Je n'avais pas envie de le décevoir en lui disant non et que cela s'arrête là. Malgré la taille de l'engin, je n'ai pas
réfléchi Je reste très content d'avoir servi de faire-valoir au sergent de notre groupe
militaro-humanitaire. Je ne sais pas ce que les autres ont discerné à notre sujet, mais aucun d'eux n'aurait pu jouer le même rôle. EN MEME TEMPS -lol- , entre nous on va dire que je l'ai empêché de faire une connerie alors qu'il déprimait fortement. Et aussi je lui ai donné quelques moments de
bonheur.
vampirisation En parlant d'un vampire, sucer le sang d'une de ses victimes afin de le transformer à son tour en
vampire. Dans la vraie vie, ainsi qu'au sens figuré, vampiriser un homme en termes plus réalistes c'est le mettre sous sa totale dépendance affective et psychologique. Le
"vrai vampire" te séduit puis fait de toi son jouet. Hétéro ou pas, touche la bite d'un autre et tu verras
...
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Peut-on dire "ON SE TOUCHE de moins en
moins" ? Ne parlons pas déjà des lèvres ni du baiser, mais beaucoup d'hommes s'auto-censurent réciproquement le toucher par les mains de peur d'être contaminé.
Depuis longtemps c'était vrai
chez les anglais.Chez les hommes
les plus jeunes, cela se manifeste par la déclaration omniprésente et sous-jacente : "on n'est pas homos!" S'ils touchent accidentellement un autre gars, et chez les hommes plus
âgés, cela se traduit par le même inconfort gênant (voire de la : peur) d'un contact intime. Pourtant, ces réactions sont un phénomène relativement moderne. Les hommes partageaient
le même lit avec des étrangers dans les premières tavernes américaines de la ruée vers l'or, et les chercheurs intellos-fouille-merde déterrent des lettres - y compris celles d'Abraham
Lincoln, des sonnets de Shakespeare... - révélant comment les hommes entretenaient parfois des amitiés homosexuelles plus émotionnellement et physiquement intimes que leurs
relations avec les
femmes.
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Le Sergent "C'est ça le problème avec la gnôle, songeai-je en me servant un verre. S'il se passe un truc moche, on boit pour essayer d'oublier; s'il se passe un truc chouette, on boit pour
le fêter, et s'il ne se passe rien, on boit pour qu'il se passe quelque chose. " (Charles Bukowski Women)
les noms des lieux et des personnages on été
changés
Certains trouvent que passer une année à l'armée est une
année gâchée et d'autres trouvent leur vocation en faisant leur service militaire. On peut bien tomber ou très mal, être près de chez soi ou très loin. Moi j'habite Périgueux et j'ai
fait mon service humanitaire au Mali, armée et ONG côte à côte. Sur les 703 communes du Mali, 666 sont rurales. Si on voit la gentillesse des gens de ce pays 666, qui est le chiffre du diable,
n'est pas le nombre qui leur convient. Des villages parfois reculés. J'étais en poste dans le Nord- Mali tout près d'Algine(2), plus
précisément à Baroussotoudou(2) auprès de la huitième et dixième compagnies médicales et je peux dire que, malgré le
danger, c'était une année de plaisir et de vacances. J'étais secrétaire au PC. C'est sûr qu'on ne pouvait pas rentrer tous les week-ends en métropole, mais on pouvait profiter de la
vie là bas et surtout entre nous. Mais il m'est arrivé une aventure avec un gradé qui est restée sans lendemain mais qui mérite le détour. On avait l'habitude à plusieurs copains de faire
des parties de flipper au mess et le perdant payait une tournée de bières, la seule boisson alcoolisée qui fût servie. Un samedi où nous étions de Défense Opé, nous devions rester au camp à
la disposition des gradés en cas d'alerte. La journée s'était passée le plus banalement possible et le soir après la cantine, nous étions donc au mess en train de jouer au flipper et
écluser quelques bières. Pour dire que la table à coté du jeu était recouverte de canettes. Quand nous en avions eu marre de jouer, nous nous étions installés à la table et nous avions commencé à
boire, quand le gradé qui devait nous encadrer se pointe au mess. Ce n'était qu'un sergent; contrairement à quelques uns d'entre nous qui étions humanitaires et volontaires il
était engagé mais il était vachement sympa. Il fait donc le tour de la caserne pour voir si tout allait bien, arriver au mess il nous voit bien attablés :
-« Dis donc, il y en a qui se gênent pas »
nous lance-t-il.
