Jeudi 27 juin 4 27 /06 /Juin 05:42

dans la nuit de mon imaginaire forêt, les arbres baisent...non j'ai pas fumé !

 

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Au commencement il y a la rencontre.

A gauche de l’image deux jambes rugueuses qui avancent en direction de jambes d’une clarté brillante, un gris de perle avec des lignes concentriques de poterie chantournée, une lumière ondulante et sensuelle.

Et au milieu, le bras rugueux positionné à hauteur de sexe, recouvert de lianes violettes qui descendent du haut de l’image, pudeur ou  mystère.

 

 

 

«A à la rencontre d'un succube,Slain, issu d'un jeu vidéoX » .Image associéequi aurait cru qu'un petit cul semi-vierge comme le mien fût heureux d'être défoncé par une monstre-bite comme celle du succube de la forêt ?  



Entre mes genoux je peux saisir son regard un instant et j'ai l'impression qu'il me demande pardon à l'avance. Il force un peu avec son doigt et commence à me pénétrer. Sans préparation et sans lubrifiant c'est une sensation un peu forte mais je retiens toute protestation. Il retire son doigt et cherche des yeux le lubrifiant. Il me regarde droit dans les yeux et me dit que le moment est venu de me préparer à vivre mon deuxième dépucelage « Ta tan tan chantonne-t-il, pour marquer la solennité du moment, c'est là que le plaisir commence ! ». Il m'applique généreusement du gel et il me masse la rondelle, c'est très agréable puis je vois passer un plug noir de la taille d'une belle bite . J'essaie de me détendre au maximum et je sens mon trou s'ouvrir pour le gober ça entre facilement. Il me le retire et enchaîne immédiatement avec la taille supérieure, je le sens passer ce coup ci et laisse échapper un petit cri de douleur. Jordan fait quelques mouvements avec ce jouet histoire de m'élargir un peu, quand il me le retire j'ai l'impression de rester ouvert. Il présente un nouveau gode devant mon anus et il l'enfonce sans attendre, il doit être énorme car il force pour le faire pénétrer. Cette fois ci je hurle, j'ai l'impression qu'il est en train de me déchirer les entrailles. Sans se soucier de ma douleur, il continue de me travailler en faisant des mouvements de va et vient de plus en plus amples. Je sanglote, je le supplie d'arrêter. Là, obnubilée par ce qui se passe 'en bas' ma tête perd la notion du temps j'ai l'impression de ne plus rien sentir d'autre que mon anus., il cesse enfin de me torturer et retire lentement le plug, cette fois ci je suis certain que mon cul reste grand ouvert, il y est allé fort.

,« il relève la tête.  je suis toujours emmanché quand il nous emmène vers la table de la cuisine et se retire.  Je suis debout devant lui.  Il m'embrasse et me sourit toujours avant de me faire signe de me retourner.
Monsieur veut une levrette :  ça va être torride.  Putain, je suis pas une jument.  Mais, bon dieu ce qu'il est bandant.  Il me penche sur la table comme une salope, m'écarte les jambes.  Son gros gland sonde ma raie, cherche l'orifice.  Comme de nature, l'un et l'autre s'attirent et  aaaannnnnnnnhhhhhhhhhhhh!!!!!!!  Sa queue ravageuse trouve ma rosette pour la défoncer une fois de plus.  Cette position lui permet encore plus de performance.  Au secours!  Je vais mourir de bonheur!

Il se penche sur mon dos, comme un gros ours - d'ailleurs, il en a la queue - et me couvre en entier.  Nous sommes chair contre chair.  Il me défonce encore plus sauvagement;  je croyais que mon bassin et mes hanches et mes fesses se disloqueraient, tant sa troisième jambe était large; et tellement longue que je me sentais déchirer par mon amour.  Ouh!, j'ai la prostate qui va enfler de plaisir et de spasmes.  Il m'étreignait de ses bras solides, me caressait le ventre meurtri et les pectoraux.  J'avais son haleine d'étalon dans le dos, il me léchait tendrement la nuque.  C'était un délice.

J'étais prisonnier de son étreinte et jouissais  J'avais une trique d'enfer, j'allais bientôt venir.  Mon mec, mon Slain le sentait.  Et ça venait pour lui aussi.  Il était devenu un vrai sauvage, il gémissait et violemment, mais amoureusement, il se mettait à me pomper.  Après un dernier baiser, il s'est relevé et m'a pris aux hanches pour mieux m'attirer vers lui et m'inculquer ses violentes, rapides et entières pulsions de coït endiablé.  Et les gémissements.  Oh, je n'en pouvais plus de ce mâle qui me baisait comme une vraie salope.(la salope c'est moi !)  Il me défonçait en rafales avec son pilotis.  C'était le pied.  Je me sentais élargir à chaque poussée de son puissant pelvis.  Sa grosse queue entrait et sortait plus vite qu'un piston déchaîné.  Oh, ouh, quelques poussées encore, plus enflammées les unes que les autres.  Il se mit à m'enviander avec une violence délicieusement douloureuse, et puis, les couilles se resserrèrent, et puis, un gémissement suprême qui nous envahit, et.  AAAAAAAAHHHHHHHHHHH!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

C'était l'explosion.  Alors que je jutais péniblement sur la table, son membre redoublant d'enflement propulsa en moi des giclées d'une puissance complètement démente, d'une chaleur folle et d'une viscosité alléchante.  C'était comme faire le plein, mais le plein d'essence virile.  Parmi les poussées pelviennes toujours plus calmes et dont les spasmes nous ébranlaient, j'étais branché sur un égout de sperme affluant et je me faisais remplir comme une vraie jument.  C'était bon de sentir son affreusement bonne liqueur, déversée par un phallus apprêté et protubérant, énormément gonflé, et dont les millions de spermatozoïdes m'envahissaient d'un océan de frissons.  Quand il s'est retiré en nos géissements, un flux de sperme s'est mis à s'épandre sur mes cuisses.  Il s'est mis à lécher son propre sperme, et puisque j'étais flexible, je l'ai aidé.  Dans un baiser, sous avons partagé la dernière gorgée de son sperme.
Nous nous sommes embrassés et caressés longtemps après.  Je me souviens que nous l'avons refait et refait.  Dans la cuisine, dans le salon, dans la douche, dans la chambre, bien sûr, dans toutes sortes de positions, je l'ai sucé, aussi.  Et je me souviens aussi.
Et je me suis réveillé.  Merde!

 



 

 

 

 

 

 

Par cavaillongay - Publié dans : HYPNOSE, MYSTERE, ESOTERISME SENSUALITE - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 26 juin 3 26 /06 /Juin 00:04

 

Résultat de recherche d'images pour "gif bearded young man shouting for joy" QUOI TU ME PRENDS POUR TA PETITE AMIE ? ?  ?

En retenant son N° de portable, j'étais tout troublé et j'étais loin de me douter qu'un jour j'aurais autant besoin de la caresse interne de cet homme qui était loin, au départ, de m'attirer. 

   j'ai un manque de confiance en moi énorme qui me fait douter de mes charmes.

 

Je ne peux pas dire que j'étais très avantagé par mon physique. J'étais de petite taille, un mètre soixante pour quarante huit kilos, mais surtout je faisais beaucoup plus jeune que mon âge. A 17 ans, j'en paraissais 15 et plus souvent je devais justifier de mon identité pour accéder à certains lieux. Même ma puberté était en retard, un corps peu développé, presque pas de poils. J'ai souvent été moqué par des copains lorsqu'ils voyaient mon sexe. C'était le prix à payer si à mon tour je voulais mater les queues d'autres garçons

Bien que je préférais la compagnie des filles, je pensais plus souvent à mes copains qu'à la gent féminine, sans jamais avoir osé faire quoi que ce soit avec un garçon. Pourtant, lorsque je me masturbais, j'imaginais mes copains en train d'en faire autant. Cela m'excitait davantage. A la piscine, je regardais souvent le maillot des garçons.  

Image associée Il avait commencé par me faire une 'coule' pour s'amuser

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Très vite, il avait remué tellement d'eau que je me suis senti perdu, moi qui ne suis pas bon nageur...Image associéeEt j'ai bu la tasse, perdant très vite mon sang froid. Au milieu des gens, je me noyais.

