Samedi 10 mai 6 10 /05 /Mai 15:41

Ah, c'est toi ? entre !

Fabien je pense sans cesse à toi.

 

Balade près de Rustrel en Luberon...ça rappelle un peu Maspalomas, non ?

 

Stp ne me quitte pas des yeux...

   Fabien je t'ai inscrit dans google+ dans mon cercle de famille

Ah, c'est toi ? entre !

 

 

  Fabien, tu peux rester tu sais...je

n'éprouve que de la fierté en ta présence

   Remember Gran Canary sex in the dunas 

 Ils nous regardent...

ils peuvent entrer, ce que leurs regards enregistre se perpétuera dans leurs âmes et ainsi ne sera jamais oublié

   

    Ci-dessous ils sont tous gays ? ou même gay-friendly ?

Ce voyeurisme-du-défi  je le sens pas, surtout pour "l'après" !

  spitsroastintime: sublimecock: There Eyes Were Watching Cock/762. http://spitsroastintime.tumblr.com

 .

 

 

 

 

 

Par boss - Publié dans : AMOURS & VIE DU BLOG - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Samedi 10 mai 6 10 /05 /Mai 15:04

 

Moules Frites...OUAIS VOUS M'AVEZ COMPRIS !

Hot husky guy backside outside

 

 

Samedi dernier, je suis allé à une soirée moules-frites dans un petit bled près de chez moi. Après avoir mangé en compagnie de mes potes et bien bu, je suis sorti dehors fumer une petite clope et j'en ai profité pour pisser un coup.

 

Il faisait pratiquement nuit et je vais derrière la salle et commence à pisser quand j'entends des mecs qui rigolent et je me rend compte qu'ils ont une vue sur ma bite. Je leur demande s'ils veulent me sucer ? Et me répondent que non mais que si moi je voulais les sucer y avait pas de problème.

 

Je leur réponds que faut pas me prendre au mot (homo), que je suis cap.
Et les voilà qui commencent à sortir leur bites et me disent d'y aller.
Je m'agenouille et commence à sucer l'un puis l'autre et les 2 en même temps.
J'ai toujours pas remis ma queue dans mon fute et je commence à me branler en même temps et je descends mon pantalon sur mes chevilles et un des 2 commence à mettre sa main aux fesses et je sens qu'il essaie d'atteindre ma rondelle et il y parvient.

 

Je suis toujours entrain de sucer son pote et l'autre se met derrière moi et le voilà qui me bouffe le cul, hummmm j'adore c trop bon il va me faire jouir s'il continue.
Je lui dis que sa langue est bonne mais qu'il a mieux que sa langue s'il veut.

 

Je sors une capote de ma poche (j'en ai toujours dans les poches, je suis prévoyant) et lui dit que j'ai envie de lui la mettre avec ma bouche. Je lui déroule la capote sur sa bite avec ma bouche et le suce un peu pour bien le faire bander.
Pendant ce temps là son pote se branle en nous regardant.Night-time activities at Dickman University
Je me penche en avant et lui montre bien mon cul afin qu'il s'enfonce en moi.
Il m'a tellement bien mouillé le cul avec sa langue que je ne mets pas de gel.
Je le sens qui commence à me taper sur les fesses avec sa queue.
Je le supplie de me prendre, que j'ai envie de le sentir me défoncer, que je suis une grosse salope qui aime me faire défoncer. Ce qui m'excite le plus c'est que d'autres mecs puissent venir et nous surprendre.

 

Je sens son gland se poser contre ma rondelle et d'un coup de rein il me transperce et me bourre sans ménagement et son pote en avait profité que j'étais pencher pour me remettre sa bite dans la bouche. Je prends mon pieds, une bite dans la bouche et une dans le cul, c'est le bonheur total, j'adore. Le mec que je suce commence à me dire qu'il va pas tenir longtemps, que je suce trop bien, mieux que sa meuf et splashhhh le voilà qui me jouis dans la bouche, j'avale tout et lui nettoie bien sa queue qui diminue rapidement de volume et juste après son pote me jouis dans le cul dans la capote. Je viens à mon tour et jouis, oh ouiiiiiiiiii je jouis c bon les mecs putain vous m'avez fais prendre mon pieds. Les voilà qui se refroque et repartent.

