BISEX UN COEUR PLUS GRAND
les candidats à l'élection de Mr TAHITI...
TAHITI...
RE: Bisex ce n'est pas
toujours aussi gai. LOL
delambrephilippe <celtique20@hotmail...>
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04/05/2014
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À moi
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je te transmets ce merveilleux récit qui
m'a fait couler des larmes car je suis bisexuel. Je te confie la mise en page Merci de ton blog qui est super.
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C'est marrant le bonheur, quand c'est vraiment intense, ça fait le même effet qu'une cuite, on flotte, on a la tête dans les étoiles, on rit, on n'a pas les pieds
sur terre. Il est presque une heure du matin, je dévale les escaliers de la clinique comme sur un nuage. Je saurais faire, il ne faudrait pas me pousser beaucoup pour exécuter un double saut
périlleux arrière avec réception en équilibre sur les mains!
J'arrive sur le trottoir, la douceur de la nuit tahitienne me dégrise à peine, c'est tout juste si je distingue
les lumières du port tout proche. Je ne vous ai pas dit: je m'appelle Nicolas, j'ai 30 ans et depuis trois heures je suis à la fois l'homme le plus heureux du monde ET le papa du plus beau bébé
de l'histoire de l'humanité! J'ai vu naître mon fils et je sais déjà que je ne serai plus jamais le même: la vision de la tête de Noël (il s'appelle Noël) sortant du ventre de sa mère est ce que
j'ai vu de plus beau et de plus émouvant de toute ma vie.
Bref, je plane et si les infirmières ne m'avaient pas gentiment fait comprendre que la maman avait besoin de se
reposer, que le bébé dormait et que je n'avais plus rien à faire dans la chambre, je serai encore à admirer mon fils et ma femme et à les couvrir de bisous.
Comme on m'a viré, il va bien falloir que je retourne à la maison mais malgré l'amour que me portent mon chat et
ma chienne, elle va me sembler bien vide!
— C'est pas vrai, Arnaud!
Et il répond:
— Oh merde, Nico!
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J'arpente le trottoir, la tête toujours dans les étoiles et, bing,
je rentre dans quelque chose. J'atterris brutalement. Ce n'est pas quelque chose, c'est quelqu'un! Un grand type, beau mec même, aux cheveux d'un blond éclatant, comme blanchis par le soleil et
la mer.
Visiblement, il a été aussi surpris que moi et on s'exclame en même temps:
— Oh pardon, excusez-moi!
La simultanéité de notre cri nous fait éclater de rire puis, je le regarde mieux et je dis:
— C'est pas vrai, Arnaud!
Et il répond:
— Oh merde, Nico!
Et nous tombons dans les bras l'un de l'autre! En matière d'émotions, ce n'est plus une journée chargée, c'est
une journée record! Arnaud, je crois rêver! Douze ans déjà, douze ans... Nous étions les meilleurs amis du monde en terminale et puis la vie nous a séparés. À cette époque, il n'y avait pas
d'université à Tahiti et nous étions obligés de partir en France pour poursuivre nos études après le bac. Lui était allé à Paris puis à Boston, moi à Montpellier. Au début, on s'était revu aux
premières vacances, on s'était écrit et puis il y avait eu le temps qui passe, les autres rencontres, les routes qui se croisent et qui s'éloignent, bref, nous nous étions perdus de vue. Et là, à
une heure du matin, devant une clinique, on se rentre dedans. Le premier cinéaste qui met ça dans un film, il va y avoir des tomates sur l'écran!
Je lui demande:
— Mais qu'est-ce que tu fais là à une heure pareille?
— Ma femme a accouché tout à l'heure, je viens de la quitter pour rentrer chez moi faire semblant de dormir,
mais je crois que je suis trop excité pour trouver le sommeil!
J'éclate de rire, je lui apprends que moi c'est pareil et lui
propose de venir chez moi partager nos insomnies un whisky à la main.
Deux heures plus tard, nous sommes assis au bord de ma piscine. Le niveau de la bouteille de whisky a bien
baissé. Nous nous sommes raconté nos douze dernières années, nos études, nos femmes, nos boulots, la naissance de nos enfants...
Je sens bien qu'on ne peut pas en rester là et je demande:
— Tu te
souviens du jour du poker?
Douze ans plus tôt, nous sommes quatre bacheliers réunis chez Arnaud. En dehors de lui et moi, il y a Antonio et
Willy.
