plus que personne n’est responsable de la couleur de sa rétine ou de celle de ses cheveux, et que finalement, être un peu amants entre copains, c'est être aussi un peu frères. Ça vaut toujours mieux que de s'entrégorger.

On ignore si l'énoncé de Servan était d'une pertinence à emporter la balance ; ce qui est indubitable, c'est qu'une demi-heure plus tard, ce fut bien ensemble que tous deux se présentèrent à la baignoire.
L'attitude de Jason avait évolué. Le petit sermon qu'il avait recueilli malgré lui n'était pas sans avoir introduit dans son cerveau toutes sortes d'interrogations qui y prenaient relief avec une singulière profondeur. Il lui arriva même, tandis qu'on se savonnait abondamment, de s'exclamer en riant à demi :

  • Tu m'as quand même bien eu !
  • Eh oui, répartit Servan, la chair est faible…

Il reprit, sur un ton mi-partie philosophe et résigné :

  • Tout ça est de si peu d'importance…

En cet instant, Jason le dévisagea d'une drôle de manière. Le petit sourire qui décorait son visage était d'un genre à préparer une controverse un peu gênante, sans doute, mais finalement pas tant que ça. Soudain, il dit, entre l'ironie et l'embarras :

  • Au fait, ça fait mal ?
  • Quoi ?
  • Ben, quand… enfin tu vois…

Là, Servan ne put se retenir de s'esclaffer :

  • Ça alors, t'es gonflé !
  • Ben… je m'informe, répondit Jason. Après tout, tu m'as demandé d'être affectueux, je m'exécute puisque je m'inquiète pour toi. C'est pas bien ?
  • Bon, dit Servan, et bien je te répondrai que ça dépend.
  • De quoi ?
  • D'abord, de la taille de l'objet : pour toi, ça va, il est plus long que volumineux, ouf !
  • Et puis ?
  • Ensuite, de la préparation.
  • Bah oui, forcément…
  • En douceur, c'est toujours recommandé, et si possible avec un onguent.
  • On n'en a pas.
  • Si, de la crème pour la peau, ça fait partie de notre pharmacie.

L'enfilade de questions qui venait de s'émanciper du gosier d'un garçon pourtant sur ses gardes d'une récidive, était de celles qui font dire qu'elles tiennent en réserve bien des arrière-plans obscurs. On est face à face, nus, à se parler de choses plutôt téméraires, et voilà que cette situation s'éternise, et que le parti censé le plus rétif à son développement agit comme s'il avait résolu de signer avec lui sinon pacte d’alliance, du moins suspension d’armes. Cette idée de Jason cherchant le moins maladroitement à se dédouaner d'un attrait pour la chose qu'il était supposé exécrer ne quitta plus Servan. Il croyait voir danser au-dessus de lui une bacchanale de diantres obscènes nouvellement désignés à l'annonce officielle de sa promotion au rang des bougres.
Jason, cependant, avait fini son lavage et se séchait. Servan se fit la réflexion qu'il prenait bien son temps pour quelqu’un dont l'unique souhait était de rompre au plus vite avec une ambiance peut-être de nouveau fatale à sa vertu, déjà si écornée la veille.
En cet instant, un violent coup de chaleur lui électrisa les nerfs.
Devant lui, alors qu'il venait d'achever l'essuyage des jambes, Jason s'était légèrement détourné.
Une légère tuméfaction avait dilaté un organe qui, en bonne et droite conscience, n'aurait jamais dû se départir de sa station cochléaire.
Rien de vraiment ostensible, sans doute, mais le volume du rondouillet fuseau s'était incontestablement épaissi.
Cela se confirma encore lorsque, ayant ramassé ses affaires sur la berge, il s'avisa de se pencher en avant. Comme il était de profil, Servan eut toute latitude d'apprécier le progrès que décrivait l'émoi sur sa personne.
Pour ramasser sa serviette, il plia de nouveau le tronc, mais cette fois-ci en tournant le dos à son compagnon. Sa corolle se dégagea du fond de désir qu'éveillait l'écartement de ses fesses.
Servan était sur les braises. Cette inconcevable duplicité, doublée d'une palinodie aussi brutale qu'imprévue, le déconcertait. Que prétendait-il prouver ? Qu'une simple argumentation scolastique était de taille à tuer une conviction héritée de seize ans d'éducation rigoriste ? Qu'il suffisait d'une oraison plus ou moins bien débitée pour anéantir des années de certitudes fondées sur un précepte prétendument inaliénable ?
Il fit un pas dans sa direction. Il avait devant lui la suprême tentation, le monstre de luxure qui tentait de l'affriander après avoir tant craché dans la soupe, et le monstre semblait lui dire : qu'est-ce tu attends ?
Impossible de résister. Si en ce moment Jason se fût déjugé, Servan l'aurait violé, tout bonnement. Il contemplait le corps qui avait l'air de palpiter. Il parvint ainsi à moins d'un mètre de lui. Ce dernier dut le deviner dans son dos, car un imperceptible frémissement le parcourut tout entier.

