Will, as-tu rêvé d'une baise initiatrice et géante ? Eh ben voilà ! (c'est toi qui dis : les souhaits se réalisent
quelquefois ! )
Turaak photo Argoul
D'après Will sur :
http://stories.badpuppy.com/A/ArabCock/
le pays des grosses
bites
À mes 18 ans, pour compléter mes études,mes parents m'ont permis de prendre l'avion pour aller en Arabie
Saoudite afin de passer du temps avec un ami de la famille à Al-Hasa. Le capitaine Gregory Ackers était un ancien pilote de l'armée et mon père et lui avaient fait la
guerre ensemble pendant la guerre du Golfe. Il vivait maintenant à Al-Hasa et participait à un projet d'ingénierie de plusieurs milliards de dollars approuvé par les États-Unis. En tout
cas, toute ma vie, j'avais eu un étrange béguin pour le capitaine Greg. Il semblait toujours me faire sentir tout 'drôle' par la façon dont il me regardait et me traitait. Et maintenant qu’il
avait demandé à mes parents de me laisser passer un été avec lui dans une métropole exotique d’Arabie, cela me paraissait trop beau pour être vrai. Al-Hasa est la plus grande oasis du royaume
d’Arabie saoudite et est imprégnée d’histoire et du folklore arabes anciens.
Dès mon arrivée, le capitaine Greg s'est dévoué à ma personne, faisant tout son possible pour que je me sente à l'aise et chez moi. Ses grands et
beaux yeux bleus me donnaient tout le temps une sorte de vertige, ma tête en était affaiblie, mes genoux fléchissaient et ma gorge se serrait. Sa forme physique et son physique musclé ne
semblaient pas être ceux d'un homme aux 40 ans de sa vie. Son apparence, son charme et son magnétisme faisaient que des célébrités telles que George Clooney et Brad Pitt ont l’air ternes et plats
à côté de lui. Je ne me souviens pas avoir jamais été aussi heureux. Et même si, dans une conversation informelle, il a affirmé être contre le style de vie gay, il me semble toujours que je
n'avais pas tort d'en rester à ces premières impressions et à cette ambiance magique. Peut-être que c'était juste mon imagination. Je ne me considérais pas comme un «gai», même si j’ai eu
quelques contacts secrets avec un copain d’école une ou deux fois. Mais mon fantasme sexuel secret dès l'âge de 12 ans a été de souhaiter faire l'amour avec un gars robuste qui
s'appelait Alex, plus âgé que moi et très viril, personnalité intelligente et rebelle, un gars qui aurait pu complètement me dominer et cependant avait laissé mon cul sage.
J'étais donc très heureux d'être seul et proche du Capt Greg, que je présumais pouvoir être, en certaines circonstances, un véritable maître 'd'apprentissage'.
La maison était géniale et, à certaines occasions, il était complètement libre de marcher nu tout autour de moi à travers toute la maison .
J'étais profondément embarrassé parce que bandais dur comme du bois instantanément et je ne voulais pas que, le remarquant, il me renvoie chez moi avant même de commencer mon été. Mais en toute
occasion, vous pouvez parier votre joli cul que je l'espionnais ; il m'a même surpris en train de le suivre à un moment donné. Ouais, ouf, c'était chaud!
Avant mon arrivée, le capitaine Greg avait commencé à construire une extension au-dessus de son immense
garage. Mais il y avait eu quelques petits vols dans le quartier et il avait décidé d'engager un gardien qui reste la nuit sur les lieux jusqu'à la fin des travaux. La société avec laquelle il
travaillait avait recommandé un Arabe sain et digne de confiance issu d’une bonne famille vivant dans une province voisine. Et un après-midi environ une semaine après mon arrivée, on sonna à la
porte et le Capt Greg me demanda de faire entrer la personne. J'ai ouvert la porte et Hot Damn comme on dit dans les BD adultes, ce fut le coup de foudre.
