Dimanche 18 août 7 18 /08 /Août 04:15

 Image associée Will, as-tu rêvé d'une baise initiatrice et géante ? Eh ben voilà !  (c'est toi qui dis : les souhaits se réalisent quelquefois ! ) 

 

 

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D'après Will sur :

  http://stories.badpuppy.com/A/ArabCock/

 

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À mes 18 ans, pour compléter mes études,mes parents m'ont permis de prendre l'avion pour aller en Arabie Saoudite afin de passer du temps avec un ami de la famille à Al-Hasa. Le capitaine Gregory Ackers était un ancien pilote de l'armée et mon père et lui avaient fait la guerre ensemble pendant la guerre du Golfe. Il vivait maintenant à Al-Hasa et participait à un projet d'ingénierie de plusieurs milliards de dollars approuvé par les États-Unis. En tout cas, toute ma vie, j'avais eu un étrange béguin pour le capitaine Greg. Il semblait toujours me faire sentir tout 'drôle' par la façon dont il me regardait et me traitait. Et maintenant qu’il avait demandé à mes parents de me laisser passer un été avec lui dans une métropole exotique d’Arabie, cela me paraissait trop beau pour être vrai. Al-Hasa est la plus grande oasis du royaume d’Arabie saoudite et est imprégnée d’histoire et du folklore arabes anciens.

Dès mon arrivée, le capitaine Greg s'est dévoué à ma personne, faisant tout son possible pour que je me sente à l'aise et chez moi. Ses grands et beaux yeux bleus me donnaient tout le temps une sorte de vertige, ma tête en était affaiblie, mes genoux fléchissaient et ma gorge se serrait. Sa forme physique et son physique musclé ne semblaient pas être ceux d'un homme aux 40 ans de sa vie. Son apparence, son charme et son magnétisme faisaient que des célébrités telles que George Clooney et Brad Pitt ont l’air ternes et plats à côté de lui. Je ne me souviens pas avoir jamais été aussi heureux. Et même si, dans une conversation informelle, il a affirmé être contre le style de vie gay, il me semble toujours que je n'avais pas tort d'en rester à ces premières  impressions et à cette ambiance magique. Peut-être que c'était juste mon imagination. Je ne me considérais pas comme un «gai», même si j’ai eu quelques contacts secrets avec un copain d’école une ou deux fois. Mais mon fantasme sexuel secret dès l'âge de 12 ans a été de souhaiter faire l'amour avec un gars robuste qui s'appelait Alex, plus âgé que moi et très viril, personnalité intelligente et rebelle, un gars qui aurait pu complètement me dominer et  cependant avait laissé mon cul sage. J'étais donc très heureux d'être seul et proche du Capt Greg, que je présumais pouvoir être, en certaines circonstances, un véritable maître 'd'apprentissage'.

La maison était géniale et, à certaines occasions, il était complètement libre de marcher nu tout autour de moi à travers toute la maison . J'étais profondément embarrassé parce que bandais dur comme du bois instantanément et je ne voulais pas que, le remarquant, il me renvoie chez moi avant même de commencer mon été. Mais en toute occasion, vous pouvez parier votre joli cul que je l'espionnais ; il m'a même surpris en train de le suivre à un moment donné. Ouais, ouf, c'était chaud!
Avant mon arrivée, le capitaine Greg avait commencé à construire une extension au-dessus de son immense garage. Mais il y avait eu quelques petits vols dans le quartier et il avait décidé d'engager un gardien qui reste la nuit sur les lieux jusqu'à la fin des travaux. La société avec laquelle il travaillait avait recommandé un Arabe sain et digne de confiance issu d’une bonne famille vivant dans une province voisine. Et un après-midi environ une semaine après mon arrivée, on sonna à la porte et le Capt Greg me demanda de faire entrer la personne. J'ai ouvert la porte et Hot Damn comme on dit dans les BD adultes, ce fut le coup de foudre.
A ce jeu je n'ai pas fait qu'observer
Image associée Cet homme énorme, au teint noir et à la peau sombre, à l'accent épais, balbutiait qu'il se nommait Turaak et qu'il aimerait parler à l'homme de la maison. Je ne pouvais pas m'empêcher de lorgner l'énorme et bel arabe qui se tenait devant moi. Partant de la tête lisse et rasée, les traits rugueux et intempestifs, le cou de taureau qui se heurtait à ses énormes épaules musclées, d'où descendaient ses gros bras musclés et sa légère panse d'estomac. Il portait une ample chemise en coton et un large pantalon également en coton
En revenant de ma surpise, j'ai finalement pu articuler que M. Ackers était dans le bureau et j'ai ensuite montré le chemin, me retournant pour m'assurer qu'il me suivait. Et, alors que je me retournais, j'ai soudainement remarqué cette énorme bite qui se balançait contre sa jambe de pantalon. Sans m'en rendre compte, je m'arrêtai net et restai bouche bée. J'étais complètement fasciné par la vue. Je me suis senti à la fois étourdi et euphorique. Mon coeur bondissait de joie à cette découverte. Turaak s'arrêta alors, une expression de perplexité sur le visage qui se transforma instantanément en un grand sourire de connivence. Il étendit lentement la main en coquille et soutint son énorme bosse ; tirant le tissu vers le haut, il fit surgir son énorme queue et ses couilles sous l'étoffe.

 

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"Tu t'assures que Turaak obtienne ce nouveau travail, et Turaak te laissera avoir ces nouveaux jouets", murmura le séduisant et sombre Arabe en se caressant l'entrejambe.

Hypnotiquement, je sentis ma tête hocher vigoureusement en signe d'assentiment et le guidai vers le bureau. Je le présentai et commençai rapidement à préparer le terrain, en commentant que sa taille, sa construction et son apparence semblaient à même d'effrayer le plus féroce des voleurs . Et, en même temps que je marchais près de lui, je tentais simultanément et désespérément de cacher  la fureur qui faisait rage dans mon pantalon. Turaak le remarqua  et me lança un clin d'œil coquin plusieurs fois lorsque le capitaine Greg ne regardait pas dans sa direction.

Finalement, le Capt Greg décida que Turaak ferait l'affaire et devait commencer à travailler dès ce soir-là. OUI!

Alors que je marchais dans la maison en compagnie de ce grand arabe de plus de six pieds de haut, j'ai soudainement senti sa main énorme et brûlante sur mon épaule - et quand nous avons atteint le couloir, il m'a arrêté. Prenant ma main dans sa main géante, il la posa sur le gros renflement entre ses jambes.

"Allez, touche-les !  Ils sont à toi maintenant ! tu aimes?" balbutia-t-il doucement.

Je tâtai l'énorme bite semi érigée et les couilles, ma main se réjouit de leur taille phénoménale . Soudain, une porte claqua et Turaak recula nerveusement. Souriant, il jeta un coup d'œil autour de lui.

"On s'amusera ce soir, mon petit garçon", murmura le géant arabe en sortant par la porte latérale de la cuisine.

Je me retournai et montai comme un fou les escaliers menant à ma chambre. En retirant mon pantalon, je commençai à me branler sauvagement . Et trop tôt. J'étais sous tension et tremblant et des fusées explosives de mon sperme volèrent dans les airs partout dans la pièce. Je n'avais jamais ressenti cette excitation auparavant. DINGUE NON ? Et alors que je m'effondrais épuisé sur mon lit, je commençai à évoquer toutes sortes d'images nues de ce géant Arabe et de sa queue de mammouth. Il avait 38 ans et était veuf avec trois enfants. J'en prenais seulement conscience alors qu'il répondait au capitaine Greg. J'avais été trop occupé à l'étudier physiquement depuis sa tête rasée sexy jusqu'à ses énormes pieds alors que sa situation socia!e méritait de la considération . 

