Invisible sur Google Maps et presque autant sur Internet, j'ai découvert le cinéma L'Atlas au hasard d'une balade dans le nord de Paris. Situé en face de la place Pigalle, au 20 boulevard de Clichy, coincé entre une brasserie et un McDonald's, l'Atlas est l'un des derniers cinémas pornos parisiens en activité, cousin oublié du Beverley des Grands Boulevards. Il est ouvert tous les jours de 10 heures à 2 heures du matin.
ça me revient soudain que c’est Kevin, dit Kéké pour les potes, qui m’a baisé ce matin, après M. Santos, mais avant M.Blanc. Il a l'air vraiment heureux de me voir.
Je suis dans la piscine entre mes longueurs de mise en forme, je me repose un court instant pour souffler, et, soudain, c'est un cataclysme en quelque sorte quand il y a
ce bel -et stupide- boulet de canon dans la piscine juste à côté de moi. Je cesse d’être en colère dès que je vois que le projectile
humain c’est Kéké, qui m’a baisé ce matin, après M. Santos, mais avant M. Blanc. Vous me jugerez mal si vous pensez que je suis pute. Kéké a l'air vraiment heureux de me voir. Il dit "Alors,
mon pote!" Et il sautille un peu, ce qui est mignon. Je peux voir ses pectoraux sautiller et ils ont fière allure. L’eau coule de sa petite barbe et il secoue la tête comme un chien heureux.
Il est tellement mignon pour un mec. Il m'attrape sous l'eau, comme s'il avait vraiment besoin de me toucher et affirmer un droit de propriété. Il ne me saisit pas ou quoi que ce soit,
mais il me fait du 'rentre-dedans' et me caresse, et tout se passe très vite, mais je peux en déduire que c’est parce qu’il est tout excité et a déjà oublié qu'il s'est vidé les
couillles en moi ce mat', et c’est vraiment amusant.
Soudain il y a une autre énorme éclaboussure et un gars canon a sauté juste derrière moi. Il y a aussi une balle qui flotte dans l’eau. Le gars se lève, secoue la tête comme un fou, c’est un
grand gars, comme Kevin, mais une version plus grande encore. Il a une sorte de barbe en désordre, à la mode, et je peux d'emblée dire qu’il a un corps de taureau de premier
ordre, avec de grandes épaules, des pectoraux généreux et de beaux bras. Je ne peux pas en dire plus, à part un sourire vraiment très amical et fou. «Hé, dit Kéké, c'est Nicolas
(Nico) qui m'agresse ! ».
Il dit à Nico : "Mec, j'étais pas tout à fait prêt."
"Je sais, la traitrise est ma première qualité," dit Nico. Et il rigole.
Ils me sourient et rigolent tous les deux. Ils sont vraiment sympathiques mais je ne suis pas sûr de ce qui se passe. Puis Nico dit: "Tu veux jouer au ballon?"
Un panneau de mini-basket est installé sur le bord de la piscine. Avant que je puisse dire, "Bien sûr !" ou "Non, merci !"-, Nicolas essaie déjà de faire passer le ballon dans le cerceau.
Il est évidemment bien meilleur que moi au basket mais moi c'est en natation que je me distingue ! -lol-, Je récupère le rebond et frappe le panneau arrière, mais il rebondit, puis Kéké
est sur moi. Il récupère le ballon et tire, mais pas avant qu'il ne m'ait fait une caresse furtive à tâtons. C'est son audace que j'aime !
le sport, et en particulier le basket, autorise les attouchements 'en douce'
-"C'est quoi ? qu'est-ce que tu veux dire par 'pas juste'? dit Kéké Absolument ! c'est pas juste! Vous êtes tous les deux plus grands que moi pour commencer, pourquoi je pourrais pas être plus grand que vous? " Et on éclate de rire.
Nico rit et nous charge, presque à nous bousculer.
«Repasse moi la balle !» Dis-je à Kev'. Il le fait et, pour la première fois, je marque un panier.
"Super!" Crie Kevin, "AhhOooOuaishhhhh!"
Au lieu d'aller chercher le ballon, Nico nous attaque et nous tombons. Et je me retrouve à nouveau serré dans ses bras en même temps. Je suis en quelque sorte pris en sandwich entre eux et je sens que je mouillerais mon Speedo si j'étais pas déjà dans la flotte. Nous rentrons tous en riant et Kevin me demande: «ça va p'tite tête ?
Je hoche la tête, - "Bien sûr!"
