Vendredi 17 mai 5 17 /05 /Mai 15:01

Mon séjour chez les hommes bleus du désert : ne bouge pas mon petit ton chamaan il va te guérir et tu n'auras plus mal

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- «Le besoin d'être rempli ?  Oui»,  murmuré-je(un peu honteux je dois dire)...en blotissant ma tête au creux de son cou. 

  - «Et la chicha, pas plus que ce qu'on t'en donne à fumer. Il ne faut pas que tu t'assommes. Tu es là pour profiter et retrouver le fil de ta vie. Ici, même ici, il y a des jeunes qui fument le kiff jusqu'à devenir des morts vivants. Toi c'est pour te guérir » -

-«Oui, merci !» murmuré-je à nouveau en lui embrassant les mains.

Son assistant nous veille et il prendra le relais quand mon chaaman sera las et je paie mon séjour mais je ne désemplis pas, je suis heureux avec eux.  

 

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commentaire :  Les  chaamanes ne sont pas des religieux. Ne sont-ils pas en lutte contre la vraie religion ? et vice-versa ?

L'image de l'orant ? Putain j'ai été doigté par un arabe aux ongles comme ça. Ce n'est qu'après et dans le souvenir que j'ai apprécié  -lol-

  "Un soin ? tsoin tsoin ... Raspoutine soignait comme ça !

Par ALICHAAMAN - Publié dans : FICTION & SCIENCE FICTION REVER PARODIES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Vendredi 17 mai 5 17 /05 /Mai 06:47
Les nazis avaient leurs médecins complices de leurs crimes. Au moins 8 pays font ouvertement usage de l'examen rectal forcé et de la torture 
Résultat de recherche d'images pour "CLOSE UP ANAL EXAM"Quelque chose qu'on fait en amour, détourné en torture physique et psychique... Résultat de recherche d'images pour "PORN TRANSEX CLOSE UP ANAL EXAM"Et vous
Résultat de recherche d'images pour "DOCTOR FINGERING SHEMALE SHOWING PENIS"  dites-nous tout, qui êtes-vous pour nous tracasser de la sorte ? J'vous parie qu'au lit vous avez des manies "inavouables" !

 

carte :  

 

 

Et ça n'a pas cessé puisque des victimes continuent à s'en plaindre aujourd'hui  Dignité dégradée

 

Des examens anaux forcés lors des poursuites pour homosexualité

Un rapport médical rédigé par un médecin à Kampala, en Ouganda, après avoir effectué un examen anal forcé subi par un homme suspecté de rapports homosexuels consensuels.

© 2016 Neela Ghoshal/Human Rights Watch

 

Dans au moins huit pays où les rapports sexuels consentis entre personnes de même sexe sont pénalisés, des responsables de l'application des lois travaillant en collaboration avec le personnel médical soumettent des hommes, ainsi que des femmes transgenres arrêtés pour des faits liés à l’homosexualité, à des examens anaux forcés, avec l’objectif prétendu de trouver des «preuves» de comportement homosexuel.

Ces examens impliquent souvent la pénétration forcée des doigts ou parfois d’autres objets dans l’anus de l’accusé par des médecins ou d’autres membres du personnel médical. Les forces de l’ordre et certains membres du personnel médical affirment qu’ils savent ainsi déterminer la tonicité du sphincter anal ou la forme de l’anus et conclure si la personne accusée a eu des rapports homosexuels. Cet argument est fondé sur la science du 19ème siècle qui est depuis longtemps discréditée: une majorité écrasante des opinions médicales et scientifiques affirme qu’il est impossible d’utiliser ces examens pour déterminer si une personne a eu des rapports homosexuels réguliers

 

Les examens anaux forcés sont une forme de traitement cruel, dégradant et inhumain qui peut équivaloir à de la torture. Ces pratiques sont une violation de la Convention contre la Torture, du Pacte international relatif aux droits civils et politiques et de la Charte africaine des droits de l'homme et des peuples. Les examens anaux forcés sont invasifs, intrusifs et profondément humiliants. Comme l’a souligné le Comité de l’ONU contre la torture, ils «n’ont aucune justification médicale et ne peuvent être consentis de manière libre».

Certaines des personnes soumises à ces examens souffrent de traumatismes psychologiques durables. Plusieurs victimes ont raconté à Human Rights Watch qu’ils ont vécu les examens anaux forcés comme une forme de violence sexuelle. Human Rights Watch considère que ces examens sont une forme d’agression sexuelle. Le personnel médical effectuant des examens anaux forcés viole ainsi les principes internationaux d’éthique médicale, y compris l’interdiction du personnel médical de prendre part, de quelque façon que ce soit, à des actes de torture ou à un traitement dégradant.

Ce rapport recueille des preuves du recours à des examens anaux forcés dans huit pays : le Cameroun, l’Égypte, le Kenya, le Liban, la Tunisie, le Turkménistan, l’Ouganda et la Zambie. Nous avons aussi reçu des rapports du recours à des examens anaux forcés par la police en Syrie, que nous n’avons pas vérifiés de manière indépendante. Ce rapport est fondé sur les interviews de 32 hommes et femmes transgenres qui ont subi des examens anaux forcés. Human Rights Watch a aussi interviewé des médecins et des membres du personnel médical sur le recours à des examens anaux, et demandé l’opinion de spécialistes en médecine légale du monde entier. Le rapport recommande à tous les États d’interdire la pratique des examens anaux forcés, et aux institutions nationales et internationales de santé et de défense des droits humains de s'opposer vigoureusement et sévèrement à leur utilisation.

 

Un coordinateur médical en Ouganda qui pratique des examens anaux forcés a dit à Human Rights Watch, en février 2016, qu’il ne voyait pas en quoi les examens anaux constitueraient une violation des droits humains. Il a essayé de justifier ces examens, en déclarant: «Je ne le perçois pas comme une violation des droits humains. Je les aide aussi. Par exemple, je les informe s’ils ont des IST, ce qui leur permet de se faire soigner.»[1] Mais de telles affirmations sont démenties par les réalités décrites par les personnes ayant subi ces examens.