 

A cinq heures précises le capitaine Greg et moi avons regardé Turaak remonter l'allée. Nous sommes sortis pour le saluer et lui avons montré où il allait devoir surveiller. Le capitaine Greg a demandé s'il avait mangé. Quand Turaak lui fit voir sa boîte à lunch, Greg lui proposa d'utiliser la kitchenette déjà terminée dans le garage spacieux pour réchauffer sa nourriture et se faire du thé ou du café. Turaak le remercia beaucoup et lui expliqua qu'il était gardien depuis de nombreuses années et qu'il ne fallait pas s'inquiéter, que tout et tout le monde allait être en sécurité. Après avoir suivi quelques instructions élémentaires, le Capt Greg est retourné dans la maison. Je lui ai dit que j'allais rester quelques minutes. Quand il fut à l'abri des regards Turaak me fit signe de le suivre alors qu'il prétendait inspecter le niveau supérieur de l'aménagement du bâtiment. En montant les escaliers, je l'ai suivi jusqu'à ce que nous soyons dans la partie à moitié construite du bâtiment. Les murs étaient en place, mais pas de fenêtres. Turaak se retourna. Face à moi, il a laissé tomber son pantalon et a soulevé sa tunique, me dévoilant son torse viril à la peau sombre. La vue était si impressionnante que j'ai commencé à respirer rapidement comme si j'allais m'évanouir. Tout mon corps tremblait. Largement écarquillés, mes yeux bleus de bébé buvaient avidement dans cette peau sombre et brillante et ce corps à la pilosité généreuse. Je fixai ses énormes pectoraux et ces gros mamelons durs et poilus. Mes yeux s'égarèrent ensuite vers son ventre très musclé recouvert de tourbillons épais et poilus; et ensuite vers son buisson pubien très épais [wow] qui couronnait parfaitement son énorme queue semi-flasque. Et même dans son état un peu flasque, elle était encore proche de 20 cm de long et au moins 12 cm de circonférence. Sous l'énorme queue se nichait une paire de boules en bonne santé de la taille d'un citron. Étourdi, je fixai la masse considérable de chair et de poils prenant conscience  avec excitation du prépuce épais recouvrant la tête massive de cette queue.

"Tu aimes tes nouveaux jouets?", Demanda l'homme aux yeux somnolents alors qu'il poussait sans manière ses bijoux de famille vers moi.

En m'avançant vers lui je dis oui dans le même état qu'un gamin dans un magasin de bonbons. Mon cœur tonnant bruyamment à mes oreilles, je cherchai avec impatience l'énorme queue. C'était si épais, si chaud et si satiné, que mes mains l'ont entouré avec gratitude. J'étais aussi heureux qu'un porc dans sa bauge alors que je serrais avidement le morceau plein de viande massive ; les veines le long de sa hampe étaient presque aussi épaisses qu'un crayon. Je le saisis doucement, tirant lentement vers le bas, découvrant une énorme tête de bite pourpre. Aaaaah, ce doux arôme de prince arabe. Ce parfum enveloppant m'a rendu aussi étourdi qu'un homme qui arrive au paradis. C'était comme si je venais d'inhaler du poppers. C’était l’arôme le plus envoûtant que j’aie jamais expérimenté avant mes dix-huit ans. La tête violacée avait la taille d'une prune et la fente était caverneuse. La main refermée plus loin en arrière, je découvris complètement la tête bulbeuse, alors que je sentais le pouls de l'arbre qui commençait à s'épaissir rapidement. Je le branlais lentement alors que le géant arabe gémissait doucement. «J'ai su que tu m'aimais dès que j'ai vu tes yeux et comme je les vois aujourd'hui. Tes yeux me disent tout".

L'immense morceau de viande raide entre mes doigts a sauté et a brusquement tremblé, et a commencé à palpiter violemment alors que mes mains exploratrices le caressaient amoureusement, l'adorant avec cette envie de luxure qui nous porte en avant alors que c'est totalement nouveau pour nous. L'énorme tuyau Arabe s'allongea et se gonfla jusqu'à ce que je frémisse à sa vue, à la sensation soyeuse et à l'odeur suave qui en émanait. Ma propre bite était si incroyablement dure qu'elle me causait un plaisir inimaginable. Lorsque son pénis eut atteint sa taille maximale, il était aussi épais qu'une canette de bière et long d'au moins 30 cm. En glissant mes mains tremblantes de haut en bas, j'ai remarqué que le sexe monstrueux avait une légère courbe ; la courbe lui donnait un caractère plus majestueux, à la fois royal et humain.

Tandis que je branlais sa viande, l'énorme arabe se baissa et souleva son énorme scrotum dans sa main gauche. Il massa et pressa ses énormes boules velues, en sueur, de la taille d'un citron. Ce qui semblait être d'une force herculéenne avait sa faiblesse : il se tortilla et gémit à la fois du contact de mes mains sur son poteau raide et de son énorme main serrant et titillant son arbre de joie. Un flot alléchant de pré-éjaculatoire commença à jaillir de l'oeil amoureux de cette tête en forme de bulbe. Bientôt, mes branlettes régulières commencaient à provoquer un gémissement continu et régulier, provoqué par le frottement de la paume de ma main qui recouvrait, puis découvrait la grosse tête d'un violet sombre. Merde alors ! c'était chaud !
 
 
Turaak gémissant en arabe de plus en plus fort jusqu'à ce qu'il me saisisse soudain par la nuque, écrasant mon visage et mes lèvres fermement contre son pénis royal. Il a commencé à répandre follement cette rivière de liquide sur mes lèvres, mon nez, mon front et mes joues. Sans hésiter, je commençais à lécher furieusement cette tête monstrueuse, savourant chaque lipée savoureuse. Il m'a ordonné grossièrement de mordre le long de la crête épaisse de son gland et de plonger ma langue dans la fente d'un demi-pouce de son méat.

Ses jambes épaisses et poilues se mirent à trembler tandis que ses gémissements enchaînés et répétés se faisaient plus audibles. Je lui ai gentiment tapoté les cuisses et l'ai averti que le capt Greg pourrait entendre s'il était trop bruyant. D'accord avec moi il se tut, sa main gauche attrapa un de ses gros mamelons bruns et commença à le serrer et à le tirer. Il grimaça en grinçant des dents et ses yeux roulèrent dans sa tête, tandis que, dans le même temps, son sexe déjà monstrueusement érigé semblait s'étirer encore plus loin.

Je branlais vigoureusement cette bite géniale avec les deux mains en le léchant goulûment, l'embrassant et le mordillant. Ce devait être un bon 35 cm dur comme un roc maintenant. Je le jure ! Ses énormes cuisses musclées se gonflèrent de tension. L'odeur masculine et musquée de Turaak ressemblait à quelque chose que je n'avais  jamais eu l'occasion d'apprécier auparavant. Tout son pubis humide et moite exhalait comme un encens exotique enivrant; la tête me tournait, enivrée par le besoin insensé que j'éprouvais de cet homme. Je voulais le posséder; voulais dévorer chaque pouce de son corps majestueux.

J'ai enlevé une main de son énorme queue qui tremblait et je l'ai fait passer à une fesse ronde, ferme et velue. Il relâcha ses muscles tendus et je parcourus lentement de ma main  le buisson épais de ses poils anaux trempés jusqu'à ce que je trouve sa chatte sacrée d'homme musulman, étonné, dans mon  audace inédite, que cela fît partie des 'jouets' qu'il me donnait... Rapidement, il fit bouger ses jambes pour que mes doigts inquisiteurs puissent explorer son trou de balle brûlant et ardant. Doucement, je sondai la rosette plissée jusqu'à ce que mon doigt pénètre lentement dans le tunnel incandescent et brûlant. 
 
