Samedi 15 juin 6 15 /06 /Juin 03:23

 Image associée ça me revient soudain que c’est Kevin, dit Kéké pour les potes, qui m’a baisé ce matin, après M. Santos, mais avant M.Blanc. Il a l'air vraiment heureux de me voir.

 

Résultat de recherche d'images pour "amateur basket men play for fun in swimming trunks"  Je suis dans la piscine entre mes longueurs de mise en forme, je me repose un court instant pour souffler, et, soudain, c'est un cataclysme en quelque sorte quand il y a ce bel -et stupide- boulet de canon dans la piscine juste à côté de moi. Image associée   Je cesse d’être en colère dès que je vois que le projectile humain c’est Kéké, qui m’a baisé ce matin, après M. Santos, mais avant M. Blanc. Vous me jugerez mal si vous pensez que je suis pute. Kéké a l'air vraiment heureux de me voir. Il dit "Alors, mon pote!" Et il sautille un peu, ce qui est mignon. Je peux voir ses pectoraux sautiller et ils ont fière allure. L’eau coule de sa petite barbe et il secoue la tête comme un chien heureux. Il est tellement mignon pour un mec. Il m'attrape sous l'eau, comme s'il avait vraiment besoin de me toucher et affirmer un droit de propriété. Il ne me saisit pas ou quoi que ce soit, mais il me fait du 'rentre-dedans'  et me caresse, et tout se passe très vite, mais je peux en déduire que c’est parce qu’il est tout excité et a déjà oublié qu'il s'est vidé les couillles en moi ce mat', et c’est vraiment amusant.

Soudain il y a une autre énorme éclaboussure et un gars canon a sauté juste derrière moi. Il y a aussi une balle qui flotte dans l’eau. Le gars se lève, secoue la tête comme un fou, c’est un grand gars, comme Kevin, mais une version plus grande encore. Il a une sorte de barbe en désordre, à la mode, et je peux d'emblée dire  qu’il a un corps de taureau de premier ordre, avec de grandes épaules, des pectoraux généreux et de beaux bras. Je ne peux pas en dire plus, à part un sourire vraiment très amical et fou. «Hé, dit Kéké, c'est Nicolas (Nico) qui m'agresse ! ».

Il dit à Nico : "Mec, j'étais pas tout à fait prêt."

"Je sais, la traitrise est ma première qualité," dit Nico. Et il rigole.

Ils me sourient et rigolent tous les deux. Ils sont vraiment sympathiques mais je ne suis pas sûr de ce qui se passe. Puis Nico dit: "Tu veux jouer au ballon?"

Un panneau de mini-basket est installé sur le bord de la piscine. Avant que je puisse dire, "Bien sûr !" ou "Non, merci !"
-, Nicolas essaie déjà de faire passer le ballon dans le cerceau.

Il est évidemment bien meilleur que moi au basket mais moi c'est en natation que je me distingue !
-lol-, Je récupère le rebond et frappe le panneau arrière, mais il rebondit, puis Kéké est sur moi. Il récupère le ballon et tire, mais pas avant qu'il ne m'ait fait une caresse furtive à tâtons. C'est son audace que j'aime !


  le sport, et en particulier le basket, autorise les attouchements 'en douce'  

 

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          Résultat de recherche d'images pour "amateur basket men play for fun in swimming trunks"  Image associée et les confidences coquines...

 

   
Résultat de recherche d'images pour "les mecs chahutent en riant à la piscine" «C'est pas juste!» je crie .
-"C'est quoi ?  qu'est-ce que tu veux dire par 'pas juste'? dit Kéké Absolument ! c'est pas juste! Vous êtes tous les deux plus grands que moi pour commencer, pourquoi je pourrais pas être plus grand que vous? " Et on éclate de rire.
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Nico rit et nous charge, presque à nous bousculer.

«Repasse moi la balle !» Dis-je à Kev'. Il le fait et, pour la première fois, je marque un panier.

"Super!" Crie Kevin, "AhhOooOuaishhhhh!"

Au lieu d'aller chercher le ballon, Nico nous attaque et nous tombons. Et je me retrouve à nouveau serré dans ses bras en même temps. Je suis en quelque sorte pris en sandwich entre eux et je sens que je mouillerais mon Speedo si j'étais pas déjà dans la flotte. Nous rentrons tous en riant et Kevin me demande: «ça va p'tite tête ?
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    Je hoche la tête, - "Bien sûr!"

-"Tu passes un bon moment?"

-"Ouais, ouais."

Kéké regarde Nico et dit: "Tu veux pas aller nous chercher des boissons?"

Nico a l'air confus pendant une fraction de seconde, puis dit: «Ah oh euh Ok, bien sûr !» Kev' doit vouloir que nous restions seuls un moment.

Kevin nage après le ballon, puis nous nous faisons face.
 
  Résultat de recherche d'images pour "man helped for getting a huge penis inside a gay bottom"  Il dit: «Je veux… que tu saches quelque chose ...» Il fait une pause, attrape mon regard et je le regarde. «Je connais Nico depuis toujours et il est dans le même 'bateau'  que nous. Sur le même bateau, ah ah, rit-il. «Et - et quand nous nous sommes rencontrés aujourd'hui, il s'est rendu compte qu'il devait y avoir une raison pour laquelle j'étais… de si bonne humeur. Alors moi je le lui dis :

«tu m'avais baisé, voilà tout ! »

 

puis, brusquant les choses :

 

-"Tu veux que je quoi?au juste ? " .


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-"C'est un bon gars, au départ hétéro."dit-il évasivement

-"Tu veux dire qu'il n'a pas aimé, euh l'énormité de tes ... 'caprices' ?"

"Un peu au début, puis j'ai continué à lui montrer à quel point ce que nous

 

 faisions était génial et il a eu..., eh bien, disons, maintenant il est vraiment

 

curieux de tout . 

 

- "C'est bien l'impression que ça m'a fait" dis-je, et , tout en jouant, mon petit  trou se contracte à la pensée que Kéké lui a fait ce qu'il m'a fait à moi aussi si vous voyez ce que je veux dire! -lol-.
 
-"Mon avis est que tout homme peut évoluer, je crois qu'il est (laissez moi repenser à nos bons moments avec Kev)
-«Toi, tu l'aides, à s'éclater, non ? Et surtout tu lui montres à quel point c'est bon. Tu sais faire ! » Kevin essaie de paraître inquiet. " J'insiste : il a vraiment, vraiment besoin de s'envoyer en l'air."

-"Ok," "mais c'est pas mon problème ! "je souris,

Il semble confus et déçu. Il me dit : "Je pensais ... que, comme tu  avais été ... un si bon sportif avec lui tout à l'heure, que tu cherchais son contact ..."

"C'est ça que tu veux? que je baise avec ce gars?"

Il a l'air pris de court par ma franchise.

Je hausse les épaules. «Toi tu m'as baisé parce que tu étais, allez, disons,  spécial. J'ai eu envie. Je pourrais dire, en quelque sorte, que je suis pas une pute ! . Tout ce que je sais de lui, c'est qu'il a voulu me noyer en faisant semblant de rigoler.
-lol-

«Non, mec, c’est un bon gars. Je le connais depuis que nous avons fait le lycée ensemble et il a une très grosse envie de toi.

Je prends une profonde inspiration, pas tout à fait un soupir.

Kev dit : -«Je le connais bien : au lycée il a joué au centre avec moi et il est maintenant auto-entrepreneur en entretien de parcs et jardins (aménagement paysager). Oh, mais je devrais te prévenir, euh… »il rougit fortement : « il a une, euh, euh, euh… »

"Quoi?"
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Nous parlons à voix basse mais maintenant il murmure: "Il a une bite vraiment grosse." 

tout de suite mon imagination file au pas de course :
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Une grosse secousse dans mon Speedo, mais je reste calme et j'essaie d'avoir l'air inquiet, LOL.

"Est-ce que ça va", dit-il, "ou est-ce que j'ai cassé l'affaire?"

Oh mon Dieu, je ris en moi-même. Je dis: - «Euh, je ne sais pas, mec. Je ne le connais toujours pas 'de ce point de vue'.-lol- "

«Je te l'ai dit, c'est un gars bien. Allez, mec, donne-toi, aide-le. Fais le pour moi."

Je suis toujours réticent. "Et ça se passe où?"