 

Image associée  C'est naturellement Jordan qui m'a ramené au bord puis ensuite arraché des bras des sauveteurs    

 

 Image associée Il devait avoir à peine la trentaine, mais, petit, brun, trapu, poilu, mal rasé il faisait plus 'vieux'. Il avait de très beaux yeux. Je me disais à son expression qu'il devait aimer le cul. A moi qui ne lui avais rien demandé, il m'avait parlé de sexualité et s'était défini comme actif/passif en me précisant que la sodo n'était pas obligatoire. A ce stade je m'étais dit : "c'est son problème". Pour dire que moi j'ai des pb il faudrait que je m'en invente !  "Comment a-t-il deviné que je suis attiré par les mecs, je sais pas, mais il n'est pas mon 'Prince Charmant'  " Point barre ! Et il était resté un copain et il me taquinait, voulant toujours rigoler.  

  

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PREMEDITATION ET CALCUL « Le minable sauveur, dans son propre dénuement affectif, a compris, à tort ou à raison, que s'il prenait la responsabilité des problèmes de la personne dont il sauve la vie, s'il allége sa souffrance, il gagne en échange la sécurité affective, l’amour, l’attention, l’importance, l’acceptation, la reconnaissance, l’écoute, etc., nourritures affectives essentielles pour lui comme pour sa victime.  » 

on a tendance à ne voir que le côté lumineux du sauveur. Il agit avec gentillesse. Il veut aider, il est sensible à la souffrance des autres et ne laissera pas tomber quelqu’un qui vit des problèmes. Il est disponible, serviable et agit par bonté. Tout cela est vrai. Pourtant, le sauveur a une face cachée : 

 

le sauveur se place en juge de la situation,  blâme, juge, rejette son protégé , cherche à le contrôler. Le sauveur se considère supérieur à lui et croit qu’il pourrait faire mieux. Il est souvent condescendant ce qui le conduit souvent à se montrer méprisant, souvent sans le montrer et derrière une apparence de bonté. Il envahit souvent les territoires relationnels qui ne sont pas les siens, se mêle de ce qui ne le regarde pas, s’accordant un rôle qui ne lui revient pas car il se sent indispensable : si personne ne sauve son protégé, qu’adviendra-t-il de lui? Envers la « victime », le sauveur devient surprotecteur. Malgré les apparences, surprotéger, prendre en charge et « sauver », c’est suggérer de façon non-verbale, qu’on considère l’autre démuni face à la situation. (Encore l’attitude de supériorité du sauveur qui apparaît!) C’est lui dire « sans moi, tu n’as pas ce qu’il faut pour y arriver! ». C’est manquer de confiance en l’autre. De plus, en réglant les problèmes à sa place, le sauveur prive l’autre  de découvrir ses propres ressources pour régler ses problèmes mais également, il l’empêche de se responsabiliser de ce qu’il crée dans la relation.

 

 

 

L'attaque physique : sans crier gare, Jordan se jette sur moi. Je sens son corps se plaquer contre le mien avec violence, sa peau se frotter contre la mienne. Il appuie avec force sur mes épaules, ce qui me fait plonger la tête sous l'eau mais il ne tarde pas à m'y rejoindre. Accroché à mon corps, je vois ses muscles se tortiller pour m'empêcher de m'échapper. Son regard est vrillé au mien allumé d'une étincelle de défis, même s'il affiche déjà le sourire du vainqueur. L'atmosphère est étrangement calme sous la surface, tout y est plus clair comme en arrêt sur la marche du temps. Avec le manque d'oxygène, mes yeux se ferment seuls. A chaque clignement pour les garder ouverts, j'ai la sensation de voir Jordan approcher son visage plus près du mien. Il me noie, mes yeux sont clos. A jamais ? Mes lèvres s'entrechoquent contre quelque chose de doux et de moelleux, avant de s'ouvrir à l'air libre pour redonner vie à mes poumons. Jordan me lâche avec une mine satisfaite…

 

 

 

Un jeu qui tourne mal : 'quelqu'un' met un bras autour de votre taille et vous tire à la surface. Vous tirez une bouffée d’air profonde, toussant l’eau de vos poumons, tandis que votre corps tremble sous l’adrénaline. Vous ne pouvez même pas ouvrir les yeux, vous pleurez trop lorsque vous essayez de reprendre votre souffle. Vos jambes tremblent désespérément pour rester à la surface, mais cela ne fait que rendre la tâche plus difficile à la personne qui vous qui est censée vous 'aider' à vous maintenir en vie"oui ou non ?"  La voix profonde de Jordan vous appelle soudain, le bras se resserrant autour de vous. "Tu vas bien, calme-toi."

Vous savez que ça va mieux, mais votre corps a toujours si peur de sombrer de nouveau. Vous vous en tenez donc à lui serrer fermement les bras autour du cou, en plaçant votre visage contre sa poitrine. Jordan respire calmement, même si, un peu sans le vouloir, vous bloquez sa respiration parce qu'il vous porte . "Tu sens les battements de ton coeur? Tu es en vie, en vie !" Vous essayez de hocher la tête et de vous serrer contre lui, pendant que Jordan tente lentement de se déplacer vers le bord. "Bien. Concentre-toi sur ça. Je vais t'en sortir, je te le promets. »Il respire, laissant votre bras pendre le long de vos corps et votre main toucher son ventre. Lorsque vous atteignez le bord de la piscine, il fait de son mieux pour vous prendre en poids et vous sortir, même s’il n’est pas assez grand pour que ses pieds appuient sur le fond. Vous prenez une autre respiration étouffée, avant qu'une autre quinte de toux ne vous envahisse.

Heureusement, Jordan vous accompagne tout le temps et vous aide à revenir sur un terrain plus solide. Lorsque vous êtes assis, vous ouvrez enfin les yeux, vous les frottez violemment lorsque vous sanglotez et hoquetez sans pouvoir vous en empêcher. Jordan vous tire à nouveau à lui, caressant doucement vos cheveux. «Chut, chut. Tu vas bien. Tu t'en es sorti, tu vas bien. »Vous ne le lâchez pas, vous ne faites que respirer pour essayer de vous calmer. "Je ne laisserai rien t'arriver."

"Ici." Jordan vous tend une tasse de café en souriant doucement en laissant échapper un soupir de soulagement. "Tu te sens mieux ?" Après l'accident presque précédent, Jordan vous a emmené dans sa voiture et s'est rendu à son domicile, qui se trouve juste en dehors du campus. Il ne vous a pas lâché de tout le temps que vous trembliez de froid et d’adrénaline. Maintenant, vous êtes assis dans son canapé, alors qu’il s’assied à côté de vous.

«Je vais un peu mieux.» Vous acquiescez en levant le nez avant de le regarder. «J’ai quand même encore froid.» Ajoutez-vous en montrant vos cheveux et vos vêtements mouillés. Vous n’aviez même pas la force d’enlever votre maillot de bain ou de vous assécher plus tôt, le stress ayant apparemment absorbé toute votre énergie. Jordan a simplement tiré votre pull par-dessus vos épaules pour vous aider à enfiler votre pantalon, puis vous a immédiatement conduit ici.

«D'accord, alors…» Il se lève et t'attrape comme une mariée avant que tu puisses protester, te déposant à nouveau sur le siège le plus proche du feu. Ses yeux parcourent ton visage pendant une seconde, avant de se diriger vers le fond de la pièce et de sortir une couverture moelleuse. Jordan t'emmène comme un enfant, en te brossant les cheveux et en allongeant le cou pour t'embrasser, et te met à nouveau la serviette sur la tête. "Làààà !" Il sourit, ignorant ton regard. "Si tu es assez calme pour te fâcher contre moi, alors tu es suffisamment calme pour te sécher les cheveux", plaisante-t-il. Tu fais la moue mais fais comme il dit, en posant le café et en commençant à te sécher les cheveux. Jordan rit, mais tend la main vers la serviette aussitôt. "Je plaisantais."
 