-"Tu passes un bon moment?"
-"Ouais, ouais."
Kéké regarde Nico et dit: "Tu veux pas aller nous chercher des boissons?"
Nico a l'air confus pendant une fraction de seconde, puis dit: «Ah oh euh Ok, bien sûr !» Kev' doit vouloir que nous restions seuls un moment.
Kevin nage après le ballon, puis nous nous faisons face.
«tu m'avais baisé, voilà tout ! »
puis, brusquant les choses :
-"Tu veux que je quoi?au juste ? " .
-"C'est un bon gars, au départ hétéro."dit-il évasivement
-"Tu veux dire qu'il n'a pas aimé, euh l'énormité de tes ... 'caprices' ?"
"Un peu au début, puis j'ai continué à lui montrer à quel point ce que nous
faisions était génial et il a eu..., eh bien, disons, maintenant il est vraiment
curieux de tout .
-«Toi, tu l'aides, à s'éclater, non ? Et surtout tu lui montres à quel point c'est bon. Tu sais faire ! » Kevin essaie de paraître inquiet. " J'insiste : il a vraiment, vraiment besoin de s'envoyer en l'air."
-"Ok," "mais c'est pas mon problème ! "je souris,
Il semble confus et déçu. Il me dit : "Je pensais ... que, comme tu avais été ... un si bon sportif avec lui tout à l'heure, que tu cherchais son contact ..."
"C'est ça que tu veux? que je baise avec ce gars?"
Il a l'air pris de court par ma franchise.
Je hausse les épaules. «Toi tu m'as baisé parce que tu étais, allez, disons, spécial. J'ai eu envie. Je pourrais dire, en quelque sorte, que je suis pas une pute ! . Tout ce que je sais de lui, c'est qu'il a voulu me noyer en faisant semblant de rigoler. -lol-
«Non, mec, c’est un bon gars. Je le connais depuis que nous avons fait le lycée ensemble et il a une très grosse envie de toi.
Je prends une profonde inspiration, pas tout à fait un soupir.
Kev dit : -«Je le connais bien : au lycée il a joué au centre avec moi et il est maintenant auto-entrepreneur en entretien de parcs et jardins (aménagement paysager). Oh, mais je devrais te prévenir, euh… »il rougit fortement : « il a une, euh, euh, euh… »
"Quoi?"
Nous parlons à voix basse mais maintenant il murmure: "Il a une bite vraiment grosse."
Une grosse secousse dans mon Speedo, mais je reste calme et j'essaie d'avoir l'air inquiet, LOL.
"Est-ce que ça va", dit-il, "ou est-ce que j'ai cassé l'affaire?"
Oh mon Dieu, je ris en moi-même. Je dis: - «Euh, je ne sais pas, mec. Je ne le connais toujours pas 'de ce point de vue'.-lol- "
«Je te l'ai dit, c'est un gars bien. Allez, mec, donne-toi, aide-le. Fais le pour moi."
Je suis toujours réticent. "Et ça se passe où?"
Il a une réponse toute prête, -"ha, ha. Sa chambre. Nous allons avoir un créneau de deux heures cet après-midi. Pour ma part, ma femme fait des courses et lui il est libre comme l'air"
Je fais une petite grimace et je ris.
- "Allez, s'il te plaît?" Il plonge sous l'eau et dissipe mes doutes en me tapotant les genoux. Je pose ma main sur sa poitrine pendant une seconde et le regarde en face.
«Peux-tu être là? Je veux dire, pendant qu'on le fait ? Je vais le faire, ok... si tu es là, alors je me sentirai en sécurité. "
et mon imagination court en tête de plus belle :
Maintenant, c’est au tour de Kev' de paraître choqué. -"Ce serait bizarre, non ? j'espère que ça va pas l'arrêter..."
Je mets les points sur les i : "Je ne le ferai que si tu es là."
À ce moment-là, Nico revient avec des boissons. Je lève les yeux et jette un œil à son short. De grandes jambes et beaucoup de lourdes promesses entre elles... là où ça compte. Il a apporté trois jus de fruits, mais l’un a une paille verte. Il me le tend.
"Celui-ci est vierge", dit-il allusivement.
«Pas celui-là», dit Kev en me montrant du doigt.
Ha ha.
Nous sirotons nos boissons. La mienne a bon goût, un peu comme un smoothie ananas-noix de coco.