Il a une réponse toute prête, -"ha, ha. Sa chambre. Nous allons avoir un créneau de deux heures cet après-midi. Pour ma part, ma femme fait des courses et lui il est libre comme l'air"
Je fais une petite grimace et je ris.

- "Allez, s'il te plaît?" Il plonge sous l'eau et dissipe mes doutes en me tapotant les genoux. Je pose ma main sur sa poitrine pendant une seconde et le regarde en face.

«Peux-tu être là? Je veux dire, pendant qu'on le fait ? Je vais le faire, ok... si tu es là, alors je me sentirai en sécurité. "

 


 

  et mon imagination court en tête de plus belle  : 

Image associée  Il dit  «grosse», mais grosse comment ? Image associée comme ça ?



Maintenant, c’est au tour de Kev' de paraître choqué. -"Ce serait bizarre, non ? j'espère que ça va pas l'arrêter..."

Je mets les points sur les i : "Je ne le ferai que si tu es là."

À ce moment-là, Nico revient avec des boissons. Je lève les yeux et jette un œil à son short. De grandes jambes et beaucoup de lourdes promesses entre elles... là où ça compte. Il a apporté trois jus de fruits, mais l’un a une paille verte. Il me le tend.

"Celui-ci est vierge", dit-il allusivement.

«Pas celui-là», dit Kev en me montrant du doigt.

Ha ha.

Nous sirotons nos boissons. La mienne a bon goût, un peu comme un smoothie ananas-noix de coco.

Nico me sourit. Il a l'air embarrassé et regarde ailleurs. Puis il murmure à Kev : "As-tu ...?"

Kev prend une grande gorgée de son verre et sourit. "Marché conclu ! "Dit-il tout haut à Nico. "Ce sera une excellente après-midi!"

Nico me fait le meilleur des sourires, large, heureux, enthousiaste, gêné quand même mais content que Kev lui ait arrangé le coup.

"Tu es vraiment partant pour ça?"me demande Nico.

Je hoche la tête et rigole. "Oui mais ..."

Kev se penche vers lui : "Il y a une condition."

"Bien sûr, peu importe."

"Il veut que je sois là."

"Oh." Il semble soufflé. L'affaire serait-elle compromise ?  
Contrairement à leurs déconnes précédentes, ils sont maintenant plus sérieux et sont visiblement partants. Mon coeur va défoncer ma poitrine ! Alors que nous finissons nos boissons, ils se regardent tous les deux avec un énorme sourire, puis ils ont l’air sérieux, puis leur sourire énorme revient. Je me sens bien parce que je pense que leur sourire est à propos de ce qu'il va se passer avec moi. Manière de dire qu'il est très content de moi, Nico me parle de ma façon de plonger. Et il est plein de compliments.

"Je peux te dire que tu t'entraînes bien et que tu es un grand nageur", dit-il. "Je suppose que les installations ne sont pas à ta mesure ici."

"Non", je suis d'accord, mais je dois passer un mois en stage pro à Nice. "

Bientôt nos boissons sont finies. Je retourne dans ma chambre pour un peu de préparation et quelques fournitures. Ils n’ont pas de lubrifiant et apparemment il va en falloir ! LOL.

Mon esprit me dépasse à une centaine de kilomètres à l’heure lorsque je me dirige vers la chambre de Nico. Je n’ai jamais rien fait avec deux gars auparavant, surtout pas avec deux hétérosexuels. Je suis un peu intéressé dans la mesure où ça va être un nouveau plaisir et une bonne expérience , LOL.

Quand je frappe à la porte, Kéké est là et répond en disant : "Mot de passe secret?"

«Putain si je sais ! », dis-je.

«Ça me semble le bon MDP ! », rigole Kev en ouvrant la porte.

Lui et Nick ont tous deux une bière à la main. Ils ont mis une serviette sur le lit et trois shorts de 'surf' secs sur une chaise, mais à part ça, rien.

«Alors, comment on fait ça?» Demande Kev'.

Je me dirige vers lui et lui mets une pelle. "Comme ça !"
"Pas de souci, on y va, dit Kev s'essuyant la bouche,débordant du même enthousiasme qu'il avait ce mat' pour me baiser 
"Uumhhh," fait Nico en avançant les lèvres. Pour entrer en matière, je lui réponds par une pelle bien baveuse et profonde. Ainsi les choses sont claires et sans discours inutiles.

"Et là ? dit Kev
 
«Oui mec, on se désape», dis-je, montrant ma détermination... " Alors ?" Aucun ne dit rien, ils sont muets à me regarder, regarder tout mon corps. "Regarde ça." Je me tourne vers Kev et je pose ma main sur sa poitrine et je me penche vers lui et ma bouche trouve la sienne. Dire qu’il est gêné, non, mais après un temps il ouvre la bouche et me glisse un peu de sa langue, et une seconde plus tard, il m’embrasse correctement, comme je le souhaite. Son bras passe autour de ma taille et sa main coule sur mon côté, palpant mon corps. J'arrête le baiser et je me tourne vers Nico et lui dis : «Un peu comme ça. À moins que tu ne saches pas faire ça.

Nico dit: «D'accord» et a l'air décidé, mais il s'approche de moi et se penche, très déterminé, et pose sa bouche sur la mienne. Je travaille sa bouche ouverte et cherche sa langue. J'ai les mains sur ses tempes et j'apprécie qu'il ne se dérobe pas. Ensuite, je trouve ses mamelons sur ses gros pectoraux carrés et je les pince doucement en les faisant rouler entre mes doigts. Il aime ça et sa bouche s'ouvre et whoa! sa langue est dans ma bouche tout du long, grosse, épaisse, la remplissant presque complètement.

J'ouvre ma bouche plus largement et je commence à lécher et sucer sa langue puis nos langues  vont et viennent entre nos bouches et je peux sentir ses mains me tirer en position pour que je sois mieux placé pour un baiser. Puis sa main sur mon dos me tire plus près et son autre main monte et descend de ma colonne vertébrale, s’abaisse, se rapproche de mes fesses.
 
C’est un très bon baiser. Dès que nous nous séparons, je défais mon short et le laisse tomber. Dessous je porte un petit bikini. Je souris à Kev et défais son short. Il porte un boxer 'Under Armour'. Je dois tirer son short pour le faire glisser. Bon sang, il a un bon gros renflement. Je me retourne contre lui et je tâte tout ce que je peux, sa grosse poitrine et son torse, ses épaules et ses bras. Et je l'embrasse encore. Cette fois, il s’intéresse davantage à la question, ses mains m'explorent. Et puis il dit: "Beau cul, mec!"

Je lui souris. Maintenant je peux parler. Je continue à sentir sa poitrine. «J'aime ta force et ta taille. Tes pectoraux sont géniaux. »Je suce un de ses mamelons pendant une seconde, en le tapotant légèrement avec la langue avant d'aspirer une douce petite gorgée. "Putain, tu es chaud!"

Son short est à ses chevilles, alors il le pousse d'un coup de pied, puis nous sommes de nouveau collés et il me met la main dans les fesses, les palpant et les serrant. Je peux sentir sa queue, le renflement est maintenant un tube épais distinct. Je passe mes mains autour de lui, le caresse et lui souris. Je ne simule pas mon enthousiasme quand je lui souris et lui dis: «Putain! Tu as une queue de taureau ! "

A ce moment, il regarde Kev qui tient sa bière vide mais se frotte distraitement l'entrejambe avec l’autre main.

«Je te l'avais dit», dit Kev à Nik' avec un grand sourire.

"Putain, pourquoi Jenny ne peut-elle pas me regarder comme ça?"

Kevin lui sort :  «Non, mec. Mais c'est le moment de 'profiter'. "

Je pense que je tiens la main gagnante, mais je ne veux pas si  eux ne le veulent pas. J'ai ma main sur sa queue bombée. «On peut arrêter si tu veux. Je peux y aller? » La gorge serrée je presse doucement sa queue.

"Pas question d'arrêter ! " Rugit presque Kev comme s'il était le seul intéressé. "Pas du tout, les mecs, on le fait ! "

«Mmmmm», dis-je, en donnant une autre pression à sa grosse bite. C’est comme une canette de soda mais plus épaisse et plus lourde. Ses mains sont de retour sur mes fesses.

«Ton cul est vraiment musclé, dit-il, rond et ferme.