A ce jeu je n'ai pas fait qu'observer
Cet homme énorme, au teint noir et à la peau
sombre, à l'accent épais, balbutiait qu'il se nommait Turaak et qu'il aimerait parler à l'homme de la maison. Je ne pouvais pas m'empêcher de lorgner l'énorme et bel arabe qui se
tenait devant moi. Partant de la tête lisse et rasée, les traits rugueux et intempestifs, le cou de taureau qui se heurtait à ses énormes épaules musclées, d'où descendaient ses gros bras
musclés et sa légère panse d'estomac. Il portait une ample chemise en coton et un large pantalon également en coton
En revenant de ma surpise, j'ai finalement pu articuler que M. Ackers était dans le bureau et j'ai ensuite montré le chemin, me
retournant pour m'assurer qu'il me suivait. Et, alors que je me retournais, j'ai soudainement remarqué cette énorme bite qui se balançait contre sa jambe de pantalon. Sans m'en rendre
compte, je m'arrêtai net et restai bouche bée. J'étais complètement fasciné par la vue. Je me suis senti à la fois étourdi et euphorique. Mon coeur bondissait de joie à cette découverte.
Turaak s'arrêta alors, une expression de perplexité sur le visage qui se transforma instantanément en un grand sourire de connivence. Il étendit lentement la main en coquille et soutint son
énorme bosse ; tirant le tissu vers le haut, il fit surgir son énorme queue et ses couilles sous l'étoffe.
"Tu t'assures que Turaak obtienne ce nouveau travail, et Turaak te laissera avoir ces nouveaux jouets", murmura le séduisant et sombre
Arabe en se caressant l'entrejambe.
Hypnotiquement, je sentis ma tête hocher vigoureusement en signe d'assentiment et le guidai vers le bureau. Je le présentai et commençai
rapidement à préparer le terrain, en commentant que sa taille, sa construction et son apparence semblaient à même d'effrayer le plus féroce des voleurs . Et, en même temps que je marchais près de
lui, je tentais simultanément et désespérément de cacher la fureur qui faisait rage dans mon pantalon. Turaak le remarqua et me lança un clin d'œil coquin plusieurs
fois lorsque le capitaine Greg ne regardait pas dans sa direction.
Finalement, le Capt Greg décida que Turaak ferait l'affaire et devait commencer à travailler dès ce soir-là. OUI!
Alors que je marchais dans la maison en compagnie de ce grand arabe de plus de six pieds de haut, j'ai soudainement senti sa main énorme
et brûlante sur mon épaule - et quand nous avons atteint le couloir, il m'a arrêté. Prenant ma main dans sa main géante, il la posa sur le gros renflement entre ses jambes.
"Allez, touche-les ! Ils sont à toi maintenant ! tu aimes?" balbutia-t-il doucement.
Je tâtai l'énorme bite semi érigée et les couilles, ma main se réjouit de leur taille phénoménale . Soudain, une porte claqua et Turaak
recula nerveusement. Souriant, il jeta un coup d'œil autour de lui.
"On s'amusera ce soir, mon petit garçon", murmura le géant arabe en sortant par la porte latérale de la cuisine.
Je me retournai et montai comme un fou les escaliers menant à ma chambre. En retirant mon pantalon, je commençai à me branler sauvagement . Et trop
tôt. J'étais sous tension et tremblant et des fusées explosives de mon sperme volèrent dans les airs partout dans la pièce. Je n'avais jamais ressenti cette excitation auparavant. DINGUE
NON ? Et alors que je m'effondrais épuisé sur mon lit, je commençai à évoquer toutes sortes d'images nues de ce géant Arabe et de sa queue de mammouth. Il avait 38 ans et était veuf avec
trois enfants. J'en prenais seulement conscience alors qu'il répondait au capitaine Greg. J'avais été trop occupé à l'étudier physiquement depuis sa tête rasée sexy jusqu'à ses énormes pieds
alors que sa situation socia!e méritait de la considération .
