il y a un moyen que ce moment demeure et existe pour toujours avoir des" voyeurs", témoins de votre bonheur et plaisir !
https://cyrillo.biz/histoire-gay-2015-vacances-grecques-01.php
pas de souci les
mecs : vous pouvez rester !
Laisse-les regarder ! ils font rien de mal !
vacances grecques
Max : - «Pour mon premier écrit, je vais relater une expérience vécue l'an passé en Grèce durant l'été.
Tous les éléments de cette histoire sont réels et j'essaierai de relater les évènements le plus fidèlement possible.
Je m'appelle Max, j'ai 28 ans et je suis bi depuis longtemps, depuis que je me suis fait dépuceler sans ménagement par un trentenaire rencontré sur
un site spécialisé.
Les bisexuels revendiquent le droit de ne pas choisir, le droit d’aimer indifféremment hommes et femmes, successivement ou simultanément.
Ici la sexualité de Max ressemble à celle d'un gay "pur et dur"et il oublie pour quelques heures la partie hétérosexuelle de sa personne pour devenir passif soumis, avec un plus : le
fétichisme d'être regardé en train d'être enculé sans ménagement comme dans son expérience initiatrice :
"étonnamment, cela me procure un sentiment double, d'humiliation et d'excitation"
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...(ingrats, on l'est tous un peu !)
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: « Cette information m'avait été donnée par le serveur du café où je prenais mon frappé tous les matins, serveur
qui me draguait ouvertement bien qu'il ne m'intéresse absolument pas. » IL SUFFIT QU'UN AUTRE PARAISSE ET ON DISCRIMINE A TOUR DE B ...ITE ! Oublié le serveur
! Après une baignade, le retour à la douche est ponctué d'un échange de regard avec un quarantenaire grisonnant, beau mâle en slip de bain rouge ... il bredouille quelques motsdans
un anglais aussi pauvre que le mien : « come » et m'encourage à le suivre jusqu'à la ruine, « je me laisse alors tenter. »..Par un mec plus vieux et moins
beau que le serveur qui me drague tous les jours, genre : PARODIE (J. Dassin)Tous les matins il achetait son p'tit pain au chocolat
Le serveur lui souriait, il ne le regardait pas Et pourtant il était canon
Les clients ne voyaient que lui
Il faut dire qu'il était vraiment très crunchy
Autant que ses croissants
Et il rêvait mélancolique
Le soir dans sa boutique
À ce jeune homme distant qui ne lui avait pas donné sa chance...
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mais le serveur aura son heure peu après
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on vous regarde. Eh ben restez naturel
!
Je me suis donc rendu à cette plage, très belle au demeurant : eau limpide, accessible en descendant le long de la falaise pvar de petits escaliers
taillés et surplombée d'un pan de roche sur lequel trône un bâtiment délabré dont seuls les murs et le plafond sont encore debout. Un autre escalier mène d'ailleurs à cette ruine. Une seule
douche pour la plage, à l'ancienne, via une pompe qui puise l'eau douce dans le sol.
Rapidement, je comprends effectivement que je suis une plage gay et que l'endroit est bien celui indiqué : beaucoup de queues à l'air, de toutes
tailles et de tous genres, et les seuls strings que j'aperçois sont portés par des hommes. Je m'autorise donc également à mettre le mien, un petit maillot de bain blanc, version string. Je ne me
sens pas spécialement à l'aise au milieu de tous ces hommes décomplexés bien que j'ai pourtant l'habitude de m'exhiber devant des mecs entreprenants sur Paris. Mais j'oublie rapidement le
contexte et bronze paisiblement.
Je suis surpris de voir de nombreux mecs aller et venir de la plage à la ruine et ma première idée est que cela doit être le coin toilettes de la
plage. Après une baignade, le retour à la douche est ponctué d'un échange de regard avec un quarantenaire grisonnant, beau mâle en slip de bain rouge et à la peau bien tannée. Il me lance des
œillades équivoques en n'oubliant pas de mater mes fesses mises en valeur par mon petit string. Je lui souris et file sous l'eau. A ma sortie, il s'avance vers moi et me parle en grec, trompé par
mon aspect méditerranéen. Je lui fais péniblement comprendre en anglais que je ne pipe pas un mot de ce qu'il me dit, ce à quoi il me répond, dans un anglais aussi pauvre que le mien, qu'il adore
mon cul et joint le geste à la parole en me malaxant ostensiblement les fesses. Je ne sais comment réagir et me laisse tripoter gentiment tout en me délectant de ses soupirs équivoques. Puis, il
bredouille quelques mots dont "come" et m'encourage à le suivre jusqu'à la ruine, je me laisse alors tenter...
un cul en or !