En réponse je me frotte contre sa bite, sens ses pectoraux et mets ma bouche en place pour être embrassé. C'est Kev qui en profite encore, plus que je ne prévoyais, et m'embrasse, avec beaucoup de conviction et me fourre sa langue jusqu'à la gorge, puis il me dit à l'oreille: "Alors, comment on fait ça?"

«Sur le lit», je souris.
  Je baisse mon bikini et me penche pour le faire descendre, mais surtout pour montrer mon cul. Kev se tient là avec sa grosse bûche dépassant de son short de bain qu'il tient par la ceinture comme pour l'enlever. Je lui demande "ça va ?" Va t-il céder à la tentation d'intervenir davantage ? 

Il a l'air un peu désorienté. "Ouais."

Je relève mon visage et me penche pour un baiser. Il ne me déçoit pas, et ce n’est pas seulement un baiser, c’est aussi un câlin, et aussitôt ses mains me prodiguent des caresses aux épaules et dans le dos.
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«Je vais avoir besoin de ton aide, mec, est-ce que ça va?» Murmurai-je. Je pense lui faire plaisir en lui demandant son assistance.C'est comme une cérémonie. Je veux que ce soit toi qui guides sa queue dans mon cul et que tu veilles à ce que je sois pas déchiré. 

"Euh, bien sûr, c'est toujours ok", dit-il avec un mélange d'excitation et de nervosité.

Je me tourne vers Nico et souris. "Tu vas pas garder le maillot ? ."

Il hoche la tête, accroche ses pouces à la ceinture et baisse les 20 g e nylon qui cachent encore sa queue abaissée par la ceinture jusqu'à ce qu'elle soit libérée et claque sur son nombril. Putain, c'est gros! très ! Mon petit trou émet un signe d'anticipation. Je prends mon short et le jette à Kev. “Le lube est dans la poche. Tu peux le sortir ?"

Je me retourne vers Nik'. Sa queue est tellement grosse qu’il semble qu’elle soit gênante, mais il ouvre les bras, puis il me prend dans ses bras et la grosse bûche est pressée contre mon ventre. Il aime bien mes fesses qu'il tire dans ses deux mains et resserre nos corps. Je peux sentir sa queue battre contre mon ventre.

«Vous l'avez ce lubrifiant?» Je demande.

«Non, dit Nik.

«Oui, dit Kevin, ici même.

«Il va falloir qu’il soit vraiment bien lubrifié», dis-je sérieusement. " Kev, ça te fait rien de le faire?"

Kev a l'air ahuri. « Nick peut le faire lui-même. Pourquoi ne peut-il pas le faire? "

J'embrasse de nouveau Nik alors que Kev tient un énorme flacon de lubrifiant dans sa main et commence à en passer abondamment sur la bite de Brad.

"Que fais-tu là ?"

"Juste aider, mon pote", murmure-t-il.

Nik rit. En manière d'acceptation il dit : "Putain tu me fais du bien ! "
"Et moi je dis : Mets m'en bien dans le cul ! "
Je me recule, me couche sur la serviette et regarde fixement la bite de Nik qui balance devant moi, pratiquement dégoulinante de lubrifian . Je lève mes jambes et lui dis de saisir mes chevilles pendant qu'il se redresse. Il me fait plier les pieds bien au-dessus de ma tête puis je dis à Kev: «Bon, tu vas devoir l'aider et le guider."
"Quoi!"
«Mec, c’est foutrement gros, il faut que le centrage soit parfait, et Nick a les mains ocupées à me tenir les quilles.»
"C'est trop bizarre."
"Tu es comme le remorqueur qui aide à amarrer le paquebot en toute sécurité", je rigole.
"Euh ...
«Fais-le!» Grogne Nico.

Kev attrape la bite de Nik. Puis, quand il la tient et qu’il voit où elle va, il s’inquiète soudain pour moi, LOL.

-"Es-tu sûr de pouvoir faire ça?"
"Je le pense. Si tu m'aides
 
  Ensuite, j’arrête de faire des plaisanteries et commence à prendre cela au sérieux, car la bite de Nik est vraiment grosse. Kev maintient et centre la grosse tête et Nik commence à faire pression. Kev me regarde et dit: «Vas-y, Nik vas-y.
Je hoche la tête en signe d'accord mais dis: «Doucement svp».
Oooooh. Il faut un réajustement mental au fur et à mesure que j'écarte davantage  les jambes et ajuste progressivement l'angle. Oh putain! elle est grosse. C'est comme un accouchement. Le bébé est gros !  Je peux sentir l'énorme tête étirer ma bague en tentant de passer au travers. Il y a beaucoup de résistance, mais Nik a 90kg de muscles derrière son bélier. Je halète vraiment, "Ahhh ahhh!"
Je ne sais vous dire ce que je ressens à ce moment. C'est chaud et ça me remplit et m'étire au-delà de ce que j'ai jamais été rempli et étiré. Nik halète en même temps et Kevin dit: «Putain! Bravo, mec, tu l'as fait!
Je ne sais pas s’il parle de moi ou de Nico, LOL.
Mais c'est pas fini : il en reste dehors "Hooohhh!" Une minute plus tard je cherche toujours à m'ajuster à son diamètre alors que Nik continue à faire progresser son énorme queue en moi.
«Ça va, mon petit copain?» Me demande-t-il gentiment en retenant son souffle.
Je hoche la tête, souris, et dis: "J'ai juste besoin d'une seconde de répit."
"Pas de soucis."
Il arrête de pousser et je travaille à me détendre et à l'accueillir, pas à lutter. Quelque part dans ma tête, je dis: "Tu as déjà pu faire ceci, tu vas pouvoir faire cela, tu peux le faire."
Nos yeux se croisent et Nik me sourit et, en proie lui-même à la jouissance, murmure : «C'est incroyable.» Puis il se penche en avant et utilise ses épaules pour me tenir les jambes et met ses bras autour de moi et m'embrasse à nouveau. Ce n’est pas le plus grand baiser du monde, mais il commence à me murmurer:
«Tu as fait ça pour moi mon pote, oui, tu as fait ça, merci ! et il me fait plein de petits bisous de tendresse. Tu es tellement putain, mec, je ne peux pas croire que je suis en toi, on est plus qu'un tu fais que ma bite soit si bien, tu es tellement serré et chaud, et tu fais que la bite de Big Nico soit tellement en accord avec ton petit cul chaud, il chante  : 

 

«ohh ouais, on y va, c'est ça, ouvre-toi pour ton Nico, ouais, ouvre-le, ton

 

petit cul chaud, ouais, ça ne va pas? On se sent vraiment bien, n'est-ce pas?

 

Tu es si chaud, oui »


Je suis presque sûr que mes yeux sont toujours grands ouverts mais il me

 

semble, en même temps que je vois ce qui se passe en gros plan !  je

 

réussis à m'ouvrir un peu plus et il pousse de plus en plus et oh Doux Jésus

 

il est putain de gros et mes jambes sont écartelées et l'étirement est plus

 

intense et OH SAINTE BAISE il frappe mon anus. Je veux dire, il ne fait pas

 

que taper dessus, il est en quelque sorte roulé à la vapeur, et je peux sentir

 

mon corps changer de sensations : «Oh, mon Dieu, ouais», j’ai le souffle

 

coupé.

 

 

"Ouais?" Dit-il. "Tu aimes ça?"
 

"Oh putain, oui!"  
 

"Ouais? Comme ça? »Il insère plus. Davantage de roulage à la vapeur
 

 

"Ohhh ohhh ohhh!"
"

 

Ouais, c’est ça, tu aimes ça!"

Il fait de petits mouvements de balancement, chaque mouvement poussant

 

plus loin. Mes fesses sont tellement compressées et écartées que ce n’est

 

même pas drôle.

 

"Tu peux tout prendre?" Murmure-t-il, conscient de devoir m'épargner.

 

 

Oui ! Tout!! Il y en a encore ? Je hoche la tête sans un mot, mes bras

 

s'étendant autour de lui.

 

«Ohwouaishh, tu peux», dit-il en me fourrant plus de sa grosse bite.

"

 

Ohhhh," je halète, moitié plaisir, moitié douleur.

