RECITS REELS INITIATION
COMMENTAIRE DE PENGRY EN BAS DE PAGE
Avec Pengry La tendresse domine...mais chut ! le silence est exigé par le compagnon de sa
mère...
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Ma mère m'a donné naissance lorsqu'elle n'avait que 19 ans. Mon père l'a ensuite quittée lorsque j'avais 4 ans, et est parti aux États-Unis et je ne
l'ai jamais revu. Je n'ai même plus jamais eu de nouvelles de lui à ce jour. Lorsque j'ai eu 10 ans, ma mère s'est remise avec un autre homme, Thierry, 5 ans plus jeune qu'elle.
L'histoire se passe lorsque j'avais 16 ans, ma mère 34 et mon nouveau beau-père, 29 ans.
Je me suis tout de suite très bien entendu avec lui, il occupait la place de mon père laissée vacante très (trop) tôt dans mon enfance. Thierry
était très affectueux avec moi. Je savais aussi qu'il satisfaisait entièrement ma mère du point de vue sexuel. Il n'était pas rare que je me réveille la nuit et que j'entende des bruits dont
l'origine ne laisse aucun doute dans la chambre voisine.
Je les avais même déjà surpris lorsque je rentrais plus tôt que prévu après l'école, à faire l'amour sur la table du salon ou même, un soir, dans la
salle de bain. Comme ils ne m'avaient pas entendu (sans doute trop occupés dans leur affaire), je ne me suis pas fait remarquer et les ai observés.
Les voir faire l'amour comme ça, si près de moi, m'excita fortement, et je suis allé dans ma chambre pour me branler, décharger mon trop plein de
libido et calmer mon excitation. Ces images sont longtemps restées dans ma tête et ont alimenté mes phantasmes.
Au bout d'un moment, je me suis rendu compte que ce qui m'excitait le plus, c'était la bite de Thierry. L'imaginer donner du plaisir à ma mère
m'excitait au plus haut point. Cette bite était si belle, si puissante. À un tel point que cela devint une obsession pour moi: il fallait que je la voie encore. Et je l'ai revue: d'abord en
regardant par le trou de la serrure de la salle de bain, puis par celle de la porte de leur chambre. À chaque fois, je la trouvais énorme par rapport à la mienne.
Un lundi matin, ma mère était partie travailler, je me suis levé et je suis descendu dans la cuisine afin de manger mes céréales. À peine assis,
Thierry est arrivé et quelle ne fut pas ma surprise de voir son boxer gonflé par une énorme érection. Il est venu me dire bonjour et s'est servi des céréales à moins 1m de moi. Ma tête était au
niveau de son vit bandé. J'ai rougi de voir cette bite à travers le tissu. De si près, elle me paraissait encore plus énorme. Thierry remarqua que je fixais son short et me lança:
— Et oui, ça m'arrive souvent le matin. Mais tu dois aussi avoir l'habitude! Et puis, entre hommes, y'a pas à avoir honte!
Je n'ai rien dit et j'ai mangé mes céréales.
À partir de ce jour, Thierry se promenait de plus en plus souvent torse nu et en boxer, à mon plus grand plaisir. J'adorais le mater et je pense
qu'il prenait aussi du plaisir à s'exhiber.
Un soir, ma mère et Thierry m'annoncèrent que j'allais devenir grand frère. Ma mère était enceinte. J'étais très heureux à cette idée et on a fêté
ça. Thierry et moi avons donc bu une bouteille de vin, puis une deuxième et je me suis endormi dans le divan.
Le lendemain, je me suis réveillé dans mon lit en pyjama. J'ai appris plus tard que c'était Thierry qui m'avait mis au lit, m'avait déshabillé et
revêtu de mon pyjama. Cette perspective m'a beaucoup excité et a été source de pas mal de branlettes: j'imaginais ce qu'aurait pu être la situation si je m'étais réveillé au moment où il m'avait
déshabillé...