 

 

L'attaque psychique :

Il s'asseoit ensuite sur le canapé et commence à se sécher les cheveux. Son souffle chatouille un peu ton cou et, bien malgré toi, tu recommences à trembler. Les mains de Jordan toujours dans tes cheveux. Jamais il n'aurait fait ça s'il n'y avait pas eu ce 'malencontreux accident'. Ensuite, quelque chose de chaud est sur ton cou. Surpris, tu t'écartes, avant de remarquer qu’il te met de petits baisers sur le cou. Tandis que ton visage rougit, tu bégaies.  -"Qu'est-ce que tu fais?"

-«Je réchauffe ma petite amie.» Dit-il, plaçant un autre baiser sur ta joue, alors que tu le sens sourire contre ta peau.

-"Petite amie?"

-"C'est ça. Eh ben," respire-t-il alors, en tirant de nouveau pour sécher tes cheveux, "si tu veux être ma petite amie.- J'allais juste te le demander quelques minutes avant, mais ensuite tu t'es presque… noyé.

-"Merci de me le rappeler."

-"De rien."

-"J'aimerais être ta petite amie."dis-je en souriant.

 Jordan rit avant de se pencher pour un baiser réel. Quand il se retire, ses yeux brillent. "Bien! "
 dit Jordan. Certainement, débordant de reconnaissance envers Jordan, je n'avais pas mesuré, au sens propre comme au figuré, la portée de mes paroles.  
 

 

 

  JORDAN AVAIT UNE PINE INCROYABLE Impossible de penser qu'il pouvait séduire qui que ce soit avec un pareil 'démonte-cul'  

 

Et il a fallu que ce soit moi qui fasse les efforts que personne ne voulait faire !Jordan, quand il marche, je perçois le tremblement de la chair de son sexe épais dans son sous vêtement gris et je dois dire que c'est déjà très large au repos. C'est inimaginable pour moi que mon trou du cul puisse 'accepter'un tel diamètre et tant de chair invasive.

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Comparez-nous ! Lui c'est Goliath !

 

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Résultat de recherche d'images pour "gay porn gif strenuous bottom trying to get monstrous cock 10 inch in diameter into his small butthole" J'ai dû être comme ça à un moment de notre baise.

 


Vu la différence de nos natures je projette de lui prodiguer léchouilles et fellation, rien de plus. Pour la suite de nos ébats, je lui demande de me suivre dans ma chambre, je ferme la porte à clef bien qu'il y ait personne à la maison, je me déshabille très vite, je suis super excité et ma bite est sur le point d'exploser, je bande déjà depuis un bon moment, j'invite Jordan à me rejoindre sur le lit. Sa queue se dresse devant moi. Elle est effarante, il me fait monter sur le lit, position debout, me prend les chevilles et me place les pieds de part et d'autre de son corps et doucement il me fait accroupir pour que j'essaye de m'empaler sur sa queue, mon trou du cul non préparé résiste.  Est-il fou de m'infligerun tel supplice ?  " ramène ton cul que je le lèche, il a besoin qu'on l'ouvre un peu " me lance- t- il, je me place en 69 et lui offre mon petit cul pour qu'il le doigte, moi j'en profite pour le sucer, je lèche son immense phallus, je sens un doigt me pénétrer l'anus puis deux puis trois, je me sens vraiment mieux dilaté et ouvert, il me pénètre profondément avec ses doigts, ça me fait mal mais j'ai hâte d'y passer,
" c'est bon, tu es prêt à recevoir ma bite petit cochon ! " Me lance-t-il avec un air mi gentil, mi autoritaire.

 


Je me retourne et doucement je m'empale sur sa grosse bite, je la sens s'enfoncer au fur et à mesure que je descends, ça fait très mal mais je suis tellement excité et plein d'amour et de reconnaissance que je suis prêt a faire n'importe quoi pour mon amant, sa bite est maintenant complètement entrée en moi, je sens une brûlure intense au niveau de mon anus et mon vente est plein. Je n'ai pour l'instant aucun plaisir mais de la douleur.Comme ,vu ma position, c'est moi qui devrais faire l'ascenseur et du monte et descends, c'est Jordan qui, à coups de bassin, force mes va et vient sur sa bite. Comme c'est douloureux de toutes façons, je prends le 'train' en marche et amplifie les mouvements qu'il a initié, je monte et je descends, au début lentement mais nous prenons vite notre vitesse de croisière, je remarque que plus je vais vite sur sa bite moins j'ai mal, je le vois en train de gémir de plaisir, mon ami apprécie ma prestation et moi aussi, sa bite en érection s'enfonce dans mes entrailles je la sens maintenant merveilleusement bien. Je réalise enfin mes fantasmes, que baiser avec lui était ce que je voulais, je suis à la fois excité et fier, tout d'un coup sans me prévenir, Jordan me renverse, je suis maintenant allongé sur le dos, il me relève les jambes et les pose sur ses épaules, il me regarde fixement pendant qu'il me pénètre avec sa barre de chair , je vois sa bite disparaître lentement dans mon ventre,
" Oui c'est bon, j'adore ça, vas y, baise moi mon amour, continue ! "

Il me lime pendant je ne sais combien de temps. Résultat : je perds la tête je me sens tout drôle, enivré comme si j'avais bu, il est vraiment endurant mon nouvel amant, moi qui pensais qu'il allait jouir, il me surprend en me demandant de me mettre à quatre pattes sur le lit, ce que je fais avec plaisir, me voici donc a quatre pattes, le cul en l'air bien cambré, offrant un spectacle privilégié à mon amant qui me défonce le cul avec le plaisir qu'on imagine : je suis un 'plat' de roi pour le mec rugueux qui dispose de moi. Mais c'est le retour de la douleur, j'ai de nouveau effroyablement mal, des brûlures transforment mon plaisir en un supplice, j'ai hâte de terminer nos ébats sexuels, mais mon ami n'est pas vraiment au bout de son plaisir, il est vraiment résistant, il n’est donc pas prêt de jouir, il accélère ses va et vient, ayant vraiment mal je lui propose de se retirer de mon cul en feu afin d'arrêter le supplice
" J'ai pas encore joui,  je peux pas arrêter maintenant, c'est mauvais, tu vas pas me faire ça STP " fait-il semblant de me supplier...

Je ne sais quoi lui répondre, j'ai mal dans le cul, je lui propose alors de le finir dans ma bouche, " bonne idée, mais j'aurais voulu te baiser le cul un peu plus, mais bon, je veux bien te baiser la bouche , je n'en ai pas pour longtemps de toute façon ! " .

Le retrait de sa grosse queue fait un tel vide que je sens un début de petit malaise.Sa queue a maintenant une dimension incroyable et à ma grande honte a pris une couleur de merde ( ma merde ), un peu dégoûté mais résolument déterminé à lui faire plaisir, je prends la queue de mon ami et l'avale toute entière, de toute façon, Plus tard, bien dégrossi,  je l'ai fait au quotidien, mais là je ne pouvais plus recevoir mon amant dans mon cul, mon trou de balle était complètement irrité et usé a force de ses coups de hanches, je suçais depuis cinq bonnes minutes quand tout d'un coup, je sens du sperme dans ma bouche, j'avale au fur et à mesure que mon amant éjacule au fond de ma gorge. Je lui dois bien ça ! Cette fois j'ai un goût de merde et de sperme mélangés sur ma langue, l'idée est dégoûtante, mais je suis fier de vivre ces moments intenses d'intimité avec mon meilleur ami ... je lui nettoie bien la queue, le gland en particulier, mon ami me sourit d'un air satisfait
" tu es vraiment une belle salope, tu m'as fait jouir dans ta bouche deux fois, je n'oublierai jamais ce que tu viens de me faire, vivement la prochaine fois !"

J'étais dans un état second, je me sentais bizarre et tout drôle, j'avais le sperme de mon copain dans la bouche, et je ne me suis même pas rendu compte que j'avais joui moi aussi ...Un jour survint un garçon .