A cinq heures précises le capitaine Greg et moi avons regardé Turaak remonter l'allée. Nous sommes sortis pour le saluer et lui avons
montré où il allait devoir surveiller. Le capitaine Greg a demandé s'il avait mangé. Quand Turaak lui fit voir sa boîte à lunch, Greg lui proposa d'utiliser la kitchenette déjà terminée dans le
garage spacieux pour réchauffer sa nourriture et se faire du thé ou du café. Turaak le remercia beaucoup et lui expliqua qu'il était gardien depuis de nombreuses années et qu'il ne
fallait pas s'inquiéter, que tout et tout le monde allait être en sécurité. Après avoir suivi quelques instructions élémentaires, le Capt Greg est retourné dans la maison. Je lui ai dit que
j'allais rester quelques minutes. Quand il fut à l'abri des regards Turaak me fit signe de le suivre alors qu'il prétendait inspecter le niveau supérieur de l'aménagement du bâtiment. En
montant les escaliers, je l'ai suivi jusqu'à ce que nous soyons dans la partie à moitié construite du bâtiment. Les murs étaient en place, mais pas de fenêtres. Turaak se retourna. Face à moi, il
a laissé tomber son pantalon et a soulevé sa tunique, me dévoilant son torse viril à la peau sombre. La vue était si impressionnante que j'ai commencé à respirer rapidement comme si j'allais
m'évanouir. Tout mon corps tremblait. Largement écarquillés, mes yeux bleus de bébé buvaient avidement dans cette peau sombre et brillante et ce corps à la pilosité généreuse. Je fixai ses
énormes pectoraux et ces gros mamelons durs et poilus. Mes yeux s'égarèrent ensuite vers son ventre très musclé recouvert de tourbillons épais et poilus; et ensuite vers son buisson pubien
très épais [wow] qui couronnait parfaitement son énorme queue semi-flasque. Et même dans son état un peu flasque, elle était encore proche de 20 cm de long et au moins 12 cm de
circonférence. Sous l'énorme queue se nichait une paire de boules en bonne santé de la taille d'un citron. Étourdi, je fixai la masse considérable de chair et de poils prenant conscience
avec excitation du prépuce épais recouvrant la tête massive de cette queue.
"Tu aimes tes nouveaux jouets?", Demanda l'homme aux yeux somnolents alors qu'il poussait sans manière ses bijoux de famille vers
moi.
En m'avançant vers lui je dis oui dans le même état qu'un gamin dans un magasin de bonbons. Mon cœur tonnant bruyamment à mes oreilles, je cherchai avec impatience l'énorme queue. C'était si
épais, si chaud et si satiné, que mes mains l'ont entouré avec gratitude. J'étais aussi heureux qu'un porc dans sa bauge alors que je serrais avidement le morceau plein de viande
massive ; les veines le long de sa hampe étaient presque aussi épaisses qu'un crayon. Je le saisis doucement, tirant lentement vers le bas, découvrant une énorme tête de bite
pourpre. Aaaaah, ce doux arôme de prince arabe. Ce parfum enveloppant m'a rendu aussi étourdi qu'un homme qui arrive au paradis. C'était comme si je venais d'inhaler du poppers. C’était
l’arôme le plus envoûtant que j’aie jamais expérimenté avant mes dix-huit ans. La tête violacée avait la taille d'une prune et la fente était caverneuse. La main refermée plus
loin en arrière, je découvris complètement la tête bulbeuse, alors que je sentais le pouls de l'arbre qui commençait à s'épaissir rapidement. Je le branlais lentement alors que le
géant arabe gémissait doucement. «J'ai su que tu m'aimais dès que j'ai vu tes yeux et comme je les vois aujourd'hui. Tes yeux me disent tout".
L'immense morceau de viande raide entre mes doigts a sauté et a brusquement tremblé, et a commencé à palpiter violemment alors que mes mains exploratrices le caressaient amoureusement,
l'adorant avec cette envie de luxure qui nous porte en avant alors que c'est totalement nouveau pour nous. L'énorme tuyau Arabe s'allongea et se gonfla jusqu'à ce que je frémisse à sa vue, à
la sensation soyeuse et à l'odeur suave qui en émanait. Ma propre bite était si incroyablement dure qu'elle me causait un plaisir inimaginable. Lorsque son pénis eut atteint sa taille
maximale, il était aussi épais qu'une canette de bière et long d'au moins 30 cm. En glissant mes mains tremblantes de haut en bas, j'ai remarqué que le sexe monstrueux avait une légère
courbe ; la courbe lui donnait un caractère plus majestueux, à la fois royal et humain.
Tandis que je branlais sa viande, l'énorme arabe se baissa et souleva son énorme scrotum dans sa main gauche. Il massa et pressa ses énormes boules velues, en sueur, de la taille d'un citron.
