CULTURE GAY & SOCIETES

Lundi 27 novembre 1 27 /11 /Nov 09:51

  pourquoi cette culpabilisation des hommes violés    ?     au départ l'histoire du viol par le masseur est authentique

 

     Résultat de recherche d'images pour "tall grey slim haired indian MAN # from calcutta"  Mon prénom est Kim en souvenir du roman de Kipling et des liens historiques entre le monde anglo-saxon et l'Inde. Je suis américain (US) avec des origines hindoues du côté de ma mère. J'ai tout espoir d'être"quelqu'un" à la sortie de l'université US. En Inde où jétais au service d'une ONG, j'ai été victime d'un viol. Je ne n'en avais pas conscience, mais les blogs et magazines du net m'ont convaincu que je l'avais été...donc me voilà victime et si je tenais compte de leurs avis je déposerais plainte... !
A 18 ans, ayant terminé tout un cycle d'études, je me suis porté volontaire à la fondation Mère Teresa à Calcutta. Et, n'étant pas sans vices, c'est là, la nuit, sur le toit de l'auberge qu'après le travail, j'ai bu mes premiers whiskies et autres en Inde  et fumé mes pemiers joints achetés en Inde ; je me masturbais aussi. Je me souviens d'avoir rempli un verre de vodka, de l'avoir bu  et de l'avoir fait tourner pour décider de ce que je devrais faire d'inovant. Le verre s'est arrêté en direction d'une affiche sur le mur de mon auberge pour un " massage indien ayurvédique" par une jeune masseuse qui, sur l'affiche paraissait "plus haute que Himalaya"-lol-. Et je m y aventurai.

Au mur de la salle de massage il y avait une grande image des points vitaux du corps humain.
Ce graphique ainsi que les suivants indique les positions des Marmas (points vitaux) tels que conçus et développés par le grand sage du Sud de l'Inde Agastya, et dont l'étude est fortement recommandée par deux classiques: le Yogayajnavalkya Samhita et le Vasishta Samhita. et un tableau vulgarisateur des humeurs masculines du genre :
Le mal a dit Plus  
J'imaginais qu'une jeune indienne allait entrer, mais la masseuse se révéla être au contraire un homme ridé et dégingandé avec une barbe grisonnante. Juste l'air d'un prof de yoga !
    Image associée   Image associée  Image associée   Image associée 
    Je ne voulais pas être impoli, alors j'ai payé des roupies, environ cinq dollars. Il m'a demandé de me déshabiller, alors je l'ai fait. Je me suis allongé sur un lit qui avait des odeurs d'épices, mais aussi sentait un peu le moisi. Ses doigts étaient longs et froids, mais son contact sur le dos était apaisant et, doucement, par l'effet des savantes mains, je m'assoupis. 

  Je me suis réveillé avec son pénis à l'intérieur de mon anus. Je ne savais pas s'il avait pénétré plusieurs fois, mais je l'ai repoussé. Il se précipita pour ramasser ses vêtements en hâte et me rendit les miens et mes roupies. Effrayé, il m'a supplié de ne pas le dénoncer à la police. Je lui ai crié de sortir, et il l'a fait. C'était un mois avant mes premiers rapports hétérosexuels.

Me sentant sale et violé, j'ai marché péniblement jusqu'à la maison. Je me suis tenu sous la douche chaude de l'auberge et, angoissé, de mon doigt j'ai suivi le contour de mon anus violenté. Mais je ne ressentais aucune douleur, comme si rien ne s'était passé. Quand je marchais je ressentais une certaine gêne, comme un chatouillement interne indolore du rectum qui témoignait de la réalité de la pénétration par un sexe qui, à la vision furtive que j'en avais eue, était énorme pour un anneau vierge ; ça restait inconnu, étrange et assez angoissant car c'était là, bien présent ! Je ne me souviens pas si je pleurais, mais je grimaçais de contrariété et je me souviens d'avoir été sous la douche pendant longtemps. Vous vous doutez de mon trouble car j'ai été élevé dans une famille chrétienne qui m'a appris que mon corps est "mon autel", et dans la part confucéenne qui est en moi, on m'avait inculqué que mon corps est le cadeau de mes parents.
 
