Vendredi 26 juillet 5 26 /07 /Juil 07:11

...et ce que je ressens à votre égard, mes frères gay et bi...merci ! ça me donne envie de m'exprimer encore !  et que vous me fassiez quelques coms' 

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Kevin, Nico et moi

Ça me revient soudain que c’est Kevin, dit Kéké pour les potes, qui m’a baisé ce matin, après M. Santos, mais avant M.Blanc. Il a l’air vraiment heureux de me voir.

Je suis dans la piscine entre mes longueurs de mise en forme, je me repose un court instant pour souffler, et, soudain, c’est un cataclysme en quelque sorte quand il y a ce bel — et stupide — boulet de canon dans la piscine juste à côté de moi. Je cesse d’être en colère dès que je vois que le projectile humain c’est Kéké, qui m’a baisé ce matin, après M. Santos, mais avant M. Blanc. Vous me jugerez mal si vous pensez que je suis pute. Kéké a l’air vraiment heureux de me voir. Il dit « Alors, mon pote ! » Et il sautille un peu, ce qui est mignon. Je peux voir ses pectoraux sautiller et ils ont fière allure. L’eau coule de sa petite barbe et il secoue la tête comme un chien heureux. Il est tellement mignon pour un mec. Il m’attrape sous l’eau, comme s’il avait vraiment besoin de me toucher et affirmer un droit de propriété. Il ne me saisit pas ou quoi que ce soit, mais il me fait du « rentre-dedans » et me caresse, et tout se passe très vite, mais je peux en déduire que c’est parce qu’il est tout excité et a déjà oublié qu’il s’est vidé les couillles en moi ce mat’, et c’est vraiment amusant.

Soudain il y a une autre énorme éclaboussure et un gars canon a sauté juste derrière moi. Il y a aussi une balle qui flotte dans l’eau. Le gars se lève, secoue la tête comme un fou, c’est un grand gars, comme Kevin, mais une version plus grande encore. Il a une sorte de barbe en désordre, à la mode, et je peux d’emblée dire qu’il a un corps de taureau de premier ordre, avec de grandes épaules, des pectoraux généreux et de beaux bras. Je ne peux pas en dire plus, à part un sourire vraiment très amical et fou. « Hé, dit Kéké, c’est Nicolas (Nico) qui m’agresse ! ».

Kevin dit à Nico en rigolant : « Mec, j’étais pas tout à fait prêt. »

« Je sais, la traitrise est ma première qualité » dit Nico. Et il rigole.

Ils me sourient et rigolent tous les deux. Ils sont vraiment sympathiques, mais je ne suis pas sûr de ce qui se passe. Puis Nico dit : « Tu veux jouer au ballon ? »

Un panneau de mini-basket est installé sur le bord de la piscine. Avant que je puisse dire, « Bien sûr ! » ou « Non, merci ! » —, Nicolas essaie déjà de faire passer le ballon dans le cerceau.

Il est évidemment bien meilleur que moi au basket, mais moi c’est en natation que je me distingue ! – lol —, Je récupère le rebond et frappe le panneau arrière, mais il rebondit, puis Kéké est sur moi. Il récupère le ballon et tire, mais pas avant qu’il ne m’ait fait une caresse furtive à tâtons. C’est son audace que j’aime ! le sport, et en particulier le basket, autorise les attouchements « en douce'et les confidences coquines…

« C’est pas juste ! » je crie.
– » C’est quoi ? Qu’est-ce que tu veux dire par « pas juste » ? dit Kéké absolument ! ce n’est pas juste ! Vous êtes tous les deux plus grands que moi pour commencer, pourquoi je pourrais pas être plus grand que vous ? « Et on éclate de rire.
Nico rit et nous charge, presque à nous bousculer.
“Repasse-moi la balle !” Dis-je à Kev ». Il le fait et, pour la première fois, je marque un panier.
« Super ! » Crie Kevin, « AhhOooOuaishhhhh! »
Au lieu d’aller chercher le ballon, Nico nous attaque et nous tombons. Et je me retrouve à nouveau serré dans ses bras en même temps. Je suis en quelque sorte pris en sandwich entre eux et je sens que je mouillerais mon Speedo si j’étais pas déjà dans la flotte. Nous rentrons tous en riant et Kevin me demande : « ça va p’tite tête ?

Je hoche la tête — « Bien sûr ! »

- « Tu passes un bon moment ? »

- « Ouais, ouais. »

Kéké regarde Nico et dit : « Tu veux pas aller nous chercher des boissons ? »

Nico a l’air confus pendant une fraction de seconde, puis dit : « Ah oh euh OK, bien sûr ! » Kev' doit vouloir que nous restions seuls un moment.
Kevin nage après le ballon, puis nous nous faisons face.

Il dit : « Je veux… que tu saches quelque chose… » Il fait une pause, attrape mon regard et je le regarde. “Je connais Nico depuis toujours et il est dans le même « bateau » que nous. Sur le même bateau, ah ah, rit-il. ‘Et - et quand nous nous sommes rencontrés aujourd’hui, il s’est rendu compte qu’il devait y avoir une raison pour laquelle j’étais… de si bonne humeur. Alors moi je le lui dis :
“tu venais de me baiser, voilà tout ! »

puis, brusquant les choses :

- “Tu veux que je quoi ? au juste ? ».

–” C’est un bon gars, au départ hétéro. » dit-il évasivement

- ‘Tu veux dire qu’il n’a pas aimé, euh l’énormité de tes… « caprices » ?’

‘Un peu au début, puis j’ai continué à lui montrer à quel point ce que nous

faisions était génial et il a eu…, eh bien, disons, maintenant il est vraiment curieux de tout.

– « C’est bien l’impression que ça m’a fait » dis-je, et, tout en jouant, mon petit trou se contracte à la pensée que Kéké lui a fait ce qu’il m’a fait à moi aussi si vous voyez ce que je veux dire ! – lol —.

–’Mon avis est que tout homme peut évoluer, je crois qu’il est (ah laissez-moi repenser à nos découvertes et nos bons moments avec Kev)
- « Toi, tu l’aides, à s’éclater, non ? Et surtout tu lui montres à quel point c’est bon. Tu sais faire ! » Kevin essaie de paraitre inquiet. « J’insiste : il a vraiment, vraiment besoin de s’envoyer en l’air. »

– « OK, » ‘mais ce n’est pas mon problème ! “je souris,

Il semble confus et déçu. Il me dit : « Je pensais… que, comme tu avais été… un si bon sportif avec lui tout à l’heure, tu cherchais son contact… »

« C’est ça que tu veux ? Que je baise avec ce gars ? »

Il a l’air pris de court par ma franchise.

Je hausse les épaules. ‘Toi tu m’as baisé parce que tu étais, allez, disons, spécial. J’ai eu envie. Je pourrais dire, en quelque sorte, que je ne suis pas une pute ! Mais tout ce que je sais de lui, c’est qu’il a voulu me noyer en faisant semblant de rigoler. — lol —

“Non, mec, c’est un bon gars. Je le connais depuis que nous avons fait le lycée ensemble et il a une très grosse envie de toi.

Je prends une profonde inspiration, pas tout à fait un soupir.

Kev dit : – “Je le connais bien : au lycée il a joué au centre avec moi et il est maintenant autoentrepreneur en entretien de parcs et jardins (aménagement paysager). Oh, mais je devrais te prévenir, euh…” il rougit fortement : « il a une, euh, euh, euh… »

« Quoi ? »

Nous parlons à voix basse, mais maintenant il murmure : « Il a une bite vraiment grosse. »
Tout de suite mon imagination file au pas de course : il y a une grosse secousse dans mon Speedo, mais je reste calme et j’essaie d’avoir l’air inquiet, LOL.

« Est-ce que ça va », dit-il, « où est-ce que j’ai cassé l’affaire ? »

Oh mon Dieu, je ris en moi-même. Je dis : – ‘Euh, je ne sais pas, mec. Je ne le connais toujours pas « de ce point de vue ». — lol — ‘

“Je te l’ai dit, c’est un gars bien. Allez, mec, donne-toi, aide-le. Fais-le pour moi. »

Je suis toujours réticent. « Et ça se passe où ? »

Il a une réponse toute prête — « ha, ha. Sa chambre. Nous allons avoir un créneau de deux heures cet après-midi. Pour ma part, ma femme fait des courses et lui il est libre comme l’air »
Je fais une petite grimace et je ris.

- « Allez, s’il te plait ? » Il plonge sous l’eau et dissipe mes doutes en me tapotant les genoux. Je pose ma main sur sa poitrine pendant une seconde et le regarde en face.

‘Peux-tu être là ? Je veux dire, pendant qu’on le fait ? Je vais le faire, ok… si tu es là, alors je me sentirai en sécurité. » Et mon imagination court en tête de plus belle : il a dit « grosse », mais grosse comment ? Comme ça ?
Maintenant, c’est au tour de Kev' de paraitre choqué. - « Ce serait bizarre que je sois là, non ? j’espère que ça va pas l’arrêter… »

Je mets les points sur les i : « Je ne le ferai que si tu es là. »

À ce moment-là, Nico revient avec des boissons. Je lève les yeux et jette un coup d’œil à son short. De grandes jambes et beaucoup de lourdes promesses entre elles… là où ça compte. Il a apporté trois jus de fruits, mais l’un a une paille verte. Il me le tend.

« Celui-ci est vierge », dit-il allusivement.

« Pas celui-là », dit Kev en me montrant du doigt.

Ha ha.

Nous sirotons nos boissons. La mienne a bon gout, un peu comme un smoothie ananas-noix de coco.

Nico me sourit. Il a l’air embarrassé et regarde ailleurs. Puis il murmure à Kev : « As-tu ...? »

Kev prend une grande gorgée de son verre et sourit. ‘Marché conclu ! “Dit-il tout haut à Nico. « Ce sera une excellente après-midi ! »

Nico me fait le meilleur des sourires, larges, heureux, enthousiastes, gêné quand même, mais content que Kev lui ait arrangé le coup.

“Tu es vraiment partant pour ça ?” me demande Nico.

Je hoche la tête et rigole. “Oui, mais…”

Kev se penche vers lui : “Il y a une condition.”

“Bien sûr, peu importe.”

“Il veut que je sois là.”