Un mois plus tard, alors que j'étais sous la douche, Thierry est entré et m'a demandé s'il pouvait se raser pendant que je terminais car il était à
la bourre et risquait d'être en retard. Je n'ai pas pu refuser et il s'est mis torse nu pour se raser. Le savoir à côté de moi m'a provoqué une énorme érection. Lorsque j'ai dû sortir, elle était
encore bien présente et difficilement dissimulable. J'étais ennuyé car mon essuie était à l'autre bout de la salle de bain. Thierry a dû s'en rendre compte car il m'a demandé:
— Tu veux que je te passe ton essuie?
— Ho oui, merci!
Il me l'a donné en jetant un coup d'oeil sur mon bas-ventre, j'ai immédiatement rougi!
— Waw, bien membré, Seb!
— Heu. merci! Tu trouves?
— Évidemment, surtout à ton âge! Elle mesure combien? 15 cm?
— Oui, plus ou moins.
Je suis sorti, moins gêné, et me suis essuyé devant lui. Thierry s'est retourné, m'a regardé et m'a adressé un grand sourire. Il a ensuite retiré
son boxer et j'ai pu voir l'objet de tout mes phantasmes. Il s'est gratté les couilles et est rentré, toujours en me regardant, dans la douche.
À peine sorti, j'ai foncé dans ma chambre et me suis branlé. J'ai joui rapidement et abondamment en pensant à ce qui venait de se passer.
L'épisode s'est reproduit plusieurs fois par la suite. À chaque fois, Thierry et moi, on se retrouvait à poil dans la salle de bain. J'ai vu sa bite
bandée, un matin. Il m'a appris qu'elle faisait 24 cm en érection. Ce petit jeu devenait une habitude pour moi, chaque matin et j'attendais ce moment avec impatience. Le weekend, cela n'était pas
possible car ma mère ne travaillait pas.
Puis les vacances sont arrivées. Comme Thierry est prof, il avait congé et restait avec moi. Ma mère a pris aussi deux semaines de congé et a
profité de sa seconde semaine pour aller voir sa soeur près de Deauville. Elle est partie seule et nous a laissé à deux dans la maison.
Le premier soir, nous sommes allés au cinéma. En rentrant, Thierry m'a proposé de boire un verre. On a bu deux ou trois bières puis il m'a proposé
de bières spéciales venant de Belgique. Je n'avais jamais goûté ça et on en a dégusté une première. Comme il faisait chaud, Thierry s'est mis à l'aise, torse nu, en boxer. Je l'ai imité un
instant plus tard. À une différence près, c'est que lorsque j'ai retiré mon jeans, je bandais comme un âne. Ça n'a pas échappé à Thierry qui m'a taquiné:
— C'est moi qui te fais cet effet là?
J'ai rougi et je n'ai rien dit. Thierry s'est mis aussi à bander et là c'est moi qui lui ai renvoyé:
— On dirait que je ne te laisse pas indifférent non plus.
L'alcool m'avait aussi désinhibé!
— Que veux-tu, je n'ai plus baisé depuis 3 mois. Depuis que ta mère est enceinte!
— Oh, je comprends.
Là dessus, il a retiré son boxer et sa queue est sortie, à la verticale. Il a commencé un petit va-et-vient sur sa queue en me regardant.
— Ça fait tellement longtemps, je peux plus. Et toi, à ton âge, on doit avoir envie de se branler environ toutes les 3-4 heures?
— Ça dépend des jours.
— Allez, une petite branlette entre mecs n'a jamais fait de tort à personne.
Là, je ne me suis pas reconnu car j'ai lancé, tout de go:
— OK!
Re : Un désir d'ado qui tarde à dire son nom... et, jaloux (?), piquer l'amant de sa maman ça le
tente... Il n'a que 16 ans...ça tourne à l'inceste...doublé de p......ie.
