Mardi 23 juillet 2 23 /07 /Juil 00:09

 UN (PETIT) COUP MONTé.

  « Tu vas voir, quand on n'a plus que le toucher, ça décuple le plaisir »

  texte 1 https://cyrillo.biz/histoire/vincent-piscine.html

  texte 2 https://cyrillo.biz/histoire/vincent-lui.html

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  Ambiance :

« Je jouis dans mon maillot une quantité importante de foutre, une tache se forme sur mon short et je sens fort le sexe. Il me donne une fessée, enfile son short et son t-shirt et me dit : « Viens, suis moi, on va chez moi, je n’ai pas envie de te laisser maintenant. »

 Résultat de recherche d'images pour "gif gay shameful male in the crowd" J’enfile mon t-shirt, ramasse mes affaires et le suis, en sortant nous croisons pas mal de monde, j’ai l’impression que tout le monde sait qu’il m’a baisé, et profondément. Je rougis ».

D'après Kiki sur cyrillo.biz

d

 

  Il me serre contre lui, mes bras serrés entre les siens et ses flancs, je peux difficilement le caresser, lui par contre ne se gêne pas pour passer ses mains partout dans mon dos, sur mes fesses, sur mon anus qu’il titille.Il est plus grand que moi, il me domine d’au moins une tête, jusque là, ça ne m’avait pas autant marqué.

Mais là c’est évident, sa queue est tendue entre mon nombril et sur mon ventre. Son gland touche presque mes pectoraux. Il plie légèrement les genoux et alors, sa queue caresse la mienne à travers le tissus de son boxer. Il a maintenant deux doigts fichés dans mon cul. Il se recule un peu, passe la ceinture de son boxer sous ses couilles, puis me saisissant à pleine sous les fesses, il me soulève, mes bras entourent son cou. Il me pose lentement sur sa queue qui n’a pas de mal à retrouver le chemin du fond de mon cul. Il reprend cependant rapidement ses esprits, me soulève, décule un instant... et me voilà de nouveau comblé par sa queue. Il lâche alors mes fesses, je glisse légèrement, sa queue me pénètre alors vraiment jusqu’aux couilles, ces dernières rentreraient presque si mon trou étaient assez grand. Il me ballade alors comme ça dans son appartement.

 

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Nous commençons par aller dans sa chambre dans laquelle il saisit une boite à chaussure qu’il rapporte au salon. Nous allons ensuite jusqu’à un coin bureau ou je le vois saisir son téléphone portable. « Tu bosses demain ? » me demande-t-il, je lui réponds que non. « Chouette me dit-il » Il passe alors un coup de fil pour annuler ses rendez vous de la matinée. Il pianote ensuite un sms que je ne peux pas voir. Et pendant tout ce temps, je suis accroché à son cou, sa pine me ramonant le derrière à chaque pas. « A nous deux » me dit-il. Il passe ses bras dans mon dos, sa main gauche se pose derrière ma tête et il m’embrasse en pleine bouche. Il m’emporte jusqu’à une baie vitrée, nous sommes au douzième et dernier étage de son immeuble, la vue, magnifique semble s’étendre à perte de vue. Il ouvre la porte et nous voila sur sa terrasse.

La situation est très obscène, heureusement personne ne peut nous voir. « Tu pourras crier si tu veux, on ne dérangera personne » m’encourage-t-il. Il se laisse tomber d’un coup sur un transat en bois. Il s’y retrouve assis. Sa queue m’a comme perforé au moment de l’impact, j’ai crié. J’ai senti la jouissance venir mais il l’a bloquée rapidement en serrant très fort la base de mon pénis, à men faire mal. J’ai débandé direct. « Hey soit pas pressé, j’ai envie d’en profiter » me dit-il avec un sourire charmeur, et un regard de carnassier. Il place ses mains sous mes fesses et me lève et me descend sur sa queue. J’accompagne simplement l’effort de mes jambes. A chaque fois que je vais pour me branler, il retire la main de mon sexe et la pose sur son torse, ou me suce un doigt. Des fois il m’attire à lui pour me rouler une pelle bien baveuse ou me mordiller un téton. Puis il me retourne, m’allonge sur le transat et se couchant sur moi me pénètre à nouveau, d’un trait. Il recommence son mouvement si bon dans mon cul. Je n’arrète pas de gémir, ce mec me rend fou d’excitation et de plaisir. Il s’arrête soudain et s’écrase sur moi. Je crois qu’il va jouir mais non. Il sort plusieurs foulard de sous le transat. « N’aie pas peur » me murmure-t-il à l’oreille.

 

HEY ! ON PASSE AU SM ?

Il m’attache les poignets aux pieds du fauteuil. Il se retire ensuite et écartant largement mes cuisses, il finit par attacher mes chevilles aux autres pieds. Il me bande ensuite les yeux. Je suis à sa merci. Mais ne l’étais je pas déjà ? Jusque là je n’ai pas regretté, je décide de ne pas me rebeller, de toute façon, vu les liens, je pourrais sûrement m’enfuir si je le voulais vraiment. « Tu vas voir, quand on a plus que le toucher, ça décuple le plaisir » ajoute-t-il avant de me mettre des boules quiès dans les oreilles. Je suis maintenant dans le noir et dans le silence le plus total. Je n’entends plus que les bruits de mon corps. Rapidement, je sens son gland cogner sur mes lèvres. Je les entrouvre à peine qu’il force déjà le passage et se branle dans ma bouche. En même temps, il me doigte le cul, me mettant du gel, j’apprécie, la sodomie n’est donc pas encore terminée. Il promène sa queue sur mon visage, me le maculant de ma salive et de son précum.

J’essai de haper le gland au passage. A chaque fois que j’y arrive il s’enfonce au maximum, le poussant un peu plus loin dans ma gorge, se retirant avant que j’étouffe. Sa queue rentre de plus en plus. Un dernier coup de rein lui permet de coller ses couilles contre mon menton. Il ne bouge pas pendant quelques secondes, se contentant de profiter du massage créé par ma déglutition. Je sens alors son corps vibré et son sperme se déverse directement dans mon œsophage, je ne peux même pas profiter du goût. Je sens sa semence me remplir l’estomac. Ses couilles se contractent contre mon menton à chaque jet de sperme. Il se retire en même temps qu’il jouit et m’en met alors plein le visage. Du bout de sa queue il le récupère ensuite pour me le réintroduire en bouche. Encore une fois, moi je n’ai pas joui, ce qui fait que je suis encore excité. Il le voit bien, il fait même sûrement exprès. Il me retire un des bouchons d’oreille « Tu en veux plus ? » me demande-t-il sur un ton lubrique. « Oui » je lui réponds dans un souffle.

 Il me rebouche alors l’oreille me laissant de nouveau aveugle et sourd. Pendant un long moment, rien ne se passe. Puis je le sens qui se presse contre mon cul. Il a remonté son boxer, je sens sa grosse queue bien bandée à travers le tissu. Il se déshabille vite puis commence à me frapper le cul avec sa verge bien dure. Il sait m’exciter, j’ai envie qu’il me prenne, je n’en peux plus. Il accède à ma demande, pose son gland sur mon anus et lentement mais sûrement, il me pénètre. Il commence ses mouvements, il va me ramoner comme un métronome longtemps, me maintenant au bord de la jouissance. Il sait s'arrêter ou accélérer au gré de mon excitation. Soudain, il se retire, quelques instants plus tard, son gland frappe mes lèvres et avant même que j’ai eu le temps de le prendre en bouche il commence à se répandre sur mon visage puis sur ma langue

 Je suis surpris, malgré le nombre d’éjaculations il m’en recouvre d’une quantité importante. Puis de nouveau, plus rien. Mais rapidement je sens de nouveau son sexe contre mes fesses, il est encore bien dur. Décidément, je suis tombé sur un insatiable. Cette fois son comportement est différent. Ses deux mains sur mes fesses, il les écarte, pose son gland contre mon trou et d’une seule poussée s’engouffre à fond. La sensation me parait différente. Il se retire entièrement me laissant sur ma faim puis pointant de nouveau mon cul me prend à fond. Il accélère la cadence. La sensation de sa queue entrant dans mon cul m’excite tellement que je pense ne pas tarder à jouir. Entre deux gémissements, je l’encourage à m’en donner encore plus, à me prendre bien à fond. C’est alors que je sens quelque chose contre ma joue, manifestement une autre verge qui se presse.