Nous grimpons, moi devant, lui derrière, se rinçant l'œil et se frottant les mains
d'avance : je comprends dès mon entrée dans la ruine que ce lieu n'est pas les toilettes de la plage mais bien le baisodrome ! Le sol est jonché de capotes usagées et j'entends d'ici les râles
d'un mec en train de se faire baiser quelque part. Mon mâle grec est excité, la tension est bien présente dans l'air comme dans son slip de bain...il me plaque face au mur et s'agenouille
derrière moi, dans la seconde qui suit ma ficelle est écartée et mon trou pénétré par une langue chaude et râpeuse ! Il ne perd pas de temps ! Après m'avoir bien bouffé le cul, très activement,
il se relève, me retourne et m'appuie sur les épaules pour me mettre à genoux. D'ordinaire soumis, je ne peux qu'apprécier sa prise en main ! Il me fourre sa queue bien dure dans la bouche et
commence à faire des va-et-vient avant même que j'aie le temps de me délecter de son gland. Il me baise littéralement la bouche, j'en ai rapidement la larme à l'œil, ce qu'il semble adorer car il
va toujours plus fort et plus profond, en me maintenant fermement la tête. Je lui montre ma soumission en mettant mes mains dans mon dos malgré les haut-le-cœur et cela semble l'exciter. A ce
moment, surgissent deux hommes en train de se palper et de s'embrasser, probablement les deux qui baisaient dans la ruine, ils échangent quelques mots avec mon grec, matent un peu, rigolent puis
repartent. Moment choisi par le grec pour me relever, yeux embués de larmes, jambes tremblantes et mâchoire légèrement douloureuse, me retourner, enfiler une capote puis m'enfiler moi. Il se
glisse dans mon trou sans aucun problème : bien travaillé plus tôt par sa langue, mon anus est détendu par l'excitation du moment et s'ouvre aisément pour laisser entrer sa queue d'un calibre
tout à fait honorable ! Il me lime alors rapidement, et, après quelques instants, je sens qu'il est totalement en moi, jusqu'aux couilles. Il s'en donne à cœur joie, me claquant régulièrement les
fesses d'une main pendant que de l'autre il me fourre plusieurs doigts dans la bouche et me tire la joue en arrière...Il n'a clairement aucune attention à mon plaisir, concentré qu'il est à
prendre son pied, ou bien il a très vite compris que je prenais justement mon plaisir à être malmené sexuellement. Toujours est-il qu'il me pousse rapidement à quatre pattes pour me défoncer en
levrette, la tête sur le sol...il a un bon rythme et me défonce largement la rondelle, prenant quelques pauses pour contempler l'étendue de l'ouverture créée par sa queue. Deux mecs passent à
côté pour aller eux aussi s'enculer dans un coin, il leur montre mon trou tout en me claquant les fesses mais pour moi, ils ne sont pas là, je ne vis plus cet instant que pour sa queue que je
réclame. Il me la met, triomphant, devant le duo qui se rince l'œil et me démonte littéralement pour prouver sa virilité et ma soumission à la fois. Alors que les deux mecs s'éloignent, je sens
que la fin approche, ses coups se font plus rapides, sa queue est plus grosse et tendue que jamais : en un éclair, il m'a tiré par les cheveux pour me mettre à genoux devant lui, a enlevé sa
capote et m'inonde le visage et la bouche de son sperme épais. Il me fait signe qu'il veut que j'avale, je refuse mais de toute façon, l'essentiel de son sperme est maintenant sur mon visage et
mon torse....Je réalise mon oubli : pas de serviette, pas de mouchoirs...la seule option est la douche. Alors que je m'apprête à enlever ce qu'il y a sur mon visage avec ma main, il m'arrête d'un
geste et me fait comprendre que je vais redescendre comme ça jusqu'à la douche...je me sens humilié, surtout devant son visage empli de fierté. Les marches me semblent interminables, plusieurs
personnes nous regardent descendre et j'ai soudain l'impression que toute la plage sait ce que nous venons de faire, ce que JE viens de faire...étonnamment, cela me procure un sentiment double,
d'humiliation et d'excitation. Les personnes que l'on croise sur le chemin de la douche posent des questions en grec, il répond, rigole et les gens rigolent avec lui, il mime certains moments, me
claque les fesses alors que je suis toujours recouvert de son sperme...je suis son trophée, la petite "french slut" de la plage ainsi qu'il le répète à tout le monde en me lançant des regards
équivoques...
Je me rince sous l'eau, essayant en même temps de laver le sentiment de honte que j'éprouve devant les regards vicieux des uns et des autres, envieux pour certains,
clairement négatifs pour d'autres. Apparemment, le mot est vite passé : je suis un mec facile et une bonne salope, car c'est ainsi que vient m'aborder un ami à lui, en bon anglais cette fois. Il
me fait comprendre que le mâle, lui-même et un troisième souhaitent s'occuper de moi...ils se positionnent autour de moi, me tâtent, rigolent, le troisième me met des doigts discrètement.