 

Juste au moment ou je me refroque mes potes se pointent en me demandant ce que je faisais. Je leur dis que je pissais et ils me répondent "putain il t'en faut du temps pour pisser". J'ai eu chaud....

 

On retourne dans la salle et j'aperçois les 2 mecs avec qui j'ai pris mon pied, ils sont avec leur meufs....

 

Julien

 

 

 

Par julien cyrillo - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 9 mai 5 09 /05 /Mai 05:45

LUTTEURS GAY WRESTLERS+SOUMISSION & DOUCES VIOLENCES

 Mon fils partage son copain avec moi

 

Je dis à mon fils:

 

— Viens, prends-moi! C’est toi que je veux en moi. Encule-moi avec ta belle queue!

Ça n'a pas tardé, il s’est installé entre mes jambes et enfin il entre en moi. Je le sens bouger... c’est meilleur avec une vraie queue et le petit vicieux, il sait s’en servir! Il me travaille tellement bien que je monte au septième ciel et à le voir, lui aussi! Je ne tiendrai plus longtemps et aussitôt que je le sens venir en moi et qu’il lâche tout son jus, je jette la sauce à mon tour tellement le plaisir est intense. Je mets mes jambes autour de ses reins pour pas qu’il se retire tout de suite, je veux le garder en moi le plus longtemps possible... Il me sourit, tout heureux de m’avoir fait jouir encore une fois et c’est réciproque...

 

 

On a décidé d’aller prendre une douche et de se coucher, ce serait mieux si on veut se lever tôt demain pour la pêche. Aussitôt couchés, vers les 23h, une auto arrive près du chalet... Un gars en sort et Marc reconnaît son copain de travail chez Mac Donald. Vu qu’on était nu, on a mis un slip et Marc le fait entrer, tout content de le voir. Il a décidé de prendre un congé et de venir à la pêche avec lui. Il me présenta à son copain Éric: 18 ans, environ 1,80 m, bien bâti et beau comme ça se peut pas, avec une paire de fesses extraordinaires... Quel cul! J’en bandais presque... On a fait connaissance, pris une couple de bières et Éric a voulu prendre une douche. Parfait, je vais le voir torse nu. On entendait l’eau couler et pendant ce temps, Marc me dit qu'il est lutteur lui aussi et qu’il aimerait bien se le faire. Ça fait longtemps qu’il le désire et il me demande comment je le trouve.

— Super beau mâle! que je lui dis. Et pour t’aider ce soir, je vous laisse le grand lit, ce sera plus facile pour toi et, je pense, te connaissant, que tu vas l’avoir à toi avant le matin et moi plus loin, dans l’autre petit lit, je vais guetter ça. Et c’est certain que je vais fantasmer si j’entends du bruit.

Enfin, il a fini par sortir de la douche et avec une serviette autour de la taille. Wow! Il est taillé au couteau et j’envie mon fils de coucher à côté de ce super beau mâle et je crois qu’il se rend compte de l’attrait qu’il exerce sur nous car on le mange des yeux.

Il sort de son bagage un slip qu’il enfile devant nous mais en nous tournant le dos, ce qui nous a donné une vue magnifique sur son cul qui est aussi bronzé que le reste de son corps. Il a mis un mini-slip blanc, ce qui le rend très sexé. On se conte des histoires de pêche et on prend de la bière et Marc décide qu’il faut fumer un joint pour fêter son anniversaire.  Nous sommes d’accord et on s’assoit les trois sur le grand lit.

On fait des farces et on rigole de rien. Marc et Éric se tiraillent un peu sur le lit et ils commencent à lutter. Marc est sur lui et il en profite pour se frotter le paquet sur celui d’Éric qui commence déjà à avoir toute une érection. Il veut se tourner de bord mais Marc ne lui en laisse pas la chance; la queue lui sort presque du slip tellement il bande. Il ne sait plus où se mettre. Il y a même des taches de mouille sur son slip! Il ne semble pas gêné pour autant, amorti par le joint sans doute... Il me demande de l’aider pour avoir le dessus sur Marc et je lui dis:

— Pas question! Je vais plutôt l’aider lui...