Mehdi, un étudiant tunisien soumis à un examen anal en décembre 2015, au cours duquel un médecin a pénétré son anus avec un doigt et un tuyau, nous a raconté:

J’avais l’impression d’être un animal. J’avais l’impression de ne pas être humain. ... Quand je me suis habillé, ils m’ont menotté et je suis sorti, complètement sous le choc. Je ne pouvais pas encaisser ce qui se passait. Les deux policiers regardaient ce que faisait le médecin. J’avais l’impression d’être violé. Je ne voulais pas être nu devant des gens, pas devant une seule personne et certainement pas devant trois personnes.… C’était la première fois qu’une chose pareille m’était arrivée et je ne pouvais pas l’encaisser.

Muharram, un homme égyptien interviewé pour le rapport de Human Rights Watch de 2004, In a Time of Torture (p. 115), parlait sans doute au nom des victimes d’examens anaux quand il a déclaré:

Les deux pires moments de ma vie étaient la visite chez le médecin légiste, et ensuite le verdict, quand il a dit «Deux ans [d’emprisonnement]». Lorsque je dors, chaque nuit, je me rappelle ces deux évènements. J’en fais des cauchemars.

Louis, qui a subi un examen anal forcé au Cameroun en 2007, à l’âge de 18 ans, a fait écho aux sentiments de Muharram. Neuf ans après l’examen anal forcé, il nous a raconté:

J’ai toujours des cauchemars de cet examen. Parfois je n’arrive plus à dormir quand j’y pense. Jamais je n'aurais pensé qu’un médecin me puisse faire une chose pareille.

Genwa Samhat, directrice du groupe de défense des droits des lesbiennes, des gays, des bisexuels et des personnes transgenres (LGBT), Helem, au Liban, qui a interviewé plusieurs victimes d’examens anaux forcés, a dit que même lorsqu’elle a interviewé récemment une victime trois années après les faits, il a trouvé cela difficile de parler de cette expérience traumatisante. Elle a expliqué que «c’est une forme de stress post-traumatique que l’on peut ressentir après un viol. [Forcer quelqu’un à subir un examen anal] a le même effet que de violer les gens.»[4]

***

Le recours à des examens anaux varie d’un pays à l’autre. En Égypte et en Tunisie, les examens anaux forcés sont régulièrement utilisés dans la poursuite judiciaire des rapports homosexuels. La police emmène les hommes, ainsi que les femmes transgenres qui sont arrêtés pour des faits liés à l’homosexualité chez un spécialiste en médecine légale, qui effectue un examen anal et prépare un rapport, qui est ensuite présenté au tribunal comme une forme de preuve de l’accusation.

Au Cameroun et en Zambie, bien que l’utilisation d’examens anaux forcés soit moins fréquente qu’en Égypte et en Tunisie, des procureurs ont présenté au tribunal des rapports médicaux basés sur des examens anaux, contribuant ainsi aux condamnations d’individus accusés de rapports homosexuels consentis.

En Ouganda, au cours des trois dernières années, la police de Kampala a fréquemment soumis des hommes, ainsi que des femmes transgenres accusés de rapports homosexuels consentis à des examens anaux. Toutes ces affaires ont été rejetées avant le début du procès. Des cas occasionnels ont été rapportés en dehors de Kampala, et ont aussi été rejetés avant le début du procès.

Au Kenya, Human Rights Watch et ses organisations partenaires kenyanes ne sont au courant que d’un seul cas d’examen anal forcé, effectué en février 2015, sur deux hommes arrêtés pour des «infractions contre nature». En septembre 2015, avec le soutien de la Commission Nationale des Droits des Gays et des Lesbiennes du Kenya (NGLHRC), les hommes ont déposé une requête à la Haute Cour du Kenya à Mombasa, contestant la constitutionnalité des examens anaux forcés et du dépistage forcé du VIH et de l’hépatite. Le 16 juin 2016, la Cour leur a donné tort, indiquant que les pétitionnaires avaient consenti aux examens, bien que les hommes affirment avoir signé les formulaires de consentement sous la contrainte.

Au Turkménistan, pays qui a l’un des gouvernements les plus fermés et répressifs au monde, Human Rights Watch n’a pas réussi à effectuer des recherches, mais nous avons pu interviewer un individu vivant actuellement en exil et qui déclare avoir été soumis à un examen anal forcé au Turkménistan en 2013. Nous avons aussi parlé avec un militant de la société civile exilé qui a confirmé que de tels examens sont utilisés pour obtenir des «preuves» dans les cas de sodomie. L’homme soumis à l’examen a rapporté qu’il a été condamné lors d’un procès collectif avec environ 20 autres hommes, dont la plupart, voire tous, avaient aussi été soumis à des examens anaux dont les résultats étaient utilisés pour obtenir des condamnations devant le tribunal. Il a allégué qu’il s’agissait d’une pratique courante, et qu’une enquête plus poussée est justifiée.

Au Liban, les autorités ont souvent utilisé des examens anaux forcés contre des hommes arrêtés pour des faits liés à l’homosexualité, jusqu’en 2012, quand des activistes libanais ont lancé une campagne qualifiant les examens de « tests de la honte ». Ils ont réussi à mobiliser les médias et l’opinion publique contre les examens, poussant l’Ordre des Médecins du Liban et ensuite le Ministère de la Justice à publier des directives interdisant la pratique d’examens anaux forcés. La victoire historique des activistes ayant mobilisé les institutions gouvernementales contre les examens anaux, et les mesures en faveur du respect des droits prises par l’Ordre des Médecins et par le Ministère de la Justice, devraient servir de modèle à d’autres États où les examens anaux forcés sont pratiqués actuellement. Cependant, la victoire n’est que partielle: Human Rights Watch a constaté que certains juges d’instruction au Liban demandent toujours à des médecins de faire des examens anaux et que certains médecins les pratiquent toujours. La police persiste aussi à utiliser d’autres formes de torture et de mauvais traitement contre des hommes accusés d’homosexualité au Liban.