 

           Presque tout de suite j'ai regretté de ne pas avoir gardé toute cette histoire pour moi, mais j'ai partagé ce qui s'était passé avec des compatriotes américains à l'auberge, et ils ont sympathisé en m'offrant de fumer de l'herbe (?) dans un narghilé-boule et, perché, j'ai perdu conscience.   

  Résultat de recherche d'images pour "tall grey slim haired indian MAN # from calcutta" l'un des volontaires de la fondation qui écoutaient mon histoire...et c'est celui qui m'a porté à mon lit quand j'étais sous l'effet de l'herbe...ou de l'opium (?) 

    Ces personnes étaient donc au courant de mon "infortune", du fait que (de force ou non) mon derrière avait été ouvert et déviergé ce qui menait à des attitudes diverses et secrètes masquées par "leur compassion"affichée. Certains pouvaient ne pas être fâchés de ce qui m'arrivait. Curieux, surtout de la suite, d'un dépôt de plainte éventuel...qui se fit attendre puis n'eut pas lieu. Et, l'effet de l'herbe aidant, je n'avais plus ni colère ni haine.
        
Pour une raison que je n'explique pas, je n'ai pas ressenti de fatigue. Je ne me suis pas tourné en colère vers le vieil homme. Je ne voulais pas être confronté à des procédures médicales et légales éprouvantes. Je me suis plutôt reproché ma naïveté. Le monde n'est pas tout rose, et le bois tordu de l'humanité en lequel je n'ai aucune confiance se chargera de vous enculer déflorer si les occasions se présentent. Je suis retourné à la Maison Mère Teresa dès le lendemain. Je prétendais qu'il n'y avait aucun souci : je pouvais travailler. 

Je ne prétends pas savoir ce que l'on ressent dans le corps et la psychologie d'une femme violée. Mais je soupçonne que l'intensité de la détresse psychologique peut être culturellement amplifiée : même si le viol ne vous tue pas, (et donc peut vous rendre plus fort) désormais le regard des autres vous achèverait. J' approuve pleinement les victimes qui se taisent. Hé, quoi ?  j'étais entier ! Mes compatriotes  me reprochaient de façon muette de ne pas avoir déposé plainte et quasiment d'avoir provoqué mon propre viol. Comparant mon cas personnel à celui d'hommes célèbres, je ne pense pas que les philosophes grecs antiques* et les samouraïs* japonais qui ont été analement pénétrés aient, en tant que garçons développé des traumatismes psychologiques durables.
Dans les premières nuits je commençai par faire un cauchemar :  
Image associée 
puis je fis un rêve érotique : j'étais un éromène antique et je me donnais à mon éraste
Résultat de recherche d'images pour "eraste et eromène" ce vase grec ne montre pas la suite !