Et je lui empoigne les bras et les maintiens au-dessus de sa tête... Marc s’est assis sur ses jambes pour l’immobiliser, il est à notre merci et, plus il se débat, plus son slip descend. On commence à voir ses poils et tout ça commence à m’exciter grave... Marc le chatouille partout pour l’exciter et mine de rien, lui passe la main souvent sur son slip et accroche sa queue au passage. Moi j’en profite pour approcher mon paquet de ses mains pour qu'il sente bien combien je suis bandé et je dis à Marc en lui faisant un clin d’œil:

— Faudrait bien voir ça ce qu’il a dans son slip, si c’est bien une vraie! Touche pour voir...

Et Marc s’est pas fait prier longtemps. Éric se débattait de plus belle, Marc l’empoigne à pleine main et se permet de le masturber un peu avant de descendre un peu son slip , mais juste assez pour voir le gland pointer hors du slip. Il criait:

— Non pas ça! Maudits cochons, faites pas ça!

Mais Marc le descend encore un peu plus et sa queue se libère complètement et se dresse bien droite dans les airs. Il bouge du bassin, veut se libérer mais je le tiens ferme par les mains que je presse sur mon slip et Marc continue de baisser son slip qui est rendu aux genoux. Bordel qu’il est beau dans sa nudité et tellement désirable! J’ai envie de me jeter sur sa queue et la dévorer mais Marc me devance et la prend dans sa main et commence un va-et-vient qui lui arrache des soupirs de plaisir. Il s’offre de plus en plus aux caresses de Marc qui , de son autre main, joue avec ses couilles . Il aime et ça paraît! Je sens ses doigts qui fouillent mon slip et il entre une main pour jouer avec ma queue qui est ravie de sortir de sa prison. Marc le travaille toujours et il se décide enfin à la prendre en bouche et à déguster ce beau mâle qui ne demande que ça.

Il la nettoie de son jus et le suce en profondeur. Il se régale enfin de son copain! Il lui a ouvert les jambes et fouille son intimité dans les moindres recoins de son cul. Éric est parti dans un autre monde tellement il jouit...

 

Handsome guy gets banged by daddy gay and his friend  Johnny Rapid and Billy Santoro in Father Figure © Men.com 

Moi je me penche et je suce ses mamelons et j’approche ma queue de sa bouche qui est toute proche. Marc me regarde et me fait signe que oui. Je la dépose sur ses lèvres pour voir sa réaction, il ne bouge pas alors je tourne sa tête vers ma queue et je pousse sur ses lèvres. Il ne fait rien... J’arrête de pousser... Marc voyant cela lui ouvre les cuisses au maximum et commence à entrer sa langue dans son cul et lui lèche les boules, ce qui a pour effet de lui faire lâcher un grand: "Ouiiiiiiiiiii!" et j'en profite pour pousser ma queue dans sa bouche ouverte. Il reste surpris, me regarde mais la garde en bouche.

Alors je commence un va-et-vient doucement pour ne pas trop l’effaroucher et je la rentre de plus en plus loin à chaque poussée et bientôt, je la rentre au complet. À ma grande joie, il commence à me sucer timidement mais il y prend vite goût et me la dévore presque. Je dois ralentir ses ardeurs car je vais juter dans sa bouche mais il est trop tard, c’est trop bon, je ne veux plus sortir de sa bouche. Je vais juter, il le devine, il veut se retirer mais je m’enfonce encore plus dans sa gorge. Il se débat mais je tiens ses mains et sa tête. Je vois la peur dans ses yeux mais le plaisir est tellement fort que je jouis au fond de sa bouche. Il est obligé d’avaler pour ne pas étouffer. Je ne me retiens pas, je lâche tout mon jus. Il a des spasmes de nausée mais je n’arrête pas. Je n’ai pas de pitié. Ses lèvres touchent mon poil et je le force à me garder en bouche jusqu’à la dernière goutte...

Ses yeux sont mouillés, il me supplie du regard mais en vain.

Marc de son côté, je le vois s’installer la queue bien bandée entre ses jambes, juste à l’entrée de son anus. Éric le sent et il se débat de plus belle et je dis à Marc:

— Tu peux y aller, je le tiens bien...

