Mercredi 28 février 3 28 /02 /Fév 16:49

  un plug bien conçu doit donner envie ; Seduisant, sa forme est strategique : bout bien lisse et arrondi, collerette d'arrêt à la base pour eviter d'aller le faire retirer aux urgences -lol- et le retrecissement bio technique qui fait qu'il tient en vous (à vous  -lol- quoi que vous fassiez: la branlette, le telephone, la cuisine, le menage, les courses. Peut devenir irritant.

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 cet homme rigolard, Andrew Brady, n'est pas un champion sportif mais un garçon qui affectionne se transformer en drag queen 

     Anus palpitant en attente :  

temptingdominance: “My hole. My perogative to use as I please. ”

 

 

 

 

<b>Bottoms, Here Are 8 Ways to Help Get Rid of Those Pesky Anal Fissures</b>

 

  J'aime le sexe anal, mais la principale raison pour laquelle je l'aime c'est à cause de toute l'atmosphère qu'il entraîne avec lui. Un petit inconfort grognant, délicieux, ainsi que la sensation que la/sa/ma bite doit vaincre une résistance serrée, et qu'ainsi la baise prend un tour"dramatique" avant l'heureux dénouement - "tu vois bien que c'est bon !" -lol-  

     Certains ont fait le chemin inverse mais moi avant de me faire prendre par une bite je n'avais jamais essayé de me pénétrer avec un objet ni même un gode.Les plugs surtout  me semblaient bizarres et anormaux.

 Quand mes relations sexuelles ont commencé à se corser- et je veux dire quand j'ai été vraiment "dans le sexe"- après que j'ai eu dépassé l'étape initiale 'oh, c'est génial' et dans la phase 'Je me demande ce que ce serait si moi aussi je faisais cette chose inhabituelle, voire incroyable, de  rentrer un gode à la place de la (ma, sa ) bite. OUI ! Ben rentrer un gode à la place de la (ma, sa ) bite : ok. Bien sûr il y a 'gode' et gode -je veux parler des formes et dimensions !  Vibros: pas de problème, à peu de chose près (les sensations plus ou moins fortes) c'est pareil. Là aussi il y a 'vibrations' et vibrations faut que ça reste pas seulement agréable mais prenant !  Jeu de rôle, scénario : tant que ce n'était pas trop bizarre c'est toujours allé. Le très bizarre me déconcentre à moi !
    Les plugs me semblaient un peu inutiles :  pourquoi en aurais-je besoin? De plus, je me sentais un peu nerveux à l'idée d'en utiliser un sur sur moi ou même sur un mec. Je craignais de lui faire mal et que ce soit complètement décevant ou - pire le blesser, lui provoquer une fissure anale.

Comme avec beaucoup de choses du sexe, j'avais spectaculairement tort .

"S'asseoir dessus" ne signifie pas s'en foutre mais en subir pleinement les effets

Nous en avons parlé avant. Il m'a dit qu'il aimait ça: ce sentiment d'être plein, mais là il parlait de ma bite

     Ma tête est pleine d'images:  LUI allongé sur le lit, nu, essayant de pousser quelque chose fermement en lui-même. LUI : assis devant son ordinateur, avec un gros plug à l'intérieur de lui et se calant contre le siège de la chaise, fronçant les sourcils dans sa concentration comme s'il se "frottait" déjà à l'apogée l'orgasme.

Je voulais voir une première fois sur quelqu'un.
"Tu vas l'utiliser sur moi?" Demanda-t-il. J'attendis un moment, en adoptant le genre de visage qui camouflait ma nervosité comme si  je contrôlais mon indécision...

- "c'est toi qui me le rentres ? c'est gros ! "
-"Non." Je l'ai mis sur la chaise. "Tu vas te l'enfoncer toi-même."

Rester

Je l'ai regardé graisser le plug puis grimacer avec concentration sans me regarder alors que ça commençait à rentrer. C'était juste le début. Alors qu'il s'asseyait lentement sur la chaise, son visage affichait un beau dilemme torturé: -"J'aime ça. Ça fait du bien. Mais je me sens si bizarre et je culpabilise un peu : j'ai peur de m'esquinter l'anus"!

Un peu après : " Et maintenant, comment te sens-tu ?"

"Sale."