J'essaie de leur faire comprendre que je ne veux pas, pas maintenant, j'explique en anglais et ils ne me prennent pas au sérieux, continuant à me doigter et me palper. Mes jambes tremblent autant
de peur que de désir : je tente de gagner du temps en prétextant que je ne veux pas laisser mes affaires là alors que je pars avec trois hommes, que j'ai le cul défoncé, que je suis fatigué,
j'essaie de sortir les doigts du mec de mon cul mais ils ont réponse à tout. Emmène tes affaires à la ruine, nos queues rentreront plus facilement, tu n'auras rien à faire à part donner ton cul
et ta bouche, le mec résiste en enfonçant même un doigt supplémentaire...Les regards sont clairement tournés vers nous, toute la plage semble attendre de voir si la "french slut" va monter à la
ruine se donner à enfiler par ces trois mâles...Finalement, mon insistance fait la différence : je leur propose de revenir le lendemain, vers 18h pour avoir moins chaud. Les trois acceptent même
si leur déception est visible et à la hauteur de la tension qu'il y a dans leurs maillots, le troisième prend tout de même son temps pour explorer encore un peu mon trou avec ses doigts avant de
me les donner à lécher. Tout en m'exécutant, rendez-vous est donc pris pour le lendemain, en string près de la douche, à 18h.
Le lendemain justement, au café du matin, le serveur vient me voir et m'explique discrètement avec un clin d'œil qu'apparemment, la veille, à la
plage, un jeune français viril s'est fait sacrément défoncer dans la ruine par un actif local et qu'il aurait bien voulu voir ça...ce à quoi je lui réponds qu'il y a une rumeur comme quoi le
jeune français est supposé revenir à 18h ce jour-même pour la suite des évènements, si cela l'intéresse...
Au départ on nous a surpris en train de niquer, bien cachés à deux. Puis, je me
suis attendu à ce qu'on survienne sans être invité et que mon baiseur engueule l'intrus pour défendre sa 'proie' (moi ! ) et j'en étais fier !
-lol- Puis, Puis, pour ma part, après quelques expériences d'avoir été baisé sous le regard d'autres homos, mon plaisir avait été tellement augmenté qu'à partir de ce moment, s'il n'y avait personne pour regarder, j'étais très
déçu. Mieux qu'une photo, leur mémoire vivante « immortalise » en quelque sorte nos actes. Je le faisais. On le faisait à deux ou à plusieurs et les témoins le faisaient aussi.
C'est toute une différence avec les gars qui ne supportent même pas l'idée que quelqu'un passe, même sans regarder. Les pôvres ! ils sont trop inhibés et c'est une des preuves
qu'ils ne s'acceptent pas comme ils sont. J'invite tous les gars qui nous lisent et nous regardent à agir de même, en particulier nos chers cavaillonnais !
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sur la drague on sait à peu près tous pourquoi on est là et, avec le sauna, la drague homo, c'est un des rares lieux où les inhibitions s'envolent ! Profitons-en :
laissez-vous regarder vous doublez votre plaisir et vous immortalisez ce moment .
commentaire :
"Rudolf : Voir de ses yeux c'est rien ou même, comme tu did, cest bien ! Mais au moment de l'apparition des appareils photo numériques, des petits spy cameras puis des smarthones on a eu
peur de se faire prendre en photo puis mis sur le net à notre insu. Mais moi je n'ai jamais observé ce type de comportement. Par contre sur la drague en plein air que je fréquente je vois plus de
capotes usagées au sol. Sa veut dire ?"
quelqu'un passe sans
regarder...
c'est une règle sur la drague
si vous acceptez ou souhaitez des voyeurs, il faut leur faire signe de venir
Vous là ! n'ayez pas honte de nous mater !
Je le sais que tu nous regardes. Rejoins si tu veux.
Non, tu veux pas, tu préfères regarder, c'est tout !
Quand je bande, je bande! c'est pas parce que tu regardes que
ça va me faire débander !
notre belle baise dans les yeux de nos voyeurs
t'en vas pas ! reste !
on est arrivés derrière eux sans les déranger
on est nombreux dans ce bois, les voyeurs vont rappliquer - moi ça me dérange pas qu'ils regardent - moi non plus - moi non plus - eh ben elle est pas belle la
vie ?
plein de nudistes on n'a pas honte chacun peut en faire autant
à partir d'un certain moment les voyeurs on les voit plus
- si vous croyez que je m'occupe si on nous entend ? et, si ça en attire d'autres, tant mieux !
les yeux dans les yeux on ne s'occupe pas des autres
ils Ils vont me voir 'mourir' de plaisir. Leur mémoire perpétuera l'intensité de notre amour éphémère
Vous, les voyeurs, voyez-vous vous aussi que vous pouvez être regardés en train de regarder ?
-lol-
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