Vendredi 9 mars 5 09 /03 /Mars 07:13

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A première vue je n'aurais pas cru que Jean Ferrat eût écrit pour nous les homos, mais en relisant les paroles de sa chanson "Hourrah", je me suis senti concerné et encouragé, pas rejeté en tous cas !  

 

"-On a les yeux de toutes les couleurs

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"-Le rire aux lèvres et la colère au cœur

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"-Et des milliers de chansons dans la voix

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"-Vous mes amis que je ne connais pas" Jean Ferrat 

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imageon n'est pas tout à fait pareils dans la rue ou au café...là on cache son rut

 

image mais il existe souvent des espaces publics établis et / ou des moments où les hommes aimant, préférant et  ayant des rapports sexuels avec des hommes peuvent se rencontrer socialement ou draguer comme on dit pour avoir des rapports sexuels...ce sont pour la plupart des jeunes hommes et garçons, mais il y a de tout... 

 

 

  Looking Good with Medium Hairstyle Men (1)

 

"Je ne vous connais pas

Mais je vous imagine Looking Good with Medium Hairstyle Men (2) 

Rien d'autre comme en moi

Qu'un rêve qui s'obstine"  Jean Ferrat   

Looking Good with Medium Hairstyle Men (5)

Hourrah !"

     "loin de nous cette vilaine idée de péché, heureusement que sur la drague gay ou au sauna ou dans la vie les hommes s'offrent les uns aux autres et on n'y pense en aucune façon ! "   I won't fall to temptation by DorianPavus

 

 

"On a le front mouillé de tous les ciels

On a l'amour aux rythmes essentiels

Des rivages d'étoiles sous nos pas

Vous mes amis que je ne connais pas

Je ne vous connais pas

Mais je sais qui vous êtes

De grands poissons lilas Dansent dans votre tête..." Jean Ferrat   

  undefined "On fait naître de grands moments magiques " 

ET QUE LE TEXTE DE JEAN FERRAT SE POURSUIVE :  

 

"Hourrah ! Depuis le temps qu'on joue les mêmes billesQue le temps passe au bras des mêmes fillesEt qu'à la source on boit le même vinVous mes amis je vous connais si bienEt le temps d'un refrainEt l'espace d'un criEt le temps d'un refrainC'est pour vous que je crieHourrahPour chaque fruit mûrit une saisonC'est en été que tombent les prisonsGrenade un jour aura brisé ses liensVous mes amis que je connais si bienL'avenir l'avenirOuvre ses jambes bleuesFaudra-t-il en mourirOu bien n'est-ce qu'un jeuHourrahParis s'endort à l'heure où le matinUn autre monde est à moitié cheminEn nous aidant le ciel nous aideraVous mes amis que je ne connais pasEn nous aidant le ciel nous aideraVous mes amis que je ne connais pasHourrah"   Jean Ferrat   

 


commentaire :" le sexe masculin est un trait...d'union" Jumbo Renard

JUNGLE

"Prends ma main
Car je suis étranger ici
Perdu dans le pays bleu
Étranger au paradis
Et je sais qu'en chemin
Le danger dans un paradis
C'est de rencontrer un ange
Et qu'il vous sourie"               Image associée

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Par SANS CIBLE - Publié dans : VIVRE SA SEXUALITE, SES FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Jeudi 8 mars 4 08 /03 /Mars 13:55

d

   "Quand j'étais petit garçon..." au lycée, moi mes parents m'ont mis "en un lieu de perdition" : l'internat de garçons... 
Ah j'aimerais le voir derrière mon dos ...  

 

SOUPIRS ->regarder nos propres exploits sexuels grâce à la cam et à l'écran de l'ordinateur voire un mobile c'est quelque chose que même avec un miroir on ne pouvait pas faire autrefois aussi parfaitement qu'aujourd'hui. Dans les bois, même au sauna, il m'arrive encore de soupirer, en manière de regret, de ne pas voir tout le bien que mon partenaire me fait.          

 

 http://www.cyrillo.biz/histoire-gay-2013-copain-internat.php  

  ...je récitais mes leçons en ...baisant  ! -lol- 

Une histoire vraie parce qu'elle est vécue.

Quand je suis entré au lycée, mes parents m’ont mis à l’internat.

Personnellement, je n’y voyais pas trop d’objections : une vaste chambrée unique,   avec une trentaine de jeunes corps masculins à mater tous les jours, ça me va tout à fait.  

Le garçon à côté de mon lit s’appelle David, il est aussi mignon que timide. Les premiers jours, on se parle à peine.

Mais je l’observe sous les douches communes, et discrètement, le matin, j’aperçois les gouttes d’eau qui perlent sur sa peau, ses muscles fins qui jouent avec la mousse du savon, et quelquefois son sexe tendu encore par les rêves nocturnes…

Je m’enhardis un peu et semaine après semaine, j’arrive à vaincre son tempérament farouche et à gagner sa confiance.

Le soir, il vient se blottir contre moi, et nous discutons jusqu’à l’extinction des feux.

J’entre même dans ses confidences : nous sommes puceaux tous les deux.  Il m’avoue un jour qu’il aimerait bien se faire sucer par une fille, mais qu’il n’oserait jamais lui demander cela.

Je sens le sang affluer à mes tempes. Le silence se prolonge.

J’hésite encore. J’ai les oreilles qui bourdonnent. Et je lui dis tout bas : ‘’Si tu veux, je peux te le faire.’’ David demeure immobile, puis très calme, se lève sans répondre et retourne à son lit.

Pendant les deux jours qui suivent, il m’évite manifestement, et moi, par peur du scandale, je n’ose pas lui adresser la parole. Face aux autres copains d’internat, j’essaie de dissimuler mon malaise tant bien que mal.

Le troisième soir, à la cantine, je rejoins la table ou David avec quelques potes, prend son dîner. Je suis à sa gauche, ma jambe touche la sienne, doucement, puis de manière insistante. Brusquement, sans attendre ses potes et profitant du brouhaha général, il s’en va et me dit tout bas : ‘’Ce soir, minuit, dans les douches.’’

Je n’ose y croire. Je ne suis pas sûr d’avoir bien entendu, et surtout bien compris. Je  redoute les faux espoirs, et j’attends, impatient, l’heure fixée. Un peu avant minuit, n’y tenant plus, je feins d’aller vers les toilettes et je me dirige subrepticement vers les douches.

Les minutes s’égrènent, paresseuses, je tremble dans la nuit, de froid et de nervosité.

Furtivement, David s’approche de moi, et me regarde, sans mot dire, droit dans les yeux qui, toujours timides, brillent ce soir d’un éclat presque méchant. Il avance la main, et la pose contre ma nuque. La forte pression qu’il exerce m’oblige à me pencher.

Je m’exécute. Je me mets à genoux, et je vois, devant mes lèvres assoiffées, sa bite en érection qu’il tient de sa main libre.

Elle est belle, longue, droite et son gland mouillé rougeoie dans le noir.

 David enfonce brusquement son sexe dans ma bouche étonnée. Il semble résolu, et l’enfonce jusqu’au bout. Parfois, il la retire et en frappe mon visage. Quand je croise son regard, j’y vois comme une haine qui le rend encore plus beau. Et brusquement, il prend de sa main gauche mon menton, et gicle, sur mon visage, en répandant avec tendresse son jus brûlant sur mon front, sur mes joues, sur mes lèvres.

Soudain, j’entends derrière nous un bruit suspect, Je me retourne effrayé, et toujours à genoux, je vois Stéphane, le chef de la chambrée, un redoublant  assez vulgaire, mais de loin le plus baraqué et le mieux bâti de tout l’internat.[David s'éclipse]

D’une voix sourde, Stéphane me lance :’’ Ah la suceuse ! Tu crois que je n’ai pas compris votre petit manège. T’es une vraie salope. Tu mérites une punition. Allez, à quatre pattes, ou je te dénonce à tous les mecs de l’internat.’’Aussi effrayé qu’excité, j’obéis à ses ordres. Je le sens derrière moi qui baisse son pyjama, et me crache à la raie un jet de salive.

Inquiet du traitement qu’il me réserve, je tourne la tête. Je vois alors un chibre lourd et épais qui se rapproche de mon fion.

Un petit gémissement, peur ou désir, monte de ma gorge. Et Stéphane, aussitôt :’’ David, tu m’aides.

Tu lui fourres ton pieu dans la gueule, et tu l’empêches de crier cette salope’’ Alors David, tout sourire, se rapproche et met sa bite une nouvelle fois dans ma bouche. En même temps, je sens le sexe de Stéphane qui s’enfonce en moi, délicatement en fait, et avec souplesse. Il s’arrête parfois, pour me laisser souffler, puis il reprend son dur labeur, avec maîtrise et énergie à la fois. La douleur se transforme enfin en plaisir, et Stéphane m’attrape le sexe qu’il branle au rythme des mouvements de son bassin.

Ainsi, je n’ai aucun mal à m’offrir largement. Il me ramone copieusement, me branle à la même vitesse, tandis que David me défonce les gencives. Cela dure un bon quart d’heure, les plus belles minutes de ma vie. Stéphane, manifestement, sait s’y prendre pour profiter du cul de ses camarades de chambrée.

Il ne cesse de me branler, et parfois, il me caresse le cou. J’aimerais le voir derrière mon dos.

Puis, je l’entends qui me dit doucement : ‘’Oui, c’est bon…’’Je sens le foutre qui me remplit le cul, et je décharge aussitôt une belle rasade. David, pour ne pas être en reste, gicle encore, mais cette fois dans ma bouche, avec une évidente satisfaction. Alors, se dégageant brusquement, Stéphane s’en va et lance d’un ton rogue :’’Ca ira comme punition pour cette fois, mais si je t’y reprends, tu verras ce qui t’attend….

Mes ça lui a tellement plu qu’il a recommencé tous les jours sous la douche

en résumé : 

oui, sans miroir, sans cam, difficile de se regarder EN MEME TEMPS sous cet angle...

 

 

 

 

  Stéphane.... un redoublant ?  

When the cuck comes home and finds this in the porch and knows I’ve been a slut cum dump again 🤷‍♂️

  à vous couper(agréablement) le souffle !  

il m'a dit que ma bite était plus grosse que celle qu'il venait de se prendre, peut-être je pouvais moi aussi lui jouir dedans, comme son cul le mérite ...donnant donnant donnant ! ...

Par PEAU TACHE - Publié dans : AMOURS REVEES-REGRETS-NOSTALGIES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Jeudi 8 mars 4 08 /03 /Mars 10:15

  Dans la discussion, comme il bougeait sur son siège, je vis le bout de son sexe dépasser par l'entrejambe. Sa peau était claire mais le peu que j'ai pu voir paraissait beaucoup plus foncé. 

  aurais-je dû lui demander le secret ? 

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Je suis à la Fac et j'ai une piaule dans la cité universitaire. Je suis en première année et passe en octobre en deuxième année.

Au début de l'année, j'ai eu la visite d'un voisin. Un vietnamien super gentil, très amusant qui frappe et me demande si je peux lui prêter un peu de shampoing qu'il a oublié d'acheter en allant en ville. Volontiers, je le fais entrer, nous discutons de nos études et de notre avenir, puis je me lève et lui donne le flacon demandé.

Une demie heure après, il revient torse nu, en short, me rapporter le shampoing.

Je ne pensais pas qu'il reviendrait le même soir et j'étais en slip sur mon lit révisant les cours de la journée. Il entre sans frapper et me voit affalé sur le lit les jambes écartées lisant les polycopies du jour.

Ouah ! me dit il, tu es un vaillant toi ! Le flacon dans la main, il me demande où le poser et prend un siège et s'assied face à moi. Son short est court mais je devine qu'il est nu dessous... Dans la discussion, comme il bougeait sur son siège, je vis le bout de son sexe dépasser par l'entrejambe. Sa peau était claire mais le peu que j'ai pu voir paraissait beaucoup plus foncé. Il vit que mon regard avait été attiré par l'échancrure de son short, et il en abusait ce qui déclara chez moi une belle érection. Une belle érection que j'essayais de dissimuler à ma nouvelle connaissance, mais en vain car je vis que mon excitation avait excité mon interlocuteur. Il se leva comme pour me dire au revoir et je vis le short tendu pointant en avant.

-Tu as vu dans quel état tu m'as mis, me dit-il

Je rougis tout en matant son short et lui répondis :

- Tu me fais le même effet et en étendant les jambes je lui faisais voir mon slip pointant également.

Il baissa son short et je vis son membre circoncis pointant face à lui. Magnifique !

Je m'assis sur le lit et me retrouvai le visage à cinq centimètres de la pointe de sa verge. Je sortis ma langue et je commençai à lui lécher le gland et avalai la petite goutte qui venait de perler de son méat... Puis j'ouvris grand la bouche et happa d'abord son gland entre mes lèvres et lui avança son bassin ce qui fit que tout son sexe pénétra dans ma bouche. Je le tenais avec mes mains par les hanches et contrôlais ses va et vient. Je sentais son excitation grandissante et je vis qu'il montait sur la pointe des pieds, il allait éjaculer...j'enfournais le maximum de son sexe dans ma bouche et le retenais par les fesses. Il lâcha plusieurs jets de sperme au goût salé dans mon palais que je bus aussitôt avec délice jusqu'à la dernière goutte.

