QUOI TU ME PRENDS POUR TA PETITE AMIE ? ? ?
En retenant son N° de portable, j'étais tout troublé et j'étais loin de me douter qu'un jour j'aurais autant besoin de la caresse interne de cet homme qui était loin, au départ, de m'attirer.
j'ai un manque de confiance en moi énorme qui me fait douter de mes charmes.
Je ne peux pas dire que j'étais très avantagé par mon physique. J'étais de petite taille, un mètre soixante pour quarante huit kilos, mais surtout
je faisais beaucoup plus jeune que mon âge. A 17 ans, j'en paraissais 15 et plus souvent je devais justifier de mon identité pour accéder à certains lieux. Même ma puberté était en retard, un
corps peu développé, presque pas de poils. J'ai souvent été moqué par des copains lorsqu'ils voyaient mon sexe. C'était le prix à payer si à mon tour je voulais mater les queues d'autres
garçons
Bien que je préférais la compagnie des filles, je pensais plus souvent à mes copains qu'à la gent féminine, sans jamais avoir osé faire quoi que ce
soit avec un garçon. Pourtant, lorsque je me masturbais, j'imaginais mes copains en train d'en faire autant. Cela m'excitait davantage. A la piscine, je regardais souvent le maillot des
garçons.
Il avait commencé par me faire une 'coule' pour s'amuser
Très vite, il avait remué tellement d'eau que je me suis senti perdu, moi qui ne suis pas bon nageur...Et j'ai bu la tasse, perdant très vite mon sang froid. Au milieu des gens, je me noyais.
C'est naturellement Jordan qui m'a ramené au bord puis ensuite arraché des bras des
sauveteurs
Il devait avoir à peine la trentaine, mais, petit, brun, trapu, poilu, mal rasé il faisait plus 'vieux'. Il avait de très beaux yeux. Je me disais à
son expression qu'il devait aimer le cul. A moi qui ne lui avais rien demandé, il m'avait parlé de sexualité et s'était défini comme actif/passif en me précisant que la sodo n'était pas
obligatoire. A ce stade je m'étais dit : "c'est son problème". Pour dire que moi j'ai des pb il faudrait que je m'en invente ! "Comment a-t-il deviné que je suis attiré par les mecs, je
sais pas, mais il n'est pas mon 'Prince Charmant' " Point barre ! Et il était resté un copain et il me taquinait, voulant toujours rigoler.
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PREMEDITATION ET CALCUL « Le minable sauveur, dans son propre dénuement affectif, a compris, à tort ou à raison, que s'il prenait la responsabilité des problèmes de la personne dont il sauve la
vie, s'il allége sa souffrance, il gagne en échange la sécurité affective, l’amour, l’attention, l’importance, l’acceptation, la reconnaissance, l’écoute, etc., nourritures
affectives essentielles pour lui comme pour sa victime. »
on a tendance à ne voir que le côté lumineux du sauveur. Il agit avec gentillesse. Il veut aider, il est sensible à la souffrance des autres
et ne laissera pas tomber quelqu’un qui vit des problèmes. Il est disponible, serviable et agit par bonté. Tout cela est vrai. Pourtant, le sauveur a une face cachée :
le sauveur se place en juge de la situation, blâme, juge, rejette son protégé , cherche à le contrôler. Le sauveur se considère
supérieur à lui et croit qu’il pourrait faire mieux. Il est souvent condescendant ce qui le conduit souvent à se montrer méprisant, souvent sans le montrer et derrière une
apparence de bonté. Il envahit souvent les territoires relationnels qui ne sont pas les siens, se mêle de ce qui ne le regarde pas, s’accordant un rôle qui ne lui revient pas car il se
sent indispensable : si personne ne sauve son protégé, qu’adviendra-t-il de lui? Envers la « victime », le sauveur devient surprotecteur.
