Dimanche 25 mars 7 25 /03 /Mars 06:47

Je n’avais pas sucé depuis quelques mois et je me demande encore comment j’avais pu me passer de ce plaisir si longtemps    Mon voisin a besoin d'un dépannage informatique. Nous finirons par parler de nos expériences entre hommes, puis par succomber l'un à l'autre. 

    Image associéeUn jour de RTT, on sonne chez moi : c’est le voisin. Sachant que je me débrouille en informatique, il est venu me demander conseil car son PC est devenu très lent. Je le fais entrer ; on discute et je lui donne quelques conseils mais lui précise que ce serait mieux avec son appareil, que je puisse le faire et lui montrer. Cinq minutes après le revoilà. Nous nous installons sur la table et je regarde son PC. Je nettoie tout, redémarre, et le PC semble être un peu moins malade. Un petit tour sur Internet pour télécharger un logiciel de nettoyage plus performant ; et là, petite surprise ! Je commence à entrer une adresse, et l’historique apparaît : deux sites d’histoires érotiques gay !

Je ralentis volontairement la frappe et le regarde. Il est rouge.

 

— J’aime bien ces sites aussi, j’y vais régulièrement, lui dis-je

— Ah bon ? mais toi aussi t'es marié non ?

— Si, mais j’ai toujours aimé les histoires entre mecs.

 

Un petit silence s’est installé, mais j’ai vite senti que la glace était rompue. Aucun de nous deux n'avait envie de dire toute la vérité sur nos rencontres avec d'autres hommes sur le net.

 

— T’as déjà eu des aventures avec des hommes ?

— Oui, surtout un pote au lycée que je suçais régulièrement. (ado on a tous goûté, non ? )

— Moi aussi, ça a commencé avec un copain de lycée ; on se branlait ensemble devant des pornos que j’enregistrais.

— Vous avez été plus loin ?

— Un soir, on était chez moi, juste en dessous, et mes parents étaient partis en week-end. Il est venu dormir, on a regardé un porno, on s’est vite retrouvés à poil sur le canapé ; c’était bizarre car on n’avait pratiquement pas le son pour éviter d’alerter les voisins, tu sais que c’est pas trop bien insonorisé, ici. On se branlait, et rapidement, pour la première fois, on a branlé la queue de l’autre. C’était super excitant et j’ai vite joui. Lui a suivi rapidement après. En regardant les filles se faire prendre à l’écran, on s’est nettoyé et on a vite rebandé. Au bout de quelques minutes, on avait à nouveau nos queues en main. Il me branlait doucement et ne regardait plus du tout l’écran. Dans le film, une fille suçait une grosse queue. Il m’a demandé si je voulais qu’il me fasse la même chose ; j’ai dit oui et il est venu me sucer. Je crois que je n’ai jamais joui aussi fort que cette fois-là : me faire sucer en regardant un film porno et branler en même temps une queue, le bonheur !

 

Ses yeux brillaient en racontant ce souvenir ; on sentait l’excitation encore en lui, et surtout le bonheur ressenti cette soirée-là.

 

— Tu l’as sucé aussi ce soir-là ?

— Non, mais c’est arrivé ensuite. Et toi ?

— Moi, on regardait souvent des films ensemble, mais on profitait des soirées entre nos parents pour dormir l’un chez l’autre, et c’est un soir sous la tente dans ma maison de vacances que je l’ai persuadé de se laisser sucer ; il était assez réticent, et moi j’avais envie grave de goûter une bite. J’étais un peu honteux sur le coup, mais ensuite je le suçais régulièrement, chez des potes, chez lui. J’avoue que ça m’excitait de savoir qu’autour de la tente ou dans les chambres voisines de amis dormaient ou discutaient pendant que je le suçais. J’ai avalé quelquefois mais il trouvait que c’était trop pour lui. Il ne m’a sucé que 3-4 fois. Depuis j’ai eu 2-3 histoires, c’est tout.

 

Je finis de télécharger le logiciel, je l’installe, nettoie le PC et lui rends l’engin.

 

 

— Tu veux lire quelques histoires avec moi ? me demande-t-il.

— Pourquoi pas ? Oui. Tu aimes quel style ?

— Les "premières fois", ça me rappelle ma propre histoire.

— Moi aussi, ce sont mes préférées.

 

Nous lisons quelques histoires ; je bande dur et lui aussi, mais une certaine gêne reste. La lecture est terminée ; je suis dur comme pas possible. Je lui propose un café.

 

  attention si vous cliquez une 2e fois vous basculez sur redtube...ok si c'est votre but sinon vous vous déconnectez de cavaillongay ...votre site chéri ! -lol- 

— Non merci, je préférerais plutôt goûter ton sexe si ça ne te dérange pas, me dit-il souriant.  