— Tu va pas faire ça? Je t’en prie... Non, ne me fourre pas!

Il s’est mis à crier et, pour le faire taire, je me suis viré de bord et je m’assieds sur son visage, mon cul sur sa bouche et je regarde Marc pousser son membre dans son cul. Je lui tenais les jambes bien écartées. Il avait beau bouger, il n'a pu empêcher Marc de l’enculer et quel spectacle de voir ce mâle se faire violer. Marc prenait son pied, il avait le visage déformé par le plaisir intense qu’il ressentait. Il était en transe, je le regardais jouir: ce qu’il était beau ainsi en plein travail! Il sortait complètement sa queue et la rentrait aussitôt au fond, dans la chaleur de son cul, et il lâcha toute la sauce au plus profond de son ventre en criant son plaisir. Il se retire de son cul et maintenant on va s’occuper du bel Éric... Il fallait à tout prix s’occuper de lui...

Marc a commencé à lui lécher le cul et les couilles et moi je me penche pour lui sucer sa belle queue que je déguste. Je m’active du mieux que je peux, on le sent frémir, il aime! Il se fourre dans ma bouche, son poil me chatouille le nez et Marc donne tout ce qu’il peut lui aussi. Sa langue entre dans son cul, il lèche son propre sperme qu’il avale à mesure. Je sens la langue d’Éric qui lèche mon cul. Je me soulève pour lui faciliter la tâche mais il me retient sur son visage pour mieux me lécher et je sens même sa langue forcer mon cul pour entrer, ah quel cochon lui aussi! Je le sens se contracter, il va jouir. Je le garde dans ma bouche pour ne pas perdre une seule goutte de son jus, je ferme mes lèvres autour de son membre bandé à l’extrême et je bois tout ce qu’il me donne. J’en ai plein la bouche et je déguste à mon tour. Qu'il est bon ce jeune sperme ! 

Ouf quelle journée! Je me couche à côté d’Éric et Marc ne tarde pas à me rejoindre... On lui laisse le temps de reprendre ses esprits tout en le caressant et en l’embrassant partout... Il se joint à nous et ne nous en veut pas trop de l’avoir presque violé... Et tous les deux, on s’endort dans ses bras...

Au matin, je me réveille avec une drôle de sensation aux jambes et aux bras. Je voulais bouger mais je me suis rendu compte que j’étais attaché au lit, les jambes et les mains écartées, Marc et le bel Éric me regardaient. Ils étaient tous les deux nus et se caressaient l’entrejambe... Que voulaient-ils me faire au juste?

Marc s’approcha du lit et il me montra une grosse queue en plastique et Éric applaudissait déjà . Marc prit les commandes en mains:

— Et maintenant mon beau papa, ça va être ta fête!

Il monta sur le lit et mit une jambe chaque côté de ma tête et sa queue dans ma bouche. Pendant ce temps, Éric me fait bander bien dur en me suçant. Il me mit du gel dans la raie et il me montra la grosse queue noire et la positionna à l’entrée de mon cul... Je voulais crier mais j’avais la bouche pleine. Je pensais être écartelé quand je l’ai senti rentrer dans mon trou. J’étais ouvert au maximum... Le salaud! Il prenait sa revanche sur hier soir et mon fils, entre temps, s’est assis sur mon visage en me donnant l’ordre de lui lécher le cul. Le bel Éric pendant ce temps bougeait la queue de plus en plus vite et continuait de me sucer. C’était super bon, je fourrais la bouche d’Éric et je mangeais le cul de mon gars à grands coups de langue. J’étais fou de ses fesses. Je jouissais de partout. Je sentais la sauce venir et j’ai tout lâché dans sa bouche et je le sentais avaler. Ah! Quels merveilleux cochons sont ces jeunes! Marc se masturbe sur mon visage et jouit dans ma bouche et m’ordonne de tout manger et c’est avec plaisir que je le fais, c’est mon déjeuner et la journée ne fait que commencer.

C’est ainsi que je suis devenu le vide-couilles de mon fils et de son copain et pour rien au monde, je voudraient que ça cesse.... 