Malgré les apparences, surprotéger, prendre en charge et « sauver », c’est suggérer de façon non-verbale, qu’on considère l’autre démuni face à la situation. (Encore l’attitude de
supériorité du sauveur qui apparaît!) C’est lui dire « sans moi, tu n’as pas ce qu’il faut pour y arriver! ». C’est manquer de confiance en l’autre. De plus, en réglant les problèmes à sa
place, le sauveur prive l’autre de découvrir ses propres ressources pour régler ses problèmes mais également, il l’empêche de se responsabiliser de ce qu’il crée dans la
relation.
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L'attaque physique : sans crier gare, Jordan se jette sur moi. Je
sens son corps se plaquer contre le mien avec violence, sa peau se frotter contre la mienne. Il appuie avec force sur mes épaules, ce qui me fait plonger la tête sous l'eau mais il ne tarde pas à
m'y rejoindre. Accroché à mon corps, je vois ses muscles se tortiller pour m'empêcher de m'échapper. Son regard est vrillé au mien allumé d'une étincelle de défis, même s'il affiche déjà le
sourire du vainqueur. L'atmosphère est étrangement calme sous la surface, tout y est plus clair comme en arrêt sur la marche du temps. Avec le manque d'oxygène, mes yeux se ferment
seuls. A chaque clignement pour les garder ouverts, j'ai la sensation de voir Jordan approcher son visage plus près du mien. Il me noie, mes
yeux sont clos. A jamais ? Mes lèvres s'entrechoquent contre quelque chose de doux et de moelleux, avant de s'ouvrir à l'air libre pour redonner vie à mes poumons. Jordan me lâche avec une mine
satisfaite…
Un jeu qui tourne mal : 'quelqu'un' met un bras autour de votre taille et vous tire à la
surface. Vous tirez une bouffée d’air profonde, toussant l’eau de vos poumons, tandis que votre corps tremble sous l’adrénaline. Vous ne pouvez même pas ouvrir les yeux, vous pleurez trop
lorsque vous essayez de reprendre votre souffle. Vos jambes tremblent désespérément pour rester à la surface, mais cela ne fait que rendre la tâche plus difficile à la personne qui vous qui est
censée vous 'aider' à vous maintenir en vie"oui ou non ?" La voix profonde de Jordan vous appelle soudain, le bras se resserrant autour de vous. "Tu vas bien, calme-toi."
Vous savez que ça va mieux, mais votre corps a toujours si peur de sombrer de nouveau. Vous vous en tenez donc à lui serrer fermement les bras autour du cou, en plaçant votre visage contre sa
poitrine. Jordan respire calmement, même si, un peu sans le vouloir, vous bloquez sa respiration parce qu'il vous porte . "Tu sens les battements de ton coeur? Tu es en
vie, en vie !" Vous essayez de hocher la tête et de vous serrer contre lui, pendant que Jordan tente lentement de se déplacer vers le bord. "Bien. Concentre-toi sur ça. Je vais t'en
sortir, je te le promets. »Il respire, laissant votre bras pendre le long de vos corps et votre main toucher son ventre. Lorsque vous atteignez le bord de la piscine, il fait de son mieux
pour vous prendre en poids et vous sortir, même s’il n’est pas assez grand pour que ses pieds appuient sur le fond. Vous prenez une autre respiration étouffée, avant qu'une autre quinte de toux
ne vous envahisse.
Heureusement, Jordan vous accompagne tout le temps et vous aide à revenir sur un terrain plus solide. Lorsque vous êtes assis, vous ouvrez enfin les yeux, vous les frottez violemment
lorsque vous sanglotez et hoquetez sans pouvoir vous en empêcher. Jordan vous tire à nouveau à lui, caressant doucement vos cheveux. «Chut, chut. Tu vas bien. Tu t'en es sorti, tu vas
bien. »Vous ne le lâchez pas, vous ne faites que respirer pour essayer de vous calmer. "Je ne laisserai rien t'arriver."
"Ici." Jordan vous tend une tasse de café en souriant doucement en laissant échapper un soupir de soulagement. "Tu te sens mieux ?" Après l'accident presque précédent, Jordan vous a emmené dans
sa voiture et s'est rendu à son domicile, qui se trouve juste en dehors du campus. Il ne vous a pas lâché de tout le temps que vous trembliez de froid et d’adrénaline. Maintenant, vous êtes
assis dans son canapé, alors qu’il s’assied à côté de vous.
«Je vais un peu mieux.» Vous acquiescez en levant le nez avant de le regarder. «J’ai quand même encore froid.» Ajoutez-vous en montrant vos cheveux et vos vêtements mouillés. Vous n’aviez même
pas la force d’enlever votre maillot de bain ou de vous assécher plus tôt, le stress ayant apparemment absorbé toute votre énergie. Jordan a simplement tiré votre pull par-dessus vos épaules
pour vous aider à enfiler votre pantalon, puis vous a immédiatement conduit ici.
«D'accord, alors…» Il se lève et t'attrape comme une mariée avant que tu puisses protester, te déposant à nouveau sur le siège le plus proche du feu. Ses yeux
parcourent ton visage pendant une seconde, avant de se diriger vers le fond de la pièce et de sortir une couverture moelleuse. Jordan t'emmène comme un enfant, en te
brossant les cheveux et en allongeant le cou pour t'embrasser, et te met à nouveau la serviette sur la tête. "Làààà !" Il sourit, ignorant ton regard. "Si tu es assez calme
pour te fâcher contre moi, alors tu es suffisamment calme pour te sécher les cheveux", plaisante-t-il. Tu fais la moue mais fais comme il dit, en posant le café et en
commençant à te sécher les cheveux. Jordan rit, mais tend la main vers la serviette aussitôt. "Je plaisantais."
L'attaque
psychique :
Il s'asseoit ensuite sur le canapé et commence à se sécher les cheveux. Son souffle chatouille un peu ton cou et, bien malgré toi, tu recommences à trembler. Les mains
de Jordan toujours dans tes cheveux. Jamais il n'aurait fait ça s'il n'y avait pas eu ce 'malencontreux accident'. Ensuite, quelque chose de chaud est sur ton
cou. Surpris, tu t'écartes, avant de remarquer qu’il te met de petits baisers sur le cou. Tandis que ton visage rougit, tu bégaies. -"Qu'est-ce que tu fais?"
-«Je réchauffe ma petite amie.» Dit-il, plaçant un autre baiser sur ta joue, alors que tu le sens sourire contre ta peau.
-"Petite amie?"
-"C'est ça. Eh ben," respire-t-il alors, en tirant de nouveau pour sécher tes cheveux, "si tu veux être ma petite amie.- J'allais juste te le demander quelques minutes avant, mais ensuite tu t'es
presque… noyé.
-"Merci de me le rappeler."
-"De rien."
-"J'aimerais être ta petite amie."dis-je en souriant.
Jordan rit avant de se pencher pour un baiser réel. Quand il se retire, ses yeux brillent. "Bien! " dit Jordan. Certainement, débordant de
reconnaissance envers Jordan, je n'avais pas mesuré, au sens propre comme au figuré, la portée de mes paroles.
JORDAN AVAIT UNE PINE INCROYABLE Impossible de penser qu'il pouvait séduire qui que ce soit avec un pareil
'démonte-cul'
Et il a fallu que ce soit moi qui fasse les efforts que personne ne voulait faire !Jordan, quand il marche, je perçois le tremblement de la chair de
son sexe épais dans son sous vêtement gris et je dois dire que c'est déjà très large au repos. C'est inimaginable pour moi que mon trou du cul puisse 'accepter'un tel diamètre et tant de chair
invasive.
Comparez-nous ! Lui c'est Goliath !
J'ai dû être comme ça à un moment de notre baise.