 
Il beugla fort, enfonçant son trou contre mon doigt intrusif pendant une seconde ou deux. Puis il tendit la main et sortit mon doigt de son trou torride et le plaça entre ses lèvres épaisses. Il a sucé et léché avec voracité jusqu'à ce que la moitié de ma main soit finalement dans sa bouche. Après avoir sucé et pressé ma main avec sa salive, il l'a ensuite ramenée dans son trou du cul et inséré à nouveau mon doigt. Puis, avec ses instructions, j'ai inséré deux doigts et ainsi de suite, jusqu'à ce que quatre doigts et la moitié de ma main soient fermement intégrés. (Je l'imaginai alors expérimentant le doigtage avec des amis bergers de son entoutage, dans les montagnes)Respirant comme une bête folle de sexe, Turaak attrapa son énorme viande et commença à la branler avec moi, tout en se penchant en arrière et poussant mon bras jusqu'à ce que ma main entière pénètre dans son sphincter qui se referma étroitement autour de mon poignet. Il cria dans une expression animale qui sonnait d'une satisfaction sexuelle inimaginable. Je l'ai rapidement fait taire, mais c'était trop tard. Nous avons tous les deux tremblé de surprise quand nous avons entendu la voix grave du capitaine Greg crier:

"NON MAIS QU'EST-CE QUI SE PASSE ICI ?!"

Le moment fut glacial. Il semblait que le Capt Greg s'était matérialisé comme un hologramme, une magie sortie de nulle part. Alors que nous tournions tous les deux la tête lentement dans la direction de la voix, le capitaine Greg se tenait debout, son pantalon de jogging baissé et sa grosse queue de 22cm se tenant fièrement au garde-à-vous et dégoulinant de précum. Apparemment, avant que je puisse me poser les bonnes questions, le Capt Greg se tenait devant Turaak, les mains étroitement enroulées autour de cette monstrueuse queue.

"AmDamn! C'est un monstre de bite que vous avez là, monsieur Turaak ! "  Siffla le capitaine Greg.

Turaak se tenait là, dans les limbes, au milieu d' une confusion totale mêlée d'une excitation tout aussi totale. Spontanément il  choisit de suivre le chemin de l'excitation. Presque instantanément, sa convoitise  fut ravivée et il commença à pousser sa grosse queue velue en direction de son nouveau patron. Rompant tout protocole, l'ex-pilote de l'armée se laissa tomber à genoux et, se penchant en avant, commença à embrasser, à lécher et à tenter de sucer cette tête monstrueuse. Ma main toujours bloquée par le sphincter de Turaak, j'en vins maintenant à forcer lentement tout mon bras dans son trou-de-cul-de-biche brûlant comme une fournaise..

Le Capt Greg, un homme lourd et dur de 22 cm, saute maintenant et fend l'air, il se lève et se déplace derrière Turaak. Il a soigneusement retiré mon bras et inséré rapidement sa queue rigide et nécessiteuse. Il a brutalement poussé sa verge jusqu'à la garde, puis a commencé à le travailler sauvagement. Le grand homme arabe grognait dans une satisfaction animale face à l'attaque inattendue de sa prostate sensible. Puis, peu à peu, il est retourné au silence, gémissant de façon continue, marquant une satisfaction bestiale alors que le Capt Greg le baisait voracement, bang ! bang ! bang ! comme à la chasse aux canards . L'ancien pilote de l'armée le frappait d'autant plus le musulman que l'arabe, extatique, criait de joie primitive.
 
 
Je suis retourné à l'énorme queue de Turaak et je l'ai branlé aussi fort et aussi vite que possible afin de garder le même rythme dont le capt Greg le nourrissait par derrière. Turaak pressa frénétiquement ses couilles et tira sans pitié ses gros mamelons durs tout en criant des phrases vigoureuses en arabe, tout en poussant ses hanches vers l'avant dans ma main et vers l'arrière dans la queue palpitante du Capt Greg. Des rivières de sueur inondaient le paysage de son beau visage viril ; ses lèvres épaisses étaient tirées en arrière, montrant ses dents parfaitement blanches.

Le capitaine Greg  était également trempé de sueur  alors qu'il martelait avec acharnement le trou du cul béni par Allah de l' Arabe et
faisait sans retenue des allers et venues de sa queue rigide dedans-dehors-
dedans-dehors-
-" Aaarrrgh !!! Je vieeeeeens !" s'écria le  saoudien comme un satyre des montagnes alors que je sentais son énorme queue s'épaissir encore plus et que ses énormes couilles se relevaient et se resserraient sous son énorme arbre. Les énormes veines se gonflèrent incroyablement le long de cette matraque couleur café alors qu'il grognait bruyamment dans sa langue maternelle. Des quantités phénoménales de sperme surgissaient de ce monstre de queue. L'oeil amoureux de son méat sembla s'étirer pour laisser  place à une fontaine crachante constante de sperme Arabe. Mes cheveux, mon oreille droite, mon front, mon nez ont été les premiers à être inondés, mais bientôt l'éjaculation fut guidée directement vers ma bouche affamée et salivante. BAM! Son goût a fait vibrer tout mon corps d'une sensation jamais connue auparavant comme quand j'ai goûté le miel des montagnes du Yémen. La sensation, les sons, les arômes et le goût de cet homme m'ont presque fait perdre connaissance ; cela me semblait trop difficile à gérer pour mon cerveau de 18 ans. Mais dès que j'ai commencé à avaler le jus d'amour grisant qu'il donnait généreusement, je suis rapidement revenu à la pleine conscience. Ma bouche débordait de sa semence quand je commençai à frotter et masser ses jambes velues, musculeuses et humides. Ce sperme coulait sur mon menton et trempait mon corps, même si de puissants éclats volaient encore de sa bite monstrueuse. Dans des brouillards gutturaux bruyants, il laissa échapper le son de son plaisir alors que son énorme corps imbibé de sueur tressaillait et tremblait. Bientôt, le Capt Gregg le rejoignit dans son enthousiasme vocal.

-"Oh ouais! Gaddmit, ouais! Oh Jésus, doux Jésus, je jouis! Je viens, putain! Ouais! Ouais! OUAIS! Merde! Merde! ARGGH! ARGGH! Arggggghhhhhhhhhhh! hurla le Capt Greg en poussant ses hanches contre le cul chaud, en sueur et velu de Turaak; son corps tremblait spasmodiquement, alors qu'il remplissait le veilleur de nuit arabe de son jus d'amour anglo saxon. 
 
 
Merde, je me suis entendu crier, -"Vous les gars, vous êtes sûrement équipés pour affronter une tempête, n'est-ce pas?"

J'ai ensuite regardé le Capt Greg extraire sa tige rigide du trou de Turaak et vaciller pour rattraper son équilibre. Ce gros 22 cm sur lequel j'avais eu tous ces fantasmes était là, à la vue de ma  lubrique inspection ! C'était palpitant comme l'enfer. Sans réfléchir, je l'ai touché et touché encore, émerveillé, puis j'ai enroulé mes doigts dessus et j'ai commencé à le branler lentement.
 - " Là, doucement mon fils; donne-moi juste une minute pour reprendre mon souffle ", a déclaré le Capt Gregg en m'éloignant de sa main paternelle, de sa queue qui s'était montrée si performante.
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J'étais déçu qu'il m'éloignât, mais au moins j'avais enfin eu la chance de toucher la bite du capt Greg. Mon rêve depuis longtemps. Et ma propre queue palpitait toujours beaucoup. Semblant ressentir mon besoin, Turaak attrapa mon jean et le baissa. Puis atteignit ma bite rigide de six pouces. Il a commencé à me branler avec sa main droite géante. Je tendis la main et attrapai son membre encore très dur et nous commencâmes à nous branler à l'unisson. Bientôt, Turaak me souleva et me plaça sur une énorme boîte en carton renversée. Enlevant mon tee-shirt, il commença à sucer mes petits mamelons roses. Hou la la! Cela ne m'était jamais arrivé avant. Jamais je n'aurais pensé que j'aurais un grand homme viril, viril et dur qui me ferait l'amour. J'étais aux limites de l'excitation et j'aurais presque tiré ma charge à ce moment-là. Ses épaisses lèvres sensuelles et humides mouillaient d’une tétine à l’autre; léchant , tétant, câlinant et  suçant. Puis cette langue chaude et salivante a commencé un voyage affamé le long de mon physique adolescent et légèrement poilu vers ma bite tremblante. Oh, mec, il va me faire sauter! Bientôt, ses épaisses lèvres brunes avaient atteint leur but et j'étais raide et érigé. La sensation était géniale. Je commençais à alterner des sortes de sanglots comme un collégien qu'on fait délirer joliment par des caresses et des chatouilles. J'étais venu à Al-Hasa avec l'espoir que le Capt Greg voudrait "s'occuper" de moi  et là, je me faisais aimer par le plus impressionnant des Arabes de tout ce putain de Moyen-Orient. Je sentais la chaleur ardente et douce de ces épaisses lèvres chaudes se refermer autour de mon sexe et de mes couilles. Je frissonnai et poussai rapidement mon corps dans cet orifice enflammé. Mes mains se dirigèrent vers cette tête brillante et rasée, les déplaçant frénétiquement sur ma surface lisse et moite.