 

  Un joint pour fêter ça...

 

 

 

 

 

 

Par RAMBO - Publié dans : CHRO-NIQUES & INVITES (GAYS BI HET... ETC) I - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 9 mai 5 09 /05 /Mai 05:29

PROSTITUES DE MON C..OEUR

 

   

Lorsque je me masturbe (ce qui arrive souvent en plus de ma vie sexuelle "normale"), j'ai pratiquement toujours le même fantasme : je m’imagine pensionnaire dans un bordel.

une des chambres de l'étage...il y a juste le nécessaire

 

C'est une maison close à l'ancienne où des messieurs aisés viennent chercher un plaisir facile. Je suis en compagnie d'autres mecs, putains comme moi, fringués moulants pour mettre en valeur nos corps parfaits. Nous sommes allongés sur des divans profonds, alanguis, nous touchant du bout des doigts, échangeant quelques baisers. Ce petit show érotique est autant destiné à nous mettre en forme qu'à allumer les clients potentiels. Nous savons qu'ils nous regardent, qu'ils nous jugent, cherchant à savoir qui est le plus mignon, qui a le plus de tempérament, bref, qui est la meilleure salope. Bien entendu, c'est souvent moi l'élu. J'aime qu’un homme me fasse signe du doigt pour que je monte avec lui dans une des chambres de l'étage. Je passe devant lui pour grimper l'escalier. S'il est audacieux, il n'hésite pas à me palper le cul, voire à dessiner ma raie avec son index plié. Cette simple palpation anale suffit à m'embraser. Car si je rêve de tapiner, c'est pour prendre mon plaisir en baisant, pas pour le fric. J'aime cependant imaginer le moment où mon client me donne mes billets. Je me livre toujours au même cérémonial, je caresse les couilles de mon client avec, puis je les passe sur les miennes avant de les glisser dans la poche de mon pantalon moulant.'d'une voix la plus suave et chuintante possible  je lui dis  :" Vienhhh quehh je te lavehh la biteuhh"

>

Pendant que le monsieur se dénude, je sors mon savon pour lui laver la bite. C'est un moment très excitant, surtout s'il n'est pas encore en érection. Je n'aime pas les mecs qui bandent trop vite, j'ai l'impression de n'être pour rien dans leur érection. Non, je veux juste découvrir leur membre et le faire durcir avec ma bouche chaude. J'aime avaler une queue propre qui sent le savon. Je la fais coulisser lentement entre mes lèvres serrées tandis que ma langue frétille sur le bout. Lorsqu'elle prend du volume, j'accélère le mouvement de va-et-vient de mon visage. Du coin de l’œil, je surveille la montée du désir de mon client, car je suis une putain consciencieuse et j'aime le travail bien fait. Lorsqu'il a la pine bien raide, je recrache voluptueusement son engin en m'arrangeant pour sortir une capote. J'ôte le sachet de protection et je retire le préservatif roulé sur lui-même. Je me le mets dans la bouche comme si c'était un bonbon. Bien sûr je ne l'avale pas, mais je le coince entre ma langue et mon palais. Puis je reprends la queue de mon client pour le pomper à nouveau, sauf que cette fois, la capote vient se placer toute seule sur son gland. Ensuite le mouvement glissant de mes lèvres fait le reste et la capote se déroule pour se mettre en place sur sa tige. Cela demande une certaine habileté née de l'expérience, mais je vous jure que ça vaut le coup. Mes clients sont émerveillés. Ils ont la queue plus raide que jamais. Ils ne pensent plus qu'à m'enfiler.

Alors ils m'enlacent fiévreusement, se collent à ma croupe, me caressant la raie avec leur gland caoutchouteux. Quand leur pine est en place sur ma rondelle, je m'enfile dessus autant qu'ils me la mettent. J'aime faire la moitié du chemin, m'enculer moi-même. Mes clients apprécient, surtout que je les attrape par les couilles, que je me cambre et pousse un long gémissement d'extase à mesure qu'ils m'écartent l'anneau. Quand ils sont solidement plantés en moi, j'ondule des reins. C'est aussi jouissif qu'un mouvement de va-et-vient, mais c'est moins éprouvant pour la bite, ce qui leur évite de partir trop tôt. Parce que bien sûr, un client, ça en veut pour son argent. S'il gicle dans la seconde qui suit l'intromission, il a l'impression de s'être fait baiser (alors que c'est quand même moi qui le suis). Je m'arrange donc pour qu'il dure. C'est surtout pour mon propre plaisir que je le fais.