Ce qui semblait être d'une force herculéenne avait sa faiblesse : il se tortilla et gémit à la fois du contact de mes mains sur son poteau raide et de son énorme main serrant et
titillant son arbre de joie. Un flot alléchant de pré-éjaculatoire commença à jaillir de l'oeil amoureux de cette tête en forme de bulbe. Bientôt, mes branlettes régulières commencaient
à provoquer un gémissement continu et régulier, provoqué par le frottement de la paume de ma main qui recouvrait, puis découvrait la grosse tête d'un violet sombre. Merde alors ! c'était
chaud !
Turaak gémissant en arabe de plus en plus fort jusqu'à ce qu'il me saisisse soudain par la nuque, écrasant mon visage et mes lèvres fermement
contre son pénis royal. Il a commencé à répandre follement cette rivière de liquide sur mes lèvres, mon nez, mon front et mes joues. Sans hésiter, je commençais à lécher furieusement cette
tête monstrueuse, savourant chaque lipée savoureuse. Il m'a ordonné grossièrement de mordre le long de la crête épaisse de son gland et de plonger ma langue dans la fente d'un demi-pouce
de son méat.
Ses jambes épaisses et poilues se mirent à trembler tandis que ses gémissements enchaînés et répétés se faisaient plus audibles. Je lui ai
gentiment tapoté les cuisses et l'ai averti que le capt Greg pourrait entendre s'il était trop bruyant. D'accord avec moi il se tut, sa main gauche attrapa un de ses gros mamelons bruns et
commença à le serrer et à le tirer. Il grimaça en grinçant des dents et ses yeux roulèrent dans sa tête, tandis que, dans le même temps, son sexe déjà monstrueusement érigé semblait
s'étirer encore plus loin.
Je branlais vigoureusement cette bite géniale avec les deux mains en le léchant goulûment, l'embrassant et le mordillant. Ce devait être
un bon 35 cm dur comme un roc maintenant. Je le jure ! Ses énormes cuisses musclées se gonflèrent de tension. L'odeur masculine et musquée de Turaak ressemblait à quelque chose que je
n'avais jamais eu l'occasion d'apprécier auparavant. Tout son pubis humide et moite exhalait comme un encens exotique enivrant; la tête me tournait, enivrée par le besoin
insensé que j'éprouvais de cet homme. Je voulais le posséder; voulais dévorer chaque pouce de son corps majestueux.
J'ai enlevé une main de son énorme queue qui tremblait et je l'ai fait passer à une fesse ronde, ferme et velue. Il relâcha ses
muscles tendus et je parcourus lentement de ma main le buisson épais de ses poils anaux trempés jusqu'à ce que je trouve sa chatte sacrée d'homme musulman, étonné, dans mon
audace inédite, que cela fît partie des 'jouets' qu'il me donnait... Rapidement, il fit bouger ses jambes pour que mes doigts inquisiteurs puissent explorer son trou de balle brûlant et
ardant. Doucement, je sondai la rosette plissée jusqu'à ce que mon doigt pénètre lentement dans le tunnel incandescent et brûlant.
Il beugla fort, enfonçant son trou contre mon doigt intrusif pendant une seconde ou deux. Puis il
tendit la main et sortit mon doigt de son trou torride et le plaça entre ses lèvres épaisses. Il a sucé et léché avec voracité jusqu'à ce que la moitié de ma main soit finalement dans sa
bouche. Après avoir sucé et pressé ma main avec sa salive, il l'a ensuite ramenée dans son trou du cul et inséré à nouveau mon doigt. Puis, avec ses instructions, j'ai inséré deux doigts et
ainsi de suite, jusqu'à ce que quatre doigts et la moitié de ma main soient fermement intégrés. (Je l'imaginai alors expérimentant le doigtage avec des amis bergers de son entoutage, dans les
montagnes)Respirant comme une bête folle de sexe, Turaak attrapa son énorme viande et commença à la branler avec moi, tout en se penchant en arrière et poussant mon bras jusqu'à ce que ma main
entière pénètre dans son sphincter qui se referma étroitement autour de mon poignet. Il cria dans une expression animale qui sonnait d'une satisfaction sexuelle inimaginable. Je l'ai rapidement
fait taire, mais c'était trop tard. Nous avons tous les deux tremblé de surprise quand nous avons entendu la voix grave du capitaine Greg crier:
"NON MAIS QU'EST-CE QUI SE PASSE ICI ?!"