"Restes-y ! Branle-toi. Tu veux que je te le fasse ? "

Il agrippa fermement sa bite et commença à faire glisser sa main de haut en bas. Il tressaillit et trembla, EN MEME TEMPS nerveux et excité
-lol-.   Je pouvais voir la tension  de ses veines dans son cou, et l'effort tendu de ses cuisses pour essayer de ne pas trop souffrir en augmentant la pression trop vite. Il ne le voulait pas trop profondément tout de suite - il voulait le prendre lentement, le déguster en quelque sorte. Il déglutit, se branla plus fort, se détendit un tout petit peu, laissant légèrement le plug glisser  plus profondément en lui.

"Alors? Comment te sens-tu ?"

"Toujours ..." il se branla plus fort "... salement coupable, mais c'est bon."  

      Je me suis assis sur le bord du lit à m'échauffer à sa vue . C'était son visage, surtout. Le scintillement de ses expressions et ses émotions en compétition alors qu'il se caressait vers un point culminant auquel il était à la fois désespéré et honteux d'arriver. Je ne pouvais pas croire qu'il puisse y avoir une telle différence entre le regarder se branler et le regarder se branler comme ça: avec un gros bouchon dans le cul. Ca le tenait fermement par un endroit de sa tête où il était en conflit entre joie et jouissance, exploit et utilisation extrême de son corps.

Je l'avais rarement désiré davantage. Je bandais fort, naturellement. Je pensais déjà que ma bite allait remplacer le plug.

Bon garçon

Je me suis tenu au-dessus de lui et j'ai seulement baissé mon boxer. Il leva les yeux vers moi et je lui ai donné le genre de sourire dont j'avais l'habitude de le gratifier au moment de le baiser: joyeux, extatique, ravi par cette chose intensément nouvelle. Et ma sueue bandée à mater. J'ai adoré le fait que ce garçon était tellement à bout - souffrant de la grosseur du plug et se masturbant sur le point de venir face à moi. J'allais le branler, voire le sucer mais il me fit non de la tête. Quoi alors ? lui branler la queue avec ma bouche ? non !  
Je m'assis sur ses cuisses,  mis mes mains autour de son cou et puisque ce n'était pas lui, pourquoi pas moi. Je n'en tais pas à ma première bite dans le cul. Je m'acroupis sur sa queue. Il entoura mes fesses de ses deux mains. Doucement, pour les premiers coups, je glissai de haut en bas - ma chatte devenant de plus en plus chaude au son de ses gémissements plaintifs et au contact du velours durci de sa bite. Enculé à fond je m'étais immobilisé, assis carément sur son pubis

- "S'il te plaît."

-"S'il te plaît quoi?"

-"S'il te plaît ... plus fort."

-"Tu veux m'enculer plus fort?"

-"Oui."

-"Tu veux me sentir m'enculer tout seul plus dur alors que ce plug est tanqué le plus loin possible en toi?"

-"Je ... oui."

-"Dis-le."

 

-"S'il te plaît, monte et descends plus fort, plus vite. Je veux que tu le sentes toi aussi en toi, tout au fond de toi.
-"Oh mon Dieu. Merde ! C'est au fond de moi.

Alors, comment dire ? je l'ai branlé plus fort avec...MON anus et lui, malgré le plug bandait  beaucoup plus dur. Je chevauchais sa bite dans un rythme rapide et saccadé, meulant mon cul sur sa queue dans la chaise et le plug anal plus profond à l'intérieur de lui provoquant sans aucun doute des étincelles de plaisir. Je me suis balancé d'avant en arrière pour pouvoir le sentir pousser sous tous les angles. Je m'agrippai au dossier de la chaise et agrippai ses cheveux en criant. Je sentais la tension en lui chaque fois que je me précipitais à la base de sa queue - les coups solides et durs qui tapaient la base du plug contre la chaise, et la pointe de celle-ci dans le gars.

Il y a d'autres histoires à raconter sur les plugs anaux pour homme- quand ils sont utilisés sur moi, ou d'autres façons dont je les ai utilisés pour faire gémir les gars. Mais c'était l'une des premières introductions que je faisais. A partir de là, la principale chose que je leur associe (et c'est la raison pour laquelle je garde toujours deux types de plugs différents dans mon tiroir de jouets sexuels) ce  n'est pas le jeu lui-même - les actes ou les moments spécifiques ou même le sentiment de glisse à l'intérieur - ce sont les expressions. Les regards de luxure mélangés du gars avec les miens, nos vues qui se troublent dans l'approche de l'extase, gars avec l'incertitude de savoir bien faire. C'est "sale" ? et alors, ? à ce compte-là tout l'amour est sale... non seulement parce qu'on l'aime mais à cause de la façon dont on l'aime.