Quelles qu’en soient les circonstances ou les motifs, les examens anaux forcés dans des cas de rapports sexuels consentis entre personnes de même sexe sont une violation des droits humains. Ils ne servent pas les intérêts légitimes des gouvernements, et n’ont pas de valeur probante. En tant que tel, les responsables de l'application des lois ne devraient jamais ordonner ces examens ; les médecins et le personnel médical ne devraient pas les pratiquer; et les tribunaux ne devraient pas les accepter en tant que preuve.

Human Rights Watch pense aussi que tous les États devraient décriminaliser les rapports sexuels consentis entre adultes de même sexe. La criminalisation des rapports homosexuels consentis est une violation du droit à la vie privée et du droit à la non-discrimination, garantis par le Pacte international relatif aux droits civils et politiques et par la constitution de nombreux États. Jusqu’à ce que de telles lois soient abrogées, tous les États devraient renforcer le respect des droits des personnes accusées de comportement homosexuel en interdisant les tests anaux forcés. Il est temps que les États rétablissent les droits fondamentaux et la dignité des hommes, ainsi que des femmes transgenres accusés de rapports homosexuels, et que les États reconnaissent aussi le fait que l’interdiction de la torture et du traitement cruel, inhumain et dégradant s’étend à tout le monde, quelle que soit leur orientation sexuelle ou identité de genre.

 

 

Affiche de l'organisation tunisienne de défense des droits LGBT Shams, dénonçant les tests anaux forcés.

© 2015 Shams

Affiche de l’association tunisienne de défense des droits LGBT Shams, soulignant la possibilité de refuser un test anal.

 

 

 


commentaire :

 

 

Par HUMAN RIGHTS WATCH - Publié dans : LUTTES HISTOIRE & REVOLTES DES GAYS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Jeudi 16 mai 4 16 /05 /Mai 06:42

«J’en voulais à mon anus, qui restait toujours fermé, et qui ne me laisserait jamais y faire passer quoi que ce soit. Je tenais mon achat flambant neuf, un tube de lubrifiant qui allait, à défaut, me servir de plug. »

Résultat de recherche d'images pour "GAY GIF BOMBE DE DEO DANS LE CUL"  Résultat de recherche d'images pour "GAY GIF BOMBE DE DEO DANS LE CUL" LA CHAUDE DESCRIPTION DE ANNO QUI EST UN AUTHENTIQUE ARTISTE dans l'évocation des émotions et des ensations

 

Lire l'intégralité du contexte, voire l'ensemble des 4 épisodes :  

https://cyrillo.biz/histoire-gay-2018-mon-pote-Hector-04.php  (De retour, quatrième épisode… Bonne lecture !)

EXTRAIT : J’avais ma main sous mon tee-shirt, qui triturait la surface de mes tétons sensibles ...Je le voyais si large et si long, ça serait un déchirement.

 

Résultat de recherche d'images pour "gay gif auto godage avec un tube de lubrifiant" Hector, par vengeance, exerce un chantage sur Anno, l'auteur 

Qu’allais-je faire ? Je n’avais jamais acheté un seul plug ! À peine avais-je mis, un jour, deux doigts dans mon fondement, par poussée de désir, en me branlant.

Puis je revins à moi, je tremblais de rage, contre cet homme, ce bandit, ce criminel, et contre moi-même ! Je criai de rage.

 

 Je me remis à pleurer. J’en voulais maintenant à mon anus, qui restait toujours fermé, et qui ne me laisserait jamais y faire passer quoi que ce soit. J’avais ma main sous mon tee-shirt, qui triturait la surface de mes tétons sensibles. L’autre, elle, tenait mon achat flambant neuf, un tube de lubrifiant qui allait, à défaut, me servir de plug. Je le voyais si large et si long, ça serait un déchirement.

Slim et caleçon moulant glissèrent le long de mes jambes et la peau se hérissa ; je me mettais déjà à gémir. Instinctivement, mes jambes s’écartaient et laissaient ma rondelle caressée à la surface, là où la peau est toute sensible, par le vent frais. Me saisissant du tube, qui, remarquai-je, de sa forme phallique, se portait bien à la situation, je m’enduis les doigts de lubrifiant. Les portant à mon derrière, j’étalais tout, consciencieusement d’abord, sensuellement ensuite. Malgré moi, trois doigts glissèrent dans mon trou qui les avala, glouton et insatisfait. C’était tout chaud ! Ça y est, avais-je murmuré, je suis dans mes entrailles ! Je pliais, dépliais les doigts, doucement, tâtant la paroi douce qu’est celle d’un anus. Je tentai d’aller plus loin, et ce fut un énorme frisson, je me tendis de plaisir. Je m’écroulais, pour mieux me doigter. Je faisais maintenant des allers-retours, creusant de ma main profondément. Une fois mon cul bien bourré, j’essayai d’écarter mes doigts les uns des autres, le plus possible, comme repoussant les parois. Du coup, un liquide tout aussi chaud s’écoula par terre ; j’en avais plein la main.

Puis je me positionnais. Les jambes écartées, j’étais devant un banc. Le tube phallique, bien droit, saillant, s’imposait dessus. J’hésitais à m’asseoir. Je commençai à m’empaler. Les larmes reprirent, ma conscience se révoltant une nouvelle fois contre la débauche dans laquelle je glissais, à l’image de ce vulgaire tube dans mon vulgaire cul, la fureur du désir. Et néanmoins, je m’abaissais toujours plus, repoussant mes limites, et soudain, dans un bruit de ventouse, tout fut gobé dans mon fondement. M’asseoir n’avait jamais été aussi plaisant. Tout mon anus palpitait, se contractait par à-coups, ce qui l’embrochait toujours plus. Seule l’extrémité de mon gode improvisé sortait et laissait une prise (attention à ce que ça ne rentre pas totalement !). Je me jetai, me roulai dans la terre, hurlant. Je tordis mes tétons, au bord de la jouissance.Résultat de recherche d'images pour "gay gif auto godage avec un tube de lubrifiant"

 

 

(De retour, quatrième épisode… Bonne lecture !)