 

 

 

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L'AMOUR «Huit mois inoubliables! Toutes ces nuits, à califourchon sur lui, je guidais son sexe vers mon trou et je m'empalais dessus. J'agitais un peu le bassin pour le prendre jusqu'à la garde. Même dans mes rêves les plus fous, je n'aurais pu imaginer que ça puisse être aussi bon! J'en voulais ma dose chaque fois que nous étions seuls. Il entrait en moi et il s'agitait tandis que je lui caressais le torse et lui embrassais le visage. Mes hanches, qu'il tenait fermement, montaient et descendaient en cadence alors qu'il me baisait sans aucune retenue. Des bêtes en rut! Je haletais, je couinais, je gémissais de plus en plus bruyamment jusqu'à l'explosion. Parfois, pour me faire taire, il me pliait le tronc et amenait mon visage vers le sien. Il m'embrassait passionnément et je me calmais. Lorsque enfin, nous jouissions de concert, j'avais des étoiles plein la tête et je me sentais pleinement heureux.»

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JORDAN C'ETAIT SON TRUC  POUR REMPLACER LE CHARME QU'IL N'AVAIT PAS !

Image associéeUn jour survint un beau garçon du nom d'Eric qui me dit être un copain de Jordan. Ce dernier l'avait sauvé, soigné à la suite d'une collision entre eux qui avait entraîné une chute de vélo et de belles écorchures...le médecin traitant de Jordan avait prodigué les premiers soins... A la suite de quoi Jordan l'avait hébergé quelques jours. On sentait Eric pleinement heureux...Il avait pris ma place ! 

Depuis Jordan m'a quitté et j'erre à la recherche d'un amant qui le remplace physiquement, mais qui, en plus, m'aime.

 


 

commentaire :

 

 


 

     https://cyrillo.biz/histoire/maliax2.htm

 

 

 

«ENTRE RËVE ET REALITE à la rencontre d'un succube, Slain, issu d'un jeu vidéoX » Maliaxxx m' a paru bien exprimer la relation entre une queue monstrueuse-genre 'démonte cul' et un petit mec dont ce sera la naissance à la sexualité d'exception ! 

 

 

 

«A à la rencontre d'un succube, Slain,  issu d'un jeu vidéoX


 

 

c'est là que le plaisir commençe....

« il releva la tête.  J'ai entendu du bruit dans le salon.  Il se rendit au salon, parcourant le grand loft ancien, éclairé par des torchères tamisées, avec ses teintes chaudes, ses meubles luxueux, tous d'aspect. regard.  Il avait de grands yeux verts et ses cheveux courts étaient charbon.  Il avait la coupe échevelée.  Parce qu'elle lui faisait bien.  Oui, avec ses traits jeunes et masculins :  un nez fort mais anguleux, des lèvres tendrement rondes, des rondeurs innocentes et viriles dans son visage.  Il avait le teint rose et n'était pas maigre.  Son corps, pas trop grand, mais pas petit, parcouru de jeunes mais forts poils, était galbé à la fois de muscles et de chaire.  Il était québécois.  Un beau québécois.  Il était intelligence et sensibilité.  Mais peut-être trop sensualité.
Je me suis assis sur le sofa moelleux, j'ai passé la main dans mes cheveux fatigués et puis, je me suis laisser tomber par en arrière.  Je savais que je rêvais.  Mais, je me demandais à quoi cela me menait-il.  Je sentais le clavier de mon ordinateur sur mes joues.  Mais quand je l'ai vu arriver, j'ai décidé de rester endormi.

C'était impossible.  C'était Slain.  Oh, Slain, le gars de Unreal Tournament.  Il s'approchait de moi, avec cette démarche félinement virile.  Il portait son pantalon et ses bottes d'armée.  Mais il avait le torse nu, les épaules couvertes de protections métalliques.  Il avait la trentaine, il était grand, sept pieds.  C'était, le charme slave ou scandinave, optimal, un corps barraqué, très costaud, mais que du muscle.  Ou presque.  Des muscles souples et beaux, démesurément tendres et gros.  Sa peau était épaisse et moelleuse, mate et poreuse, douce.  Oh, comme il était bâti.  Il avait un visage fortement masculin, les yeux grands et noirs, tout comme ses cheveux ras.

Une bouche invitante, sarcastique et des joues fraîchement rasées.  Il était sexy, séduisant.
-Slain? demandai-je.
-Oui? Me répondit-il, d'un sourire à la fois pervers et rassurant.
-Qu'est-ce que tu fais ici?
Il restait toujours aussi sensuel et invitant, pervers.
-Alex.  Ça fait trop longtemps que je me languis de toi.
Il s'est approché encore de moi, il m'a écarté les jambes.  Je me suis senti mourir de frissons.  Puis, il s'est mis à genou entre mes jambes, il m'a pris par la taille pour me rapprocher de lui.
-Et de ta bouche.

Ses mains ont monté dans mon dos.  Nos haleines se sont mêlées, puis nos lèvres se sont rencontrées.  Il a commencé à m'embrasser passionnément.  Je flambais de désir.  Mes mains ont parcouru l'étreinte de ses bras solides et musculeux, jusqu'à ses épaules robustes, puis sa nuque de bouf.  Tout en l'embrassant chaudement, nos langues se caressant langoureusement.  Je sentais sur mon aine, l'ardeur d'une grosse érection qui s'éveillait par pulsions au travers de son pantalon de toile.  Il arrêta tout aussi doucement.
-J'ai laissé les autres s'éclater les tripes et s'amuser à se tuer entre eux.  Je voulais m'amuser avec toi.

Il m'a doucement penché vers l'arrière et je me suis laissé échouer sur le profond et doux sofa.  Il me caressait de ses mains, releva mon chandail pour me baiser le ventre.  Puis, il est encore descendu.  Il a sorti mon huit pouces de mon slip, bien gorgé de sang.  Puis, merveilles.  Il m'a pris en sa bouche.  Il m'a sucé avec une volupté tordante, me parcourant le ventre de l'autre main.  Je mourrais de désir.  Je luis caressait la tête avec extase.  Il était délicat et déchaîné.  Paradoxal mais bon.  Il resserrait la gorge, la détendait, la resserrait, la détendait, il léchait, salivait.  Je frétillais.  Il passait la langue langoureusement, doucement.  Il me retirait pour m'empoigner, puis, il me rengouffrait et m'aspirait énergiquement.  Oh!  C'était trop bon.

-Arrête, oh, Slain, arrête, je vais venir!
Ah!  Je suis irradié.  Je lui jute à pleine bouche, je gémis et me contracte de spasmes de plaisir.  Lui, il a avalé, déjà, et il continue à me sucer doucement.  Quelques spasmes, encore.
-Oh, Slain, Slain, pénètres-moi, défonces-moi, baises-moi, montes-moi, aimes-moi!

Il fait signe que oui, haletant, moi aussi.  Il me retire tranquillement mon slip.  J'attends, je me languis.  Il défait sa braguette et en sort un énorme 14 pouces, bien baraqué et raide, prêt à défoncer.  L'érection l'a décalotté :  son gros gland bulbeux, tendre et rouge foncé tient à peine dans une grosse main et la hampe robuste, veinée, à la peau satinée est large comme un pilier.  C'est merveilleux.  Une main n'en fait pas le tour à elle seule.  Et deux gros testicules tendres pendent.  C'est un cheval, ce mec.  Peu importe, je suis capable d'en prendre.  D'avoir vu son membre aussi puissant m'a fait mouiller.  Je suis prêt à me faire mettre.
Il faut y aller doucement.  J'ai les cuisses sur ses épaules, bien écartées.  Nerveusement, il tente de me pénétrer.  Il place son gros gland sur ma rosette et.  Aaaaannnnnnnhhhhh!!!!!  J'ai un gland d'enfoncé en moi, gros comme un poing, mais plus pervers et ravageur.  Il se penche sur moi et me re garde passionnément droit dans les yeux, alors qu'il enfonce le reste du bras d'un long coup de hanches.  Oooooaaaaahhhhhhhhhhhhh!!!!!!!!!!!!  Il grogne bassement alors que je gémis et n'en peux plus déjà.

Hhmmm!!  J'ai 14 pouces de viande chaude en mes entrailles, c'est tendre et voluptueux.  Il a la tête sur mon corps et me laisse m'habituer :  je suis étendu en travers du soffa, les jambes en l'air et bien écartées, avec un gros mâle affectueux mais agresssif, musclé et bâti mais doux entre mes cuisses, et un corps étranger gros comme un bras d'enfoncé en mes pauvres entrailles.  Il m'embrasse avec son haleine de sperme puis commence un coït digne du mâle qu'il est :  lent mais très énergique, soutenu.  Il me lèche les pectoraux et me taraude de plus belle.  C'est un bras de chaire dure, un membre tout entier, comme un train complet qui entre et qui ressort en une seconde pour m'échauffer la rondelle et m'enflammer le ventre.
-Oui, Slain!  C'est bon, c'est chaud.  Oui, baise-moi, mon beau!
Il halète et me sourit avant de m'embrasser goulûment et d'accélérer la cadence.  Son gros organe glisse aisément dans mes fluides et muqueuses et me défonce.  Il râle et recommence de plus belle.  Il contracte ses belles fesses musclées à chaque impulsion animale.  Il me pénètre avec une rage puissante, mais il reste si préoccupé par mon plaisir que ce simple fait me met en extase.
-Ah, fourres-moi, mets-moi, Slain.

Il relève le torse et m'entraîne dans ses bras.  Il me pénètre sauvagement.  Tout n'est plus que feu :  je suis en entier dilaté et agrandi.  J'ai les fesses qui s'ouvrent comme un trou béant et affamé que seule sa virilité peut assouvir.  Il se met debout sans difficulté.  Je l'embrasse, je caresse ses cheveux qui se sont emmêlés en vrais rebelles.  Je m'accroche à ses omoplates, je ceinture toujours sa taille de mes jambes et il continue à me pénétrer avec son énorme  queue.  Comme c'est bon, Slain.  Oah!!  Son gros gland me sonde pendant que la hampe me caresse fortement l'antre.  Je passe la main sur ses gros pectoraux musclés et couverts de sueur et ses abdominaux bien découpés et contractés par les spasmes impudiques du plaisir.  Comme il fait chaud!  J'enlève mon chandail.  Je suis toujours emmanché quand il nous emmène vers la table de la cuisine et se retire.  Je suis debout devant lui.  Il m'embrasse et me sourit toujours avant de me faire signe de me retourner.
Monsieur veut une levrette :  ça va être torride.  Putain, je suis pas une jument.  Mais, bon dieu ce qu'il est bandant.  Il me penche sur la table comme une salope, m'écarte les jambes.  Son gros gland sonde ma raie, cherche l'orifice.  Comme de nature, l'un et l'autre s'attirent et  aaaannnnnnnnhhhhhhhhhhhh!!!!!!!  Sa queue ravageuse trouve ma rosette pour la défoncer à nouveau.  Cette position lui permet encore plus de performance.  Au secours!  Je vais mourir... de bonheur!

Il se penche sur mon dos, comme un gros ours - d'ailleurs, il en a la queue - et me couvre en entier.  Nous sommes chair contre chair.  Il me défonce encore plus sauvagement;  je croyais que mon bassin et mes hanches et mes fesses se disloqueraient, tant sa troisième jambe était large; et tellement longue que je me sentais déchirer par mon amour.  Ouh!, j'ai la prostate qui doit enfler de plaisir et de spasmes.  Il m'étreint de ses bras solides, me caresse le ventre meurtri et les pectoraux.  J'ai son haleine d'étalon dans le dos, il me léche tendrement la nuque.  C'est un délice.

J'étais prisonnier de son étreinte et jouissais.  J'avais une trique d'enfer, j'allais bientôt venir.  Mon mec, mon Slain le sentait.  Et ça venait pour lui aussi.  Il était devenu un vrai sauvage, il gémissait violemment, mais amoureusement, il se mitt à me pomper.  Après un dernier baiser, il se releva et me prit aux hanches pour mieux m'attirer vers lui et m'inculquer ses violents et rapides et entières pulsions de coït endiablé.  Et les gémissements.  Oh, je n'en pouvais plus de ce mâle qui me baisait comme une vraie salope.  Il me défonçait en rafales avec son pilotis.  C'était le pied.  Je me sentais élargir à chaque poussée de son puissant pelvis.  Sa grosse queue entrait et sortait plus vite qu'un piston déchaîné.  Oh, ouh, quelques poussées encore, plus enflammées les unes que les autres.  Il se mit à m'enviander avec une violence délicieusement douloureuse, et puis, les couilles se resserrèrent, et puis, un gémissement suprême qui nous envahit, et.  AAAAAAAAHHHHHHHHHHH!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

C'était l'explosion.  Alors que je jutais péniblement sur la table, son membre redoublant d'enflement propulsa en moi des giclées d'une puissance complètement démente, d'une chaleur folle et d'une viscosité alléchante.  C'était comme faire le plein, mais le plein d'essence virile.  Parmi les poussées pelviennes toujours plus calmes et dont les spasmes nous ébranlaient, j'étais branché sur un égout de sperme affluant et je me faisais remplir comme une vraie jument.  C'était bon de sentir son affreusement bonne liqueur, déversée par un phallus apprêté et protubérant, énormément gonflé, et dont les millions de spermatozoïdes m'envahissaient d'un océan de frissons.  Quand il s'est retiré en nos géissements, un flux de sperme s'est mis à s'épandre sur mes cuisses.  Il s'est mis à lécher son propre sperme, et puisque j'étais flexible, je l'ai aidé.  Dans un baiser, sous avons partagé la dernière gorgée de son sperme.
Nous nous sommes embrassés et caressés longtemps après.  Je me souviens que nous l'avons refait et refait.  Dans la cuisine, dans le salon, dans la douche, dans la chambre, bien sûr, dans toutes sortes de positions, je l'ai sucé, aussi.  Et je me souviens aussi.
Et je me suis réveillé.  Meeeeerde!

Quand Alexandre s'est réveillé, il avait le clavier d'imprimé dans le front.  C'est que ses deux collocs, Casio et Jamal étaient rentrés.
-Il a failli foutre le clavier en l'air en bavant dessus. Lança Jamal.
-Écoute, fit Casio qui s'approcha d'Al, on a dû rester tard à la FAC parce que.  On devait finir un travail.
Alexandre le laissa à ses éventuels mensonges.  Ils étaient comme trois frères.  Ils se connaissaient et habitaient ensemble depuis trois ans. 



retrouvez ce long récit sur cyrillo en suivant le lien en début de texte



 

 

 

Par cavaillongay - Publié dans : PSYCHOLOGIES &VIE SOCIALE gay-bi-hét - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 23 juin 7 23 /06 /Juin 01:42

  Entre homme et femme. Entre haine et amour. Entre passion et désespoir. Autant d’antagonismes qui caractérisent Edward, faisant de lui l’un de ces personnages qui ne peut laisser ses interlocuteurs indifférents .

 

  Thomas Kern est le journaliste de <swiss info (Suisse) qui s'est intéressé de près à Edward

edward 

 Il aura fallu beaucoup de temps et de souffrances, avant que les médecins ne découvrent qu’Edward est intersexe et qu’un traitement adapté ne lui soit proposé.

(Thomas Kern/swissinfo.ch)

A l’âge de 16 ans, Edward a appris qu’il était intersexe. Un diagnostic qui a bouleversé sa vie. Après avoir traversé «des années de cauchemars», il a appris à s’accepter mais se sent encore souvent incompris. Le Genevois de 32 ans regrette de ne pas avoir été pris davantage au sérieux par les médecins. 

Entre homme et femme. Entre haine et amour. Entre passion et désespoir. Autant d’antagonismes qui caractérisent Edward, faisant de lui l’un de ces personnages qui bousculent ses interlocuteurs. C’est l’histoire d’«un dur à cuire trop sensible», comme il se décrit lui-même. L’histoire d’un combat pour être compris, dans une société qui peine à comprendre la différence.

Que signifie LGBTIQ?

L’acronyme LGBTIQ est un sigle utilisé pour désigner les personnes lesbiennes, gays, bisexuelles, transgenres, queer et intersexuées. Avec le temps d’autres termes sont également apparus pour définir les diverses orientations sexuelles et identités de genre. Derrières ces lettres se trouvent toutefois des histoires de vie, des parcours parfois tortueux parfois simples mais tous uniques. C’est pourquoi nous souhaitons  donner la parole aux personnes LGBTIQ et évoquer avec elles leurs rêves, leurs acquis et leurs revendications. Une série qui s’insère dans un débat de société au cœur de l’actualité, à découvrir au cours des prochaines semaines sur swissinfo.ch

Fin de l'infobox

Il détonne, Edward, avec ses tatouages et ses piercings, installé à côté de sa mère Kate dans le confortable salon de l’appartement familial, offrant une vue imprenable sur la rade de Genève. Au-dessus de lui, les portraits en noir et blanc de ses aïeux semblent aussi prêter une oreille attentive à son récit tortueux.

«Vous êtes un mutant. Vous n’aurez jamais ni d’enfants, ni une vie normale.» Ce sont les mots utilisés par le médecin d’Edward pour lui annoncer qu’il est une personne intersexe. Edward a 16 ans. Il est assis dans le cabinet de son médecin, seul.

A 32 ans, ce verdict continue à le hanter. Sa voix se brise légèrement pour laisser s’exprimer sa haine d’une médecine qui n’a pas su le soutenir et le protéger. Il partage avec sa mère l’impression d’avoir été traité comme une curiosité médicale plutôt que comme un jeune patient qui avait besoin d’aide.

Un corps qui prend des formes féminines

A sa naissance, en 1984, rien ne laisse présager qu’Edward puisse être atteint d’une variation du développement sexuel. Sa mère le décrit toutefois comme «un enfant qui a toujours été différent.» Le parcours scolaire du garçon turbulent qu’il était se révèle chaotique. Les difficultés commencent dès le jardin d’enfant. «A l’âge de 10 ans, on lui a diagnostiqué un trouble du déficit de l’attention», se souvient sa mère. Il est par la suite renvoyé de deux écoles, puis placé en internat.

Vers l’âge de 12 ans, la situation se complique. Comme ses amis, Edward grandit. Comme ses amis, il attend que sa voix devienne plus grave, que des poils apparaissent, que son corps devienne celui d’un homme. Mais chez lui, rien ne se passe. Pire, son corps emprunte le chemin inverse: «Mes hanches prenaient des formes féminines, et j’avais des seins qui commençaient à se développer.» Une expérience traumatisante pour l’adolescent. «A l’internat, je refusais de me doucher avec les autres. Je ne me sentais ni homme, ni femme. Je ne me sentais rien.»

A son mal-être s’ajoutent les mots qui blessent. «On me traitait de ‘sale gay’.» Une injure qu’Edward ne tolère plus, non seulement parce qu’il n’accepte pas qu’on insulte ses amis homosexuels mais aussi parce qu’elle met en lumière l’incompréhension qui entoure l’intersexualité. «Comme le terme inclut le mot ‘sexe’, les gens croient souvent que cela signifie que je suis homosexuel, alors qu’intersexe n’a rien avoir avec l’orientation sexuelle», souligne-t-il en haussant le ton, criant presque. Puis il se ravise: «Je suis désolé, mais il faut vraiment que vous compreniez.»

«Sans testostérone, j’étais comme un enfant de dix ans dans ma tête: je pétais les plombs, sans penser aux conséquences de mes actes, je n’avais aucune limite»

Fin de la citation

 

Des années de cauchemar

C’est finalement à l’âge de 16 ans que les médecins découvrent qu’il est atteint du syndrome de Klinefelter, l’une des nombreuses variations des chromosomes sexuels. Edward est XXY au lieu du XY habituel (pour les hommes), ce qui signifie qu’il a un chromosome en plus. S’il n’a toujours pas passé le cap de la puberté, c’est parce que son corps ne produit pas ou peu de testostérone. On lui prescrit donc des injections hormonales à raison d’une fois par mois. «C’est très douloureux, explique-t-il. On vous injecte ce liquide dans le bas du dos, et il met beaucoup de temps à descendre car il est huileux. Je ne pouvais rien faire pendant une soirée, voire une journée.»

Pour diminuer les effets secondaires, son médecin remplace alors les injections par des patchs, moins désagréables mais également moins efficaces. «Je ne voyais pas de progrès. En plus, j’avais rencontré une fille très compréhensive qui me disait qu’elle m’acceptait comme j’étais et que je n’avais pas besoin de testostérone.» Edward se laisse convaincre et abandonne le traitement. Une décision qui va marquer le début d’une période sombre.

Entre 16 et 23 ans, le jeune homme traverse une violente crise identitaire. «Sans testostérone, j’étais comme un enfant de dix ans dans ma tête: je pétais les plombs, sans penser aux conséquences de mes actes, je n’avais aucune limite», se souvient-il. Absence totale de confiance en lui, mal-être et agressivité lui causent «un nombre incalculable de problèmes». La haine le submerge. «Tout le monde était mon ennemi, même ma mère, mais c’est aussi cette haine qui me faisait survivre.»

Edward sur son vélo

Le vélo et les tatouages ont aidé Edward à s'accepter. Les lettres "XXY" sont désormais inscrites sur son bras gauche. 

(Natasha Carrion)

«Maman, qu’est-ce que je suis?»

Lorsque la haine devient une raison de vivre, elle isole: une douloureuse rupture s’installe entre le jeune homme et son entourage. «Ce fut des années de cauchemar. Edward ne savait plus qui il était. Parfois, il venait me voir, habillé en fille, et me demandait: ‘Maman, qu’est-ce que je suis?’», raconte Kate. En tant que mère, elle se sent seule, impuissante et peine à trouver du soutien du côté des médecins ou des psychiatres, qui tentent en vain d’expliquer l’état de son fils par des maladies psychiques. «Avoir un enfant qui ne cesse de vous répéter qu’il veut se suicider, c’est dramatique», confie-t-elle, les yeux brillants.  

Désemparée, Kate se met seule en quête d’informations sur les personnes intersexuées. Au fil de ses recherches, elle décide de consacrer une thèse à l’expérience maternelle avec un enfant différent. Elle découvre l’impact psychologique du manque de testostérone sur le psychisme d’un homme et acquiert la conviction que son fils doit recommencer le traitement hormonal. «Après de nombreuses discussions, des cris, des pleurs, j’ai finalement accepté. C’est surtout le risque de souffrir d’ostéoporose qui m’a convaincu», explique Edward.

 

Queer, pansexuel ou asexuel, les jeunes utilisent aujourd’hui de nouveaux termes pour définir leur orientation sexuelle et leur identité de genre.

Par Katy Romy, Stefania Summermatter
 Autres langues: 8 Autres langues: 8 Langues: 8
  1. Allemand (de)Mann, Frau, homo, hetero – die Grenzen verschwinden
  2. Anglais (en)Recognising diverse sexual identities and experiences
  3. Espagnol(es)Cuando las categorías sexuales saltan por los aires
  4. Italien (it)Maschio o femmina, omo o etero: quando le categorie vanno in frantumi
  5. Japonais (ja)男性、女性、ホモ・ヘテロセクシャル 消える境界線
  6. Portuguais (pt)Homem, mulher, heterossexual, queer ou transexual: quando as fronteiras do sexo não existem mais
  7. Russe (ru)Швейцария в поисках своей сексуальной идентичности
  8. Chinois (zh)男人、女人、异性、同性的界限在消失
La puberté à 23 ans

C’est une sorte de libération. Grâce à la testostérone, le jeune homme vit sa puberté à 23 ans. Son corps change: la masse musculaire de sa nuque et de ses épaules se développe, sa voix devient plus grave. Mais avant tout, il retrouve une certaine sérénité. «Quel soulagement, se souvient-il, à ce moment-là, je suis devenu un adulte.» Une délivrance également pour sa mère: «Les hormones sexuelles permettent de développer les facultés cognitives. Il comprenait ainsi mieux les conséquences de ses actes.»