-« Venez nous rejoindre, chef, il y en a pour tout le monde. »
- « OK »
Et le voilà qui s'installe avec nous à la table, prend une canette et la liquide d'une seule goulée. Nous l'appelions chef car cela le faisait
mousser et il ne nous reprenait pas tout en sachant qu'un sergent ne se fait pas appeler chef mais sergent.
- « Il avait soif le chef, ça va lui donner du courage pour faire le tour du camp. »
Vous dire de quoi nous avions parlé, j'ai un peu oublié, car nous avions raconté chacun notre vie, détaillé notre région, exposé ce que nous
attendions de l'avenir une fois notre service militaire ou civil fini. On a parlé, on a bu, et encore bu jusqu'à ce que la table soit vide. On a dû certainement en liquider une dizaine
chacun. Après on n'avait plus assez de doigts pour les compter. Rester assis quand on boit cela va, mais quand on se lève, c'est là que cela tangue, que la pièce tourne et que tout va très vite.
On sort tous et les effets diurétiques de la bière se font ressentir, il fait noir, on contourne le bâtiment et on va se soulager la vessie à la lueur de la lune. Tout le monde sort son engin, ce
qui me permet de me rincer l'œil et d'admirer de beaux spécimens. Notre sergent, pour faire autrement que nous, se tourne à l'envers et nous exhibe son chibre tout en chantant:
- « tiens voilà du boudin.»
Nous étions tous restés baba de voir la taille de cette queue au repos. Les copains ça les fait marrer mais ils ne regardent pas trop
« on n'est pas des PD, on en a tous une ! »
mais le sergent continue gentiment de se soulager tout en chantant et en se trémoussant dans tous les sens ce qui fait qu'il manquait nous pisser un
peu dessus aussi. Et ça gueule, et ça rigole ! Une fois fini, nous rangeons notre attirail mais le sergent trébuche et s'étale par terre. On rigole une fois de plus en chantant
-« le sergent il est bourré »
, et lui, allongé par terre, de frapper dans ses mains pour battre la mesure, toujours le sexe à l'air.
-« Qui est ce qui m'aide ? » nous lance-t-il.
-« Je vais vous relever chef mais faudrait ranger votre attirail. »
Lui dis-je.
-« Fais le, j'en peux plus. »
-« Qui est ce qui m'aide ? » en me retournant sur les copains
-« Démerde-toi, nous on va se coucher. »
-« Merci et bonjour la solidarité. » gueule le sergent
.
-« Ce n'est pas grave, je vais rester et vous aider chef. »dis-je
-« Merci »me dit-il en me prenant le
bras.
Un peu gêné quand même, je pris son sexe avec deux
doigts et je le rentrai dans son pantalon. J'avais quand même eu le temps de palper et de voir que c'était pas de la guimauve. [Et le contact fut électrique, pensez donc !] Je le
relevai et le soutins jusqu'à sa chambre qui était dans un bâtiment à l'écart des dortoirs où nous dormions à quinze mecs par chambre [ce qui manque d'intimité mais pas de charme ! ] .
Arrivés à la porte, il me demande si je veux pas rentrer pour boire un dernier verre avant de repartir et l'aider à se coucher. J'acquiesce de la tête et rentre derrière lui. Il ferme la porte à
clé prétextant qu'elle ferme mal. Je jette un œil circulaire dans la pièce assez grande et lumineuse. Une porte donne sur une petite kitchenette, une autre dans une salle de bain qui fait
toilette également. Dans un coin de la pièce il y a un canapé en cuir et un meuble sur lequel sont posées une télé et une mini chaîne. Près de la fenêtre, une table et quatre chaises doivent
faire apprécier le paysage le matin au petit déjeuner et enfin le lit trône derrière la porte avec une petite table de chevet sur laquelle sont disposés divers objets : montre, radio réveil, une
petite lampe de chevet assez banale et quelques pièces de monnaie. [Il fait chaud ]
-« Mets-toi à l'aise si tu veux. »me dit-il, « j'ai un bon whisky ou de la bière. »
-« Je crois que j'ai mon quota de bière et je pencherais bien pour un petit whisky, je peux utiliser les toilettes ? »
-« Te gène pas et mets-toi à l'aise si tu veux » répète-til
Je rappelle que, quand on est de D.O. on est en treillis, rangers avec accrochés à la ceinture beaucoup d'objets qui sont assez encombrants : une
gourde, une pelle pliable, une sacoche avec, à l'intérieur, une lampe de poche et ses filtres… Je rentre donc dans la salle de bain pour me soulager et, avant de sortir, détache ma ceinture pour
être un peu plus à l'aise. J'ouvre la porte et je vois le sergent en short et tee shirt. Le short assez court mais large qui laissait dépasser le long de l'une de ses jambes, le bout de son
gland.