“Oh.” Il semble soufflé. L’affaire serait-elle compromise ?
Contrairement à leurs déconnes précédentes, ils sont maintenant plus sérieux et sont visiblement partants. Mon cœur va défoncer ma poitrine ! Alors que nous finissons nos boissons, ils se regardent tous les deux avec un énorme sourire, puis ils ont l’air sérieux, puis leur sourire énorme revient. Je me sens bien parce que je pense que leur sourire est à propos de ce qu’il va se passer avec moi. Manière de dire qu’il est très content de moi, Nico me parle de ma façon de plonger. Et il est plein de compliments.

“Je peux te dire que tu t’entraines bien et que tu es un grand nageur”, dit-il. “Je suppose que les installations ne sont pas à ta mesure ici.”

“Non”, je suis d’accord, mais je dois passer un mois en stage pro à Nice.”

Bientôt nos boissons sont finies. Je retourne dans ma chambre pour un peu de préparation et quelques fournitures. Ils n’ont pas de lubrifiant et apparemment il va en falloir ! LOL.

Mon esprit me dépasse à une centaine de kilomètres à l’heure lorsque je me dirige vers la chambre de Nico. Je n’ai jamais rien fait avec deux gars auparavant, surtout pas avec deux hétérosexuels. Je suis un peu intéressé dans la mesure où ça va être un nouveau plaisir et une bonne expérience, LOL.

Quand je frappe à la porte, Kéké est là et répond en disant : « Mot de passe secret ? »

« Putain si je sais ! », dis-je.

« Ça me semble le bon MDP ! », rigole Kev en ouvrant la porte.

Lui et Nick ont tous deux une bière à la main. Ils ont mis une serviette sur le lit et trois shorts de « surf » secs sur une chaise, mais à part ça, rien.

« Alors, comment on fait ça ? » Demande Kev ».

Je me dirige vers lui et lui mets une pelle. « Comme ça ! »
« Pas de souci, on y va, dit Kev s’essuyant la bouche, débordant du même enthousiasme qu’il avait ce mat’ pour me baiser
‘Uumhhh, » fait Nico en avançant les lèvres. Pour entrer en matière, je lui réponds par une pelle bien baveuse et profonde. Ainsi les choses sont claires et sans discours inutiles.

‘Et là ? dit Kev

« Oui mec, on se désape », dis-je, montrant ma détermination…’ Alors ? » Aucun ne dit rien, ils sont muets à me regarder, regarder tout mon corps. « Regarde ça. » Je me tourne vers Kev et je pose ma main sur sa poitrine et je me penche vers lui et ma bouche trouve la sienne. Dire qu’il est gêné, non, mais après un temps il ouvre la bouche et me glisse un peu de sa langue, et une seconde plus tard, il m’embrasse correctement, comme je le souhaite. Son bras passe autour de ma taille et sa main coule sur mon côté, palpant mon corps. J’arrête le baiser et je me tourne vers Nico et lui dis : ‘Un peu comme ça. À moins que tu ne saches pas faire ça.

Nico dit : « D’accord » et a l’air décidé, mais il s’approche de moi et se penche, très déterminé, et pose sa bouche sur la mienne. Je travaille sa bouche ouverte et cherche sa langue. J’ai les mains sur ses tempes et j’apprécie qu’il ne se dérobe pas. Ensuite, je trouve ses mamelons sur ses gros pectoraux carrés et je les pince doucement en les faisant rouler entre mes doigts. Il aime ça et sa bouche s’ouvre et whoa ! sa langue est dans ma bouche tout du long, grosse, épaisse, la remplissant presque complètement.

J’ouvre ma bouche plus largement et je commence à lécher et sucer sa langue puis nos langues vont et viennent entre nos bouches et je peux sentir ses mains me tirer en position pour que je sois mieux placé pour un baiser. Puis sa main sur mon dos me tire plus près et son autre main monte et descend de ma colonne vertébrale, s’abaisse, se rapproche de mes fesses.

C’est un très bon baiser. Dès que nous nous séparons, je défais mon short et le laisse tomber. Dessous je porte un petit bikini. Je souris à Kev et défais son short. Il porte un boxer « Under Armour ». Je dois tirer son short pour le faire glisser. Bon sang, il a un bon gros renflement. Je me retourne contre lui et je tâte tout ce que je peux, sa grosse poitrine et son torse, ses épaules et ses bras. Et je l’embrasse encore. Cette fois, il s’intéresse davantage à la question, ses mains m’explorent. Et puis il dit : « Beau cul, mec ! »

Je lui souris. Maintenant je peux parler. Je continue à sentir sa poitrine. « J’aime ta force et ta taille. Tes pectoraux sont géniaux. »Je suce un de ses mamelons pendant une seconde, en le tapotant légèrement avec la langue avant d’aspirer une douce petite gorgée. « Putain, tu es chaud ! »

Son short est à ses chevilles, alors il le pousse d’un coup de pied, puis nous sommes de nouveau collés et il me met la main dans les fesses, les palpant et les serrant. Je peux sentir sa queue, le renflement est maintenant un tube épais distinct. Je passe mes mains autour de lui, le caresse et lui souris. Je ne simule pas mon enthousiasme quand je lui souris et lui dis : ‘Putain ! Tu as une queue de taureau ! »

A ce moment, il regarde Kev qui tient sa bière vide, mais se frotte distraitement l’entrejambe avec l’autre main.

« Je te l’avais dit », dit Kev à Nik' avec un grand sourire.

« Putain, pourquoi Jenny ne peut-elle pas me regarder comme ça ? »

Kevin lui sort : ‘Non, mec. Mais c’est le moment de « profiter ». »

Je pense que je tiens la main gagnante, mais je ne veux pas si eux ne le veulent pas. J’ai ma main sur sa queue bombée. « On peut arrêter si tu veux. Je peux y aller ? » La gorge serrée je presse doucement sa queue.

« Pas question d’arrêter ! » rugit presque Kev, comme s’il était le seul intéressé. « Pas du tout, les mecs, on le fait ! »

« Mmmmm », dis-je, en donnant une autre pression à sa grosse bite. C’est comme une canette de soda mais plus épaisse et plus lourde. Ses mains sont de retour sur mes fesses.

‘Ton cul est vraiment musclé, dit-il, rond et ferme.

En réponse je me frotte contre sa bite, sens ses pectoraux et mets ma bouche en place pour être embrassé. C’est Kev qui en profite encore, plus que je ne prévoyais, et m’embrasse, avec beaucoup de conviction et me fourre sa langue jusqu’à la gorge, puis il me dit à l’oreille : « Alors, comment on fait ça ? »

« Sur le lit », je souris.
Je baisse mon bikini et me penche pour le faire descendre, mais surtout pour montrer mon cul. Kev se tient là avec sa grosse buche dépassant de son short de bain qu’il tient par la ceinture comme pour l’enlever. Je lui demande « ça va ? » Va t-il céder à la tentation d’intervenir davantage ?

Il a l’air un peu désorienté. « Ouais. »

Je relève mon visage et me penche pour un baiser. Il ne me déçoit pas, et ce n’est pas seulement un baiser, c’est aussi un câlin, et aussitôt ses mains me prodiguent des caresses aux épaules et dans le dos.

« Je vais avoir besoin de ton aide, mec, est-ce que ça va ? » Murmurai-je. Je pense lui faire plaisir en lui demandant son assistance. C’est comme une cérémonie. Je veux que ce soit toi qui guides sa queue dans mon cul et que tu veilles à ce que je ne sois pas déchiré.

« Euh, bien sûr, c’est toujours ok », dit-il avec un mélange d’excitation et de nervosité.

Je me tourne vers Nico et souris. « Tu ne vas pas garder le maillot ? . »

Il hoche la tête, accroche ses pouces à la ceinture et baisse les 20 g de nylon qui cachent encore sa queue abaissée par la ceinture jusqu’à ce qu’elle soit libérée et claque sur son nombril. Putain, c’est gros ! très ! Mon petit trou émet un signe d’anticipation. Je prends mon short et le jette à Kev. « Le lube est dans la poche. Tu peux le sortir ? »

Je me retourne vers Nik ». Sa queue est tellement grosse qu’il semble qu’elle soit gênante, mais il ouvre les bras, puis il me prend dans ses bras et la grosse buche est pressée contre mon ventre. Il aime bien mes fesses qu’il tire dans ses deux mains et resserre nos corps. Je peux sentir sa queue battre contre mon ventre.

« Vous l’avez ce lubrifiant ? » Je demande.

‘Non, dit Nik.

“Oui, dit Kevin, ici même.

« Il va falloir qu’il soit vraiment bien lubrifié », dis-je sérieusement. « Kev, ça te fait rien de le faire ? »

Kev a l’air ahuri. « Nick peut le faire lui-même. Pourquoi ne peut-il pas le faire ? »

J’embrasse de nouveau Nik alors que Kev tient un énorme flacon de lubrifiant dans sa main et commence à en passer abondamment sur la bite de Nico.

« Que fais-tu là ? »

« Juste aider, mon pote », murmure-t-il.

Nik rit. En manière d’acceptation il dit : « Putain tu me fais du bien ! »
« Et moi je dis : Mets m’en bien dans le cul ! »
Je me recule, me couche sur la serviette et regarde fixement la bite de Nik qui balance devant moi, pratiquement dégoulinante de lubrifiant. Je lève mes jambes et lui dis de saisir mes chevilles pendant qu’il se redresse. Il me fait plier les pieds bien au-dessus de ma tête puis je dis à Kev : « Bon, tu vas devoir l’aider et le guider. »
« Quoi! »
« Mec, c’est foutrement gros, il faut que le centrage soit parfait, et Nick a les mains occupées à me tenir les quilles. »
« C’est trop bizarre. »
« Tu es comme le remorqueur qui aide à amarrer le paquebot en toute sécurité », je rigole.
‘Euh…
« Fais-le ! » Grogne Nico.

Kev attrape la bite de Nik. Puis, quand il la tient et qu’il voit où elle va, il s’inquiète soudain pour moi, LOL.