Leur volupté avait été pleine, entière, au-delà de toute expression. La tête leur tournait, ils chancelaient. Il fallut s'asseoir. Ils demeurèrent ainsi de longues minutes, silencieux et marmoréens, regardant vaguement devant eux le gave rouler des eaux tumultueuses.
Le soir vint, chacun se coucha sans rien dire.
Au matin, ils s'éveillèrent presque en même temps. Servan s'accouda, vaguement inquiet. Il entendit bientôt un murmure lui souffler :

  • Servan ?
  • Oui…
  • Je peux venir avec toi ?
  • Viens…

 


Lire en entier la nouvelle de Yves qui ressemble à Malevil de Robert Merle....mais ici c'est PD !!! et c'est super !

1. https://cyrillo.biz/histoire/histoire-gay-gratuit-cyrillo-les-survivants-01.html

2.  https://cyrillo.biz/histoire/histoire-gay-gratuit-cyrillo-les-survivants-02.html

3.  https://cyrillo.biz/histoire/histoire-gay-gratuit-cyrillo-les-survivants-03.html

4.  https://cyrillo.biz/histoire/histoire-gay-gratuit-cyrillo-les-survivants-04.html

5.  https://cyrillo.biz/histoire/histoire-gay-gratuit-cyrillo-les-survivants-05.html

6.  https://cyrillo.biz/histoire/histoire-gay-gratuit-cyrillo-les-survivants-06.html

 

7.  https://cyrillo.biz/histoire/histoire-gay-gratuit-cyrillo-les-survivants-07.html

8.  https://cyrillo.biz/histoire/histoire-gay-gratuit-cyrillo-les-survivants-08.html

 

9.  https://cyrillo.biz/histoire/histoire-gay-gratuit-cyrillo-les-survivants-09.html

 

écouter -pour l'ambiance- Charles Trenet lui-même : Mes jeunes années

https://www.youtube.com/watch?v=eB7HI2n0MgY 

 

 


 

commentaire : cavaillongay dégotte les perles sur le net

  Un peu précieux le Yves, mais il est ainsi prouvé que des gens d'un haut niveau linguistique ne se sentent pas déroger en venant ici, avec nous ! ("nounours") 

 

 

Image associéeJason ? 

 

 

  Résultat de recherche d'images pour "garçon frigide devient gay"

 

Par YVES SUR CYRILLO - Publié dans : L'ART DE /erotic music ciné danse peintur litter.. - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 13 mai 1 13 /05 /Mai 00:14

ben oui, l'apprendre ! -lol- et savoir jouer de sa corde sensible

Image associée Image associéeImage associée

Image associée

Image associéeet voi- ! dans un instant elle va fermer les yeux

 

Résultat de recherche d'images pour "gif playing the chords of a guitar" Résultat de recherche d'images pour "gif porn playing her clito while fucking her ass"

 

Résultat de recherche d'images pour "gif playing the chords of a guitar" Image associée excellent !  et quand elle accueille ton membre en elle, tes doigts prennent le relais et jouent sa corde sensible. Quel duo !  Image associée 

 

Image associée

 

  Image associée

 

  image  Et n'oublie pas la corde sensible !  