Soudainement, j'ai senti le Capt Greg m'embrasser le long de mon dos et sur mes fesses nues. En me plaçant à côté de lui alors que Turaak continuait à me sucer, il commença à mâcher doucement mes fesses de peau au duvet de pêche, se trouvant bientôt devant mon anus virginal serré. D'abord, il a sucé avidement mon trou, puis a essayé de forcer sa langue roulée vers l'intérieur. C’était alors que j’étais si heureux d’avoir pris mon pied presque rien qu'à rgarder cet après-midi, car si j'avais consommé tout à fait, j’aurais déjà tout gâché. Et ce grand fantasme serait fini. Et je voulais prolonger ça jusqu'à la toute dernière minute.

Je me suis finalement assez relaxé pour que le Capt Greg puisse pénétrer complètement dans mon petit sphincter. J'ai cédé avec un petit jappement d'accueil. La langue mouillée et avide allait et venait dans mon trou minuscule avec une telle détermination. Quelle sensation. Oui, capt! Fais le pour moi! Je suis tout à toi, grand papa!

Alors qu'il me suçait la langue, il tendit la main et commença à branler Turaak. Cela a attisé encore plus l'Arabe, ce qui n'a servi qu'à m'enflammer encore plus si cela était possible ! Je me suis senti au bord d'un orgasme très explosif. Mais j'essayais très fort de ne pas orgasmer; Je ne voulais pas venir. Quand je viens, après je veux toujours m'endormir. Et je ne voulais pas m'endormir maintenant. C'était trop génial. Je voulais que ça dure toute la nuit. Mais la langue savamment hardie du Capt Greg ravissait mon trou très sensible de garçon vierge et les lèvres sensuelles de Turaak avec sa langue mouillée et brûlante me firent rapidement trembler et hurler dans une éjaculation ravissante de mon sperme adolescent. Et alors que je me glissais dans la bouche suceuse de Turaak, la langue plus froide de Capt Greg  plongea plus profondément en moi, rendant mon orgasme  cent fois meilleur . Je pressai la tête brillante de Turaak avec mes mains alors que je tenais frénétiquement sa bouche chaude et dévorante contre mon entrejambe, essayant de pousser mon corps entier en lui si je le pouvais. Il semblait que j'étais là, à me donner des coups de pied, à tressauter et à me tortiller tandis qu'un arabe de 38 ans me suçait et qu'un germano- américain de 40 ans me dévorait le cul comme s'il s'agissait d'une portion de chateaubriand à la sauce béarnaise. Mon corps convulsa alors que mon orgasme continuait. Bientôt, le Capt Greg retira soigneusement sa langue affamée et Turaak me reposa doucement sur la boîte en carton alors que ma respiration s'accélérait.
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Dans mon état de félicité post-orgasmique tiède et chaleureuse, au lieu de m'endormir, je revenais lentement à la réalité lorsque j'entendis le capt Greg hurler à voix haute sur le monstrueux coq de Turaak; en le branlant et en léchant sans vergogne l'énorme tête de bite pourpre foncé. Mon cerveau revint à la vigilance totale et je m'approchai rapidement des deux hommes. En m'agenouillant, je saisis l'énorme gourdin du capt Greg et le guidai entre mes lèvres déjà saliveuses. Ma bouche engloutit la grosse bite, la tête de bite imbibée de graisse et aspirée avec voracité. Bon sang, depuis combien de temps ai-je envie de goûter ça, de sentir ça et de sentir encore ça?! Hmmmmmmm, les souhaits parfois se réalisent.

J'ai commencé à oeuvrer sur cette bite royale comme un enfant affamé dans un cornet de frites . Je n'en étais pas là depuis plus d'une minute lorsque le Capt Greg se leva de Turaak et dit: "Fiston, il y a quelque chose que je veux que vous fassiez pendant que vous y êtes." De nulle part,  il  sortit un tube de lubrifiant KY. Je le regardai avec admiration lubrifier son trou de balle, puis ayant compris ce qui allait se passer me tournai vers la bite monstrueuse de Turaak et la lubrifiai généreusement. Puis il tendit le tube de KY à Turaak, qui ,lui, en mit une quantité généreuse dans ses mains et les frotta l'une contre l'autre. Turaak inséra lentement un doigt dans le trou serré du Capt Greg. Le gros doigt masculin entra sans trop de résistance. Bientôt, Turaak avait trois gros doigts qui s’étendaient et travaillaient sérieusement l’anus de l’ex-pilote de l’armée. Ensuite, il inséra un quatrième doigt et quasiment la moitié de sa main géante dans ce four anal. J'ai regardé le visage du capitaine Greg grimacer pendant un court instant puis il a commencé à se tortiller lentement et à pousser son cul en arrière contre l'intrusion titillante.

Turaak croisa son pouce et étira lentement le trou du fessier tandis que sa main géante pénétrait à l'intérieur du beau physique de Greg. Le Capt Greg gémit et gémit encore lorsque la main et le poignet de Turaak se soulevèrent dans ses intérieurs, pouce par pouce. J'ai été étonné quand l'arabe s'est arrêté brusquement et a lentement extrait la main du trou du cul. Et puis, se postant avec soin, il a remplacé la main par sa queue musulmane raide et monstrueuse de 14 pouces. Quand le mandrin fut entré et qu' environ quatre pouces étaient dans la chair du capt Gregg Turaak s'arrêta et le capt Gregg essuya une rivière de sueur qui inondait son front et ses yeux.

Turaak a ensuite procédé à la pénétration prudente jusqu'à ce que huit centimètres de sa bite monstrueuse soient profondément enfoncés dans le cul de l'ancien pilote de l'armée.

J'étais bouche bée à la vue du capitaine Greg qui se tenait devant moi à quatre pattes et en train de se faire baiser. Et pourtant, en même temps, j'étais très, très excité, alors que Turaak commençait à basculer lentement sur les joues culières , en pleines, en sueur et séduisantes du capitaine Greg. Regardant dans ma direction, le capitaine me fit signe de le rejoindre. Avec impatience, j'ai rampé vers lui et rapidement, j'ai tendu la main sous lui et ai saisi son sexe semi-érigé, et j'ai commencé à le sucer goulûment. Bientôt, c'était à nouveau difficile, alors que lui et Turaak redevenaient très bruyants. Je suçais vigoureusement et avançais doucement pour explorer son trou de fesses trop bourré alors que la bite monstrueuse de Turaak rentrait et sortait, la ravageant sans fin.

Une fois encore, Turaak a commencé à beugler en arabe et je savais qu'il était prêt à lancer une autre de ces charges impressionnantes. J'ai eu des démangeaisons et des picotements à l'intérieur à la pensée si c'était le cas. J'ai sucé d'autant plus fort le sexe du Capt Greg et j'ai travaillé ses couilles sans pitié jusqu'à ce que ma bouche soit enfin inondée du sperme acidulé du Capt Greg. Je travaillais et aspirais voracement alors que jet après jet jaillissaient dans ma bouche et dans ma gorge.