Enfin, trop vite, avant que mes cuisses puissent même penser à faire mal, il est venu. Un dernier grognement de satisfaction et d'angoisse et de convoitise, et sa bite se crispa fort en moi. Il a enterré son visage dans ma poitrine et m'a offert un «merci» totalement inutile...: j'en avais autant à son service !
 

 

 


  commentaire :  

 

  JUNGLE  

 

 

 

 

photo

 

 Mon amant sait que quand je suis excité je vais prendre son cul. Donc qu'il dorme ou pas, je pousse ma bite juste dans sa douce chatte chaude, et le baise jusqu'à l'orgasme! J'aime tirer ma charge chaude dans son son anus, et frotter ce qui coule de son cul sur lui. Si mon garçon était endormi quand j'ai commencé, il ne reste pas longtemps endormi. Et après avoir eu mon plaisir, je ramène ma bite à l'intérieur de lui afin qu'il puisse se branler et lâcher une charge de son cru. Parce que je suis un pote attentionné.
       

 

Par CAVAILLONGAY - Publié dans : VIVRE SA SEXUALITE, SES FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 28 février 3 28 /02 /Fév 15:29

     si c'est si laid, si moche si pourave en goût pourquoi on est si nombreux à le vouloir, à le faire, à succomber à ses effets dévastateurs  

 

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queer as folk uk - charlie hunnam 2 min

Un coup de té lé phone importun n'interrompt pas Charlie l'amant au délicieux accent italien  
pas de double click sur le curseur vidéo    c'est quelque chose qui me tue !           

  Les scènes de sexe du premier épisode sont essentielles, « parce que cela affectait le comportement de Nathan pour le reste de la série. » Ayant découvert au cours d'une nuit de folle escapade le plaisir de l'amour avec Stuart, l'ado s'accroche en effet à son initiateur et acquiert peu à peu une indépendance et une assurance qui lui font défaut au départ. S'il a d'autres aventures, notamment avec Dazz, à peine plus âgé que lui mais plus expérimenté, c'est Stuart qu'il a dans la peau.            

"Je suis probablement comme beaucoup de gens qui ont grandi à la fin des années 90, en ce sens que j'ai découvert pour la première fois Queer as Folk (la version britannique, qui est catégoriquement meilleure que la version américaine à cause de Stuart Alan Jones). [Cette éclatante et convaincante  Dans le premier épisode, Nathan (joué par Charlie Hunnam quand il était jeune et imberbe) est nu et baisé à fond par le magnifique Aidan Gillen.

 Au milieu de la sueur et de la respiration haletante et assourdissante que me provoque l'excitation de ma chatte douloureuse et hormonale, j'ai entendu Stuart (Aidan Gillen) demander à Nathan ce qu'ii penserait d'un anulingus. Nathan fait une pause alors Stuart lui fait une invite:

"Rimming???"

Il y a une pause, car nous nous rendons compte que le jeune n'a absolument aucune idée de ce que c'est. Pourtant, il est aussi excité que peut l'être un adolescent en train de baiser avec un mec chaud et qui transpire sur lui, alors instinctivement il dit oui. Et la vue de la langue de Stuart coulissant de plus en plus dans le dos de Nathan, finissant par se reposer dans la fente de ses fesses, c'est quelque chose qui me tue.

Mais bien sûr, à côté de toutes mes autres pensées - y a-t-il des terminaisons nerveuses dans l'anus ? Est-ce vraiment si agréable? Si je lui demandais vraiment bien, un sosie d'Aidan Gillen me ferait-il volontiers la même chose? - voilà la question la plus importante liée à l'anulingus :  que ressentons-nous réellement l'un -le mageur- et l'autre - le mang?



A quoi ressemble un cul vu de près ? Est-ce aussi envoûtant ?

Évidemment, vous ne pouvez pas demander à quelqu'un: "Excusez-moi, à quoi ressemble votre cul?" Bien qu'il soit bon d'offrir à votre partenaire le plaisir d'une feuille de rose, leur demander avant l'événement qu'ils anticipent sur leur goût personnel, est probablement un peu un faux pas.

Donc je suis là pour vous dire: c'est essentiellement assez ennuyeux. Pour moi, en tout cas. Ce n'est pas terrible, ce n'est pas de la glace à la vanille. Il a un goût vaguement chimique, amer, naturellement influencé par d'autres facteurs :a) depuis combien de temps ils transpirent (j'aime le goût de la sueur: c'est bien meilleur que le goût du cul), b)s'il y a du lubrifiant dans le voisinage, c)avec quoi  ils se sont douchés la dernière fois, etc, bien que le goût ne varie pas tellement entre les individus. Alors que les saveurs de sperme peuvent varier énormément, avec une large gamme entre sucré et salé, je ne peux pas dire que j'aie remarqué une énorme différence dans le goût des fesses de quelqu'un. Vous pouvez penser différemment, et si c'est le cas s'il vous plaît me faire des remarques dans les commentaires : comme vous l'avez peut-être deviné, je ne suis pas un fin connaisseur d'anulingus.  