–’Es-tu sûr de pouvoir faire ça ? »
‘Je le pense. Si tu m’aides.
Ensuite, j’arrête de faire des plaisanteries et commence à prendre cela au sérieux, car la bite de Nik est vraiment grosse. Kev maintient et centre la grosse tête et Nik commence à faire pression. Kev me regarde et dit : “Vas-y, Nik vas-y.
Je hoche la tête en signe d’accord, mais dis : « Doucement svp ».
Oooooh. Il faut un réajustement mental au fur et à mesure que j’écarte davantage les jambes et ajuste progressivement l’angle. Oh putain ! elle est grosse. C’est comme un accouchement. Le bébé est gros ! Je peux sentir l’énorme tête étirer ma bague en tentant de passer au travers. Il y a beaucoup de résistance, mais Nik a 90 kg de muscles derrière son bélier. Je halète vraiment, ‘Ahhh ahhh!’
Je ne sais vous dire ce que je ressens à ce moment. C’est chaud et ça me remplit et m’étire au-delà de ce que j’ai jamais été rempli et étiré. Nik halète en même temps et Kevin dit : ‘Putain ! Bravo, mec, tu l’as fait !
Je ne sais pas s’il parle de moi ou de Nico, LOL.
Mais ce n’est pas fini : il en reste dehors « Hooohhh! » Une minute plus tard, je cherche toujours à m’ajuster à son diamètre alors que Nik continue à faire progresser son énorme queue en moi.
‘Ça va, mon petit copain ?’ Me demande-t-il gentiment en retenant son souffle.
Je hoche la tête, souris, et dis : ‘J’ai juste besoin d’une seconde de répit.’
‘Pas de soucis.’
Il arrête de pousser et je travaille à me détendre et à l’accueillir, pas à lutter. Quelque part dans ma tête, je dis : ‘Tu as déjà pu faire ceci, tu vas pouvoir faire cela, tu peux le faire.’
Nos yeux se croisent et Nik me sourit et, en proie lui-même à la jouissance, murmure : ‘C’est incroyable.’ Puis il se penche en avant et utilise ses épaules pour me tenir les jambes et met ses bras autour de moi et m’embrasse à nouveau. Ce n’est pas le plus grand baiser du monde, mais il commence à me murmurer : ‘Tu as fait ça pour moi mon pote, oui, tu as fait ça, merci ! et il me fait plein de petits bisous de tendresse. Tu es tellement putain, mec, je ne peux pas croire que je suis en toi, on est plus qu’un tu fais que ma bite soit si bien, tu es tellement serré et chaud, et tu fais que la bite de Big Nico soit tellement en accord avec ton petit cul chaud, il chante :

‘ohh ouais, on y va, c’est ça, ouvre-toi pour ton Nico, ouais, ouvre-le, ton petit cul chaud, ouais, ça ne va pas ? On se sent vraiment bien, n’est-ce pas ?

Tu es si chaud, oui’

Je suis presque sûr que mes yeux sont toujours grands ouverts, mais il me semble, en même temps que je vois ce qui se passe en gros plan ! je réussis à m’ouvrir un peu plus et il pousse de plus en plus et oh Doux Jésus, il est putain de gros et mes jambes sont écartelées et l’étirement est plus intense et OH SAINTE BAISE il frappe mon anus. Je veux dire, il ne fait pas que taper dessus, il est en quelque sorte roulé à la vapeur, et je peux sentir mon corps changer de sensations : ‘Oh, mon Dieu, ouais’, j’ai le souffle coupé.

‘Ouais ?’ Dit-il. ‘Tu aimes ça ?’

‘Oh putain, oui !’

‘Ouais ? Comme ça ? »Il insère plus. Davantage de roulage à la vapeur

"Ohhh ohhh ohhh!’

Ouais, c’est ça, tu aimes ça !’

Il fait de petits mouvements de balancement, chaque mouvement poussant plus loin. Mes fesses sont tellement compressées et écartées que ce n’est même pas drôle.

‘Tu crois que tu peux tout prendre ?’ Murmure-t-il, conscient de devoir m’épargner.

‘Oui ! Tout !! Il y en a encore ? « Je hoche la tête sans un mot, mes bras » étendant autour de lui.

‘Ohwouaishh, tu peux’, dit-il en me fourrant plus de sa grosse bite.

’ Ohhhh, » je halète, moitié plaisir, moitié douleur.

Il sort lentement à peu près à mi-chemin puis rentre à nouveau. Ahhhh ! Son énorme bélier frotte constamment tout le long de ma chatte de garçon ; je sens nos chairs brûlantes fusionnées. C’est plus qu’incroyable. J’ai l’impression que mon cul va atteindre l’orgasme. Nik recule et rentre à nouveau, et ohhhh, ahhhh, waouh ! Quelques fois encore et il commence à trouver son rythme. Je peux dire, que l’expression du gars change. Son regard est vitreux il doit voir flou comme moi. Cela frise toujours l’incrédulité, on est de vrais drogués sans drogue. Quand on commence à perdre le contrôle de quelque chose, quand on commence à ressentir ce qu’on espérait, mais qu’on avait peur de ne pas voir se réaliser, et que c’est maintenant que ça se produit et qu’on ne peut pas croire qu’on a autant de chance. Au moins c’est ce que je pense. Ce que je veux penser. Oh mon Dieu, ça fait tellement du bien, on commence à se sentir mieux que jamais, et oh mec, j’aime sentir cette force et la force de mes désirs.

‘Oh, oui, mec !’ grogne Nico, alors qu’il prend de la vitesse. ‘Oh oui ! Défoncer ton cul chaud ! Je me sens tellement bien !

‘Putain de merde !’ Dit Kev, que j’avais oublié, LOL. ‘Il l’a prise, il l’a prise complètement, toute ! . Putain, tu as une grosse bite, mec !’

Je jette un coup d’œil à Kev et je peux voir qu’il a son short de planche à voile déboutonné et que sa queue est bien tendue et qu’il tient son sexe bien serré, pas vraiment en train de se branler, mais bien en train de goutter du jus comme les bites salivent à leur manière.

Il regarde où en est l’action. Puis il commence à parler à Nik. ‘Vous êtes géniaux, putain de géniaux ! Je ne sais pas comment il l’a fait. Merde ! Ses fesses sont tellement serrées autour de ta bite qu’elles vont la retenir quand tu vas vouloir sortir, oh mec, ça doit être tellement serré, tellement bon…’

En réalité, Kev baisse la tête pour mieux voir, de près.

À ce moment-là, Nik commence à accélérer, il entame maintenant une série de coups réguliers qui me rendent fou. Je ne sais pas tout le bruit que je fais, mais Nico augmente constamment le rythme de son généreux ‘Allez, prends !’ qui correspond à chacun de ses coups, et la sensation que je vais jouir avec mon cul s’étire jusqu’à ne plus le supporter et souhaiter l’orgasme. Puis Nico se met — si c’est possible ! – davantage dans une position de piston et accélère vraiment et quelques secondes plus tard, je le sens venir. Moi pas encore tout à fait, LOL. Pour savoir quand le partenaire vient, parfois, je me fie uniquement à sa respiration et au visage du gars, et bien sûr à son effondrement. Eh bien là c’est ce que je ressens. Comme si ma fusée décollait ! De plus, il dit : ‘Oh Jésus, OHHH Jésus, OHHH !!!’ Hé, le sexe avec moi est une expérience religieuse, LOL.

Peu de temps après, Kevin s’éclipse en disant : ‘Oh mon Dieu, c’était génial, c’était génial. » Et il me regarde, incroyablement reconnaissant. Et il a la classe de demander, ‘ça va ?’ Avant de se retourner et de regarder le plafond, de reprendre son souffle. Va-t-il partir ? Je hoche la tête et je le suis du regard, mais, les amis, je me sens vide, juste capable de faire jouir mon mec, Nico. Son énorme bite m’a fait sentir si bien ma chatte de garçon. Aurais-je pu en faire plus. En donner plus je veux dire ? Puis je lève les yeux et vois Kev qui revient et s’approche avec ce regard plein d’espoir et d’excitation que je lui connais sur le visage sachant que sa bite sera parfaitement acceptée.

‘C’était tellement chaud’, dit-il. ‘Tu es tellement beau quand tu te fais baiser !’
Je le regarde et hoche la tête et souris.

Il est plutôt hésitant, ce qui est gentil, mais il ne faut pas se méprendre sur ce qu’il veut. ‘Ne veux tu pas que…’ il commence. ‘Puis-je, euh ?’

‘Mec, dis-je, viens ici. Le bonheur pour tous. »

Il est sur le lit très vite, et il n’hésite pas, il y va et il glisse sa bite en moi comme dans du beurre.

‘Ohhhh putain !’ Dit-il, ‘oh putain, c’est bon ! Mec, tu es tellement — tellement —…’

‘Réchauffé ?’

‘Ouais, oh putain, tellement chaud !’

‘Donne-moi cette bite dure !’

‘Oh oui ! Tu l’as, mon pote ! Oh, mec, ton cul est tellement bon. C’est resté serré et lisse, mais plus facile, c’est comme une parfaite putain oh oui !

Nicolas est toujours allongé sur le lit à côté de nous et il se déplace pour nous donner plus de place. Il regarde, je peux dire qu’il est intéressé. C’est un bon signe, LOL.

Kevin prend son temps un moment, caressant tout le long du chemin, remuant le moins possible ses hanches pour s’assurer qu’il est calé aussi profondément que possible, puis s’extirpant presque complètement avant de glisser à nouveau aussi lentement que possible et éprouver le velours de mon fourreau et son pouvoir magique. Il peut voir que je l’aime, je peux dire que j’ai une sorte d’expression délirante, très délirante, et je sais qu’il le voit à la façon dont il reprend son sourire ironique. Oh, mec ! J’aime la façon dont sa queue glisse si facilement, et frotte toujours tout comme je le veux. Puis il commence à prendre de la vitesse. Il ne s’arrête pas quand il se retire, et la rentrée est de plus en plus rapide, et bientôt c’est une putain de pompe à vapeur.

Kev se sert de ses hanches et de ses abdominaux pour pousser maintenant, il est plus sportif que Nik, pas aussi écrasant, mais tout aussi bon. Et mon cul est le centre spatial de réunion de leurs bites et je n’oublie pas que c’est grâce à Kev, LOL.

‘Putain de cul, petit pote, putain de cul parfait !’, Grogne Kev en me bourrinant, en me comblant. ‘Oh, OUAIIIIISSSS !’ Il y va et il m’emmène bien loin avec lui. Je me sens comme si nous étions en finale de Rollan Garros ou quelque chose du genre, il se dirige tout droit vers la ligne d’arrivée, jusqu’aux cinq dernières secondes, dans le chrono, OHH FUCK ! Ma chatte que je ne suis pas le seul à chérir ressemble à une explosion de confettis, d’étoiles et de bruiteurs ! C’est le Nouvel An quelque part !

‘Mon Dieu, j’aime ton cul !’ Il vient, je viens, Nicolas nous regarde et sourit : ‘Putain, les copains !

Mon dieu, j’ai adoré ce trip !’

Glaudoun

claudemodou@gmail.com

 

 

 

 

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Vendredi 26 juillet 5 26 /07 /Juil 00:00

 Image associée   Ben oui, avec Pierre! Allez on déstocke ! entrez dans ma boutique ! je ne peux pas affirmer que c'est ça qui a fait de moi le gay-bi  que je suis car je pense j'avais de solides dispositions.  

  Image associée 2019, allez viens, suis-moi dans la boutique !  

 

  Image associée "Bon, on était en pension médicalisée. Pierre était un magnifique garçon de 12 ans qui vivait dans la banlieue de notre ville ...devenue distante de 300km. Deux marseillais se découvraient. Le croirez-vous , il était pubère. J'ai découvert la masturbation en le voyant se branler dans la pénombre au dortoir, il avait une grosse bite, il me montrait ses éjacs conservées dans du papier-toilette, puis, dans les jours qui suivirent il commença à m' insérer son sperme directement avec son sexe entre mes petites fesses où, même s'il en parcourait la raie, il ne pénétrait pas malgré ma propre envie et que, après de longs "frottings" son sperme juvénile déposé entre mes fesses (un délice ) faisait glisser entre elles quand je marchais (sensation délicieuse aussi).  

La nuit au dortoir il savait secrètement trouver un bon accueil dans mon lit alors que les autres dormaient. Je souffrais de la séparation familiale, lui pas trop je crois. Ca me jetait dans ses bras : il avait besoin d'une certaine forme d'affection, moi d'affection tout court. Et puis m...on va culpabiliser ni l'un ni l'autre ! Il mesurait déjà dans les 1 mètre 60 et me dominait largement d'une trentaine de cm. Ses cheveux étaient bruns et ses yeux marrons. Son corps avait commencé à bien se muscler.Il était bien plus grand que moi qui n'avais alors que 10 ans.

Il avait du duvet sur sa lèvre supérieure. Il était très en avance sur sa puberté. Il savait qu'il était fait pour les filles alors que moi je ne leur prêtais aucune véritable attention Pierre observait beaucoup les filles et parlait d'elles très souvent. Une fois il m'a fait porter à une certaine Annie un papier plié en 4 contenant sa juvénile semence... La pension était mixte. Certaines filles aimaient bien qu'il leur parle aussi crûment que ça lui plaisait mais avec moi ce qu'il pratiquait c'était un exercice mécanique. Faute de mieux, tous les soirs il me frottait sa verge bandée dans la raie jusqu'à jouir et me "graisser" un anus follement désireux d'aller plus loin. J'en suis encore ahuri. Il était mon idole avec son corps un peu maigre mais bien dessiné et en pleine croissance contrairement à son visage qui reflétait encore, forcément,  copieusement l'enfance. 

        

my heroe...

  Image associée   "Pierre 1er" avait de grands yeux marrons et un petit nez. Quand il sourait, ses joues affichaient toujours une fossette sur les deux côtés. Son teint était assez mat et bronzé  je le revois encore, nu, aux douches où les deux nurses qui nous surveillaient se poussaient du coude en riant, en observant à la dérobée son pénis et sa toison pubienne dignes d'un adulte.  Il avait plusieurs amis à la fois garçons et filles, mais pas encore de petite amie. Autrement dit, Pierre  est l'amant presque parfait mais je reste sur ma faim et j'ai toujours pensé qu'au lieu de ça, il aurait mieux valu qu'on "consomme" complètement, sinon pour me lever l'envie, au moins pour m'éviter la frustration qui m'a poursuivi toute ma vie.

Un matin le directeur ( qui savait*) m'a retenu à son bureau pour me rendre à ma mère venue me chercher, et je n'ai même pas pu dire au-revoir ou plutôt adieu à mon "Pierre 1er" que je n'ai jamais revu. Je sais son nom de famille. J'ai cherché. Rien ! C'était pas la faute à ma mère qui adorait son petit garçon, mais j'avoue lui en avoir voulu -sans lui dire ! - de m'avoir arraché à ce premier amour 'gay' pour revenir à cette enfance familiale asexuée. Je crois que j'en souffrais. "¤    

  La suite ce sera Pierre 2  clin d'oeil du Destin ?

 

 Par la suite ...dans ma rue, encore des envies non satisfaites. Pourquoi fallait-il qu'on trouvât tout naturel qu'elles ne le soient pas ?  J'ai fréquement joué avec Rachid (14 ans ?), comme moi un peu livré à lui-même, et là je retrouvais un ami comme j'avais connu en maison de santé, et mon désir de passer'la ligne' fut relancé. Ce n'était pas un obstacle absolu, mais Rachid, primo-arrivant ne parlait pour l'instant pas un mot de français. Et il y avait les préjugés raciaux que m'instillait mon milieu (pas ma mère).. Malgré ces obstacles je brûlais, je mourais de désir pour ce bel ado plus grand que moi avec une ombre de moustache, je rêvais qu'il me fasse ce que Pierre 1er m'avait fait, et qu'il aille bien plus loin encore. 

Alors, ma torture psychique augmentait quand il me questionnait : -"toi 'fisinik'?"  Je n'aurais pas su lui dire ni oui ni non. Je croyais pouvoir comprendre : tu es circoncis ?  En fait je n'avais pas tout à fait tort, car, maintenant, grâce à google traduction, je vois que cela peut vouloir dire : 

لك؟ مثلي 

= " Toi comme moi ?" et, à la distance de mes années d'incompréhension, je crois qu'il voulait me baiser. Dommage !  Hélas, il y avait la RUE et sa bande de gosses comme nous...on n'a jamais pu trouver le coin tranquille nécessaire... Mon futur puits d'amour restait, et sans que je puisse même l'exprimer, à mon grand désespoir, vierge. A l'époque je n'aurais ni su ni osé le dire. Je sais c'est con.

J'en ai parlé. Il y a eu JO, le grec, velu pour ses 13 ans, qui me voulait, avait besoin de me terrasser dans un semblant de lutte et de VIOL. Mais son phimosis l'empêchait disait-il d'en faire plus que du frotting  sur mon ventre qu'il baignait, jusqu'à mon aine et mes couilles répandant en même temps cette odeur ce parfum veux-je dire, enivrant mêlé des senteurs de la pinède où nous faisions l'amour. Aussi ne puis-je sentir l'odeur des pins sans penser à mon Jo qui ne peut que se souvenir puis qu'il a demandé de mes nouvelles à ma famille. Comment a-t-il fait ensuite avec son phimosis ? je sais pas.    

J'apprécie, même si c'était de la douleur, de pouvoir interpréter le chant d'amour qui était en moi ... et le champ d'amour qui m'attendait et que Pierre  II sut accepter et apaiser car, devenu ado, je sollicitais ouvertement ses 'services' tandis qu'il protestait de n'être pas PD et que me baiser était provisoire en attendant de 'rencontrer' une ou des fille(s). Il avait tout pour me satisfaire : il bandait pour mon cul d'une longue queue qui donnait bien du sperme. Je me souviens du bonheur quand il m'a dépucelé et joui en moi après tou le temps qu'il fallait pour que nous prissions, chacun, notre pied. Il s'est marié, mais, je l'ai, à plusieurs reprises détourné de sa fidélité et j'en suis fier. Je l'aime encore et très fort, mon vrai premier.    

 

 

  Je reviens presque à chaque fois sur mes articles, celui-ci a-malgré-moi encore quelques imperfections, excusez-les SVP il faut 'lutter ' contre un logiciel erog qui n'est pas tout à fait parfait. D'ailleures, erog m'a 'sucré' la possibilité d'émettre des vidéos. Sans doute une rétorsion due au fait que je m'en tienne au gratuit, gratuit, gratuit...assez trompeur. Peut-être ne me trouve-t-il pas aseez bon ?  Peut-être je ne lui gagne pas assez son frichti ? car c'est nous, avec nos blogs,qui le lui gagnons...serait-il un peu proxo  ou beaucoup ?  claudio

 

  NOTES : * oui, le dirlo avait su , par dénonciation, nos "turpitudes" au dortoir et nous avait séparés en me remettant en dortoir àplusieurs au lieu d'être en chambre à 2. Pourquoi nous y avait-il mis ? Mystère, non ? (je crois que j'en avais parlé ici-même)


Jacques,"Si tu n'es pas sage on va te mettre en pension"..."Si tu n'écoutes pas on t'emmène au docteur"...En ben là j'y suis : en pension médicalisée à 10 ans...


commentaire :Ca vous a fait bander ?  " Salut ! merci d'avoir publier mes témoignages. Et merci d'avoir corrigé mes fautes !  . J'aurais du dire que je n'étais pas content de la quitter cette pension...je ret rouvais ma famille, mon école...mais, par dessus tou mon Pierre 1er me manquait"  (JAK O)

Par JAK O - Publié dans : VIVRE SA SEXUALITE, SES FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Jeudi 25 juillet 4 25 /07 /Juil 08:53

 Image associée    Allez on déstocke ! entrez dans ma boutique ! je ne peux pas affirmer que c'est ça qui a fait de moi le gay-bi  que je suis car je pense j'avais de solides dispositions.  

  Image associée 2019, allez viens, suis-moi !  

 

 

  

Il avait du duvet sur sa lèvre supérieure. Il était très en avance sur sa puberté. Il savait qu'il était fait pour les filles alors que moi je ne leur prêtais aucune véritable attention Pierre observait beaucoup les filles et parlait d'elles très souvent. Une fois il m'a fait porter à une certaine Annie un papier plié en 4 contenant sa juvénile semence... La pension était mixte. Certaines filles aimaient bien qu'il leur parle aussi crûment que ça lui plaisait mais avec moi ce qu'il pratiquait c'était un exercice mécanique. Faute de mieux, tous les soirs il me frottait sa verge bandée dans la raie jusqu'à jouir et me "graisser" un anus follement désireux d'aller plus loin. J'en suis encore ahuri. Il était mon idole avec son corps un peu maigre mais bien dessiné et en pleine croissance contrairement à son visage qui reflétait encore, forcément,  copieusement l'enfance. 

        

my heroe...

  Image associée   "Pierre 1er" avait de grands yeux marrons et un petit nez. Quand il souriait, ses joues affichaient toujours une fossette sur les deux côtés. Son teint était assez mat et bronzé  je le revois encore, nu, aux douches où les deux nurses qui nous surveillaient se poussaient du coude en riant, en observant à la dérobée son pénis et sa toison pubienne dignes d'un adulte.  Il avait plusieurs amis à la fois garçons et filles, mais pas encore de petite amie. Autrement dit, Pierre  est l'amant presque parfait mais je reste sur ma faim et j'ai toujours pensé qu'au lieu de ça, il aurait mieux valu qu'on "consomme" complètement, sinon pour me lever l'envie, au moins pour m'éviter la frustration qui m'a poursuivi toute ma vie.

Un matin le directeur ( qui savait*) m'a retenu à son bureau pour me rendre à ma mère venue me chercher, et je n'ai même pas pu dire au-revoir ou plutôt adieu à mon "Pierre 1er" que je n'ai jamais revu. Je sais son nom de famille. J'ai cherché. Rien ! C'était pas la faute à ma mère qui adorait son petit garçon, mais j'avoue lui en avoir voulu -sans lui dire ! - de m'avoir arraché à ce premier amour 'gay'. "¤    

  La suite ce sera Pierre 2...  clin d'oeil du Destin ?

 

 Par la suite ...d'abord dans ma rue, J'ai fréquement joué avec Rachid (14 ans ?), comme moi un peu livré à lui-même, et là je retrouvais un ami comme j'avais connu en maison de santé, et mon désir de passer'la ligne' fut relancé. Ce n'était pas un obstacle absolu, mais Rachid, primo-arrivant ne parlait pour l'instant pas un mot de français. Et il y avait les préjugés raciaux que m'instillait mon milieu (pas ma mère).. Malgré ces obstacles je brûlais, je mourais de désir pour ce bel ado plus grand que moi avec une ombre de moustache, je rêvais qu'il me fasse ce que Pierre 1er m'avait fait, et qu'il aille bien plus loin encore. 

Alors, ma torture psychique augmentait quand il me questionnait : -"toi 'fisinik'?"  Je n'aurais pas su lui dire ni oui ni non. Je croyais pouvoir comprendre : tu es circoncis ?  En fait je n'avais pas tout à fait tort, car, maintenant, grâce à google traduction, je vois que cela peut vouloir dire : 

لك؟ مثلي 

= " Toi ?  comme moi ?" et, à la distance de mes années d'incompréhension, je crois qu'il voulait me baiser. Dommage !  Hélas, il y avait la RUE et sa bande de gosses comme nous...on n'a jamais pu trouver le coin tranquille nécessaire... Mon futur puits d'amour restait, et sans que je puisse même l'exprimer, à mon grand désespoir, vierge. A l'époque je n'aurais ni su ni osé le dire. Je sais c'est con.

J'en ai parlé, puis il y a eu JO, le grec, velu pour ses 13 ans, qui me voulait, avait besoin de me terrasser dans un semblant de lutte et de VIOL. Mais son phimosis l'empêchait disait-il d'en faire plus que du frotting  sur mon ventre qu'il baignait, jusqu'à mon entre cuisses et mes couilles répandant en même temps cette odeur ce parfum veux-je dire, enivrant mêlé des senteurs de la pinède où nous faisions l'amour. Aussi ne puis-je sentir l'odeur des pins sans penser à mon Jo qui ne peut que se souvenir puisqu'il a demandé de mes nouvelles à ma famille. C'est une tendre attention. Pas de raison qu'on se revoie, mais je suis sûr qu'il m'aime. Comment a-t-il fait ensuite avec son phimosis ? je sais pas.    

J'apprécie, même si c'était de la douleur, de pouvoir interpréter le chant d'amour qui était en moi ... et le champ d'amour qui m'attendait et que Pierre 2 sut accepter et apaiser car, devenu ado, je sollicitais ouvertement ses 'services'.Quand, sur le chemin de rejoindre notre planque en colline ou dans une épave de remorqueur je lui disais (ce sont nos paroles-mêmes) :  

C'était sa façon de protester qu'il n'était pas PD et que me baiser était provisoire en attendant de 'rencontrer' une ou des fille(s).

 

Vers 15-16 ans, Pierre 2 avait tout pour me satisfaire : il bandait pour mon cul d'une longue queue qui donnait bien du sperme. Sa voix un peu cassée le rendait plus viril que son âge. Je me souviens du bonheur quand il m'a dépucelé et a joui dans mon cul restant en moi tout le temps qu'il fallait pour que nous prissions, chacun, notre pied. Il s'est marié, mais, je l'ai, à plusieurs reprises détourné de sa fidélité et j'en suis fier. Je l'aime encore et très fort, mon vrai premier. 

 

Encore dans les limbes de l'enfance, 

 

   

Image associée   cela souligne l'infidélité de Dysney eu égard à la nudité  

 Wendy a écarté le rideau derrière lequel
la fenêtre était  ouverte et quoi ? à son émerveillement ... un garçon complètement nu d'environ quatorze ans, debout sur le rebord de la fenêtre. Il avait une fine ceinture autour de la taille, sinon il était totalement nu, cul nu. Un beau spectacle. Un beau garçon qui promenait un regard surnaturel sur le monde.

Wendy s'est arrêtée et a regardé fixement. Ses yeux se posèrent sur l'
énorme bite de l'adolescent. C'était énorme, surtout pour
un garçon de cet âge ... aussi grande que certaines des images de grandes
bites qu'elle avait vues dans les livres coquins de son père. Lourde et demi dure elle se balançait entre les jambes nues et minces du garçon sur un assez grand sac  de balles.

 

 

 

 

 

  Image associée   pourquoi aurais-je voulu grandir ?

 

Résultat de recherche d'images pour "au ciel peter pan entraîne un petit garçon"  pourtant l'a bien fallu ! Je n'ai d'abord rencontré que des cons qui se défendaient d'être pédés.     

 

  Image associée Si la connerie ne leur passait pas, alors ils étaient graves.

 

 

Résultat de recherche d'images pour "gif 2 ados gay s'embrassent"  Image associée Même moi à certains moments je me laissais submerger par l'ambiance hétéronormée  

Image associée  La société pourrie me culpabilisait et m'empêchait d'être heureux

Résultat de recherche d'images pour "gif 2 ados gay baisent"   encore JO ! je peux être tout à toi, à nous, tu sais !  

 

 

  NOTES : * oui, le dirlo avait su , par dénonciation, nos "turpitudes" au dortoir et nous avait séparés en me remettant en dortoir àplusieurs au lieu d'être en chambre à 2. Pourquoi nous y avait-il mis ? Mystère, non ?


Jacques,"Si tu n'es pas sage on va te mettre en pension"..."Si tu n'écoutes pas on t'emmène au docteur"...En ben là j'y suis : en pension médicalisée à 10 ans...


commentaire :Ca vous a fait bander ?  " Salut ! merci d'avoir publier mes témoignages. Et merci d'avoir corrigé mes fautes !  . J'aurais du dire que je n'étais pas content de la quitter cette pension...je ret rouvais ma famille, mon école...mais, par dessus tou mon Pierre 1er me manquait"  (JAK O)

Par JAK O - Publié dans : VIVRE SA SEXUALITE, SES FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 24 juillet 3 24 /07 /Juil 00:05

 qui ne serait pas tombé amoureux d'un si beau policier

qui n'aurait pas cherché à le séduire, surtout s'il s'est montré assez machobrutal Image associée  Je rencontre Samir dans le cadre de mes fonctions policières. Il me suit et trouve mon appart. S'il est amoureux de mon cul, toutefois ça reste un peu violent... 

  DE MEME : 

   biographie authentique :

En 1943,Jean Genet rencontre, lors d’un séjour à Marseille, le policier Bernardini, dont il est peut-être l'indic,qui l

 

    Résultat de recherche d'images pour "un inspecteur de police à marseille, pendant la guerre de 39-45"le Vieux Port en 1943

e fascine, et dont il devient bientôt l’amant. Infraction de part et d'autre au code pénal, certes, mais aussi révélation sur l'attirance des opprimés envers les personnes qui obéissent à leurs oppresseurs. Objectivement passif, Genet s'est montré souvent content d'être incarcéré, amoureux des caïds du milieu carcéral, à commencer par le groupe (a)-social de la maison de correction de sa jeunesse et jusqu'au criminel Arcamone qui finit guillotiné (Ecrit poético-autobiographique de "Notre-Dame -des-Fleurs". Je n'aime pas appeler les écrits de J.Genet "romans", tant il y a de lui et de toute son âme  dedans. 

  Résultat de recherche d'images pour "jean genet jeune"Jean Genet en 1948

 

  

iL ETAIT AUTODIDACTE VOUS SEREZ ETONNE DE LA BEAUTE DE LA LANGUE DE JEAN GENET ET DE SA BIOGRAPHIE FERTILE EN DRAMES ET EVENEMENTS Lors des combats pour la Libération de Paris, le 19 août 1944, Jean Decarnin, jeune résistant communiste de 20 ans, amant de Jean Genet, est tué par un milicien sur les barricades. Pour célébrer sa mémoire, Genet commence, dès le mois de septembre, la rédaction de Pompes funèbres, qui sera publié clandestinement en 1947.
Pompes funèbres s’ouvre sur l’enterrement de Decarnin. Ce texte, écrit du point de vue de celui qui a tué son ami, est une dénonciation de l’hypocrisie bourgeoise face à la Milice, une mise en scène du culte du corps et de la virilité développé par le nazisme, et, par-dessus tout, un travail de deuil.
Provocateur et scandaleux, il cherche à déclencher chez le lecteur d’après la Seconde Guerre mondiale une prise de conscience extrême de l’extraordinaire séduction du mal.

 

 

 

 https://journals.openedition.org/gss/1976

  Image associée  Jean Decarnin, jeune résistant communiste de 20 ans, amant de Jean Genet, tué par un milicien sur les barricades

  

Je sais pas pkoi tous ces mecs qui se décrivent dans leurs récits se disent grands, blonds aux yeux bleus, Ici voilà encore une chose qui rend le récit d'un policier gay moins crédible ! C'est bête de mentir-lol-

 

 

https://cyrillo.biz/histoire/flic-caid.html

  Le policier c'est le maître par définition et souvent les plus caïds recherchent leur protection, voire leur bite dans leur bouche et dans leur trou et ça donne de l'amour, de l'amour, de l'amour, ...comme disait Johnny

 

Sébastien, 24 ans, 181, blond court, yeux bleu . Je suis policier. Il y a environ 7 mois, on m'a transféré en région parisienne. Jusqu'alors, je n'avais jamais quitté ma Bourgogne natale. J'ai atterri dans le 91. C'est moins chaud que le 93 mais ça reste un sacré changement pour moi.

J'ai pas eu trop de mal à m'intégrer avec mes nouveaux collègues. La plupart sont jeunes et originaires de province comme moi. Par contre, avec les délinquants et les habitants des quartiers c'est une toute autre histoire. Trop de violence, aucun respect pour la police et une situation qui peut dégénérer pour un oui ou pour un non. Et puis, il y a ce petit con de Samir. Un jeune beur d'à peine 20 ans qui se fout de la gueule des flics de tout le commissariat.

Samedi dernier, Samir a été interpellé pour la troisième fois en 2 mois. Et comme à chaque fois, y a pas assez de preuves ni de témoins contre lui. On est obligé de le relâcher. Le gars a un casier quasi vierge alors que tous les flics savent pertinemment qu'il est impliqué dans pas mal de trafics genre drogue, voitures volées,...

Depuis quelque temps, j'sais plus trop ce qui m'arrive. Je ne peux pas m'empêcher de mater Samir à chaque fois qu'on le fait venir au poste. Il m'attire. Je n'y peux rien. Faut dire qu'il est sacrément bogoss. Il doit mesurer environ 1m80, peau mate, cheveux noirs bouclés et de très beaux yeux marrons qui m'hypnotisent pour de vrai. Il a une gueule d'ange viril et un corps finement musclé. Il fait du sport. Du judo et du handball. Résultat : un sacré petit cul bien musclé que j'ai bien envie de tripoter. Il tourne autour de 2 tenues : un survet blanc et vert et une combinaison pull over/jean quand il fait un peu plus froid. En revanche, le mec à une sacrée collection de baskets en tout genre. Il doit avoir une trentaine de paires sans exagérer.

Lors du dernier interrogatoire Samir m'a regardé direct dans les yeux à de nombreuses reprises. C'était étrange et assez excitant. On était pas seuls. Y'avait une collègue dans la pièce. Pourtant, le mec n'a pas arrêté de soutenir mon regard sans rien dire. J'ai même un peu rougi à un moment donné. Ma collègue a remarqué que Samir n'avait d'yeux que pour moi. Heureusement, sa théorie c'était que Samir est un macho sexiste qui n'aime pas les femmes flics. Ma théorie à moi c'est que ce petit con a fini par se rendre compte de mon attirance pour lui et qu'il a décidé de se foutre de ma gueule et de me mettre mal à l'aise.

Le weekend est vite arrivé. Je suis assis torse nu et en jogging sur le canapé de mon petit appart de banlieue. Je regarde du sport à la télé.

On sonne à la porte. J'ouvre sans prendre la peine d'enfiler un tee shirt et je me retrouve nez à nez avec Samir.

"Qu'est-ce tu fais là toi?". Je regarde autour. Il est venu seul.

"Putain pas même un bonjour!" me dit-il le sourire aux lèvres.

"Comment tu sais où j'habite?"

"Vous les flics, vous me suivez toute la journée dans la cité. Pour une fois, j'ai fait le contraire l'autre soir et j'ai vu que t'habites ici"

"Bon d'accord mais ça me dit toujours pas ce que tu fous là devant ma porte. Un dimanche après-midi!"

"J'ai remarqué comment tu me dévores du regard à chaque fois que tu me vois. Même là t'as du mal à me regarder en face"

Putain! Les voisins risquent d'entendre. Je ne tiens surtout pas à ce qu'ils se fassent des idées. J'ai jamais été ouvert au sujet de mon homosexualité. Par conséquent, je n'ai qu'un choix devant moi : faire rentrer Samir dans mon appart.

Le jeune rebeu prend ses marques tout de suite. Il part au salon et s'installe confortablement sur le canapé. Je reste planté là comme un con. Je pense à lui proposer quelque chose à boire mais je me ravise aussitôt. Je suis policier merde! Et lui c'est un délinquant! Qu'est-ce que je suis en train de faire?!

"Bon écoute moi Sébastien - je peux t'appeler Sébastien n'est-ce pas?-"

Je hoche la tête pour dire oui. Il connait mon prénom. Ce qui n'est pas très surprenant puisque mes collègues m'ont appelé des dizaines de fois devant lui. N'empêche, ça me fait un effet bizarre quand l'objet de mes fantasmes prononce mon prénom.

"Je te trouve pas mal et vu la façon que tu me mates depuis des mois, je suis presque sûr que tu bandes un max en pensant à ma bite de rebeu"

"..."

"Tu me suces. Je te baise. Et ça restera entre nous car on a tous les deux des réputations à protéger. Compris?"

Je hoche la tête. Je suis rouge de honte. Ma queue commence à gonfler.

Samir retire son survet sans enlever ses skets. Il porte un slip gris. Le paquet à l'air prometteur même si il n'est pas encore en érection. Puis, le petit caïd se réinstalle confortablement dans le canapé dans une posture hyper virile avec les jambes bien écartées. Il se saisit de la télécommande et augmente le son. D'un signe de la main, il m'invite à prendre place entre ses jambes. A genoux bien sûr. Je m'exécute car à ce moment précis, je pense plus avec ma bite qu'avec mon cerveau.

Je sniffe son matos à travers le fin tissu du slip. Le sous-vêtement est propre mais je peux sentir une odeur distincte de jeune mâle dominant. J'enfonce encore plus ma tronche dans son paquet et je respire à fond son odeur virile. Samir se rend compte que les odeurs c'est mon trip. Alors, il m'arrête avant que je ne puisse dévoiler son chibre. Il me dit que j'aurais le droit de sucer sa queue après m'être occupé de ses skets.

Aussi viril que je puisse paraître, j'ai toujours fantasmé de me retrouver aux ordres d'un mec dominateur, de préférence un rebeu ou un renoi. Mon métier fait que je suis constamment en contact avec des lascars. Ils ne se doutent pas de l'effet qu'ils me font quand ils résistent aux arrestations ou alors m'insultent de tous les noms. Sniffer les skets d'un jeune rebeu comme Samir est un fantasme devenu réalité. Je bande un max et sans hésiter je prends son pied gauche et commence à renifler sa basket. Je passe 10 minutes à lécher, embrasser et sniffer les skets du p'tit caïd. Puis, Samir détache son attention de l'écran de télé et m'ordonne de retirer les baskets et de m'occuper de ses cho7. Je suis aux anges. L'odeur est forte et virile. Je m'en fous plein la bouche et plein les narines.

Soudain, le jeune lascar se met debout. Tout s'accélère. Il m'écrase la face contre la moquette avec son pied. Il me traite de salope, de garage à bites, de pute à rebeux. Il m'attrape par la nuque et me force à me mettre à genoux devant lui, la tête à quelques centimètres de son paquet. Il baisse son slip et un superbe zob de 17 cm large et circoncis  jaillit devant moi. Je salive comme une chienne en chaleur. Il me tape sur la joue avec sa belle bite puis il me l'enfonce direct dans la bouche.

La pipe est assez violente et Samir ne me laisse aucune liberté de mouvement. J'ai des larmes qui me montent aux yeux et j'ai même envie de gerber. Au moment où je suis au bord de l'évanouissement, Samir stoppe tout, se rassoit sur le canapé et m'ordonne de continuer à le sucer. Cette fois, c'est moi qui contrôle le rythme de la fellation et je m'applique à lui procurer un maximum de plaisir. Il jute dans ma bouche et j'avale sans réfléchir. Quand je lève les yeux pour le voir, Samir à un petit sourire aux lèvres. Il me dit que je suis une bonne suceuse et qu'il fera à nouveau appel à moi. Puis, il se rhabille très vite et sort de mon appart en me disant "A la prochaine, p'tite pute!"

Comme un con, je reste à genoux au milieu du salon et je me branle en pensant aux skets de Samir et à son gros zob qui m'a défoncé la mâchoire.

 

 

  Ceci, ci-dessous, peut servir de suite car Sébastien n'a fait que sucer le gars qui lui promet de revenir  


 

 Et CECI EST UN AUTRE HISTOIRE  là ça va être la totale pour Julien qui est dans le même cas de soumission  :  

https://cyrillo.biz/histoire-gay-2012-saute-par-un-arabe.php

 

Ci-desssous  une histoire vraie de Akemio , pseudo de Julien, qui complète l'aventure de Sébastien vécue ci-dessus

un sourire à croquer et un regard coquin. Il rentre et aussitôt s’installe dans mon canapé comme si il était chez lui. Je suis un peu surpris mais je vois finalement ça comme un bon signe (comme quoi il a envie de rester). Son téléphone sonne, il décroche et parle un long moment en arabe, me laissant planté assis à côté de lui. Puis il interrompt un bref instant son appel pour me demander de lui servir un truc à boire. Je m’exécute en me rappelant de ses mises en garde sur son coté macho.

Nous n’avons donc toujours pas eu le temps de discuter mais il est pourtant vautré dans mon canapé, moi en train de lui servir un verre sur son ordre. Je me rassoie à côté de lui et là il me colle la main sur la cuisse avec une légère pression pour m’inciter à me rapprocher de lui. Ensuite, il utilise cette même main pour se peloter le paquet, laissant apparaitre une bonne grosse gaule sous le survêt. Mon regard se bloque direct sur son entrejambe, je le regarde ensuite et là il me fait un petit signe de tête pour me dire de commencer à le sucer. J’hallucine ! Ce gougeât m’a à peine dit bonjour et cela lui semble déjà naturel que je lui obéisse au doigt et à l’œil, en même temps, la scène est tellement excitante que je ne peux pas refuser. Je me penche sur sa bosse immédiatement. Il profite d’avoir ma nuque à sa hauteur pour me la mordiller et lécher un peu, ce qui finit de me mettre complètement à ses ordres. Avec sa main il baisse son fute et sort sa bite. J’ouvre la bouche et d’un coup de reins habile, il me la rentre en entier. Sa main tient déjà ma tête fortement pour ne pas que je recule et il se met direct à me limer la bouche jusque dans la gorge par de grands à-coups. Je m’étouffe un peu et cela le fait rire tandis qu’il parle toujours au téléphone en arabe. Je ne comprends évidemment rien mais commence à me demander s’il n’est pas simplement en train de parler de moi. Je me redresse la bouche déjà bien baveuse, un fil de bave la relie à sa queue. Il me sourit et me fais signe de la main d’ôter mon tee-shirt .Il caresse sa queue toute humide de ma bave pendant ce temps et raccroche enfin.

 Il me dit :
« Habituellement les français ne savent pas sucer mais toi alors !... » et me tire fortement jusqu’à l’enjamber. Là il me serre d’un bras contre lui et me fourre sa langue dans la bouche et de l’autre main il baisse mon pantalon pour enlacer et caresser mes fesses. Ses doigts se dirigent directement sur mon trou, qu’il titille rapidement avant de me rentrer un doigt, sans ménagement. Je retire mes chaussures, il baisse mon fute complètement et me reprend dans la même position. Lui est encore assis les jambes écartées le jogging légèrement baissé dans le fond de mon canapé et moi suis comme une grosse pute, à poil dans ses bras, un doigt qui me traverse le cul et sa langue qui me dévore la bouche et tout le cou. Je sens sa queue qui se tend sous mes fesses. ¤

 

 

d

UNE INTRUSION MI-SAUVAGE MI DOUCE DANS MON APPART ET DANS MON CORPS

 

« Allez, mets-toi entre mes jambes pour bien me bouffer la teub, chiennasse » me dit-il de façon très autoritaire. « t’es trop beau gosse, je vais te niquer ma chienne ». Je le suce un peu comme ça puis il semble être vite à deux doigts de venir, je sens un léger gout de sperme sortir de son urètre. Il se lève, se dessape me demande de me m’assoir sur le bord  mon canapé. Il se plante devant moi et pose une jambe sur le canapé, pointant sa queue sous mon nez. Cette vue est parfaite pour moi, je vois sa queue circoncise, pas énorme, de taille normale, mais avec de belles couilles pendantes et poilues. Je suis un peu déçu qu’elle ne soit pas plus gigantesque vu la réputation des arabes mais je me dis qu’au rythme où il a l’air de vouloir me défoncer ça sera largement suffisant. Et oui, j’avais bien présagé. Il empoigne mon menton d’une main et de l’autre il me tire par les cheveux pour m’amener sur sa queue.

« Ouvre ta bouche en grand, sale pute que je teste le fond de ta gueule » et là il m’empale sur son membre jusqu’à la gorge. Cela me coupe la respiration mais il ne relâche pas la pression au contraire, il commence des va et viens très intenses. Je comprends vite que je n’ai pas le choix que de me concentrer pour ne pas avoir de nausée et pour respirer. Il me ravage la bouche environ 5 bonnes minutes à ce rythme. Je commence à transpirer et à baver de la bile qui s’écoule le long de son membre vers ses couilles puis parterre à chaque fois qu’il me la ressort rapidement avant de me la remettre. Puis une fois bien mouillé, il me ressort sa bite et m’écrase la face dans son entre-jambe en me tartinant toute ma bile sur le visage, je vois qu’il sourit en faisant ça.

« t’as une capote là que je te baise ? » je sors des capotes et du gel. Je le vois enfiler la capote et me dire de m allonger sur le ventre sur le canapé mais je ne le vois pas toucher au gel alors je me dépêche d’attraper la bouteille et de m’en appliquer un peu sur la rondelle. Heureusement, car il ne lubrifie pas sa queue, me monte dessus, me dit de tendre les fesses et me l’encastre d’un coup sec dans le cul. Je suis comme foudroyé, j’ai le souffle coupé et j’hallucine de voir comment se gougeât m’a pénétré sans précaution et le pire, c’est qu’il enchaine direct, en attrapant mes hanches, à me ramoner le cul. J’ai une douleur égale à une crampe alors je lui dis de démarrer plus doucement ce qui a pour effet, de l’énerver. Il me met un grand coup de reins sec pour bien me la caler dans le fond et d’une main, attrapant mes cheveux, il m’écrase la tête dans les coussins.

« Mais tais-toi connasse ! Tu voulais te faire ken non ? Alors fais-moi plaiz basta. » Ses mots m’excitent direct et mon cul s’ouvre et se détend aussitôt laissant la douleur pour du plaisir. Il me baise dans tous les sens en me bloquant toujours fortement les bras, les jambes ou la tête, je sens sa force tellement supérieure à moi. J’ai ses muscles écrasés sur mon visage. Sa queue me pilonne tellement  le cul que je finis par mouiller comme une meuf. Il finit par me mettre à genou, le cul très tendu en arrière et le dos redressé. Il s’encastre en moi, encercle mes hanches de ses mains qui viennent se rejoindre sur mon bas ventre, les doigts entrecroisés pour avoir une meilleure prise. Je sens que là, ça va être le bouquet final. Il me baise comme ça de plus en plus fort en tirant mon cul en arrière.

« Cambre petite salope, allez cambre ! »

Je cambre tellement que je sens son souffle juste dans ma nuque. Je pose mes mains sur ses cuisses en le serrant vers moi pour qu’il comprenne que je le veux toujours plus fort en moi. Il me souffle quelques mots à l’oreille. Des mots en arabe que je ne comprends pas. Et se met à gémir puis hurler, il me tient si fort avec ses bras que je ne peux plus bouger. Je sens sa queue qui se tend en moi puis ses gémissements deviennent des râles graves, juste dans mon oreille. Je sens 4 ou 5 à-coups de sa tige en moi. Dommage que cette putain de capote ne me permette pas de sentir son jus chaud s’écouler en moi. Il me mord la nuque et continue de me parler en arabe puis je m’affale sur le canapé en avant. Il reste un instant droit au-dessus de moi  puis me demande où il peut se laver. Je lui montre la direction, il revient, finit son verre, en se rhabillant et me dit :
« j’te laisse ma pute, t’as vraiment un cul de ouf. Je repasserai te voir quand je viens voir mes potes dans le quartier. » puis il me laisse à poil à bout de souffle sur mon canapé en claquant la porte.

Histoire vraie que j’ai vécu ce soir même !!! J’espère qu’il reviendra (et pourquoi pas avec ses potes du quartier -lol- 

 

 


 

 

https://cyrillo.biz/histoire-gay-2015-Le-Marocain-01.php

 

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JULIEN A LA RENCONTRE D'UN KARIM EBLOUISSANT

 

 

 

J'ai chassé pas mal d'inhibitions de ma tête, en particulier sperme et salive en abondance

 

Je me régale à caresser ce corps sec et chaud, et j'ai l'impression que lui

 

aussi aime que mes mains effleurent sa peau dans les moindres recoins.

- Tu es Marocain ?

- Oui… Pourquoi ?

- T'as un super corps ! J'adore… Et il sourit.

Et subitement, il se penche vers moi et m'embrasse !
Un baiser extraordinaire, très mouillé. Sa salive déborde des coins de ma bouche, sa langue fouille la mienne, empêche toute initiative de ma part. C'est la première fois que j'embrasse un Arabe, la première fois qu'une bouche me dévore de la sorte… Jamais avec mes copains on s'est roulé une pelle avec une telle fougue ! Et aussi brutalement qu'il a commencé, il s'arrête, prend ma tête entre ses mains et l'accompagne jusqu'à sa bite pour que je reprenne ma fellation. Pendant que je le suce, il m'enlève mon polo et fait glisser son jogging vers le bas, puis s'en débarrasse. Il glisse une main le long de mes reins, sous mon jeans, puis sous mon slip et passe un doigt dans ma raie. Je me cambre… le contact de sa main entre mes fesses m'excite… Ce mouvement, que je n'ai pas pu réprimer, lui laisse deviner que je ne suis pas trop reticent à ce qu'il s'occupe de cette partie intime de mon anatomie. Il me redresse, baisse mon jeans et mon slip. Il peut maintenant voir que je bande à mort… autant que lui… Il m'entraîne dans la pièce à côté, où il me jette brutalement sur le lit. Je me retrouve couché sur le ventre, le cul en l'air, face à lui. Il saisit à pleines mains mes fesses et commence à les malaxer. Et, se couchant sur moi, tend sa bouche vers la mienne pour me rouler une nouvelle pelle. Très vite, il glisse le long de mon corps et commence à me mordiller les fesses. Il me les lèche… Je
me trémousse de plaisir… Je n'en peux plus quand je sens sa langue s'insinuer dans ma raie et s'arrêter sur ma rondelle. Comme quand il m'a roulé une pelle, il emploie une quantité incroyable de salive, que je sens couler sur mes couilles et me pénétrer en même temps que sa langue… On ne m'a jamais fait çà ! J'en gémis de plaisir, ce qui l'encourage à en faire encore davantage. Il a l'air déchaîné… Un doigt vient forcer mon sphincter; je le sens qui entre doucement, mais de plus en plus profondément… J'adore ! c'est bien plus jouissif que les godes que je m'enfile tout seul. Deux doigts. Il écarte bien les parois… il met en même temps la pointe de sa langue. Que c'est bon ! Je bande comme jamais. Je n'attends plus qu'une chose : qu'il me prenne ! Et tant pis si ça me fait mal, si sa queue est trop grosse, si j'ai mal au cul pendant une semaine !! J'ai trop envie de sentir sa chair chaude me pénétrer, sa longue et grosse bite me fourrager le fion, ses couilles frapper contre mes fesses. Et mon souhait va se réaliser. Tout en douceur… comme un pro qu'il est. Je m'étonne que la douleur ne soit pas plus forte… Ça me brûle… c'est vrai. Mais rien d'insupportable. Et si je ne sentais pas sa verge entrer et sortir, je pourrais croire qu'il n'a pas encore commencé à m'enculer… "Tu aimes ? Tu la sens ?" Je réponds ausssitôt que c'est la première fois que je me fais baiser, et que bien sûr j'adore…. Il rigole. Content de dépuceler un jeune mec et que mon cul soit capable de recevoir son bel outil !

Comme pour me remercier, il me tend sa bouche pour qu'un nouveau baiser baveux consacre notre union. Puis il me met sur le côté, lève une de mes jambes et me prend dans cette nouvelle position. Sa queue entre encore plus profondément en moi. Je n'ai pas du tout mal et mon amant peut voir ma bite bien droite. Je suis super excité par ce qu'il me fait. Il faut dire qu'il baise come un chef. A se demander s'il ne fait pas çà professionnellement : n'est-il pas gigolo, ou acteur porno ? Il va me baiser dans cette position une bonne dizaine de minutes. Il transpire et la sueur colle nos deux corps. Il est bien chaud le mec et de temps en temps donne des coups de reins qui enfoncent encore plus sa queue en moi. Je ponctue ses coups de bite plus violents d'un "ha !" plaintif, qui ne le dissuade pas de recommencer. Je sens qu'il est heureux, qu'il apprécie de me posséder, de baiser un mec à la peau claire… encore puceau ! Il me demande : "T'as quel âge ?" "Dix-neuf." "Dix-neuf ??" Il arrête de m'enculer et m'embrasse. Mais cette fois plus posément, comme un amoureux, tendrement. Il retire sa queue de mon cul et me demande de me mettre à quatre pattes. Tout en introduisant de nouveau sa queue entre mes fesses, il répète : "19 !???... et t'avais jamais fait l'amour ?" "Si… avec un copain, mais pas comme çà…" " Comment pas comme çà ? Tu aimes comme je te baise ?" "C'est clair… on voit que t'as de l'expérience…" Il s'arrête, sort sa queue, se couche sur le dos : "Allez, à toi ! Amuse-toi avec ma queue ! Assis-toi dessus et fais-la bien rentrer !" En me disant çà, ses yeux brillent d'envie; il est heureux que je sois son jouet. Mais moi aussi je suis comblé : en une seule fois, je goûte à tous les plaisirs qui s'offrent à un passif. Sans me faire prier, je m'empale sur son dard toujours aussi raide et dur. Mais très vite, je sens que la brûlure est intolérable : sa bite n'est entrée qu'à moitié et j'ai l'impression qu'elle me transperce de haut en bas. J'interromps la pénétration, mais mon amant pousse sa queue vers le haut pour, croit-il, m'aider. Pour la première fois, je gémis de douleur et le supplie d'arrêter. On se couche tous les deux sur le côté. "Tu veux pas que je te la mette bien au fond… j'ai envie de te donner mon jus…" (oh si c'était toi, tu diais quoi ? 

HELAS JULIEN DIT NON ?!  CE N'EST PAS CE QUE J'AURAIS FAIT

ONE SHOT C'EST TOUJOURS CA !

 

"Non, pas comme çà…ça fait trop mal…" Il paraît ne pas comprendre ce qui m'arrive : que se passé-t-il j'étais si content de ce qu'il me faisait… Puis, résigné, il se met à se masturber, lentement, faisant tourner sa main autour de sa queue. Sa bite circoncise ne coulisse pas bien, mais elle est de plus en plus gonflée, les veines de plus en plus apparentes; C'est beau de voir un beau mec bien membré se branler. J'approche ma bouche de son gland et lèche ce beau sexe violacé. Il est à genoux devant moi et semble prêt à décharger son arme. J'observe avec intérêt ce beau zeb d'Arabe sur le point d'éjaculer. Mais, je me trompe, mon bel amant va encore s'astiquer le chibre pendant cinq longues minutes avant de lâcher son premier jet de foutre. Une giclée qui va tout droit sur ma gueule, suivie de trois ou quatre autres tout aussi puissantes. Et mon amant me tend sa queue, d'où coule un filet de sperme : "Vas-y ! nettoie-la bien… laisse rien perdre, c'est des vitamines !" "Tu aimes ?", me demande-t-il. "J'adore… c'est super bon en plus ton sperme est super épais !" -"T'es un vicieux, toi !"

On s'arrête, pourtant je n'ai pas joui… Mais je pourrai toujours me branler ce soir dans mon lit en pensant à ce que je viens de vivre. Je me rhabille en vitesse. Lui reste à poil et me regarde. Puis il s'approche et me roule une dernière pelle. Je lui demande : "Tu t'appelles comment ? " "Karim… et toi ?" "Julien… On pourra se revoir et faire l'amour une autre fois ?" "Imposible, ça fait deux ans que je vis en Espagne… et je rentre chez moI demain. Ici, c'est la maison d'un cousin… Mais je n'oublierai pas ton beau cul et notre baise de cet après-midi." Et il m'embrasse une dernière fois.

 

 

[...] En Italiel’attitude du régime fasciste envers les homosexuels, les stratégies et les motivations sous-jacentes à l’action répressive contre eux, ainsi que le modèle de masculinité et le style de vie imposés par le fascisme. L’accent mis sur la morale sexuelle et sur la virilité, ainsi que les accusations de « pédérastie », permettent de comprendre l’usage politique de la question homosexuelle dans les rivalités politiques pour atteindre des positions de pouvoir et pour discréditer les adversaires ou éloigner des personnalités encombrantes. Mais ces formes de répression de l’homosexualité n’étaient pas toujours mises en pratique. Les individus qui avaient une double vie et qui se conformaient au standard de respectabilité prôné par ce régime pouvaient passer à travers ces mesures intrusives de la vie privée. Autrement dit, l’homosexualité était tolérée tant que cela restait dans la sphère privée. L’analyse de cette relation ambivalente entre public et privé révèle l’impact de l’expérience totalitaire fasciste sur les coutumes et la vie quotidienne, ainsi que les difficultés rencontrées par le régime dans la réalisation de la révolution anthropologique des Italiens.

 

 


 

NOTES SUR JEAN GENET : et le Journal du Voleur

 

Image associéeOn imagine Jean Genet et son amant, l'inspecteur Bernardini dans le Marseillle de 1943 au temps des rafles, des exécutions sommaires ou clandestines et des tortures. Cette année-là c'est la rafle du Vieux Port, la démolition du quartier, le 1er février 1943.  la déportation de ses habitants via le camp des MILLES.

Et dans tout ça on continue à draguer et à faire l'amour. C'est la vie. Ne cachons pas non plus les hésitations de Genet envers le nazisme. Mais il se corrigera. 

Âgé de trente-cinq ans, le narrateur, Jean (Genet), évoque un passé lourd : sa vie de 1932 à 1940. Il raconte son existence de misère en Espagne, dans le quartier interlope du Barrio Chino à Barcelone, où, prostitué, il partage les mœurs de la vermine avec Salvador, son amant crasseux, qu’il délaisse pour Stilitano, le manchot magnifique, maquereau et traître.

Abandonné par ce dernier, le narrateur raconte son dénuement sur les routes andalouses. Il fait part de ses pérégrinations en France, en Italie et en Europe centrale, où il rencontre Michaelis, chanteur des rues, amant puis compagnon de prison. Il évoque Java, ancien Waffen SS, traître qu’il admire. En 1936, à Anvers, il retrouve Stilitano enrichi par le trafic d’opium et la prostitution masculine. Armand, incarnation de la « brute parfaite », devient son amant, et avec Stilitano et Robert, dont il jalouse la complicité, il détrousse les pédérastes. Stilitano le pousse à trahir Armand. Il les abandonne et revient à Paris. Il évoque aussi sa rencontre, lors d’un séjour à Marseille, avec le policier Bernardini, qui l’a fasciné et dont il est devenu plus tard l’amant. À la Santé, il rencontre Guy avec lequel il a la révélation profonde du cambriolage. Avec Lucien, docile amant, il connaît la tranquille tendresse, mais cet amour le rapproche de la morale et lui fait connaître le regret de sa légende. r : Image associée      


« Abandonné par ma famille il me semblait déjà naturel d'aggraver cela par l'amour des garçons et cet amour par le vol, et le vol par le crime ou la complaisance du crime. Ainsi refusai-je décidément un monde qui m'avait refusé.

 

 

 

 

 

 

Par WAFFEN - Publié dans : CULTURE GAY & SOCIETES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 23 juillet 2 23 /07 /Juil 01:17

   Ces moments qui nous font battre le coeur : sinon la vie ne vaut rien ! désape-toi baisse ton froc, viiite ! que je te baise !

 

Résultat de recherche d'images pour "gif gay désape-toi"Vite , pourquoi vite ?  Résultat de recherche d'images pour "teen cheater watch the gay guys fucking on his ipad" Allons ! ne t'endors pas !

  

Image associée   Image associée Oui ! pourquoi

vite ?  

 

 

 

Ton coeur bat, tu pourrais m'aider, non ?.

  Image associée

 

 

 

 

il bat  mon coeur car je fantasme.

 

 Image associée  m il va me mettre c'est sûr Oh mon coeur mène-moi haut, mène-moi loin.

 

  Résultat de recherche d'images pour "GAY PORN CUL PLEIN DE NUTELLA"   -Attends, je me désape un peu plus  ! -Je sais qu'elle est grosse sa bite... 

  Image associée  oui je fantasme sur lui, sur nous je vais jouir sans me toucher, pourvu que ce ne soit pas trop vite Oh que mon coeur bat !

 

  Image associée      ça va être torride ! il va me baiser comme une reine avec sa queue comme un saucisson !i je... fantasme sur lui, sur nous  

.

il bat  mon coeur.

 

 

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     Image associée            

.

Image associéeil il bat  mon coeur.

 

 

 

Allez ! n'aie pas honte !

 

 

 

Regarde ! Est-ce que j'ai honte, moi ?

 

 

 

Allez, un dernier effort ! Tu vois! tu l'as fait. Putain ! tu es beau tu sais.

 

 

-" Embrasse-moi ! Caressons-nous !

- ok !  Ohhh elle est douce ta peau et tu as un gros paquet.(rires) C'est doux ! c'est excitant !

 

   Hunk with a Big Bulge in a Wrestling Singlet

 

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Image associée   

 

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  Image associée Allez, défais-toi et viens !   

 

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« ça te gêne pas cette bosse ?

  Baisse ton froc qu'on arrange ça !  »

 

      je vais être sans pitié ! 

Mon salaud tu le fais battre mon coeur. !!

 

  

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Il bat mon coeur.

 

Image associée allez suce !





   allez n'aie pas honte ! suce !

 

 

 

 

 


 

commentaire & notes : 

« CAR MOI J'Y CROIS ...Oui. Non je v dire, une déculottée n'est pas forcément suivie d'une fessée. Moi qui fantasme de subir une déculottée par quel Ben...vous savez et que mon cu fasse un gloup de sa grosse queue...Ben...allez... je cède ....va pour une fessée aussi. Oui, mais tendre et petite fessée, hein ?  Après une nuit sans plaisir(s) ce sera ma compensation». SAINPOZIUM

  

«La définition de déculottage dans le dictionnaire est action de déculotter ou de se déculotter; résultat de cette action. Mise à nu indiscrète. Exhibition de mauvais goût. »

 

 

déculottée (n.f.)

1.(familier)défaite humiliante.

 

déculotter (v. pron.)

1.retirer sa culotte.

2.céder, abandonner honteusement.

3.(populaire)adopter une attitude servile.

déculotter (v. trans.)

1.ôter la culotte de (qqn).

 LE BON TRUC : 

"Tu vois bien qu'en serrant tes pouces dans tes autres doigts tu n'as plus la nausée  au cours d'une gorge profonde"  

 

 

 

    C'est tjs à regret que je me re-fringue : la fête est finie pour aujourd'hui : on remballe le matos !

 


 

commentaire :

 

 

Putain qu'Il bat mon coeur.

 

  tu sais bien qu'il va enculer ton petit anus de puceau et tu en frémis de désir

 

  

 

 

 

Par SEXTRUCTOR - Publié dans : FOUS RIRES DECONNE (HUMOUR, FUN) - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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  • Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
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  • : BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
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