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Objet : CAMPING
Je vois bien quelques escorts parmi ces beaux jeunes...
Merci Fabien. Merci pour tout.
Aragon Ferrat revus :
Que serais-je sans toi qui vins à ma rencontre
Que serais-je sans toi qui vins à ma rencontre
Qui parle de bonheur a souvent les yeux tristes
Que serais-je sans toi qui vins à ma rencontre
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Un peu de jeunesse
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Mon Fabien chéri Re : Cette impudeur qui désormais nous caractérise, et qui, sortis de ce blog et de ce milieu-ci serait très mal tolérée, nous l'assumons fièrement. Merci à tous les silencieux qui nous lisent (726 hier) et ne disent pas un mot pour nous désapprouver. A 10 ans, en internat de lycée climatique, j'étais devenu le "giton" d'un 12 ans prodigieusement en avance sur son âge. Pierre. Cette histoire est folle. Je ne sais si elle a , a eu, aura sa pareille avec d'autres acteurs ??? Inconscients des risques de bannissement nous nous aimions la nuit, nous nous tenions la main le jour. Vertige et insolence de l'amour. Tu me les fais retrouver. C'est cela que je recommence avec toi, Fabien. Nous nous sommes créé notre Arcadie. Merci d'être ce que tu es. claudio
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Aragon Ferrat revus :
Que serais-je sans toi qui vins à ma rencontre
Que serais-je sans toi qui vins à ma rencontre
Qui parle de bonheur a souvent les yeux tristes
Que serais-je sans toi qui vins à ma rencontre
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Re: LA PHOTO CI-DESSOUS ME RAPPELLE LE POSTQUE JE SUIS EN TRAIN DE PREPARER SUR LES PRISONS ET LA TERRIBLE SOLITUDE QUI EN EST LA CONSEQUENCE. |
"Pour un flirt avec toi...."
À moins d’une semaine du concours de l’Eurovision qui se tiendra cette année à Copenhague, la candidature de Conchita Wurst continue de susciter la polémique. Plusieurs pays s’insurgent contre la chanteuse qui représente l’Autriche avec la chanson Rise Like A Phoenix, notamment la Russie, peu encline à soutenir une artiste qui se joue des genres.
«PROPAGANDE
FLAGRANTE DE L’HOMOSEXUALITÉ»
C’est notamment Vitali Milonov, l’homme politique russe à
l’origine de la loi criminalisant la «propagande homosexuelle» à Saint-Pétersbourg, qui est monté au créneau contre Conchita Wurst. Après avoir demandé un boycott du concours, il a préféré exiger
le retrait de la candidate autrichienne. Dans une lettre, le député tient des propos
particulièrement violents à son encontre, mais fustige aussi l’Eurovision en elle-même: «Ne serait-ce que diffuser cette compétition en Russie pourrait insulter des millions de Russes. La
participation de Conchita Wurst, qui est indéniablement travestie et hermaphrodite sur la même scène que des chanteuses russes en direct à la télévision est une propagande flagrante de
l’homosexualité et un déclin spirituel.»Des pétitions russes ont par ailleurs recueilli plusieurs milliers de signatures: «Cette compétition internationale et populaire que nos enfants vont regarder est devenue le
berceau de la sodomie à l’initiative des libéraux européens. La Russie est un des seuls pays européens qui cherche à maintenir des valeurs familiales normales et saines basées sur l’amour et le
soutien mutuel entre homme et femme.»
CONCHITA WURST A
RÉPONSE À TOUT
Un candidat a aussi décidé d’ajouter son grain de sel au lynchage médiatique autour de Conchita Wurst, l’arménien Aram MP3, qui a qualifié le mode de vie de la chanteuse de «non naturel» et estimé qu’elle devait
«choisir entre être un homme ou une femme». Avec la chanson Not Alone, Aram MP3 fait déjà partie des
favoris pour remporter la compétition. Mais Conchita Wurst a répondu à son adversaire, avec le calme et la pédagogie qui la caractérisent:
«La barbe est une manière de dire qu’on peut accomplir tout ce qu’on veut, peu importe qui on est et à quoi on ressemble. Si vous avez un problème pour comprendre ça, alors je serai ravie de m’asseoir avec vous et de vous l’expliquer de façon plus détaillée.»