Il y a une certaine marque de lubrifiant qui, à mon avis, a exactement le même goût que l'anulingus. Je ne veux pas le mentionner ici, parce que j'ai l'impression que pour la société qui le fabrique, cela peut être considéré comme une mauvaise publicité. C'est un bon lubrifiant, et je l'utilise beaucoup pour le sexe, mais j'ai tendance à éviter de sucer après l'avoir utilisé sur la bite d'un gars, parce que ça me rappelle trop le cul à la bouche. 
J'ai fait des feuilles de rose à quelques gars, et ils me l'ont fait à quelques reprises, et, la plupart du temps, assez vite après une douche. Je risquerais de deviner et de dire que la majorité des gens, si vous envisagez de leur mettre la langue dans le cul, auront la courtoisie de le laver à l'avance. Ah oui, autre chose ! le gel douche, même parfumé à la rose a également un goût amer et chimique,  alors qu'il pourrait vraiment avoir un goût de rose, mais hélas certainement pas !  Ou peut-être que si c'est le cas - qui diable mangerait des roses?

Je vais être honnête avec toi et te dire que l'anulingus fait très peu pour moi. Si vous êtes différent, et que vous en êtes fan ou avez envie d'essayer, alors bien des articles de blogs ont un guide génial sur la façon de le faire. En attendant, voici une histoire courte et douce de première fois dont j'ai jadis parlé à quelqu'un, et une petite explication sur le fait que même les choses que je n'aime pas peuvent se transformer en choses que je fais ...

Première fois


Hmm ... Je me suis dit : Dois-je essayer cela? je ne suis pas vraiment sûr de ce que je fais ici. Je veux dire, je sais qu'il me l'a déjà fait et c'était comme une sorte de ... roulage de pelle, peut-on dire ça ? Comme s'il était en train de m'enculer avec sa langue ?

D'ACCORD. Il réagit. Je ne peux pas vraiment dire si c'est un frisson de désir ou un gloussement réprimé parce que ça le chatouille. Je vais essayer un peu plus sophistiqué.
    
La langue en hélice ? C'est très divertissant de le regarder se tortiller. Ca c'est bon, je pense. Et c'était vraiment un gémissement. Je ne sais pas quoi faire maintenant - où exactement vais-je partir d'ici? Je lui ai roulé une pelle à son anus, je lui 'ai parlé, j'ai écarté ses fesses, je l'ai massé avec ma bouche.

Peut-être que je pourrais essayer d'atteindre la prostate? J'ai une longue langue, mais ce serait un étirement atroce, même pour moi.

Je vais juste faire un peu plus.

Et encore un peu plus.

Et? Bon Dieu, je m'ennuie. Je me demande s'il s'ennuie lui aussi ou si ça va l'obliger à mE supplier  de le baiser ?

"Hé, allons-nous baiser maintenant?" (Nooooon ! je dis pas ça mais plutôt, avec tendresse : "C'est bon ? tu as envie ? oui ?  maintenant ? )  

"Oui. Merci Mon Dieu. "

C'était assez similaire quand on me l'a fait. J'ai été avec des gens qui aiment vous le faire - et pour qui l'expérience d'enfouir leur visage  entre vos fesses et de coller leur langue le plus loin possible dans votre trou suscite en elle-même du plaisir . Et c'est là que réside le charme de l'anulingus. La raison pour laquelle, malgré mon sentiment général de «rejet» qui entoure le tout, je l'ai encore fait plus d'une fois.
  Parce que bien que le goût ne soit pas particulièrement impressionnant, et le plaisir que j'en retire est d'environ un 2 /10 sur l'échelle de 1 à 10 des 'choses qui font "bander" ma 'chatte', il y a toujours un petit espoir faites-le et le visage du Partenaire s'illumine de délices extatiques. La joie d'une     sensation nouvelle. Le visage, en bref, que Nathan a fait quand Stuart lui a offert sa première feuille de rose...¤ 

Par POUCYEATER - Publié dans : VIVRE SA SEXUALITE, SES FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 28 février 3 28 /02 /Fév 00:05

  tu me célébrais du temps que j'étais beau

 

 

 

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My Sexy Possessive Alpha (discontinued) - Chapter 11 | Google ...