Nico me sourit. Il a l'air embarrassé et regarde ailleurs. Puis il murmure à Kev : "As-tu ...?"
Kev prend une grande gorgée de son verre et sourit. "Marché conclu ! "Dit-il tout haut à Nico. "Ce sera une excellente après-midi!"
Nico me fait le meilleur des sourires, large, heureux, enthousiaste, gêné quand même mais content que Kev lui ait arrangé le coup.
"Tu es vraiment partant pour ça?"me demande Nico.
Je hoche la tête et rigole. "Oui mais ..."
Kev se penche vers lui : "Il y a une condition."
"Bien sûr, peu importe."
"Il veut que je sois là."
"Oh." Il semble soufflé. L'affaire serait-elle compromise ?
"Je peux te dire que tu t'entraînes bien et que tu es un grand nageur", dit-il. "Je suppose que les installations ne sont pas à ta mesure ici."
"Non", je suis d'accord, mais je dois passer un mois en stage pro à Nice. "
Bientôt nos boissons sont finies. Je retourne dans ma chambre pour un peu de préparation et quelques fournitures. Ils n’ont pas de lubrifiant et apparemment il va en falloir ! LOL.
Mon esprit me dépasse à une centaine de kilomètres à l’heure lorsque je me dirige vers la chambre de Nico. Je n’ai jamais rien fait avec deux gars auparavant, surtout pas avec deux hétérosexuels. Je suis un peu intéressé dans la mesure où ça va être un nouveau plaisir et une bonne expérience , LOL.
Quand je frappe à la porte, Kéké est là et répond en disant : "Mot de passe secret?"
«Putain si je sais ! », dis-je.
«Ça me semble le bon MDP ! », rigole Kev en ouvrant la porte.
Lui et Nick ont tous deux une bière à la main. Ils ont mis une serviette sur le lit et trois shorts de 'surf' secs sur une chaise, mais à part ça, rien.
«Alors, comment on fait ça?» Demande Kev'.
Je me dirige vers lui et lui mets une pelle. "Comme ça !"
"Uumhhh," fait Nico en avançant les lèvres. Pour entrer en matière, je lui réponds par une pelle bien baveuse et profonde. Ainsi les choses sont claires et sans discours inutiles.
"Et là ? dit Kev
Nico dit: «D'accord» et a l'air décidé, mais il s'approche de moi et se penche, très déterminé, et pose sa bouche sur la mienne. Je travaille sa bouche ouverte et cherche sa langue. J'ai les mains sur ses tempes et j'apprécie qu'il ne se dérobe pas. Ensuite, je trouve ses mamelons sur ses gros pectoraux carrés et je les pince doucement en les faisant rouler entre mes doigts. Il aime ça et sa bouche s'ouvre et whoa! sa langue est dans ma bouche tout du long, grosse, épaisse, la remplissant presque complètement.
J'ouvre ma bouche plus largement et je commence à lécher et sucer sa langue puis nos langues vont et viennent entre nos bouches et je peux sentir ses mains me tirer en position pour que je sois mieux placé pour un baiser. Puis sa main sur mon dos me tire plus près et son autre main monte et descend de ma colonne vertébrale, s’abaisse, se rapproche de mes fesses.
Je lui souris. Maintenant je peux parler. Je continue à sentir sa poitrine. «J'aime ta force et ta taille. Tes pectoraux sont géniaux. »Je suce un de ses mamelons pendant une seconde, en le tapotant légèrement avec la langue avant d'aspirer une douce petite gorgée. "Putain, tu es chaud!"
Son short est à ses chevilles, alors il le pousse d'un coup de pied, puis nous sommes de nouveau collés et il me met la main dans les fesses, les palpant et les serrant. Je peux sentir sa queue, le renflement est maintenant un tube épais distinct. Je passe mes mains autour de lui, le caresse et lui souris. Je ne simule pas mon enthousiasme quand je lui souris et lui dis: «Putain! Tu as une queue de taureau ! "
A ce moment, il regarde Kev qui tient sa bière vide mais se frotte distraitement l'entrejambe avec l’autre main.
«Je te l'avais dit», dit Kev à Nik' avec un grand sourire.
"Putain, pourquoi Jenny ne peut-elle pas me regarder comme ça?"
Kevin lui sort : «Non, mec. Mais c'est le moment de 'profiter'. "
Je pense que je tiens la main gagnante, mais je ne veux pas si eux ne le veulent pas. J'ai ma main sur sa queue bombée. «On peut arrêter si tu veux. Je peux y aller? » La gorge serrée je presse doucement sa queue.