 
  Il sort lentement à peu près à mi-chemin puis rentre à nouveau. Ahhhh! Son énorme bélier frotte constamment tout le long de ma chatte de garçon ; je sens nos chairs fusionnées. C’est plus qu'incroyable. J'ai l'impression que mon cul va atteindre l'orgasme. Nik recule et rentre à nouveau, et ohhhh, ahhhh, waouh! Quelques fois encore et il commence à trouver son rythme. Je peux dire, que l’expression du gars change. Son regard est vitreux il oit voir flou comme moi. Cela frise toujours l’incrédulité, on est de vrais drogués sans drogue. Quand on commence à perdre le contrôle de quelque chose, quand on commence à ressentir ce qu’on espérait mais qu’on avait peur de ne pas voir se réaliser, et que c’est maintenant que ça se produit et qu'on ne peut pas croire qu’on a autant de chance. Au moins c'est ce que je pense. Ce que je veux penser. Oh mon Dieu, ça fait tellement du bien, on commence à se sentir mieux que jamais, et oh mec, j’aime sentir cette force et la force de mes désirs.

"Oh, oui, mec!" Grogne Nico, alors qu'il prend de la vitesse. "Oh oui! Défoncer ton cul chaud! Je me sens tellement bien!

«Putain de merde!» Dit Kev, que j'avais oublié, LOL. «Il l’a prise, il l’a  prise complètement, toute ! . Putain, tu as une grosse bite, mec! "
  
 
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Je jette un coup d’œil à Kev et je peux voir qu’il a son short de planche à voile déboutonné et que sa queue est bien tendue et qu’il tient son sexe bien serré, pas vraiment en train de se branler, mais bien en train de goutter du jus comme les bites salivent à leur manière.

Il regarde où en est l'action. Puis il commence à parler à Nik. «Vous êtes géniaux, putain de géniaux! Je ne sais pas comment il l’a fait. Merde! Ses fesses sont tellement serrées autour de ta bite qu’elles vont la retenir quand tu vas vouloir sortir, oh mec, ça doit être tellement serré, tellement bon… »

En réalité, Kev baisse la tête pour mieux voir, de près.

À ce moment-là, Nik commence à accélérer, il entame maintenant une série de coups réguliers qui me rendent fou. Je ne sais tout le bruit que je fais, mais Nico augmente constamment le rythme de son généreux "Allez, prends ! " qui correspondent à chacun de ses coups, et la sensation que je vais jouir avec mon cul s'étire jusqu'à ne plus le supporter et souhaiter l'orgasme. Puis Nico se met - si c'est possible ! - davantage dans une position de piston et accélère vraiment et quelques secondes plus tard, je le sens venir. Moi pas encore tout à fait, LOL. Pour savoir quand le partenaire vient, parfois, je me fie uniquement à sa respiration et au visage du gars, et bien sûr à son effondrement. Eh bien là c'est ce que je ressens. Comme si ma fusée décollait ! De plus, il dit: "Oh Jésus, OHHH Jésus, OHHH !!!" Hé, le sexe avec moi est une expérience religieuse, LOL.

Peu de temps après, Kevin s'éclipse en disant: «Oh mon Dieu, c'était génial, c'était génial." Et il me regarde, incroyablement reconnaissant. Et il a la classe de demander, "ça va?" Avant de se retourner et de regarder le plafond, de reprendre son souffle. Je hoche la tête et je le suis du regard, mais, les amis je me sens vide, juste capable de faire jouir mon mec, Nico. Son énorme bite m'a fait sentir si bien ma chatte de garçon. Aurais-je pu en faire plus. En donner plus je veux dire?  Puis je lève les yeux et vois Kev qui s'approche avec ce regard plein d'espoir et d'excitation que je lui connais sur le visage sachant que sa bite sera parfaitement acceptée.

«C'était tellement chaud», dit-il. "Tu es tellement beau quand tu te fais baiser ! "
  Je le regarde et hoche la tête et souris.

Il est plutôt hésitant, ce qui est gentil, mais il ne faut pas se méprendre sur ce qu’il veut. "Ne veux tu pas que ..." il commence. "Puis-je, euh?"

«Mec, dis-je, viens ici. Le bonheur pour tous. "

Il est sur le lit très vite, et il n'hésite pas, il y va et il glisse sa bite en moi comme dans du beurre.

"Ohhhh putain!" Dit-il, "oh putain, c'est bon! Mec, tu es tellement - tellement -... "

"Réchauffé?"

"Ouais, oh putain, tellement chaud!"

"Donne-moi cette bite dure!"

"Oh oui! Tu l'as, mon pote! Oh, mec, ton cul est tellement bon. C’est resté serré et lisse, mais plus facile, c’est comme une parfaite putain oh oui!

Nicolas est toujours allongé sur le lit à côté de nous et il se déplace pour nous donner plus de place. Il regarde, je peux dire qu’il est intéressé. C'est un bon signe, LOL.

Kevin  prend son temps un moment, caressant tout le long du chemin, remuant le moins possible ses hanches pour s’assurer qu’il est calé aussi profondément que possible, puis s’extirpant presque complètement avant de glisser à nouveau aussi lentement que possible et éprouver le velours de mon fourreau et son pouvoir magique. Il peut voir que je l'aime, je peux dire que j'ai une sorte d'expression délirante, très délirante, et je sais qu'il le voit à la façon dont il reprend son sourire ironique. Oh, mec! J'aime la façon dont sa queue glisse si facilement, et frotte toujours tout comme je le veux. Puis il commence à prendre de la vitesse. Il ne s’arrête pas quand il se retire, et la rentrée est de plus en plus rapide, et bientôt c’est une putain de pompe à vapeur.

Kev se sert  ses hanches et de ses abdominaux pour pousser maintenant, il est plus sportif que Nik, pas aussi écrasant, mais tout aussi bon. Et mon cul est le centre spatial de réunion de leurs bites et je n'oublie pas que c'est grâce à Kev, LOL.

«Putain de cul, petit pote, putain de cul parfait!», Grogne Kev en me bourrinant, en me comblant. "Oh, OUAIIIIISSSS!" Il y va et il m'emmène bien loin avec lui. Je me sens comme si nous étions en finale de NBA à Oakland ou quelque chose du genre, il se dirige tout droit vers la ligne d’arrivée, jusqu’aux cinq dernières secondes, dans le chrono, OHH FUCK! Ma chatte que je ne suis pas le seul à chérir ressemble à une explosion de confettis, d’étoiles et de bruiteurs! C’est le Nouvel An quelque part!

"Mon Dieu, j'aime ton cul!" Il vient, je viens, Nicolas nous regarde et sourit: «Putain, les copains!

Mon dieu, j'ai adoré ce trip ! »
 

COMMENTAIRE :

Par CAVAILLONGAY - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Samedi 15 juin 6 15 /06 /Juin 03:00

 

Sur le thème : 
 
  Résultat de recherche d'images pour "porn gay 3 nude young men bullshitting at home swimming pool"   - «Allez, mec, fais-le pour moi , c'est un bon gars ! c'est un bon

copain !»

 

 

Image associée - Tu lui plais

 

  

 

Résultat de recherche d'images pour "3 naked gay teens compete for a red ball"    et ton petit cul va lui plaire !

 

 

 Image associée Je vais t'aider 

 

  Résultat de recherche d'images pour "man helped for getting a huge penis inside a gay bottom"  Je t'ai choqué ?

 

plus difficile à un gay de devenir hétéro que l'inverse et baiser toujours le

 

même vagin sans contrepartie peut lasser"


"Et donc...", il fait une pause. Je lève innocemment les sourcils et attends.

"Je me demandais si tu serais prêt à ..." il fait une nouvelle pause.

J'entrevois déjà ses raisons pour que Nico me baise, mais je ne vais pas rendre la chose trop facile, alors j’attends que Kev' continue :  "Il a vraiment, vraiment besoin de s'envoyer en l'air."
Image associée

 

 

 

 

 

Par CAVAILLONGAY - Publié dans : VIVRE SA SEXUALITE, SES FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Vendredi 14 juin 5 14 /06 /Juin 06:40

   La barque est chargée dès le départ : un gay totalement libre doit-il partager les 'misères psychologiques' d'un bi marié ? 