Elle semble de dimensions équivalentes à celle de mon mec. Affamé de sexe et dans l’excitation, j’ouvre la bouche qui en est aussitôt remplie. C’est plus brutal cette fois, je me fais littéralement baiser la bouche. Le mec derrière continue à jouer avec mon cul rentrant et sortant sans arrêt. Je n'arrive pas à deviner lequel est Vincent. Mais je ne m'en soucie pas trop, j'essaie de gérer mon plaisir et de bien bouffer cette queue dans ma bouche. Le mec de derrière se retire, les deux glands sont maintenant sur mes lèvres, entrant alternativement dans ma bouche. Soudain, les deux passent sur ma langue en même temps, s'immobilisent et commencent à cracher leur sperme. Chacun des deux mecs a passé une main derrière ma tête pour ne pas que je me retire.

Ils se vident en plusieurs jets, ma bouche se remplit, je suis obligé d'avaler si je veux pouvoir respirer. Ils retirent ensuite leur engins et les laissent trainer sur mes joues, y laissant encore quelques traces de semence. Puis plus aucun contact. Je n'ai toujours pas joui. Je pense être seul, quand je sens quelque chose sur mes fesses, on me rentre un objet dans le cul. Puis les bouchons d'oreilles sont retirés, puis on me détache les pieds.

On me harnache ensuite l'objet avec une ceinture en cuir et des lanières qui passent entre mes cuisses. J'entends le cliquetis de cadenas qui se ferment. On me retire enfin mon bandeau et les lanières m'entravant les mains. Nous ne sommes plus que tous les deux, Vincent et moi. Il a un petit boitier à la main. Avant que j'aie eu le temps de dire quoi que ce soit, ses bras sont autour de moi, sa langue entre dans ma bouche, il m'embrasse fougueusement. Je fonds, j'ai pris mon pied, je ne vais pas  lui faire des reproche. Le gode dans mon cul se met soudain à vibrer.

L'excitation monte encore en moi, il faut que je me vide les couilles. Je dirige ma main vers mon sexe mais Vincent m'arrête. Il m'ordonne de me laisser aller, sans rien provoquer. Il me fait asseoir sur le transat, se place derrière moi et me tient les mains. Il me suce tendrement l'oreille. La queue de plastique vibre toujours en moi, une vague de plaisir monte, je ne peux plus me retenir, la sauce monte aussi, mon homme l'a bien senti. Il me fait allonger sur le dos puis levant mes jambes, ramène ma bite au dessus de mon visage, il prend mon sexe en main et le dirige vers ma bouche. Ce simple contact me fait éjaculer abondamment, le sperme jaillit vers mes lèvres, j'essaie d'en récupérer le plus possible. Quelques soubresauts annoncent la fin de ma jouissance. J'ai les joues maculées de mon propre foutre. Je suis heureux, une douce béatitude m'envahit. Il me porte jusqu'à sa douche et nous nous rinçons mutuellement en nous caressant.

La soirée finira un peu plus tard, dans les bras de Vincent pour toute la nuit.

 

 

 


 

commentaire :

 

 

 

 

 

  J'avais joui d'une quantité importante de foutre dans mon maillot

 

Image associée  et il s'en est servi pour me doigter 

  D 'après Kiki sur cyrillo.biz

 

I can skate and ski but I can't surf!

 

  Résultat de recherche d'images pour "gif gay shameful male in the crowd" oui je crains toujours que mon secret s'étale au grand jour

 

 

Je souffre d'agoraphobie

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Par KIKI SUR CYRILLO - Publié dans : PSYCHOLOGIES &VIE SOCIALE gay-bi-hét - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 21 juillet 7 21 /07 /Juil 06:03

  Avant de devenir l'un des escorts les plus demandés de mon agence d'escorts gay,  François était épanoui avec ses potes les plus proches mais très timide envers les étrangers

 

 

Nous l'avons sorti de l'idée fausse que seules les femmes pImage associée  peuvent souffrir de problèmes  
  
 et qu'il serait erroné de classer tous les hommes de la même manière. Cela

  

crée l'environnement dans lequel les hommes se sentiraient illégitimes s'ils

  

suggéraient qu'ils ont un problème. Cela peut être lié à la raison pour 

  

laquelle tant d’homos ne parlent jamais de leur combat contre la dépression.

 

 

  

Il est toxique et faux de penser que seules les femmes peuvent

 

souffrir de problèmes.

 

 

Image associée     Rien de tel que l'amour de groupe pour le guérir de tout complexe !

 

Nous avons commencé par guérir François de l'idée obsessionnelle que c'est

 

un péché mortel d'être homo et il s'est épanoui parmi nous, puis il a vu

 

combien il était utile aux autres en les baisant ou en se laissant baiser.

 

Ensuite il a vu combien nous vivions financièrement à l'aise et il s'est laissé t

 

tenter par le métier d'escort

 

 

A partir d'ici  c'est : 

 

https://cyrillo.biz/histoire-gay-2012-jardinier-249.php

François est revenu tous les WE jusqu’aux vacances de noël.  Il progresse à toute vitesse et mes clients sont très contents de ses prestations. Il est maintenant aussi bon que mes autres escorts, dixit André qui les a tous vus et testés.

 

Image associéeJe l’ai envoyé

en duo avec Jona chez le père de Jean. C’était sa première participation à une double sodo en tant qu’actif. Il en est revenu tout excité.

Je l’ai poussé à analyser les raisons de son enthousiasme et il a fini par convenir que c’était parce que la bite de son Jona pressait la sienne que c’était si bon !

 

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Il a surtout trouvé que George était une sacrée salope question cul. Avec Jona ils s’étaient amusés de sa bouche et de son cul à plus savoir comment s’enfoncer dedans. C’était la première fois qu’il baisait un mec aussi insatiable. Ils l’ont fait jouir deux fois avant d’eux même juter et il leur a fallu remettre ça tellement il en voulait. Heureusement qu’à 18 et 20 ans on a de la ressource ! Jona l’a fait patienter en jouant de ses godes dans son cul le temps qu’ils rebandent tous les deux et ils l’ont ré enculé grave hard. Ils ont même touché un bonus en liquide (euros pas sperme !).

Soudain il me demande si c’était autorisé. Je lui dis que ce n’est pas courant, ils avaient du être vraiment très bon tous les deux.

Je le laisse tranquille pour les vacances, il a ses partiels début janvier.

D’ailleurs pour les vacances nous arrivent d’Espagne, Ernesto et Hervé. Marc a pris aussi des vacances et nous nous retrouvons tous les 5 au blockhaus (sans compter Samir et Ammed et Jimmy qui nous rejoint de notre campagne).

Les retrouvailles sont bruyantes. Cela faisait plusieurs mois qu’ils n’étaient remontés.

Avec Ernesto et PH, nous nous isolons un peu histoire de tout nous raconter. Il est de plus en plus beau ce salaud. Il s’est inscrit à un club de sport à coté de chez lui et les effets commencent à se voir. Il était déjà bien bâti mais maintenant, ses muscles plutôt longs se sont un peu plus gonflés et le résultat est hyper bandant.

Sous prétexte de l’aider à défaire les bagages, nous l’accompagnons à l’étage du dessous.

Dans le monte charge, nous ne pouvons nous retenir et les pelles et les caresses se succèdent au point que nous nous retrouvons à poil, les jeans sur les chevilles quand les portes se rouvrent. Titubants, manquant de tomber plusieurs fois, nous titubons jusqu’à la chambre d’amis, où nous nous affalons sur le lit. Quelques battements de jambes plus tard (pour nous débarrasser de nos pantalons), et nous commençons un câlin de la mort.

Les 24cm de notre ibère nous avaient manqués et nous nous chargeons de le lui prouver. Ce qui est bien avec une telle bite c’est qu’il y a de la place pour deux.  Il nous demande de nous tourner et comme cela il n’a qu’à tourner la tête à droite pour me sucer et à gauche pour sucer PH.

Je mets un peu de temps à prendre son gland dans ma gorge. Mais c’est trop bon quand j’y arrive. C’est du moins ce que me dit Ernesto. PH me suit aussitôt, pas question qu’il se laisse distancer sur le sujet, et quel sujet !

Nos trois bites sont raides de plaisir. J’imagine l’effet de mon cadeau de noël quand Ernesto le portera (j’ai prévu de lui offrir un cockring en or rose).

Cela ne m’empêche pas de me battre avec PH pour lui sucer la queue comme un ouf en attendant.

Nous alternons bouffage de queue avec malaxage de boules et inversons régulièrement.

Nous passons en triangle, chacun s’occupant de la bite d’un autre et nous intervertissons pour les avoir tous à un moment où un autre dans la bouche. C’est Ernesto qui, le premier, attaque l’autre versant en ventousant la rondelle de PH. Je le rejoins et à nous deux nous chauffons PH.

Bien qu’affamé de la queue espagnole, je laisse mon PH en profiter le premier.