La sonnerie cria. On sortait tous, on poussait avec les bras, les hanches. On suait d’être restés coincés dans la salle de labo, on sentait sur la nuque le souffle fort d’hommes qu’on imaginait nus la nuit. Évidemment, on sortait le téléphone, fébriles, les doigts tremblant d’anticipation qui déverrouillent l’engin, et le temps déjà trop perdu. Il y en eut un, parmi les garçons, qui rattrapait ses messages. Mais déjà il était bousculé, ça glissa de ses mains. À terre, l’écran trop lumineux renvoyait l’image d’une grande forme, couchée sur une autre, comme la chevauchant ; on eût dit des bêtes. C’était moi.

Je me jetai sur mon téléphone et par réflexe tentai de le cacher avec ce que j’avais sous la main, un sac de piscine. Aussitôt Hector demanda :

«Eh mec ! C’est quoi ça, tu déconnes ? Vas-y montre, partage un peu !»

En rigolant, il s’était penché sur moi, me taquinait, et mine de rien, posait une main sur mon torse, et, repliant sa poigne, finit par tirer mon téton droit. Il avait tout vu, c’était sûr. Dépassé par les événements, je ne trouvais quoi faire. Du coup, je dis une connerie, bien grosse, la première qui m’était venu.

«Euh, rien. C’est juste une photo de moi.»

Hector ne répondait plus, il avait un air sérieux. Sexy. Le sang me brûlait le visage. D’ailleurs les autres élèves avaient déjà déserté le couloir, laissant derrière eux une vague odeur de déo, puis de transpiration. Je n’en reviens toujours pas, de ma connerie, ou de mon audace : je venais littéralement de lui avouer que le minet qui se faisait défoncer sur la photo du téléphone, et qui en jouissait, c’était bien moi. Au moins, il n’avait pas vu que l’autre gars, qui justement me ramonait le cul, c’était son frère.

Il me redemanda la photo, car il avait cru mal voir, il croyait avoir reconnu quelqu’un, à coup sûr, oui, on aurait dit son frère.

J’avais peur, je ne disais rien ; mes yeux troublés devaient certainement lui donner confirmation. Je n’entendais que mon cœur. Boum boum. Et ma queue qui s’agitait. Boum boum. Je crois bien qu’il a crié, à ce moment, qu’il m’insultait, jurait. Crachait. Un vrai pote, lui, ne lui cacherait rien, disait-il.

Je me mis à courir. J’avais perdu mon pote Hector. Je courais. Boum boum. Des larmes tombaient sur la bosse de mon entrejambe. Boum boum.

La nuit était déjà là quand les grilles claquèrent, flanquées par le jardinier communal. Elles m’avaient surpris, caché dans un coin, les genoux entre mes bras. Sur mon téléphone, vingt-deux heures. Les deux petits chiffres s’écrasaient sur le dessus de l’écran, où le message prenait tout, toute la place. Je le lisais – relisais. Dix-septième fois.

Matéo, en souvenir de ton initiation, une photo que tu apprécieras. Tu reviens me voir ce soir. Je le sais, tu es en manque, c’est dur. C’est tout naturel pour une apprentie esclave. Tu as besoin d’être comblée, puis remplie. Tu porteras donc un plug en arrivant ce soir. Débrouille-toi si tu n’en as pas encore. Évidemment, tu seras nue.

PS C’est pour ton bien.

Qu’allais-je faire ? Je n’avais jamais acheté un seul plug ! À peine avais-je mis, un jour, deux doigts dans mon fondement, par poussée de désir, en me branlant.

Puis je revins à moi, je tremblais de rage, contre cet homme, ce bandit, ce criminel, et contre moi-même ! Je criai de rage. Je me remis à pleurer. J’en voulais maintenant à mon anus, qui restait toujours fermé, et qui ne me laisserait jamais y faire passer quoi que ce soit. J’avais ma main sous mon tee-shirt, qui triturait la surface de mes tétons sensibles. L’autre, elle, tenait mon achat flambant neuf, un tube de lubrifiant qui allait, à défaut, me servir de plug. Je le voyais si large et si long, ça serait un déchirement.

Slim et caleçon moulant glissèrent le long de mes jambes et la peau se hérissa ; je me mettais déjà à gémir. Instinctivement, mes jambes s’écartaient et laissaient ma rondelle caressée à la surface, là où la peau est toute sensible, par le vent frais. Me saisissant du tube, qui, remarquai-je, de sa forme phallique, se portait bien à la situation, je m’enduis les doigts de lubrifiant. Les portant à mon derrière, j’étalais tout, consciencieusement d’abord, sensuellement ensuite. Malgré moi, trois doigts glissèrent dans mon trou qui les avala, glouton et insatisfait. C’était tout chaud ! Ça y est, avais-je murmuré, je suis dans mes entrailles ! Je pliais, dépliais les doigts, doucement, tâtant la paroi douce qu’est celle d’un anus. Je tentai d’aller plus loin, et ce fut un énorme frisson, je me tendis de plaisir. Je m’écroulais, pour mieux me doigter. Je faisais maintenant des allers-retours, creusant de ma main profondément. Une fois mon cul bien bourré, j’essayai d’écarter mes doigts les uns des autres, le plus possible, comme repoussant les parois. Du coup, un liquide tout aussi chaud s’écoula par terre ; j’en avais plein la main.

