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"Quand j'étais petit garçon..." au lycée, moi mes parents m'ont mis "en un lieu de perdition" : l'internat de
garçons...
Ah j'aimerais le voir derrière mon dos ...
SOUPIRS ->regarder nos propres exploits sexuels grâce à la cam et à l'écran
de l'ordinateur voire un mobile c'est quelque chose que même avec un miroir on
ne pouvait pas faire autrefois aussi parfaitement qu'aujourd'hui. Dans les bois, même au sauna, il m'arrive encore de soupirer, en manière de regret, de ne pas voir tout le bien que mon
partenaire me fait.
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http://www.cyrillo.biz/histoire-gay-2013-copain-internat.php
...je récitais mes leçons en ...baisant ! -lol-
Une histoire vraie parce qu'elle est vécue.
Quand je suis entré au lycée, mes parents m’ont mis à l’internat.
Personnellement, je n’y voyais pas trop d’objections : une vaste chambrée unique, avec une trentaine de jeunes corps masculins à mater tous les jours, ça me va tout à fait.
Le garçon à côté de mon lit s’appelle David, il est aussi mignon que timide. Les premiers jours, on se parle à peine.
Mais je l’observe sous les douches communes, et discrètement, le matin, j’aperçois les gouttes d’eau qui perlent sur sa peau, ses muscles fins qui
jouent avec la mousse du savon, et quelquefois son sexe tendu encore par les rêves nocturnes…
Je m’enhardis un peu et semaine après semaine, j’arrive à vaincre son tempérament farouche et à gagner sa confiance.
Le soir, il vient se blottir contre moi, et nous discutons jusqu’à l’extinction des feux.
J’entre même dans ses confidences : nous sommes puceaux tous les deux. Il m’avoue un jour qu’il aimerait bien se faire sucer par une fille,
mais qu’il n’oserait jamais lui demander cela.
Je sens le sang affluer à mes tempes. Le silence se prolonge.
J’hésite encore. J’ai les oreilles qui bourdonnent. Et je lui dis tout bas : ‘’Si tu veux, je peux te le faire.’’ David demeure immobile, puis très
calme, se lève sans répondre et retourne à son lit.
Pendant les deux jours qui suivent, il m’évite manifestement, et moi, par peur du scandale, je n’ose pas lui adresser la parole. Face aux autres
copains d’internat, j’essaie de dissimuler mon malaise tant bien que mal.
Le troisième soir, à la cantine, je rejoins la table ou David avec quelques potes, prend son dîner. Je suis à sa gauche, ma jambe touche la sienne,
doucement, puis de manière insistante. Brusquement, sans attendre ses potes et profitant du brouhaha général, il s’en va et me dit tout bas : ‘’Ce soir, minuit, dans les douches.’’
Je n’ose y croire. Je ne suis pas sûr d’avoir bien entendu, et surtout bien compris. Je redoute les faux espoirs, et j’attends, impatient,
l’heure fixée. Un peu avant minuit, n’y tenant plus, je feins d’aller vers les toilettes et je me dirige subrepticement vers les douches.
Les minutes s’égrènent, paresseuses, je tremble dans la nuit, de froid et de nervosité.
Furtivement, David s’approche de moi, et me regarde, sans mot dire, droit dans les yeux qui, toujours timides, brillent ce soir d’un éclat
presque méchant. Il avance la main, et la pose contre ma nuque. La forte pression qu’il exerce m’oblige à me pencher.
Je m’exécute. Je me mets à genoux, et je vois, devant mes lèvres assoiffées, sa bite en érection qu’il tient de sa main libre.
Elle est belle, longue, droite et son gland mouillé rougeoie dans le noir.
David enfonce brusquement son sexe dans ma bouche étonnée. Il semble résolu, et l’enfonce jusqu’au bout. Parfois, il la retire et en frappe
mon visage. Quand je croise son regard, j’y vois comme une haine qui le rend encore plus beau. Et brusquement, il prend de sa main gauche mon menton, et gicle, sur mon visage, en répandant avec
tendresse son jus brûlant sur mon front, sur mes joues, sur mes lèvres.
Soudain, j’entends derrière nous un bruit suspect, Je me retourne effrayé, et toujours à genoux, je vois Stéphane, le chef de la chambrée,
un redoublant assez vulgaire, mais de loin le plus baraqué et le mieux bâti de tout l’internat.[David s'éclipse]
D’une voix sourde, Stéphane me lance :’’ Ah la suceuse ! Tu crois que je n’ai pas compris votre petit manège. T’es une vraie salope. Tu mérites
une punition. Allez, à quatre pattes, ou je te dénonce à tous les mecs de l’internat.’’Aussi effrayé qu’excité, j’obéis à ses ordres. Je le sens derrière moi qui baisse son pyjama, et me crache à
la raie un jet de salive.
Inquiet du traitement qu’il me réserve, je tourne la tête. Je vois alors un chibre lourd et épais qui se rapproche de mon fion.
Un petit gémissement, peur ou désir, monte de ma gorge. Et Stéphane, aussitôt :’’ David, tu m’aides.
Tu lui fourres ton pieu dans la gueule, et tu l’empêches de crier cette salope’’ Alors David, tout sourire, se rapproche et met sa bite une nouvelle
fois dans ma bouche. En même temps, je sens le sexe de Stéphane qui s’enfonce en moi, délicatement en fait, et avec souplesse. Il s’arrête parfois, pour me
laisser souffler, puis il reprend son dur labeur, avec maîtrise et énergie à la fois. La douleur se transforme enfin en plaisir, et Stéphane m’attrape le sexe qu’il branle au rythme des
mouvements de son bassin.
Ainsi, je n’ai aucun mal à m’offrir largement. Il me ramone copieusement, me branle à la même vitesse, tandis que David me défonce les gencives.
Cela dure un bon quart d’heure, les plus belles minutes de ma vie. Stéphane, manifestement, sait s’y prendre pour profiter du cul de ses camarades de chambrée.
Il ne cesse de me branler, et parfois, il me caresse le cou. J’aimerais le voir derrière mon dos.
Puis, je l’entends qui me dit doucement : ‘’Oui, c’est bon…’’Je sens le foutre qui me remplit le cul, et je décharge aussitôt une belle rasade.
David, pour ne pas être en reste, gicle encore, mais cette fois dans ma bouche, avec une évidente satisfaction. Alors, se dégageant brusquement, Stéphane s’en va et lance d’un ton rogue :’’Ca ira
comme punition pour cette fois, mais si je t’y reprends, tu verras ce qui t’attend….
Mes ça lui a tellement plu qu’il a recommencé tous les jours sous la douche
en résumé :
oui, sans miroir, sans
cam, difficile de se regarder EN MEME TEMPS sous cet angle...
Stéphane.... un redoublant ?
à vous couper(agréablement) le souffle !
il m'a dit que ma bite était plus grosse que celle qu'il venait de se prendre, peut-être je pouvais moi aussi lui jouir
dedans, comme son cul le mérite ...donnant donnant donnant ! ...
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