 

Image associée   Nous gays à relations   multiples, avons l'opportunité de rencontrer divers partenaires avec des intentions différentes dans la rencontre. Le projet le plus fréquent est le 'sans lendemain' qui exclut d'avance tout sentiment. Je pense que toute rencontre nous émeut et nous 'muscle' le coeur en le faisant battre plus fort

que ce soit :

  • dans la prise du rendez-vous
  • à l'approche du rendez-vous
  • la vision du partenaire  
  • l'approche du partenaire le toucher, le parfum
  •  le baiser du partenaire
  • les gestes de l'amour et
  • les paroles échangées qui -plus ou moins- nous marquent 
  • le désir plus ou moins satisfait (on se reverra ?  ou pas ? )  

Oui, tout ça nous fait ressentir des accélérations cardiaques et c'est normal : on n'est pas des robots !  Dans le cas de Gabriel et de Fédérico, les paramètres sont d'entrée peu favorables : un gars hétéro dont c'est  

-éventuellement- la première fois...relation 'one shot' la plus probable habitée par la crainte  du 'péché d'adultère' inhérente aux gens mariés.

! Lio - neil

 

 

Image associée

Federico, organiste, et moi, nous nous connaissons bientôt depuis quinze années. J'ai eu le privilège de faire sa connaissance dans le cadre de récitals d'orgue. Il a 45 ans, marié, deux adorables enfants ; depuis trois ans, il vient souvent en Suisse pour jouer lors de divers offices des samedis et dimanches et pour des concerts. J'ai toujours aimé l'orgue, mais je ne joue d'aucun instrument si ce n'est de la flûte surtout lorsqu'elle est enchantée… Federico est d'origine italienne ; il est beau, les cheveux très bouclés, une gueule d'ange. Il m'avait toujours promis que je puisse une fois me mettre à l'orgue et que je presse quelques touches pour entendre les sons merveilleux, etc. Une précision, Federico sait que je suis homo et je lui ai même dit récemment que j'avais un copain.

Le jour tant attendu arriva ; je retrouve Federico un mercredi soir à l'église. Il était là, magnifique, il jouait une pièce de Frescobaldi sur l'orgue italien, tout cela ne pouvait qu'être divin. Je m'approche de lui tout doucement car il ne m'avait pas entendu entrer. Nous nous saluons en nous embrassant comme nous le faisons depuis un certain temps déjà. Il me donne quelques explications au sujet de l'instrument puis m'invite à prendre place sur le banc. Il était debout derrière moi et me donnait ses « directives »… J'ai posé d'abord un doigt, puis deux, trois, les deux mains, un peu n'importe comment ; c'était horriblement beau… Moi, ignorant toute règle musicale, ne jouant d'aucun instrument, j'arrivais – très mal – à sortir des sons de cette merveille instrumentale. Federico, m'a mis une partition d'élève en m'expliquant comment je devais procéder. Toujours debout derrière moi, il guidait mes bras afin que je les positionne correctement. J'étais aux anges. Insensiblement, son corps se rapprochait de mon dos et parfois je sentais le souffle de sa respiration sur ma nuque, mais je sentais surtout sa chaleur sur mes vertèbres. Que cela était doux. Federico riait et se moquait un peu de moi, mais cela n'avait aucune importance car je le sentais de plus en plus proche de moi tout contre mon corps. Nous avons continué cet exercice un certain temps pour ne pas dire un temps certain. Je pense pouvoir dire que nous nous amusions beaucoup à ce petit jeu. Federico se rapprochait de plus en plus de moi et je remarquais de mieux en mieux toute sa chaleur ; peut-être que c'était moi qui me mettais plus en arrière sur mon banc… De temps, en temps, mon italien d'organiste plaçait son visage à côté du mien et me montrait un point particulier sur la partition ; il changeait de côté tout en s'appuyant davantage contre moi. Une fois qu'il avait son visage tout près du mien, j'ai tourné le mien vers lui et nous nous sommes regardés longuement, les yeux dans les yeux, aucun de nous ne parlait ; il peut y avoir des paroles très silencieuses, c'est ce qui se passait. Il m'a souri, je lui ai souri, puis il m'a plaque ses lèvres sur les miennes… Surprise de ma part, mais pas longtemps… Federico a mis ses bras autour de mon cou pour que je ne puisse pas me retirer et là, moment merveilleux, mon bel italien a forcé le passage de mes lèvres pour placer sa langue dans ma bouche et je me suis laissé faire. Ce bel hétéro était en train d'embrasser avec délices un homo ; quel moment subliminal. Il fouillait avec sa langue chaude et douce, pas râpeuse du tout, que tout cela en était divin. Je ne savais pas si j'osais insérer ma langue dans sa bouche car j'aurais tellement voulu que nos langues fassent un ballet incessant dans nos cavités buccales… Tout à coup, il relâche son étreinte quitte ma bouche et me dit « Excuse-moi, je ne sais pas ce qui m'a pris… il faut arrêter ». Comme réponse, je l'ai bien regardé et cette fois, c'est moi qui ai plaqué mes lèvres contre les siennes et j'ai introduit ma langue dans sa bouche et il s'est superbement laissé faire. Et il en a voulu de ma langue que je n'en revenais pas. Après ces instants de fougue, j'ai mis une main sur son paquet, lui sur le mien… nous bandions comme des dingues.

Nous avons terminé la leçon et je l'ai invité chez moi pour parler ensemble ; ce pauvre chou était mal dans sa peau de mâle hétéro… Nous avons donc quitté l'église ; Federico m'a proposé de prendre sa voiture pour aller à mon appartement. Il ne disait rien, ce qui me faisait de la peine… J'ai rompu le silence et je lui ai dit qu'il ne devait pas avoir de scrupules quant à ce qui s'est passé ; j'étais peut-être aussi fautif en me mettant bien en arrière sur le banc pour le sentir tout près de moi. Je n'ai rien fait lorsqu'il s'approchait de moi et que nos visages étaient bien l'un contre l'autre. Je n'ai rien fait lorsqu'il a déposé ses lèvres sur les miennes et qu'il n'a pas tardé à me mettre sa langue dans ma bouche. Donc, il n'avait aucune raison pour ne pas poursuivre ce dont il avait certainement très envie. Je lui parlais ainsi pour tenter de le calmer tellement il était mal à l'aise. Il voulait que je lui pardonne et qu'il ne se passe plus rien entre nous… « Federico, mon ami, on parle de tout cela à la maison et il se passera ce que nos sentiments nous dicteront… ». Il a souri et, tout en conduisant, il a mis sa main droite sur ma cuisse gauche ; l'histoire ne pouvait donc pas se terminer ainsi.

Arrivés à mon appartement, je lui ai proposé une boisson ce qu'il a accepté, un bon « Martini rosso », pour moi également. Il était assis sur le divan et je me suis mis à côté de lui. Rapidement, il m'a dit qu'il y avait déjà un petit moment qu'il souhaitait que quelque chose se passe entre lui et un mec, moi en l'occurrence ; il avait dans l'idée d'avoir une fois une relation avec un homme pour savoir comment c'était par rapport à une femme et il pensait sincèrement à moi, certain qu'il était que, quoiqu'il arrive, jamais je ne lui en voudrais.

 

 

  VIVRE les désirs d'un 'bi'

Faut-il qualifier de bi lun homme marié qui va avec un gay ? Ce qui l'attire c'est le côté toujours mystérieux et subversif de l'homosexualité alors que l'hétérosexualité n'exerce évidemment pas ce pouvoir sur les gays puisqu'elle est très largement majoritaire et n'a rien de mystérieux s'affichant partout en permanence et encore moins dans la notion de subversion. Un gars marié qui se fait piquer à baiser avec 1 mec fera davantage se poser de questions à sa compagne,,,D'ailleurs, Moi qui suis gay nomade et volage j'en ai rencontré beaucoup des hétéros qui aiment varier leurs plaisirs. Je les trouve d'ailleurs plus ouverts d'esprit que moi car je n'irais pas avec une femme.-lol-

Lio - neil

 

 

