Partager l'article ! le procto aimait son métier...je m'étais plaint de douleurs à la suite d'un rapport musclé...le gars portait un Prince Albert ...: &nbs ...
déjà son joujou avait tinté sur mes dents quand je l'ai sucé
et il m'a juré que ça n'allait pas nous gêner pour baiser -" au contraire !"
moi je croyais pas que ça allait rentrer, mais helas oui !
exemple visiblement SM sur cette photo X voir ci-dessous pour du
live
-lol- non! là c'est pas moi j'ai pas été filmé quand on me l'a fait mais sur cette vidéo la bite et le joujou du turc eux sont bel et bien rentrés il faut entendre le passif faire des mmmmmmhhh-lol-
SI TU PREFERES UN OCCIDENTAL à un turc ! -lol- :
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le procto me dit : - "ce n'est probablement rien, on va regarder"
on prend votre température
je n'ai pas tout de suite remarqué la douce et vicieuse cruauté de ses lèvres minces
le rectoscope explora tout mon rectum...ben j'ai pas honte de dire
que c'était délicieux et il me parlait doucement en faisant son boulot
hélas il n'a pas trahi sa déontologie...
je serais bien allé plus loin avec cet
homme expérimenté et d'une grande beauté -lol-...Non je n'avais rien de visible donc seulement une certaine inflammation qui s'est guérie avec qq suppos...
RECIT : vous êtes vous déjà pris une queue avec son Prince Albert dans le cul ?
C'est sur Minitel que j’ai rencontré Daniel, sur un serveur assez hard. J’y envoie toujours des messages très chauds qui cherchent à ne pas perdre de temps, à aller direct à ce que je fais semblant de prendre pour l'essentiel: pas la forme du cul, la taille de la queue ou la forme de ses pecs, ni même son look, mais sa peau, car ça fait quinze ans que je tripe sur les tatoués, et quand le mec est percé, là, je me roule par terre.
Peu importe son âge, ce qui me plaît c’est que sa peau ait une histoire, des traces, un habillage qui même nu lui donne un style viril hyper-bandant. Les piercings, je trouve ça trop canon aussi, parce que c'est souvent un plaisir associé à une douleur, et que ça vient en général décorer des extrémités où j’adore foutre la langue.
En plus, pour vous dire la vérité, je recherche une belle histoire tendre et simple, comme les autres; peut-être parce que cet écrin n’inspire pas les mots tendres, j'hésite à le dire. Peut-être aussi parce que les mecs hésitent plus à ouvrir leur cœur que le réservoir de leurs fantasmes.
Lui, il cherchait en plus un mec à dominer. On discute au téléphone, il me décrit ses tatoos, au bras et sur le dos, me dit qu'il a deux anneaux. On parle rapidement d’autre chose que de cul, et quand je lui demande comment il sera habillé, il me répond en se marrant qu’il ne sait pas encore ce qu’il mettra le soir, mais qu’il peut se déshabiller dans l'ascenseur et arriver à poil devant ma porte, ou en cuir, ou en uniforme, parce que ces petits jeux-là le font bien rigoler. Je lui réponds qu’il fasse comme il veut et on se fixe rancard chez moi.
À 23 heures, il se pointe. J’ouvre la porte. Ce sont ses yeux plissés que je remarque tout de suite, ils ont quelque chose de polisson et de coquin à la fois, ce sont ceux d’un mec qui aime la vie, et surtout qui ne la prend pas au sérieux.
Premier bon point, il n’a rien d’un mec dur, dominateur, à la gueule fermée, prêt à me baffer sans dire un mot, tel qu’il se décrit sur son CV de Minitel. Sa calvitie lui donne un air un peu sage, sa silhouette a de l'amplitude mais il n’est pas grand. Son corps s'impose, tout en lui est masculin. Et il a mis un tee-shirt marcel très fin, comme ça je peux apercevoir un de ses anneaux au téton et je trique devant le tatoo de son bras gauche, sur son muscle large et rond, qui représente un dragon très chinois d’apparence, avec beaucoup de couleurs. S’il n’est pas vraiment mal à l’aise, il n’a pas l’air décidé à me sauter dessus dans la seconde.
Il voulait un plan ultra-direct et c’est à peine s'il me serre la main! Je l'invite à entrer, il regarde le lit pas encore défait, hésite et vise le canapé. Il me dévisage en souriant Pour voir si je n’ai pas menti, il me regarde dans les yeux, se tient assis face à moi qui suis debout, il devient presque timide et romantique. Il pose sa tête sur mon ventre, et comme je suis en slip blanc, il passe sa main sur mes fesses, histoire de voir si elles sont aussi fermes que selon ma description. Il se met à me parler sans me regarder, laisse glisser une main sur mon pied nu, s’accroche à mon mollet et me dit que j’ai le regard qui en dit long. Je ne sais pas si tout se voit à travers ça, si déjà mon envie de lui est aussi forte que ce sentiment né instantanément, comme dans les films. Car j’ai craqué tout de suite pour l’ensemble. Le désir impérieux et souverain m’a immédiatement envahi, mais ne s’est pas limité à ça: j’ai su que ce garçon allait prendre toute la place. Je crois que le temps pendant lequel il a passé la paume de sa main sur ma jambe m’a paru infiniment long et doux. Ce geste plein de tendresse au début est devenu de plus en plus chaud.
Il donne de petits coups du plat de la main sur la pliure arrière de mon genou, ce qui a pour effet de rapprocher ma queue, cachée derrière le coton, de sa bouche. Il passe ses doigts sur sa langue, mouille le pli de mes fesses et arrive à l’intérieur. Mes yeux sont fixés sur son tatouage qui se recouvre d’une fine couche de sueur que j’ai envie de lécher. Je sais alors qu’il va faire monter le désir jusqu’à ce que je le supplie de me prendre. Ses ordres se font de plus en plus précis, je dois me mettre à ses genoux, lui enlever ses pompes et humer l’odeur de ses chaussettes. Je dois le respirer avant de le toucher vraiment, m’imprégner de lui pour avoir un peu plus chaque seconde envie de le sentir en moi. Il guide maintenant ma tête de ses deux larges mains veinées et pose mes lèvres selon sa fantaisie, sur l’intérieur velu de sa cuisse, sur l’os de sa hanche, il me demande de fermer les yeux et pose ma joue sur sa queue qui bande bien fort. C’est là que je découvre ce que j’aime par-dessus tout chez lui. son gros gland traversé d’un prince-albert. Cet anneau rond qui vient cogner contre mes amygdales et tressauter contre mes dents, ces quelques millimètres de métal qui, même recouverts de latex, donnent à mon cul ouvert et sensible de petis coups de griffe à hurler de bonheur.
Quand je tente de ramener une main vers cet objet de convoitise, il me dit qu’il va finir par m’attacher si je ne suis pas plus obéissant. Il enlève son slip et me tend son cul en me disant de bouffer. Son langage saute du plus tendre au plus cru, et j’en perds mes repères, je plonge la langue dans ce petit trou poilu et l’envie de le prendre se dessine dans ma tête comme un désir interdit Ses fesses sont charnues et brunes, son corps rond donne envie de l’enlacer, mais je n’entre en contact qu’avec les parties de son corps qu’il m’autorise à lécher. Je suis une langue privée de son point central, et sans prévenir il me l’enfonce à m’étouffer alors que |e remonte vers son nombril J’accepte ce chibre qui me transperce, j’écarte les mâchoires au maximum pour accueillir cette queue courte et épaisse, je passe ma langue sur l’anneau que je fais tourner de mes doigts, je gobe ses couilles et je gémis quand une première claque de doigts serrés tombe sur mon derrière. Il se lève en m’ordonnant de rester à quatre pattes. Je tourne la tête pour le voir, si beau dans le moindre de ses gestes, attraper un flacon de gel, se dérouler la capote et venir s’agenouiller derrière moi pour m’enfourner sa queue comme un maître qui casse le cul de son esclave. Il me dit qu’il sait, qu’il a compris que je voulais me le faire casser, qu’il va me faire juter en me cognant à l’intérieur et que je vais adorer ça. Il me dit qu’on a toute la nuit devant nous et même bien plus, qu’il me mettra le feu, des mots dont |e voudrais pouvoir me souvenir plus précisément. Ses coups de boutoir sont féroces, j’ai envie qu’il me pénètre toujours plus loin, qu’il me viole. Il serre ma queue dans sa main parce qu’il sent que je vais gicler. Il ne veut pas que le foutre monte trop vite. Je me retiens de jouir. Je désobéis et je passe ma main sur ses burnes gonflées à bloc. Une fois encore il décide d’inverser les rôles, il se branle vigoureusement la bite, impatient de se dégorger dans mon trou. Je pousse de l'intérieur pour lui faire de la place, et je le sens jouir sans retenue en poussant encore un peu plus loin dans mon ventre. Il s’affale sur moi et me dit qu’il faut que je reste ouvert.
Au téléphone, je lui avais parlé de mes boules de geisha. Il me demande où elles sont et je tends mon cul comme il me l'ordonne. Il les pousse une à une, sans tenir compte de mes cris, et sans intervalle entre elles. Je suis rempli, écartelé, mais le plaisir m’envahit dès que je bouge le bassin. Je suis toujours à quatre pattes et je le vois passer sous moi pour venir me serrer contre lui et m’embrasser avec une vigueur formidable.
Cette nuit-là est à l’image de toutes les autres, il sait me donner du plaisir sans imposer un quelconque rituel, il change d’avis, me donne son cul puis plonge au fond de mes entrailles sa queue ou sa main, il me fait l’amour n’importe quand, surtout quand nous ne sommes pas au lit et quand ça le chante. Quand je m’endors contre son dos tatoué, |e suis au paradis. Je repose parfois ma queue et mes fesses quelques semaines et je redeviens, quand il veut, celui à qui il donne tout le plaisir du monde. Et le mieux, c’est qu’il me dit que je le mérite. D’ailleurs, j’ai eu droit à mon cadeau de mariage, pour fêter notre première année, un double piercing des tétons. Daniel me tenait la main. Le mec qui opérait ne s’est aperçu de rien, mais j’ai giclé dans mon froc sans me toucher.
commentaire : "EXJEUN a dit :
"Ben peut-être arrangé comme ça il arrache moins ? "
régalez-vous les jeunots c'est l'âge d'or ! (et j'ai pas dit 'c'est l'âge, DORS !' , non c'est pas le moment pour vous de roupiller contrairement à ce que vous disent vos élus cavaillonnnais et bouchedurhonnais de droite Je dis ça juste parce qu'ils sont à droite, mais ils valent bien les FURUES de gôche ) -lol-
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