Puis je me positionnais. Les jambes écartées, j’étais devant un banc. Le tube phallique, bien droit, saillant, s’imposait dessus. J’hésitais à m’asseoir. Je commençai à m’empaler. Les larmes reprirent, ma conscience se révoltant une nouvelle fois contre la débauche dans laquelle je glissais, à l’image de ce vulgaire tube dans mon vulgaire cul, la fureur du désir. Et néanmoins, je m’abaissais toujours plus, repoussant mes limites, et soudain, dans un bruit de ventouse, tout fut gobé dans mon fondement. M’asseoir n’avait jamais été aussi plaisant. Tout mon anus palpitait, se contractait par à-coups, ce qui l’embrochait toujours plus. Seule l’extrémité de mon gode improvisé sortait et laissait une prise (attention à ce que ça ne rentre pas totalement !). Je me jetai, me roulai dans la terre, hurlant. Je tordis mes tétons, au bord de la jouissance. À peine rhabillé, je courus à fond vers l’appart d’Hector, mon gode s’agitant furieusement en moi et qui, du coup, ouvrait toujours plus mon cul. Puis je bondis hors de l’ascenseur et, à quatre pattes, un pieu dans les fesses, comme une chienne, je gémis pour appeler mon maître.

Dans l’encadrement de la porte, ses yeux sévères me foudroyèrent.

 

L'histoire de A àZ :  https://cyrillo.biz/histoire-gay-2018-mon-pote-Hector-01.php 

                               https://cyrillo.biz/histoire-gay-2018-mon-pote-Hector-02.php...etil y a des suites jusqu'au 4e épisode 

 

 

 

 

Par ANNO - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Jeudi 16 mai 4 16 /05 /Mai 04:39

bite dans le cul gay gros zob rebeu

 

 

Image associéeeh oui ! sous le pseudo de GLAUDOUN cavaillongay a proposé ce récit gay inédit à cyrillo.com qui nous a fait le plaisir et l'honneur de le publier. Merci !

https://cyrillo.biz/histoire-gay-2019_Rolland.php

Rolland

Résultat de recherche d'images pour "gif kayakiste fait des chandelles en eau vive" Résultat de recherche d'images pour "gif kayakiste fait des chandelles en eau vive"

Qui donc a inventé la pudeur, et dans quel intérêt ? Sinon pour exhausser les cloisonnements entre les individus ? Et qui donc a inventé la provoc' et l’exhib' qui sont la réponse aux excès de la pudeur.

merci de votre fidélité ! Cavaillongay

LA PUDEUR OFFENSEE…  

 

 

 et dire que ce sont les mots employés par la loi pour définir certains délits y

 

compris sexuels.

 

Récit fictionnel : toute ressemblance avec...

1.Dans une petite cité de la région Aquitaine, nous faisons partie d’un club de canoë-kayak, en tant que bénévoles mon épouse et moi pour aider à l’encadrement des rencontres sportives : essentiellement des courses. Moi, modeste « dirigeant » j’aide. Quand je conduis le minibus du club je mets toujours du Nougaro pour que la route soit agréable, con, c’est mieux, con, que leur rap à la con, con, oui je suis jeune et surtout en esprit et si je me lâche j’ai ce parler de chez nous, con.

Parmi les participants il y a toutes les catégories des benjamins aux séniors, et même aux vétérans. Nous sommes fans de nos équipes et les accompagnons dans tous leurs déplacements et je suis souvent le chauffeur du minibus. Il ne fait pas encore très chaud et se mettre dans l’eau froide demande un bel effort. Au fait vous ne connaissez pas les Astart qui sont membres du club au même titre que nous pour « encadrer » — je n’aime pas ce mot — leur fils Rolland, un beau garçon roux frisé et musclé de près de 18 ans qui veut se qualifier en Équipe nationale sénior, sa catégorie court en dernier. On a le temps : nos enfants ont couru leur première manche et Rolland et nous attendons le départ des premiers séniors. Il n’est pas en tenue, et pour avoir chaud il a conservé son survêt ». Assis dans les rochers qui bordent la rive, nous formons comme une parenthèse autour du jeune athlète, les yeux tournés vers le calicot de la ligne de départ. Soudain il se lève et, debout entre nous sur un rocher plat, se met en devoir de se mettre en tenue. Ça suppose de tomber le survêt. Il le tombe. Selon lui il faut aussi tomber le boxer… Il le tombe ! Il va enfiler un minislip serré qu’il a à la main. Maman !!! Comme on dit chez nous pour exprimer la peur ! On s’était assis comme on pouvait, un peu près les uns des autres, il sort un sexe é. n. o. r. m . e, vraiment hors du commun. Un beau levier quoi ! (la maman et le papa peuvent être fiers de leurs œuvres — lol —) Et il s’est tourné vers moi : je l’ai juste sous le nez sa bite demi-bandée. Je suis forcément pas mal gêné et assez troublé vu la présence des parents et de ma femme. Il est clair que c’est intentionnel. Les témoins mettent-ils ça sur le compte du sans-gêne habituel de nos jeunes sportifs ? Il vaudra mieux, car comment ne pas se poser de questions sur ce geste ? Je sais que je dois trainer des rumeurs homos sur mon compte, mais quand même,,, ! On se regarde sans se voir je baisse les yeux. Lui debout, moi assis, s’’il se tournait un peu plus j’aurais sa bite aux lèvres. Je n’arrive pas à dire si j’aurais eu ouvertement envie de le sucer voire plus, en d’autres circonstances de provoc', et si on était seuls je ne sais pas s’il ne m’aurait pas dit déjà : – « tiens, suce-la ! » avec ce regard arrogant. Mais ici ce serait nettement une « offense publique à la pudeur ». Pour moi c’était trop à la fois. Personne ne disait rien. Je ressentais ce geste lent comme dirigé contre moi, j’en pressentais des raisons proches de l’insulte et d’un désir de faire perdre le contrôle au bimarié que je suis. C’était fou et pervers de l’imaginer peut-être même pas prémédité. Le simple hasard d’une situation favorable. Et pourtant, tout le monde fait semblant de rien. Bien sûr il sait quelque chose et, dans une certaine mesure, les autres aussi, non ? Les battements précipités de mon cœur ont à ce moment plusieurs explications. Je ne laisse rien voir et j’attends que ça cesse, yeux et tête baissés. De temps en temps je lève les yeux et regarde au loin. Euh, je me demande si je ne suis pas rouge et si je ne dévoile pas mon trouble. Ça doit finir. Ouf ! Ça y est il est pour ainsi dire « habillé » avec ce minislip bleu qui a du mal à contenir sa bite considérable. Il a — d’un certain point de vue réussi son coup : pendant un moment mes pensées, mes sens, mes défenses ont été chamboulés, mis à rude épreuve.
C’est ce genre de chose qui s’autoverrouille. Comment en parler ? Il s’est foutu à poil et il a approché sa bite de mon visage, de mes yeux, de mes lèvres même ! Comment le dire ça : c’est à la fois insignifiant et Enaurrrhme ! L’occasion de clarifier se présenta très vite. Le retour fut triomphal pour l’équipe et surtout pour Rolland, qui avait réussi à se qualifier pour les championnats de France. Il eut le triomphe modeste le cher enfant et comme d’habitude il vint s’assoir tout près du poste de conduite que j’occupais en tant que chauffeur, le brave gosse, doux comme un enfant et fort comme un homme. Je lui dis : – « Bientôt c’est toi qui conduiras le minibus : tu auras ton permis incessamment sous peu ! » - « J’espère, je fais tout pour » - « Tu te rappelles quand tu étais si minot qu’on t’appelait trois kilos ? Pas moi en tous cas, hein, j’aime pas les surnoms » - « ... »(Silence) — « tu es un homme, un vrai maintenant... » - « Pas comme certains ! » Me répond-il plein de sous-entendus… – « Pourquoi tu dis ça ? Aujourd’hui, à ton âge on ne pense pas qu’on a le droit de vivre sa vie comme on veut ? » - « Pas certaines choses ! » Je conduis, j’ai charge d’âmes et lui qui me capte toute mon attention. Puis exactement dans le style de sa séance de strip du matin il me lance un brûlot : « Quelqu’un m’a parlé de toi. » Je serre le volant du Minibus — « QUI, “quelqu’un” ? Et d’abord, en bien ou en mal ? » - « il m’a fait jurer de rien dire et si je te dis qui c’est » ce merdeux n’est pas aussi joli dedans que dehors. - « Là, c’est TOI qui viens de te mettre en question : un traitre est un traitre, tu voudrais que je mendie les infos d’un traitre ? » - « C’est Pierrot. » J’ai forcé Rolland à abattre sa carte maîtresse, Il faut que je garde la main, mais tout d’un coupje suis moins inquiet. – « Pierrot n’a pas pu te dire du mal de moi » (gros sous-entendu dans ma tête) — « non... mais,,, » — « Tu me dis ça pkoi ? Moi, je vais dire à Pierrot le bon marché que tu fais de ses confidences. » Je l’ai cloué. Il ne répond rien puis : – « non il a pas dit du mal... » - « Bon, écoute : c’est la journée des journées : ta copine n’est pas là, tu me fais deux attaques en règle, on arrive bientôt au local du club, si tu es d’accord on se voit au club une aprèm pour une séance de coaching privé. Mardi aprèm 14h y a personne » lui dis-je en martelant mes paroles d’autorité et d’énergie — « OK je serai là »