"Pas question d'arrêter ! " Rugit presque Kev comme s'il était le seul intéressé. "Pas du tout, les mecs, on le fait ! "
«Mmmmm», dis-je, en donnant une autre pression à sa grosse bite. C’est comme une canette de soda mais plus épaisse et plus lourde. Ses mains sont de retour sur mes fesses.
«Ton cul est vraiment musclé, dit-il, rond et ferme.
En réponse je me frotte contre sa bite, sens ses pectoraux et mets ma bouche en place pour être embrassé. C'est Kev qui en profite encore, plus que je ne prévoyais, et m'embrasse, avec beaucoup de conviction et me fourre sa langue jusqu'à la gorge, puis il me dit à l'oreille: "Alors, comment on fait ça?"
«Sur le lit», je souris.
Il a l'air un peu désorienté. "Ouais."
Je relève mon visage et me penche pour un baiser. Il ne me déçoit pas, et ce n’est pas seulement un baiser, c’est aussi un câlin, et aussitôt ses mains me prodiguent des caresses aux épaules et dans le dos.
«Je vais avoir besoin de ton aide, mec, est-ce que ça va?» Murmurai-je. Je pense lui faire plaisir en lui demandant son assistance.C'est comme une cérémonie. Je veux que ce soit toi qui guides sa queue dans mon cul et que tu veilles à ce que je sois pas déchiré.
"Euh, bien sûr, c'est toujours ok", dit-il avec un mélange d'excitation et de nervosité.
Je me tourne vers Nico et souris. "Tu vas pas garder le maillot ? ."
Il hoche la tête, accroche ses pouces à la ceinture et baisse les 20 g e nylon qui cachent encore sa queue abaissée par la ceinture jusqu'à ce qu'elle soit libérée et claque sur son nombril. Putain, c'est gros! très ! Mon petit trou émet un signe d'anticipation. Je prends mon short et le jette à Kev. “Le lube est dans la poche. Tu peux le sortir ?"
Je me retourne vers Nik'. Sa queue est tellement grosse qu’il semble qu’elle soit gênante, mais il ouvre les bras, puis il me prend dans ses bras et la grosse bûche est pressée contre mon ventre. Il aime bien mes fesses qu'il tire dans ses deux mains et resserre nos corps. Je peux sentir sa queue battre contre mon ventre.
«Vous l'avez ce lubrifiant?» Je demande.
«Non, dit Nik.
«Oui, dit Kevin, ici même.
«Il va falloir qu’il soit vraiment bien lubrifié», dis-je sérieusement. " Kev, ça te fait rien de le faire?"
Kev a l'air ahuri. « Nick peut le faire lui-même. Pourquoi ne peut-il pas le faire? "
J'embrasse de nouveau Nik alors que Kev tient un énorme flacon de lubrifiant dans sa main et commence à en passer abondamment sur la bite de Brad.
"Que fais-tu là ?"
"Juste aider, mon pote", murmure-t-il.
Nik rit. En manière d'acceptation il dit : "Putain tu me fais du bien ! "
Je me recule, me couche sur la serviette et regarde fixement la bite de Nik qui balance devant moi, pratiquement dégoulinante de lubrifian . Je lève mes jambes et lui dis de saisir mes chevilles pendant qu'il se redresse. Il me fait plier les pieds bien au-dessus de ma tête puis je dis à Kev: «Bon, tu vas devoir l'aider et le guider."
"Quoi!"
«Mec, c’est foutrement gros, il faut que le centrage soit parfait, et Nick a les mains ocupées à me tenir les quilles.»
"C'est trop bizarre."
"Tu es comme le remorqueur qui aide à amarrer le paquebot en toute sécurité", je rigole.
"Euh ...
«Fais-le!» Grogne Nico.
Kev attrape la bite de Nik. Puis, quand il la tient et qu’il voit où elle va, il s’inquiète soudain pour moi, LOL.
-"Es-tu sûr de pouvoir faire ça?"
"Je le pense. Si tu m'aides
Je hoche la tête en signe d'accord mais dis: «Doucement svp».
Oooooh. Il faut un réajustement mental au fur et à mesure que j'écarte davantage les jambes et ajuste progressivement l'angle. Oh putain! elle est grosse. C'est comme un accouchement. Le bébé est gros ! Je peux sentir l'énorme tête étirer ma bague en tentant de passer au travers. Il y a beaucoup de résistance, mais Nik a 90kg de muscles derrière son bélier. Je halète vraiment, "Ahhh ahhh!"
Je ne sais vous dire ce que je ressens à ce moment. C'est chaud et ça me remplit et m'étire au-delà de ce que j'ai jamais été rempli et étiré. Nik halète en même temps et Kevin dit: «Putain! Bravo, mec, tu l'as fait!
Je ne sais pas s’il parle de moi ou de Nico, LOL.
Mais c'est pas fini : il en reste dehors "Hooohhh!" Une minute plus tard je cherche toujours à m'ajuster à son diamètre alors que Nik continue à faire progresser son énorme queue en moi.
«Ça va, mon petit copain?» Me demande-t-il gentiment en retenant son souffle.
Je hoche la tête, souris, et dis: "J'ai juste besoin d'une seconde de répit."
"Pas de soucis."
Il arrête de pousser et je travaille à me détendre et à l'accueillir, pas à lutter. Quelque part dans ma tête, je dis: "Tu as déjà pu faire ceci, tu vas pouvoir faire cela, tu peux le faire."
Nos yeux se croisent et Nik me sourit et, en proie lui-même à la jouissance, murmure : «C'est incroyable.» Puis il se penche en avant et utilise ses épaules pour me tenir les jambes et met ses bras autour de moi et m'embrasse à nouveau. Ce n’est pas le plus grand baiser du monde, mais il commence à me murmurer: «Tu as fait ça pour moi mon pote, oui, tu as fait ça, merci ! et il me fait plein de petits bisous de tendresse. Tu es tellement putain, mec, je ne peux pas croire que je suis en toi, on est plus qu'un tu fais que ma bite soit si bien, tu es tellement serré et chaud, et tu fais que la bite de Big Nico soit tellement en accord avec ton petit cul chaud, il chante :
«ohh ouais, on y va, c'est ça, ouvre-toi pour ton Nico, ouais, ouvre-le, ton
petit cul chaud, ouais, ça ne va pas? On se sent vraiment bien, n'est-ce pas?
Tu es si chaud, oui »
Je suis presque sûr que mes yeux sont toujours grands ouverts mais il me
semble, en même temps que je vois ce qui se passe en gros plan ! je
réussis à m'ouvrir un peu plus et il pousse de plus en plus et oh Doux Jésus
il est putain de gros et mes jambes sont écartelées et l'étirement est plus
intense et OH SAINTE BAISE il frappe mon anus. Je veux dire, il ne fait pas
que taper dessus, il est en quelque sorte roulé à la vapeur, et je peux sentir
mon corps changer de sensations : «Oh, mon Dieu, ouais», j’ai le souffle
coupé.
"Ouais?" Dit-il. "Tu aimes ça?"
"Oh putain, oui!"
"Ouais? Comme ça? »Il insère plus. Davantage de roulage à la vapeur
"Ohhh ohhh ohhh!"
"
Ouais, c’est ça, tu aimes ça!"
Il fait de petits mouvements de balancement, chaque mouvement poussant
plus loin. Mes fesses sont tellement compressées et écartées que ce n’est
même pas drôle.
"Tu peux tout prendre?" Murmure-t-il, conscient de devoir m'épargner.
Oui ! Tout!! Il y en a encore ? Je hoche la tête sans un mot, mes bras
s'étendant autour de lui.
«Ohwouaishh, tu peux», dit-il en me fourrant plus de sa grosse bite.
"
Ohhhh," je halète, moitié plaisir, moitié douleur.
"Oh, oui, mec!" Grogne Nico, alors qu'il prend de la vitesse. "Oh oui! Défoncer ton cul chaud! Je me sens tellement bien!
«Putain de merde!» Dit Kev, que j'avais oublié, LOL. «Il l’a prise, il l’a prise complètement, toute ! . Putain, tu as une grosse bite, mec! "
Il regarde où en est l'action. Puis il commence à parler à Nik. «Vous êtes géniaux, putain de géniaux! Je ne sais pas comment il l’a fait. Merde! Ses fesses sont tellement serrées autour de ta bite qu’elles vont la retenir quand tu vas vouloir sortir, oh mec, ça doit être tellement serré, tellement bon… »
En réalité, Kev baisse la tête pour mieux voir, de près.
À ce moment-là, Nik commence à accélérer, il entame maintenant une série de coups réguliers qui me rendent fou. Je ne sais tout le bruit que je fais, mais Nico augmente constamment le rythme de son généreux "Allez, prends ! " qui correspondent à chacun de ses coups, et la sensation que je vais jouir avec mon cul s'étire jusqu'à ne plus le supporter et souhaiter l'orgasme. Puis Nico se met - si c'est possible ! - davantage dans une position de piston et accélère vraiment et quelques secondes plus tard, je le sens venir. Moi pas encore tout à fait, LOL. Pour savoir quand le partenaire vient, parfois, je me fie uniquement à sa respiration et au visage du gars, et bien sûr à son effondrement. Eh bien là c'est ce que je ressens. Comme si ma fusée décollait ! De plus, il dit: "Oh Jésus, OHHH Jésus, OHHH !!!" Hé, le sexe avec moi est une expérience religieuse, LOL.
Peu de temps après, Kevin s'éclipse en disant: «Oh mon Dieu, c'était génial, c'était génial." Et il me regarde, incroyablement reconnaissant. Et il a la classe de demander, "ça va?" Avant de se retourner et de regarder le plafond, de reprendre son souffle. Je hoche la tête et je le suis du regard, mais, les amis je me sens vide, juste capable de faire jouir mon mec, Nico. Son énorme bite m'a fait sentir si bien ma chatte de garçon. Aurais-je pu en faire plus. En donner plus je veux dire? Puis je lève les yeux et vois Kev qui s'approche avec ce regard plein d'espoir et d'excitation que je lui connais sur le visage sachant que sa bite sera parfaitement acceptée.
«C'était tellement chaud», dit-il. "Tu es tellement beau quand tu te fais baiser ! "
Il est plutôt hésitant, ce qui est gentil, mais il ne faut pas se méprendre sur ce qu’il veut. "Ne veux tu pas que ..." il commence. "Puis-je, euh?"
«Mec, dis-je, viens ici. Le bonheur pour tous. "
Il est sur le lit très vite, et il n'hésite pas, il y va et il glisse sa bite en moi comme dans du beurre.
"Ohhhh putain!" Dit-il, "oh putain, c'est bon! Mec, tu es tellement - tellement -... "
"Réchauffé?"
"Ouais, oh putain, tellement chaud!"
"Donne-moi cette bite dure!"
"Oh oui! Tu l'as, mon pote! Oh, mec, ton cul est tellement bon. C’est resté serré et lisse, mais plus facile, c’est comme une parfaite putain oh oui!
Nicolas est toujours allongé sur le lit à côté de nous et il se déplace pour nous donner plus de place. Il regarde, je peux dire qu’il est intéressé. C'est un bon signe, LOL.
Kevin prend son temps un moment, caressant tout le long du chemin, remuant le moins possible ses hanches pour s’assurer qu’il est calé aussi profondément que possible, puis s’extirpant presque complètement avant de glisser à nouveau aussi lentement que possible et éprouver le velours de mon fourreau et son pouvoir magique. Il peut voir que je l'aime, je peux dire que j'ai une sorte d'expression délirante, très délirante, et je sais qu'il le voit à la façon dont il reprend son sourire ironique. Oh, mec! J'aime la façon dont sa queue glisse si facilement, et frotte toujours tout comme je le veux. Puis il commence à prendre de la vitesse. Il ne s’arrête pas quand il se retire, et la rentrée est de plus en plus rapide, et bientôt c’est une putain de pompe à vapeur.
Kev se sert ses hanches et de ses abdominaux pour pousser maintenant, il est plus sportif que Nik, pas aussi écrasant, mais tout aussi bon. Et mon cul est le centre spatial de réunion de leurs bites et je n'oublie pas que c'est grâce à Kev, LOL.
«Putain de cul, petit pote, putain de cul parfait!», Grogne Kev en me bourrinant, en me comblant. "Oh, OUAIIIIISSSS!" Il y va et il m'emmène bien loin avec lui. Je me sens comme si nous étions en finale de NBA à Oakland ou quelque chose du genre, il se dirige tout droit vers la ligne d’arrivée, jusqu’aux cinq dernières secondes, dans le chrono, OHH FUCK! Ma chatte que je ne suis pas le seul à chérir ressemble à une explosion de confettis, d’étoiles et de bruiteurs! C’est le Nouvel An quelque part!
"Mon Dieu, j'aime ton cul!" Il vient, je viens, Nicolas nous regarde et sourit: «Putain, les copains!
Mon dieu, j'ai adoré ce trip ! »
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