-« Il s'est mis à l'aise le chef. » lui dis-je
-« Ecoute, pas de chichis, et comme ça je me sens mieux. »
Je pose ma ceinture par terre près de la porte d'entrée et prend mon verre servi avec générosité, sur la table. Paul(le prénom du sergent) s'était
assis en tailleur sur le canapé ce qui faisait encore plus sortir son sexe du short. Il me fait signe de venir m'asseoir à coté de lui sur le canapé, chose que j'exécute aussitôt, il faut être
obéissant avec les gradés.
-« T'habites où ? »
-« en Périgord, à Périgeux en fait. »
-« T'as une copine ? »
-« Non »
-« Moi la mienne, elle me manque. Elle est à Nevers, elle travaille là-bas, c'est pour ça qu'elle ne m'a pas rejoint. On doit se marier l'année
prochaine si j'arrive à revenir dans la région. C'est long les nuits tout seul sans femme à ses cotés pour profiter.»
Tout en parlant, je me demandais s'il se grattait ou s'il se caressait. Je jette un œil vite fait pour voir, il bandait le salaud et cela dépassait
de plus de cinq centimètres du short. Au même moment, nos regards se croisent et il avait vu que j'avais regardé son entre jambe.
-« Tu vois comme elle me manque. »
Ah ! Ça pour voir, je voyais à m'en faire sortir les yeux de la tête. Et lui qui continuait à se caresser tout en me regardant avec plus
d'insistance.
-« On dirait que ça t'impressionne, tout à l'heure tu as hésité à la prendre pour me la rentrer. Ca ne mord pas, tu sais. »
Et moi, sans réfléchir, étant dans tous mes états, je lui balance :
-« Non, je sais, ça ne demande qu'à être sucé. »
Du tac au tac :
-« Eh bien, te gène pas ! »
Sans me faire prier, je pose mon verre par terre et écarte d'une main un peu plus l'échancrure du short pour attraper son sexe de l'autre et
l'enfourner dans ma bouche tel un gamin qui aurait été privé de sucette depuis plusieurs mois (c'était un peu la vérité car l'armée, à moins de très bien tomber, c'est un peu le sevrage
côté sexe). Il mouillait ! Je passe le plat de ma langue le long de sa hampe pour en apprécier un maximum de la taille. Lui, allongé, toujours les jambes écartées, râlait de plaisir.
-« Putain, tu suces mieux que ma copine. »
Pris de joie du compliment, je redouble la cadence, lui palpant les couilles, lui caressant le pubis, montant sous son tee shirt pour lui caresser
les seins, deux gros tétons que je pinçais.
-« Attends, arrête. »
-« Pourquoi ? »
-« Vire tes fringues. »
-« Oui chef ! »
Je me déshabille, c'est chiant les rangers à enlever, j'allais garder mon slip.
-« Enlève tout »
Entre temps, il avait viré le short et le maillot et s'était de nouveau allongé sur le canapé. Je reviens, m'installe entre ses jambes et recommence
à m'occuper de son sexe qui devait bien faire 24 cm maintenant que je le voyais entièrement.
-« T'aimes ça mon salopard, je m'en suis toujours douté en te regardant » qu'il me dit tout en
donnant des coups de reins pour accélérer la cadence et m'enfoncer plus loin dans ma gorge son sexe que j'avais du mal à avaler entièrement. D'un seul coup, il se redresse et me donne une claque
sur les fesses, je ne pouvais crier ayant la bouche pleine, donc je gémis, et lui de croire que cela me plaisait, m'en donne une autre sur l'autre fesse. Je n'avais jamais eu d'expérience de ce
genre, n'ayant jamais été attiré mais entre la douleur due à la violence des claques et un peu la stimulation de la situation, je me trémoussais tout en gémissant.
-« Vas-y-que-je-te-claque ! » et vlan ! Une claque sur la gauche,
-«Encore ! » et paf, une sur la droite qui était jalouse. Je continuais mes va et viens le
long de son sexe tout en caressant ses testicules, les léchant et essayant de descendre en dessous pour me diriger vers son anus. Lui ayant compris ma manœuvre, se retourne, se met à quatre
pattes
-« tu veux me bouffer le cul, te gènes surtout pas ! »
Il n'était pas de toute propreté mais je me suis dit dans l'état où je suis, je n'étais plus à ça près et ça me laissera encore plus de souvenirs.