Il y a probablement de jeunes curieux encore vierges sui lisent cette page et sont tentés par
l'aventure. Le choix du narrateur me semble judicieux, si ce n'est pas que la pulsion de ses fibres homo, en effet, la plupart des expériences entre débutants sont décevantes et surtout
incomplètes. On ne saurait que conseiller un jeune adulte expérimenté pour vous initier et vus confirmer ou infirmer dans votre choix homosexuel. Un escort ? oui c'est bien aussi. Ici un
jeune prof futur père, idéal comme sex instructor ! NDLR
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J'ai retiré mon boxer et j'ai commencé un va-et-vient sur ma queue tendue.
— Si tu veux, j'ai une cassette qu'on peut regarder en même temps.
Il est parti et est revenu avec une cassette qu'il a mise dans le magnétoscope. À la télé, 2 hommes s'occupaient d'une jeune femme. Il a repris sa
branlette en venant s'asseoir juste à côté de moi. Je ne regardais même plus l'écran mais sa main qui parcourait son énorme queue. Au bout d'un instant, il l'a remarqué.
— Tu veux la toucher?
Encore timide, je n'osais pas.
— Allez, vas-y! T'en meurs d'envie!
J'ai pris sa bite en main et j'ai commencé un mouvement de haut en bas. Thierry commençait à soupirer. Moi, je m'enhardissais. Après quelques
minutes, j'ai avancé ma bouche et ai donné un baiser à son gland où perlait une goutte de jus.
— Allez, vas-y, prends-moi en bouche. Imagine que c'est une grosse glace.
J'ai fait ce qu'il m'a dit et j'ai commencé à le lécher. D'abord par petits coups puis de haut en bas.
— Allez, prends-là en bouche, suce-moi! Aspire-moi!
Sa main est venue dans mon cou et m'a poussé à le prendre en bouche. Là, ça a été une révélation. Je ne me sentais plus! Je le pompais, enfournant
son membre de plus en plus profondément. Sa main rythmait mon mouvement.
— Vas-y, enfourne tout!
— Elle est trop longue!
— Non, vas-y, tu peux le faire!
— Non, elle est trop longue!
— Allez, ma petite pute, enfourne tout et ne discute pas!
Et il m'a poussé la tête. J'ai effectivement enfourné quasi tout l'engin! Je suis remonté puis j'ai recommencé quatre ou cinq fois. Puis, je l'ai
regardé, cherchant son jugement.
— On appelle ça une gorge profonde! T'es doué! On dirait que t'as fait ça toute ta vie!
— Merci !
Il m'a attiré vers lui et s'est penché. Il m'a léché le torse et puis est descendu sur mes tétons. Je n'étais pas habitué et cette sensation excita
tous mes sens. Il m'a couché sur le fauteuil et a pris ma queue en bouche. Il me pompait maintenant rapidement. J'accompagnais ses mouvements de bouche par un mouvement de reins. Ses mains ne
restaient pas inactives: il tenait mes couilles et les massait d'une main et de l'autre, me caressait la raie des fesses.
Il m'a fait relever les jambes et est venu me lécher le petit trou. Quelle sensation! Sa langue s'introduisait dans mon tréfonds. Je me dandinais
tellement c'était bon. Quel plaisir!
— Prêt à devenir un homme?
— Vas-y doucement, c'est ma première fois! J'ai peur d'avoir mal.
— D'accord, je serai doux. Tu me dis si tu as mal et on arrête tout de suite.
— D'accord.
— Suce-moi d'abord un peu pour lubrifier ma queue!
Et il s'est mis en 69. Je le suçais pendant qu'il déposait sa salive sur mon petit trou. Il a d'abord introduit son index. Il est passé facilement.
Thierry commençait à tourner son doigt et mon anus se détendait. Puis il m'a introduit un second doigt. Il a repris ma queue en bouche tout en tournant ses doigts. Un troisième doigt est venu
s'ajouter ensuite.
— Vas-y, prends-moi! J'en peux plus! Prends-moi!
— Tu veux vraiment?
— Oui, vas-y! Dépêche-toi de venir en moi! Depuis que j'attends ça!
— Ça ne m'étonne pas! Vous êtes des pervers dans la famille! Tu vas prendre ma grosse queue dans ton petit cul de pédé!
— Vas-y, prends-moi!
Il a présenté son dard bandé et lubrifié sur mon petit trou et a donné un premier coup de rein. Son gland a commencé à s'enfoncer. Un second coup de
rein l'a fait passer le cap.
— Aïe! Doucement!
Il s'est arrêté et s'est penché pour m'embrasser. C'était une sensation bizarre. C'était la première fois que j'embrassais un homme sur la bouche.
C'était bon. Je me détendais et Thierry en a profité pour donner des petits coups de reins. Il s'enfonçait de plus en plus profondément pendant que sa langue jouait avec la mienne. Une fois bien
au fond. Il s'est arrêté de bouger.
— Serre les fesses, puis détends-toi!
Je me suis exécuté. Thierry a commencé de petits va-et-vient. La gêne de me sentir rempli par un corps étranger se transforma petit à petit en
plaisir. Il augmenta l'amplitude de ses mouvements tant et si bien qu'il sortait complètement sa queue pour ensuite me la réenfoncer profondément.
— Oh oui, c'est bon!
Je n'arrêtais pas de crier, de gémir, bref, de prendre mon pied.
Cela dura bien un quart d'heure où j'étais quasi tout le temps sur le fil de la jouissance puis Thierry me demanda de me mettre à 4 pattes. Il me
pénétra alors sauvagement. Ce traitement me fit jouir au bout de deux minutes mais Thierry continuait!
— Ton cul est vraiment bon! Bien serré! Comme j'aime!
Moi, je rebandais déjà et l'encourageais:
— Allez viens! Prends-moi!
— T'aimes ça, hein?
— Ho oui, ta bite me fait jouir!
Il accéléra encore le rythme et puis s'enfonça profondément et lâcha 4 ou 5 giclées puissantes dans mes entrailles. Cela déclencha en moi un orgasme
jamais atteint qui est parti de mon cul pour me faire éjaculer 3 jets bien épais. Thierry s'effondra sur moi et continua à me caresser.
— Waw! Ça faisait un moment que je n'avais pas connu ça! T'es super Sébastien!
— Merci!
— Et toi, ça t'a plu?
— Génial! C'est bien meilleur que les branlettes!
— Clair ! Si tu veux, on recommence quand ça te dit!
— Ouais?
— Sûr!
— Alors, pendant une semaine, on fait de l'intensif et après, tous les matins quand ma mère est partie au boulot! Ça te va?
— Si j'arrive à suivre.
— Et quand le bébé sera là, on alternera avec ma mère.
— On verra à ce moment là mais il ne faut rien lui dire! Si elle savait ça, elle divorcerait!
— Et moi, je perdrais une baise tous les jours! Niet ! Motus et bouche cousue!
— Ok!
— Au fait, tu t'es déjà fait enculer toi?
— Non.
— Faudra essayer!
— Si c'est toi, ça devrait aller.
Et les jours qui ont suivi sont encore gravés dans ma mémoire pour être quelques-uns de mes meilleurs car je les ai passés avec Thierry. Il avait
pas mal de réserve et je lui ai servi de cul à fourrer pendant le reste de la grossesse de ma mère et encore après.
Jusqu'à ce que je rencontre Vincent. Mais ça, c'est une autre histoire!
Discussion:Comment j'ai couché avec mon beau-père
JIMMY18 octobre à 04:13
Il y a un bon moment que j'ai lu cette histoire, mais je la trouve toujours aussi bonne!! :¬P --(EDT)
He ben j'en profite pour dire que moi aussi j'adore cette histoire. Je la relis régulièrement.
Mais claude tu as quelle âge? Tu sais que c'est interdit pour les mineurs. Prends garde!!!!!!!
Après avoir matté cette vidéo, tu vas jouir absolument plus de trois fois. You will go to tell me.
Oui! J'ai plus que lu
j'ai aimé et si tu le veux je le passe au blog cavaillongay
bisou
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