Le moment fut glacial. Il semblait que le Capt Greg s'était matérialisé comme un hologramme, une magie sortie de nulle part. Alors que nous tournions tous les deux la tête lentement dans la
direction de la voix, le capitaine Greg se tenait debout, son pantalon de jogging baissé et sa grosse queue de 22cm se tenant fièrement au garde-à-vous et dégoulinant de précum.
Apparemment, avant que je puisse me poser les bonnes questions, le Capt Greg se tenait devant Turaak, les mains étroitement enroulées autour de cette monstrueuse queue.
"AmDamn! C'est un monstre de bite que vous avez là, monsieur Turaak ! " Siffla le capitaine Greg.
Turaak se tenait là, dans les limbes, au milieu d' une confusion totale mêlée d'une excitation tout aussi totale. Spontanément il choisit de suivre le chemin de l'excitation.
Presque instantanément, sa convoitise fut ravivée et il commença à pousser sa grosse queue velue en direction de son nouveau patron. Rompant tout protocole, l'ex-pilote de l'armée se
laissa tomber à genoux et, se penchant en avant, commença à embrasser, à lécher et à tenter de sucer cette tête monstrueuse. Ma main toujours bloquée par le sphincter de Turaak, j'en vins
maintenant à forcer lentement tout mon bras dans son trou-de-cul-de-biche brûlant comme une fournaise..
Le Capt Greg, un homme lourd et dur de 22 cm, saute maintenant et fend l'air, il se lève et se déplace derrière Turaak. Il a soigneusement retiré mon bras et inséré rapidement sa queue rigide
et nécessiteuse. Il a brutalement poussé sa verge jusqu'à la garde, puis a commencé à le travailler sauvagement. Le grand homme arabe grognait dans une
satisfaction animale face à l'attaque inattendue de sa prostate sensible. Puis, peu à peu, il est retourné au silence, gémissant de façon continue, marquant une
satisfaction bestiale alors que le Capt Greg le baisait voracement, bang ! bang ! bang ! comme à la chasse aux canards . L'ancien pilote de l'armée le frappait d'autant plus le
musulman que l'arabe, extatique, criait de joie primitive.
Je suis retourné à l'énorme queue de Turaak et je l'ai branlé aussi fort et aussi vite que possible afin de garder le même rythme dont le
capt Greg le nourrissait par derrière. Turaak pressa frénétiquement ses couilles et tira sans pitié ses gros mamelons durs tout en criant des phrases vigoureuses en arabe, tout en poussant ses
hanches vers l'avant dans ma main et vers l'arrière dans la queue palpitante du Capt Greg. Des rivières de sueur inondaient le paysage de son beau visage viril ; ses lèvres épaisses
étaient tirées en arrière, montrant ses dents parfaitement blanches.
Le capitaine Greg était également trempé de sueur alors qu'il martelait avec acharnement le trou du cul béni par Allah de l'
Arabe et
faisait sans retenue des allers et venues de sa queue rigide dedans-dehors-dedans-dehors-
-" Aaarrrgh !!! Je vieeeeeens !" s'écria le saoudien comme un satyre des montagnes alors que je sentais son énorme queue s'épaissir
encore plus et que ses énormes couilles se relevaient et se resserraient sous son énorme arbre. Les énormes veines se gonflèrent incroyablement le long de cette matraque couleur café alors
qu'il grognait bruyamment dans sa langue maternelle. Des quantités phénoménales de sperme surgissaient de ce monstre de queue. L'oeil amoureux de son méat sembla s'étirer pour
laisser place à une fontaine crachante constante de sperme Arabe. Mes cheveux, mon oreille droite, mon front, mon nez ont été les premiers à être inondés, mais bientôt l'éjaculation fut
guidée directement vers ma bouche affamée et salivante. BAM! Son goût a fait vibrer tout mon corps d'une sensation jamais connue auparavant comme quand j'ai goûté le miel des montagnes du
Yémen. La sensation, les sons, les arômes et le goût de cet homme m'ont presque fait perdre connaissance ; cela me semblait trop difficile à gérer pour mon cerveau de 18 ans. Mais dès que j'ai
commencé à avaler le jus d'amour grisant qu'il donnait généreusement, je suis rapidement revenu à la pleine conscience. Ma bouche débordait de sa semence quand je commençai à frotter
et masser ses jambes velues, musculeuses et humides. Ce sperme coulait sur mon menton et trempait mon corps, même si de puissants éclats volaient encore de sa bite monstrueuse. Dans
des brouillards gutturaux bruyants, il laissa échapper le son de son plaisir alors que son énorme corps imbibé de sueur tressaillait et tremblait. Bientôt, le Capt Gregg le rejoignit dans son
enthousiasme vocal.