 

Une fois la petite seconde de surprise passée, je me lève, lui fais face et ouvre mon jean. Je baisse le pantalon, le caleçon et me retrouve, pour ainsi dire, à sa merci. Il joue avec mon vit, le branle doucement en me regardant puis passe sa langue sur mon gland. La sensation est divine après cette frustration, et je sens que je ne vais pas tenir longtemps. Il lèche ma queue sur toute sa longueur, 19 cm, et finit par emprisonner dans sa bouche ma queue qui n’en peut plus d’attendre. Il est tendre et sa pipe est divine, douce. Il fait monter le plaisir petit à petit ; je suis perdu entre plusieurs sensations et sentiments. Il me regarde et me fait une gorge profonde ; je sors mon sexe de sa bouche.

 

— Arrête, je vais jouir et je veux te goûter d’abord.

 

Je l’emmène sur le canapé, l’assois et me mets à genoux entre ses jambes. Je retire son pantalon, baisse son boxer et me jette littéralement sur sa queue de belle taille, 16-17 cm et le suce aussi doucement que lui. Je ferme les yeux et me concentre sur les soubresauts de cette bite dure dans ma bouche. J’entends sa respiration forte. Je lèche maintenant ses couilles, je le regarde dans les yeux : il a une expression de salope, le regard de celui qui est prêt à se laisser aller totalement. Je reprends son sexe et re-suce plus rapidement tout en le branlant assez activement.

 

— Je vais jouir, attention…

— Vas-y, jouis-moi en bouche.

 

Je reprends ma pipe et sa queue palpite, tressaute sur ma langue jusqu’à envoyer de nombreux jets de foutre chaud sur ma langue. J’avale tout et nettoie avec application ce sexe qui ramollit petit à petit. Je n’avais pas sucé depuis quelques mois et je me demande encore comment j’avais pu me passer de ce plaisir si longtemps. Je continue à lécher son engin, puis descends sur ses couilles et finalement un peu plus bas. Je lèche maintenant l’espace entre ses couilles et son anus. Sans un mot, il écarte ses cuisses un peu plus, soulève son bassin et présente à mes yeux pervers son petit trou bien rose, dépourvu du moindre poil. Je descends tranquillement ma langue jusqu’à ce petit œil plissé et commence à lécher ce trou qui me donne des idées.

 

— C’est bon…!!! J’ai jamais été léché là.

 

Je prends ses paroles comme un encouragement et lui bouffe maintenant sans aucune retenue le cul. Je glisse même un doigt en lui, et le gémissement qu’il pousse alors me donne la bénédiction pour le baiser doucement avec ce doigt puis un deuxième. Je le doigte franchement et remonte vers sa queue que j’enfourne à nouveau. Je remonte en embrassant ses abdos, lèche ensuite ses tétons tendus par le plaisir, mes doigts toujours en lui. Il me passe la main derrière la nuque et m’attire vers lui pour un baiser passionné. Je n’ai jamais réellement aimé embrasser un homme, mais cette fois-ci, c’est bon, c’est naturel, nous sommes en harmonie. Je sors mes doigts de son orifice, le tourne sur le canapé et m’allonge sur lui tout en l’embrassant. Mon sexe glisse sur ses couilles vers son anus et se présente naturellement à l’ouverture. Il tend son bras, prend un préservatif dans son portefeuille et me le tend.

 

— Doucement, d’accord ? J'ai pas fait ça souvent...

 

  

d

 

J’enfile le condom et me présente pour le pénétrer. Je rentre facilement mon gland et pousse doucement, en plusieurs pénétrations lentes, pour enfin être entièrement en lui. Son regard de salope est de retour ; je peux faire ce que je veux de lui. J’ai juste envie de prendre mon pied et que lui se souvienne de cette baise avec moi comme d’un moment de plaisir intense. Je commence mes va-et-vient, de plus en plus amples, et j’accélère pour bientôt le prendre comme une chienne. Il gémit, se mord les lèvres.

 

— C’est bon, continue, c’est trop bon !

 

Je le pilonne maintenant franchement. Je ne vais pas tarder ; alors, pour repousser l’échéance, je le fais changer de position et le prends maintenant à quatre pattes. Mon rythme est à nouveau soutenu ; il continue de gémir, se retenant de crier pour ne pas qu'on puisse l'entendre de chez lui. Il se redresse, colle son torse au mien. Je prends ses tétons entre mes doigts, les triture ; ça le rend dingue apparemment car il me prend la bouche.

 

— Embrasse-moi sinon je vais hurler.

 

Ma main droite descend vers son sexe et je le masturbe, ma main gauche s’occupant de son téton, ma queue de son anus.

 

— Moi aussi je veux goûter ton foutre, je veux que tu jouisses dans ma bouche.

 

Bientôt je me retire, enlève le préservatif et me présente debout devant lui. Il me branle, me suce, et en quelques secondes je me vide en lui. Son regard perce le mien et ma jouissance est incroyable, la quantité de foutre qui sort aussi. Il me nettoie mais mes jambes ne me portent plus. Je m’allonge. Il me suce jusqu’à nettoyer la plus infime trace sur ma queue. Je prends son sexe dur en main.

 

— Jouis-moi dessus, je veux sentir ton foutre sur ma poitrine.

 

Il se laisse faire et jouit sur moi rapidement.

 

 

La suite est un peu floue ; je suis resté groggy par cette jouissance. Il s’est rhabillé puis est parti quelques minutes après. Nous ne nous sommes pas revus depuis, mais j’ai reçu des mails pour un futur dépannage informatique : quel merveilleux prétexte...

 

  http://revebebe.free ecrit pour le plaisir.fr/php3/fichaut.php?auteur=Olivier  olivier ecrit pour le plaisir

 

 

 

 


commentaire :

   
Par GELEIKONPUB PLAYER - Publié dans : PSYCHOLOGIES &VIE SOCIALE gay-bi-hét - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Samedi 24 mars 6 24 /03 /Mars 05:36

    Je n'avais pas envie de le décevoir en lui disant non et que cela s'arrête là. Malgré la taille de l'engin, je n'ai pas réfléchi Je reste très content d'avoir servi de faire-valoir au sergent de notre groupe militaro-humanitaire. Je ne sais pas ce que les autres ont discerné à notre sujet, mais aucun d'eux n'aurait pu jouer le même rôle. EN MEME TEMPS -lol- ,  entre nous on va dire que je l'ai empêché de faire une connerie alors qu'il déprimait fortement. Et aussi je lui ai donné quelques moments de bonheur. 

 

vampirisation En parlant d'un vampire, sucer le sang d'une de ses victimes afin de le transformer à son tour en vampire. Dans la vraie vie, ainsi qu'au sens figuré, vampiriser un homme  en termes plus réalistes c'est le mettre  sous sa totale dépendance affective et psychologique. Le "vrai vampire" te séduit puis fait de toi son jouet. Hétéro ou pas, touche la bite d'un autre  et tu verras ...         

  Résultat de recherche d'images pour "gay# horny colonial army officer" 

 

 

 

 Peut-on dire "ON SE TOUCHE de moins en moins" ? Ne parlons pas déjà des lèvres ni du baiser,  mais beaucoup d'hommes s'auto-censurent réciproquement le toucher par les mains de peur d'être contaminé. Depuis longtemps c'était vrai chez les anglais.Chez les hommes les plus jeunes, cela se manifeste par la déclaration omniprésente et sous-jacente : "on n'est pas homos!" S'ils touchent accidentellement un autre gars, et chez les hommes plus âgés, cela se traduit par le même inconfort gênant (voire de la : peur) d'un contact  intime. Pourtant, ces réactions sont un phénomène relativement moderne. Les hommes partageaient le même lit avec des étrangers dans les premières tavernes américaines de la ruée vers l'or, et les chercheurs intellos-fouille-merde déterrent des lettres - y compris celles d'Abraham Lincoln, des sonnets de Shakespeare... - révélant comment les hommes entretenaient parfois des amitiés homosexuelles plus émotionnellement et physiquement intimes que leurs relations avec les femmes.  

 

 

 

  Le Sergent "C'est ça le problème avec la gnôle, songeai-je en me servant un verre. S'il se passe un truc moche, on boit pour essayer d'oublier; s'il se passe un truc chouette, on boit pour le fêter, et s'il ne se passe rien, on boit pour qu'il se passe quelque chose. " (Charles Bukowski Women) 

Résultat de recherche d'images pour "yyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyy" les noms des lieux et des personnages on été changés 

 

