Partager l'article ! il m'a pris debout et de face dans un profond baiser LES AVEUGLES ET LES SOURDS JOUISSENT-ILS PLUS ?: UN (PETIT) COUP MONTé. ...
UN (PETIT) COUP MONTé.
« Tu vas voir, quand on n'a plus que le toucher, ça décuple le plaisir »
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Ambiance :
d
Il me serre contre lui, mes bras serrés entre les siens et ses flancs, je peux difficilement le caresser, lui par contre ne se gêne pas pour passer ses mains partout dans mon dos, sur mes fesses, sur mon anus qu’il titille.Il est plus grand que moi, il me domine d’au moins une tête, jusque là, ça ne m’avait pas autant marqué.
Mais là c’est évident, sa queue est tendue entre mon nombril et sur mon ventre. Son gland touche presque mes pectoraux. Il plie légèrement les genoux et alors, sa queue caresse la mienne à travers le tissus de son boxer. Il a maintenant deux doigts fichés dans mon cul. Il se recule un peu, passe la ceinture de son boxer sous ses couilles, puis me saisissant à pleine sous les fesses, il me soulève, mes bras entourent son cou. Il me pose lentement sur sa queue qui n’a pas de mal à retrouver le chemin du fond de mon cul. Il reprend cependant rapidement ses esprits, me soulève, décule un instant... et me voilà de nouveau comblé par sa queue. Il lâche alors mes fesses, je glisse légèrement, sa queue me pénètre alors vraiment jusqu’aux couilles, ces dernières rentreraient presque si mon trou étaient assez grand. Il me ballade alors comme ça dans son appartement.
Nous commençons par aller dans sa chambre dans laquelle il saisit une boite à chaussure qu’il rapporte au salon. Nous allons ensuite jusqu’à un coin bureau ou je le vois saisir son téléphone portable. « Tu bosses demain ? » me demande-t-il, je lui réponds que non. « Chouette me dit-il » Il passe alors un coup de fil pour annuler ses rendez vous de la matinée. Il pianote ensuite un sms que je ne peux pas voir. Et pendant tout ce temps, je suis accroché à son cou, sa pine me ramonant le derrière à chaque pas. « A nous deux » me dit-il. Il passe ses bras dans mon dos, sa main gauche se pose derrière ma tête et il m’embrasse en pleine bouche. Il m’emporte jusqu’à une baie vitrée, nous sommes au douzième et dernier étage de son immeuble, la vue, magnifique semble s’étendre à perte de vue. Il ouvre la porte et nous voila sur sa terrasse.
La situation est très obscène, heureusement personne ne peut nous voir. « Tu pourras crier si tu veux, on ne dérangera personne » m’encourage-t-il. Il se laisse tomber d’un coup sur un transat en bois. Il s’y retrouve assis. Sa queue m’a comme perforé au moment de l’impact, j’ai crié. J’ai senti la jouissance venir mais il l’a bloquée rapidement en serrant très fort la base de mon pénis, à men faire mal. J’ai débandé direct. « Hey soit pas pressé, j’ai envie d’en profiter » me dit-il avec un sourire charmeur, et un regard de carnassier. Il place ses mains sous mes fesses et me lève et me descend sur sa queue. J’accompagne simplement l’effort de mes jambes. A chaque fois que je vais pour me branler, il retire la main de mon sexe et la pose sur son torse, ou me suce un doigt. Des fois il m’attire à lui pour me rouler une pelle bien baveuse ou me mordiller un téton. Puis il me retourne, m’allonge sur le transat et se couchant sur moi me pénètre à nouveau, d’un trait. Il recommence son mouvement si bon dans mon cul. Je n’arrète pas de gémir, ce mec me rend fou d’excitation et de plaisir. Il s’arrête soudain et s’écrase sur moi. Je crois qu’il va jouir mais non. Il sort plusieurs foulard de sous le transat. « N’aie pas peur » me murmure-t-il à l’oreille.
HEY ! ON PASSE AU SM ?
Il m’attache les poignets aux pieds du fauteuil. Il se retire ensuite et écartant largement mes cuisses, il finit par attacher mes chevilles aux autres pieds. Il me bande ensuite les yeux. Je suis à sa merci. Mais ne l’étais je pas déjà ? Jusque là je n’ai pas regretté, je décide de ne pas me rebeller, de toute façon, vu les liens, je pourrais sûrement m’enfuir si je le voulais vraiment. « Tu vas voir, quand on a plus que le toucher, ça décuple le plaisir » ajoute-t-il avant de me mettre des boules quiès dans les oreilles. Je suis maintenant dans le noir et dans le silence le plus total. Je n’entends plus que les bruits de mon corps. Rapidement, je sens son gland cogner sur mes lèvres. Je les entrouvre à peine qu’il force déjà le passage et se branle dans ma bouche. En même temps, il me doigte le cul, me mettant du gel, j’apprécie, la sodomie n’est donc pas encore terminée. Il promène sa queue sur mon visage, me le maculant de ma salive et de son précum.
J’essai de haper le gland au passage. A chaque fois que j’y arrive il s’enfonce au maximum, le poussant un peu plus loin dans ma gorge, se retirant avant que j’étouffe. Sa queue rentre de plus en plus. Un dernier coup de rein lui permet de coller ses couilles contre mon menton. Il ne bouge pas pendant quelques secondes, se contentant de profiter du massage créé par ma déglutition. Je sens alors son corps vibré et son sperme se déverse directement dans mon œsophage, je ne peux même pas profiter du goût. Je sens sa semence me remplir l’estomac. Ses couilles se contractent contre mon menton à chaque jet de sperme. Il se retire en même temps qu’il jouit et m’en met alors plein le visage. Du bout de sa queue il le récupère ensuite pour me le réintroduire en bouche. Encore une fois, moi je n’ai pas joui, ce qui fait que je suis encore excité. Il le voit bien, il fait même sûrement exprès. Il me retire un des bouchons d’oreille « Tu en veux plus ? » me demande-t-il sur un ton lubrique. « Oui » je lui réponds dans un souffle.
Il me rebouche alors l’oreille me laissant de nouveau aveugle et sourd. Pendant un long moment, rien ne se passe. Puis je le sens qui se presse contre mon cul. Il a remonté son boxer, je sens sa grosse queue bien bandée à travers le tissu. Il se déshabille vite puis commence à me frapper le cul avec sa verge bien dure. Il sait m’exciter, j’ai envie qu’il me prenne, je n’en peux plus. Il accède à ma demande, pose son gland sur mon anus et lentement mais sûrement, il me pénètre. Il commence ses mouvements, il va me ramoner comme un métronome longtemps, me maintenant au bord de la jouissance. Il sait s'arrêter ou accélérer au gré de mon excitation. Soudain, il se retire, quelques instants plus tard, son gland frappe mes lèvres et avant même que j’ai eu le temps de le prendre en bouche il commence à se répandre sur mon visage puis sur ma langue
Je suis surpris, malgré le nombre d’éjaculations il m’en recouvre d’une quantité importante. Puis de nouveau, plus rien. Mais rapidement je sens de nouveau son sexe contre mes fesses, il est encore bien dur. Décidément, je suis tombé sur un insatiable. Cette fois son comportement est différent. Ses deux mains sur mes fesses, il les écarte, pose son gland contre mon trou et d’une seule poussée s’engouffre à fond. La sensation me parait différente. Il se retire entièrement me laissant sur ma faim puis pointant de nouveau mon cul me prend à fond. Il accélère la cadence. La sensation de sa queue entrant dans mon cul m’excite tellement que je pense ne pas tarder à jouir. Entre deux gémissements, je l’encourage à m’en donner encore plus, à me prendre bien à fond. C’est alors que je sens quelque chose contre ma joue, manifestement une autre verge qui se presse.
Elle semble de dimensions équivalentes à celle de mon mec. Affamé de sexe et dans l’excitation, j’ouvre la bouche qui en est aussitôt remplie. C’est plus brutal cette fois, je me fais littéralement baiser la bouche. Le mec derrière continue à jouer avec mon cul rentrant et sortant sans arrêt. Je n'arrive pas à deviner lequel est Vincent. Mais je ne m'en soucie pas trop, j'essaie de gérer mon plaisir et de bien bouffer cette queue dans ma bouche. Le mec de derrière se retire, les deux glands sont maintenant sur mes lèvres, entrant alternativement dans ma bouche. Soudain, les deux passent sur ma langue en même temps, s'immobilisent et commencent à cracher leur sperme. Chacun des deux mecs a passé une main derrière ma tête pour ne pas que je me retire.
Ils se vident en plusieurs jets, ma bouche se remplit, je suis obligé d'avaler si je veux pouvoir respirer. Ils retirent ensuite leur engins et les laissent trainer sur mes joues, y laissant encore quelques traces de semence. Puis plus aucun contact. Je n'ai toujours pas joui. Je pense être seul, quand je sens quelque chose sur mes fesses, on me rentre un objet dans le cul. Puis les bouchons d'oreilles sont retirés, puis on me détache les pieds.
On me harnache ensuite l'objet avec une ceinture en cuir et des lanières qui passent entre mes cuisses. J'entends le cliquetis de cadenas qui se ferment. On me retire enfin mon bandeau et les lanières m'entravant les mains. Nous ne sommes plus que tous les deux, Vincent et moi. Il a un petit boitier à la main. Avant que j'aie eu le temps de dire quoi que ce soit, ses bras sont autour de moi, sa langue entre dans ma bouche, il m'embrasse fougueusement. Je fonds, j'ai pris mon pied, je ne vais pas lui faire des reproche. Le gode dans mon cul se met soudain à vibrer.
L'excitation monte encore en moi, il faut que je me vide les couilles. Je dirige ma main vers mon sexe mais Vincent m'arrête. Il m'ordonne de me laisser aller, sans rien provoquer. Il me fait asseoir sur le transat, se place derrière moi et me tient les mains. Il me suce tendrement l'oreille. La queue de plastique vibre toujours en moi, une vague de plaisir monte, je ne peux plus me retenir, la sauce monte aussi, mon homme l'a bien senti. Il me fait allonger sur le dos puis levant mes jambes, ramène ma bite au dessus de mon visage, il prend mon sexe en main et le dirige vers ma bouche. Ce simple contact me fait éjaculer abondamment, le sperme jaillit vers mes lèvres, j'essaie d'en récupérer le plus possible. Quelques soubresauts annoncent la fin de ma jouissance. J'ai les joues maculées de mon propre foutre. Je suis heureux, une douce béatitude m'envahit. Il me porte jusqu'à sa douche et nous nous rinçons mutuellement en nous caressant.
La soirée finira un peu plus tard, dans les bras de Vincent pour toute la nuit.
commentaire :
J'avais joui d'une quantité importante de foutre dans mon maillot
et il s'en est servi pour me doigter
D 'après Kiki sur cyrillo.biz
oui je crains toujours que mon secret s'étale au grand jour
Je souffre d'agoraphobie
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