J'ai continué à lécher et à sucer sa queue même après qu'il ait fini de juter, jusqu'à ce qu'il me repousse doucement de sa queue devenue hypersensible. Je me levai pour voir Turaak accroupi sur le dos du capt Greg, son beau visage complètement déformé par l'extase alors qu'il remplissait le cul blond de son riche sperme arabe.

Lorsque sa respiration se calma et se régularisa, il sortit lentement sa bite qui avait été enfoncée à au moins de 20 centimètres à l'intérieur du Capt. La bite monstrueuse se retira. Je n'arrivais pas à croire que le meilleur ami et compagnon de guerre de mon père venait de se faire tringler par la plus grosse queue que j'aie jamais vue de ma vie - et qu'il avait aimé ça.
 
 
Inutile de dire que Turaak est devenu partie intégrante de nos vies pour le reste de mon séjour à Al-Hasa. Une fois, j'ai essayé de prendre sa queue gargantuesque dans mon cul, mais la douleur était totalement incroyable et je ne pouvais pas la supporter; et j'ai rapidement rejeté toutes les tentatives futures. Mais il m’a bien baisé entre les cuisses, frottant ce monstre sur mon anus très sensible et très reconnaissant, et j’ai bu des litres de son riche sperme arabe. Et, dans de nombreux moments très heureux, j'ai également baisé Turaak et le Capt Greg . Et, croyez-moi, de retour chez moi ici à Plano, au Texas, il m'est bien difficile de trouver un amant capable de rivaliser avec celui du bon O' Capt Gregg et de son gardien de nuit, Turaak.¤
 
UNE BONNE PARTIE DE MES FANTASMES SE SONT REALISES CEPENDANT AVANT MON RETOUR AU TEXAS Image associée    Image associée Image associée Image associée 
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Par WILL TRADUIT PAR CAVAILLONGAY - Publié dans : AMOURS REVEES-REGRETS-NOSTALGIES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Vendredi 16 août 5 16 /08 /Août 23:28

 

 

Résultat de recherche d'images pour "hombre gay se toma una picha en su culo que le llego de el ano asta el estomago"Tu m'as demandé plusieurs fois si je la voulais, et chaque fois je t'ai répondu oui oui oui  

Résultat de recherche d'images pour "gay pon tu polla larga en mi ano hasta el fondo"bien qu'elle soit très grosse et très longue

 

 Résultat de recherche d'images pour "gay pon tu polla larga en mi ano hasta el fondo"

 

 

   Résultat de recherche d'images pour "gay pon tu polla larga en mi ano hasta el fondo"  ça peut arriver que ce que la bouche n'arrive pas à faire...

 Image associée ... ce soit le cul qui le fasse 

oui !!! comme en te suppliant jamais  personne ne m'avait baisé si longtemps et fait jouir plusieurs fois à la suite     

 

Résultat de recherche d'images pour "hombre gay se toma una picha en su culo que le llego de el ano asta el estomago"

je suis(en) toi,  tu es (en moi)nous sommes la même chair

 si on se cantonne dans le sexe brut et les rencontres au hasard on a qd même de grandes joies, ainsi quand un partenaire vous gratifie de deux éjacs dans le cul à la suite...mais non tu n'as pas mal, attends seulement de l'avoir pris en entier 

  Résultat de recherche d'images pour "hombre gay se toma una picha en su culo que le llego de el ano asta el estomago"

 

même si le plaisir ne se manifeste pas de manière exhubérante chez ce jeune-ci, on voit bien qu'il est comblé...

 

Image associée  le deuxième coup y aura  pas besoin de lube !

   et,  comblé on le serait à moins avec deux éjacs  de son baiseur à la suite

Et même si le gars ne pourrait pas vous doser deux fois à la suite, une vraie fois c'est rudement bon ! 

 

Image associée La tendresse se lit sur ces deux visages confiants 

 

 

 

 

 


commentaire :   

 

 

 

 

Par LULU - Publié dans : CONNAISONS NOS FRERES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Jeudi 15 août 4 15 /08 /Août 15:39

 

      avec Gian Carlo Menotti, un autre étudiant et compositeur, qui devint son amant

 

Publié le 2 juin 2018 par roijoyeux blog

 

"… J’ai décidé de raconter leurs histoires afin de montrer aux personnes qui ont été brimées à cause de leur orientation sexuelle qu’il y a des gays admirables dont l’homosexualité n’a pas empêché la réussite…"

Aujourd’hui je vous propose un article sur Samuel Barber (1910 – 1981), un des plus talentueux compositeurs américains du XXe siècle.

 

 

Nos amours sont déjà contrariées par des gens mal intentionnés quand ce n'est pas la vieillesse ou la maladie. Samuel eût dû mieux tolérer que Gian Carlo fasse quelques digressions et ce dernier aurait dû rester. C'est vrai qu'il n'y a pas d'éternité de l'amour si on ne sait pas transcender. C'est vrai qu'il n'y a pas d'amour heureux. Ca finit toujours mal.

 

 

Samuel Barber, admirable compositeur … gay

Samuel Osborne Barber, né le 9 mars 1910 à West Chester en Pennsylvanie et mort le 23 janvier 1981 à New York, est un compositeur américain, deux fois lauréat du Prix Pulitzer de musique, pour son opéra « Vanessa » (1956-57) et son « Concerto for Piano and Orchestra » (1962). Son œuvre est mélodique et souvent décrite comme néo-romantique.

Parcours musical

Enfant prodige, Samuel Barber commence à composer dès l’âge de 7 ans et écrit un opéra intitulé « The Rose Tree » (qui restera inachevé) alors qu’il n’a que 10 ans. A 14 ans il est étudiant à l’Institut Curtis à Philadelphie avant de devenir élève de l’Académie américaine de Rome en 1935.

L’année suivante, il écrit son quatuor à cordes en si mineur, dont il arrangera plus tard le second mouvement — à la suggestion d’Arturo Toscanini — pour orchestre sous le nom « Adagio for Strings », puis pour chœur sous le nom d’« Agnus Dei », morceau qui deviendra très populaire et lui assurera l’immortalité.

Malheureusement, la popularité de l’« Adagio for strings » a quelque peu occulté le reste de son œuvre. Aucune de ses autres pièces n’a connu le même succès, même si certaines sont régulièrement jouées et enregistrées, notamment « Knoxville » (1947), composition pour soprano et orchestre sur un texte en prose de James Agee. Toutefois, Barber est considéré comme l’un des plus talentueux compositeurs américains du XXe siècle.

Vie privée et homosexualité

Samuel Barber est né dans une famille de notables aisée américano-irlandaise de West Chester en Pennsylvanie. Son père était médecin et sa mère pianiste. Il commença à composer sérieusement à l’adolescence et rencontra alors qu’il était étudiant au « Curtis Institute of Music » (Conservatoire de Philadelphie) Gian Carlo Menotti, un autre étudiant, qui devint son amant, puis son partenaire de vie sentimentale et professionnelle.

Alors qu’ils étaient étudiants au « Curtis Institute », les deux garçons étaient inséparables et Menotti passait beaucoup de temps dans la maison de famille des Barber à West Chester. Après avoir obtenu leurs diplômes en 1933, les deux hommes achetèrent une maison ensemble à Mount Kisco, dans l’état de New York, qu’ils baptisèrent « Capricorn » (comme le concerto pour hautbois, flûte et cordes de Barber) et partagèrent pendant près de quarante ans.

La maison comportait deux studios indépendants, un pour chacun des compositeurs, connectée par une pièce centrale qui servait de séjour et pièce de réception, et était entourée d’un magnifique parc à l’abri des regards.

Avec les décennies, Samuel Barber vieillissant, le désir de Menotti pour lui s’émoussa; Barber fut humilié de voir son compagnon s’engager dans des liaisons avec des hommes jusqu’à deux fois plus jeunes que lui, et les anciens amants se séparèrent bientôt.