Entre la nausée et l'excitation, je lèche et lave en bavant bien sur son anus, l'endroit tant exposé à mon regard. Il continue de gémir, je le branle tout en le léchant, il se trémousse. On est
vraiment à la limite de l'apothéose. Il se retourne de nouveau, s'assied et me regarde.
-« J'ai envie de te prendre »
Vous me croirez peut-être ou pas, mais j'étais encore vierge de ce côté, n'ayant toujours eu que des partenaires passifs. Je n'avais pas envie de le
décevoir en lui disant non et que cela s'arrête là. Malgré la taille de l'engin, je n'ai pas réfléchi :
-« T'as quelque chose pour me préparer, c'est la première fois »
-« T'inquiètes, j'ai ce qu'il faut »
Il se lève et va dans la cuisine, je l'entends ouvrir un placard et le vois revenir avec une plaquette de beurre. Je ne savais si je devais rire ou
prendre la chose sérieusement mais je compris que j'allais passer à la casserole et apprécier la cuisine au beurre. Je me retourne et me mets à quatre pattes. Il prend le beurre et commence à me
badigeonner ma tirelire avec douceur. Tout d'abord tout autour et ensuite il s'est occupé avec un doigt de mon orifice. Je ne pourrais pas dire qu'il ne m'a pas préparé avec délicatesse. Il s'est
ensuite installé à genoux derrière moi, s'est badigeonné le sexe avec un peu de beurre, s'est présenté à l'entrée, a poussé un peu pour forcer l'introduction. J'ai cru qu'on était en train de
m'empaler avec un poteau électrique. J'ai crié, il s'est retiré aussitôt.
-« C'est vrai que t'es puceau, je vais te donner quelque chose pour éviter que tu cries. »
Il se lève, ouvre un tiroir du meuble face au canapé et en sort une balle en caoutchouc, me la tend :
-« Tiens mords ça pour éviter qu'on t'entende gueuler. »
Je l'ai prise, l'ai mise dans ma bouche et l'ai mordue du plus fort que je pouvais. Il s'est remis derrière moi et a recommencé son entrée. Il y a
été quand même avec un peu plus de douceur que précédemment mais a réussi à faire pénétrer son gland, s'est arrêté pour laisser calmer la douleur. Moi je mordais la balle et (je l'avoue) pleurais
de souffrance. Il a, petit à petit, continué sa pénétration en faisant de légers va et viens. Je mordais, il bougeait, je pleurais, il s'enfonçait mais toujours avec douceur et lenteur. J'allais
lui dire d'arrêter, la douleur étant trop insupportable quand je me suis rendu compte que justement la douleur commençait à se passer, mon anus étant dilaté et pouvant enfin supporter l'outrage
que mon partenaire m'infligeait..
-« Ca va ? »
-« Mieux maintenant » en crachant la balle en caoutchouc.
-« Bon ben on va accélérer la cadence. »
Il a donc augmenté la vitesse de ses va et viens tout en s'enfonçant un peu plus à chaque fois. Je me suis même demandé si cela allait ressortir par
ma bouche, vu la taille de son sexe. J'étais en train de me faire enculer par un mec, un gradé et hétéro de surcroît. Je ne savais pas quoi penser mais je profitais de la situation car je ne
pense pas que cela m'arrivera tous les jours. La douleur a laissé la place au plaisir, lui me défonçant tout en râlant et moi gémissant d'extase. Il me tenait bien par la taille et y mettait
toute sa fougue de male viril pour me défoncer au maximum de sa force. Je le sentais à l'intérieur de moi me labourer et il en tirait aussi du plaisir. J'ai senti qu'il allait jouir car il s'est
retiré et un liquide chaud s'est écoulé sur le bas de mon dos, tout en poussant de petits cris, il m'a joui dessus.
-« Ah ! C'est bon, je viens. »
Il s'est écroulé sur mon dos, moi n'ayant pas bougé et toujours à quatre pattes sur le canapé comme un chien fidèle et docile.