Des années d’errance ont renforcé le lien entre Edward et sa mère, qui a désormais créé l’association SAMED groupe de soutien mèresd’enfants différents. «Mon histoire, c’est aussi la sienne. Elle nous a permis de nous créer une carapace», commente le fils.  

Un avenir à construire

Lorsqu’on le questionne sur son avenir, Edward répond toutefois sans hésiter: «Je ne le vois pas.» Comme toutes les personnes atteintes du syndrome de Klinefelter, il est stérile, ce qui l’affecte beaucoup. «J’ai l’impression que le fait de ne pas pouvoir avoir d’enfants tue mes relations avec les femmes.» Il s’évade ainsi en rêvant de voyage au Costa Rica et se passionne pour la photographie.  

XXY, ces trois lettres sont désormais tatouées sur son bras. Une preuve qu’il accepte aujourd’hui d’être lui-même: une personne intersexe. Il y voit même des avantages: «Je me sens homme et femme à la fois, dans mes choix et dans mon corps. Mes décisions fermes relèvent de mon côté féminin. Ma faiblesse est plutôt du côté de mon corps, le côté masculin.»

«Je suis le maître de ma destinée. Je suis le capitaine de mon âme», a-t-il encore gravé à l’encre noire sur son torse. «La haine ne prend plus jamais le dessus. Elle est toujours là mais j’ai appris à la contenir.» Une quiétude qu’il trouve notamment dans sa passion pour le fixie, ces vélos urbains à pignons fixes.

«Les tatouages m’ont aidé à accepter mon corps, le vélo à maîtriser mes émotions.»

Intersexuation: des opérations lourdes de conséquence 

Des statistiques complètes et fiables sur le nombre de personnes qui naissent intersexuées n’existent pas. L’étude la plus souvent citée est toutefois celle d’Anne Fausto-Sterling,Lien externe professeure de biologie à l’Université de Brown aux Etats-Unis, qui estime qu’environ 1,7 % de la population est concernée par l’intersexuation. Parfois, les variations de la différenciation sexuelle ne sont pas visibles à la naissance et apparaissent plus tard.

Dans certains cas, une intervention médicale immédiate est nécessaire car il y a danger de mort, dans d’autres, elle ne se justifie pas. Or, par le passé, nombre d’enfants ont été opérés, pour être sûr de leur attribuer un sexe clairement identifiable. Des opérations qui ont parfois eu lieu sans le consentement des parents et ont souvent entraîné des conséquences irréversibles. Dès les années 90, des études ont montré que les enfants opérés précocement souffraient à l’âge adulte de complications à la fois physiques et psychiques.

Le corps médical a commencé à changer d’attitude mais il n’existe pas encore de loi sur la question. En 2016, à la suite d’un rapport  le gouvernement suisse dit  que les interventions  prmaturées ou inutiles étaient contraires au droit à l'intégrité physique. (source: ats)

 

Par KERN SUISSE - Publié dans : TRANS - ET- CHANGER DE GENRE - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Vendredi 21 juin 5 21 /06 /Juin 17:55

 

  Image associée    ça m'a laissé tout pensif et rêveur et j'ai imaginé leurs spermes qui déborderaient  de mon cul tant ils en auraient gavé mon cul. Ces photos m'ont donné envie de me faire baiser par plusieurs gars

 

  

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Témoin

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 Nous les hommes sommes prêts à vivre une foule d'aventures pour nous faire battre le coeur. 

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Elle est belle ta queue mets- la moi !  

 

 

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Fais-moi voir comme ça coule » -  «Non ne rigole pas : je veux te garder en moi »

 

 

 

 

 J'ai découvert ce blog par hasard et les photos m'ont donné envie de me faire baiser par plusieurs gars et sentir leurs spermes qui débordent  de mon cul

 

 je suis assez jaloux de toi mec;) Tu es tellement chanceux de de faire cogner la chatte tous les jours et ici en plus je rêve d’être une salope avec un cul incroyablement honoré et rempli, je ne peux que me branler en rêvant de gangbangs! Toute personne intéressée à me baiser à tout moment laissez un commentaire s'il vous plaît ... ici :)

 

-J'ai besoin de me faire enculer 

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Garder le sperme d'un gars à l'intérieur de toi

Qui d'autre que moi aime garder le mec en soi le plus longtemps possible quand on est baisé à cru ?
 J'ai commencé à baiser sans capote avec un de mes colocataires ces derniers temps. Parfois, nous dormons dans les lits l'un de l'autre et nous baisons jusqu'à minuit avant de devoir nous coucher pour avoir encore assez de forces pour le travail le lendemain. Encore une fois, à notre réveil, je me prends un coup rapide. Il a une bonne bite de 20 cm qui est la plus grosse que j'aie jamais eue dans mon cul, et il tire beaucoup * beaucoup * aussi. Ce que j'aime le plus quand je baise avec lui, c'est qu'il * jouit * toujours * au moins deux fois à chaque fois qu'on baise. - Quand on commence à baiser, déjà il émet une quantité incroyable de précum et il jouit généralement dans les 30 premières secondes et me graisse le conduit mais sa queue reste dure et il continue comme si rien ne se passait et si ce n'est le visage qu'il fait en jouissant, je n'aurais même pas eu conscience que ça se passait lol.

Alors de toute façon, comme je l'ai dit, nous baisons habituellement le soir avant de nous coucher et encore le matin - et comme il jouit toujours deux fois à chaque fois, je reçois au moins 4 charges  sperme de sa part. Je ne sais pas pourquoi (je suppose que c'est la taille de sa bite ou quelque chose?), Mais la plupart du temps, quand il jouit, je ne ressens pas le besoin de me débarrasser du sperme qui me remplit au contraire de ce que j'ai toujours fait avec la plupart de mes gars dans le passé. Je peux sentir les charges installées dans mes intérieurs mais elles s'y trouvent bien. Peut-être parce qu'il la plante plus profondément en moi que les autres ou quelque chose comme ça ? Oui parfois, les charges auraient envie de sortir toutes seules et deviennent un peu irrépressibles et veulent sortir, mais lorsque cela se produit - si j'ai suffisamment de temps avant de me lever pour aller au travail car je veux absolument me garder le sperme au cul - je reste au lit et j'essaie de me détendre, peut-être que je vais vraiment dormir, pendant qu'il me frotte le ventre juste au-dessus de mon pubis. Cela les aide généralement à se placer un peu plus profondément là où c'est confortable. Ensuite, je vais prendre une douche et me préparer pour le travail. Malgré le foutre pendant qu'il me baise, je reste toujours aussi dur toute la douche et sur le chemin du travail.
 
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 Mais qu'est-ce que ça fait pour un homme de jouir dans ton cul?

 

- Oui, Qu'est-ce que ça fait pour un homme de jouir dans ton cul?

 
Oh oui tu peux me baiser pour le savoir !  mais c'est le battement de sa bite que je ressens plus que toute autre chose. Vous pouvez sentir les gars durcir un peu plus , palpiter légèrement, et vous pouvez sentir que ses poussées changent.
C'est comme si vous mettiez une crème épaisse et chaude au fond de vous. Puis, avec le temps, il s'écoule lentement, laissant une flaque chaude et torride en dessous. ça sent merveilleusement ... ! Je tomberais malade si je ne recevais pas ma super dose tous les jours, oui tous les jours!
 

 

 

  

Je dois prendre un train et un bus pour me rendre au travail, ce qui me prend environ une heure au total. Pendant tout ce temps, je penser très fort à la façon dont 4 grandes quantités de ses graines mijotent en moi. J'ai un de ces sacs que vous attachez à votre épaule et que je peux utiliser pour cacher mon érection. Habituellement, les charges restent à l'intérieur jusqu'au milieu de la matinée ou à l'heure du déjeuner, lorsque je dois utiliser aller aux toilettes (elles ne resteront pas à cette heure-ci) pour pousser ce qui ressemble à une tasse de sperme. J'aime la sensation de semer le foutre d'un mec, surtout de cette façon, alors je suis forcé de me branler rapidement avant de retourner à mon bureau, sinon je ne pourrais pas me concentrer pour le reste de la journée. Parfois, les charges ne veulent pas sortir au déjeuner, alors je les garde à l'intérieur, mais je reçois des spasmes intestinaux dans le bus de retour - rien de majeur, ce n'est pas douloureux ou quoi que ce soit, mais c'est la même sensation que lorsque vous devez utiliser le WC mais il faut attendre (parce que sinon c'est foutu, ça m'excite encore en pensant à ces tonnes de sperme qui ne demandent qu'à être logées). C'est bizarre d'entendre mes tripes gargouiller sur le chemin du retour.

Je rentre habituellement chez moi environ 30 minutes avant, et à ce moment-là, je me suis vidé, j'ai pris une douche et nettoyé, et à la seconde où il franchit la porte, il est en train de me remplir immédiatement: D il n'y a que quelques-uns heures dans la journée où je n'ai pas son foutre en moi, et encore moins le week-end: D

Qui d'autre déteste se débarrasser du sperme de l'autre gars?
 

 

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- Quand mon chéri me baise, je reste jusqu'au matin à moins qu'il ne me baise à nouveau avant de nous lever. Il jouit généralement 2'x pendant notre session. Mais ce que j'aime aussi, c'est qu'il me fait jouir juste en me baisant, je n'ai même pas besoin de toucher ma bite et il sait vraiment bien comment titiller ma prostate avec son gland qui passe et repasse.
- J'aimerais avoir environ 5 carges de plus  à l'intérieur et garder le sperme à l'intérieur de moi toute la nuit. Maintenant, je réagis comme une sale pute.
Je ne éteste pas les anti-BareBack et je les comprends. Je suis tout pour le sexe protégé aussi. Mais pas contre le b b d'Amour-Sperme-Dans-Mon-Cul. Mon petit ami aime me baiser après qu'un autre mec vient de laisser sa charge en moi.

 

 

 

 

 Ah laissez-moi à mes rêves !   

 

 

 

 et mes délires !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par CULPRIT - Publié dans : VIVRE SA SEXUALITE, SES FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Vendredi 21 juin 5 21 /06 /Juin 16:28

ANUD DEI 0002 

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A 100 km ! il faut le faire, OK ! La description que le collègue m'en avait faite était loin de la réalité. Du coup je vous avoue que j'ai commencé à me poser des questions sur sa véritable orientation sexuelle puisque lui "y était passé" avant moi !  

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Consultation hard chez un chamane 

Suite à ma dépression liée a mon moral au plus bas en l'absence de relation sexuelle,il m'est arrivé quelque chose qui m'a bouleversé totalement. Un collègue de travail qui me téléphone souvent m'a conseillé de prendre rdv chez un chamane je crois qu'il le connaissait et qui fait des miracles sur les gens. J'ai pris rdv et il m'a reçu hier après midi. j'avais rdv à 15h. C'est assez loin de chez moi(100kms). je suis arrivé à l'heure j'ai attendu quelques minutes puis il m'a fait entrer ds son cabinet. il m'a posé quelques questions et il m'a simplement dit qu'il fallait se débarrasser d'énergies négatives inscrites ds mon esprit et dans mon corps , que le corps est le reflet de l'esprit et qu'en travaillant sur le corps on guérissait l'âme et qu'il était un canal des puissances supérieures. Aussi il m'a demandé de me déshabiller totalement ,et avant cela il m'a demandé de boire un grand verre d'eau . Il y avait la une table comme chez un médecin pour consulter et il m'a demandé de rester debout face a cette table en appuyant mes mains sur celle ci . j'ai attendu quelques instants comme cela.(2ou 3 mns). Ila mis une musique de chants que je ne connais pas. des chants sacrés qu'il m'a dit .
il est venu derrière moi il a mis un produit sur ma peau en me massant les épaules le dos avec un mouvement d'une aisance incroyable , ses mains allaient et venaient et ça me faisait vraiment fort il est allé partout sur mon dos mes fesses glissant ses mains ds les endroits les plus intimes écartant mes fesses et passant sur mon anus j'étais enduit de ce produit en abondance et je sentais l'odeur forte de celui ci. je t'avoue que tous ces mouvements m'ont fait bander très fort. il passait ses mains aussi devant mon corps sur mes pectoraux sur le ventre sur le sexe et repartait tr vite sur les fesses et le haut des cuisses. il a continué ainsi quelques minutes et j'étais très excité je dois dire, puis il m'a remis du produit et m'a massé le bas du dos et ses doigts ont glisse ds la fente de mes fessiers frôlant mon anus et mes poils a cet endroit j'ai tressauté tellement ça me faisait une onde de plaisir il est revenu plusieurs fois ainsi et a un moment il a introduit son doigt ds mon anus j'ai serré les fesses surpris et il m'a dit de ne pas bouger de me laisse faire que c'était très important pour la guérison. il faut dire que j'étais tellement enduit de produit que son doigt s'enfonçait plutôt aisément ;il a fait quelques mouvements très doux et doucement j'ai senti une onde de plaisir m'envahir je bandais très fort, j'ai même laisse échapper un gémissement malgré moi. il a continué puis a retiré son doigt . il m'a masse a nouveau sur le devant en venant sur mon ventre , il est passé  sur mon sexe a remonté vers les pecs puis est revenu sur le dos et là il a remis du produit sur le haut de mon dos et il a fait des mouvements forts en revenant devant mes pecs puis sur le ventre et là il a pris mon sexe avec sa main pleine de produit huileux et il a massé mon sexe. Je te dis pas l'état ds lequel j'étais.
J'ai senti que j'allais pas tarder a jouir s'il continuait mais c'est comme si il le ressentait il s'est arrêté. J'en pouvais plus je me sentais m'abandonner au plaisir de ces mains. Puis il est revenu sur le dos et a de nouveau glissé ds mon anus il a remis un doigt qui est rentre assez facilement tellement c'était plein de produit partout il a masse l'intérieur et là je sais pas pourquoi mais je me suis laissé aller et c'était très bon il est allé plus profondément et a bien fait le tour , de l'autre main il me massait et m'a même masturbé encore un peu. PROMESSE 3 Je ne pouvais pas résister je l'ai laissé faire et alors il a retiré son doigt et soudain j'ai senti quelque chose de plus gros a l'entrée de mon anus et là il a poussé fort j'ai crié car ça m'a fait mal et il m'a dit de ne pas bouger que c'était presque fini et que c'était très bien , qu'il me transmettait la puissance des êtres supérieurs et que je me sentirais très bien après. Il a commencé a aller et venir en moi et ça a été difficile quelques minutes et après d'un seul coup j'ai senti des ondes de plaisir très fortes j'ai commence a gémir de plaisir et il m'a fait ça pendant au moins 3/4 d'heure. Au début j'ai débandé totalement puis ensuite j'ai rebandé fortement il me masturbait le sexe régulièrement ayant parfois du mal à le prendre complètement dans sa main et comme par magie il s'arrêtait juste avant que je jouisse. et ce n'est qu'à la fin qu'il m'a fait jouir très fort j'en ai mis partout et j'ai gémi hyper fort. Il s'est retiré puis m'a dit qu'il fallait passer sous l'eau. Il est venu avec moi se doucher .  C'est lui qui m' a lavé tout le corps .Nous sommes ressortis et là il m'a demandé de m'allonger sur la table sur le dos .
Il a remis quelques soins en passant sa main au dessus de moi . Puis il a soufflé sur mes organes génitaux c'était doux et je me suis mis à rebander . Il a caressé mon sexe tendu, mon ventre. Puis il s'est approche de mon sexe en faisant des sons et il l'a englouti dans sa bouche jusqu'à ce que je sois sur le point de jouir a nouveau. Il a étalé mon sperme sur le corps et même ds mon anus. Puis il m' a proposé d'aller a nouveau me laver . La séance était finie. Il me propose de revenir mercredi prochain pour une autre séance.
voilà je dis tout . C'était très bizarre je n'ai pas pu faire autrement que de le laisser faire? d'un côté je me sens très mal à l'aise, d'un autre côté je ressens une vraie libération..... 

lacher prise 003

 

Recueilli par claudio 

 

Par LEON L'AFRICAIN - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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