Petit à petit, mon fourreau s'habitue à la présence de cette grosse bite qui, normalement, n'a pas à être là. Mon rectum s'élargit, mes muqueuses épousent intimement la pine qui m'habite. La petite brûlure du début laisse place à une chaleureuse langueur. Je sais que mon plaisir d'enculé n'est déjà plus très loin. À ce moment, j’incite mon client à me limer. Je lui susurre des phrases amoureuses :

— Baise-moi chéri, ramone-moi, je veux la sentir coulisser.

Pas un n'y résiste, tous me prennent plus solidement par les hanches pour assurer leur prise. Si le client est bien monté et qu'il a le coup de reins fougueux, je pars dans la minute qui suit. S'il a la pine longue et fine et qu'il lime avec lenteur pour bien me faire sentir toute la longueur de son sabre, mon plaisir est plus progressif. Il vient lentement, selon une courbe irrésistiblement ascendante. Lorsque j'explose, c'est encore plus fort, plus délirant. Je suis si violemment jouisseur que mon client m'accompagne toujours dans mon plaisir. Il gicle, remplit sa capote de foutre, se colle à moi pour m'enfiler toute la longueur de son pieu, puis il se retire rapidement car on ne laisse pas sa queue dans le cul d'une pute.

Quand le client a fini de tirer son coup, il est toujours un peu honteux. On n'est jamais fier de s'être envoyé un tapin, même mignon comme moi. Moi je m'en fiche, j'ai eu ce que je voulais : fric et baise. Lorsque mon petit cinéma en arrive à cet épisode, je me gicle dans la main puis je me lèche les doigts.

Hélas tout cela n'est que fantasme et les bordels n'existent plus....(en France !)

 

Fred, 24 ans ( Photo 22-year-old Nathaniel Sherman Columbus, Ohio. )   

 

 

 

 

Le fric et la baise. Je suis content. 

Quand le client a fini de tirer son coup, il est toujours un peu honteux. On n'est jamais fier de s'être envoyé un tapin, même mignon comme moi.

   

 

 

 

 

 

 

Par FRED - Publié dans : LOIS SUR SEXUALITE -MAJORITE-PROSTIT.-DELITS . - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Jeudi 8 mai 4 08 /05 /Mai 05:03

UN PEU D'INTIMITE SVP BORDEL !  Ce  besoin d'exulter qui révèle avant tout un besoin d'absolu REFLEXIONS   

   

  « La solitude sexuelle était telle que celui qui se masturbait avait l’impression de tenir dans sa main le sexe d’un autre. »  Abdel Hafed Benotman dix-sept ans en prison

C’est très fort et ça montre l’envie d’avoir quelqu’un d’autre auprèsde soi. Au delà du rapport sexuel, ce qui manque c’est quelqu’un qui vous touche, deux corps qui s’entrelacent. Même quand l’autre n’est plus là, on essaye encore de le faire vivre. Au point que pendant une masturbation, le détenu imagine quelqu’un d’autre qui touche son corps.

 

  Une promiscuité qui mêle les classes et les âges 

 

  Et dire qu'il y en a qui disent qu'avec la télé, les films porno, l'homosexualité, la drogue,

la prison est trop douce et encore bien trop permissive. Ils oublient qu'ils pourraient, pour

un délit routier par exemple, se retrouver dans le paradis qu'ils décrivent.    

 

     LA REINSERTION , un objectif permanent ?  Mon cul, oui !   

  RARES, QUAND MEME,  SONT CEUX AVEC LESQUELS ON PEUT PARTAGER SOUVENIRS ET FANTASMES  

 

Ce qui est terrible quand on est en prison, c’est qu’on participe activement à sa propre déshumanisation, à une certaine bestialité, à la violence. Les détenus sont actifs au processus de désocialisation.