Dans ses dernières années, Samuel Barber était dépressif et alcoolique. Il mourut d’un cancer le 23 janvier 1981 à New York à l’âge de 70 ans. Il repose dans le cimetière Oaklands de West Chester aux côtés de ses parents et de sa soeur bienaimée.

A côté de la tombe de Samuel Barber, il y avait un emplacement vide réservé à Menotti mais lorsque celui-ci mourut en 2007 à l’âge de 95 ans, il fut enterré en Ecosse.

Postérité

Le bouleversant « Adagio for Strings » restera le morceau le plus célèbre de Samuel Barber : depuis 1945 il est souvent utilisé pour les funérailles d’État (Franklin Delano Roosevelt, Princesse Grace de Monaco, Albert Einstein etc …)

On peut aussi l’entendre, par exemple, dans la scène finale du film « Elephant Man » de David Lynch. Il fut repris et arrangé par Georges Delerue comme thème principal du film « Platoon » d’Oliver Stone sur la Guerre du Vietnam.  

wikipedia + Gay Influence – résumé et traduit de l’anglais par roijoyeux

… Revenez pour de nouvelles enquêtes, prochainement sur roijoyeux !!! … Et vous pouvez lire l’histoire des autres héros joyeux ici

 

D’innombrables prodiges du monde du spectacle, sportifs exceptionnels, rois, capitaines d’industrie, scientifiques, politiciens, chefs cuisiniers et autres héros – sont gays ou bisexuels…

REPOSE EN PAIX FRERE SAMUEL

https://www.youtube.com/watch?v=6n9EyT1R3l0  le génial MISERERE  de ALLEGRI 1688

https://roijoyeux.wordpress.com/2018/06/02/joyeux-samuel-barber/ 

https://www.youtube.com/watch?v=ECQeLQURNuw PLATOON 7mn

 

Par SAMUEL BARBER PAR ROIJOYEUX - Publié dans : CONNAISONS NOS FRERES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 14 août 3 14 /08 /Août 13:54

 Résultat de recherche d'images pour "porn club libertin 1 femme et un passif se prennent côte à côte chacun des grosses bites"je pense à toute ma cohorte d'amants

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Résultat de recherche d'images pour "porn gif each 1 woman takes monstrous cock in her vagina"autant je me les prenais grosses en continu,

 

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Résultat de recherche d'images pour "porn foursome gif each 1 bottom 1 woman take monstrous cocks side by side"   autant lui de son côté il se prenait une folie de bites plus grosses les unes que les autres   

 

 

Ce désir inextinguible de vouloir être comblé(e) par un membre bien tendu, je l'ai retrouvé chez un homme en discutant avec un gay passif qui se prenait des bites en ma compagnie dans un club libertin. Comme à moi il lui fallait un membre de taille suffisante à le faire jouir. Si une femme me dit que la taille n'est pas importante, c'est son problème, en ce qui me concerne une bite doit avoir une taille correcte en longueur et en diamètre.

 

 

 

Posté 17-10-2014 - 13:50 sur Voissa

Je suis actuellement en traitement pour tenter de réduire ma libido exacerbée. En effet je suis ce que l'on peut appeler une nymphomane.
Hier,suite à la grande modification de nos conditions de travail, nous avons organiser entre les anciens une petite fête. Nous nous sommes réunis chez Gérard, ah oui au fait quand je parle d'ancien nous sommes tous les 5 des quinquagénaires et acteurs depuis les débuts de la boite. Donc nous étions chez Gérard, beau gosse, mais un seul défaut, en ce qui me concerne, il n'aime pas les femmes. Merde merde et remerde, il est pourtant mignon et je l'adore mon ami Gérard. Enfin bref, nous étions chez lui pour faire la fête, car les anciens ont fait ce qu'il fallait pour que le petit (con) de nouveau chef soit remis à sa place d'une manière assez dure de la part de la patronne ( qui est Annie, si vous ne connaissez pas Annie, aller lire mes histoires précédentes). On se retrouve ensemble, chacun amène ce qu'il veut, à manger et à boire. Je suis un peu déprimée suite à ce traitement pour vaincre ma nymphomanie.
La soirée se passe bien, tout le monde mange et boit, et moi je mange et je bois bois bois ! Donc ce qui arrive dans ces temps là, je suis un peu pompette. Pas ivre, je ne suis pas une dépravée de la boisson, mais bien gaie !!
Enfin gaie car gay c'est plutôt Gérard !
Les 3 collègues partent à pieds, elles n'habitent pas loin. Mais moi... il faut que je rentre en voiture ???? Avec ce que j'ai bu ?
Non ce n'est pas raisonnable ! « Gérard, je reste chez toi, je ne peux pas conduire dans cet état ! », Silence... « Eh oh Gérard ??? »
« Oui mais tu vas coucher où ? »
« Mais avec toi dans ton lit ! » Gérard a un petit appartement, un petit chez soi vaut mieux qu'un grand chez les autres, alors un seul lit... Ce qui n'est pas me poser u problème.
Je vais à la salle de bain prendre une douche un peu fraîche pour que l'effet de l'alcool s'estompe un peu. Gérard est stupéfait, je n'ai même pas attendu sa réponse pour prendre procession des lieux. C'est maintenant que je me rends compte que je suis un peu sans gêne... Bon c'est chez mon copain Gérard, alors ce n'est pas pareil, on se connaît depuis longtemps.
Je suis sous la douche, je n'ai pas pris mon médoc 'antibaise'. Je me caresse le corps, quoi de plus sensuel qu'une douche pour se faire des câlineries ? Mes mains montent et descendent le long de mon corps, et le gel douche aidant la glisse, mes doigts viennent se plaquer sur mon sexe, mon index bien habitué glisse le long de ma fente qui sans attendre s'ouvre sous la pression de ce doigt curieux. Il pénètre ma féminité, et je ne peux retenir un petit gémissement. Ma main gauche sur ma poitrine palpe mes seins dont les tétons qui pointent ne peuvent rien cacher à mon envie de me faire prendre maintenant. Mon corps ondule sous les caresses, les yeux fermés pour ne rien rater de ce moment si doux, je pense à toute ma cohorte d'amants qui m'ont fait tellement de bien ces dernières années...J'arrive même à jouir !
Je me reprends, mes idées redeviennent claires. « Gérard tu me passes une serviette de toilette » la tête qui passe par la porte de la douche je crie tout ce que je peux, « Oui mais enfin pas si fort je vais avoir des problèmes avec les voisins ! »
Gérard me passe une serviette, me voit nue (Eh bien oui tu prends une douche habillée toi?) je ne cache rien de mon corps. La nudité ne me gêne pas, mais Gérard est un peu choqué... « Mais je croyais que tu étais homo ? Je ne suis qu'une femme, je ne suis pas un mec ! » Je me sèche, me dirige vers le salon le corps enveloppé dans la serviette un peu courte qui ne peut cacher en même temps mes seins et mon sexe. En arrivant dans le salon le sexe en vue, Gérard boit un verre, un Armagnac. Il ne se prive de rien « Tu pourrais au moins m'en proposer un !! », Je m'assieds sur le canapé, les cuisses à peine serrées ou à peine écartées, a ce niveau tout n'est qu'une question d'interprétation. Je me ne laisse aller dans le fond du canapé, prends le verre (pas un demi verre) que me tend Gérard, et me laisse aller. Que cela fait du bien de se laisser aller.
Nous discutons, mes cuisses appétissantes légèrement ouvertes, laissent mon sexe s'épanouir de bonheur. Je ressens le bien être dans mon bas ventre, et mon sexe s'ouvre sans effort. Je suis excitée comme une chienne. Encore et encore, sans arrêt, cette sensation de vouloir être comblée par un membre bien tendu. Un membre de taille suffisante à me faire jouir. Si une femme me dit que la taille n'est pas importante, c'est son problème, en ce qui me concerne un bite doit avoir une taille correcte en longueur et en diamètre. Je suis à deux doigts (c'est cas de le dire) de me faire une caresse bien appliquée. Je me tient. Pas facile. Je pense à autre chose.
Gérard se rend bien compte de mon état, et « Bon et bien maintenant je vais aller prendre ma douche moi aussi » il me laisse là seule dans le salon la chatte à l'aire et excitée comme une puce.
J'entends l'eau de la douche qui coule, discrètement je me lève et va voir. Je sais on dit un voyeur, eh bien maintenant on peut dire une voyeuse... La vite masque son corps mais je devine les formes, et oh mais, il n'est pas si mal que ça Mon Gérard, enfin ce n'est pas « mon ». Avant qu'il ne rende compte de quoi que se soit, je retourne m’asseoir au salon...
Il revient en pyjama, short et tee shirt, très sexy !!!! Et me tends un ensemble plus adapté que la simple serviette qui me couvre à moitié. « Je ne prends que le dessus, j'ai l'habitude de dormir nue, alors … le dessus me suffit ». Devant lui et sans crier gare, je pose la serviette et enfile le tee shirt, qui ne cache rien de plus. Gérard se précipite sur les volets, et les ferme. Les voisins se sont rincé l’œil, s'ils sont encore éveillés.
Il va ranger un peu ce qui traîne par ci par là. Et moi comme une femme entretenue je vais me mettre au lit. Je suis les fesses nues dans le lit d'un mec mignon comme tout, qui n'aime que les hommes et évidemment cette pensée me met dans un état pas possible. Vraiment impossible de me défaire de cette addiction au sexe !
Quelques temps après, à peine assoupie, j'entends Gérard qui vient se coucher. Pour ne pas être directement en contact avec moi, il se couche sur le lit. Le drap sépare nos corps. Je n'y tiens plus, cela fait une demi-heure que nous sommes tous les deux dans le même lit et je sens bien qu'en moi la pression monte, ma petite chatte est toute excitée, mes seins sont gonflés et ma respiration s'accélère. Je m’approche de mon ami, passe ma main sur son corps. Je caresse ce corps à moitié endormi. « Mais que fais tu ?? Non pas avec toi, pas maintenant pas comme ça » peu m'importe ce qu'il dit je le tiens et ne le lâche plus. Ma main droite arrive directement sur son sexe déjà bien en forme. Oh lala mais c'est qu'il est bien membré !!! Alors que l'on ne dise plus maintenant qu'un homme gay ne peut aimer que des hommes, ce n'est pas possible. Gérard qui doit être le plus pédé des homos que je connaisse, il est en train de bander comme un fou sous ma main. Je le tourne sur le dos, Je m'empatrouille dans le drap. Après m'être débattue avec ce satané drap, me voilà sur lui son sexe bien droit sous ma chatte. Je frotte mon minou sur cette colonne de chair. Et je sens que lui aussi a une folle envie de faire l'amour. Je pense que l'alcool nous a bien aidés, enfin lui en ce qui me concerne je n'ai pas besoin de ça, c'est un état permanent chez moi. Juste le temps pour qu'il fouille dans le tiroir de la table de nuit pour prendre un préservatif, et je suis empalée sur ce monumental sexe. J'ai une sensation de bien être. Sa présence en moi m’apaise. J'ondule sur son corps et va chercher au plus profond de moi cette sensation d'être une femme. Nous avons joui tous les deux en même temps. Ce fût très bon, d'autant plus que la nuit ne faisait que commencer. Quatre fois en une nuit. Le pauvre ( enfin si je peux dire) n'en peut plus. Il faut aller au travail. Je passe chez moi avant pour me refaire...
Une fois au travail, voilà Jannie qui a trouvé sa soirée bien banale et dit avoir trop bu : ...« Mais alors ma chérie, tu tiens plus l'alcool ! » Si tu savais comment on a fini la soirée avec Gérard...

 

Résultat de recherche d'images pour "porn foursome gif each 1 bottom 1 woman take monstrous cocks side by side" après, au travail, on en parle entre nous...

Par ANA LA BIENHEUREUSE - Publié dans : ELLES ET NOUS & VIDEOS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 11 août 7 11 /08 /Août 22:47

 Demandez à notre ami Michel de Yaoundé :

 

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  De notre envoyé spécial au Cameroun. - À Yaoundé, comme dans de nombreuses capitales d’Afrique de l’Ouest, le centre-ville est parsemé de bâtiments gouvernementaux, chaque ministère, sous-ministère ou direction déléguée affichant fièrement sa raison d’être par le truchement d’un panneau apposé devant l’entrée. Les fonctionnaires en costume-cravate malgré la chaleur étouffante une grande partie de l’année se fraient chaque matin un chemin, à pied ou en taxi, parmi les ornières et les vendeurs ambulants, vers leur poste. La grande artère du centre, le boulevard du 20-Mai comprend, comme la plupart des villes camerounaises, un espace de parade militaire encadré d’estrades pour accueillir le président et son gouvernement.

 

 le pays est aux mains des "nouveaux blancs"

De notre envoyé spécial au Cameroun. - À Yaoundé, comme dans de nombreuses capitales d’Afrique de l’Ouest, le centre-ville est parsemé de bâtiments gouvernementaux, chaque ministère, sous-ministère ou direction déléguée affichant fièrement sa raison d’être par le truchement d’un panneau apposé devant l’entrée. Les fonctionnaires en costume-cravate malgré la chaleur étouffante une grande partie de l’année se fraient chaque matin un chemin, à pied ou en taxi, parmi les ornières et les vendeurs ambulants, vers leur poste. La grande artère du centre, le boulevard du 20-Mai comprend, comme la plupart des villes camerounaises, un espace de parade militaire encadré d’estrades pour accueillir le président et son gouvernement.

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Prohibée, la prostitution des hommes existe pourtant au Cameroun. A Douala, la capitale administrative, ces travailleurs du sexe ne se protègent pas toujours. Enquête.  Doualaau lieu-dit carrefour Elf le 13 novembre 2011. Il est 20 heures et l’endroit, qui a été rebaptisé “carrefour J’ai-raté-ma-vie”, est fréquenté par des travailleurs du sexe, l’expression politiquement correcte qui désigne les prostituées.

Ici, on aperçoit des filles à perte de vue. Certaines sont debout dans la pénombre et causent entre elles. D’autres sont assises dans des buvettes et sirotent, en attendant leurs clients. Parmi ces filles, Aurélie, âgée de 26 ans. Un client arrive à pied, parle à peine une minute avec elle et ils s’en vont. Environ vingt minutes plus tard Aurélie revient, le sourire aux lèvres. “La soirée commence bien !” s’exclame-t-elle. Aurélie explique que le client est son “asso”, c’est-à-dire un habitué. Il lui a donné 3 500 FCFA [environ 5 euros] parce qu’il était content, soit 1 500 FCFA [environ 2 euros] de plus que le tarif habituel. Plus tard, Aurélie révèle qu’elle n’utilise pas de préservatifs avec ses “assos”. Autre révélation : Aurélie s’appelle en réalité Bertrand. C’est un travesti. Il a une perruque harmonieusement coiffée. Son visage est maquillé : du fond de teint, du rouge à lèvres, du fard à paupières, des faux cils. Il a les ongles mi-longs, bien manucurés, et arbore un tricot qui moule une généreuse poitrine que bien des filles lui envieraient, un pantalon tout aussi moulant et des talons hauts. Mais, en fait, ces seins sont des préservatifs remplis d’eau et habilement fixés dans un soutien-gorge. Un cache-sexe aplatit ses organes génitaux et l’illusion est parfaite, surtout la nuit.