Certains trouvent que passer une année à l'armée est une année  gâchée et d'autres trouvent leur vocation en faisant leur service militaire. On peut bien tomber ou très mal, être près de chez soi ou très loin. Moi j'habite Périgueux et j'ai fait mon service humanitaire au Mali, armée et ONG côte à côte. Sur les 703 communes du Mali, 666 sont rurales. Si on voit la gentillesse des gens de ce pays 666, qui est le chiffre du diable, n'est pas le nombre qui leur convient.  Des villages parfois reculés. J'étais en poste dans le Nord- Mali tout près d'Algine(2), plus précisément à Baroussotoudou(2) auprès de la huitième et dixième compagnies médicales et je peux dire que, malgré le danger, c'était une année de plaisir et de vacances. J'étais secrétaire au PC. C'est sûr qu'on ne pouvait pas rentrer tous les week-ends  en métropole, mais on pouvait profiter de la vie là bas et surtout entre nous. Mais il m'est arrivé une aventure avec un gradé qui est restée sans lendemain mais qui mérite le détour. On avait l'habitude à plusieurs copains de faire des parties de flipper au mess et le perdant payait une tournée de bières, la seule boisson alcoolisée qui fût servie. Un samedi où nous étions de Défense Opé, nous devions rester au camp à la disposition des gradés en cas d'alerte.  La journée s'était passée le plus banalement possible et le soir après la cantine, nous étions donc au mess en train de jouer au flipper et écluser quelques bières. Pour dire que la table à coté du jeu était recouverte de canettes. Quand nous en avions eu marre de jouer, nous nous étions installés à la table et nous avions commencé à boire, quand le gradé qui devait nous encadrer se pointe au mess. Ce n'était qu'un sergent; contrairement à quelques uns d'entre nous qui étions humanitaires et volontaires  il était engagé mais il était vachement sympa. Il fait donc le tour de la caserne pour voir si tout allait bien, arriver au mess il nous voit bien attablés :  

-« Dis donc, il y en a qui se gênent pas »

nous lance-t-il.

-« Venez nous rejoindre, chef, il y en a pour tout le monde. »

- « OK »

Et le voilà qui s'installe avec nous à la table, prend une canette et la liquide d'une seule goulée. Nous l'appelions chef car cela le faisait mousser et il ne nous reprenait pas tout en sachant qu'un sergent ne se fait pas appeler chef mais sergent.

- « Il avait soif le chef, ça va lui donner du courage pour faire le tour du camp. »

Vous dire de quoi nous avions parlé, j'ai un peu oublié, car nous avions raconté chacun notre vie, détaillé notre région, exposé ce que nous attendions de l'avenir une fois notre service militaire ou civil fini. On a parlé, on a bu, et encore bu jusqu'à ce que la table soit vide. On a dû certainement en liquider une dizaine chacun. Après on n'avait plus assez de doigts pour les compter. Rester assis quand on boit cela va, mais quand on se lève, c'est là que cela tangue, que la pièce tourne et que tout va très vite. On sort tous et les effets diurétiques de la bière se font ressentir, il fait noir, on contourne le bâtiment et on va se soulager la vessie à la lueur de la lune. Tout le monde sort son engin, ce qui me permet de me rincer l'œil et d'admirer de beaux spécimens. Notre sergent, pour faire autrement que nous, se tourne à l'envers et nous exhibe son chibre tout en chantant:

- « tiens voilà du boudin.»

Nous étions tous restés baba de voir la taille de cette queue au repos. Les copains ça les fait marrer mais ils ne regardent pas trop

« on n'est pas des PD, on en a tous une !  »

mais le sergent continue gentiment de se soulager tout en chantant et en se trémoussant dans tous les sens ce qui fait qu'il manquait nous pisser un peu dessus aussi. Et ça gueule, et ça rigole ! Une fois fini, nous rangeons notre attirail mais le sergent trébuche et s'étale par terre. On rigole une fois de plus en chantant

-« le sergent il est bourré »

, et lui, allongé par terre, de frapper dans ses mains pour battre la mesure, toujours le sexe à l'air.

-« Qui est ce qui m'aide ? » nous lance-t-il.  

 

-« Je vais vous relever chef mais faudrait ranger votre attirail. »

Lui dis-je.

-« Fais le, j'en peux plus. »

-« Qui est ce qui m'aide ? » en me retournant sur les copains  

-« Démerde-toi, nous on va se coucher. »

-« Merci et bonjour  la solidarité. » gueule le sergent 

    .

-« Ce n'est pas grave, je vais rester et vous aider chef. »dis-je  

-« Merci »me dit-il en me prenant le bras.