Puis un second cauchemar dans lequel mon masseur-eraste jouait un rôle particulier :
Edible Anus © David Sandison Je rêvai qu'il "m'opérait !
Ensuite et d'abord, le garçon qui avait été aux soins pour moi m'a approché à plusieurs reprises multipliant caresses verbales et effleurements en manière d'encouragement. Je compris que lui se foutait pas mal que je ne soisplus vierge et qu'il me désirait intensément. Il était si beau, si parfait que  je voulais bienlui céder, mais pas tout de suite et je le maintains à distance sans crainte qu'il renonçât...j'en fis mon "kept boy" étant aussi amoureux de lui qu'il l'était de moi.
Résultat de recherche d'images pour "tall grey slim haired indian MAN # from calcutta"
  Et puis j'ai accordé ma miséricorde à mon violeur. Je décidai de retourner chez-lui. On fut impassibles tous les deux. Je me déshabillai, je m'allongeai et je m'offris cette fois en pleine mesure de pleinement profiter de ses soins. On n'eut pas besoin de mots sinon de gémissements et de râles. Il nous fit faire tout le kamasutra. Cela prit tout un jour et une bonne partie d'une nuit. Etourdi au sortir de chez-lui, je me sentis heureux et, contrairement à la première fois, libéré. Gay ou pas, qu'est-ce que ça pouvait changer pour ma vie ? J'étais retourné. Ca valait tous les pardons de toutes les religions. Et il m'avait gâté. Je ressentais à la fois l'amitié, la reconnaissance et l'amour. Lui? je ne sais pas, ben tant pis ou tant mieux : un jeune comme moi a besoin de légèreté et de liberté.
Il aurait aussi bien pu être mon maître à penser yogi. Il l'est et le demeurera, virtuellement. Je ne pourrai l'oublier ni lui ni l'ouverture magique de mes sens. Aussi bien il était capable de m'insensibiliser et/ou de me faire entrevoir toutes les étoiles du ciel.         
  Ensuite je sortis avec l'ami que les circonstances m'avaient fait trouver. Ensemble, fort de mon nouveau"savoir"nous fîmes le plus beau voyage initiatique interracial qui se puisse vivre, fumant, jouissant de l'autre...tout en étant deux jeunes américains bisexuels.
 Contrairement aux Grecs dionysiaques, les chrétiens disent qu'ils épousent la sacro-sainte idée du corps et ils ont la paranoïa sur les organes du plaisir, tout en prêchant la confession et le pardon. L'obsession globale de la chasteté semble être motivée non seulement par la biologie évolutionniste et la crainte des MST et de l'incertitude sur une éventuelle paternité , mais aussi par les structures patriarcales qui visaient à assurer la domination masculine sur les corps féminins.

Je partage mon expérience de ne pas remettre en question l'authenticité des traumatismes liés au viol ou de tolérer l'atrocité des auteurs de viols. Je voudrais simplement questionner les perceptions de la pénétration sur les corps masculins et féminins, ainsi que sur les corps blancs ou colorés. Si les perceptions divergent, alors ces distinctions devraient être reconnues dans l'éducation des jeunes hommes de par leur privilège de genre, sinon ON EST TOUS PAREILS seul le hasard de cette rencontre m'a fait franchir le pas et j'en ai redemandé !    

Pour ma part, à ce jour, je reste fidèle à mon mariage hétéro survenu après mon diplôme, même si parfois je pimente ma vie sexuelle avec des rencontres homosexuelles. Ma vie est un peu en désordre, mais je me devais de me relever de la fange de l'incertitude et vivre. Et c'est ce que je m'efforce de faire...

 


    * notes : 

  Résultat de recherche d'images pour "old tall lean grey haired poor beggar indian man" Résultat de recherche d'images pour "eraste et eromène" je l'élisis volontairement comme mon éraste et il m'adopta comme son éromène.

      Dans la Grèce antique, l’éraste était un homme adulte engagé dans un couple pédérastique avec un adolescent, appelé son éromène

  • .  Image associée Image associée Image associée     Image associée
    L'éraste était généralement un citoyen influent, engagé dans la vie sociale et politique de sa cité, le plus souvent marié et père de famille, jouissant d'une certaine fortune. Assumer la charge d'une relation pédérastique était en effet coûteux, notamment au cours des réjouissances qui clôturaient la période de probation, qui supposaient un banquet et des cadeaux prescrits :
  • un bœuf, pour sacrifier à Zeus ;
  • un équipement militaire, pour signifier que l'éromène était désormais un guerrier pouvant défendre sa cité ;
  • une coupe, pour signifier que l'éromène pouvait désormais partager les banquets (symposions) des hommes.
    Il n'était pas rare que les amis de l'éraste se cotisent pour faire face à la dépense, l'événement réunissant les amis de l'un et de l'autre partenaire, comme une fête de famille importante contemporaine.
  •  Alexandre le Grand lui-même fut le disciple d'Aristote...
      

Eromène baisé par son éraste et ses amis... :

   vu comme ça, avec le sacre de l'Histoire,  ce n'est pas de la saloperie mais c'est merveilleux comme un conte.

* samouraïs adeptes de la sodomie

Japon : "Homme et jeune garçon" :


 Relation homosexuelle entre un homme et un adolescent. Peinture sur soie  de Miyagawa Isshō, vers 1750; Panneau d'une série de dix, rouleaux peints dans le style shunga avec cette peinture blanche des visages des geichas.