Des “filles” comme Aurélie sont nombreuses à Douala. En fait, la prostitution masculine est un phénomène peu connu, qui existe pourtant au Cameroun depuis plus d’une dizaine d’années et qui est en “constante évolution”, d’après Adonis Tchoudja, le président d’Aids-Acodev, une association qui lutte contre le sida auprès des travailleurs du sexe et des enfants de la rue depuis trois ans. D’après le Plan stratégique national de lutte contre le sida, “l’effectif total des travailleurs du sexe varie selon les sources”. Il cite, par exemple, le rapport de cartographie des travailleurs du sexe publié en 2008, qui parle de “18 000 personnes (hommes et femmes)”. Il n’y a pas encore d’études qui portent uniquement sur les travailleurs du sexe masculins. Le plan stratégique de cette institution, placée sous l’autorité du ministère de la Santé publique, indique aussi que les travailleurs du sexe sont “des populations à haut risque d’exposition au VIH [parce qu’ils peuvent] jouer un rôle disséminateur de l’infection vers la population générale, à cause du multipartenariat sexuel qui les caractérise [et du fait qu’ils n’utilisent] pas systématiquement le préservatif”.

Ce rapport révèle également que seulement 64 % des hommes interrogés lors d’une enquête démographique et de santé ont déclaré utiliser des préservatifs au cours des rapports avec des travailleurs du sexe. Adonis Tchoudja est plus modéré. Il affirme qu’environ 50 % seulement des travailleurs du sexe se protègent. Pour ce qui est des travailleurs masculins, ils vont aussi bien avec des hommes qu’avec des femmes. “Bien que ce soit interdit, il est clair qu’il y a des hommes qui ont des rapports sexuels avec des hommes, et ces hommes ne sont pas suffisamment sensibilisés. Les spots publicitaires à la télévision ne montrant que des couples hétérosexuels, ils ont l’impression que le sida ne les concerne pas”, révèle-t-il. D’où son appel à la prise en compte de cette catégorie sociale dans la conception des messages de sensibilisation sur le VIH-sida.

Ce vœu pourrait prendre du temps avant de se réaliser. Une source du Comité national de lutte contre le sida explique : “La prostitution est interdite au Cameroun, et aussi les rapports sexuels entre personnes de même sexe. Inclure ces deux groupes dans des campagnes de sensibilisation, par exemple dans des spots publicitaires, serait une façon de légitimer ces pratiques. Personne n’est prêt à prendre ce risque.”

 

Image associée

 

Big Mami est le pseudonyme utilisé par un garçon de 27 ans, travailleur du sexe depuis environ sept ans. Ses clients sont aussi bien des hommes que des femmes, “des veuves, des femmes âgées qui ne sont pas satisfaites par les hommes de leur génération”, révèle-t-il. Il avoue qu’il n’utilise pas systématiquement de préservatifs. “Quand quelqu’un me plaît, s’il veut utiliser des préservatifs, on le fait ; s’il ne veut pas, on ne les utilise pas. Mais quand je n’aime pas une personne j’utilise toujours le préservatif”, explique-t-il. Quand on lui demande s’il n’a pas peur d’attraper le sida, il répond : “Dès qu’on a fini les rapports, je me nettoie et ça va.” En fait, beaucoup d’idées préconçues parmi les travailleurs du sexe sont de nature à augmenter la propagation du sida. Certains pensent qu’uriner et faire sa toilette immédiatement à la fin du rapport sexuel permet d’évacuer les microbes et met ainsi à l’abri des maladies. Des garçons ne voient pas la nécessité d’utiliser le préservatif, car “les hommes n’attrapent pas de grossesse”. Ils se fient également à l’apparence physique de leurs clients et ont encore l’impression que les malades du sida sont chétifs, avec des boutons sur le corps.

 

  Image associéeouais ça pourrait bien faire mal ! 

 

Big Mami n’est pas un travesti et ne travaille pas au carrefour Elf, mais plutôt dans des snack-bars et des boîtes de nuit. D’ailleurs, les travailleurs du sexe du carrefour Elf ne sont que la face visible de la prostitution à Douala. Ils travaillent discrètement et on les rencontre, par exemple, dans un snack-bar qui porte le nom d’un réseau social, situé à Ndogbong, près de la zone universitaire.Ici, ces travailleurs sont pour la plupart des étudiants. Ce 13 novembre, Gilles, qui se fait appeler Njango, et ses collègues sont attablés et causent. Il est étudiant en deuxième année d’histoire, et c’est l’argent qu’il gagne dans ce bar qui paye ses études et ses factures. Environ une heure après son arrivée, un monsieur l’invite à sa table, lui offre à boire et, après quelques mots, ils s’apprêtent à partir. Approché pendant qu’il règle sa facture, le monsieur explique qu’“il cherche juste quelqu’un pour [lui] montrer la ville car [il] a peur de se perdre". 

 


 Intro.....hummmm j'adore  ! 

Moi vous savez je ferais plutôt comme Greg, je trace, je me casse,,,je ne peux pas, à moi tt seul, soulager la misère du monde entier, mais, par contre, je ne supporte pas qu'on me fasse l'amour parce qu'on a faim. J'aurais honte, alors je lâche un petit billet et je me sauve. C'était peut-être l'intention de Greg, je sais pas...

 

 

https://cyrillo.biz/histoire-gay-2019_Ibrahim.php

Greg de Marseille trouve un camerounais, Ibrahim...à son goût -lol- .

Moi, c’est Greg, 46 ans, 174, brun, je vis seul à Marseille.
Un soir, en rentrant à pied chez moi, après une soirée bien arrosée. Je croise un jeune black.
Il avait un sac à dos, il faisait 1,80 m mince, très fonce est plus tôt imberbe.
Il me fit un large sourire, et me dit :

 

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- Eh, msieur, vous n’auriez pas une pièce ou billet pour manger ?
D’habitude, je trace, mais il était bomec, je lui dis :
- Écoute, je veux bien te payer à manger, on va au kébab à côté ?
Il me dit ; OK, c’est gentil msieur, moi c’est Ibrahim.
- Moi c’est Greg.

On commande, on s’installe un peu à l’écart.
- Dis-moi Ibrahim, tu fais quoi dans le coin ?
- Ben, je viens du Cameroun, je suis arrivé à Marseille avec le train et je veux aller voir mon cousin à Bruxelles.
- Ah oui et avec quel argent ?.
- Ben, je cherche du boulot, et un logement !
- Ah oui, es-tu dors ou ce soir ?
- Ben, dans la rue
- Bon écoute, je peux te propose mon canapé pour cette nuit.
- Ah oui, vous très gentil.

Après le repas, on alla chez moi.
Il posa ses affaires, me demanda, s’il pouvait prendre une douche.
Je lui montrai la salle de bain, lui sortit une serviette.
Après 20 min dans la salle de bain, il revint avec mon peignoir.
Il se mit à côté de moi sur le canapé, il me dit ;
Tu sais, très gentil, il s’approcha de moi et m’embrassa, je fus choqué et agréablement surpris.
Il prit ma main, et la posa sur la bite à moitié molle, mais d’une bonne taille.
Il me dit : suce-moi, je n’ai pas giclé depuis longtemps.
Je pris son sexe en bouche et commençai à le sucer.
Je lui léchai le gland, lui bouffa les couilles.

Très vite, sa bite fit bien 21 x 5, elle me remplit bien la bouche.
Je le suçai comme ça pendant près d’une heure, puis il prit ma tête entre ses mains, et m’imposa le rythme.
Je sentis sa bite gonfler, sa respiration s’accélère, il gémit et ilbm’envoya plusieurs jets de sperme dans la bouche.
J’avalai tout, et il enleva ces mains et je lui nettoyai sa bite.
Il me dit ; alors ça t’a plu ? Je dors avec toi ?
Je lui dis OK !
Ibrahim : tu sais, tu suces bien, en plus, j’ai bien senti que tu aimes ça.
Oui, faut dire que tu es bomec et bien équipé.

Pour la suite, demandez-moi.
Je cherche toujours des beurs ou blacks, alors écris-moi.

 

 

 

 

 

Par Bamba - Publié dans : ESCORTS-PROSTITUES-ACTEURS X pour le fric - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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