-"Oh ouais! Gaddmit, ouais! Oh Jésus, doux Jésus, je jouis! Je viens, putain! Ouais! Ouais! OUAIS! Merde! Merde! ARGGH! ARGGH! Arggggghhhhhhhhhhh!
hurla le Capt Greg en poussant ses hanches contre le cul chaud, en sueur et velu de Turaak; son corps tremblait spasmodiquement, alors qu'il remplissait le veilleur de nuit arabe de son jus
d'amour anglo saxon.
Merde, je me suis entendu crier, -"Vous les gars, vous êtes sûrement équipés pour affronter une tempête, n'est-ce
pas?"
J'ai ensuite regardé le Capt Greg extraire sa tige rigide du trou de Turaak et vaciller pour rattraper son équilibre. Ce gros 22 cm sur lequel j'avais eu tous ces fantasmes
était là, à la vue de ma lubrique inspection ! C'était palpitant comme l'enfer. Sans réfléchir, je l'ai touché et touché encore, émerveillé, puis j'ai
enroulé mes doigts dessus et j'ai commencé à le branler lentement.
- " Là, doucement mon fils; donne-moi juste une minute pour reprendre mon souffle ", a déclaré le Capt Gregg en m'éloignant de sa main
paternelle, de sa queue qui s'était montrée si performante.
s
J'étais déçu qu'il m'éloignât, mais au moins j'avais enfin eu la chance de toucher la bite du capt Greg. Mon rêve depuis longtemps. Et ma
propre queue palpitait toujours beaucoup. Semblant ressentir mon besoin, Turaak attrapa mon jean et le baissa. Puis atteignit ma bite rigide de six pouces. Il a commencé à me branler avec sa main
droite géante. Je tendis la main et attrapai son membre encore très dur et nous commencâmes à nous branler à l'unisson. Bientôt, Turaak me souleva et me plaça sur une énorme boîte en carton
renversée. Enlevant mon tee-shirt, il commença à sucer mes petits mamelons roses. Hou la la! Cela ne m'était jamais arrivé avant. Jamais je n'aurais pensé que j'aurais un grand homme viril,
viril et dur qui me ferait l'amour. J'étais aux limites de l'excitation et j'aurais presque tiré ma charge à ce moment-là. Ses épaisses lèvres sensuelles et humides mouillaient d’une tétine
à l’autre; léchant , tétant, câlinant et suçant. Puis cette langue chaude et salivante a commencé un voyage affamé le long de mon physique adolescent et légèrement poilu vers ma bite
tremblante. Oh, mec, il va me faire sauter! Bientôt, ses épaisses lèvres brunes avaient atteint leur but et j'étais raide et érigé. La sensation était géniale. Je commençais à alterner des
sortes de sanglots comme un collégien qu'on fait délirer joliment par des caresses et des chatouilles. J'étais venu à Al-Hasa avec l'espoir que le Capt Greg voudrait "s'occuper"
de moi et là, je me faisais aimer par le plus impressionnant des Arabes de tout ce putain de Moyen-Orient. Je sentais la chaleur ardente et douce de ces épaisses lèvres chaudes se
refermer autour de mon sexe et de mes couilles. Je frissonnai et poussai rapidement mon corps dans cet orifice enflammé. Mes mains se dirigèrent vers cette tête brillante et rasée, les déplaçant
frénétiquement sur ma surface lisse et moite.
Soudainement, j'ai senti le Capt Greg m'embrasser le long de mon dos et sur mes fesses nues. En me plaçant à côté de lui alors que Turaak continuait
à me sucer, il commença à mâcher doucement mes fesses de peau au duvet de pêche, se trouvant bientôt devant mon anus virginal serré. D'abord, il a sucé avidement mon trou, puis a essayé de
forcer sa langue roulée vers l'intérieur. C’était alors que j’étais si heureux d’avoir pris mon pied presque rien qu'à rgarder cet après-midi, car si j'avais consommé tout à fait, j’aurais déjà
tout gâché. Et ce grand fantasme serait fini. Et je voulais prolonger ça jusqu'à la toute dernière minute.