Arnaud est une gravure de mode. C'est à la fois le meilleur élève et le meilleur athlète de la classe. Il est blond comme les blés et tout le temps qu'il passe
dans l'eau et au soleil a rendu ses cheveux presque blancs. Sa peau est dorée comme une brioche. Son visage en triangle est illuminé par des yeux bleus comme le lagon et sa bouche semble être
faite pour embrasser.
Antonio est un jeune tahitien, grand et baraqué grâce à une pratique assidue du surf. Il est très foncé de peau. Ses lèvres sont épaisses et sa bouche est
sensuelle. On sent qu'il est à l'aise avec son corps et il me donne l'impression de se taper toutes les nanas de la terre.
Willy est un chinois aux longs cheveux noirs et raides qui entourent une bille toute ronde aux yeux rieurs. Il n'est ni très grand ni très musclé, mais il dégage
une impression d'énergie et d'élasticité qui se confirme quand on le voit sur un stade: il court et nage vite, il saute haut et loin. Le voir en maillot de bain me procure toujours une impression
bizarre. Je suis comme fasciné par la bosse qui tend le lycra bleu pâle de son maillot. Je suis pourtant attiré par les filles et notamment par la belle Anne, qui me mène par le bout du nez, mais
quand je le vois, il se passe quelque chose qui me déstabilise un peu et m'étonne
. En y réfléchissant, quand je vois, ici ou là une bite, il faut toujours
que je l'imagine en action, la voir en train de baiser (1 fille ou 1garçon)
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Quant à moi, à cette époque-là, je suis complexé par ma petite taille. Je fais moins d'un mètre soixante et mon côté chétif me complexe. Je ne sais pas encore que je
vais grandir en première année de fac pour atteindre une hauteur raisonnable et la moindre remarque sur ma petite taille me rend agressif et me met mal à l'aise. J'ai envie de crier que les
centimètres qui me manquent se retrouvent dans mon slip mais je n'ose pas. J'ai du mal à me débattre entre mes pulsions et mes complexes et mes branlettes répétées me calment à
peine.
Nous sommes à la fois heureux et tristes d'être tous les quatre ensemble ce soir-là. Nous savons bien qu'une
page va se tourner et que nous n'aurons pas souvent l'occasion de revivre de tels moments. Depuis la veille, nous sommes tous les quatre très fiers d'être de jeunes bacheliers, tous brillamment
reçus avec mention, la palme revenant évidemment à Arnaud, seule mention très bien de Tahiti en section S. Mais ce succès est aussi le signal du départ. Antonio sera seul à rester ici en
intégrant l'école normale pour devenir instituteur. Arnaud, Willy et moi allons partir pour la France et ce sera le début de la séparation. Bien sûr, on se jure une amitié éternelle,
mais...
La soirée s'écoule doucement, pas spécialement marrante. On aborde des tas de sujets et c'est Willy qui lance
l'idée:
— Et si on faisait un strip poker?
Arnaud réagit le premier:
— Eh, t'es fou. Je suis pas pédé moi! C'est dégoûtant...
— T'as tort, mon pote. Faut tout connaître, attaque Willy. Moi j'adore baiser une nana mais s'envoyer un mec,
c'est super bon aussi!
— Willy a raison, ajoute Antonio. J'adore ça moi aussi. Dans le sexe, tout est bon!
— Moi je veux bien essayer, j'ajoute sans trop me mouiller.
Arnaud hésite un peu, fait un peu la gueule, mais comme il est minoritaire, il s'incline.
Du coup, on s'installe. Les règles sont simples: pas de bluff. À chaque tour, celui qui a la main la plus faible
enlève une pièce de vêtement. S'il est déjà à poil, celui qui a eu l'annonce la plus forte lui donne un gage.
La partie s'engage dans un silence un peu bizarre. L'atmosphère a changé d'un seul coup et on sent bien qu'il va
se passer des choses inattendues entre nous.
Au bout de quelques tours, Antonio est le plus mal parti. Il est déjà en slip alors que j'ai juste enlevé une
chaussette. J'ai la bouche sèche et je ne peux m'empêcher d'avoir le regard fixé sur son slip blanc qui cache mal une bosse grossissante. Antonio bande visiblement et du coup, ma queue durcit
d'un seul coup. Je sens que je ne serai plus vierge à la fin de la soirée.
Trois tours plus loin, alors qu'Arnaud est en slip à son tour, une paire de trois est fatale à Antonio. Il pose
ses cartes calmement, se lève et avec une feinte décontraction, il descend lentement son slip. Sa bite apparaît fièrement dressée. Elle n'est pas très longue, mais elle est droite, dure et
épaisse. Je meurs d'envie de me jeter dessus pour l'avaler, mais je me retiens. La soirée ne fait que commencer.