      Image associée   Je le fixais dans les yeux dans lesquels il y avait quelques larmes ; il était encore plus beau qu'à l'ordinaire. Cette fois, c'est moi qui l'ai enlacé autour du cou et j'ai couvert son visage de baisers puis n'y tenant plus, c'est moi qui ai déposé mes lèvres sur les siennes qui étaient brûlantes – de désir je pense – et sans tarder j'ai passé ma langue pour chercher la sienne. Très rapidement, c'est un vent de folie qui s'est emparé de nous, nos corps se rapprochant. Nos bouches ne se quittaient pas, nos mains prenant le visage de l'autre ou se promenant sur le corps de l'autre tout partout, sur les tétons, sur l'abdomen sur le paquet, sur les cuisses… C'était un orage violent qui nous animait, tout se passait sans paroles, mais avec des gémissements de délices (j'aurais envie de compléter par… amours et orgues…). Il a défait les boutons de ma chemise, n'ayant rien dessous, il a alors quitté ma bouche pour me sucer les tétons et les caresser longuement de l'un à l'autre. Je me laissais faire ou je le laissais faire. Souhaitant qu'il aille plus bas, j'ai défait ma ceinture, ouvert mon pantalon et tout de suite il est venu déposer de doux baisers sur mon paquet encore emballé dans un slip. Ma bite était très tendue et elle n'attendait plus le moment d'être libérée ; je me suis alors soulevé pour descendre mes habits pour me mettre ensuite un peu en arrière pour qu'il puisse me lécher comme il le voulait. Federico était perdu dans mes poils, mais n'arrêtait pas de passer sa langue tout autour de mon sexe puis sur mes couilles. Il a pris ma bite dans une main et a commencé de me masturber ; je lui ai demandé s'il voulait la prendre en bouche et doucement il a avancé ses lèvres vers mon gland, l'a embrassé puis l'a léché avec une douceur fabuleuse que j'avais peur de jouir prématurément. Tout à coup, l'italien s'est réveillé et a pris ma queue en bouche avec une frénésie folle et cela a duré longtemps que je ne pouvais plus l'arrêter.

A un moment donné, je lui ai demandé sans plus aucun détour s'il souhaitait que nous allions dans ma chambre à coucher, qu'on y serait mieux ; à ma grande surprise, il a accepté l'offre faite. Avant de se déplacer, il s'est mis à poil entièrement et j'ai enfin pu admirer ce corps magnifique, très peu de poils, des tétons bien pointus, un petit ventre plus qu'adorable, des poils pubiens noirs, une queue tendue de 20 environ, un prépuce comme j'aime et une paire de couilles bien pendantes. Arrivés dans la chambre, je me suis mis sur mon lit, couché sur le dos et je me suis offert à lui. Il n'a pas hésité comprenant très vite mon envie de l'avoir. J'avais bien écarté mes jambes afin qu'il puisse se placer entre elles pour que je sente rapidement son sexe contre le mien et contre mes fesses. Il s'est étendu entièrement sur moi et m'a à nouveau embrassé avec fougue. Je le sentais très chaud, surtout son sexe qui était plus que bouillant. Federico parut très pressé de me demander s'il pouvait me baiser et si j'avais des capotes. Oh oui, tu peux me baiser et j'ai même osé lui dire « comme tu veux avec ou sans capote ». J'ai tout ce qu'il faut dans le tiroir de ma table de nuit… Comme je sentais qu'il voulait « conclure » cette alliance, j'ai pris du lubrifiant, je me suis bien doigté et je lui ai dit que j'étais prêt, qu'il pouvait pénétrer mon intimité quand il le voulait. Il a enfilé une capote, a encore mis deux ou trois doigts dans mon trou en disant « une merveille » et oups il s'est introduit sans aucune difficulté. Pour qu'il puisse mieux me prendre, j'ai mis mes jambes sur ses épaules et cette fois il a pu me baiser comme il le voulait ; je bougeais mon bassin afin que cela l'excite davantage… Je lui ai fait comprendre que je souhaitais qu'il m'embrasse pendant qu'il m'embrochait ce à quoi il m'a répondu « nous ne sommes pas des amants, c'est juste une expérience pour moi… », mais il m'a tout de même embrassé très chaleureusement et longuement. Donc, en haut et en bas, tout fonctionnait à merveille. Je satisfaisais le fantasme d'un hétéro, pure souche, et je me faisais sauter par un mec dont j'avais déjà eu envie… Cette baise a duré longtemps ; de temps en temps, il sortait totalement sa bite et la rentrait en poussant au maximum afin que je la sente bien, d'où des gémissements parfois assez forts de ma part. Le moment devait arriver ou mon hétéro italien allait éjaculer ; dans la capote ou dans ma bouche lui ai-je demandé ? Trop tard, tout arrivait et une quantité énorme de sperme a été déposée dans le condom… Il s'est lentement retiré de moi a éliminé la capote et je lui ai bien léché sa bite pour la nettoyer. J'en ai profité pour bien avoir le goût de sa semence, de sa liqueur de mâle… hétéro… Ensuite, il s'est affalé sur moi et nous nous sommes endormis… Les héros étaient fatigués.

 

Image associée Alleluia !

 

Image associée  Une partition nuptiale  qu'il fut facile de jouer au lit à quatre mains

 

Au réveil, mon Federico était à nouveau tout sombre. Mais, qu'avons-nous fait me dit-il ? Mais l'amour lui ai-je répondu. Tu voulais cela, tu voulais faire une expérience, tu voulais comparer tes ébats entre une femme et un homme, non ? J'étais presque fâché de l'entendre parler ainsi. Il m'a pris dans ses bras, m'a embrassé et m'a demandé si au moins j'avais eu du plaisir avec lui. OH OUI, mon amant italien, tu peux être tranquillisé, je l'ai eu mon plaisir avec toi. Je lui ai même avoué que j'avais déjà fait l'amour avec des hétéros, mais que lui avait été « plus que parfait ». J'ai précisé que l'amour entre homos peut être superbe, mais que l'amour fait avec lui dépassait tout ce que je pouvais espérer. A son tour de me dire qu'il a pleinement goûté à cette expérience et que je lui avais apporté une jouissance qu'il y a longtemps qu'il n'avait pas connue ainsi. Généralement, il veut baiser une femme – la sienne ou une autre – rapidement pour se satisfaire, mais avec moi il a baisé longuement non seulement pour lui, mais pour moi également sentant toute ma jouissance de l'avoir en moi pour moi tout seul… un immense désir réciproque.

Il a voulu prendre une douche ; j'ai pris la mienne ensuite. Nous avons pris un petit déjeuner et il est parti en m'embrassant tendrement… seulement sur les joues… Je le comprends, même si j'avais du regret.

Nous n'avons plus jamais reparlé de cette histoire. Je suis tout de même persuadé que lui et moi, nous gardons dans notre for intérieur les délices de ces moments passés si proches l'un de l'autre.*

J'aime beaucoup Federico et il m'aime beaucoup comme de très bons amis.¤

                                                                                                                                                                                          Gabriel

  

Image associée« J'ai toujours aimé l'orgue, mais je ne joue d'aucun

 

 instrument si ce n'est de la flûte surtout lorsqu'elle est

 

enchantée…» Gabriel vu son récit on ne le trahit pas en publiant cette image !   

 

 

 

 Image associée  jeune musicien joue de sa bite traversière -lol-

 

 

 Image associée visiblement leurs flûtes sont enchantées !

   lecture en direct sur cyrillo :  https://cyrillo.biz/histoire-gay-2015-federico.php

* ce qui fait que Féd' téléphone à mon beauf , 20 ans après, pour lui demander des nouvelles de moi ! à 15 km de cavaillon, j'espère que Federico sera invité bientôt !-lol- : 

   Résultat de recherche d'images pour "collé au dos du jeune organiste "

  Ah la drague de Caumont dont le maire fait tout ce qu'il peut pour qu'elle devienne inaccessible aux gays !

 

notes :

 

Les gays...

Résultat de recherche d'images pour "gif deux coers qui battent"  ...à relations   multiples

 


coeurs solitaires: 

trop dur la solitude envie de jouer et jouir !

Image associée

 

 

Image associée  Image associée Image associée

 

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Image associée Image associée Image associée

 

Résultat de recherche d'images pour "gif branlette coeur solitaire" Image associée mmmmmmhhhhh avec un vibro ans le culImage associée

 

 

 

 

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  masturbez-vous les gars ! ça ira mieux bien !

 

 

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Image associée Image associée

 

"Allez ! rien n'est meilleur à l'âme que de faire une âme moins triste " Paul Verlaine 

 

 

Certains hommes couchent avec d'autres hommes sans se penser gays ou bisexuels. Cela peut faire rire ou rendre triste, mais ce n'est pas si absurde.

Par Renée Greusard sur Rue89 

 

"Est-ce que cela veut dire qu'il est gay ?"

C'est la question que posait une femme au "New York Times",en janvier 2018. Après avoir fouillé dans le téléphone de son copain, elle s'était aperçue qu'il se baladait sur des applis gays.

