Post de Clétiern au blog
— PAS SI SI SÛR que tu jouisses du cul comme ça !...Ecoute ça : " il commença à bouger sa bite entre mes fesses. Très vite, ce fut bon, très bon. Il accélérait et j'encaissais sa queue bien dure, et je bandais. C'était l'extase. Puis il sortit sa queue et gicla sur mon dos. Avec un soupir de contentement, il grogna :
—Tu n'as pas joui cette fois-ci, mais tu vas apprendre à jouir du trou.
Puis il me remit deux doigts dans le cul et me dit de me branler. En quelques secondes, je me transformais en fontaine de sperme..."
Ce n'est pas ça jouir de l' anus ! n'est-ce pas ?
— C'EST JOUIR SANS MEME SE TOUCHER : quand ça vient du trou tu le sens et tu es subjugué. Pour ça, le baiseur, (l'enculeur, l'actif) doit lui-même apprendre". Ce savoir-faire est d'abord accessible par les hommes qui soit sont longs à venir, soit ont appris à se contrôler. A partir de là, un gars qui n'est pas pressé, qui sait mettre du velours dans sa pénétration, qui t'a à l'usure, va réussir à te mener au ciel pour un orgasme long, profond, un orgasme du coeur où les respirations, les "ventousages" des bouches deviennent fusionnels. Et c'est important !
— J'ai vu des vidéos d'accouplements gays et même hétéros où le passif part vraiment dans un voyage de plaisir prolongé
Toi, tu es un magicien. Moi, à un moment de ma jeunesse, je me mettais au lit en journée, je fermais les yeux et je me masturbais en solo. Arrivé au plateau, j'essayais de ne pas redescendre et de rester au bord de l'orgasme éjaculatoire jusqu'à atteindre le point de non-retour où c'était quand même la fin et je restais longtemps à rêver . Actuellement il y a un de mes godes, pas le plus gros du tout, pas le plus long, pas le plus rigide, qui me conduit à un état très proche de ce que tu décris. Mais il me faut entrer dans un état second, évoquer des bonheur sexuels et psychiques passés pour atteindre une extase satisfaisante. Egoïstement je me verrais bien passer ma vie avec toi...mais je dirais...tu te dois au monde
— « En tantra, l’orgasme ordinaire est un sommet. L’homme monte assez vite et redescend assez vite. Et puis, il y a l’orgasme de la vallée qui n’est pas éjaculatoire. Il peut durer plusieurs heures. Mais jouir du cul tu l'as vu, c'est tout simple. Je m'installe en toi en te caressant de l'extérieur et de l'intérieur. Mon gland est placé sur la petite bosse de ta prostate dans ton intérieur et je vais et je viens insensiblement. A un moment, à ta façon de me répondre vaguement quand je te parle, à la régularité de ta respiration, je sens que tu montes vers l'orgasme. L'idéal est que cette montée dure le plus longtemps possible.Je crois qu'il ne serait pas nécessaire que tu éjacules, mais inexorablement ça va arriver. Nous sommes, hélas, faits ainsi et, sauf à reprendre à zéro, ça met fin à ton rêve. Je ne suis pas du genre (comme j'en connais) qui expédient le plus vite possible leur partenaire vers l'éjaculation pour s'en débarrasser. Les clients ne pensent pas que je pourrais les ramener à l'extase et ne me demandent pas de recommencer. Tant mieux quand même, ils me rappellent. Je gagne ma vie en rencontrant un maximum d'amateurs. Je reconnais que c'est loin de me déplaire. Leur plaisir est le mien. »
"— Toi t'as la queue qu'il faut, pile assez longue pour bien masser la glande, des fois,quand c'est trop long, trop-gros-qui-fait-mal... ça peut rater... Puis aussi, j'aime l'idée de me faire baiser par toi. Merci! — Merci à toi, tu paies après tout, mon chou ! —Tu as des trésors de tendresse sous ta carapace de macho bien viril. Ne nie pas : tu aimes faire du bien. "
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Juste ce qu'il faut, mon escort...
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