 

 

Image associée Image associée

 

Image associée  Image associée

 

le plein s'il vous plaît ! :

Image associée Image associée le plein svp ! oui mais avec du bon !  

 

Image associée Image associée

 

un gay aussi carbure à ce fuel !   : Jungbullen auf der Weide.74:23

 

et faites bonne mesure les gars !

image

           

« Aaaaaaaaaaaaah ! reste s'il te plaît ! »     Un gars (fécondé) est aussi tenté de dire ça !!!  

 

 

 

 

 

quand c'était bien trop tard pour dire non :  

Image associée

 

 

que sa bite a pompé tout son sperme en moi:  

 

  Image associéeet qu'il a commencé à jouer avec son sperme dans mon cul    

 

  Car nous aussi on l'a Résultat de recherche d'images pour "gay gif fingering sperm in ass"

notre corde sensible ! : doigtage avec son sperme 'il me fait déguster  

 

 


 

commentaire :

 

Par ziz - Publié dans : ELLES ET NOUS & VIDEOS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 12 mai 7 12 /05 /Mai 04:48

   samedi aprème d'engatse

 

  Résultat de recherche d'images pour "garçons adolescents déménageurs"   colle transformée en travail « d’intérêt général »

  Image associée 

  pour avoir pissé dans le bidet...

   Image associée VRAI : PUNITION  Cette semaine-là, lors d'une inspection impromptue, j'ai été pécho à pisser de haut dans le bidet et j'ai ramassé une colle au motif «fait un mauvais usage du pédiluve » Bien sûr j'étais plié de rire quand j'ai lu la pudique note de service du dirlo : comme si c'était grossier de dire bidet, uriner… En tous cas j'étais collé. LA PUNITION ! On lit tous ces récits sur cyrillo en cherchant en quoi ils ressemblent à notre propre histoire,  ! En ce temps-là je n'étais pas tout à fait adulte et plus tout à fait un gosse. 

 

 

   Image associée  Ne croyez pas que les ptits profs
Soient toujours des gens sérieux...
Mais non, mais non, mais non Mesdames
Mais non, mais non, mais non Messieurs

cavaillongay d'après Mireille les trois gendarmes

 

Fred :   fake !

Image associée Une sage insolence. Un culot que Fred ne se connaissait pas !

 

  https://cyrillo.biz/histoire/encore-colle.html sans retouches !

 Salut à tous. Je m’appelle Fred et cette histoire m’est arrivée quand j’étais en terminale. Je ne sais plus ce que j’avais fait mais je me suis retrouvé collé à devoir passer mon samedi après-midi au lycée à faire du rien avec d’autres blaireaux comme moi.
Le jeudi j’ai eu un mot m’indiquant que ma colle était transformée en travail « d’intérêt général » car il fallait déménager 2 salles de cours dans une autre plus récente en vue de refaire les premières (ou un truc du style).
Le lycée profitait encore une fois de la main d’œuvre gratuite et corvéable des lycéens.
Bon, au moins j’aurai quelque chose à faire.
J’en ai profité pour voir ce qu’il y avait à déplacer. Et une des salles était un vrai bordel de cartons et vieux matos.

Le samedi matin j’ai cours juste 2 heures donc je rentre chez moi.
 

Image associée Image associée

 

 

 

 

 

 

L’après midi est prévu chaud et je ne suis pas super frileux alors je me change en mettant des fringues qui ne craignent rien : vielles skets, un vieux short de foot et un débardeur. Je me mate dans le miroir et me dis que ca ne me va pas mal. Surtout le débardeur qui moule mes pecs musclés et déjà bien velus..
Le short aussi moule bien mon cul et vu que je le porte à cru, vaut mieux pas que je bande...
Mais pas de raison de bander en déménageant non ?

Je retourne donc au lycée pour 13h30. Et voit mon groupe de collés. 1 meuf, 2 gars et le prof. J’apprends aussi que je suis celui qui a pris le plus et donc quand les autres partiront, j’aurais encore 2 heures à tirer. Et merde !