 

 

ne mens pas ! tu as fumé

 

 

 

 

Par DAMN DAMN DAMN - Publié dans : RELAIS - ZAPPINGS- PARTAGES photo expo - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 27 février 2 27 /02 /Fév 10:24

  voilà bientôt un an. Je suis inconsolable  

 

Dimitri Lutteur <dim...lutteur@...>

 18/03/2017
 
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Comment vas-tu?














Que de bons souvenirs mon ami
Fabien

  Je vais bien, merci ! Que Dieu te garde, Fabien. 

mais prends bien soin de toi !

claudio

 

 

Par FABIEN - Publié dans : AMOURS & VIE DU BLOG - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 25 février 7 25 /02 /Fév 19:18

  personne n'avait rien contre se masturber jusqu'au 18e siècle où c'est allé de plus en plus mal pour ceux, notamment les jeunes, qui pratiquaient ce "vice"(mais y a pas d'âge !). Au 19e siècle les politiques, les religieux tous ceux qui prétendent diriger le pays entreprennent de dénigrer ceux qui gaspillent le sperme si précieux pour la reproduction des français, des chrétiens etc  Une chape de plomb a recouvert l'épanouissement masculin et même féminin. Les cons, les furies, avaient gagné sauf que, depuis quelques années, la masturbation est réhabilitée. Et, alors là, si on dit que sur le plan santé -médical il faut dire- c'est  bienfaisant, voire miraculeux, vive la sturb' !!! comptez sur nous !!!   

        toi va falloir que tu augmentes la fréquence de tes sturbs'... 

 18e->19e "Une habitude licencieuse et moralement condamnable, une des causes de la dépopulation et comme une véritable maladie qui se répand dans toute l'Europe." 20e-> on en assume les restes tant mal que bien ! 21e -> la liberté ? enfin  ? 

    la sturb n'appartient à aucun genre : elle est universelle

 

C'est une nouvelle étude menée par des chercheurs américains en décembre dernier et relayée par le système de santé britannique (NHS), qui préconise d'éjaculer plus de 21 fois par mois pour réduire les risques de cancer de la prostate. Publiée dans European urology, l'étude a connu une forte médiatisation chez nos voisins britanniques.
Plus de 20 éjaculations par mois, risques divisés
Pour parvenir à cette conclusion, les chercheurs ont suivi pendant dix-huit ans, 31 925 hommes âgés de 20 à 29 ans et près de 4000 d'entre eux ont développé un cancer de la prostate. Ces derniers avaient la particularité d'éjaculer moins souvent que les autres (4 à 7 fois par mois). Ainsi, les résultats de l'étude montrent que plus on éjacule dans le mois et moins nous avons de risque de développer un cancer de la prostate. Le seuil est de 20 éjaculations mensuelles : si un homme éjacule plus de 20 fois par mois, les risques d'un cancer de la prostate sont réduits d'un tiers.
Si jamais 20 éjaculations par mois vous paraissent énormes, on vous rassure : les risques commencent à réduire à partir de treize éjaculations par mois.

 

 

Comment ça se fait ?

Tout simplement parce que la prostate est placée autour de l'urètre sous la vessie. Le fait d'éjaculer permet donc d'évacuer régulièrement le liquide prostatique composé de substances qui peuvent être toxiques et cancérigènes. Si le temps de contact avec les cellules est diminué alors le risque de cancer de la prostate est réduit.

Comme il n'est pas forcément évident d'atteindre ce nombre d'éjaculations mensuelles par le biais de rapports sexuels, la masturbation est la solution idéale pour préserver sa santé !

Cependant, il est important de noter que cette étude est quelque peu biaisée étant donné qu'elle ne repose que sur les déclarations des hommes et qu'elle ne s'est pas intéressée à leurs habitudes alimentaires et sportives ni sur les conditions d'éjaculation à savoir si elles intervenaient lors de rapports sexuels ou lors de plaisirs solitaires !

Allez messieurs, vous savez ce qu'il vous reste à faire !

 

 NOTES : histoire de la sturb' :

https://www.pourlascience.fr/sd/histoire-sciences/la-masturbation-reprimee-2932.php


  commentaire :  

  JUNGLE : 

 

 

 

 

 

 

 comparable au cannabis !  : une tierce présence rêvée  

 

 

 

bonermakers: “What the hell is on that iPhone?! ”

 

 

 

Par BRANLEAU - Publié dans : MASTURBATION MASSAGE & SPORTS EN CHAMBRE - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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