Certains détenus fondent leurs fantasmes sur leurs souvenirs, mais il y a  une certaine sécheresse de l’imaginaire.

"Quelqu’un qui rentre en détention à 45 ans, qui a pu avoir une vraie vie sexuelle, a un certain nombre des souvenirs. Ils vont donc s’étioler moins facilement, même si au bon d’un moment ils vont se déformer, ils vont s’éloigner. On mêle les souvenirs aux films porno.

Pour les hommes qui rentrent en prison à 22 ans, l’épuisement du souvenir, ça va très vite.

L’imagination ça se travaille dès l’enfance, dans certains milieux on l’apprend moins. Quelqu’un qui a peu voyagé, il est déjà moins armé pour s’évader (en pensée).

Erreur toutefois, ce sont toujours les mêmes deux ou trois images intenses qui reviennent, une fois pour toutes,pendant le "trip" masturbatoire. 

Qu'ils soient homos ou hétéros, la prison sépare les couples

Chiffres d’une étude de l’Insee de 2002. « Au total, 20% des unions sont rompues au cours de la première année de l’incarcération, 25% dans les deux premières années et 36% dans les cinq ans qui suivent. »

Dans l’idée, c’est beau de dire que l’imaginaire peut nous transporter, mais dans la réalité n’est-ce pas souvent le contraire qui arrive? Les gens  ressassent les actes qui les ont amenés ici, le procès.

On est loin de l’image romanesque du détenu, avec le conjoint qui attend, très amoureux avec des lettres d’amour passionnées pendant des années... 

  TOUT CA C'EST DES IDEES  RECUES

Au quotidien, il y aura toujours ce moment où l'on retrouve sa couche.  Même pour un jeune détenu

le plus petit souvenir entretient un fantasme, la joie d'un moment..."Tu peux m'ouvrir cent

fois les bras..."

  ENFIN SEUL DANS LA NUIT /   la prison, c’est d’abord la solitude, et l’autoérotisme. Quasiment tous les détenus se masturbent.

 

 

ON EN A FAIT TOUT UN MYSTERE MAIS HORTENSE C'EST LA MASTURBATION.
"TOUTES les monstruosités violent les gestes atroces d'Hortense. Sa solitude est la mécanique érotique; sa lassitude, la dynamique amoureuse. Sous la surveillance d'une enfance, elle a été, à des époques nombreuses, l'ardente hygiène des races. Sa porte est ouverte à la misère. Là, la moralité des êtres actuels se décorpore en sa passion ou en son action. – O terrible frisson des amours novices sur le sol sanglant et par l'hyrogène clarteux! Trouvez Hortense." ARTHUR RIMBAUD Les Illuminations Portait de Arthur RIMBAUD

 

Il est rapporté que l'homosexualité "contractée" en prison perdure au-delà. Certains anciens détenus ne peuvent achever un acte sexuel qu'en se masturbant.

J'aime trop l'Amour pour ne faire que l'apologie de la masturbation mais dédramatisons un peu : aujourd'hui on reconnaît

les mérites ou la nécessité de la branlette du clitoris, de la verge ou même de l'anus. dans les amours humains. Alors ?

 

    En rêve on peut tout. Ce post est dédié à FABIEN et à tous les imaginatifs familiers de ce blog. Merci à lui, merci à tous.

 

 

 

 

 

 

Par NouvelObs - Publié dans : MEDITATION & REFLEXIONS "Tempus Fugit" - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

  • : Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • : Gay
  • : BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil
  • Contact
  • : 15/12/2012

Profil

  • claudio
  • Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • bareback enculer lavement trash hygiène
  • blog iconoclaste-pluraliste-no limits- ouvert à tous aucune discrimination ethnique tous âges 18+; je me doute que des -18 nous regardent et nous suivent. Et alors ?(Fillon l'a dit !) ça leur apprend des choses...

Texte Libre

<!-- counter(current) -->&nbsp; personne(s) sur ce blog

Archives

Images Aléatoires

  • VETERAN CRUISER 02
  • 19d1
  • GROSBIT PISS 2
  • LAVEMENT 009 CANULES 2
  • tumblr lsd5yjEEgB1r2qls3o1 500
  • PUNITIF 04

Recherche

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés