la pornographie, elle ne nous cache rien, au point qu'il y a des choses
qu'on nous fait voir, mais dont on se passe facilement
mon cul était encore presque neuf ...mais avec un noir c'était ma première...aujourd'hui je me ferais pas prier...qu'est-ce que je jouais ma mijaurée à "l'époque"
Allez ! n'aie pas honte !
Il bat mon coeur. |
Regarde ! Est-ce que j'ai honte, moi ?
Allez, un dernier effort ! Tu vois! tu l'as fait. Putain ! tu es beau tu sais.
-" Embrasse-moi ! Caressons-nous !
- ok ! Ohhh elle est douce ta peau et tu as un gros paquet.(rires) C'est doux ! c'est excitant !
Il bat mon coeur. |
contradictions et sentiment d'enfreindre la loi, car, si les adeptes du bacha bazi ont longtemps pu s'adonner à leurs soirées ouvertement, il n'en serait pas de même aujourd'hui. La pratique a en effet été successivement interdite par les talibans après leur accession au pouvoir – paradoxalement, les talibans ont pourtant la réputation d'être en secret de grands amateurs et consommateurs de bacha bazi –
https://francais.rt.com/international/26279-afghanistan--tradition-permet-recruter
Filmé par les équipes de RT, parties en Afghanistan enquêter sur cette coutume controversée, Japar plante le décor, et évoque sans tabou une pratique sanctionnée par le code pénal en Occident mais justifiée Afghanistan, au nom de la culture et de la tradition.
Agés de 6 à 16 ans, les bachas bazi, littéralement «garçons-jouets» incarnent en effet le fantasme absolu de nombreux afghans. Cette coutume pédophile permet aux hommes, même mariés, d'assouvir leurs pulsions, tolérées envers les garçons même si le sujet est tabou, mais impensables sur de jeunes filles.
Fait étonnant : les adeptes de bacha bazi nient farouchement être homosexuels, même s'ils fantasment sur de jeunes garçons et couchent avec eux. «Etre gay est un concept occidental, c'est une revendication. Les hommes qui couchent avec des garçons ne sont pas forcément homosexuels. Dans le jargon, on les appelle les MSM [Men Sexually Involved with Men]», explique Qasim Iqbal, président de l'association LGBT Naz Pakistan, auteur d'un rapport sur le bacha bazi.
Les bachas : un substitut aux femmes
En Afghanistan, la pratique d'un islam stricte et le respect des traditions limitent, voire interdisent, les interactions entre hommes et femmes, surtout dans les zones rurales où se déroulent la majorité des bacha bazi.
Les femmes, invisibles sous leurs burqas, inaccessibles et cantonnées le plus souvent aux tâches domestiques dans ces zones, représentent la mère, l'épouse convenable. Elles ne peuvent en aucun cas être l'objet de fantasmes, puisque leur rôle est avant tout d'assurer la descendance et de garantir l'honneur de la famille. Alors pour les fantasmes, il y a les jeunes garçons, pré pubères et imberbes, aux visages fins et aux poignets délicats, qui rappellent les filles.
Chaque soir ou presque, au son des tambourins, un ou plusieurs bacha dansent, clochettes aux pied et maquillés de façon outrancière, devant une assistance composée exclusivement d'hommes mûrs barbus qui les dévorent des yeux et attendent avec impatience la fin de la soirée pour passer quelques heures avec le garçon de leur choix.
La pauvreté, terreau de la prostitution infantile
Présentée comme une pratique culturelle, le bacha bazi s'inscrit néanmoins dans un contexte socio-économique marqué par les inégalités et la pauvreté. En Afghanistan, les bacha sont toujours issus des mêmes couches sociales : ce sont des enfants issus de familles trop pauvres pour subvenir à leurs besoins, ce qui les met à la merci des hommes de pouvoir, chefs de guerre ou riches hommes d'affaire, qui rôdent dans les villages à la recherche de nouvelles «recrues».
Pour ceux qui dansent, c'est une question de survie : nourris, logés, et entretenus chez leur maître, sous le toit duquel ils cohabitent avec sa femme et ses enfants pendant plusieurs années, jusqu'à ce qu'ils soient jugés trop vieux pour être encore désirables, les bachas n'ont guère le choix. S'ils tentent de s'enfuir, ils risquent d'être retrouvés et tués par leur maître. S'ils partent, même avec le consentement du maître, ils retrouveront une vie misérable où chaque jour, ils auront faim. Alors certains, bon gré mal gré, se font à cette vie, qui leur permet au moins d'avoir le ventre plein et d'avoir un toit sur la tête. «Je veux être capable de m'assumer financièrement», explique Mohamed, un jeune bacha de 17 ans. «Je ne veux pas que les gens se disent que je suis pauvre», justifie-t-il.
Vendus comme «apprentis» par leur familles qui feignent d'ignorer ce à quoi les acheteurs les destinent, danser et se prostituer devient un échappatoire à une vie misérable, même si le prix à payer est très lourd.
Pour ceux qui exploitent les garçons, c'est à la fois un moyen d'avoir un esclave sexuel à domicile, mais aussi un signe de prestige : en Afghanistan, entretenir un ou plusieurs garçons permet de montrer qu'on a de l'argent.
Pratique interdite... et pourtant intouchable
Si les adeptes du bacha bazi ont longtemps pu s'adonner à leurs soirées ouvertement, il n'en n'est pas de même aujourd'hui. La pratique a en effet été successivement interdite par les talibans après leur accession au pouvoir – paradoxalement, les talibans ont pourtant la réputation d'être en secret de grands amateurs et consommateurs de bacha bazi – puis par le gouvernement afghan.
Il s'agit donc de rester discret, car dans les faits, la coutume reste vivace : souvent impliqués dans les bacha bazi, les représentants des autorités et de la police poursuivent rarement les propriétaires comme ces «play boys» rendant le problème quasi insoluble. «En Afghanistan, si vous avez de l'argent, vous êtes intouchable», déplore Qasim Iqbal.
censure : ces 3 vidéos ont été "volées" :
quel intérêt pour les censeurs ?
https://soligrecsnimes.collectif-citoyen.fr/2016/12/a-athenes-des-mineurs-isoles-afghans-contraints-de-se-prostituer-pour-survivre/
Selon un rapport, des réfugiés venus d'Afghanistan et de Syrie seraient contraints de se prostituer dans la rue en Grèce afin de survivre, quitte à vendre leurs faveurs au plus bas prix.
Légale en Grèce à condition d'être pratiquée dans une maison close, la prostitution est souvent pour de nombreux réfugiés désœuvrés la seule chance de survivre et de nourrir leur famille.
Avec l'afflux de réfugiés, les opportunités de trouver un emploi légal sont de plus en plus rares, provoquant une recrudescence de la prostitution féminine mais aussi masculine au rabais. En effet, des hommes, et parfois même des adolescents, vendent leur corps pour des tarifs pouvant descendre jusqu'à deux euros rapporte le Global Post.
Selon des statistiques publiées par la Commission européenne et rapportées dans The Independent, moins de 2% des migrants arrivés en Grèce se sont depuis déplacés dans d'autres pays européens.
commentaire :
il fallait que je ne manifeste que de la douleur, de l'horreur à ma soumission qui était censée être totalement forcée.
Meeerde.... déjà plus de PQ. Tu m'en fais passer STP dis-je à mon co-détenu...Merci !
J'ai chié devant-lui, je m'essuie de même mais je me dépèche de tirer la chasse pour l'odeur dans notre cellule exigüe. Tu t'y es fait dis-je à la vie à deux ! Je rigole : on n'est plus gênés par le manque forcé d'intimité. Tu sais que les romains avaient, en ville, des toilettes collectives, pas gênés pour autant.
-Je sais pas si ça favorisait les viols, mais ici en tôle oui, du moins dans les douches. J'en sais quelque chose. - Pourquoi, tu as été violé ? aux douches
? - A partir du moment où ça a été lancé, aux douches et ailleurs : en cellule, à l'atelier, au local de gym... Mon compagnon reste silencieux J'ai peur qu'une gêne ne
s'installe...allez, je poursuis :
- J'ai résisté au départ. Mais en cellule, à 6 comment veux-tu résister si les mecs t'ont désigné comme leur pute. Ils étaient cinq tous ligués contre moi. Les plus tièdes étaient forcés par les autres. Au bout de quelques "fois" comme ils voyaient que je ne déclenchais plus de bagarre quand, me tapant sur l'épaule l'un d'eux me signalait qu'il voulait se soulager dans mon cul, ce qui en général déclenchait un enculage en tournante, il me dit tu vois que tu aimes ça te faire enculer. Tu es une vraie tapette. Je proteste avec vigueur mais comme je ne veux pas que la discussion se prolonge, je me la ferme ! Six mois comme ça et maintenant on est dans une cellule à deux... Je te raconte ça mais pourquoi ça t'intéresserait ?
- si, si continue dit-il d'un air troublé
- ça a cessé. Mais je peux te dire que ça me manque. J'en ai pas honte. En prison, le manque d'affection doublé de la pire proximité des corps a transformé un homme totalement hétéro en pédale accomplie. Seulement il ne faut pas qu'ils le sachent car leur plaisir est de me faire subir des misères. Mais même en en faisant semblant de protester, en criant que ça me fait mal, en pleurant, ils ont réussi à deviner que, maintenant, j'avais du plaisir...
-Je suis sûr qu'il y en avait pas un seul si beau que toi dans la cellule et même tout l'étage...peut-être c'est ton joli cul qui est en cause ! Désolé !
- au point que si tu veux me baiser je serai content. Et toi tu te viderais les couilles. C'est vrai que si on commençait comme ça c'est différent. Tu le vois, je te le répète : la honte je connais plus ! Tu ne dis rien ? Je peux pas être plus clair !
- Ben je sais pas...d'abord faudrait que l'idée de te baiser me fasse bander. En fait je pense que ma peine va être longue. Faudra que je me fasse à l'absence de meufs...si ça se passe avec toi...peut-être, mais tu me fais pas bander.
- t'inquiète, je te suce quand tu veux, tu verras...tu aimeras et tu banderas. Y a un truc que je voulais te dire c'est que j'ai lu en bibliothèque que Laurence d'Arabie avait été fait prisonnier et avait été violé par les turcs. Il confie quelque part qu'il y prenait du plaisir...
il y aura probablement une suite
commentaire :
Oui, il se pourrait qu' il y ait eu 'une face cachée'du Bataclan comme si le massacre ne s'était pas suffi à lui-même. https://www.liberation.fr/checknews/2017/11/14/bonjour-y-a-t-il-eu-des-tortures-au-bataclan_1652742
Je me souviens de pareils récits pendant la guerre surnommée des 'événements d'Algérie'
‟NOV 2017[...on m'a dit qu’on lui avait coupé les testicules, qu’on les lui avait mis dans la bouche, et qu’il avait été éventré....]...[La seule partie montrable de votre fils est son profil gauche.” J’ai constaté qu’il n’avait plus d’œil droit. J’en ai fait la remarque ; il m’a été répondu qu’ils lui avaient crevé l’œil et enfoncé la face droite de son visage, d’où des hématomes très importants que nous avons pu tous constatés lors de sa mise en bière. »]
Question posée à Libération par Arnaud le 13/11/2017
Bonjour,
Un certain nombre de sites conspirationnistes, mais aussi de médias traditionnels français et internationaux ont évoqué des cas de tortures au Bataclan. Ces affirmations font suite à la publication en 5 juillet 2016 du rapport de la commission d’enquête relative aux moyens de l’Etat pour lutter contre le terrorisme, dirigée par Georges Fenech, qui mentionne deux témoignages indirects allant dans ce sens. Mais le contenu des nombreuses auditions réalisées dans le cadre de ce travail indique qu'il s'agit de rumeurs que rien ne vient étayer, ni témoignage direct (de survivants ou de policiers), ni compte-rendu d'autopsie.
Deux témoignages ont donc nourri la rumeur d'actes de tortures et de barbarie.
Le premier est celui de M.T.P, bigadier chef de la BAC qui a évoqué des cas de tortures :
M. T. P. Des corps n’ont pas été présentés aux familles parce qu’il y a eu des gens décapités, des gens égorgés, des gens qui ont été éviscérés. Il y a des femmes qui ont pris des coups de couteau au niveau des appareils génitaux.
Pierre Lellouche. Les exactions sur les gens se sont déroulées à quel endroit ?
M. T. P. À l’étage.
Pierre Lellouche. Cela se passe après que l’individu que vous avez blessé est remonté ?
M. T. P. Je pense même que ça s’est produit avant, mais ce n’est que mon avis personnel. Pendant que nous fixions un terroriste à la porte de secours, un autre faisait toutes ces choses ignobles à l’étage.
Un peu plus loin lors de l'audition, le brigadier chef concède qu'il n'a rien vu lui même, et que ces affirmations reposent sur un témoignage d'un autre policier qu'il aurait recueilli.
Georges Fenech. Pour l’information de la commission d’enquête, monsieur P. T., pouvez-vous nous dire comment vous avez appris qu’il y avait eu des actes de barbarie à l’intérieur du Bataclan : décapitations, éviscérations, énucléations… ?
M. T. P. Après l’assaut, nous étions avec des collègues au niveau du passage Saint Pierre-Amelot lorsque j’ai vu sortir un enquêteur en pleurs qui est allé vomir. Il nous a dit ce qu’il avait vu. Je ne connaissais pas ce collègue, mais il avait été tellement choqué que c’est sorti naturellement.
Aucun témoignage (de policier ou autre personne) n'est venu confirmer cette version.
Le deuxième témoigage est celui d'un parent d'une victime ayant affirmé dans un courrier que l'institut médico-légal lui avait dit qu'on avait «coupé les testicules de son fils, qu’on les lui avait mis dans la bouche, et qu’il avait été éventré». Cette lettre a été évoquée par Georges Fenech. Mais ces faits ont été totalement infirmés lors des auditions, que ce soit par Michel Cadot, préfet de police de Paris, ou Christian Sainte, directeur de la police judiciaire.
Georges Fenech. En effet, la commission est troublée par ces informations, qui n’ont filtré nulle part. Ainsi, le père de l’une des victimes m’a adressé la copie d’une lettre qu’il a transmise au juge d’instruction, que je cite en résumant : « Sur les causes de la mort de mon fils A., à l’institut médico-légal de Paris, on m’a dit, et ce avec des réserves compte tenu du choc que cela représentait pour moi à cet instant-là, qu’on lui avait coupé les testicules, qu’on les lui avait mis dans la bouche, et qu’il avait été éventré. Lorsque je l’ai vu derrière une vitre, allongé sur une table, un linceul blanc le recouvrant jusqu’au cou, une psychologue m’accompagnait. Cette dernière m’a dit : ‟La seule partie montrable de votre fils est son profil gauche.” J’ai constaté qu’il n’avait plus d’œil droit. J’en ai fait la remarque ; il m’a été répondu qu’ils lui avaient crevé l’œil et enfoncé la face droite de son visage, d’où des hématomes très importants que nous avons pu tous constatés lors de sa mise en bière. » Ce témoignage précis pourrait corroborer les propos que nous a tenus l’un des fonctionnaires de la BAC, selon lequel l’un des enquêteurs a vomi immédiatement en sortant du Bataclan après avoir constaté une décapitation et des éviscérations. Avez-vous connaissance de tels faits ?
Michel Cadot. Je n’ai eu aucune connaissance de ces faits, ni par l’Institut médico-légal ni par les fonctionnaires en question. Il appartient de toute évidence à l’enquête judiciaire d’en apprécier la véracité. J’ai néanmoins compris qu’il n’a été retrouvé sur le site de l’attaque aucun couteau ni aucun autre engin tranchant qui aurait permis ce type de mutilations. Il sera aisé de le vérifier dans le cadre de l’enquête. En ce qui me concerne, encore une fois, je n'ai reçu aucun message de la sorte provenant de l’Institut médico-légal ou de la direction de tutelle de la BAC concernée.
Christian Sainte. Je ne peux guère m’avancer sur ce point, compte tenu de l’état de l’enquête, mais rien, en l’état actuel de mes connaissances, ne me permet de penser que ce qui vient d’être lu est juste. Je précise, pour que les choses soient claires, que certains des corps retrouvés au Bataclan étaient extrêmement mutilés par les explosions et par les armes, à tel point qu’il fut parfois difficile de reconstituer les corps démembrés. Autrement dit, les blessures que décrit ce père peuvent aussi avoir été causées par des armes automatiques, par les explosions ou par les projections de clous et de boulons qui en ont résulté.
Georges Fenech. On lui aurait mis ses testicules dans la bouche…
Christian Sainte. Je ne dispose pas de cette information et, si ces faits avaient été établis, je pense qu’une telle information ne m’aurait pas échappé.
Lors de ces mêmes auditions, François Molins, procureur de Paris, a affirmé à son tour que la commission d'actes de barbarie ou de tortures étaient des rumeurs.
G.Fenech : À la suite des attentats de novembre, il a été évoqué la commission d’actes de barbarie.
F. Molins. C’est une rumeur. Les médecins légistes ont été formels : il n’y a pas eu d’acte de barbarie, pas d’utilisation, notamment, d’armes blanches. Selon un témoignage, les testicules d’une personne auraient été coupés, mais aucune constatation n’a permis de le corroborer.
En résumé, il existe deux témoignages indirects, l'un d'un policier disant s'être fait raconter des faits de tortures par un autre, l'autre d'un parent d'une victime disant avoir eu confirmation d'acte de tortures par l'Institut médico-légal. Mais ces affirmations ont été démenties par toutes les sources interrogées lors des auditions, sur la foi des autopsies pratiquées. Aucun témoignage direct ne vient les confirmer. Et aucune arme blanche rendant possible la commission de tels actes n'a été retrouvée sur place.
Cordialement
C.Mt
Réponse publiée le 14 novembre 2017
notes : recherche google
pornographie : les furies moralistes (de Paris ???) croient (??? )sauver les nations en supprimant la pornographie ! oh peuchère ....!!!
Je crois que les habits qu'on porte, pour la plupart sont faits pour faire
oublier le corps dans sa vérité superficielle et profonde; avant de
fréquenter la pornographie les gens à leur travail, les gens dns la rue,
etc...je ne les voyais que dans leur fonction,habillés. Ainsi la société nous
force à oublier notre vaie nature. Le bien que m'a apporté la
pornographie c'est d'arriver à imaginer autre chose d'eux, de leur vie...
ça ne suffit pas de se dire que tout le monde y va (est obligé d'y aller,
de baisser son froc, de s'essuyer...) et il y a les autres conduites de la vie
intime
la pornographie, elle ne nous cache rien, au point qu'il y a des choses
qu'on nous fait voir, mais dont on se passe facilement
on n'était pas là quand ils l'on fait !
L'AMOUR SE BOIT, SE VIT COMME DE L'EAU ! non averti on va être hypnotisé par la découverte du porno et quel que soit
l'âge "*on ne peut pas te définir", on te goûte, sans te
connaître.(et encore pas sûr !) le "rien" quoi ! et le "X porno"qui nous ouvre des portes -lol-"Tu nous pénètres d’un plaisir qui ne
s’explique point par les sens.Avec toi entrent en nous [des pouvoirs
inconnus...].Par ta grâce, s’ouvrent en nous toutes les sources [cachées] de notre cœur. "tu répands en nous un bonheur infiniment simple." (*emprunté à St
Exupéry)
j'aurais bien voulu qu'enfant on ne me cachât pas ces trésors du coeur et de l'âme. Moi j'ai mis plus de vingt ans
pour m'en remettre. La "société" n'a pas fini de revenir sur les "solutions", les expédients, à l'éducation des jeunes qu'elle trouve au fil des
événements. pornographie : les furies moralistes (de Paris ???) croient (??? )sauver les nations en la supprimant oh peuchère
....!!!
Entre érotique et pornographique la nuance est ténue, la pornographie de l’un commençant là où s’arrête l’érotisme de l’autre. Disons que la différence, si on parle livres, c’est que le roman pornographique a plus une visée d’excitation directe, et est censé, s’il est bon, se lire à une main, tandis que le roman érotique peut nourrir, notre fantasmatique, mais sans forcément nous donner envie de le faire ICI ET MAINTENANT…
Cette littérature et ces films, ces photos, considérés comme un sous-genre ont d’une part contribué en grande partie à l'éducation sexuelle et sensuelle, et sont encore aujourd’hui, pour les petits et les grands, source de découvertes sur les plaisirs infinis des sexualités humaines. Et ce n'est pas fini, espérons-le ! Mettez un livre , une image une vidéo, un récit, au secret et vous verrez que tous chercheront à les découvrir !
Pour vous expliquer en quoi il est fabuleux d'aimer la pornographie mais ce n’est pas facile à placer car c'est mal vu des bien pensants qui ont nié toute leur vie qu'ils en lisaient, regardaient sur le net et se branlaient en le faisant. Laissons ces gens à leur triste sort et régalons nous de cavaillongay-lesitelocal !
Jean-Jacques Pauvert éditeur X et XX, l’a désigné comme "le dernier des pornographes". Prions pour que ce ne soit pas le cas, que des générations d’auteurs de livres, de films de photos suivent son chemin.
Je m'attendais à de la bi-sexualité avec ce titre et ce préfixe "bi"*, mais non. La chose admirable c'est que c'est (d)jeune, écrit par un 4e âge ! " Me voici, parvenu à un âge où l’on se contente généralement de jouer à la pétanque ou de faire des mots croisés. Et pourtant, j’en suis le premier étonné, je continue, contre vents et marées, à écrire des bouquins de cul." Devinez facilement que son lectorat va des moineaux adolescent(e)s aux aigles fourbus et presbytes (oh sans jeu de mots !) Admettez que vous n'en aurez pas fini avec l'érotisme et la pornographie, même quand Dieu vous aura retiré ce qui faisait de vous un magicien recherché.
d’Esparbec (La Musardine)
On est ici dans le pur roman pornographique, qui se lit à une main. "Les Biscuitières" est le nouveau roman d'un maître de l’écriture porno.
Cette histoire de jeune fille débarquant dans une biscuiterie, initiée aux jeux du saphisme et de la domination féminine, n’est pas le meilleur roman d’Esparbec. "La Jument", ou encore "La Pharmacienne", sembleraient d'un meilleur jus.
l’écriture d’Esparbec, qui a plus de 80 ans, reste toutefois contemporaine, transgressive, parfois choquante, mais très souvent excitante.
* "biscuit" c'est le pseudo choisi par Julien webmaster d'un site bisex à Avignon
"Que fabriquent donc les hommes ensemble ?" de Michel Vignard, aux éditions la Musardine. L’ambition de cet ouvrage ? "Lever un coin du voile, explorant sans préjugé, sans limite et sans tabou l′attirance millénaire des hommes pour d′autres hommes". Des textes très souvent méconnus, des mises en scène troublantes de la beauté des corps masculins, que l’on dévore...
d
La liste pourrait être très longue : il y a bien sûr des classiques aux centaines d'e-books que nous lisons sur nos tablettes ...
voici des nouveautés disponibles tout de suite :
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Suite à la parution de Roland est mort de Nicolas Robin aux Éditions Anne Carrière, Nicolas Robin nous autorise à publier à nouveau son tut nouveau livre : Bébé requin (également disponible : Super Tragique)
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