Son sexe reprit sa taille originale et il se dégagea pour remonter son short.

- Toi tu es un sacré suceur, je ne me suis pas trompé quand je t'ai vu arriver.

Il me salua et sortit.

Je répondis à son salut avant qu'il ne disparaisse par la porte.

J'étais heureux d'avoir sucé cette belle queue et d'avoir goûté son bon jus mais je restais sur ma faim car je bandais toujours... Quelques minutes après la masturbation me vida de mes excès et je pus reprendre l'étude de mes polycopies normalement.

Le lendemain, j'eus la visite d'un autre étudiant habitant l'immeuble. Il frappa à ma porte et me demanda si je pouvais lui prêter un livre que j'étais susceptible d'avoir.

Je le fis entrer, il était vêtu d'un survêtement ample. Je le fis asseoir lançant ma recherche dans la pile de livre que je possédais. En attendant, il s'était assis sur une chaise et me regardait dans tous mes déplacements. Comme je ne le trouvais pas, il me dit "tant-pis, je repasserai"

Je me rassis sur mon lit, désolé de n'avoir pas pu lui rendre service et quand il se leva, je vis son bas de survêtement pointant en avant. Mon regard ne pouvait s'en détacher. Il resta immobile sa bosse pointant vers moi. Je tendis la main et commençai à caresser cette bosse lentement. Elle était dure comme du bois et mes doigts devinaient bien les contours d'un sexe bien fait. Il baissa son pantalon de survêt' et son sexe me sauta à la figure comme un ressort de son piège. Ma main finit de le décalotter et je commençais à le sucer délicieusement. Ses râles me firent comprendre qu'il appréciait la caresse buccale que je lui prodiguais. Son membre de bonne taille allait et venait dans ma bouche bien lubrifiée pas ma salive. Je le branlais et suçais en aspirant légèrement quand un flot de jus éclata entre mes lèvres. Il hurla de plaisir et se vida complètement. Puis, une fois sa queue dégonflée, il remonta son pantalon de survêt', me remercia du plaisir donné et après m'avoir salué sortit de ma chambre.

Le soir d'après, un autre étudiant, un africain cette fois, frappa à ma porte, J'ouvris, lui demandant ce qu'il voulait et il me dit "je voudrais te parler"

Je le fis entrer et il m'avoua qu'il connaissait les deux autres, venus précédemment, et qu'il aurait bien aimé avoir les mêmes satisfactions.

Je m'assieds sur mon lit, l'invitant à prendre la chaise derrière lui, mais avant de s'asseoir il dégrafa son jean's et sortit son sexe d'ébène déjà raide. Un engin énorme décalotté avec un gland rond et très gros. Je n'avais jamais vu ça mais j'admirais... je finis par le sucer jusqu'à ce qu'il me crache un flot de sperme qui remplit ma bouche à l'en faire déborder. Je le vidai complètement le branlant en même temps. Son sperme avait bon goût et j'étais comblé.

Il prit un accent de petit nègre et me dit "tu suces bien petit blanc"

Il me fit me mettre debout sur le lit, puis il se mit à genoux et me suça comme je ne l'avais jamais été. Ma queue (modeste) disparaissait et baignait dans sa bouche et je pus enfin livrer tout mon jus en plusieurs saccades. Il avala le tout avec satisfaction puis se leva et sortit en me saluant.

J'étais devenu la petite pute de ce trio où venaient s'accompagner quelques autres de leurs camarades. Ils venaient la plupart en short sans rien dessous et à peine entrés me soumettaient leur attribut que je faisais jouir avec délice¤ 

 Moralité (si l'on peut dire-lol-) :  je ne regrette pas de ne pas avoir exigé le secret  de mon premier étudiant complice !  

 


  COMMENTAIRE :  

 

 

JUNGLE :

 

 

midwestcumwhore: “uncensoredpleasure: “You should feel proud of your boyfriend, cuck. He’s performing a public service really. Whenever you drive by a truck stop, and he tells you to pull over, you know what’s going to happen, but then again, all...

 

callmebullcuck: “uncensoredpleasure: ““You should really get back to your boyfriend, fag, I can hear him calling for you, wondering where you went and why you’re not there on the towel with him…” “Not before you nut down my throat.” “Good boy.”...

 

Hey cuck. Your slut husband told me he barely ever blows you and hasn’t swallowed your load in years. Watch how he savors every drop of a real mans load.

 

 

Poor cuck. He’d slept on the couch like he was told while the big beefy alpha daddy fucked me loudly all night. The night before the cuck had told him he had to leave early the next day. The next morning the alpha told me he wanted to stay and use me...

 

 

When the cuck comes home and finds this in the porch and knows I’ve been a slut cum dump again 🤷‍♂️

 

une tendresse d'ours

pour ce petit agneau apeuré 

 

   

 

 

Par FRESHMAN's BUTT - Publié dans : VIVRE SA SEXUALITE, SES FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 7 mars 3 07 /03 /Mars 09:29

quelle évocation ! 

des paroles qui nous conviennet parfaitement....pour une fois !

Adolescent,SHAKE participe à un concours de chant à Singapour et arrive premier parmi 500 candidats, chante dans les cabarets le répertoire de Tom Jones et d'Elvis Presley. Un soir deux strip-teaseuses anglaises qui se produisent l'entendent chanter et sont subjuguées par sa voix. Elles lui offrent le billet d'avion pour l'Europe afin qu'il puisse y tenter sa chance.

Shake débarque à Paris, mais ne parle pas un mot de français. Orlando (le frère de Dalida) l'engage cependant immédiatement.

La première chanson, il l'apprit phonétiquement et, quelques mois plus tard, Shake interprétait pour la première fois chez Michel Drucker dans "les Rendez vous du dimanche", ce qui allait devenir un des grands succès de l'année : You know I love you (tu sais je t'aime). Le lendemain, 40 000 exemplaires du disque étaient vendus et Shake devint l'idole des ados. La chanson fut enregistrée en italien Lo sai ti amo et connut le même succès qu'en France.

 

karaoke

 

Prends ma main
Car je suis étranger ici
Perdu dans le pays bleu
Étranger au paradis
Et je sais qu'en chemin
Le danger dans un paradis
C'est de rencontrer un ange
Et qu'il vous sourie

Simple mortel
Je m'émerveille
Les yeux remplis d'étoiles
Et de fraîcheur

Comme un enfant
Qui se réveille
Je te retrouve
Alors je n'ai plus peur
Ne laisse surtout pas ma main
Ô bel ange qui me conduis
Déjà je me sens bien moins
Étranger au paradis
Et si tu veux bien de moi
L'étranger dans ton paradis
Alors nous irons je crois
Plus loin que la vie  LEGAL WIKIA

 

 

 

Par SHAKE - Publié dans : LA CHANCE AUX CHANSONS PROMO PASCAL SEVRAN - Communauté : Gay infos
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Mardi 6 mars 2 06 /03 /Mars 22:44

 

 

 

cette chanson Résultat de recherche d'images pour "gregoire toi plus moi" dit bien ce qu'elle veut dire !

 

" GUILLEMETS "

 

 

 

À deux, à mille, je sais qu'on est capables
Tout est possible, tout est réalisable
On peut s'enfuir bien plus haut que nos rêves
On peut partir bien plus loin que la grève

{Refrain 2:}
Toi plus moi plus eux plus tous ceux qui le veulent
Plus lui plus elle plus tous ceux qui sont seuls
Allez, venez et entrez dans la danse
Allez, venez, c'est notre jour de chance

Avec l'envie, la force et le courage
Le froid, la peur ne sont que des mirages
Laissez tomber les malheurs pour une fois
Allez, venez, reprenez avec moi

{au Refrain 1}

Je sais, c'est vrai, ma chanson est naïve
Même un peu bête et bien inoffensive
Et même si elle ne change pas le monde
Elle vous invite à entrer dans la ronde

{au Refrain 2}

L'espoir, l'ardeur pour tout ce qu'il te faut
Mes bras, mon cœur, mes épaules et mon dos
Je veux te voir des étoiles dans les yeux
Je veux nous voir insoumis et heureux

{au Refrain 1}

{au Refrain 2}

Oh, toi plus moi plus tous ceux qui le veulent
Plus lui plus elle et tous ceux qui sont seuls
Allez, venez et entrez dans la danse
Allez, venez et entrez dans la danse

Promo :

 UN AUTRE COVER : Toi plus moi plus eux plus tous ceux qui le veulent Plus lui plus elle et tous ceux qui sont seuls Allez, venez et entrez dans la danse Allez, venez, laissez faire l'insouciance

  merci

 

    visitez avec plaisir la rubrique La chance AUX CHANSONS   

je répète : les musicos nous font la vie belle ! MERCI AUX CREATEURS QUI SONT PRESQUE DES DIEUX   

 


commentaire :

Par LAMBRET - Publié dans : LA CHANCE AUX CHANSONS PROMO PASCAL SEVRAN - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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  • Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
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  • : BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
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