-« Mais tu n'as pas encore joui ? »
-« Non » bredouillai-je
« Viens avec moi, on va se laver. »
Il se lève et dirige vers la salle de bains, toujours obéissant, je le suis. Il y avait un lavabo, les toilettes et derrière la porte, je ne l'avais
pas remarqué tout à l'heure, une cabine de douche assez grande pour tenir à deux voire trois dedans. Il rentre, je le suis, il fait couler l'eau pour qu'elle soit chaude, prend un gant de
toilette, y met du savon, m'attrape pour me retourner, commence à me laver le bas du dos et enlever toute trace de souillure ou de son passage. Il frotte et commence à faire le tour de mon corps
avec le gant pour atteindre mon sexe. Je n'avais même pas fais attention tout au long de notre périple que les quelques fois qu'il m'avait touché, c'était pour me donner la fessée ou m'attraper
par la taille pour m'enculer. Tout en me savonnant, il a commencé un va et vient avec mon sexe. Je ne rêvais pas, il était en train de me branler, rapidement mais efficacement. J'étais tellement
excité que cela fut rapide. J'ai joui en crachant ma semence sur la paroi de la douche. Pour le remercier, je l'ai savonné à mon tour, un peu partout pour qu'il soit propre et qui sait peut être
remettre ça. On s'est rincé, il a sorti des serviettes pour s'essuyer, m'en a jeté une pour me sécher, je me suis risqué à lui essuyé le dos, il s'est laissé faire. Alors je l'ai essuyé
complètement, le dos, les bras, les jambes, ses fesses, son torse et son sexe mais malgré mes caresses savantes, il était vraiment HS et n'avait pas réussi à rebander tout de suite. Il est sorti
de la salle de bain, s'est jeté sur son lit. Je suis sorti, ai ramassé mes affaires et ai commencé à me rhabiller.
-« Tu ne claqueras pas les portes en sortant. »
-« Non chef ! » Lui répondis-je avec un grand sourire.
-« Bonne nuit, chef. »
-« Ouais ! Bonne nuit et pas un mot à personne. Motus ! Et bouche cousue. »
Je suis reparti vers ma piaule, ne sachant même pas l'heure qu'il pouvait être. Tout le monde dormait, je me suis déshabillé, me suis couché tout en
repensant à ce qu'il venait de m'arriver. Personne ne voudrait jamais me croire, donc je décidai de n'en parler à personne. Je me suis endormi, tout en rêves érotiques pleins de gradés qui
abusaient de mon corps. La vie à repris son cours normal, et quand je croisais le sergent, je le saluais par respect pour le grade et lui de me répondre par un clin d'œil. Je m'étais dit qu'il
n'était pas si saoûl qu'il voulait le faire croire car il se souvenait certainement de tout rien qu'à la manière de répondre à mon salut. Une quinzaine de jours plus tard, je le surpris sortant
du mess avec un jeune soldat et se diriger vers son bâtiment. Et là, je me suis demandé si j'étais le premier à passer à la casserole ou si c'était un jeu qu'il aimait jouer. La dernière fois que
je l'ai vu, c'est quand j'ai été libéré de mes obligations militaires, avant de monter dans les camions qui nous conduisaient vers la gare pour prendre le train qui nous ramènerait en France. Il
est venu vers moi, m'a salué en me tendant la main et me dire :
-« De tous, ça a été toi le meilleur. »
Les copains m'ont charrié, ne sachant pas de quoi il voulait parler. Mais moi je le savais et cela m'a fait énormément plaisir et en même
temps, j'ai eu confirmation de mes doutes en ne regrettant qu'une chose, c'est de ne pas avoir remis le couvert après. Cela fait dix neuf ans que cela m'est arrivé mais j'en garde toujours un
excellent souvenir comme si cela m'était arrivé hier.¤
*1 NOTES : J'ai été spontanéavec le sergent. Peut-on dire que les gens le sont "de moins en moins" ? Ne parlons pas déjà des lèvres ni
du baiser, mais beaucoup d'hommes s'auto-censurent réciproquement le toucher par les mains de peur d'être contaminé par l'homosexualité. Chez les hommes les plus jeunes, cela
se manifeste par la déclaration omniprésente et sous-jacente : "on n'est pas homos!" S'ils touchent accidentellement un autre gars, et chez les hommes plus âgés, cela se traduit par le même
inconfort gênant (voire de la : peur) d'un contact intime. Pourtant, ces réactions sont un phénomène relativement moderne. Les hommes partageaient le même lit avec des étrangers dans les
premières tavernes américaines, et les savants-fouille-merde déterrent des lettres - y compris celles d'Abraham Lincoln, des sonnets de Shakespeare... - révélant comment les hommes
entretenaient parfois des amitiés homosexuelles plus émotionnellement et physiquement intimes que leurs relations avec les femmes.
Titre: Toucher la bite du sergent -ou toute autre bite- ça vous électrise, ça vous vampirise. Vous n'êtes plus pareil après. Exemple aider un grand blessé aux deux bras à
sortir sa bite, puis à pisser...et, dans ce récit, c'est qu'il est saoûl !!!
commentaire :
JUNGLE :
yes sir !
attention
à la contagion homo !
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