En lisant cette femme, nous avons pensé à son compagnon. Parle-t-il d'homosexualité et de bisexualité dans les dîners d'amis sans se sentir concerné par le sujet ? Que signifie ce refus d'accéder à ces catégories ?

Un exemple français : Adrien*, qui se présente comme "un Parisien trentenaire semi-branchouille qui gagne bien sa vie dans l'événementiel culturel", a accepté de nous parler de son cas par téléphone, après avoir insisté sur l'anonymat total de son témoignage.

"Des aventures exotiques"(ça ne l'a pas empêché de se 'mettre' avec une nana)  

Dans une conversation, ponctuée de soupirs, il se souvient de son arrivée à Paris il y a quelques années et de sa plongée dans une disette sentimentalo-sexuelle. Pas une meuf à pécho. Timide, pas dragueur, Adrien finit par se tourner vers les mecs pour "combler un vide".

découvre des plaisirs nouveaux en étant pénétré...

"Mais ce n'est pas comme si j’étais homo, là, c’est juste des aventures exotiques irrégulières et ponctuelles."

S'il ne peut se définir comme gay, c'est que :

"Je ne me suis jamais considéré comme gay ni même bi parce que je ne me vois pas être en relation réelle avec un mec."

 
("qu'il se voie" ou "qu'ON ne le voie ? et ça nous ramène à une question sociétale où les sentiments n'ont pas la première place ! ) 

la rédaction de cavaillongay-lesitelocal

 

 


 

  commentaire :

 

   Image associéeemail claudemodou@gmail.com  

 

 

Par GABRIEL SUR CYRILLO - Publié dans : DECOMPLEXER les BISEXUELS -&- PERES LIBERTINS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 12 juin 3 12 /06 /Juin 07:20

les papys ne sont désormais plus de bois !  

  Image associée Leonard de Vinci a longuement parlé de l'érection masculine    Image associée

Celebrating Older Men - Cocks with Foreskin Celebrating Older Men - intact-lloyd: walter219: newtoarea: ... - Hot Daddies Celebrating Older Men - frenulumist: What a man - Hot Daddies 

 

Celebrating Older Men - jueycreamdrop: (via TumbleOn) - Hot Daddies Celebrating Older Men - Amature men  Celebrating Older Men - Daddy

 

 

Résultat de recherche d'images pour "porn older man worships a big erect cock" Image associée pépé désespéré qu'elle ne lui serve plus qu'à pisser ! 

 

ne te braque pas, il fait rien de mal ! Afficher l'image d'origine et toi, tu mates pas sur le net ?

Une bite pointée vers le ciel :

 Résultat de recherche d'images pour "porn older man worships a big erect cock"tu ne le mérites guère, petit con

mais on t'admire !

 

Image associée se contenterait-il d'admirer ? 's'abaisserait-il' à sucer ? 

 

 

 

 


 

 

  Résultat de recherche d'images pour "porn older gay man admires an erect twink's dick"  de 7 à 77 ans il n'y a pas d'âge pour mater !

 

   Image associée  Jamais deux yeux seuls ne suffiront à rendre hommage à un si beau joyau !  

 

 


 

commentaire :

 

     Image associéeemail claudemodou@gmail.com  

Par ESOPE - Publié dans : MEDITATION & REFLEXIONS "Tempus Fugit" - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 12 juin 3 12 /06 /Juin 01:58

Image associée  Résultat de recherche d'images pour "film porno gay en salle de cinéma" Au 20 boulevard de Clichy, coincé entre une brasserie et un McDonald's, l'Atlas est l'un des derniers cinémas pornos parisiens en activité,

 

Invisible sur Google Maps et presque autant sur Internet, j'ai découvert le cinéma L'Atlas au hasard d'une balade dans le nord de Paris. Situé en face de la place Pigalle, au 20 boulevard de Clichy, coincé entre une brasserie et un McDonald's, l'Atlas est l'un des derniers cinémas pornos parisiens en activité, cousin oublié du Beverley des Grands Boulevards. Il est ouvert tous les jours de 10 heures à 2 heures du matin.

En plein essor dans les années 1970, les cinémas pornographiques dits de « cinéma spécialisé » faisaient flores aux alentours des gares et des quartiers populaires. Ils ont pourtant décliné progressivement, mis à mal par les chaînes de télévision, le classement « X » de 1975, l'arrivée de la VHS, pour être achevé par Internet à la fin des années 1990.

L'Atlas est situé au cœur de Pigalle, dans le 18 e. Les sex-shops et bars à hôtesses qui firent autrefois la réputation du quartier ont, ces dernières années, été remplacés par des endroits plus traditionnels, destinés à une clientèle différente. Le renouvellement a rangé ces lieux dans la catégorie des musées et de l'apparat nostalgique. De fait, qui va encore mater ou se masturber là-dedans, en 2016 ?

Devant l'entrée du cinéma, je mate un peu les affiches des films diffusés. Dessus, on voit des chattes et des bites poilues ; plutôt vintage, donc. En passant, un mec visiblement drogué me demande s'il y a du « monde à l'intérieur ».Je n'en sais rien. Homosexuel blanc de classe moyenne et pourtant assez au fait du Paris dit « alternatif », je lui réponds que je n'ai jamais entendu parler de L'Atlas. Je regarde sur mon téléphone si quelqu'un a déjà évoqué ce cinéma sur Internet. Les seules occurrences viennent du site lieuxdedrague.fr. J'y lis, par exemple :

« Cinéma porno surtout fréquenté par des travestis et quelques hommes africains, arabes, étrangers. il y a 2 salles de projection. Bons plans avec mecs qui se branlent ou baisent sans capote dans les chiottes du haut qui servent de backroom. Hétéros mariés, bi, et gays de tous âges... (pour info lieu très sale). Métro Pigalle. Attention aux pickpockets. »

À part ça, rien.

Pour baiser avec des inconnus, je suis plutôt du genre à utiliser les applications smartphone de type Grindr ou Tinder. Avec le temps cependant, j'ai pris goût aux rencontres inattendues dans des lieux faits pour ça – ou non –, qui sont bien plus excitantes que la drague sur Internet typique d'aujourd'hui. Un peu partout dans Paris, il existe en effet un large choix de saunas et de bars dédiés à ça et où je me rends parfois. Mais dans tous les cas, rien qui ressemble à l'Atlas, tant au niveau de la clientèle que de l'atmosphère.

L'entrée est à 10 euros. On me donne un petit ticket bleu, à l'ancienne. Une fois entré, j'ai le choix entre deux salles : une à l'étage et une en sous-sol. Je commence par en haut et me cale dans un siège du fond. À travers la pénombre, je cherche du coin de l'œil quelques mouvements qui tromperaient un ébat discret, mais les gens ont l'air plutôt sages. Point question d'homosexualité à l'écran. On y voit des mecs et des meufs baiser en ordre naturel. Le film projeté est du style « interracial », avec une femme noire en train de se faire démonter par un mec blanc.

Comme évoqué dans le commentaire posté plus haut, ce que je vois de la population ici est en majorité de descendance africaine, subsaharienne et maghrébine. Comme prévu, les films ne sont qu'un prétexte. Les gens sont là pour baiser ou se branler. Certains arrivent avec un petit sac de sport, et se changent en arrivant dans la salle.

Image associée l'Atlas le jour
L'Atlas est situé entre une brasserie française pour touristes, et le McDonald's de Pigalle.

Au contraire du commentaire, les mecs que j'observe sont plutôt hétéros et viennent ici baiser des meufs susceptibles de se lâcher davantage que leur partenaire féminin habituel. À moins que ce soit peut-être pour assouvir plus facilement leur attirance refoulée envers les hommes ? Car je vois également des relations homosexuelles assumées, sans que ça ne gêne les hétéros alentour. Avant que le film commence, je lis d'autres commentaires à propos de l'Atlas sur le site de rencontre. Ils sont directs.