Vu la différence de nos natures je projette de lui prodiguer léchouilles et fellation, rien de plus. Pour la suite de nos ébats, je lui demande
de me suivre dans ma chambre, je ferme la porte à clef bien qu'il y ait personne à la maison, je me déshabille très vite, je suis super excité et ma bite est sur le point d'exploser, je bande
déjà depuis un bon moment, j'invite Jordan à me rejoindre sur le lit. Sa queue se dresse devant moi. Elle est effarante, il me fait monter sur le lit, position debout, me prend les chevilles et
me place les pieds de part et d'autre de son corps et doucement il me fait accroupir pour que j'essaye de m'empaler sur sa queue, mon trou du cul non préparé résiste. Est-il fou de
m'infligerun tel supplice ? " ramène ton cul que je le lèche, il a besoin qu'on l'ouvre un peu " me lance- t- il, je me place en 69 et
lui offre mon petit cul pour qu'il le doigte, moi j'en profite pour le sucer, je lèche son immense phallus, je sens un doigt me pénétrer l'anus puis deux puis trois, je me sens vraiment
mieux dilaté et ouvert, il me pénètre profondément avec ses doigts, ça me fait mal mais j'ai hâte d'y passer,
" c'est bon, tu es prêt à recevoir ma bite petit cochon ! " Me lance-t-il avec un air mi gentil, mi autoritaire.
Je me retourne et doucement je m'empale sur sa grosse bite, je la sens s'enfoncer au fur et à mesure que je descends, ça fait très mal mais je suis
tellement excité et plein d'amour et de reconnaissance que je suis prêt a faire n'importe quoi pour mon amant, sa bite est maintenant complètement entrée en moi, je sens une brûlure intense
au niveau de mon anus et mon vente est plein. Je n'ai pour l'instant aucun plaisir mais de la douleur.Comme ,vu ma position, c'est moi qui devrais faire l'ascenseur et du monte et descends, c'est
Jordan qui, à coups de bassin, force mes va et vient sur sa bite. Comme c'est douloureux de toutes façons, je prends le 'train' en marche et amplifie les mouvements qu'il a initié, je monte et je
descends, au début lentement mais nous prenons vite notre vitesse de croisière, je remarque que plus je vais vite sur sa bite moins j'ai mal, je le vois en train de gémir de plaisir, mon ami
apprécie ma prestation et moi aussi, sa bite en érection s'enfonce dans mes entrailles je la sens maintenant merveilleusement bien. Je réalise enfin mes fantasmes, que baiser avec lui
était ce que je voulais, je suis à la fois excité et fier, tout d'un coup sans me prévenir, Jordan me renverse, je suis maintenant allongé sur le dos, il me relève les jambes et les pose sur ses
épaules, il me regarde fixement pendant qu'il me pénètre avec sa barre de chair , je vois sa bite disparaître lentement dans mon ventre,
" Oui c'est bon, j'adore ça, vas y, baise moi mon amour, continue ! "
Il me lime pendant je ne sais combien de temps. Résultat : je perds la tête je me sens tout drôle, enivré comme si j'avais bu, il est
vraiment endurant mon nouvel amant, moi qui pensais qu'il allait jouir, il me surprend en me demandant de me mettre à quatre pattes sur le lit, ce que je fais avec plaisir, me voici donc a
quatre pattes, le cul en l'air bien cambré, offrant un spectacle privilégié à mon amant qui me défonce le cul avec le plaisir qu'on imagine : je suis un 'plat' de roi pour le mec
rugueux qui dispose de moi. Mais c'est le retour de la douleur, j'ai de nouveau effroyablement mal, des brûlures transforment mon plaisir en un supplice, j'ai hâte de terminer nos ébats
sexuels, mais mon ami n'est pas vraiment au bout de son plaisir, il est vraiment résistant, il n’est donc pas prêt de jouir, il accélère ses va et vient, ayant vraiment mal je lui propose de se
retirer de mon cul en feu afin d'arrêter le supplice
" J'ai pas encore joui, je peux pas arrêter maintenant, c'est mauvais, tu vas pas me faire ça STP " fait-il semblant de
me supplier...
Je ne sais quoi lui répondre, j'ai mal dans le cul, je lui propose alors de le finir dans ma bouche, " bonne idée, mais j'aurais voulu te
baiser le cul un peu plus, mais bon, je veux bien te baiser la bouche , je n'en ai pas pour longtemps de toute façon ! " .
Le retrait de sa grosse queue fait un tel vide que je sens un début de petit malaise.Sa queue a maintenant une dimension incroyable
et à ma grande honte a pris une couleur de merde ( ma merde ), un peu dégoûté mais résolument déterminé à lui faire plaisir, je prends la queue de mon ami et l'avale toute entière, de toute
façon, Plus tard, bien dégrossi, je l'ai fait au quotidien, mais là je ne pouvais plus recevoir mon amant dans mon cul, mon trou de balle était complètement irrité et usé a force de ses
coups de hanches, je suçais depuis cinq bonnes minutes quand tout d'un coup, je sens du sperme dans ma bouche, j'avale au fur et à mesure que mon amant éjacule au fond de ma gorge. Je lui dois
bien ça ! Cette fois j'ai un goût de merde et de sperme mélangés sur ma langue, l'idée est dégoûtante, mais je suis fier de vivre ces moments intenses d'intimité avec mon meilleur ami
... je lui nettoie bien la queue, le gland en particulier, mon ami me sourit d'un air satisfait
" tu es vraiment une belle salope, tu m'as fait jouir dans ta bouche deux fois, je n'oublierai jamais ce que tu viens de me faire, vivement la
prochaine fois !"
J'étais dans un état second, je me sentais bizarre et tout drôle, j'avais le sperme de mon copain dans la bouche, et je ne me suis même pas rendu
compte que j'avais joui moi aussi ...Un jour survint un garçon .
.
L'AMOUR «Huit mois inoubliables! Toutes ces nuits, à califourchon sur lui, je guidais son sexe vers mon trou et je m'empalais dessus. J'agitais un
peu le bassin pour le prendre jusqu'à la garde. Même dans mes rêves les plus fous, je n'aurais pu imaginer que ça puisse être aussi bon! J'en voulais ma dose chaque fois que nous étions
seuls. Il entrait en moi et il s'agitait tandis que je lui caressais le torse et lui embrassais le visage. Mes hanches, qu'il tenait fermement, montaient et descendaient en cadence alors
qu'il me baisait sans aucune retenue. Des bêtes en rut! Je haletais, je couinais, je gémissais de plus en plus bruyamment jusqu'à l'explosion. Parfois, pour me faire taire, il me pliait
le tronc et amenait mon visage vers le sien. Il m'embrassait passionnément et je me calmais. Lorsque enfin, nous jouissions de concert, j'avais des étoiles plein la tête et je me sentais
pleinement heureux.»
|
.
JORDAN C'ETAIT SON TRUC POUR REMPLACER LE CHARME QU'IL N'AVAIT PAS !
Un jour survint un beau garçon du nom d'Eric qui me dit être un copain de Jordan. Ce dernier l'avait sauvé, soigné à la suite d'une collision entre eux qui avait entraîné une chute de vélo et de belles écorchures...le médecin traitant de
Jordan avait prodigué les premiers soins... A la suite de quoi Jordan l'avait hébergé quelques jours. On sentait Eric pleinement heureux...Il avait pris ma place !
Depuis Jordan m'a quitté et j'erre à la recherche d'un amant qui le remplace physiquement, mais qui, en plus,
m'aime.
commentaire :
https://cyrillo.biz/histoire/maliax2.htm
«ENTRE RËVE ET REALITE à la rencontre d'un succube, Slain, issu d'un jeu vidéoX » Maliaxxx m' a
paru bien exprimer la relation entre une queue monstrueuse-genre 'démonte cul' et un petit mec dont ce sera la naissance à la sexualité d'exception !
«A à la rencontre d'un succube, Slain, issu d'un jeu vidéoX
c'est là que le plaisir
commençe....
« il releva la tête. J'ai entendu du bruit dans le salon. Il se rendit au salon, parcourant le grand loft ancien, éclairé par des
torchères tamisées, avec ses teintes chaudes, ses meubles luxueux, tous d'aspect. regard. Il avait de grands yeux verts et ses cheveux courts étaient charbon. Il avait la
coupe échevelée. Parce qu'elle lui faisait bien. Oui, avec ses traits jeunes et masculins : un nez fort mais anguleux, des lèvres tendrement rondes, des rondeurs
innocentes et viriles dans son visage. Il avait le teint rose et n'était pas maigre. Son corps, pas trop grand, mais pas petit, parcouru de jeunes mais forts poils, était
galbé à la fois de muscles et de chaire. Il était québécois. Un beau québécois. Il était intelligence et sensibilité. Mais peut-être trop sensualité.
Je me suis assis sur le sofa moelleux, j'ai passé la main dans mes cheveux fatigués et puis, je me suis laisser tomber par en arrière. Je savais que je rêvais. Mais, je me
demandais à quoi cela me menait-il. Je sentais le clavier de mon ordinateur sur mes joues. Mais quand je l'ai vu arriver, j'ai décidé de rester endormi.
C'était impossible. C'était Slain. Oh, Slain, le gars de Unreal
Tournament. Il s'approchait de moi, avec cette démarche félinement virile. Il portait son pantalon et ses bottes d'armée. Mais il avait le torse nu, les épaules
couvertes de protections métalliques. Il avait la trentaine, il était grand, sept pieds. C'était, le charme slave ou scandinave, optimal, un corps barraqué, très costaud, mais
que du muscle. Ou presque. Des muscles souples et beaux, démesurément tendres et gros. Sa peau était épaisse et moelleuse, mate et poreuse, douce. Oh, comme il
était bâti. Il avait un visage fortement masculin, les yeux grands et noirs, tout comme ses cheveux ras.
Une bouche invitante, sarcastique et des joues fraîchement rasées. Il
était sexy, séduisant.
-Slain? demandai-je.
-Oui? Me répondit-il, d'un sourire à la fois pervers et rassurant.
-Qu'est-ce que tu fais ici?
Il restait toujours aussi sensuel et invitant, pervers.
-Alex. Ça fait trop longtemps que je me languis de toi.
Il s'est approché encore de moi, il m'a écarté les jambes. Je me suis senti mourir de frissons. Puis, il s'est mis à genou entre mes jambes, il m'a pris par la taille pour me
rapprocher de lui.
-Et de ta bouche.
Ses mains ont monté dans mon dos. Nos haleines se sont mêlées, puis nos
lèvres se sont rencontrées. Il a commencé à m'embrasser passionnément. Je flambais de désir. Mes mains ont parcouru l'étreinte de ses bras solides et musculeux, jusqu'à
ses épaules robustes, puis sa nuque de bouf. Tout en l'embrassant chaudement, nos langues se caressant langoureusement. Je sentais sur mon aine, l'ardeur d'une grosse érection
qui s'éveillait par pulsions au travers de son pantalon de toile. Il arrêta tout aussi doucement.
-J'ai laissé les autres s'éclater les tripes et s'amuser à se tuer entre eux. Je voulais m'amuser avec toi.
Il m'a doucement penché vers l'arrière et je me suis laissé échouer sur le
profond et doux sofa. Il me caressait de ses mains, releva mon chandail pour me baiser le ventre. Puis, il est encore descendu. Il a sorti mon huit pouces de mon slip,
bien gorgé de sang. Puis, merveilles. Il m'a pris en sa bouche. Il m'a sucé avec une volupté tordante, me parcourant le ventre de l'autre main. Je mourrais de
désir. Je luis caressait la tête avec extase. Il était délicat et déchaîné. Paradoxal mais bon. Il resserrait la gorge, la détendait, la resserrait, la détendait,
il léchait, salivait. Je frétillais. Il passait la langue langoureusement, doucement. Il me retirait pour m'empoigner, puis, il me rengouffrait et m'aspirait
énergiquement. Oh! C'était trop bon.
-Arrête, oh, Slain, arrête, je vais venir!
Ah! Je suis irradié. Je lui jute à pleine bouche, je gémis et me contracte de spasmes de plaisir. Lui, il a avalé, déjà, et il continue à me sucer doucement.
Quelques spasmes, encore.
-Oh, Slain, Slain, pénètres-moi, défonces-moi, baises-moi, montes-moi, aimes-moi!
Il fait signe que oui, haletant, moi aussi. Il me retire tranquillement
mon slip. J'attends, je me languis. Il défait sa braguette et en sort un énorme 14 pouces, bien baraqué et raide, prêt à défoncer. L'érection l'a décalotté : son
gros gland bulbeux, tendre et rouge foncé tient à peine dans une grosse main et la hampe robuste, veinée, à la peau satinée est large comme un pilier. C'est merveilleux. Une
main n'en fait pas le tour à elle seule. Et deux gros testicules tendres pendent. C'est un cheval, ce mec. Peu importe, je suis capable d'en prendre. D'avoir vu
son membre aussi puissant m'a fait mouiller. Je suis prêt à me faire mettre.
Il faut y aller doucement. J'ai les cuisses sur ses épaules, bien écartées. Nerveusement, il tente de me pénétrer. Il place son gros gland sur ma rosette et.
Aaaaannnnnnnhhhhh!!!!! J'ai un gland d'enfoncé en moi, gros comme un poing, mais plus pervers et ravageur. Il se penche sur moi et me re garde passionnément droit dans les
yeux, alors qu'il enfonce le reste du bras d'un long coup de hanches. Oooooaaaaahhhhhhhhhhhhh!!!!!!!!!!!! Il grogne bassement alors que je gémis et n'en peux plus
déjà.
Hhmmm!! J'ai 14 pouces de viande chaude en mes entrailles, c'est tendre et
voluptueux. Il a la tête sur mon corps et me laisse m'habituer : je suis étendu en travers du soffa, les jambes en l'air et bien écartées, avec un gros mâle affectueux mais
agresssif, musclé et bâti mais doux entre mes cuisses, et un corps étranger gros comme un bras d'enfoncé en mes pauvres entrailles. Il m'embrasse avec son haleine de sperme puis
commence un coït digne du mâle qu'il est : lent mais très énergique, soutenu. Il me lèche les pectoraux et me taraude de plus belle. C'est un bras de chaire dure, un
membre tout entier, comme un train complet qui entre et qui ressort en une seconde pour m'échauffer la rondelle et m'enflammer le ventre.
-Oui, Slain! C'est bon, c'est chaud. Oui, baise-moi, mon beau!
Il halète et me sourit avant de m'embrasser goulûment et d'accélérer la cadence. Son gros organe glisse aisément dans mes fluides et muqueuses et me défonce. Il râle et
recommence de plus belle. Il contracte ses belles fesses musclées à chaque impulsion animale. Il me pénètre avec une rage puissante, mais il reste si préoccupé par mon plaisir
que ce simple fait me met en extase.
-Ah, fourres-moi, mets-moi, Slain.
Il relève le torse et m'entraîne dans ses bras. Il me pénètre
sauvagement. Tout n'est plus que feu : je suis en entier dilaté et agrandi. J'ai les fesses qui s'ouvrent comme un trou béant et affamé que seule sa virilité peut
assouvir. Il se met debout sans difficulté. Je l'embrasse, je caresse ses cheveux qui se sont emmêlés en vrais rebelles. Je m'accroche à ses omoplates, je ceinture
toujours sa taille de mes jambes et il continue à me pénétrer avec son énorme queue. Comme c'est bon, Slain. Oah!! Son gros gland me sonde pendant que la hampe me
caresse fortement l'antre. Je passe la main sur ses gros pectoraux musclés et couverts de sueur et ses abdominaux bien découpés et contractés par les spasmes impudiques du
plaisir. Comme il fait chaud! J'enlève mon chandail. Je suis toujours emmanché quand il nous emmène vers la table de la cuisine et se retire. Je suis debout devant
lui. Il m'embrasse et me sourit toujours avant de me faire signe de me retourner.
Monsieur veut une levrette : ça va être torride. Putain, je suis pas une jument. Mais, bon dieu ce qu'il est bandant. Il me penche sur la table comme une salope,
m'écarte les jambes. Son gros gland sonde ma raie, cherche l'orifice. Comme de nature, l'un et l'autre s'attirent et aaaannnnnnnnhhhhhhhhhhhh!!!!!!! Sa queue
ravageuse trouve ma rosette pour la défoncer à nouveau. Cette position lui permet encore plus de performance. Au secours! Je vais mourir... de
bonheur!
Il se penche sur mon dos, comme un gros ours - d'ailleurs, il en a la queue - et
me couvre en entier. Nous sommes chair contre chair. Il me défonce encore plus sauvagement; je croyais que mon bassin et mes hanches et mes fesses se disloqueraient,
tant sa troisième jambe était large; et tellement longue que je me sentais déchirer par mon amour. Ouh!, j'ai la prostate qui doit enfler de plaisir et de spasmes. Il
m'étreint de ses bras solides, me caresse le ventre meurtri et les pectoraux. J'ai son haleine d'étalon dans le dos, il me léche tendrement la nuque. C'est un
délice.
J'étais prisonnier de son étreinte et jouissais. J'avais une trique
d'enfer, j'allais bientôt venir. Mon mec, mon Slain le sentait. Et ça venait pour lui aussi. Il était devenu un vrai sauvage, il gémissait violemment, mais
amoureusement, il se mitt à me pomper. Après un dernier baiser, il se releva et me prit aux hanches pour mieux m'attirer vers lui et m'inculquer ses violents et rapides et
entières pulsions de coït endiablé. Et les gémissements. Oh, je n'en pouvais plus de ce mâle qui me baisait comme une vraie salope. Il me défonçait en rafales avec son
pilotis. C'était le pied. Je me sentais élargir à chaque poussée de son puissant pelvis. Sa grosse queue entrait et sortait plus vite qu'un piston déchaîné. Oh,
ouh, quelques poussées encore, plus enflammées les unes que les autres. Il se mit à m'enviander avec une violence délicieusement douloureuse, et puis, les couilles se resserrèrent,
et puis, un gémissement suprême qui nous envahit, et. AAAAAAAAHHHHHHHHHHH!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
C'était l'explosion. Alors que je jutais péniblement sur la table, son
membre redoublant d'enflement propulsa en moi des giclées d'une puissance complètement démente, d'une chaleur folle et d'une viscosité alléchante. C'était comme faire le plein, mais
le plein d'essence virile. Parmi les poussées pelviennes toujours plus calmes et dont les spasmes nous ébranlaient, j'étais branché sur un égout de sperme affluant et je me faisais
remplir comme une vraie jument. C'était bon de sentir son affreusement bonne liqueur, déversée par un phallus apprêté et protubérant, énormément gonflé, et dont les millions de
spermatozoïdes m'envahissaient d'un océan de frissons. Quand il s'est retiré en nos géissements, un flux de sperme s'est mis à s'épandre sur mes cuisses. Il s'est mis à lécher
son propre sperme, et puisque j'étais flexible, je l'ai aidé. Dans un baiser, sous avons partagé la dernière gorgée de son sperme.
Nous nous sommes embrassés et caressés longtemps après. Je me souviens que nous l'avons refait et refait. Dans la cuisine, dans le salon, dans la douche, dans la chambre, bien
sûr, dans toutes sortes de positions, je l'ai sucé, aussi. Et je me souviens aussi.
Et je me suis réveillé. Meeeeerde!
Quand Alexandre s'est réveillé, il avait le clavier d'imprimé dans le
front. C'est que ses deux collocs, Casio et Jamal étaient rentrés.
-Il a failli foutre le clavier en l'air en bavant dessus. Lança Jamal.
-Écoute, fit Casio qui s'approcha d'Al, on a dû rester tard à la FAC parce que. On devait finir un travail.
Alexandre le laissa à ses éventuels mensonges. Ils étaient comme trois frères. Ils se connaissaient et habitaient ensemble depuis trois ans.
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