Bien que ce soit en 1485 qu'apparaisse pour la première fois le terme shudō, la tradition homosexuelle au Japon lui est nettement antérieure, avec les relations amoureuses entre les moines bouddhistes et leurs novices (chigo). La légende veut que ce soit le bonze Kūkai (également connu sous le nom de Kōbō Daishi), fondateur de l'école bouddhique de Shingon, qui ait importé de Chine l'amour mâle et ses enseignements. Le nom du Mont Kōya (où subsiste encore aujourd'hui le monastère fondé par Kōbō Daishi) était souvent utilisé pour désigner les relations de type pédérastique jusqu'à la fin de l'époque pré-moderne.

En dépit de la légende, des preuves antérieures de l'existence de liaisons homosexuelles (serviteur à mâle) au Japon peuvent être retrouvées parmi certains des tout premiers textes japonais, tels le Kojiki qui remonte au VIIIe siècle et le Nihon Shoki.

Les principes du shūdō font partie de la tradition littéraire du Japon ; on les trouve par exemple énoncés dans des ouvrages comme le Hagakure ou divers manuels destinés aux samouraïs. Par ses aspects pédagogiques, militaires et aristocratiques, le shudō s'apparente fortement à la pédérastie grecque.

La pratique en était tenue en haute estime et se voyait encouragée au sein du groupe des samouraïs. On la considérait comme bénéfique pour le garçon, en ce qu'elle lui enseignait vertu, honnêteté et sens du beau. Lui était opposé l'amour pour les femmes, accusé de féminiser les hommes.

Aussi bien les annales que les récits de fiction de cette période sont nombreuses à louer la beauté et la valeur des garçons dévoués au shūdō. L'historien Jun'ichi Iwata a pu ainsi établir une liste de quatre cent cinquante-sept références rien que pour les XVIIe et XVIIIe siècles, considérées comme « corpus de pédagogie érotique » (Watanabe & Iwata, 1987).

Avec l'ascension de la classe marchande, certains aspects du shūdō sont adoptées par les classes moyennes et l'homosexualité au Japon commence à être davantage associée aux acteurs de kabuki itinérants, les tobi-ko, qui bien souvent font aussi office de prostitués.

  les photos sont fake


commentaire :

 

Par CAVAILLONGAY - Publié dans : CULTURE GAY & SOCIETES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 13 novembre 1 13 /11 /Nov 00:06

Je l'aurais bien vu "déferler" sur moi -lol-j'ai tout de suite voulu qu'on célèbre l'amitié franco-allemande...le plus c'est que sa bite semblait un bazooka  

  le souvenir des troupes allemandes qui sont passées ici pendant la guerre ...

qui sait?  d'un certain point de vue aurais-je été "collabo". Je lui offrais mon cul.

1943  (soldats à 20 ans)   

  boches de la WW 2 pas mal du tout mais ils n'avaient pas de si grosses bites que mon baiseur...(ah, vous voulez qu'on l'appelle Helmut ? -lol-) 

  1938  (encore ados, à 15 ans)

ouais on se fait des films  dans une telle rencontre on n'est pas Adam et Eve mais Adam et Adam...Et c'est beau !!!  

  ce matin-là...   

Image associée les présentations  

 

Image associée je sais pas si cette photo (fake) rend bien compte de son calibre à mon Helmut ... en fait, définitivement NON !  sa bite semblait un bazooka bien raide !  

 

    Résultat de recherche d'images pour "gay porn fuck by a river#" eh oui j'ai eu mal mais c'était bon !

J'avoue que sauf qu'il me l'a mis dans les règles et que moi je l'ai pris comme souvent je me prends des français, je m'étonnais que malgré  qu'on soit en train de célébrer l'amitié franco-allemande, c'était une baise sans lendemain toute simple...Bonne à saisir quand même !  