Je me suis finalement assez relaxé pour que le Capt Greg puisse pénétrer complètement dans mon petit sphincter. J'ai cédé avec un petit jappement
d'accueil. La langue mouillée et avide allait et venait dans mon trou minuscule avec une telle détermination. Quelle sensation. Oui, capt! Fais le pour moi! Je suis tout à toi, grand
papa!
Alors qu'il me suçait la langue, il tendit la main et commença à branler Turaak. Cela a attisé encore plus l'Arabe, ce qui n'a servi qu'à
m'enflammer encore plus si cela était possible ! Je me suis senti au bord d'un orgasme très explosif. Mais j'essayais très fort de ne pas orgasmer; Je ne voulais pas venir. Quand je viens,
après je veux toujours m'endormir. Et je ne voulais pas m'endormir maintenant. C'était trop génial. Je voulais que ça dure toute la nuit. Mais la langue savamment hardie du Capt Greg ravissait
mon trou très sensible de garçon vierge et les lèvres sensuelles de Turaak avec sa langue mouillée et brûlante me firent rapidement trembler et hurler dans une éjaculation ravissante de mon
sperme adolescent. Et alors que je me glissais dans la bouche suceuse de Turaak, la langue plus froide de Capt Greg plongea plus profondément en moi, rendant mon orgasme
cent fois meilleur . Je pressai la tête brillante de Turaak avec mes mains alors que je tenais frénétiquement sa bouche chaude et dévorante contre mon entrejambe, essayant de pousser mon corps
entier en lui si je le pouvais. Il semblait que j'étais là, à me donner des coups de pied, à tressauter et à me tortiller tandis qu'un arabe de 38 ans me suçait et qu'un germano- américain
de 40 ans me dévorait le cul comme s'il s'agissait d'une portion de chateaubriand à la sauce béarnaise. Mon corps convulsa alors que mon orgasme continuait. Bientôt, le Capt Greg retira
soigneusement sa langue affamée et Turaak me reposa doucement sur la boîte en carton alors que ma respiration s'accélérait.
félicité post-orgasmique
Dans mon état de félicité post-orgasmique tiède et chaleureuse, au lieu de m'endormir, je revenais lentement à la réalité lorsque j'entendis le
capt Greg hurler à voix haute sur le monstrueux coq de Turaak; en le branlant et en léchant sans vergogne l'énorme tête de bite pourpre foncé. Mon cerveau revint à la vigilance totale et
je m'approchai rapidement des deux hommes. En m'agenouillant, je saisis l'énorme gourdin du capt Greg et le guidai entre mes lèvres déjà saliveuses. Ma bouche engloutit la grosse bite, la tête
de bite imbibée de graisse et aspirée avec voracité. Bon sang, depuis combien de temps ai-je envie de goûter ça, de sentir ça et de sentir encore ça?! Hmmmmmmm, les souhaits parfois se
réalisent.
J'ai commencé à oeuvrer sur cette bite royale comme un enfant affamé dans un cornet de frites . Je n'en étais pas là depuis plus d'une minute
lorsque le Capt Greg se leva de Turaak et dit: "Fiston, il y a quelque chose que je veux que vous fassiez pendant que vous y êtes." De nulle part, il sortit un tube de
lubrifiant KY. Je le regardai avec admiration lubrifier son trou de balle, puis ayant compris ce qui allait se passer me tournai vers la bite monstrueuse de Turaak et la lubrifiai
généreusement. Puis il tendit le tube de KY à Turaak, qui ,lui, en mit une quantité généreuse dans ses mains et les frotta l'une contre l'autre. Turaak inséra lentement un doigt dans le trou
serré du Capt Greg. Le gros doigt masculin entra sans trop de résistance. Bientôt, Turaak avait trois gros doigts qui s’étendaient et travaillaient sérieusement l’anus de l’ex-pilote de
l’armée. Ensuite, il inséra un quatrième doigt et quasiment la moitié de sa main géante dans ce four anal. J'ai regardé le visage du capitaine Greg grimacer pendant un court instant puis
il a commencé à se tortiller lentement et à pousser son cul en arrière contre l'intrusion titillante.