Le chanteur arménien a depuis fait part de ses excuses pour ce qu’il a dit être une mauvaise blague.
Alors que le Danemark se prépare à relever le défi d’accueillir une édition encore plus LGBT-friendly que la précédente (souvenez-vous!), ce climat tendu autour de la candidate autrichienne va-t-il entacher la fête? Réponse à partir de demain où débuteront les festivités à Copenhague, et notamment les mariages de trente couples, dont trois couples homos russes.
Photo Ailura
NOM DE NOM QU'IL EST BELLE CONCHITA HUMMMMMMMH ! (NDLR) |
Avec sa barbe et ses cheveux longs, Conchita Wurst détonne au milieu des candidates habituelles à l’Eurovision. L’artiste autrichienne a résisté aux appels à boycott et aux pétitions demandant son retrait de la compétition. L’organisation du concours a présenté les titres des différent.e.s pays, voici donc la chanson qui représentera l’Autriche:
Si le lecteur ne s’affiche pas, cliquez sur Conchita Wurst – Rise Like A Phoenix (Austria) 2014 Eurovision Song Contest
Et pour la France, ce sera Twin Twin avec Moustache:
Si le lecteur ne s’affiche pas, cliquez sur Twin Twin – Moustache (France) 2014 Eurovision Song Contest
La finale de l’édition 2014 de l’Eurovision se tiendra à Copenhague, au Danemark, le 10 mai. Conchita Wurst participera à la deuxième demi-finale, le 8 mai, Twin Twin ira directement en finale puisque représentant la France.
Photo ORF/Thomas Ramstorfer
Cocteau et Sartre encensent ce mauvais garçon de la scène littéraire française et le considèrent comme le génie de leur temps.
Cocteau le sauve de la prison à perpétuité (à la troisième condamnation, quel que soit le motif de cette condamnation, le criminel risquait la relégation au bagne, à perpétuité) et Sartre écrit une œuvre sur lui (Saint Genet, comédien et martyr), ...
LE SUCCES DESSERT L'ECRIVAIN JEAN GENET
...en faisant l'« exemplum » de sa philosophie existentialiste. Ce livre déprimera profondément Genet et l'empêchera d'écrire, selon ses propres dires[8], pendant près de dix ans tant sa « mécanique cérébrale y était décortiquée » (Genet faisant ici allusion à la théorie des « tourniquets » développée par Sartre à son sujet).
Genet, au faîte de sa gloire parisienne, fréquente Sartre, Simone de Beauvoir, Alberto Giacometti, Henri Matisse, Brassaï. Il entame une carrière de dramaturge ; précédées par sa réputation et son odeur de scandale, ses pièces, montées par les plus grands metteurs en scène, sont des succès. Ainsi, Roger Blin monte Les Nègres puis Les Paravents qui jouée au début des années 1960, prend violemment position contre le colonialisme français et prend fait et cause pour les indépendances, alors même que la France est en pleine guerre d'Algérie.
Le propos de Genet se fait de plus en plus engagé. Il élève la voix contre la tyrannie blanche, la domination occidentale, l'état déplorable dans lequel la France abandonne ses anciennes colonies. Il se lance dans la rédaction d'un journal intitulé Le Captif amoureux, publié en 1986, quelques mois après sa mort.
Dans le même temps, le suicide de son compagnon, Abdallah Bentaga (qui lui a notamment inspiré le poème Le Funambule), ainsi que sa toxicomanie aux barbituriques, mettent à mal son mode de vie d'errance. Genet, jusqu'à la fin, vit dans des chambres d'hôtel sordides, souvent près des gares, ne voyageant qu'avec une petite valise remplie de lettres de ses amis et de manuscrits.
Le 15 avril 1986, seul et rongé par un cancer de la gorge, l'écrivain fait une mauvaise chute la nuit dans la chambre 205 du Jack's Hôtel au no 19 de l'avenue Stéphen-Pichon à Paris et meurt[9].
Il est enseveli au vieux cimetière espagnol de Larache au Maroc.
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>Son oeuvre surprend encore.Il y fait l'apologie d'un criminel (Arcamone)
On a puni des femmes pour avoir couché avec des soldats allemends...le voici pendant la guerre qui baise avec des fritz : " l'instant de
la jouissance, tourbillon plus enivrant quelquefois que la jouissance elle-même, la plus belle image érotique, la plus grave, celle vers quoi tout tendait, préparée par une sorte de fête
intérieure, m'était offerte par un beau soldat allemand en costume noir de tankiste[5].
"
Ecrivain no limit il va imaginer un Hitler homo qui se fait enculer par un titi parisien :
" vision homo-érotisée d'Hitler, ainsi qu'un regard trouble sur les rapports qu'entretiennent la violence nazie et l'attirance sexuelle :
vision homo-érotisée d'Hitler, ainsi qu'un regard trouble sur les rapports qu'entretiennent la violence nazie et l'attirance sexuelle :
« Le petit gars de Paris accomplit son travail avec vaillance. D'abord il eut peur de faire du mal au Führer. Le membre était d'acier. De toute cette machine à supplice qu'était Paulo, la verge en était la pièce essentielle. Elle avait la perfection des rouages, des bielles fabriquées avec précision. […] Elle était également sans tendresse, sans douceur, sans le tremblement qui fait souvent frémir délicatement les plus violentes. […] Il fonça jusqu'au fond. Il éprouva une grande joie à sentir le tressaillement de bonheur de Madame. La reconnaissance de la beauté de son travail le rendit fier et plus ardent. Ses bras, par en dessous, près des épaules, s'aggripèrent au bras de l'enculé, et il fonça plus dur, avec plus de fougue. Le Führer râlait doucement. Paulo fut heureux de donner du bonheur à un tel homme. Il pensa : "T'en veux de l'aut' ?" et en fonçant : "Tiens mon chéri." Soulevant encore ses reins, sans sortir du trou : "Du petit Français" et fonçant "Encore un coup... C'est bon, ça te plaît ? Prends-en toujours." Et chaque mouvement de va-et-vient dans l'œil de bronze, s'accompagnait mentalement d'une formule dont le lyrisme était dicté par le bonheur accordé. A peine eut-il une fois un léger ricanement, vite effacé, quand il pensa "Cui-là, c'est la France qui te le met." Hitler une main sur sa queue et ses parties mutilées, sentait cette ardeur s'exalter, encore que chaque coup de bite arrachât un râle de bonheur[2]. »
Dans Pompes funèbres (1947), Genet écrit :
« Les joyeux (des camps disciplinaires de la Légion) l'appellent encore "œil de bronze" ce que l'on nomme aussi "la pastille", "la rondelle", "l'oignon", "le derch", "le derjeau", "la lune", "son panier à crottes". […] La vénération que je porte à cet endroit du corps et l'immense tendresse que j'ai accordée aux enfants qui me permirent d'y pénétrer, la grâce et la gentillesse du don de ces gosses, m'obligent de parler de tout cela avec respect. Ce n'est pas profaner le mort le mieux aimé que dire […] le bonheur qu'il m'offrit quand mon visage était enfoui dans une toison que ma sueur et ma salive rendaient moites, se collant en de petites mèches qui séchaient après l'amour et restaient rigides
[…]. J'aimai la violence de sa queue, son frémissement, sa taille, les boucles de ses poils, la nuque, les yeux de ce môme et le trésor unique et ténébreux, "l'œil de bronze" qu'il ne m'accorda que très tard, un mois avant sa mort environ[1]. »Tout ça il l'a appris et commencé à le vivre en maison de correction qui fut pour lui l'antichambre de la prison...une prison qui semble bien désirée en raison des amants qu'elle lui procure)
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