  Ombre au tableau après qu'il m'ait bien rempli de chair et de crème teutone, il a eu ce mauvais geste :

  Résultat de recherche d'images pour "make a gesture with finger that you are not turned on" pour me faire remarquer que je ne bandais pas...Tout d'un coup, son manque d'égards  a créé un incident diplomatique : il se foutait de moi. Là, un peu vexé, je l'ai quitté...avec l'impression cuisante d'une inversion de l'Histoire : l'allemand prenait sa revanche sur la victoire de 1945. Pourtant j'ai la faiblesse (encore!) de souhaiter que ça recommence ! 

  Résultat de recherche d'images pour "make a gesture with finger that you are not turned on"  le salaud !  C'est vrai : je ne bande pas toujours pas souvent jamais  quand on me baise...Ah merde c'est mon droit ! et puis il avait aimé mon cul...que voulait-il de plus ?  

    une espèce de retour vers le passé

Image associée Aurais-je été meilleur ou pire que ces gens. Si j'avais été allemand ? (JJ Goldman )

Résultat de recherche d'images pour "symbole faites l'amour pas la guerre"

L'allemand~>il se "baladait" sur la rive, moi aussi. Les présentations ont été vite faites...lol son accent, sa maladresse à s'exprimer ça me bottait. Ici les armées "boches" ont déferlé Je l'aurais bien vu "déferler" sur moi !


commentaire : "Si j'avais été allemand ? j'aurais fait Oradour ? j'aurais mis les homos en camp de concentration ? NON MAIS ? " claudio 

Par EUSEBIO - Publié dans : CULTURE GAY & SOCIETES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Samedi 4 novembre 6 04 /11 /Nov 06:28

Quoi ? vous avez fait le mariage "pour tous" - ouais. - C'est tout ? Avez-vous lavé les cerveaux au karcher? - Nan  - alors vous n'avez rien fait et vous appelez ça un "progrès"? Gaffe : LGBTQ ça progresse, malgré vos manifs 

Résultat de recherche d'images pour "l stylo dans la plai"la plume plongée dans la plaie

                                                                                           Résultat de recherche d'images pour "l stylo dans la plai"  nous, des vices ?  d'après-vous oui !

un bobau, des bobaux

« Je suis un ado, homosexuel, j’ai tous les vices et tous les problèmes du monde… Je suis votre avenir*, et le futur de la France… »

      «Un nez, une bouche, deux yeux, deux oreilles, deux jambes, deux bras, un cerveau et un cœur. Je mange, je dors, je respire. Tous les jours je vais en cours, je prends le bus, et je marche dans la rue, tous les jours je suis fatigué, mais aujourd’hui plus que les autres.

Pourquoi me direz-vous ? Parce que, parce que je suis fatigué d’un débat, un débat sans fond, sans forme que celui des haines. Car aujourd’hui ce n’est pas le fait de juger d’un mariage ouvert à tous qui est posé, c’est celui de l’homosexualité, triste retour à des époques sombres. On entend des mots, j’entends des mots, je suis différent apparemment, différent de quoi ? D’un amour ? Cet amour m’interdirait donc d’avoir des droits ? En quoi ? Pourquoi ? Aidez-moi à comprendre !

Aujourd’hui on me dit que cela ne sert à rien, certes si vous le dîtes.. Le vivez-vous ? Vivez-vous le regard, et les mots, les doigts pointés et les insultes ? Vivez-vous cette sensation de colère qui monte en voyant qu’on ne vous traite pas en tant que personne mais en tant qu’orientation sexuelle ? Car aujourd’hui c’est bien cela, l’homme est défini par les droits qu’il a acquis, les retirer aux gens, ne pas leur donner les mêmes droits, que cela veut-il dire ? Ne sommes-nous pas hommes ? Ne sommes-nous pas égaux ? « Liberté » la liberté d’aimer, « Fraternité » l’entraide et l’entente entre tous, « Egalité » tout homme au même niveau… Et pourtant.

Aujourd’hui nous pouvons vivre avec quelqu’un, partager sa vie, ses moments de joie et de tristesse, les bons comme les mauvais moments, sans jamais être reconnus comme tels, nous pouvons faire des projets qui ne seront portés que par l’un des deux… Une relation se fait à deux, avec l’investissement égal des deux, or aujourd’hui tout cela n’est pas possible.

Ce que vous jugez n’est plus le mariage mais l’homosexualité, chose existant depuis que l’homme est tel qu’il est. Et j’entends des mots, des explications, des choses sans sens, sans sens aucun. On me dit que la religion dit telle ou telle chose. Mais, vous savez, je fais mon éducation dans un établissement catholique, la religion je la connais comme vous. Les textes ne disent-ils pas que nous devons aimer notre prochain, qu’aucune différence ne doit nous séparer, amour et tolérance ? Certaines instances religieuses devraient avant de s’intéresser à la sexualité de la société, s’occuper des problèmes qui y sont liés en leur sein.

J’entends aussi la merveilleuse excuse de l’enfant. Celui-ci n’aura pas le droit? Il aura le droit d’aimer et d’être aimé. Il n’aura pas une éducation normale ? Qu’entendez-vous par là ? Doit-on donner des chiffres de tous ses parents qui battent leurs enfants, les tuent, les mettent à la rue ? Il deviendra homosexuel à son tour ? Car vous pensez encore que l’homosexualité s’attrape telle une maladie ? Moi je connais des gens, des enfants, élevés depuis toujours par des parents homosexuels, le sont-ils ? Non. Dois-je répondre à toutes ces questions ? Non plus car aujourd’hui je suis fatigué.

Je suis jeune , et je ne serai pas pris au sérieux, je ne serai pas écouté. Pourtant j’essaye, car j’ai besoin de dire ce que l’on peut ressentir, car j’ai beau être jeune je pense à mon avenir, mon avenir avec celui que j’aime. Je suis jeune et je parle avec mes amis, d’autres jeunes. Avenir, nous sommes l’avenir. Avenir de votre pays, de notre pays. Avenir de l’Europe. Notre avis compte aussi.

Je suis un ado, homosexuel de surcroît, rien pour plaire aux politiques, j’ai tous les vices, et tous les problèmes du monde. Je suis votre avenir, et le futur de la France. Je suis une voix parmi tant d’autres… »   

Dimitri Cuvelier, Bousbecque (Nord)

 

 

Image associée


Notes : Un blog du Monde :    http://mediateur.blog.lemonde.fr/2012/11/26/je-suis-un-ado-homosexuel-jai-tous-les-vices-et-tous-les-problemes-du-monde-je-suis-votre-avenir-et-le-futur-de-la-france/


commentaire :[ 'tu es notre avenir ?'  OUI ! Tu ne sais pas si bien dire :aux USA, un sondeur US recensait récemment 20% de jeunes  entre 15-22ans se reconnaissent LGBTQ  .  Tremblez Furies Parisiennes de la manif pour tous et autres 'Sens Commun' "  ]  claudio

 

Par DIMITRI - Publié dans : CULTURE GAY & SOCIETES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Vendredi 3 novembre 5 03 /11 /Nov 16:14

 

bouton gonflé dans un buisson  ! 

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Image associée

  Image associée 

Image associée le lieu où on laisse tomber tous ses préjugés                        

   

Image associée   Image associée

 

 

Image associée

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Résultat de recherche d'images pour "gay porn pulsating gay anus" ouihhhh... maintenant c'est là que c'est gonflé !

 

 

 

Par DE MINES - Publié dans : CULTURE GAY & SOCIETES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 1 octobre 7 01 /10 /Oct 08:54

 

  tu me donnes des idées ! et ça on n'a rien contre  ; on serait plutôt pour !   

Wham!

 

 

George Michael

 

 

Résultat de recherche d'images pour "gay cigarette after gay sex gif" explorer, c'est bien le mot !...

 

Image associée-"OUI?"  -"je l'ai prise bien profonde, ça je peux vous dire..."

Vanderpump Rules

-" non ,  c'est vrai ?"

 

Image associée

-"Attends, pas possible..." 

Image associée

-"Tu me fais réfléchir, tu sais ...tu me donnes des idées ! "

  Image associée 

-"Moi, tu sais ...c'est ton odeur qui me donne des idées ! "

 

oui, par dieu ! bien profonde

 et moi donc !         

 

 

Par DISTIC - Publié dans : CULTURE GAY & SOCIETES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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  • : BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
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