2
- « moi faut pas me lancer des défis de ce style ! »
14h mardi, Il est dans l’eau depuis demi-heure il s’est fait emmener vers 13h30, on se connait avec son père, mais suffisamment peu, et c’est mieux comme ça !
Avec Rolland (de Roncevaux comme, par jeu je le surnomme) il faut s’attendre à un évènement toutes les demi-heures… Je plaisante ! De son kayak aux couleurs multicolores (aïe ! Arc-en-ciel c’est seulement maintenant que je le note) il me salue et m’explique qu’il est arrivé en avance qu’il a commencé les séries, qu’il en a fait trois déjà et qu’est-ce qu’il fait après ? Les yeux dans les yeux je lui en dis, il boit mes paroles. Mais qu’est-ce qu’il est chouette ce jeune ! Oh encore un truc ! est-ce depuis aujourd’hui ? ou est-ce avant ? et ça lui va si bien au visage que ça ne se remarque pas : il a un pendant à chaque oreille ! Je m’engueule silencieusement de ce manque d’observation, surtout que ce nouvel Estanguet ne manque ni d’allure, ni de talent sportif, ni d’attrait sexuel*.
- « moi faut pas me lancer des défis comme ça ! »

Il est très essoufflé par les séries d’entraînement que je lui ai infligées. Il sue et se défait rapidement de ses vêtements. Le minislip bleu vole dans les airs aussi. Le voilà nu intégralement. Il dit viens on se douche. Bien sûr ! Me dis-je me voilà piégé. C’est lui qui dirige ! Sa grosse pine il veut me la mettre, j’en suis sûr. On se douche, bien sûr dans la même cabine. Nos corps s’étreignent sous l’eau, C’est lui qui l’a voulu, qui l’a manigancé soudain c’est quoi ? Il se met à genoux ; il me suce. Non c’est pas vrai ! Penché au-dessus de lui je le branle. Il est bien long à bander avec sa grosse queue. Moi non, je bande avant lui tandis qu’il me suce encore. À quatre pattes, avec force il me dit, sans même penser que quelqu’un pourrait entendre : – « Prends-moi, baise-moi ! » Je ne pourrai pas dire que c’est moi qui l’aurai voulu : il se saisit de ma queue et la présente à son derrière. Je dois accomplir mon agréable devoir. Bon, il s’est révélé tel qu’en lui-même, qu’il ait une grosse bite ou non. Là ma bite nage dans le plaisir et moi dans l’allégresse. Vaguement en lui tapissant les entrailles de mon nectar, je repense à cette histoire de Pierrot... et c’est là, encore essoufflé (cette fois par l’amour) qu’il me lance : – « Je veux… qu’on se fasse... un plan à trois… avec Pierrot » je n’en reviens pas : c’est Rolland qui a tout fait et, bien sûr, tout ça s’est réalisé, Ne dois-je pas, en fin de compte, me féliciter des indiscrétions de Pierrot ?

Et là, maintenant je l’attends ce plan à trois, les conduites sexuelles de chacun de nous se révèleront encore plus précisément. Comment cela va-t-il se passer entre nous trois ? Ça ne peut pas être une simple addition de nos comportements, mais plutôt une remise en question de chacun pour nos bonheurs respectifs. J’espère qu’aucun de nous, moi tout le premier, n’aura la place du con !... Celui qui ne fait que regarder sans rien faire et vu la beauté de chacun de nous ça ne serait pas forcément la plus mauvaise place. Une chose me tiendrait à cœur c’est de voir Pierrot se prendre la queue énorme de Rolland... et ça ne me déplairait pas non plus de me la prendre... Une chose est acquise : il n’y aura pas de (connerie de) pudeur entre nous ! Plusieurs athlètes olympiques et autres viennent de prouver que le sport de haut niveau et l’homosexualité se concilient à l’aise, il est passif, mais je ne me fais aucun souci pour les futures performances de Rolland.

* pourquoi ce serait mieux de dire le mot anglais « sex- appeal ? » au lieu d’attrait sexuel non ! : pour moi Pierrot et Rolland ont un très fort attrait sexuel ! Attrait sexuel attrait sexuel attrait sexuel, ne vous déplaise !

 


commentaire :

 

 

le fun des kayakistes au vestiaire :

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...Parfois à la muscu on se croisait dans les vestiaires et j’en profitais vraiment. À chaque fois il venait taper la discussion alors qu’il était en boxer et rien d’autre. Et à chaque fois j’avais du mal à garder mon regard sur ses yeux. Et à l’époque je pensais être grave discret quand je regardais son paquet, bien gros je dois dire, ou ses abdos bien dessinés.

 

 

  PLUS OU MOINS "LICITE" :

NOTES:

 

Un coach sportif très populaire dans son collège de Penn State a été arrêté le mois dernier aux États-Unis pour viols et autres abus sexuels...

Le Blog "case des hommes" :

http://case-des-hommes.blogspot.com/2011/12/la-curiosite-sexuelle-des-garcons.html

 

La curiosité sexuelle des garçons, l'attitude des adultes

Un coach sportif très populaire dans son collège de Penn State a été arrêté le mois dernier aux États-Unis pour viols et autres abus sexuels sur une quarantaine de garçons entre 7 et 13 ans (au moins huit victimes avérées). Des responsables de l'école auraient couvert ces délits. Samedi, le New York Times publiait une interview dans laquelle le présumé coupable (libéré sous caution) clame son innocence: "J'étais pour eux un substitut paternel". Blogueur invité, Robert G. se souvient. -- André.
Dans l’affaire d’abus sexuels envers des garçons par l'entraîneur de Penn State, je me méfie; certains Américains tendent à voir de la pédophilie dans des photos de bambins nus sur une plage. S’il ne s’agissait que de douche collective, partagée en tout bien tout honneur entre un adulte et une équipe de garçons même pré-pubères, je ne suis pas certain qu’il y ait de quoi crier au scandale. Quoi qu'il en soit, elle a réveillé des souvenirs d'enfance (années 1960). Est-ce que je me pose rétroactivement en victime?

Comme scout louveteau (8-12 ans) j’ai participé à un camp dont le responsable procédait chaque soir personnellement à la douche individuelle de chaque garçon à poil, passant consciencieusement son éponge savonneuse partout... Lui portait son short de bain, et je n’ai jamais rien remarqué d’inconvenant, même si nous disions que c’était curieux et étions soucieux d’éviter d’avoir le piquet. Je pense néanmoins qu’aucun de nous n’en a jamais parlé à ses parents: nous ressentions que cela ne se faisait pas. Cela ne m'a pas traumatisé (mais ce serait certainement l’effet d’en parler et de voir les réactions horrifiées que cela susciterait!). Pensez: dans le même camp circulaient entre les louveteaux des bandes dessinées pour adultes (petit format) barbotées aux parents. Ni chattes, ni bites, ni sperme, mais des belles filles seins nus et des beaux gosses (dont le slip noir faisait mon désespoir) dans des situations suggestives...

Au même âge et en d’autres circonstances, je n’avais qu’une envie, celle de voir les moniteurs jeunes adultes à poil. Mais ils attendaient (eux!) que nous ayons fini de nous rhabiller après la piscine. Une fois, j’ai oublié volontairement ma montre pour faire irruption plus tard dans le vestiaire... À l’internat, je me suis intentionnellement mis à bander dans une douche collective pour voir si cela déclencherait je ne sais quoi. Mais rien, hélas! (Aujourd'hui je serais probablement signalé à un service éducatif.) Et je conserve un souvenir ému de ma dernière colo de pré-ado où un garçon, qui avait déjà commencé sa puberté, présentait des organes transformés ornés d’une collerette de poils.
 
Si j’ajoute que, quelques années plus tôt, j’étais attiré par la pissotière du quartier dans laquelle je me rendais seul, on se dira que je suis totalement dépravé. En réalité pas du tout: je vivais alors dans une innocence inconcevable aujourd’hui, ignorant des choses du sexe et a fortiori de l’homosexualité, ou des pervers à l’affût... Je devais avoir 10-11 ans lorsqu'un copain a tenté de me faire croire des choses dégoûtantes sur ce que font le père et la mère pour avoir un enfant. À 13 ans, après notre première leçon d’éducation sexuelle donnée par une doctoresse, mon voisin de banc et moi-même avons bien compris que le nom scientifique du zizi était “anus”... Et je garde un regret éternel de mon déniaisement raté: à 12 ans, je me suis enhardi à dire au fils du boucher, gros vantard, que mon piquet remontait plus haut que le nombril. Mais la fin de la récréation a sonné et nous n'avons pas eu le temps de nous rendre aux WC pour comparer.
 
L’affaire de Penn State prend évidemment une toute autre coloration que ces souvenirs si l’entraîneur (père de six enfants) a réellement sodomisé un garçon de 10 ans dans un vestiaire et abusé de nombreux autres jeunes en situation familiale difficile. La curiosité sexuelle des adolescents fait partie de la construction de soi. La condition de leur épanouissement futur repose sur le fait qu'elle ne sera pas suivie d’un passage à l’acte. C’est aux adultes de savoir y résister, d’assumer la différence de rôle qui est le leur.