Quand Ernesto va pour l’enculer, je remarque qu’il lui a super bien préparé la rondelle. Elle est ouverte et luisante de salive. Je roule un patin à PH tout pendant qu’Ernesto s’enfonce en lui. Quand il est bien carré au fond, je le laisse respirer. Il me glisse que c’est trop bon.

Je m’assois sur sa tête afin qu’il me prépare mon petit trou.  Sa langue s’agite, pointe et lubrifie ma rondelle comme il sait si bien le faire. Il ajoute deux doigts et je me déclare prêt à subir, à mon tour, l’invasion espagnole.

Ernesto nous suggère alors de nous coucher l’un sur l’autre afin qu’il ait nos deux trous superposés. 

PH reste due le dos et je me couche sur lui en coinçant nos deux bites l’une contre l’autre entre nos abdos. Il croise ses jambes autour de mes hanche et je replis les miennes pour laisser la place.

Ernesto se kpote et commence par reprendre le cul de PH. Je sens qu’il fait couler un peu de gel sur ma rondelle et qu’il l’enfonce avec ses doigts. Ernesto se retire complètement de PH et je sens aussitôt ma rondelle s’ouvrir sous la pression de son gland. Je me détends et laisse passer son gland. Dès ce dernier totalement entré je serre mon anneau. Ça le stoppe dans sa progression et il nous pousse de quelques cm sur le lit emporté par l’élan qu’il avait mis à me pénétrer.

Je relâche la pression et il m’enfile le reste de ses 24cm au plus profond de mon cul. Il est vraiment trop bon ! Il ne reste pas longtemps au fond et se retire pour me limer la rondelle. Ses coups de reins sont dévastateurs et son gland frotte ma prostate avec une efficacité qui m’emporte. Avant que j’explose, il sort de mon trou pour s’enfoncer dans celui de PH. Il se décolle de ma bouche pour  respirer un grand coup avant de me rouler de nouveau une pelle.  

Ernesto n’a le temps que de changer deux autres fois de cul avant de remplir sa kpote et que nous mélangions nos spermes entre nos abdos.

Une douche plus tard, retour à l’étage du dessus où Marc et Hervé nous accueillent avec de grands sourires et en nous demandant si nous nous ne sentions pas un peu plus légers avec les couilles vides.

Je m’approche d’Hervé et lui roule un patin en lui disant qu’il ne devait pas être aussi possessif car sans nous il n’y aurait pas de « Hervé & Ernesto ».

Pendant l’apéritif, nous discutons de l’organisation de noël.

Le 24 au soir c’est juste entre nous 8 avec, je pense, une fin en partouze comprenant exceptionnellement Samir, Ammed et Jimmy.

Pour le 25 nous sommes invités chez Emma (ma mère) tous les 5.

L’initiative vient d’elle. Elle m’a dit qu’elle ne voulait pas passer cette journée seule dans sa grande maison.

La veille de noël :

Samir et Ammed ont fait les choses en grand et nous régalent d’un diner plus que parfait. Le foie gras fait maison est un délice. On se régale de langoustes thermidor avec pour finir un saint Honoré tout à fait convainquant.

Nous échangeons les cadeaux.

Ernesto est ravi de son cockring et l’essaye de suite. Comme il bande dès la pose, il ne remballe pas sa bite qui de toutes les façons ne rentrerait plus dans son jeans !

(Jimmy se glisse entre ses cuisses et embouche le boa). Il reçoit d’Hervé un simple mais magnifique anneau en or qui, d’après ses dires, est la preuve de son amour.

Evidemment, nos lazzis couvrent la fin de son discourt et l’empêche de tomber dans la sensiblerie.

Hervé est content des livres de photos de Pierre & Gilles qu’on lui offre. On voit ses yeux briller quand à son tour il reçoit d’Ernesto un anneau semblable à celui qu’il vient de lui offrir. Là c’est le grand éclat de rire.

 Marc reçoit de notre part (PH et moi) un cockring spécial voyage, je l’ai fait faire ouvrant pour qu’il puisse le porter en bracelet. C’est plus discret pour passer les portiques d’aéroport !

 De sa part nous recevons des « jouets » sexuels en provenance directe d’Asie. Après quelques minutes de réflexion, nous comprenons comment ça marche et devant tout le monde nous nous foutons à poil pour les tester.

 Avant que cela n’aille trop loin, Marc propose à tout le monde de descendre à la « cave ». Ammed nous apporte, à PH et moi, deux peignoirs et nous descendons tous par le monte-charge. Le jouet que j’ai dans mon cul me chauffe à chaque pas que je fais. La traversée du garage est faite en courant. Et nous descendons l’escalier.

 L’entrée dans le nouveau donjon provoque des Oh et des Ah plus intéressés qu’admiratifs. Je lance la projection d’un film  bien chaud  pour faire le fond sonore et les éclairages qui soulignent tel ou tel « agrès ».

 Avec Jimmy et PH, je mets Ernesto à poil alors que ses « oncles » font de même avec Marc et Hervé. Eux n’ont qu’à faire sauter les pressions de leurs shorty en cuir pour nous rejoindre dans le même appareil.

Les bites encore moles se détendent et gonflent sous l’afflux de sang bouillonnant.

Les bidules asiatiques ont bien fait leur taf et je suis chaud  prêt à me faire saillir comme la salope que je sais parfois être.

   

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Marc en tant que « propriétaire » est le premier à me passer dessus.  Il se glisse le long du truc qui encombre déjà mon trou et me pilonne le cul. Pas de risque qu’il m’enfonce involontairement le jouet, celui-ci à une sécurité qui est passé autour de mes couilles.

 En attendant, la présence des deux engins, le naturel et le synthétique me font grimper. Les coups de gland sur les boules qui encombrent mon boyau envoient des vibrations dans tous mon corps et pulsent jusque dans ma bite.

 PH qui a remarqué que je bande comme un fou, se glisse sous moi et se défonce le cul sur ma bite.

 A nos cotés Hervé se fait le cul de son Ernesto. Je vois juste dépasser de sous notre ami, les jambes de Jimmy surement en train de lui avaler ses 24cm.

  Image associée      Samir, de son coté, a immobilisé Ammed sur la croix de saint André et commence à le « torturer ». Nous le voyons travailler comme un pro. Cela nous fait tous cesser nos propres mouvements pour admirer l’adresse avec laquelle il œuvre sur le corps d’Ammed.

 Je ne les avais pas suivis depuis longtemps même si je savais qu’Ammed était devenu très maso. L’autorisation que nous leur avons faite d’utiliser les installations n’est pas restée lettre morte et cela se voit.

Nous nous déboitons même les uns des autres pour regarder Samir travailler. Seul Jimmy  ne s’intéresse pas au spectacle et passe de bite en bite, couvrir nos glands de sa bouche chaude et glissante.

Samir va progressivement dans la « stimulation » d’Ammed, mais il stimule la moindre parcelle de ce corps musclé. Bien sur les tétons sont mordus par des pinces crocodile et les couilles étirées par un parachute lesté de quelques poids en plomb.

Sa bite est bientôt enrobée d’un stimulateur électrique et son trou occupé d’un plug métallique branché au même appareil. Nous admirons après les effets de la « fée électricité ». Samir commence doucement mais augmente rapidement les intensités. Ammed bande à mort et nous voyons son cul et sa bite tressauter à chaque impulsion.

Quand il en termine avec lui, une demi-heure plus tard, ce dernier explose et déverse des litres de jus dans une délivrance visible.

 Nous reprenons nos propres ébats. Qui sur un banc, qui sur un des slings à disposition. Les deux heures qui suivent nous pénétrons et nous faisons sodomiser à tour de rôle. A un moment je ne sais qui m’encule que par les sensations d’écartement que me retransmet ma rondelle.

Je crois bien qu’à part Jimmy et Ammed, tous m’ont labouré le trou dans la soirée. De mon coté, à part les culs d’Hervé et de Marc, j’ai trempé ma queue dans tous les autres.

Dans celui d’Ammed, après le travail que lui avait fait subir Samir, c’est à deux que nous y sommes rentrés.

Je me souviens même de l’avoir limé avec Ernesto. Ça lui faisait un bel effet. Ce n’est pas le seul à avoir subi des doubles sodos, Jimmy, avec sa souplesse exceptionnelle, réclame le même type de traitement. Marc et Hervé se font un plaisir de remplir son petit trou.

Ce n’est qu’après s’être vidé au moins deux fois les couilles que nous décidons d’un arrêt des « hostilités ».

Nous laissons Samir, Ammed et Jimmy se laver en premier. Le fond du donjon, carrelé de noir blanchit, par contraste, les corps nus sous les jets d’eau.