Un peu gêné quand même, je pris son sexe avec deux doigts et je le rentrai dans son pantalon. J'avais quand même eu le temps de palper et de voir que c'était pas de la guimauve. [Et le contact fut électrique, pensez donc !]  Je le relevai et le soutins jusqu'à sa chambre qui était dans un bâtiment à l'écart des dortoirs où nous dormions à quinze mecs par chambre [ce qui manque d'intimité mais pas de charme ! ] . Arrivés à la porte, il me demande si je veux pas rentrer pour boire un dernier verre avant de repartir et l'aider à se coucher. J'acquiesce de la tête et rentre derrière lui. Il ferme la porte à clé prétextant qu'elle ferme mal. Je jette un œil circulaire dans la pièce assez grande et lumineuse. Une porte donne sur une petite kitchenette, une autre dans une salle de bain qui fait toilette également. Dans un coin de la pièce il y a un canapé en cuir et un meuble sur lequel sont posées une télé et une mini chaîne. Près de la fenêtre, une table et quatre chaises doivent faire apprécier le paysage le matin au petit déjeuner et enfin le lit trône derrière la porte avec une petite table de chevet sur laquelle sont disposés divers objets : montre, radio réveil, une petite lampe de chevet assez banale et quelques pièces de monnaie. [Il fait chaud ]  

-« Mets-toi à l'aise si tu veux. »me dit-il, « j'ai un bon whisky ou de la bière. »  

-« Je crois que j'ai mon quota de bière et je pencherais bien pour un petit whisky, je peux utiliser les toilettes ? »

-« Te gène pas et mets-toi à l'aise si tu veux » répète-til

Je rappelle que, quand on est de D.O. on est en treillis, rangers avec accrochés à la ceinture beaucoup d'objets qui sont assez encombrants : une gourde, une pelle pliable, une sacoche avec, à l'intérieur, une lampe de poche et ses filtres… Je rentre donc dans la salle de bain pour me soulager et, avant de sortir, détache ma ceinture pour être un peu plus à l'aise. J'ouvre la porte et je vois le sergent en short et tee shirt. Le short assez court mais large qui laissait dépasser le long de l'une de ses jambes, le bout de son gland.

-« Il s'est mis à l'aise le chef. » lui dis-je  

-« Ecoute, pas de chichis, et comme ça je me sens mieux. »

Je pose ma ceinture par terre près de la porte d'entrée et prend mon verre servi avec générosité, sur la table. Paul(le prénom du sergent) s'était assis en tailleur sur le canapé ce qui faisait encore plus sortir son sexe du short. Il me fait signe de venir m'asseoir à coté de lui sur le canapé, chose que j'exécute aussitôt, il faut être obéissant avec les gradés.

-« T'habites où ? »

-« en Périgord, à Périgeux en fait. »

-« T'as une copine ? »

-« Non »

-« Moi la mienne, elle me manque. Elle est à Nevers, elle travaille là-bas, c'est pour ça qu'elle ne m'a pas rejoint. On doit se marier l'année prochaine si j'arrive à revenir dans la région. C'est long les nuits tout seul sans femme à ses cotés pour profiter.»

Tout en parlant, je me demandais s'il se grattait ou s'il se caressait. Je jette un œil vite fait pour voir, il bandait le salaud et cela dépassait de plus de cinq centimètres du short. Au même moment, nos regards se croisent et il avait vu que j'avais regardé son entre jambe.

-« Tu vois comme elle me manque. »

Ah ! Ça pour voir, je voyais à m'en faire sortir les yeux de la tête. Et lui qui continuait à se caresser tout en me regardant avec plus d'insistance.

-« On dirait que ça t'impressionne, tout à l'heure tu as hésité à la prendre pour me la rentrer. Ca ne mord pas, tu sais. »

Et moi, sans réfléchir, étant dans tous mes états, je lui balance :

-« Non, je sais, ça ne demande qu'à être sucé. »

Du tac au tac :

-« Eh bien, te gène pas ! »

Sans me faire prier, je pose mon verre par terre et écarte d'une main un peu plus l'échancrure du short pour attraper son sexe de l'autre et l'enfourner dans ma bouche tel un gamin qui aurait été privé de sucette depuis plusieurs mois (c'était un peu la vérité car l'armée, à moins de très bien tomber,  c'est un peu le sevrage côté sexe). Il mouillait ! Je passe le plat de ma langue le long de sa hampe pour en apprécier un maximum de la taille. Lui, allongé, toujours les jambes écartées, râlait de plaisir.

-« Putain, tu suces mieux que ma copine. »

Pris de joie du compliment, je redouble la cadence, lui palpant les couilles, lui caressant le pubis, montant sous son tee shirt pour lui caresser les seins, deux gros tétons que je pinçais.

-« Attends, arrête. »

-« Pourquoi ? »

-« Vire tes fringues. »

-« Oui chef ! »

Je me déshabille, c'est chiant les rangers à enlever, j'allais garder mon slip.

-« Enlève tout »

Entre temps, il avait viré le short et le maillot et s'était de nouveau allongé sur le canapé. Je reviens, m'installe entre ses jambes et recommence à m'occuper de son sexe qui devait bien faire 24 cm maintenant que je le voyais entièrement.