Le prof se fout sur une chaise à lire en nous donnant des ordres et nous on trimballe des trucs. Heureusement un des mecs collé avec moi est assez dégourdi alors a 2 on avance bien. Mais les 2 heures passent vite et je me retrouve tout seul.

Le prof me permet gentiment de prendre une pause de 15 minutes.
Je pose une table dehors au soleil, vire mon débardeur et me couche sur la table, les mains derrière la tête, les aisselles au vent pour me rafraichir. Le soleil est déjà chaud et c’est bon. Je ferme les yeux. Je sens mes boules commencer à se détendre entre mes cuisses pour aller toucher la table plus fraiche.

J'entends le prof qui se lève et approche.
Ses pas s’arrêtent. Il ne dit rien.
Je garde les yeux fermés sans bouger, ouvre a peine les paupières pour le voir qui me mate.
Puis je me dresse en contractant les abdos.
 Il a presque un mouvement de recul tellement il est surpris et il rougit.

Je demande si je peux aller pisser et saute sur le sol.
Une fois aux toilettes, je pisse, m’asperge d’eau pour me rafraichir le torse et boit une bonne rasade. Ca va mieux. Je me mate dans le miroir et l’eau colle mon short à ma pine. On peut même voir que je suis circoncis. Je souris et retourne à la colle.

Il ne reste plus grand-chose à faire mais tout seul je ne peux pas. Surtout pour une grande table tout au fond. On la prend avec le prof et il nous faut faire des pauses. Je la cale à chaque fois sur mes cuisses et elle fait descendre mon short, dévoilant bientôt ma touffe blonde. Je vois que le prof n’arrête pas de mater. Je rigole. On pose la table et retourne dans la 1ère salle. J’ai gardé mon short ras la touffe. Je prends mon débardeur et m’essuie le torse. Le prof n’arrête pas de me mater. Des petits coups d’œil.  Je lui demande de faire une pause car la table était vraiment lourde et qu’il ne reste quasiment rien à déménager.

Je m’affale sur une chaise, écarte mes jambes et pose ma main contre ma cuisse.
Doucement mes doigts vont masser mon gland.
Le prof mate.
Je fais mine de me gratter la cuisse et remonte le short, mon gland sort, gonflé, je sens presque son odeur.
Le prof rougit.
Je monte un peu ma cuisse pour m’étirer et en plus de mon gland mes boules sortent. Je sens le bois frais contre mes boules velues.
Le prof ne peut pas détacher ses yeux.
Je le mate et lui dit, monsieur, allez, y, touchez, vous verrez ca mords pas.
Et je baisse mon short.
Dévoilant mon zob bien lourd.

Il mate, ne dit rien. Veut dire non mais finalement s’approche.
Je masse doucement mes boules, mon paquet me met a bander, à peine.
Il approche sa main doucement. Chaude. Masse mon gland qui gonfle. Et se met entre mes cuisses. Je vois sa bouche s’ouvrir et engloutir mon gland.
Je gémis.
Il n’a pas l’habitude, je sens ses dents sur mon gland mais j’aime le sentir comme ça à ma merci.
Je bande a fond maintenant, 21cm bien raide à engloutir pour une première
 Il suffoque tousse.
Je lui dis d’y aller doucement. Qu’il le fait bien.
Je lui caresse la tête.
Je passe une jambe entre ses cuisses et remonte vers son paquet. Je sens son sexe chaud contre ma jambe. Il gémit quand je le masse.

Je sors ma pine de sa bouche et lui masse le visage de mon gland baveux et humide.
Il se jette dessus pour me sucer encore.
Je me redresse, le prends dans mes bras et le pousse contre une table sur le dos. Son sexe déforme son jean. Je lui ouvre le jean. Mate son slip moche que sa mère a du lui acheté déjà tout mouillé d’envie.
Je lui baisse. Une belle touffe brune. Un sexe pas très grand mes bien raide. Qui palpite. Je le prends en main. Décalotte doucement. Son gland apparait humide de mouille. Je le masse avec mon pouce. Il gémit « non, non ».
Je lui vire son fut, mets son slip dans ma poche de short. J’approche ma bouche.
Il sent bon le male. Son gland sent l’homme et surtout son désir. Je suce son gland, tout doucement, en fait le tour avec ma langue. Masse son méat du bout de ma langue puis l’avale tout entier. Mon nez dans ses poils vierges.
Il gémit.
Je suce doucement.

Ma main s’empare de ses boules que je tire pour dresser son sexe.
Il me gratifie d’une nouvelle coulée de mouille que j’apprécie.
Je le suce comme il n’a jamais été sucé. Je le sens qui frissonne sur la table.
Je me mets entre ses cuisses et doucement les écarte. Une main le branle, masse ses couilles, l’autre glisse vers sa raie velue. Il ne dit rien.

Je salive sur mon doigt et pousse sur sa rondelle.
Il se contracte. « Je ne veux pas que tu m’encules, tu es trop gros ».
Je réponds que je ne veux pas l’enculer mais juste lui donner un plaisir comme il n’en a jamais eu et je pousse mon doigt.
Son anus est serré, chaud et humide.
Je fais glisser mon index contre l’intérieur de son trou et après quelques cm je sens sa prostate. Je l’effleure, doucement. Il gémit. Je masse plus fort. Sa teub se raidit encore, je la suce a fond.  Ma langue va et vient sur son gland, ma main serre la base de sa teub et ses boules l’autre joue de sa prostate. Il se tortille sur mon doigt. Je le sort de son cul, le lèche (humm quel gout). Puis enfonce 2 doigts directement.

Il lâche un jet de mouille. Je doigte et masse sa prostate, le sens qui halète, n’en peux plus. Je gobe ses boules en le branlant. Je sens, sous ma langue ses boules qui remontent. Il gémit, non, il hurle et lâche un jet de foutre monumental. Je l’entends éclabousser le mur derrière sa tête. Son anus se contracte à chaque jet sur mes doigts.
Il jute encore et encore. Zèbre de foutre son t-shirt. Je lâche son sexe laisse son cul faire sortir mes doigts. Lui masse la rondelle doucement.

Je me lève, lui dit salut, que c’est l’heure que j’ai fini ma colle et me barre, ma teub raide ballottant dans mon short.
Je l’entends encore gémir quand je ferme la porte.

Une fois arrivé chez moi je me suis bien branlé dans son slip et j’ai passé un bien bon samedi soir !

Et parfois je me branle encore dans son slip moche que j’ai embarqué…

Le mur est encore taché de son foutre mais seul lui et moi savons ce que c’est...
Et maintenant vous ! lol.

Fredblond

fredblond@....fr

 

 

 

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Image associée un jeune prof c'est aussi ça !

 

  Image associée ben le prof s'est fait quasi enculer

 The Incident: How I Learned to Stop Worrying and Love Being an NYC Nobody   j'ai senti que tout en disant non il aurait bien voulu se prendre la grosse pine de Fred

   

  Image associée ça aurait donné ce spectacle

 

Image associée peut-être c'est aussi bien lui qui l'aurait mis à Fred !

 

Image associée  et sur ce principe...il faut s'enculer chacun son tour et comme ça on s'aime.

 

Oui je sais, je taquine ! 

 

 

 

 


 

commentaire : je vous ai mis le lien sur cyrillo en début d'article

  Pisse, drague, on oubie trop les beaux albums réalistedu blog cavaillongay...exhib insolente aux portes de la ville...;

   http://cavaillongay-lesitelocal.erog.fr/album-2139980.html sinon vous  n'avez qu'à cliquer sur les icones à droite de chaque article. On ne s'ennuie jamais sur cavaillongay !

  Au moins j'avais appris ça : en novlanguedirlo bidet se dit pédiluve et pisser se dit movézuzaje Image associée

 

Par FREDBLOND - Publié dans : EUX ET NOUS HETEROS ET GAYS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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