Turaak croisa son pouce et étira lentement le trou du fessier tandis que sa main géante pénétrait à l'intérieur du beau physique de Greg. Le Capt
Greg gémit et gémit encore lorsque la main et le poignet de Turaak se soulevèrent dans ses intérieurs, pouce par pouce. J'ai été étonné quand l'arabe s'est arrêté brusquement et a lentement
extrait la main du trou du cul. Et puis, se postant avec soin, il a remplacé la main par sa queue musulmane raide et monstrueuse de 14 pouces. Quand le mandrin fut entré et qu' environ
quatre pouces étaient dans la chair du capt Gregg Turaak s'arrêta et le capt Gregg essuya une rivière de sueur qui inondait son front et ses yeux.
Turaak a ensuite procédé à la pénétration prudente jusqu'à ce que huit centimètres de sa bite monstrueuse soient profondément enfoncés dans le cul
de l'ancien pilote de l'armée.
J'étais bouche bée à la vue du capitaine Greg qui se tenait devant moi à quatre pattes et en train de se faire baiser. Et pourtant, en même temps,
j'étais très, très excité, alors que Turaak commençait à basculer lentement sur les joues culières , en pleines, en sueur et séduisantes du capitaine Greg. Regardant dans ma direction, le
capitaine me fit signe de le rejoindre. Avec impatience, j'ai rampé vers lui et rapidement, j'ai tendu la main sous lui et ai saisi son sexe semi-érigé, et j'ai commencé à le sucer goulûment.
Bientôt, c'était à nouveau difficile, alors que lui et Turaak redevenaient très bruyants. Je suçais vigoureusement et avançais doucement pour explorer son trou de fesses trop bourré alors que
la bite monstrueuse de Turaak rentrait et sortait, la ravageant sans fin.
Une fois encore, Turaak a commencé à beugler en arabe et je savais qu'il était prêt à lancer une autre de ces charges impressionnantes. J'ai eu
des démangeaisons et des picotements à l'intérieur à la pensée si c'était le cas. J'ai sucé d'autant plus fort le sexe du Capt Greg et j'ai travaillé ses couilles sans pitié jusqu'à ce que
ma bouche soit enfin inondée du sperme acidulé du Capt Greg. Je travaillais et aspirais voracement alors que jet après jet jaillissaient dans ma bouche et dans ma gorge.
J'ai continué à lécher et à sucer sa queue même après qu'il ait fini de juter, jusqu'à ce qu'il me repousse doucement de sa queue devenue
hypersensible. Je me levai pour voir Turaak accroupi sur le dos du capt Greg, son beau visage complètement déformé par l'extase alors qu'il remplissait le cul blond de son riche sperme
arabe.
Lorsque sa respiration se calma et se régularisa, il sortit lentement sa bite qui avait été enfoncée à au moins de 20 centimètres à l'intérieur du
Capt. La bite monstrueuse se retira. Je n'arrivais pas à croire que le meilleur ami et compagnon de guerre de mon père venait de se faire tringler par la plus grosse queue que j'aie jamais
vue de ma vie - et qu'il avait aimé ça.
Inutile de dire que Turaak est devenu partie intégrante de nos vies pour le reste de mon séjour à Al-Hasa. Une fois, j'ai
essayé de prendre sa queue gargantuesque dans mon cul, mais la douleur était totalement incroyable et je ne pouvais pas la supporter; et j'ai rapidement rejeté toutes les
tentatives futures. Mais il m’a bien baisé entre les cuisses, frottant ce monstre sur mon anus très sensible et très reconnaissant, et j’ai bu des litres de son riche sperme
arabe. Et, dans de nombreux moments très heureux, j'ai également baisé Turaak et le Capt Greg . Et, croyez-moi, de retour chez moi ici à Plano, au Texas, il m'est bien
difficile de trouver un amant capable de rivaliser avec celui du bon O' Capt Gregg et de son gardien de nuit, Turaak.¤
UNE BONNE PARTIE DE MES FANTASMES SE SONT REALISES CEPENDANT AVANT MON RETOUR AU TEXAS
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