Antonio résiste encore deux tours et c'est moi qui m'effeuille un peu plus. Il me reste mon pantalon et mon
slip, comme à Willy. Arnaud n'a plus que son slip pour protéger sa pudeur. On le sent mal à l'aise et, pourtant, son slip semble bien gonflé pour un type qui voudrait être ailleurs.
Le coup suivant est le bon: Antonio cherche à faire une quinte et comme il la rate, il n'a rien à annoncer.
Willy a un brelan d'as et lui donne son premier gage:
— Tu vas embrasser tendrement le slip de chacun!
Antonio s'exécute sans discuter. Il commence par Willy qui avance complaisamment son bassin et il colle
longuement ses lèvres sur le membre qu'on devine bien bandé à travers l'étoffe du pantalon. Arnaud a un mouvement de recul, mais se laisse faire sans commentaire. Quand vient mon tour, je pousse
un profond soupir et le contact de la bouche d'Antonio avec l'étoffe de mon slip me procure des frissons de bonheur.
Le jeu continue. Willy puis moi nous retrouvons à notre tour en slip. La tension est palpable et l'odeur des
quatre sexes commence à emplir la pièce. Arnaud perd le coup suivant et enlève son slip en baissant les yeux. C'est la première fois que je le vois nu et ça me fait un choc. Ce type est beau,
honteusement beau pour le gringalet que je suis. Je constate pourtant avec plaisir que ma queue est plus longue que la sienne, mais pour le reste, son corps et son sexe forment un équilibre
parfait, genre modèle de sculpteur grec!
En attendant, il n'a pas l'air ravi, le modèle, et semble honteux de son érection flamboyante. C'est vrai
qu'après avoir affirmé son dégoût des pédés, sa bite fièrement bandée fait un peu désordre! Je sens que je ne vais pas être le seul à faire des découvertes ce soir!
Le coup suivant, ma paire de huit s'avère être la plus faible du lot. C'est mon tour de me retrouver à poil. Je
suis assez fier de l'effet que je fais: je bande comme un âne et la grosseur de ma bite n'est visiblement pas en rapport avec ma taille!
Willy le souligne lourdement:
— Putain! Plus jamais je n'oserai te traiter de petit machin!
Je me rassois en souriant sans rien dire. Complexé comme je suis, une phrase comme celle-là me va droit au
cœur.
La tension monte. Il n'y a plus que Willy qui a encore son slip, les gages vont pleuvoir. C'est Antonio qui perd
encore et comme j'ai un full, c'est moi qui donne l'ordre.
— Tu viens me sucer pendant une minute.
Antonio se lève et vient s'installer entre mes cuisses ouvertes. Je retiens ma respiration. Il caresse mes
couilles doucement et approche sa bouche doucement de mon gland rougi par l'excitation. Ses lèvres épaisses et humides me happent doucement. La sensation est tellement magique et nouvelle que je
manque jouir en une seconde et demie! Heureusement, j'arrive à me retenir et à me contrôler. Je m'aperçois que j'en oubliais de respirer. Je me concentre alors sur le bonheur qu'il me donne. Ce
n'est qu'un échantillon de pipe car, Willy, chronométreur inflexible, annonce vite que la minute est écoulée, mais elle me dope et me donne encore plus envie de poursuivre le jeu.
Le coup suivant est, enfin, perdu par Willy. Nous sommes maintenant nus tous les quatre. La queue de Willy est
la plus petite mais peut-être la plus dure de toutes. On a l'impression qu'il a une lance entre les jambes, prête à pourfendre quiconque se mettrait en travers de son chemin!
À partir de maintenant, tout coup joué aura une incidence sexuelle. C'est Arnaud qui perd le suivant et c'est
encore moi qui le gagne. Comme je sens qu'il ne faut pas en rajouter avec lui, je me contente de lui demander un baiser sur chacun des glands. Il s'y colle avec difficulté, mais il s'exécute sans
rien dire.
Malheureusement, il a encore la plus faible annonce au coup suivant et Willy, impitoyable, lui demande une
minute de pipe à chaque joueur. Cette fois, c'est le clash. Arnaud s'approche d'Antonio, s'agenouille, penche la tête et puis le lève en hurlant:
— Je ne peux pas, c'est dégueulasse. J'abandonne!
Et il part dans sa chambre en claquant la porte.
Ce coup d'éclat casse l'ambiance et je débande sans m'en rendre compte. Mes deux autres copains, eux, semblent
plus excités qu'ennuyés. Willy s'approche de moi, toujours fièrement bandé, il m'embrasse doucement les lèvres en redonnant doucement de la vigueur à mon sexe grâce à l'agilité de sa main
droite.