-« T'aimes ça mon salopard, je m'en suis toujours douté en te regardant » qu'il me dit tout en donnant des coups de reins pour accélérer la cadence et m'enfoncer plus loin dans ma gorge son sexe que j'avais du mal à avaler entièrement. D'un seul coup, il se redresse et me donne une claque sur les fesses, je ne pouvais crier ayant la bouche pleine, donc je gémis, et lui de croire que cela me plaisait, m'en donne une autre sur l'autre fesse. Je n'avais jamais eu d'expérience de ce genre, n'ayant jamais été attiré mais entre la douleur due à la violence des claques et un peu la stimulation de la situation, je me trémoussais tout en gémissant.  

-« Vas-y-que-je-te-claque !  » et vlan ! Une claque sur la gauche,  

-«Encore ! » et paf, une sur la droite qui était jalouse. Je continuais mes va et viens le long de son sexe tout en caressant ses testicules, les léchant et essayant de descendre en dessous pour me diriger vers son anus. Lui ayant compris ma manœuvre, se retourne, se met à quatre pattes  

-« tu veux me bouffer le cul, te gènes surtout pas ! »

Il n'était pas de toute propreté mais je me suis dit dans l'état où je suis, je n'étais plus à ça près et ça me laissera encore plus de souvenirs. Entre la nausée et l'excitation, je lèche et lave en bavant bien sur son anus, l'endroit tant exposé à mon regard. Il continue de gémir, je le branle tout en le léchant, il se trémousse. On est vraiment à la limite de l'apothéose. Il se retourne de nouveau, s'assied et me regarde.

-« J'ai envie de te prendre »

Vous me croirez peut-être ou pas, mais j'étais encore vierge de ce côté, n'ayant toujours eu que des partenaires passifs. Je n'avais pas envie de le décevoir en lui disant non et que cela s'arrête là. Malgré la taille de l'engin, je n'ai pas réfléchi :

-« T'as quelque chose pour me préparer, c'est la première fois »

-« T'inquiètes, j'ai ce qu'il faut »

Il se lève et va dans la cuisine, je l'entends ouvrir un placard et le vois revenir avec une plaquette de beurre. Je ne savais si je devais rire ou prendre la chose sérieusement mais je compris que j'allais passer à la casserole et apprécier la cuisine au beurre. Je me retourne et me mets à quatre pattes. Il prend le beurre et commence à me badigeonner ma tirelire avec douceur. Tout d'abord tout autour et ensuite il s'est occupé avec un doigt de mon orifice. Je ne pourrais pas dire qu'il ne m'a pas préparé avec délicatesse. Il s'est ensuite installé à genoux derrière moi, s'est badigeonné le sexe avec un peu de beurre, s'est présenté à l'entrée, a poussé un peu pour forcer l'introduction. J'ai cru qu'on était en train de m'empaler avec un poteau électrique. J'ai crié, il s'est retiré aussitôt.

-« C'est vrai que t'es puceau, je vais te donner quelque chose pour éviter que tu cries. »

Il se lève, ouvre un tiroir du meuble face au canapé et en sort une balle en caoutchouc, me la tend :

-« Tiens mords ça pour éviter qu'on t'entende gueuler. »

Je l'ai prise, l'ai mise dans ma bouche et l'ai mordue du plus fort que je pouvais. Il s'est remis derrière moi et a recommencé son entrée. Il y a été quand même avec un peu plus de douceur que précédemment mais a réussi à faire pénétrer son gland, s'est arrêté pour laisser calmer la douleur. Moi je mordais la balle et (je l'avoue) pleurais de souffrance. Il a, petit à petit, continué sa pénétration en faisant de légers va et viens. Je mordais, il bougeait, je pleurais, il s'enfonçait mais toujours avec douceur et lenteur. J'allais lui dire d'arrêter, la douleur étant trop insupportable quand je me suis rendu compte que justement la douleur commençait à se passer, mon anus étant dilaté et pouvant enfin supporter l'outrage que mon partenaire m'infligeait..

-« Ca va ? »

-« Mieux maintenant » en crachant la balle en caoutchouc.  

-« Bon ben on va accélérer la cadence. »

Il a donc augmenté la vitesse de ses va et viens tout en s'enfonçant un peu plus à chaque fois. Je me suis même demandé si cela allait ressortir par ma bouche, vu la taille de son sexe. J'étais en train de me faire enculer par un mec, un gradé et hétéro de surcroît. Je ne savais pas quoi penser mais je profitais de la situation car je ne pense pas que cela m'arrivera tous les jours. La douleur a laissé la place au plaisir, lui me défonçant tout en râlant et moi gémissant d'extase. Il me tenait bien par la taille et y mettait toute sa fougue de male viril pour me défoncer au maximum de sa force. Je le sentais à l'intérieur de moi me labourer et il en tirait aussi du plaisir. J'ai senti qu'il allait jouir car il s'est retiré et un liquide chaud s'est écoulé sur le bas de mon dos, tout en poussant de petits cris, il m'a joui dessus.

