Mercredi 14 août
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je pense à toute ma cohorte d'amants
autant je me les prenais grosses en
continu,
autant lui de son côté il se prenait une folie de bites plus grosses les unes que les autres
Ce désir inextinguible de vouloir être comblé(e) par un membre bien tendu, je l'ai retrouvé chez un
homme en discutant avec un gay passif qui se prenait des bites en ma compagnie dans un club libertin. Comme à moi il lui fallait un membre de taille suffisante à le faire jouir. Si une femme
me dit que la taille n'est pas importante, c'est son problème, en ce qui me concerne une bite doit avoir une taille correcte en longueur et en diamètre.
Posté 17-10-2014 - 13:50 sur Voissa
Je suis actuellement en traitement pour tenter de réduire ma libido exacerbée. En effet je suis ce que
l'on peut appeler une nymphomane.
Hier,suite à la grande modification de nos conditions de travail, nous avons organiser entre les anciens une petite fête. Nous nous sommes réunis
chez Gérard, ah oui au fait quand je parle d'ancien nous sommes tous les 5 des quinquagénaires et acteurs depuis les débuts de la boite. Donc nous étions chez Gérard, beau gosse, mais un
seul défaut, en ce qui me concerne, il n'aime pas les femmes. Merde merde et remerde, il est pourtant mignon et je l'adore mon ami Gérard. Enfin bref, nous étions chez lui pour faire la fête, car
les anciens ont fait ce qu'il fallait pour que le petit (con) de nouveau chef soit remis à sa place d'une manière assez dure de la part de la patronne ( qui est Annie, si vous ne connaissez pas
Annie, aller lire mes histoires précédentes). On se retrouve ensemble, chacun amène ce qu'il veut, à manger et à boire. Je suis un peu déprimée suite à ce traitement pour vaincre ma
nymphomanie.
La soirée se passe bien, tout le monde mange et boit, et moi je mange et je bois bois bois ! Donc ce qui arrive dans ces temps là, je suis un peu
pompette. Pas ivre, je ne suis pas une dépravée de la boisson, mais bien gaie !!
Enfin gaie car gay c'est plutôt Gérard !
Les 3 collègues partent à pieds, elles n'habitent pas loin. Mais moi... il faut que je rentre en voiture ???? Avec ce que j'ai bu ?
Non ce n'est pas raisonnable ! « Gérard, je reste chez toi, je ne peux pas conduire dans cet état ! », Silence... « Eh oh Gérard ??? »
« Oui mais tu vas coucher où ? »
« Mais avec toi dans ton lit ! » Gérard a un petit appartement, un petit chez soi vaut mieux qu'un grand chez les autres, alors un seul lit... Ce
qui n'est pas me poser u problème.
Je vais à la salle de bain prendre une douche un peu fraîche pour que l'effet de l'alcool s'estompe un peu. Gérard est stupéfait, je n'ai même pas
attendu sa réponse pour prendre procession des lieux. C'est maintenant que je me rends compte que je suis un peu sans gêne... Bon c'est chez mon copain Gérard, alors ce n'est pas pareil, on se
connaît depuis longtemps.
Je suis sous la douche, je n'ai pas pris mon médoc 'antibaise'. Je me caresse le corps, quoi de plus sensuel qu'une douche pour se faire des
câlineries ? Mes mains montent et descendent le long de mon corps, et le gel douche aidant la glisse, mes doigts viennent se plaquer sur mon sexe, mon index bien habitué glisse le long de ma
fente qui sans attendre s'ouvre sous la pression de ce doigt curieux. Il pénètre ma féminité, et je ne peux retenir un petit gémissement. Ma main gauche sur ma poitrine palpe mes seins dont les
tétons qui pointent ne peuvent rien cacher à mon envie de me faire prendre maintenant. Mon corps ondule sous les caresses, les yeux fermés pour ne rien rater de ce moment si doux, je pense à
toute ma cohorte d'amants qui m'ont fait tellement de bien ces dernières années...J'arrive même à jouir !
Je me reprends, mes idées redeviennent claires. « Gérard tu me passes une serviette de toilette » la tête qui passe par la porte de la douche je
crie tout ce que je peux, « Oui mais enfin pas si fort je vais avoir des problèmes avec les voisins ! »
Gérard me passe une serviette, me voit nue (Eh bien oui tu prends une douche habillée toi?) je ne cache rien de mon corps. La nudité ne me gêne pas,
mais Gérard est un peu choqué... « Mais je croyais que tu étais homo ? Je ne suis qu'une femme, je ne suis pas un mec ! » Je me sèche, me dirige vers le salon le corps enveloppé dans la serviette
un peu courte qui ne peut cacher en même temps mes seins et mon sexe. En arrivant dans le salon le sexe en vue, Gérard boit un verre, un Armagnac. Il ne se prive de rien « Tu pourrais au moins
m'en proposer un !! », Je m'assieds sur le canapé, les cuisses à peine serrées ou à peine écartées, a ce niveau tout n'est qu'une question d'interprétation. Je me ne laisse aller dans le fond du
canapé, prends le verre (pas un demi verre) que me tend Gérard, et me laisse aller. Que cela fait du bien de se laisser aller.
Nous discutons, mes cuisses appétissantes légèrement ouvertes, laissent mon sexe s'épanouir de bonheur. Je ressens le bien être dans mon bas ventre,
et mon sexe s'ouvre sans effort. Je suis excitée comme une chienne. Encore et encore, sans arrêt, cette sensation de vouloir être comblée par un membre bien tendu. Un membre de taille suffisante
à me faire jouir. Si une femme me dit que la taille n'est pas importante, c'est son problème, en ce qui me concerne un bite doit avoir une taille correcte en longueur et en diamètre. Je suis à
deux doigts (c'est cas de le dire) de me faire une caresse bien appliquée. Je me tient. Pas facile. Je pense à autre chose.
Gérard se rend bien compte de mon état, et « Bon et bien maintenant je vais aller prendre ma douche moi aussi » il me laisse là seule dans le salon
la chatte à l'aire et excitée comme une puce.
J'entends l'eau de la douche qui coule, discrètement je me lève et va voir. Je sais on dit un voyeur, eh bien maintenant on peut dire une voyeuse...
La vite masque son corps mais je devine les formes, et oh mais, il n'est pas si mal que ça Mon Gérard, enfin ce n'est pas « mon ». Avant qu'il ne rende compte de quoi que se soit, je retourne
m’asseoir au salon...
Il revient en pyjama, short et tee shirt, très sexy !!!! Et me tends un ensemble plus adapté que la simple serviette qui me couvre à moitié. « Je ne
prends que le dessus, j'ai l'habitude de dormir nue, alors … le dessus me suffit ». Devant lui et sans crier gare, je pose la serviette et enfile le tee shirt, qui ne cache rien de plus. Gérard
se précipite sur les volets, et les ferme. Les voisins se sont rincé l’œil, s'ils sont encore éveillés.
Il va ranger un peu ce qui traîne par ci par là. Et moi comme une femme entretenue je vais me mettre au lit. Je suis les fesses nues dans le lit
d'un mec mignon comme tout, qui n'aime que les hommes et évidemment cette pensée me met dans un état pas possible. Vraiment impossible de me défaire de cette addiction au sexe !
Quelques temps après, à peine assoupie, j'entends Gérard qui vient se coucher. Pour ne pas être directement en contact avec moi, il se couche sur le
lit. Le drap sépare nos corps. Je n'y tiens plus, cela fait une demi-heure que nous sommes tous les deux dans le même lit et je sens bien qu'en moi la pression monte, ma petite chatte est toute
excitée, mes seins sont gonflés et ma respiration s'accélère. Je m’approche de mon ami, passe ma main sur son corps. Je caresse ce corps à moitié endormi. « Mais que fais tu ?? Non pas avec toi,
pas maintenant pas comme ça » peu m'importe ce qu'il dit je le tiens et ne le lâche plus. Ma main droite arrive directement sur son sexe
déjà bien en forme. Oh lala mais c'est qu'il est bien membré !!! Alors que l'on ne dise plus maintenant qu'un homme gay ne peut aimer que des hommes, ce n'est pas possible. Gérard qui doit
être le plus pédé des homos que je connaisse, il est en train de bander comme un fou sous ma main. Je le tourne sur le dos, Je m'empatrouille dans le drap. Après m'être débattue avec ce satané
drap, me voilà sur lui son sexe bien droit sous ma chatte. Je frotte mon minou sur cette colonne de chair. Et je sens que lui aussi a une folle envie de faire l'amour. Je pense que l'alcool
nous a bien aidés, enfin lui en ce qui me concerne je n'ai pas besoin de ça, c'est un état permanent chez moi. Juste le temps pour qu'il fouille dans le tiroir de la table de nuit pour prendre un
préservatif, et je suis empalée sur ce monumental sexe. J'ai une sensation de bien être. Sa présence en moi m’apaise. J'ondule sur son corps et va chercher au plus profond de moi cette sensation
d'être une femme. Nous avons joui tous les deux en même temps. Ce fût très bon, d'autant plus que la nuit ne faisait que commencer. Quatre fois en une nuit. Le pauvre ( enfin si je peux
dire) n'en peut plus. Il faut aller au travail. Je passe chez moi avant pour me refaire...
Une fois au travail, voilà Jannie qui a trouvé sa soirée bien banale et dit avoir trop bu : ...« Mais alors ma chérie, tu tiens plus l'alcool !
» Si tu savais comment on a fini la soirée avec Gérard...
après, au travail, on en parle entre
nous...
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