 


Image associée

« 20/10/2013 à 11 h 24


Ce dimanche 20 octobre j y serai dès 14h et jusqu'à 22h pour n'être qu'un trou à bites... uniquement servir de vide couilles à la chaîne et non stop. âge et physique peu important... alors blacks arabes blédards clochards venez nombreux... kelly.. »

 

    Résultat de recherche d'images pour "porn older gay man admires an erect twink's dick"à la chaîne et non stop -lol-

  


 

Première surprise, il y règne une ambiance très agréable. Des hommes – j'apprendrai plus tard, par la personne qui m'abordera, qu'ils sont proxénètes – discutent tranquillement sur les banquettes à l'arrière. Des travestis plaisantent, font le bilan de leur journée. Je commence à me sentir bien. De l'écran jaillit un bain de lumière apaisant qui inonde la salle. Les jeux entre les gens se mettent vite en place.

Je vois des inconnus qui se baladent, matent, cherchent des trucs ; parfois avec une insistance et une proximité bizarre, vu qu'on ne voit rien. Ça me fait penser aux buissons du Bois de Boulogne, ou à certains bars à culs.

À part un mec titubant, vraisemblablement soûl, les gens réunis ici semblent sobres. La population est plutôt trentenaire, mature, avec quelques jeunes ici et là. Il m'est difficile d'évaluer précisément l'âge des gens. Les femmes abordent les hommes seuls qui, assis, ont l'air de les attendre. Ensuite, libre à eux d'aller tirer leur coup dans les toilettes, qui servent de backrooms. C'est là que les gens s'ébattent.

Les w.-c. puent l'urine. Des papiers y traînent et les chaussures collent à la crasse du sol à chaque pas. Ça me fait penser aux clubs gays kinky où l'on ressent jusque dans le décor autour de soi l'acte moralement répréhensible auquel on est en train de se livrer. Parce que c'est ça qui est bon. C'est une forme de saleté qui transcende mon dégoût initial, me procure un sentiment d'excitation. À l'Atlas, les sièges et le sol des salles semblent propres, sans odeur ; le crade est dissimulé dans les couloirs et les chiottes.

 

Image associée Scène de cruising classique en début de séance

Dans la salle, je m'aperçois que les rétroprojecteurs qui diffusent les films ne sont pas du tout centrés. L'image parvient aux trois-quarts sur l'écran. Le reste échoue sur les murs ou sur le plafond. Comme si les appareils avaient simplement été posés là, sans plus de façons.

« 01/01/2016 à 13h24
Cette fin d'année je ne la voulais pas traditionnelle. Donc j ai décidé d etre dans le pire ciné X pour finir sex. Et cela a marché car a minuit on s occupait de moi. j'y ai même découvert un nouvelle sensation . Par contre je ne referai plus. vaut quand meme mieux un reveillons traditionnel. Bonne année sexe a tous »

Dans les bars ou saunas gays que je fréquente, les mecs attendent au bar jusqu'à ce qu'ils trouvent quelqu'un. Les regards jouent beaucoup : il s'agit de faire comprendre à l'autre que celui-ci nous plaît. Puis on se rapproche pour aller continuer notre affaire plus loin. Souvent, il y a des mecs qui matent ou tentent de participer. J'aime beaucoup regarder aussi, et m'insérer dans un ébat en cours. Il faut juste savoir écouter et s'y prendre avec tact.

Dans un cinéma comme celui-ci, le jeu est différent grâce à la salle et aux sièges. Il est plus facile de se poser et d'attendre qu'on nous approche. Assis dans la salle depuis déjà une bonne vingtaine de minutes, c'est à mon tour de me faire aborder. C'est un homme. Il est travesti, noir, élancé et chic. Il a l'air adorable. On papote. Il me dit qu'il bosse dans les ressources humaines le jour ; « je m'amuse comme ça le soir », ajoute-t-il. Il me dit que son travestissement est venu des diverses demandes de la part de mecs hétéros qui le fantasment et le « désirent en femme ».

Il est là pour son plaisir et me dit qu'il ne « travaille pas », c'est-à-dire qu'il ne prend pas d'argent en échange d'une partie de jambes en l'air. Bien sûr, il n'y a pas que des prostitués. Beaucoup viennent ici simplement pour se détendre, à l'abri des regards.

Par la suite, je me fais aborder par un autre travesti. C'est une femme d'un certain âge, une Mama noire. Elle est postée dans le couloir à baise, en bas. Elle m'annonce : « je ne prends pas d'argent, mais tu peux m'offrir un cadeau ». En découvrant le lieu, je ne vois rien et lui demande ce que font les gens au fond. « Ils font l'amour », répond-elle.

trash et content de le rester !

Les escaliers menant vers les toilettes et la salle du sous-sol

Ce qui me marque chez elle, c'est son absolue douceur. De toute ma vie, c'est la première fois que je suis en contact avec le milieu de la prostitution. D'entre les capes et les foulards parvient sa délicatesse, à travers sa voix, ses gestes. Un truc très maternel. Dans son coin, elle fredonne un air en attendant un homme.

Plus le temps passe, plus je me sens bien. J'ai l'impression d'être si loin des chichis princiers de certains établissements gays. Je descends au sous-sol.

Je ne vois pas de différence notable entre les deux salles. Plus de sièges pétés, peut-être. Ces derniers, avec la lumière spectrale de l'écran et les corps désincarnés qui déambulent alentour donnent un air fantomatique à la salle. Des gens baisent dans un petit couloir vers la sortie de secours, sous une alcôve jonchée de détritus et d'emballages de capotes. Il y a même un petit rideau, à tirer lorsqu'on souhaite être tranquille.

Dans la pénombre, je ne distingue pas grand-chose. Je peux à peine sentir que c'est assez calme dans la salle. Les gens regardent le film ou pianotent sur leur téléphone. On entend un peu les cruisers parler par-dessus le film, mais c'est à peu près tout. Le sexe est surtout localisé dans des lieux précis, où les gens baisent plutôt rapidement et dans une discrétion relative. Je n'arrive pas vraiment à être excité car c'est assez calme, et le travestissement n'est pas mon truc. Le nombre de personnes présentes joue aussi : je suis, il faut le reconnaître, assez timide.

« 15/10/16 à 19h40
Bonne salope à démonter, cherche bites pour éteindre le feu de son cul dimanche de 13h jusqu'à l'extinction du feu. Elle pompe aussi. Chienne obéissante et soumise. »

Il est possible que je sois arrivé un peu après la fête. D'après les commentaires, il y a plus de monde les samedis et dimanches après-midi. Après environ deux heures d'étude à l'intérieur, je me décide à sortir. L'atmosphère du McDonalds d'à côté tranche net avec ce que je viens de vivre.

Je quitte l'endroit avec une pointe de regret : c'en est fini de ma petite parenthèse enchantée. Ce cinéma porno m'a rendu nostalgique d'une période que je n'ai jamais connue.

Je réalise que j'aime les gens que j'y ai croisés, parce qu'ils ont envie d'autre chose. Car il faut vraiment avoir envie d'autre chose pour s'obliger à quitter son fauteuil chaud, son ordinateur et son téléphone pour aller faire du cruising réel comme il y a 30 ans. Cela signifie prendre de vrais risques.

Assis dans le fast-food devant un menu composé d'un burger, d'une boisson gazeuse et d'une portion de frites, éclairé par toutes les lumières du boulevard, je remarque une chose : ici, il fait plus sombre et plus froid qu'au fond de l'Atlas.

ça fait penser à des choses comme le progrès nous pousse, mais vers où ? /:

La lumièr' revient déjà
Et le film est terminé
Je réveille mon voisin
Il dort comme un nouveau-né
Je relèv' mon strapontin
J'ai une envie de bailler
C'était la dernièr' séquence
C'était la dernièr' séance
Et le rideau sur l'écran est tombé
La photo sur le mot fin
Peut fair' sourire ou pleurer
Mais je connais le destin
D'un cinéma de quartier
Il finira en garage
En building supermarché
Il n'a plus aucune chance
C'était la dernièr' séance
Et le rideau sur l'écran est tombé
Bye bye les héros que j'aimais
L'entracte est terminé
Bye bye rendez-vous à jamais
Mes chocolats glacés, glacés.
J'allais rue des Solitaires
À l'école de mon quartier
À 5 heures j'étais sorti
Mon père venait me chercher
On voyait Gary Cooper
Qui défendait l'opprimé
C'était vraiment bien l'enfance
Mais le rideau sur l'écran est tombé M'sieu Eddy
Image associée   Image associéeImage associée

 

 


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   Image associéeemail claudemodou@gmail.com  

Par JEAN COGNET/VICE - Publié dans : CULTURE GAY & SOCIETES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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