Robert G. sur case des hommes

 

 


 

COMMENTAIRE :  à mon avis ton gars savait très bien ce qu'ils faisait en te faisant de l'exhib "sous le nez"

 

 

Par GLAUDOUN - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 15 mai 3 15 /05 /Mai 06:43

 

e-mail de claudio à DAVID : 

Objet :  Salut David Un grand bonjour

 
 
Cliquer ici pour indiquer à Gmail que cette conversation est importante

Friend Amigo <claudemodou@gmail.com>

 06:38 (il y a 2 minutes)
 
Répondre
À  jh_avec_cam6
Tous mes compliments pour ton texte sur Cyrillo
Tu es du 84, et tu y donnes ton e-mail
Aimerais-tu qu'il paraisse sur cavaillongay-lesitelocal ?
Avec ou sans ton e-mail ? Ta réponse nous remplira d'aise
quelle qu'elle soit !
Bises
Claudio

 

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camion aménagé, moquette au sol fait pour la baise gay

 

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Aimerais-tu donner des conseils aux jeunes cavaillonnais dont ce serait la première fois ?
Nous serions ravis de ta participation  et merci d'avance !
claudio

Ma première fois.

Nous sommes au mois d'août 2005, un mardi après midi.

Ma femme fait une sieste dans sa chambre. J'en profite pour aller sur un salon gay d'un tchat.
Cela fait déjà au moins 4 ans que je cherche à avoir une expérience avec un homme (surtout pour essayer de sucer une queue), mais je n'ai jamais osé aller jusqu'à la rencontre, par trouille, je l'avoue. Mais cet après-midi là j'étais bien décidé a réaliser mon fantasme.

Je recherche donc activement un H du 84 (j'ai 25 et recherche un mec viril ayant la trentaine). J'ai envie d'être passif, il me faut un mâle, un vrai.

J'entreprends donc mes recherches sur le tchat, et après quelques messages privés infructueux je me décide de me lancer vers un pseudo alléchant "bogossbidu84".

Premières impressions : c un bi actif, 32 ans. Ça commence bien. Il se décrit, il a l'air charmant et bien musclé, et une belle queue de 17 cm paraît-il.

Bon ben, je me lance : je tente un rencard, il est ok pour un plan dans la nature, et ok pour discrétion absolue, il a une copine. En plus il a un fourgon, nickel pour le confort et la discrétion.

Je lui file donc rencard, et prétexte à ma femme que je vais faire mon tour de vélo quotidien.

L'heure du rdv arrive, je suis fébrile à l'idée de me lancer, mais je me lance. J'enfourche mon vélo et me mets sur la route du rdv.

Sur la route, proche du lieu, j'aperçois un fourgon garé, un bo h attendant à coté. Je le passe puis m'arrête 200 m plus loin. Je le regarde, j'hésite, que fais-je ? Je ne sais plus, je suis pris par le désir fou de goûter cette queue et par celui de rentrer chez moi.

Soudain, il remonte dans son camion et reprend la route. Il vient vers moi. M'a-t-il vu ?
Il faut croire que oui, je reprends la route, arrivé à ma hauteur, il me double et s'arrête sur le bas coté. Je me lance : je m'arrête a hauteur de sa portière. Waow un bogosse bronzé, plutôt musclé, le pied". Il me fait "c'est toi ... ?" Oui. "alors ça le fait ?" en me montrant son corps "Ho oui lui dis-je.
On va au point de rdv c'est un peu plus loin ? "ok" Par discrétion, il prend son camion je continu a vélo.

Arrivé au point de rdv, je suis essoufflé par le vélo, nous buvons un coup et nous grimpons à l'arrière de son camion. C'est plutôt cool : c'est revêtu de moquette pas mal...

On se jette un regard, genre "on y va ?"

Je suis a genou devant lui, il défait son jean, et en sors une magnifique queue, encore molle mais déjà très grosse. Je la saisis alors de la main gauche et l'enfourne dans la bouche, il commence à râler de plaisir. Je lui caresse alors le torse pour voir ce que ça donne, et effectivement il a de beaux abdos. Je bande comme un fou et le pompe comme une chienne, je n'en peux plus.

Je sens sa queue grossir dans ma bouche, et mon anus commence a en avoir envie. Malheureusement, il me dit qu'il est pressé, on s'arrêtera donc a la pipe. Il n'en peut plus de plaisir et me demande s'il peut s'asseoir pour mieux apprécier. Il s'assied donc et je finis de le pomper comme un fou, sa queue est raide comme du bois.

Je commence a sentir du liquide chaud et gluant dans ma gorge, il ne va pas tarder a exploser, ses râles se font de plus en plus poussés.

Je lui masse les couilles en même temps et amplifie la vitesse de mes mouvements de gorge, il n'en peut plus. Je sens soudain son jus giclé dans ma gorge et redouble de vitesse, je l'aspire. Il râle de plaisir. Je le suce jusqu'à l'avoir complètement nétoyé.

Puis, nous nous sommes rhabillés, je n'ai jamais su s'il avait aimé, j'espère que oui, j'ai été un peu rapide, il faut dire.

Moi j'ai adoré, la sensation de cette queue dans ma bouche est géniale et je me languis de trouver un H du 84 ou des environs qui voudront bien de ma bouche et de mon anus. J'ai en effet très envie de sentir une queue de mâle non seulement dans ma bouche mais aussi dans mon anus.

Alors je recherche toujours, en espérant trouver celui qui réalisera mon fantasme.

Si cela arrive, je viendrai vous le raconter.

C'est une histoire vraie.

David


commentaire :

c'est doux de se rendre compte combien on est heureux entre nous sur cavaillongay-lesitelocal même si on sait que David, le beau David, ne nous rejoindra pas !

 

 

Par DE DAVID JH AVEC CAM - Publié dans : DECOMPLEXER les BISEXUELS -&- PERES LIBERTINS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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  • : 15/12/2012

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