-« Ah ! C'est bon, je viens. »

Il s'est écroulé sur mon dos, moi n'ayant pas bougé et toujours à quatre pattes sur le canapé comme un chien fidèle et docile.

-« Mais tu n'as pas encore joui ? »

-« Non » bredouillai-je  

« Viens avec moi, on va se laver. »

Il se lève et dirige vers la salle de bains, toujours obéissant, je le suis. Il y avait un lavabo, les toilettes et derrière la porte, je ne l'avais pas remarqué tout à l'heure, une cabine de douche assez grande pour tenir à deux voire trois dedans. Il rentre, je le suis, il fait couler l'eau pour qu'elle soit chaude, prend un gant de toilette, y met du savon, m'attrape pour me retourner, commence à me laver le bas du dos et enlever toute trace de souillure ou de son passage. Il frotte et commence à faire le tour de mon corps avec le gant pour atteindre mon sexe. Je n'avais même pas fais attention tout au long de notre périple que les quelques fois qu'il m'avait touché, c'était pour me donner la fessée ou m'attraper par la taille pour m'enculer. Tout en me savonnant, il a commencé un va et vient avec mon sexe. Je ne rêvais pas, il était en train de me branler, rapidement mais efficacement. J'étais tellement excité que cela fut rapide. J'ai joui en crachant ma semence sur la paroi de la douche. Pour le remercier, je l'ai savonné à mon tour, un peu partout pour qu'il soit propre et qui sait peut être remettre ça. On s'est rincé, il a sorti des serviettes pour s'essuyer, m'en a jeté une pour me sécher, je me suis risqué à lui essuyé le dos, il s'est laissé faire. Alors je l'ai essuyé complètement, le dos, les bras, les jambes, ses fesses, son torse et son sexe mais malgré mes caresses savantes, il était vraiment HS et n'avait pas réussi à rebander tout de suite. Il est sorti de la salle de bain, s'est jeté sur son lit. Je suis sorti, ai ramassé mes affaires et ai commencé à me rhabiller.

-« Tu ne claqueras pas les portes en sortant. »

-« Non chef ! » Lui répondis-je avec un grand sourire.  

-« Bonne nuit, chef. »

-« Ouais ! Bonne nuit et pas un mot à personne. Motus ! Et bouche cousue. »  

Je suis reparti vers ma piaule, ne sachant même pas l'heure qu'il pouvait être. Tout le monde dormait, je me suis déshabillé, me suis couché tout en repensant à ce qu'il venait de m'arriver. Personne ne voudrait jamais me croire, donc je décidai de n'en parler à personne. Je me suis endormi, tout en rêves érotiques pleins de gradés qui abusaient de mon corps. La vie à repris son cours normal, et quand je croisais le sergent, je le saluais par respect pour le grade et lui de me répondre par un clin d'œil. Je m'étais dit qu'il n'était pas si saoûl qu'il voulait le faire croire car il se souvenait certainement de tout rien qu'à la manière de répondre à mon salut. Une quinzaine de jours plus tard, je le surpris sortant du mess avec un jeune soldat et se diriger vers son bâtiment. Et là, je me suis demandé si j'étais le premier à passer à la casserole ou si c'était un jeu qu'il aimait jouer. La dernière fois que je l'ai vu, c'est quand j'ai été libéré de mes obligations militaires, avant de monter dans les camions qui nous conduisaient vers la gare pour prendre le train qui nous ramènerait en France. Il est venu vers moi, m'a salué en me tendant la main et me dire :

-« De tous, ça a été toi le meilleur. »

Les copains m'ont charrié, ne sachant pas de quoi il voulait parler. Mais moi je le savais et cela m'a fait énormément plaisir et en même temps, j'ai eu confirmation de mes doutes en ne regrettant qu'une chose, c'est de ne pas avoir remis le couvert après. Cela fait dix neuf ans que cela m'est arrivé mais j'en garde toujours un excellent souvenir comme si cela m'était arrivé hier.¤

  *1 NOTES :  J'ai été spontanéavec le sergent. Peut-on dire que les gens le sont "de moins en moins" ? Ne parlons pas déjà des lèvres ni du baiser,  mais beaucoup d'hommes s'auto-censurent réciproquement le toucher par les mains de peur d'être contaminé par l'homosexualité. Chez les hommes les plus jeunes, cela se manifeste par la déclaration omniprésente et sous-jacente : "on n'est pas homos!" S'ils touchent accidentellement un autre gars, et chez les hommes plus âgés, cela se traduit par le même inconfort gênant (voire de la : peur) d'un contact  intime. Pourtant, ces réactions sont un phénomène relativement moderne. Les hommes partageaient le même lit avec des étrangers dans les premières tavernes américaines, et les savants-fouille-merde déterrent des lettres - y compris celles d'Abraham Lincoln, des sonnets de Shakespeare... - révélant comment les hommes entretenaient parfois des amitiés homosexuelles plus émotionnellement et physiquement intimes que leurs relations avec les femmes.     