Ils remontent préparer un dernier cordial pendant que nous nous douchons à notre tour.

A notre arrivée au 4ème c’est une coupe de champagne qui nous attend. Eclusée rapidement nous allons tous nous coucher.

Alors que je voulais inviter nos invités dans notre grand lit, Ernesto me fait signe qu’il préférait dormir seul avec son mec. Faut dire que nos deux hommes (Marc et Hervé) revenaient tout juste de voyage et qu’ils n’avait eu qu’une nuit avant d’arriver chez nous.

Noël :

Je suis le premier réveillé. Je secoue PH tout en faisant attention de laisser Marc dormir. Nous glissons hors de la chambre et rejoignons celle de nos invités.

Ils dorment encore. Hervé tient Ernesto dans ses bras, le chauffage les a fait rejetter leurs draps et nus, ils sont beaux.

Je me charge de réveiller Ernesto. C’est chose faite 2mn plus tard sans autre effet sur Hervé que de le faire basculer sur le dos. Même le claquement de sa queue bandée sur ses abdos ne le réveille pas. J’envoie PH sucer le dormeur alors qu’avec Ernesto nous entamons un 69.

C’est évident qu’Hervé finit par ouvrir un œil. S’il est surpris que ce soit une tête blonde qui le pompe, il s’en satisfait et ses mains viennent régler le rythme sur la tête de PH.

Quand apparait Marc, réveillé par le vide crée par notre départ, je me décolle d’Ernesto et tous les deux, nous nous occupons des 22cm de Marc. Nous faisons jouir nos deux « hommes » avant de nous même éjaculer dans une branlette triangulaire.

Douche et petits déjeuners en boxers. Vu l’heure, passage par la case dressing pour trouver des vêtements un peu chics. Ernesto tape dans notre stock. C’est limite si mon smoking lui irait mieux qu’à moi ! Il en mâtine la veste avec un Jeans noir D&G.

Nous empruntons la « bétaillère » (la Chrysler 300C) qui, seule, peut nous accueillir tous les 5... bien sûr, avec Jardinier il y a plusieurs suites (voir lien) 

Jardinier a écrit ce que dessus chez cyrillo

PRO C'EST PRO : 

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Par JARDINIER - Publié dans : ESCORTS-PROSTITUES-ACTEURS X pour le fric - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Vendredi 19 juillet 5 19 /07 /Juil 17:54

fantaisie brésilienne sur le net

 

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Bonjour voulez-vous ...

   jouir avec moi ? je serais plutôt à la recherche d'hommes plus âgés...mais aussid JH ttbm $, € acceptés 

 

 

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Image associée -Tu as pas peur d'avoir mal ? - non venez mes chéris !  

  Image associéeTu le veux mon gros vier ans ton cul ?

 

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 sucés 

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     Image associée  tu avais maintenant la bite dure, posée contre l’avant-bras alors que tu massais encore tes grosses burnes. Bon Dieu ! Ta bite allait jusqu’au creux du coude et couvrait presque sa largeur.

 

 

   Image associée    Etait-ce que tu m'injectais par ta bite l'alcool que tu avais absorbé ? J’ai eu le vertige, mais tes bras me soutenaient, en apesanteur tu me tapais au fond du cul.
  

   Image associéeJe ne sais plus toutes les moqueries que tu me disais à l’oreille, je me souviens juste de tes rires, de ton souffle chaud contre ma nuque, ton halèine chargée de cachaça*, et ta bite m’envahissant comme une horde de romains que rien ne peut arrêter.

 

Image associéetu m’as retourné. T’as fourré tes doigts dans ma bouche. Pleins de salive, ils m’ont mouillé le cul, et t’es rentré direct

 

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Résultat de recherche d'images pour "homem vestido mostrando um pau enorme" -tous méritent d'être bien enculés! Tu as mal ? tu veux que j'arrête ?

 

  Long

 

  TALK-SHOW :  Image associée  Image associée

 

quadra bien dessiné et 'sec', le mec passe des heures dans la semaine à la salle de sport et ses weekends à la piscine.

 

  Image associée  Mais il passe aussi des heures à ne penser qu' aux grosses bites. Aujourd'hui, le gars va se taper la bite de ses rêves. C'est un brésilien qui va assouvir ses désirs de soumission.

 

Je suis un peu exhibitionniste et beaucoup de gens m'ont vu en rain deme faire baiser. "J'aime vraiment", "je suis comme ça", "Ah, baise-moi, encule-moi à fond oui, comme ça, merci", mais aussi: "j'ai vraiment besoin d'en dire plus pendant le sexe." Je crie, "Oui iiii !! C'est tellement important. "Quand l est au fond, je parle constamment en lui disant d'aller plus vite, plus lentement, de ne pas bouger, de m'étouffer, de me gifler, de changer de position.  Je lui dis ce que j'aime, c'est le moyen pour lui de deviner à quoi il sert.

 

  Le rebeu marocain va bien lui ouvrir le cul avec sa grosse bite arabe de 25cm. Stephane n'est pas très anal. D'ailleurs il se fait sauter rarement. Il va avoir beaucop de mal à prendre cette mega bite arabe dans son trou. Mais la douleur sera récompensée par l?émotion. A quattre pattes, le musclor tattoué sera niqué comme une bonne lopsa par notre étalone arabe. Stephane va enfin réaliser ses rêves et repartir satisfait à fond

 

Image associée -tu la sens ? -oui c'est mon bonheur ! Merci Joao

Par JOAO - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 14 juillet 7 14 /07 /Juil 18:20

  C'est vrai je suis majeur maintenant. Je peux m'acheter de l'alcool, passer le permis et sortir en boîte… Sauf que je n'ai ni le temps ni l'argent pour tout ça…

- Oui, c'est vrai… je n'y pensais plus

 

 

 

 

. y a-t-il dans certains peuples ou tribus une dette à payer par les enfants à leur famille ? voire ceux qui les ont élevés ?  

 

Ce récit, j'en ai rapproché les circonstances puisque, ci-dessous, dans le texte de Pharaoh90, Jairo va 'y passer' et sans doute devenir un de ces travestis brésiliens du bois de boulogne. Ce récit m'a rappelé qu'on dit que  dans les tribus gitanes  pour qu'un homme devienne « cantaor » de flamenco, il faut que son père ou un frère l'ait violé dans l'enfance, et qu'ainsi on en ait fait un homo. La voix du chanteur de flamenco doit être sombre, terrible, « une déchirure du ciel d’où coule un sang qui brûle » J'y vois encore une allusion. Ainsi l'enfant reçoit le « rajo », cette éraflure à vif dans le larynx qui signe les voix gitanes viendrait du fond d'eux-mêmes, vous avez compris ce que moi je pense. Il n'est d'ailleurs pas nécessaire d'être né gitan, Plusieurs célèbres et non célèbres cantaores n’étaient pas gitans 'de souche' : payos(non gitans), ça ne semble pas nécessaire pour être adobé'cantaoor. On dit Cantaor bien plus que chanteur. Cantaor par vocation d’enfance et détermination personnelle. Irrécupérable,

Le premier tablao où se produit le jeune c'est la rue où il vit, où se pratiquent les activités de son groupe. Il chante comme on expire. Son deuxième tablao, c'est le bar, au coin de la rue, c'est là que l’on peut gagner à la loterie de la célébrité. Si la chance lui sourit il se fera connaître, on le repère pour sa voix et son don du ciel : il a la raja. La RAJA, à ce que j'ai lu, en espagnol, c'est la fente, la raie ou la rayure et ça va jusqu'à la cicatrice !  

 

 

.

  Image associée

L'ami de son père avait (im)patiemment attendu le jour de ses dix-huit ans …pour faire  de Jairo son 'bonihitinho' son 'mignon'

Je n'exagère pas, je n'y pensais vraiment plus… Je suis toujours le même Jairo après tout… Rien n'a vraiment changé en fait… Oui je m'appelle Jairo, un prénom étrange je sais. C'est un prénom brésilien, en fait… Je vous arrête tout de suite, je n'ai absolument rien du fantasme latino que vous êtes (déjà) en train d'imaginer… Je ne suis ni grand, ni musclé, ni particulièrement bronzé (désolé…), et je ne parle pas avec un accent impossible en roulant les « r » comme  au bois de Boulogne… Je suis plutôt du genre petit, un rien chétif, blond (oui ça existe les brésiliens blonds…), cheveux courts, yeux bleus (aussi…), et tout juste majeur donc…

- Saúde Jairo! Tu n'as pas l'air de réaliser…Tout ce que TU peux faire maintenant que tu es majeur…

Je ne sais pas trop ce que signifie sa façon d'insister sur le « tu »… De toute façon je ne sais jamais comment prendre ce qu'il me dit… Il est tellement… intimidant… ça fait des années que je connais monsieur Heitor mais… mais je me suis toujours senti… bizarre, quand il est là, et c'est de pire en pire maintenant que… enfin… maintenant que je le… Je sais pas comment dire ça… Quelque part je devrais peut-être voir monsieur Heitor comme une sorte de père, mais d'un autre côté… je crois pas que…

- Je crois que ton pai serait fier de te voir aujourd'hui !

Je ne l'ai jamais connu mon pai, mon père… Il est mort quand je n'avais que quelques mois, et ma mère s'est retrouvée seule avec un bébé sur les bras, sans grandes ressources ni soutien de sa famille. La seule chose que mon père m'a laissé c'est mon prénom, mes origines brésiliennes (même si elles ne sont pas toujours évidentes…) et monsieur Heitor. Adrian Heitor était le meilleur ami de mon père… Ils ont grandi ensemble au Brésil, fait leurs études ensemble à Harvard, et se sont installés ensuite en France. Mon père, lui, a rencontré ma mère à Paris et s'est marié rapidement. Monsieur Heitor, lui, était bien trop occupé pour trouver une femme…

- Non ? Tu ne crois pas… ?

Monsieur Heitor n'est pas le genre d'homme à qui on dit non… Il a pris l'habitude d'avoir tout ce qu'il veut et d'être obéi au doigt et à l'œil. Côté boulot il est à la tête d'une entreprise immense dont il est le boss absolu, et qui a fait de lui un homme plus que riche… Côté famille il a une femme magnifique, Iulia Heitor, une belle blonde de dix ans de moins que lui, et deux enfants tout aussi beaux que leurs parents, Isabel et Maicom.

- Euh… oui monsieur Heitor…

Oui, il a fini par se ranger aussi… Une bonne dizaine d'années après mon père, mais il s'est marié quand même… Ma mère n'a jamais voulu entrer dans les détails, mais j'ai quand même compris que le problème n'avait jamais été de trouver UNE femme, mais d'en choisir une parmi toutes celles qui… comment dire… enfin vous voyez… En plus d'être riche, brillant, brésilien, et maintenant heureux père de famille, monsieur Heitor est un bel homme, ou un beau gosse, une bombe, appelez-ça comme vous voulez… L'essentiel c'est qu'il est juste…

- Pas de « monsieur » ! Entendido ?

Oui monsieur, pas de « monsieur » entre nous, je sais… C'est juste que… je me sens tellement intimidé devant lui… Il m'a toujours impressionné en réalité. Quand mon père est mort il a promis à ma mère de veiller sur nous. Pour lui ça voulait dire apparaître deux ou trois fois par an dans notre vie, passer une soirée à la maison, discuter avec ma mère, parler de mon père, du passé, du Brésil, et puis disparaître aussitôt en laissant derrière lui une petite enveloppe et l'odeur de son parfum… Monsieur Heitor est toujours très occupé…

- Un beau grand menino comme toi… il aurait de quoi être fier…

Je dois rougir instantanément vu comme il me sourit… C'est lui qui est « beau grand garçon », pas moi… moi je suis juste… Jairo… et lui… il est juste… immense… et… musclé… et… brésilien… vraiment. Lui il a tout du cliché latino : le teint mat, les cheveux bruns bouclés, les yeux noirs, les muscles, et tout le reste… Moi je suis juste… blond… et maigre… et petit… Quand j'étais petit je voulais lui ressembler, plus tard, quand je serais grand… Je crois que je ne serai jamais grand, pas autant que lui je veux dire… mais j'ai laissé tomber l'idée de lui ressembler…

- Isabel et Maicom sont couchés ?

Depuis quelques années je suis le baby-sitter attitré… En fait c'était une proposition de madame Heitor, mais j'ai toujours pensé que c'était lui qui avait lancé l'idée… Je n'ai en fait pas grand-chose à faire. Isabel a dix ans maintenant, et Maicom huit. Ils pourraient presque rester seuls, et de toute façon la gouvernante Maria ne quitte presque jamais la maison. J'ai toujours pensé que monsieur Heitor voulait juste me donner un petit boulot…

- Oui, ils sont au lit depuis dix minutes, et j'allais aussi…

J'allais me coucher moi aussi… J'étais même sur le point de me déshabiller quand il a débarqué à l'improviste… Enfin… Il est chez lui après tout, c'est juste qu'il ne rentre jamais le weekend. J'ai beau travailler pour lui, je ne le vois pas plus souvent qu'avant… Toujours ses visites trimestrielles à ma mère, la petite enveloppe sur la table, les souvenirs de mon père, et les quelques mots de portugais qu'il essaye de m'apprendre…

- Te coucher ? Déjà ? Jairo, pas le jour de ton aniversário… Il faut fêter ça…

Euh…oui… fêter ça… A tous mes anniversaires il m'a toujours envoyé un cadeau. Il n'était jamais là, toujours occupé, en voyage, à l'autre bout du monde… mais je recevais toujours mon cadeau. Un jouet que ma mère ne pouvait pas m'offrir, ou un portable… j'ai même eu droit à un ordinateur l'année dernière… Il glisse toujours un petit mot dans le paquet, et chaque fois il m'envoie une photo de mon père avec. Je les ai toutes gardées et je les regarde souvent. Sur certaines photos il est là lui aussi… Ils ont une vingtaine d'années sur la plupart, et monsieur Heitor à vingt ans… c'est juste… comment dire… renversant… Je comprends pourquoi il a mis autant de temps à se marier… pourquoi choisir juste une femme quand on peut toutes les avoir… 

- Donne-moi une minute et rejoins moins dans le petit salon, j'ai un pequeno presente pour toi !

On y est… qu'est-ce qu'il m'a acheté cette année ? Un nouveau téléphone ? Une voiture… ? Le pire c'est qu'il en serait presque capable… L'argent n'a jamais été un problème pour lui… Si ma mère l'avait laissé faire il aurait rempli son compte en banque tous les mois, juste en souvenir de mon père et de leur amitié…

- D'accord, je descends dans une minute…

Il me sourit et tapote mon épaule avec sa grosse main, comme si je venais de lui acheter quelque chose… Je n'aime pas vraiment qu'il me touche en fait… Quand j'étais petit il me prenait sur ses genoux pour me parler de mon père. A l'époque j'aimais ça, je crois que ça me donnait l'impression que c'était lui mon père… Mais aujourd'hui… aujourd'hui il m'intimide trop. Quand il me touche c'est comme si… comme s'il y avait quelque chose d'intime entre nous…
Je ne sais pas pourquoi il m'impressionne autant. Depuis des années que je le connais je devrais être à l'aise avec lui. Je crois même qu'il voudrait que je le considère comme mon père… Mais il m'intimide tellement… Cette façon qu'il a d'être à l'aise avec tout le monde, d'être à la fois très doux et très ferme… comme s'il était le seul adulte au monde et que tous les autres n'étaient que des enfants qu'il essaye d'éduquer… Et puis il y a son physique… Il est tellement… viril… et… imposant… je me sens ridicule et fragile à côté de lui. Je ne sais pas si c'est son regard, ses muscles, la façon qu'il a de remonter ses manches de chemises pour laisser voir ses avant-bras musclés et légèrement poilus, ou son col de chemise toujours entrouvert et qui laisse deviner quelques poils, ou sa démarche rigide et fluide, comme les cowboys quand les westerns… C'est comme s'il était le seul vrai homme au monde, et que tous les autres n'étaient que des femmelettes, à commencer par moi…

- Jairo ? Tu t'es endormi ? Je t'attends dans le salon…

Mince la minute est déjà passée, il faut que j'arrête de rêver… Je me lève de mon lit et je sors de ma chambre. Enfin je dis « ma » chambre et « mon » lit mais… ce ne sont que la chambre et le lit qu'il me prête pour les weekends où je garde les enfants, je ne suis pas chez moi… Même si « Il y a toujours une place à la casa pour toi Jairo » comme il me dit souvent… Je traverse le couloir et je descends le grand escalier tout en marbre, deuxième porte à gauche et j'entre dans le « petit salon », le plus petit des trois salons de la maison en fait… Il est assis dans le grand canapé en cuir et me montre du doigt le fauteuil en face.

- Senta Jairo !

Sur la table basse entre les deux il a posé une bouteille de champagne et deux flûtes. Je m'assois en face de lui et je le regarde faire. Il a déjà ouvert la bouteille et il  remplit les deux flûtes en quelques secondes, comme quelqu'un qui a déjà fait ça des centaines de fois. J'ai toujours été captivé par ses mains immenses. Des vraies mains d'homme, larges, avec des veines saillantes et un rien de poils bruns qui courent jusque sur ses avant-bras. Il a roulé ses manches de chemise, comme d'habitude, et je peux voir sa belle montre argentée briller à son poignet. Ses avant-bras sont vraiment énormes…

- Merci… je… il fallait pas…

Je prends la coupe pleine qu'il me tend et j'essaye de me trouver une contenance. Lui il a l'air parfaitement détendu, comme d'habitude. Il se cale contre le dossier du canapé, les jambes écartées, une coupe à la main et l'autre main posée sur sa cuisse. Quand il se penche en arrière dans le canapé je remarque le torchon posé sur son entre-jambe. C'est plus une espèce de serviette qu'on utilise pour servir le champagne. Un truc totalement inutile aux gens ordinaires mais donc rigoureusement indispensable pour quelqu'un comme lui… Je ne sais pas si c'est parce qu'il est brésilien, ou simplement parce qu'il est devenu riche par son travail, mais monsieur Heitor aime montrer qu'il a réussi, et il ne lésine pas sur les moyens…

- Alors ? Qu'est-ce que ça fait d'avoir enfin dix-huit ans ?

Je ne sais pas trop quoi répondre… La vérité c'est que ça ne me fait rien, mais je sais bien que c'est pas du tout ce qu'il a envie d'entendre… Je me demande ce qu'il a fait, lui, le jour de ses dix-huit ans… Sur les photos de mon père où ils ont cet âge il est déjà immense, une espèce de colosse tout en muscles sous une couronne de cheveux bouclés qui lui cachent le front. Mon père a l'air tout petit à côté, presque le petit-frère à côté du grand-frère… Et mon père, qu'est-ce qu'il a fait pour ses dix-huit ans… ?

- Ça fait un moment que j'attends ça tu sais… ?

Il boit une longue gorgée de champagne et pose sa main libre sur le dossier du canapé, l'air totalement décontracté… Je le regarde sans trop comprendre… Qu'est-ce qu'il veut dire par « j'attends ça » ? Il a des projets pour moi ? J'espère qu'il ne compte pas me proposer de bosser dans son entreprise… Je veux bien l'avoir pour patron tous les weekends, quand il n'est jamais là, mais travailler tous les jours avec lui, le voir tous les jours, dans son petit royaume, avec son petit air triomphant…

- Euh… pourquoi ?

Je bois une gorgée de champagne à mon tour. Les bulles éclatent sur ma langue et je sens la brûlure de l'alcool descendre dans ma gorge. Peut-être que si je bois toute la flûte je me sentirai plus à l'aise avec lui… Non je crois qu'il me faudrait au moins toute la bouteille…

- J'ai des projets pour toi… mais… je devais attendre que tu aies dix-huit ans… tu comprends… ?

Il me lance un petit clin d'œil et avale une deuxième gorgée… Enfin… en deux gorgées il a déjà presque vidé la flute… Et non je ne comprends pas, de quels projets il me parle… ?

- Non je… je ne comprends pas…

Il hoche la tête mais continue de sourire avec ce même air carnassier qu'il a toujours quand il sourit. Même sur les photos de mon père il a ce même sourire de prédateur qui s'apprête à bondir… J'ai l'impression d'être une souris devant un chat…

- Tu es bien sûr Jairo… ? Je pensais que tu avais compris déjà… Tu es un menino intelligent pourtant…

Pourquoi est-ce qu'il faut que ça me touche ça… ? Je sais bien ce que cache son compliment et son petit regard attendri… ça fait des années qu'il me fait ça… Un coup de pommade pour obtenir ce qu'il veut… Et moi j'ai toujours tellement envie de lui faire plaisir que… que je me sens tout nul de ne pas comprendre ce qu'il veut…

- Non… je… je ne comprends pas senhor Heitor… je suis désolé…

Je baisse les yeux pour ne plus voir son regard. J'ai l'impression d'être un gosse qui se fait gronder par sa maîtresse… Enfin… plutôt virile la maîtresse sur ce coup là… Je me souviens d'une seule fois où il m'a grondé, quand j'étais petit… une seule fois… Je ne lui avais pas désobéi pourtant, personne ne désobéit à monsieur Heitor… Il y a juste eu cette fois où…

- Je sais que je te plais Jairo…

Je sens mes joues rougir avant même de saisir pleinement le sens de sa phrase… Je me cramponne à la coupe pour ne pas m'effondrer de honte… Je n'ose pas relever les yeux de peur de voir son petit sourire et ses yeux… Je peux imaginer le petit air supérieur qu'il doit avoir en ce moment… Qu'est-ce que je peux répondre à ça… Je crois que je vais mourir de honte si j'ouvre la bouche…

- Je… non… je ne… vous…

Je fixe le torchon posé sur son entre-jambe… Je n'arrive plus à réfléchir, j'ai l'impression d'être piégé… Pourquoi est-ce qu'il me fait ça ? Et pourquoi est-ce que… Qu'est-ce que j'ai fait ? Qu'est-ce que j'ai dit pour qu'il pense que… que… que ça ! Je n'arrive même pas à le dire, j'ai trop honte…

- Ne mens pas Jairo, ton pai ne voudrait pas que son fils soit un menteur… Je sais que je te plais, et tu le sais toi aussi…

Non !!! Jamais ! Je… Je ne veux pas… Je… C'est vrai qu'il m'impressionne, c'est vrai que je l'admire, c'est vrai que j'ai toujours rêvé d'être comme lui, d'être un vrai homme comme lui, je… mais… pourquoi est-ce qu'il me fait ça… ? Pourquoi aujourd'hui… ? Je ne suis pas… non ! Je…

- Et… toi aussi tu me plais Jairo…

En une seconde je sens que je passe du rouge au blanc… La flûte est toute glissante de sueur dans ma main et je sens une goutte de transpiration glisser dans mon dos. Je dois faire un effort pour respirer normalement. J'ai envie de me lever et de partir en courant, ou de hurler que NON ! Non je ne veux pas ! Je ne veux pas qu'il me plaise ! Et je ne veux pas lui plaire ! C'est tellement… mal…

- Il n'y a rien de mal à ça Jairo… Nous sommes tous les deux des homems maintenant, et les hommes ont besoin de… tu sais Jairo…

Il lit dans mes pensées en plus… Mais… Besoin de quoi d'abord ? Qu'est-ce qu'il veut ? Il ne veut quand même qu'on… qu'on fasse… lui et moi… mais alors il est…mais non ! Je ne suis pas… je ne suis pas…

- Je ne suis pas gay monsieur Heitor !

Je me rends compte du sous-entendu en prononçant ma phrase… Je viens d'insinuer que lui l'était… gay ! Je me sens encore plus honteux… C'est totalement ridicule… Il ne peut pas être gay… Il est juste… juste… juste l'incarnation de la virilité… Tout chez lui hurle qu'il est un homme, un vrai, avec du poil, du muscle et de la testostérone, avec tout ce que je n'ai pas et que lui…

- Ne sois pas bête Jairo ! Personne ne te parle d'être gay, je parle juste de se donner du plaisir entre hommes !

Je me tasse dans le canapé comme si je pouvais y disparaître… Je me sens toujours honteux et de plus en plus ridicule. Comment est-ce qu'il ose me faire ça ? Pourquoi est-ce qu'il veut m'humilier comme ça ?

- Et… madame Lulia… ?

Je n'ose toujours pas regarder son visage, mais à voir comment il a tressauté quand j'ai prononcé le nom de sa femme, il ne doit sans doute plus me sourire… Je me sens tout petit devant lui et… j'ai peur… peur de ce qu'il va dire…

- Ça n'a rien à voir Jairo… Oriana est ma senhora, et toi je veux que tu sois mon bonitinho…

Je ne connais pas ce mot… Je ne parle pas portugais aussi bien que lui… Et je ne connais pas cet homme non plus… Qu'est-ce que j'ai fait pour qu'il me fasse ça… ? Je veux que tout redevienne comme avant… je veux qu'il arrête de…

- Tu es un très beau menino Jairo, j'ai toujours su que tu en serais un. Et maintenant que tu es majeur, je veux te montrer tout le plaisir qu'un homme peut te donner, et que tu peux lui donner…

Je voudrais répondre mais je suis submergé par les images qui m'envahissent… J'imagine monsieur Heitor avec un autre homme… C'est tellement… étrange ! Et… Je l'imagine en train de le… et de se… Non j'arrive même pas à penser au mot… je suis…

- Je peux aussi te payer pour ça Jairo…

Mes joues repassent aussitôt au rouge. Comment ose-t-il me proposer de l'argent ! D'abord il s'amuse à m'humilier, et maintenant il me propose d'accepter son argent pour… pour… pour être sa pute !!!

- Non ! Je suis pas une cadela !

C'est la première fois que j'ose sortir un gros mot devant lui… Je ne sais même pas où j'ai appris ce mot mais lui ne l'a jamais prononcé devant moi en tout cas. Je lève les yeux pour observer sa réaction. Il vide sa flûte d'un trait, la pose sur la table et me sourit avec un air triomphant…

- C'est bien ce que j'espérais Jairo… Maintenant arrête de rougir comme une virgem et montre-moi ce que tu sais faire…

Sa main droite attrape le torchon posé sur son entrejambe et il l'enlève dans un geste presque théâtral. Je regarde bêtement son bras musclé se plier et se déplier dans le mouvement et il me faut une seconde de plus pour poser les yeux sur ce que le torchon dissimulait… Mãe de Deus !!! Je dois passer instantanément par toutes les couleurs de l'arc-en-ciel avant de revenir au blanc livide… Je sens ma flûte glisser de mes mains et tomber sur le tapis à mes pieds. Monsieur Heitor est assis devant moi, les jambes écartées, et son… son… son sexe est là devant moi… dépassant de sa braguette ouverte, étalé sur son pantalon en toile beige… Je ne sais pas quoi…

- Impressionné par mon galo, Jairo ?

Je ne peux plus bouger d'un centimètre, et je ne peux même pas lui répondre non plus… J'ai l'impression d'être complètement paralysé mais d'avoir envie de courir loin d'ici… Comme dans les cauchemars où on court au ralenti… Je suis plus qu'impressionné, je suis… tétanisé. Son « galo » est juste… je n'en avais jamais vu d'aussi gros… je n'en avais jamais vu d'autre que le mien en vrai… Le sien ressemble à celui des acteurs pornos que je regarde en cachette sur Internet, quand ma mère travaille tard et que je suis seul à la maison et… On dirait un… un serpent… un gros boa qui sort de son trou… ou un gros tuyau d'arrosage en caoutchouc… C'est long et large et ça aurait presque l'air faux si…

- Monsieur-Heitor-por-favor-arrêtez-je-ne-veux-pas-je…

Les mots sont sortis tous seuls d'un seul coup. Je ne sais pas comment j'allais finir cette phrase mais il m'a coupé net en levant sa grosse main en l'air comme un arbitre de foot. Je n'arrive pas à détacher mes yeux de son énorme sexe. Le mien aurait l'air ridicule à côté… Je m'étais jamais senti aussi petit que devant ce… monstre ! Et quand je pense que je lui parle depuis presque un quart d'heure et qu'il était là, sous mes yeux, juste sous le torchon… je…

- Acalma Jairo ! Je sais que tu en as envie ! Et tu le sais aussi… J'ai vu comment tu me regardais depuis quelques mois. Je peux te donner beaucoup de plaisir tu sais Jairo… Mais il faut que tu me fasses confiance pour ça… Tu es prêt à me faire confiance Jairo… ?

Je ne sais pas pourquoi mais je sens aussitôt la panique refluer… Evidemment que je lui fais confiance… Je lui ai toujours fait confiance… Il est tellement… grand et… fort… et… réconfortant. J'ai juste tellement peur de ce qu'il va me demander… et de ce qu'il va me… faire…

- Oui monsieur Heitor je… vous fais confiance… mais… c'est juste que… je… je n'ai jamais…

Je n'y arrive pas… je ne peux pas lui dire… je me sens tellement… rien… et lui il est tellement… tout… et je ne peux pas arrêter de regarder son énorme galo qui pend entre ses cuisses devant moi… C'est comme si je regardais un animal terrifiant qui pourrait me tuer en un seul geste… mais qui est tellement beau que je ne peux pas le lâcher des yeux…

- Tu es puceau Jairo ?

Ça fait horriblement mal de l'entendre prononcer ce mot… Oui je le suis… oui je ne suis pas un homme comme lui, je n'ai jamais… jamais… jamais pénétré aucune femme avec mon galo, mon petit galo comparé au sien… Je ne suis que… Jairo…

- Oui monsieur…

Je l'ai dis… oui je suis… puceau… c'est comme un poids qui s'en va d'un coup… un énorme poids, comme son énorme sexe, et mon énorme envie de m'enfuir en hurlant, mais aussi mon énorme envie de rester et de… de faire ce qu'il veut et… de le laisser me montrer et…

- Très bien Jairo ! Mon anjinho… Je vais devoir y aller tout doucement avec toi alors… Je vais te montrer… Viens ! Lève-toi ! Approche-toi de moi !

Je ne sens plus mes mains ni mes jambes ni quoi que ce soit en fait. Et je ne vois plus rien d'autre que son galo, et je n'entends rien d'autre que sa grosse voix autoritaire de mâle dominant. Mais je me lève presque sans m'en rendre

compte, comme un zombie, comme s'il lui suffisait de dire quelque chose pour que je le fasse. Je fais un pas vers lui et il m'attrape le poignet avec sa grosse main brûlante. Il me tire vers lui et je sens mon cœur battre de plus en plus vite.

 

um 'pequeno  presente' pour Jairo le jour de ses dix huit ans 

    Résultat de recherche d'images pour "homem vestido mostrando um pau enorme"  Mais pas si 'pequeno'que ça  

 J'obéis sans broncher, comme si je n'avais plus aucune volonté. Je m'agenouille sur le tapis, entre ses jambes écartées. Il tient toujours fermement mon poignet et je me sens à la fois prisonnier et rassuré d'être aussi près de lui. Son galo monstrueux n'est plus qu'à quelques dizaines de centimètres de moi et je ne l'ai toujours pas lâché des yeux… Maintenant que je suis plus près je vois toutes les veines qui courent sous sa peau mate… Je sens sa main tirer la mienne vers lui et la poser sur son énorme sexe brûlant...

 

anjinho = petit ange  

Résultat de recherche d'images pour "homem vestido mostrando um pau enorme"- Touche mon galo Jairo, mon

'anjinho'

 … J'ai hâte de commencer ton iniciação…

 

 

- Mets-toi à genoux Jairo. Mon anjinho…(petit ange)       

J'obéis sans broncher, comme si je n'avais plus aucune volonté. Je m'agenouille sur le tapis, entre ses jambes écartées. Il tient toujours fermement mon poignet et je me sens à la fois prisonnier et rassuré d'être aussi près de lui. Son galo monstrueux n'est plus qu'à quelques dizaines de centimètres de moi et je ne l'ai toujours pas lâché des yeux… Maintenant que je suis plus près je vois toutes les veines qui courent sous sa peau mate… Je sens sa main tirer la mienne vers lui et la poser sur son énorme sexe brûlant...

- Touche mon galo Jairo… J'ai hâte de commencer ton iniciação…

A suivre…

Pharaoh90 sur cyrillo

il venait d'avoir dix-huit ans...

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   Image associée um pequeno presente Résultat de recherche d'images pour "homem vestido mostrando um pau enorme" déjà, le Brésil n'est pas exemplaire

  Quand tu te réveilles et que tu te rend compte qu'on est lundi matin... #matrix #movie #film #replique #culte #lambertwilson #matrixreloaded ...tu me l'as ôté de la bouche -lol- ...quand j'allais justement le dire !!! 

 

  NOTES :

tu as dix-huit ans aujourd'hui…Ah oui ! Cette grande nouvelle là… J'avais presque oublié… c'est juste que… c'est tellement… inutile. Je veux dire… ça ne change tellement rien à ma vie… C'est vrai je suis majeur maintenant. Je peux m'acheter de l'alcool, passer le permis et sortir en boîte… Sauf que je n'ai ni le temps ni l'argent pour tout ça…

- Oui, c'est vrai… je n'y pensais plus

 

ORIGINAL :

  https://cyrillo.biz/histoire-gay-2014-Iniciacao-01.php

 

ET AUSSI

https://cyrillo.biz/histoire-gay-2013-Police.php

https://cyrillo.biz/histoire-gay-2013-Police-2.php

  QUEL TALENT !

 


comentaire :

Par PHARAHOH90 - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 10 juillet 3 10 /07 /Juil 14:02

  ouais...chacun fait c'qui lui plaît à condition que ça nous plaise à nous les homophobes ! sinon rien ! hé, attention, t'es sûr que c'est privé ici ?

ouais...et maintenant ? ça a bcp changé ?

 

sauf...que privé c'était privé et qu 'il fallait faire gaffe de ne pas trop éveiller l'attention si on était PD ...

 

 

 

Image associéeDites que vous êtes PD qu'on vous casse !

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Cette augmentation des agressions physiques LGBTphobes de plus de 60% entre 2017 et 2018 est principalement liée aux chiffres du dernier trimestre, avec un cas d'agression par jour en moyenne signalé à SOS Homophobie, peut-on lire dans le rapport. 

 

En tout, en 2018, "SOS Homophobie a recueilli 1.905 témoignages d'actes LGBTphobes", dont les données sont collectées via la ligne d’écoute de l’association, son tchat ou son formulaire en ligne. Une augmentation de 15% par rapport à l’année précédente (1650 témoignages), confirmant une troisième année de hausse consécutive. Les faits les plus courants rapportés par les victimes sont les manifestations de rejet (62%) et les insultes (51%), devant les discriminations (38%), le harcèlement (20%), les menaces (17%) et la diffamation (17%).

Témoignages lesbiens en hausse

Si l’association enregistre une hausse de 42% des signalements de violences contre les lesbiennes, cela est davantage le résultat d'une "prise de parole" des victimes que d'une "augmentation de la lesbophobie", assure SOS Homophobie. "Les témoignages de lesbiennes s'inscrivent assurément dans une vague revendicative", dans la foulée des mouvements #MeToo et #Balancetonporc.

 

Les hommes, qui représentent 66% des témoignages, sont "plus enclins à s'exprimer et à se tourner vers SOS Homophobie pour dénoncer ce qu'ils ont subi" tandis que les femmes (21%) et les personnes trans (5%) ont "tendance à s'autocensurer ou à se tourner vers d'autres associations", souligne le rapport. 

 

Comme chaque année depuis 2010, Internet, à l'origine de 23% des signalements en 2018, reste "le premier lieu d'expression des LGBTphobies", déplore l'association. En tête de liste, Facebook et Twitter, d’où surviennent plus d’un signalement sur deux, font office de "caisse de résonance" de l’homophobie  du quotidien. 

  ouais...et maintenant ? ça a bcp changé ?


 1982-2019 : Chagrin d’amour refait c’qui lui plaît ! Mais nous on aimerait bien ! 

RAPPORT - L'association SOS Homophobie déplore dans un rapport une "année noire" pour les agressions physiques envers les personnes LGBT en 2018. Avec 231 faits signalés, ces agressions bondissent de 66% par rapport à 2017.

 

 

  • Marianne Magazine 28 Jun 2019 MARION GUILBAUD

 UN DISQUE CULTE avec une pochette sublime signée Richard Avedon (Harper’s Bazaar, Life, Vogue). 

En 1982, le monople d’Etat sur la radiodiffusion est brisé, les radios libres explosent et, avec elles, ce refrain :

 

 

« Chacun fait fait fait c’qui lui plaît plaît plaît… » Rythmique funky et paroles crues, ce dialogue insolite entre le brun Grégory Ken (disparu en 1996) et Valli, blonde aussi fraîche qu’américaine, révolutionna la musique hexagonale au point d’être qualifié de premier rap en français. Mais on a parfois oublié que ce titre faisait partie d’un tout. Et ce tout, c’était le premier disque de Chagrin d’amour, au titre éponyme, que l’on peut poser sur nos platines, à l’occasion de cette réédition en vinyl et en digital. Les premières notes afro-pop d’Eden Nouba confirment qu’il mérite une nouvelle vie ! Car, plus que des chansons agglomérées autour d’un tube, il s’agit d’un concept album sexy et barré, imaginé par l’homme de l’ombre de Chagrin d’amour, le parolier Philippe Bourgoin. Ancien scénariste, il décline 15 titres autour du thème d’Adam et Eve, avant et après la pomme. Quinze titres qui empruntent à Gainsbourg (les textes suggestifs susurrés par la voix de fausse ingénue de Valli dans Fais le waou waou !) autant qu’aux musiques noires : ça pulse le funk, le rap, le reggae, l’afrobeat. Pile entre le son des clubs new-yorkais et la sono mondiale du Paris de l’époque : culte.

Chagrin d’Amour, Because.

.années 80 on chantait ça entre jeunes...signe de reconnaissance 

Cinq heures du mat' j'ai des frissons
Je claque des dents et je monte le son
Seul sur le lit dans mes draps bleus froissés
C'est l'insomnie, sommeil cassé
Je perds la tête et mes cigarettes
Sont toutes fumées dans le cendrier
C'est plein d'Kleenex et d'bouteilles vides
J'suis tout seul, tout seul, tout seul
Pendant qu'Boulogne se désespère
J'ai d'quoi m'remplir un dernier verre
Clac fait le verre en tombant sur le lino
J'm'coupe la main en ramassant les morceaux
Je stérilise, les murs qui dansent
L'alcool ça grise et ça commence
(Yeah, yeah, yeah, yeah)
Font les moutons, sur le parquet

Et à c'moment là, qu'est-ce que vous avez fait?
J'crois qu'j'ai r'mis la radio
(Chacun fait, fait, fait c'qui lui plaît, plaît, plaît!)
L'précipice est au bout
(L'précipice on s'en fout, chacun fait, fait, fait c'qui lui plaît, plaît, plaît)
(Toutes les étoiles qui brillent) qu'est-ce qu'elles ont à m'dire, les étoiles?

Six heures du mat' faut qu'j'trouve à boire
Liqueur forte ou café noir
J'brûle un feu rouge, police patrouille
Je serre les fesses, y a rien qui presse
"Quatre, cinq francs ma rose"
Crie le p'tit chose dans le matin rose
J'gare mon ondine sous ses comptines

Ah, qu'est-ce t'as là, qu'est-ce t'as?

Tout près d'une poste y a un p'tit bar
Je pousse la porte et je viens m'asseoir
Trois, quatre patibulaires
Tapent le carton dans les waters
Toute seule au bar dans un coin noir
Une blonde platine sirote sa fine
Elle m'dit "champagne?" je l'accompagne
Elle m'dit "cinquante?" j'lui dis "ça m'tente"

Et vous êtes rentré comment?
Dans ma voiture
Ah, et y avait toujours l'même air à la radio
(Chacun fait, fait, fait c'qui lui plaît, plaît, plaît)
Que d'pression dans les bars
(Personne te pousse à boire, chacun fait, fait, fait c'qui lui plaît, plaît, plaît)
Les gens ont d'ces manies
La décalcomanie!

Sept heures du mat', l'hôtel
Je paie, j'abrège
Je fouille mes poches
Je sais c'est moche

Son sourire rouge, son corps qui bouge
Elle fait glisser son cœur croisé
Sur sa peau bronzée
T'as les bas nylon qui filent sur l'édredon
Ses ongles m'accrochent "tu viens chéri?"
Le lit qui craque et les volets claquent
Seuls dans le lit dans ses draps bleus froissés
Sur sa peau glisse mes doigts glacés
Elle prend la pose, j'pense à autre chose
Ses yeux miroirs renvoient mon regard
Les anges pressés dans ce bleu glacé
Me disent "c'est l'heure" j'leur dis "quelle heure?"

Et vous, vous souvenez vraiment pas de c'qui s'est passé?
Non, vraiment pas
(Chacun fait, fait, fait c'qui lui plaît, plaît, plaît)
Sous mes pieds, y a la terre
(Sous tes pieds, y a l'enfer, chacun fait, fait, fait c'qui lui plaît, plaît, plaît)
Mon Dieu, j'peux même pas jouir
Tant pis pour toi, il faut dormir

Alors j'me sauve dans le matin gris
C'est plein d'cageots et pas d'taxi
Les chats qui s'tapent leurs p'tits ronrons
Des éminences, des p'tits bateaux
Porte d'la Chapelle je m'sens pas belle
Mes bigoudis sont plus en plis
Dans mon studio, j'aspirateur
La vidéo m'fait un peu peur

Madame pipi a des ennuis
Monsieur papa s'fait du tracas
Dans les logis des mal lotis
Bébé vomit sa bouillie

Huit heures du mat' j'ai des frissons
Je claque des dents et je monte le son
Seule sur le lit dans mes draps bleus froissés
C'est l'insomnie, sommeil cassé
Je perds la tête, mes cigarettes
Sont toutes fumées dans le cendrier
C'est plein d'Kleenex et d'bouteilles vides
J'suis toute seule, toute seule, toute seule
Pendant qu'Boulogne se désespère
J'ai d'quoi m'remplir un dernier verre
Clac fait le verre en tombant sur le lino
J'm'coupe la main en ramassant les morceaux

Source: LyricFind

Paroliers : Gerard Maurice Henri Presgurvic / Philippe Jacques Florentin Timbert

 

.

  Marianne

 

 

 

Par SOSHOMOPHOBIE - Publié dans : LUTTES HISTOIRE & REVOLTES DES GAYS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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