— Allez , dit-il, au diable les cartes. Viens, on va s'amuser tous les trois.
Mon envie est trop forte et j'en oublie Arnaud. Je me lève et suis Willy et Antonio vers la chambre d'amis.
Antonio me pousse à m'allonger sur le lit.
3.— Viens, petit puceau, on va te faire découvrir la vie!
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Je m'installe sur le dos au milieu du lit et je les regarde faire, subjugué. Leurs bouches courent le long de
mon corps et leurs mains me caressent en même temps. Ces salauds jouent avec mes nerfs et me touchent partout sauf là où je voudrais tant qu'ils aillent. Ils sucent en même temps mes deux gros
orteils tout en caressant mes jambes. Ça me fait un effet terrible, mais je n'en peux plus. Par pitié, sucez-moi, branlez-moi, occupez-vous de ma queue, de mes couilles, de mon cul!
Les deux bourreaux sont inflexibles et ils continuent leur sarabande de baisers et de caresses. À un moment,
j'arrive à attraper la queue d'Antonio que je commence à branler doucement. Mais, d'une tape ferme, il me fait lâcher.
— Plus tard, pour le moment, laisse-toi faire!
J'obéis et je m'abandonne sans plus lutter à leur jeu infernal. C'est tellement bon que ça en devient presque
douloureux. Ils savent jouer avec mon excitation qu'ils font monter et descendre au rythme de leur fantaisie. Enfin, leurs bouches se rapprochent de mon Graal. Antonio, comme tout à l'heure,
reprend possession de ma bite et promène sa bouche le long de la hampe. Willy, lui, s'occupe de mes couilles et de mon cul. Sa langue s'attarde sur la rosette et je sens un de ses doigts qui me
pénètre. C'est la première fois qu'un truc pareil m'arrive. Je suis submergé par une vague de sentiments: la surprise, la honte, la douleur et, puis, surtout, le plaisir.
Je ne sais plus où je suis. Bientôt, je sens une vague monter de mon ventre, plus puissante que ce que j'avais
jamais connu dans mes masturbations solitaires. Ma queue s'agite, tremble et puis explose dans la bouche d'Antonio, qui avale goulûment.
— Ah, dit-il, du jus de puceau, 100% sain. Qu'est-ce que c'est bon!
— Salaud, dit Willy, tu aurais pu m'en laisser!
Et il se jette sur la bouche d'Antonio pour échanger un long baiser et partager un peu ma semence. Je reprends
doucement mes esprits, redescendant lentement des sommets où ils m'avaient expédié. Je m'aperçois qu'ils ont commencé à se sucer mutuellement.
— Eh, je dis, arrêtez ça. C'est mon tour maintenant, je veux vous sucer moi aussi!
Antonio m'offre sa bite. Je me penche et profite du spectacle avant de commencer. Son gland est presque noir
tant il est foncé. Ma langue se tend, hésitante, et commence à explorer ce territoire inconnu. Je découvre avec bonheur le goût salé des gouttes d'excitation qui perlent au sommet. Je m'enivre de
l'odeur d'homme et de sexe qui s'échappe de ses poils. Et puis, je commence à le sucer. Mes lèvres se sont emparées de ce manche dur aux veines saillantes et font de lents allers et retours
humides tout le long du chemin. Je descends jusqu'à ses couilles et ma langue se plait à parcourir la surface rugueuse de ses deux sacs qui semblent si bien remplis. Enhardi par l'expérience que
je viens de vivre, je descends donner rapidement quelques coups de langue sur sa rosette qui s'ouvre immédiatement, montrant que je ne suis pas le premier à m'aventurer dans ce
coin!
Mais j'ai encore trop à découvrir avec sa queue et je remonte vers elle, la bouche gourmande et avide d'avaler à
nouveau ce bel engin. Mes lèvres entourent à nouveau son gland pendant que ma langue joue avec, tournant et virevoltant autour comme un torero jouant avec un taureau.
Willy a d'abord regardé ça sans rien faire puis est sorti un instant au salon. Il est revenu et commence à me
caresser le dos pendant que je suce Antonio.
— J'ai été chercher du gel et des capotes. Les découvertes ne sont pas finies, me dit-il
doucement.
Je continue à m'activer sur la bite d'Antonio et je me sens fouillé par le doigt de Willy. Il l'a enduit de
lubrifiant et il fait tourner son index dans mon trou, comme pour l'élargir. Bientôt son majeur rejoint son index et j'ai l'impression de m'ouvrir devant l'invasion. Ça devient insoutenable, j'en
veux davantage. J'abandonne un instant la queue d'Antonio et je l'encourage:
— Vas-y, je suis prêt.
Je l'aperçois enfiler le préservatif sur sa queue et puis je sens quelque chose de dur à l'entrée de mon
cul. C'est moi qui pousse un peu en arrière et, au même instant, il donne un coup en avant. Je ne m'attendais pas à ça. La douleur est d'abord vive et je m'arrête de sucer Antonio. Il
me caresse doucement la tête et Willy interrompt son intrusion pour me laisser le temps de m'habituer. Je me décontracte du mieux que je peux et, au bout d'un moment, c'est moi qui donne le
signal en recommençant à sucer Antonio et en donnant un vigoureux coup de cul en arrière. Willy s'enfonce jusqu'au bout et commence à me limer doucement.
En même temps; je sens des signes d'agitation dans ma bouche, le gland d'Antonio se met à trembler, je me retire
et branle sa queue vigoureusement. Il explose en plusieurs jets puissants qui s'écrasent sur sa poitrine et même sur son menton. Je m'abats sur sa poitrine, maculant mes joues de son foutre. Je
ne suis plus qu'un cul, pistonné par les coups incessants de Willy. Je me doutais bien que sa queue était une lance. Il me bourre sans relâche et cette première enculade me donne l'impression de
durer une éternité. Je vibre comme une corde de harpe. Antonio me caresse le dos alors que Willy me donne de temps en temps des claques vigoureuses sur les fesses qui accentuent encore les
vibrations.
Ma queue a rebandé et je la sens coincée entre les jambes d'Antonio. Willy accélère et, poussant un grand cri,
il s'écroule sur mon dos, le corps agité de soubresauts. Après quelques instants je ressens comme un grand vide, quand je le sens sortir de moi. Je n'ai pas éjaculé à nouveau, mais le bonheur que
j'ai ressenti est comme une jouissance, comme une sensation nouvelle à explorer.
Après être monté si haut, je ressens un besoin de solitude pour redescendre sur terre. Je laisse mes deux
étalons et je vais prendre une longue douche chaude qui me délasse et me calme.
Quand je ressors de la salle de bains, je vois en passant devant la chambre d'amis que Willy et Antonio ont
remis le couvert. Je les laisse tous seuls.
4.Et que devient Arnaud ?
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J'ai envie de retrouver Arnaud et de discuter avec lui de cette soirée étonnante.
Je pousse doucement sa porte. Il est à plat ventre sur son lit, aussi nu que tout à l'heure. Il a la tête
tournée vers le mur. Je vois bien qu'il fait semblant de dormir et je découvre aussi de longues traces sur ses joues qui montrent sans équivoque qu'il a pleuré.
Je m'agenouille près de son lit et je l'appelle à voix basse. Il ne réagit pas. Je caresse son dos doucement et
je lui parle:
— Arnaud, ne sois pas triste. Pourquoi n'as-tu pas écouté ton corps? Ta queue te demandait de jouer avec nous et
tu lui as refusé ce bonheur! Pourquoi? De quoi as-tu peur? Je suis ton ami et ce n'est pas parce que je te trouve magnifique que je serai anormal! Ce n'est pas parce que tu me rendras mes
caresses que tu seras anormal toi aussi!
Il tourne enfin sa tête et je vois à nouveau ses larmes couler doucement.
— J'avais tellement honte! J'avais envie de baiser avec vous, mais je me suis dit que si je faisais ça, plus
jamais je n'oserai approcher une fille, que je ne serai qu'un sale pédé.
— Tu es bête, je réponds en souriant et, avant qu'il ait le temps de réagir, je pose un baiser rapide sur ses
lèvres mouillées de larmes. Moi, avant ce soir, j'étais un puceau timide. Je te jure qu'après ce soir, je vais oser approcher Anne et je te parie que je coucherai avec elle avant de partir en
France! En plus, grâce à Willy et Antonio, j'ai découvert qu'on pouvait aussi bien coucher avec des nanas qu'avec des mecs. Regarde ces types, tu sais bien le nombre de filles qu'ils s'envoient.
Si tu savais le plaisir qu'ils ont eu à me sucer et à m'enculer!
— Comment, ils t'ont enculé et, tu n'as pas eu mal? Tu n'as pas eu honte?
— Au début, un peu et puis, ça a été si bon que j'ai oublié tout le reste. Ce sont des sacrés
professeurs!
Tout en parlant, je continue à caresser son dos, ses cheveux et son visage. Je sens qu'il se décontracte peu à
peu. Je sens un sentiment bizarre. J'adore Arnaud, mais, dans notre duo, ça a toujours été lui le meneur et moi le suiveur. Sans qu'il me dirige vraiment, le fait qu'il soit plus grand, plus
sportif, meilleur élève, lui donnait une prééminence tacite sur moi et, en cas de discussion, c'est toujours son avis qui l'emportait.
Ce soir, pour la première fois, je sens que c'est moi qui mène le jeu. Je continue à parler:
— Tu sais, tu nous as manqué. Un quatuor, ça offre plus de combinaisons qu'un trio! Si tu étais resté, tu aurais
vu qu'on n'était pas de «sales pédés», comme tu dis, mais des jeunes mecs qui s'envoyaient en l'air avec bonheur!
Je continue à lui caresser le dos mais cette fois, ma main descend plus bas et se promène doucement sur ses
fesses. Mon doigt tente même de s'immiscer dans sa raie.
— Non, dit-il, pas là.
Il se retourne, se met sur le dos et sa queue dure et brandie me montre que mon discours a été entendu. Ma
bouche se penche et cette fois elle reste collée à la sienne. Nos langues se rencontrent et jouent ensemble. Je mesure à quel point mes sentiments pour Arnaud ne sont pas les mêmes que ceux que
j'ai pour Willy et Antonio. Eux ce sont des super copains, mais avec Arnaud c'est plus intense. J'ai envie que ce baiser ne s'arrête pas. C'est Arnaud qui l'interrompt le premier:
— J'ai envie de te sucer, murmure-t-il, comme s'il n'arrivait pas à le dire plus fort.
Je m'allonge et je le laisse venir au-dessus de moi. Je vois sa queue se balancer au-dessus de ma bouche mais je
n'y touche pas. Je veux qu'il commence. Il ose enfin et sa langue caresse mon gland, puis, d'un seul coup, sa bouche me happe, avale ma queue entièrement. Je sens mon gland cogner contre sa gorge
et je me demande comment il fait pour avaler tout ça. Bientôt c'est trop bon pour que je puisse continuer à me poser des questions. Je le laisse faire sans plus réfléchir. Il me suce avec ardeur
et je sens qu'il découvre à quel point c'est bon et qu'il se débarrasse de ses préjugés!
Je décide à mon tour de m'occuper de sa bite si belle qui m'avait tant impressionné tout à l'heure. Je goûte
d'abord son gland, que j'humecte de salive avant de faire danser ma langue dessus. Son cul qui frémit me montre qu'il apprécie. Je commence à le sucer doucement, mais il a pris de l'avance et je
sens la jouissance qui monte. Je le préviens que je vais bientôt exploser. Il s'interrompt et achève de me faire jouir en quelques coups de main.
Il n'a plus l'air triste du tout maintenant. Il se retourne vers moi avec les lieux brillants
d'excitation:
— S'il te plait, offre-moi ton cul. J'ai envie de toi.
Je me prépare à me faire enculer pour la deuxième fois de la soirée. Le petit puceau prend de l'expérience! J'ai
trop aimé tout à l'heure pour lui refuser ça maintenant. Je me tourne et lui offre mon cul en attendant avec impatience de me faire investir à nouveau.
En baiseur confirmé, Arnaud attrape une capote dans sa table de nuit, s'habille avec et se présente à l'entrée
de mes fesses ouvertes pour lui. Sa queue est plus trapue que celle de Willy et la première pénétration m'arrache un cri. Il s'arrête, se couche sur mon dos, m'embrasse et me lèche l'oreille, ce
qui me fait gémir de plaisir. Du coup, il en profite pour s'enfoncer jusqu'au fond de mon cul. Je sens ses couilles caresser les miennes et ce contact m'électrise encore davantage. Il me baise
avec douceur et amplitude. J'ai l'impression que sa queue fait des kilomètres tant il me semble qu'il met longtemps à se mouvoir d'arrière en avant. Les coups de boutoir qu'il donne dans ma
prostate me font perdre la tête. J'ai envie que ça ne s'arrête jamais. Son dos est collé contre le mien et sa main branle ma queue au même rythme lent qu'il me défonce le cul. C'en est
intolérable tellement c'est bon. Nous haletons tous les deux de plus en plus intensément. Il pousse un cri et jouit avec force. Il sort immédiatement de mon cul et me prend dans ses bras avec une
force et une intensité qui m'étranglent de bonheur tant je sens que nous avons atteint un sommet ensemble.
Nous nous reposons un peu en nous embrassant et nous caressant avec douceur. Au bout d'un moment, je me dresse,
appuyé sur un coude, et je lui souris:
— C'est à moi maintenant. J'ai envie de baiser moi aussi.
Il se rembrunit:
— Non, s'il te plait. Ne me demande pas ça. Je ne me sens pas capable. Je sais que c'est dégueulasse parce que
toi tu me l'as offert mais je ne suis pas prêt. J'ai l'impression que je ne serais plus un homme!
Je suis déçu, mais je sens qu'il ne faut pas insister. Je l'embrasse doucement:
— T'inquiète pas. Ce sera pour une autre fois. Et puis, le jour va se lever. Ça aura été une sacrée nuit! Viens,
on va voir ce que font les deux autres baiseurs et on va tous aller plonger dans la piscine!...
5.Nous restons tous les deux rêveurs à l'évocation de ces souvenirs
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— Et depuis Claire, tu as abandonné les mecs?
— Non, elle est formidable pour ça. Elle a toujours su que j'étais bisexuel et elle l'a admis. Du
coup, une ou deux fois par an, je me débrouille pour m'envoyer en l'air avec un type. Même si elle s'en doute peut-être elle n'en sait rien( et ne cherche pas à
savoir!)
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Nous restons tous les deux rêveurs à l'évocation de ces souvenirs. Bien sûr que nous n'avions oublié ni l'un ni
l'autre. Cette nuit avait été si marquante et, pour moi en tout cas, si déterminante pour la suite...
— Au fait, dit Arnaud, et la belle Anne, tu as fini par la sauter?
— Je te l'avais promise cette nuit-là! Tu te souviens, deux jours après, nous sommes allés t'accompagner à
l'aéroport puisque c'était toi qui partais le premier en France. L'après-midi, elle a été la première fille que j'ai mise dans mon lit. On a passé mes trois dernières journées à Tahiti à baiser
comme des fous et puis, comme avec toi, je suis parti en France et je ne l'ai plus jamais revue!
— Et après, tu n'as connu que des filles où tu es resté fidèle à tes premières expériences et tu as goûté aux
deux?
— C'était trop bon dans les deux cas. J'ai papillonné entre filles et mecs. Et puis, mon diplôme en poche, je
suis revenu à Tahiti. Et un jour, j'ai rencontré Claire au bureau. J'ai tout de suite su que ce serait elle qui serait la bonne. J'ai mis du temps, beaucoup de temps, à la draguer en douceur.
Puis un jour, elle a fini dans mon lit, deux ans après on s'est marié, encore deux ans et on arrive à ce soir avec la naissance de Noël.
— Et depuis Claire, tu as abandonné les mecs?
— Non, elle est formidable pour ça. Elle a toujours su que j'étais bisexuel et elle l'a admis. Du coup, une ou
deux fois par an, je me débrouille pour m'envoyer en l'air avec un type. Elle n'en sait rien même si elle s'en doute peut-être. Ça aide à mon équilibre et, après, je lui fais encore mieux
l'amour, avec encore plus d'intensité! Et toi, tu me fais parler mais tu ne dis rien. Tu es resté 100% hétéro ou tu as goûté à nouveau aux plaisirs entre mecs?
— Tu sais, j'ai eu un peu de mal à me remettre de cette soirée. J'ai gambergé comme un fou. La première fois que
j'ai redragué une fille, j'ai eu la trouille de ma vie. J'avais peur de ne pas y arriver. Et puis, ça s'est passé comme d'habitude. Alors, j'ai retrouvé ma confiance et du coup, j'ai fait comme
toi, je suis allé de l'un à l'autre. Et un jour, à Boston, j'ai rencontré Maeva. Une tahitienne, étudiante à Boston. J'ai flashé comme un fou. On s'est plu et puis voilà. C'est ce qui t'explique
que je sois revenu ici.
— Et avec les mecs, tu as fini par accepter de te faire enculer?
— Non. J'ai toujours eu un blocage et je n'ai jamais vraiment couché avec un type qui me donne envie d'essayer.
J'étais catalogué comme actif 100%. Point barre.
— Et depuis Maeva?
— Plus rien non plus. Elle suffit à mon bonheur et il est grand!
Je souris. On a tant bu et parlé que le jour est déjà presque sur le point de se lever. Je propose à Arnaud de
piquer une tête dans la piscine pour effacer les traces de notre nuit blanche.
— Pourquoi pas. Tu me prêtes un maillot?
— Tu sais, avec les barrières autour du jardin, personne ne peut nous voir. Ici, je me baigne toujours à
poil.
Il n'a plus la pudeur du jeune bachelier qu'il était et il a vite fait de se déshabiller. Sa bite au repos
m'apparaît aussi belle que celle dont j'avais gardé le souvenir. J'ai vite fait de me retrouver nu moi aussi et il a un sifflement d'admiration:
— Dis donc. Tu n'es plus le même, tu as pris du volume!
— Natation, muscu, vélo. Je ne suis plus un gringalet, Monsieur!
La plongée dans l'eau tiède me fait un bien fou et me nettoie de l'intensité de l'avalanche d'émotions
encaissées depuis hier: les douleurs de Claire pendant l'accouchement, la naissance de Noël, les retrouvailles avec Arnaud, la remontée de tous ces souvenirs... Je vois Arnaud à plat ventre sur
les escaliers de la piscine.
Je m'approche doucement, et, comme il y a douze ans, ma main retrouve instinctivement le chemin de son dos et je
commence à le caresser. Il ne dit rien, mais je prends son immobilité pour une acceptation et je continue. Je l'embrasse doucement dans le cou. Il tourne la tête et me rend mon baiser avec un
mélange de tendresse et de sensualité qui achève de m'exciter au plus haut point. Un simple coup d'œil me montre qu'il est dans le même état que moi. Ça m'enlève la vague inquiétude qui m'avait
saisi quand j'ai commencé à le caresser. Je m'abandonne au plaisir de ces retrouvailles si inattendues. Notre baiser devient intense et on sent que nous avons envie l'un et l'autre qu'il dure
longtemps.
Nos bouches finissent par se décoller. Il reste sur les escaliers, je descends de deux marches pour que ma
bouche soit à la hauteur de sa queue. Je retrouve sa tige si belle, plus grosse qu'il y a douze ans, et je la happe avidement. Je commence à le sucer lentement en sentant les premiers rayons du
soleil venir me chatouiller les yeux. Ma main caresse ses couilles et s'insinue doucement, par petites touches, vers sa porte jusque-là inviolée. Il se laisse faire, et me caresse la tête
doucement comme pour mieux rythmer mes gestes.
Je suis bien, concentré sur ma succion, attentif à essayer de lui procurer du plaisir. Il se met à
parler:
— C'est si bon, Nico. Tu sais, je suis tellement bien là avec toi. Je crois que je me sens prêt. Tu vas être le
premier. Je veux que tu me prennes. J'ai envie de toi.
Je me suis arrêté de le sucer. Je lève la tête:
— Tu es sûr de toi?
Il hoche la tête et je l'entraîne hors de la piscine. Nous entrons dans la chambre, je note à peine que nous
sommes trempés en nous couchant sur le lit. Il se met à plat ventre et je commence à lécher avec amour sa jolie rosette. J'attrape un tube de gel en enduit son joli trou. Il se laisse faire,
immobile, comme en prière.
Comme lui, douze ans plus tôt, j'attrape une capote dans le tiroir de la table de nuit et je l'enfile sur ma
queue tendue à me faire mal. Je suis submergé par un mélange d'excitation et d'émotion. Je sens que je ne vais pas baiser Arnaud. Non, c'est mieux que ça, je ne vais pas lui faire l'amour, non,
je vais lui faire l'amitié. Je sens en cet instant à quel point il m'a manqué et combien nos routes séparées avaient constitué un vide en moi.
Je pousse mon gland avec douceur et son cul s'entrouvre. Je le sens qui se crispe. Je m'arrête, mais c'est lui
qui d'un mouvement de recul me donne le signal du redémarrage. Je m'enfonce intensément dans son cul qui serre ma bite avec force. Je suis si bien comme ça que je m'arrête un long
moment.
Encore une fois, il me redonne le feu vert:
— Défonce-moi. J'ai trop envie maintenant.
Alors l'excitation l'emporte sur l'émotion et je me concentre sur ma queue. J'ai l'impression de ne plus exister
que par elle. Je le pilonne de plus en plus fort, j'en oublie même de le branler. J'ai l'impression de combler un trou de douze ans en baisant ce cul si beau qu'il m'avait refusé par une belle
nuit comme aujourd'hui. La jouissance qui m'emporte est énorme, violente et me laisse haletant. Comme il l'avait fait, je me dégage de son cul, et je le serre dans mes bras avec
force:
— Cette fois, on se perd plus hein. Il faut que mon fils et ta fille grandissent ensemble!
— C'est promis, on va rattraper les douze ans perdus. Mais fais gaffe, si, dans quelques années, ton fils
s'approche trop de ma fille, je le cogne!
FIN