 

 Titre:  Toucher la bite du sergent -ou toute autre bite- ça vous électrise, ça vous vampirise. Vous n'êtes plus pareil après.  Exemple aider un grand blessé aux deux bras à sortir sa bite, puis à  pisser...et, dans ce récit, c'est qu'il est saoûl !!!


  commentaire :  

JUNGLE :  

  Image associée  yes sir !

  Image associée 

    Image associéeattention à la contagion homo !

 

   

Par cavaillongay - Publié dans : EUX ET NOUS HETEROS ET GAYS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 23 mars 5 23 /03 /Mars 15:49

  13 jours d'engatse 

 

désolé je suis en panne d'internet depuis le 10 mars

 

Lettre à mon blog n° 47 10 mars 2018

ARNAQUE SANS FIL montez dans l'ambulance !

  • Redémarrez votre box

Résoudre les problèmes de connexion :

Vous n’êtes connecté à aucun réseau

  • Vérifier que l’adresse web est correcte

  • Rechercher ce site sur Bing

  • Actualiser la page (HiHi)

  • Vérifiez que tous les câbles réseau sont branchés.

  • Vérifiez que le mode avion est désactivé.

  • Vérifiez que votre commutateur sans fil est activé.

  • Regardez si vous pouvez vous connecter au haut débit mobile.

  • Redémarrez votre box. Résoudre les problèmes de connexion

marrez votre box box box xxxxxxxxxxxx

problèmes de connexion blèmes de connexionxionxion...

 

en beauté !

Image associée

 

Image associée heureux de cette union  

 

Image associée

 

 

 

 

Par claudio wbm - Publié dans : RECONNAISSANCE(S) &TRANSMISSION DE MESSAGES PRIVES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Samedi 10 mars 6 10 /03 /Mars 00:52

 

Par JO CRISS - Publié dans : CONNAISONS NOS FRERES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 9 mars 5 09 /03 /Mars 08:26

ce sont les Furies de Paris qui sont contentes : même pinterest est touchépar leur "grâce" et pourtant Pinterest....

la glaciation de Pongola (à −2 900 Ma)

l'Huronien (de −2 400 Ma à −2 100 Ma) ;

le Cryogénien (de −950 Ma à −570 Ma) ;

l'Andéen-saharien, à l'Ordovicien (de −450 Ma à −420 Ma) ;

la jonction Carbonifère - Permien (de −360 Ma à −260 Ma).

la glaciation Bolloré 2018

Y
Enregistré depuis
youtube.com
Visiter
 
Visiter
 

Photos et commentaires vous avez reconnu le bon La Fontaine des Animaux malades de la Peste

Bolloré : -" sur mon bateau ôôô$$$ "  

le  

youtube.com


commentaire :

 

 


JUNGLE :

j'aidû tirer la chasse plusieurs fois :

Image associée

 

assis, mon cul, ma queue touchaient de partout  

Image associée

 n'ayons pas peur des mots

Résultat de recherche d'images pour "the toilet bowl over filled with shiet"c'est la merde !

 

Résultat de recherche d'images pour "une maison de maçon une télé de m"

                                                                                en souvenir de Michel Polac    lacImage associée

Par claudio - Publié dans : CONDUITES DITES DEVIANTES"INAPROPRIEES", PERVERSES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

  • : Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • : Gay
  • : BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil
  • Contact
  • : 15/12/2012

Profil

  • claudio
  • Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • bareback enculer lavement trash hygiène
  • blog iconoclaste-pluraliste-no limits- ouvert à tous aucune discrimination ethnique tous âges 18+; je me doute que des -18 nous regardent et nous suivent. Et alors ?(Fillon l'a dit !) ça leur apprend des choses...

Texte Libre

<!-- counter(current) -->&nbsp; personne(s) sur ce blog

Archives

Images Aléatoires

  • ERECTCOLUMN 2
  • restinghc1
  • 220 1000
  • CONCURRENCE 3
  • SENSE IS SENSUAL 000046334
  • ON SEST AIMES LA DANS UN CHEMIN FLEURI CACHE 012

Recherche

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés