CULTURE GAY & SOCIETES

Mardi 4 juillet 2 04 /07 /Juil 15:58

mais maintenant il y a grindr et l'envie a été plus forte QUEUE la peur

en général les arabes ne sucent pas et n'embrassent pas

je peux maintenant vous dire que ce n'est pas toujours vrai et c'est une preuve d'amour interracial.

Quand il m'a mis sur le dos il n'a pas cessé de surveiller mon visage pour voir si ce qu'il me faisait  me donnait du plaisir (oui!!!) Il m'a inondé la bite  de son sperme et j'ai joui dedans en mêlant symboliquement nos semences

Il ne m'a pas proposé le bareback mais je pense qu'avec lui j'aurais accepté

C'était bien, c'était bon

   

Par NABU - Publié dans : CULTURE GAY & SOCIETES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 28 juin 3 28 /06 /Juin 07:38

leurs chanceux propriétaires sont-ils si fortunés et vaniteux ?

Felix, sujet britannique de 29 ans qui n’hésite pas à parler de handicap à propos de son sexe, dont il refuse de donner la taille exacte mais qui "dépasse largement le cadre de la normalité".

Peuchère ! "Dès qu’il a commencé à devenir imposant, alors que j’étais adolescent, mon sexe est devenu un objet de honte", confie-t-il. "Aller à la piscine ou simplement porter un short s’est transformé en angoisse. Je rêvais de le découper ou de me faire opérer, je n’osais en parler à personne."

Des érections plus difficiles à maintenir

Même dans un pantalon normal, Felix a du mal à dissimuler sa vraie nature. Et lors des fouilles aéroportuaires, la même scène se reproduit inévitablement lorsqu’il est palpé par un agent croyant avoir mis la main sur un paquet suspect. Avec les filles aussi, la surprise laisse place à la perplexité. "Quand je rencontre une fille, je n’ose pas la prévenir, et passé l’effet d’éblouissement, je sens bien que ça la dégoûte." Pour assombrir le tableau, Felix ne connaîtra jamais la joie de pénétrer entièrement sa partenaire et avoue quelques problèmes à maintenir son érection.

“Un gros pénis demande en moyenne plus de carburant que les autres”, avance l’andrologue Ronald Virag, auteur de la bible sur le sujet, Le Sexe de l’homme. S’il faut en moyenne 133 ml de sang pour ériger un sexe moyen (10,84 cm au repos et 15,11 cm en érection), certains spécimens demandent le double. “On constate qu’un pénis ayant besoin d’un volume important conserve en général moins bien l’érection que les autres”, explique le spécialiste. [surtout en vieillissant]

Les détenteurs d’un mégapénis sont rares et disposent pour se consoler (outre la chirurgie dans certains cas) du livre How to Live with a Huge Penis (2009, non traduit en français), bourré de trucs et astuces à leur intention.

Ceux qui sont suffisamment au-dessus de la moyenne pour se targuer d’en avoir une grosse. Au-dessus de 20 cm en érection, “une rareté” selon Virag, qui a “vu” plus de 15 000 hommes dans son cabinet (environ 1,8% des sujets selon les études). Ou à partir de 17 cm, soit environ 13% de la population concernée.

Lionel, lui, avoue 19 cm de long et 6,5 cm de large. Il n’aborde pas les filles plus facilement, mais s’attend naturellement en se déshabillant “à de petites exclamations d’agréable surprise”.

“Je suis fier de mon zguègue, raconte le trentenaire, mais si on me demandait de me définir en trois points, je ne penserais pas à la taille de mon sexe.”

"Tu l'as trop gros !"Lionel confesse une interdiction récurrente de pratiquer la sodomie et le refus de la fellation en cas d'ouverture buccale insuffisante.

“Un grand sexe ne donne pas plus de plaisir aux partenaires, c’est plutôt la largeur qui va compter”, explique Ronald Virag, qui reprend les chiffres : “Chez la femme, il y a 8 cm entre l’orifice et le col de l’utérus, plus 3 cm avant le cul-de-sac de Douglas (sic).”

NDLR : de ce côté nous pouvons penser que les hommes entraînés sont bien moins limités. -lol-


commentaire : "lors d'une levée en pissotière on est allés à l'abri des regards. Le "machin" que javais entrevu me paraissait beau mais mettable. Quand il s'est présenté en action c'était une autre paire de...manches. Le gober(en préliminaire) a été difficile, et sans gorge profonde, le prendre dans mon cul, ça a commencé...je me souviens j'étais appuyé à un arbre, j'ai, bien sûr voulu l'arrêter...mais lui n'était pas de l'avis de rester sur sa faim (de loup-lol-) et, installés comme on était, costaud, pas grand mais musclé comme il était, il a été le plus fort. J'ai vécu le trip à la fois douloureux et inattendu le moins mal possible. Je sais c'est con, mais en fait j'étais partagé entre peur de la défonce  définitive qui marque à jamais et le désir de cette aventure. C'était ma première très grosse bite. Essoufflés on a fini assis côte à côte sur un arbre mort à fumer la clope de l'amitié. C'était fait, comme être déviergé une 2e fois. Le jeune victorieux était rude mais "brave" comme on dit chez-nous Il me questionnait si j'avais mal encore, si c'était bon quand même. On est restés un bon moment. VRP il était de l'Ardèche. Fallait qu'il reparte. Notre histoire s'arrêtait là, pour moi c'était un début vers d'autres déis, volontaires cette fois...."  ps : il avait plein de vestes et de parkas pendus dans sa Berlingo pour les livrer...je regrette pas bien sûr.  ( MOJICAN)       


 

Par d'après LES INROCKS - Publié dans : CULTURE GAY & SOCIETES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 19 juin 1 19 /06 /Juin 06:56

EVITER QUAND MEME DE DEVENIR LE GHETTO GAY MONDIAL OU IL FAIT BON FAIRE DES ATTENTATS ! (cavaillongay)

 

Oui, Paris veut devenir la "capitale mondiale" du tourisme LGBT

Paris veut devenir la "capitale mondiale" du tourisme LGBT La Marche des Fiertés, ou Gay Pride, à Paris le 27 juin 2015 (MARTIN BUREAU / AFP )

"Pas toujours au diapason" d'autres villes, la capitale peut faire mieux pour l'accueil et la sécurité des personnes LGBT. Un rapport remis par Jean-Luc Romero à Anne Hidalgo fait 52 propositions.

   Nouvel Obs  14 juin 2017

  "Nous devons être plus visibles, audibles, entreprenants et audacieux", a promis Anne Hidalgo en recevant mardi le rapport [PDF] "Paris, ville phare de l'inclusion et de la diversité" demandé à l'élu parisien et conseiller régional Ile-de-France Jean-Luc Romero, en soulignant que Paris, ville des droits de l'homme, était déjà "LGBTIQ-friendly" (lesbiennes, gay, bisexuels, trans, intersexes ou queer).    

Paris "n'est pas une belle endormie mais n'est pas toujours au diapason des autres capitales parfois plus audacieuses" en matière d'accueil de la communauté gay, a affirmé Jean-Luc Romero. Son rapport note "l'image un peu plus terne" de la capitale française auprès du public gay comparée à celle de San Francisco, Montréal, Tel-Aviv ou Madrid.       

Il relève que depuis le mariage pour tous, "peu de réelles avancées ont été mises en œuvre, et le climat de tension actuel laisse penser en France et à l'étranger qu'un recul des droits et des libertés serait possible".

Le rapport se penche à la fois sur les enjeux sociaux, d'acceptation et de sécurité, et sur les enjeux économiques, en matière de tourisme et d'image – d'autant que la capitale accueillera en août 2018 les Gay Games et souhaite "renforcer une image positive et d'ouverture durant ce grand moment de visibilité internationale". d

Jean-Luc Romero : "Les réseaux sociaux m’ont aidé dans mes combats"Pour cela, la Ville est invitée à renforcer ses engagements contre les discriminations et leur portée vers le grand public ; notamment autour du 17 mai, date annuelle de la Journée mondiale contre la lesbophobie, l'homophobie, la biphobie et la transphobie.

Cette proposition a été acceptée, et Paris doit remettre chaque année la médaille de la Ville à des personnes s'étant illustrées dans la lutte contre l'homophobie. Mardi, Anne Hidalgo a avant la remise officielle du rapport décerné la médaille à Shams (association tunisienne) et à l'Ardhis (Association pour la reconnaissance des droits des personnes homosexuelles et transsexuelles à l'immigration et au séjour), partenaire de la Ville pour accompagner les réfugié(e)s LGBTI.

Le rapport propose la diffusion aux partenaires de la Ville du guide pratique de SOS Homophobie, pour améliorer la lutte contre les discriminations et les violences LGBTIQ-phobes (il rappelle que l'on recense "en moyenne, seulement 70 condamnations par an sur ces sujets pour 1.500 faits recensés") et la prise en charge des plaintes.

 Faire son coming out au travail : ça ne va pas encore de soi en 2017Il suggère aussi un travail de formation dans les lieux d'écoute et de sécurité

Mémoire, symboles : Marais, noms de rue et archives

Le rapport souligne que le Marais, quartier emblématique des homosexuels depuis les années 1980, perd progressivement cette identité, "avec ses boutiques de luxe qui remplacent les coffee shops gays" (ses auteurs auraient pu noter que dans le même Marais, cette observation a également été faite sur la perte d'identité du quartier juif autour de la rue des Rosiers).

Les auteurs proposent d'identifier le Marais comme un "Gay Village", avec une bannière de bienvenue comme dans le quartier de Castro à San Francisco, une œuvre de "street art", etc.

Côté mémoire, la Ville veut aider à la création d'un monument et à la mise en place d'archives LGBT (à San Francisco, le GLBT Museum héberge à la fois des archives et un musée dédiés). Anne Hidalgo annonce que la capitale sollicitera le soutien du gouvernement en vue d’un archivage national, et veut faire aboutir le projet d'un monument en mémoire des victimes LGBTI.    En matière de noms, le rapport estime que "les noms donnés aux rues et autres bâtiments publics devraient plus souvent rendre hommage à des personnalités LGBTIQ, une occasion de faire connaître une personnalité plus ou moins célèbre" et de montrer que "les communautés LGBTIQ font partie intégrante de l’espace public et ont le droit d’y circuler librement".

Les auteurs rappellent que cette année a été inaugurée, le 18 mai, la Promenade Coccinelle en l’honneur de l’artiste de cabaret transgenre. Ajoutons que dans le 13e arrondissement, il y aura bientôt à côté de la Halle Freyssinet une rue Alan Turing, en hommage au pionnier anglais de l'informatique et des sciences : ce héros de la Seconde Guerre mondiale se suicida après avoir été condamné à la castration chimique pour homosexualité.

Le tourisme, fort enjeu économique

Un récent rapport de l'Organisation mondiale du tourisme et de l'IGLTA (association internationale du tourisme LGBT) estime que les touristes LGBT sont une des clientèles les plus résilientes après une crise, ayant tendance ainsi à revenir plus rapidement que les autres après des attentats. Une raison de plus pour Paris, dont les hôtels et autres entreprises du tourisme ont vu leur activité chuter après les tueries de 2015, de travailler à attirer cette clientèle.

"Ces personnes représentent 10% du tourisme mondial, Paris est la ville de l’amour, celle du mariage pour tous et doit encore davantage s’ouvrir", a déclaré Jean-Luc Romero au "Parisien". "L’office du tourisme va travailler sur des circuits, des offres, un label pour accueillir et conseiller ces touristes" (en France, rappelle le rapport, Le Mans et Nice ont fait un travail de labellisation de l'accueil gay-friendly).

Paris, qui a adhéré en 2016 au groupement Rainbow Cities Network (une trentaine de villes du monde), va déployer "une communication touristique dédiée aux personnes LGBTI", pour "accompagner la programmation très riche de l'année 2018, dont le point d'orgue sera l'accueil des Gay Games", annonce la mairie.

Soutien accru à la Marche des fiertés

Selon une étude américaine, plus de 30% des lesbiennes et gays interrogés organisent leurs voyages autour d'un événement LGBT, la manifestation phare étant les Marches des fiertés ou Gay Prides. Or, la Marche des fiertés parisienne (la prochaine a lieu samedi 24 juin), malgré ses 500.000 visiteurs chaque année, "a du mal à exister face à celles de Madrid, Berlin, Londres, Montréal, Tel-Aviv ou Amsterdam", regrette le rapport.

"Make America Gay Again" : les LGBT marchent contre TrumpIl propose en conséquence "un investissement fort et affiché des pouvoirs publics" en partenariat des associations qui l'organisent, et avec les acteurs privés. "Les pouvoirs publics, l'office du tourisme ou les grandes entreprises françaises affichent peu leur soutien aux manifestations LGBTIQ, alors que ce secteur touristique représenterait à lui seul 5 à 10% du tourisme international."

Parmi les suggestions, fixer la date de la Marche – le dernier samedi de juin est proposé et la maire de Paris s'est engagée auprès de l'Inter-LGBT, qui coordonne plusieurs événements dont la Marche parisienne, à ce que cela devienne la date officielle –, créer un comité de pilotage avec des permanents, comme le font d'autres métropoles internationales, augmenter le soutien budgétaire de la Ville de Paris, afficher le soutien de la Ville, etc.

La Ville annonce qu'elle mettra en place cette année une convention de partenariat, "avec une contribution de plus de 100.000 euros qui en fait le premier financeur public".¤Thierry NoisetteThierry NoisetteJournaliste

 

 

Par THIERRY NOISETTE - Publié dans : CULTURE GAY & SOCIETES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 11 juin 7 11 /06 /Juin 21:00

À Toulouse, La Marche des fiertés a réuni samedi des milliers de personnes pour faire la fête et surtout défendre les droits à la différence des homosexuels, bisexuels et transgenres.

La marche des fiertés à Toulouse, le 10 juin 2017.La marche des fiertés à Toulouse, le 10 juin 2017. (STEPHANE IGLESIS / RADIO FRANCE)


Des milliers de personnes ont défilé à Toulouse, samedi 10 juin, pour La Marche des fiertés, une fête en pleine rue pour défendre les droits des lesbiennes, gays, bis, trans, intersexes et queers.publié le 10/06/2017 Stéphane IglésisRadio France|

Une recrudescence des actes homophobes

Sur la banderole de tête est affichée la revendication centrale, "Stop aux agressions et aux phobies contre les communautés homosexuelles et transgenre". "Il reste difficile encore aujourd'hui de se tenir la main et de s'embrasser dans la rue", assure Sami, l'un des manifestants. 

Malgré tout, on est en 2017, on continue de recevoir des insultes et des regards déplacés. On a le droit de marcher, de s'embrasser, d'être libres.

Jean-Lou, participant à La Marche des fiertés à Toulouse

à franceinfo

Pour Christine Tatareau, déléguée Midi-Pyrénées pour SOS Homophobie, il y a encore de nombreux droits à défendre. "Certains partis essayent de remettre en cause nos droits, notamment revenir sur le mariage pour tous, déplore la militante. L'adoption pour les couples de lesbiennes ne va pas non plus de soi, elles sont souvent obligées de prendre un avocat. Ensuite, la PMA promise par François Hollande, on ne l'a pas eue. On constate, et on le voit dans le rapport de SOS Homophobie de cette année, une recrudescence des actes homophobes, notamment transphobes.

Je pense qu'il y a encore beaucoup de travail à faire et on a besoin, plus que jamais, de Marches des fiertés encore, encore et encore.

Christine Tatareau, SOS Homophobie à franceinfo

C'est la première Marche des fiertés pour Thomas. Il est venu, "pour être présent, pour la diversité et contre les actes violents et les camps de concentration en Tchétchénie." Selma, elle, est non-voyante et déplore que la société n'aime toujours pas les différences : "L'homosexualité n'est pas très voyante finalement. On regarde toujours d'un air choqué les fauteuils roulants dans la rue et pour les couples gays c'est pareil. Je trouve cela dommage."

 

La marche des fiertés, le 10 juin 2017, à Toulouse.La marche des fiertés, le 10 juin 2017, à Toulouse. (STEPHANE IGLESIS / RADIO FRANCE)

 

 

"C'est une marche très importante, insiste Fabrice, un autre manifestant, qui vient chaque année. Ici, tout le monde se retrouve, quelque soit son identité. Dans les associations on a parfois tendance à être replier sur soi-même. C'est l'occasion de tous se retrouver et d'échanger ensemble pour un combat qui, au final, est commun. Les discrimminations sont multiples, même pour les gays elles continuent à exister.

Ce qu'on recherche dans les mouvements LGBT c'est avant tout d'essayer de construire un monde différent, plus inventif, plus créatif et qui donne une place à chacun et à chacune.

Fabrice, participant à La Marche des fiertés à Toulouse

 

Un important service d'ordre encadrait le cortège avec instruction de le garder compact pour des raisons de sécurité.

 

"Ici, tout le monde se retrouve, quelle que soit son identité", Fabrice, participant à la Marche des fiertés de Toulouse, à franceinfo
  

 

Par PRIDE 2017 - Publié dans : CULTURE GAY & SOCIETES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Jeudi 8 juin 4 08 /06 /Juin 08:16

"Si un pédé vivait dans cette maison, je lui tirerais dans la tête avec un fusil de chasse !"


 C'est en entendant ces mots d'une violence extrême que Corey Nichols a su que sa vie était en danger.
 

Corey habite dans l'état du Michigan, aux États-Unis. Dans une émission de radio locale, le jeune garçon de 15 ans raconte qu'il a toujours caché son homosexualité à sa famille, par peur de la réaction que pourraient avoir ses parents ultra-conservateurs.

En grandissant, il explique que son père avait pris l'habitude de le battre, qu'il lui répétait sans cesse que les homosexuels ne sont pas seulement d'horribles personnes mais le mal incarné et qu'ils devaient être tués une fois un certain âge atteint. Rien que ça !

@queerty.com

Un soir, Corey est rentré chez lui et avait une forte fièvre. Comme ses parents le soupçonnaient d'être gay, ils l'ont tout simplement ignoré, refusant catégoriquement de l'aider... même s'il s'agissait-là de la vie de leur propre fils.

Quelques jours plus tard, vers 2h du matin, le jeune homme très malade s'est dit que sa vie ne pouvait pas continuer comme ça et il a voulu se suicider... Cherchant du réconfort, il s'est donc connecté à son ordinateur pour parler à Aubrey, sa meilleure amie.

"Je suis désespéré. Les choses tournent vraiment mal, j'ai envie de me tailler les veines. Je ne rigole pas", a-t-il écrit.

Quand Mindy, la maman d'Aubrey, a vu cette phrase sur l'écran, elle a tout de suite réagi. "C'est comme si j'avais été possédée par quelqu'un d'autre. Je savais que je devais agir, faire quelque chose, mais tout ce que j'ai fait était contre ma nature, pas comme je suis d'habitude."

Sans attendre, Mindy et sa fille ont sauté dans la voiture, se sont rendues au domicile de Corey et l'ont récupéré. Une fois de retour chez elle, la maman d'Aubrey a été horrifiée de voir que le jeune homme était tout bleu, il était victime d'une pneumonie !

Les deux semaines qui ont suivi, Mindy et son mari Dale se sont occupés de lui du mieux qu'ils ont pu. Pendant toute cette période, les parents de Corey ne semblaient pas s'inquiéter de la disparition de leur fils, puisqu'ils n'ont plus jamais demandé de ses nouvelles...


@ via funactu


Ne pouvant pas rester indéfiniment chez Aubrey, une fois guéri Corey est rentré chez lui. Peu de temps après, le jeune homme a décidé d'affronter sa plus grande peur : Il a donc mis sa mère dans la confidence en lui avouant qu'il était gay. Et quand son père a appris la nouvelle, il est entré dans une rage folle.

"Il hurlait, criait qu'un 'pédé' habitait dans sa maison, il n'en revenait pas que le 'démon' puisse être dans sa maison, c'était atroce" raconte Corey. "Je me suis enfermé dans ma chambre quand mon frère est rentré. La première chose que mon père a faite a été de lui dire que son frère n'était qu'un 'sale pédé'."

Le jeune homme commence à craindre pour sa vie, et la suite des événements va malheureusement lui donner raison ! Devenus complètement incontrôlables, son frère et son père ont défoncé la porte de sa chambre. Heureusement, Corey a eu le temps de se réfugier dans la salle de bain où il est resté pendant plusieurs heures. Choqué devant autant de haine, surtout venant de sa propre famille, le jeune homme a attendu que tout le monde aille dormir pour quitter la maison et ne plus jamais y remettre les pieds.

Seul, désemparé et n'ayant nulle part où aller, il est retourné chez sa meilleure amie Aubrey où il vit depuis. La famille l'a accueilli à bras ouverts, comme la première fois !

"On a aménagé une chambre pour Corey dans une pièce au sous-sol" explique Dale. "On a rassemblé tout ce qu'on a pu pour lui faire un endroit chaleureux, car il n'avait rien pu prendre avec lui lors de sa fuite. Quand je l'ai vu heureux dans sa chambre de fortune, j'ai fondu en larmes. Ce petit geste, c'était plus d'amour que ce qu'il n'a jamais eu."

Quelques semaines plus tard, Mindy et Dale, très touchés par l'histoire hors du commun de Corey, ont décidé de l'adopter. Le jour où le tribunal a rendu son verdict, aucun membre de la famille biologique n'a contesté cette décision. Un énième coup de massue pour le garçon, qui n'aura finalement jamais été aimé par les siens...

"Je veux que le monde sache que Corey est une personne extraordinaire" déclare Mindy. "Je veux que le monde sache ce que Corey vécu afin que ça n'arrive plus jamais. La sexualité est une part infime de ce que l'on est. Avant d'être homosexuel, Corey est un humain attentionné, intelligent, et mérite le respect. Qui l'attire ou avec qui il se mariera, cela ne regarde que lui." 

@Patrick Semansky/AP


Depuis que l'histoire est sortie dans la presse, la famille de Corey ne cesse de dire que tout ça n'est qu'un grand mensonge. Encore pire, voici le message que James, le frère de Corey a publié sur son compte Facebook :

"Pour tous ceux qui ont lu l'histoire pathétique de mon frère, c'est une blague, et je suis franchement choqué qu'on puisse mentir pour une merde pareille. Certaines choses sont vraies mais tous les points principaux sont absolument faux. Si quelqu'un a un problème qu'il vienne me voir, mon frère est un lâche. Il a le pouvoir de manipuler les gens mieux que personne."

La soeur de Corey, Hailey, a ensuite répondu :

"Il savait exactement ce qu'il faisait. C'est marrant de voir que "l'histoire" est sortie un jour après que le mariage gay soit devenu légal dans le Michigan."

Puis James, son frère, a renchéri :

"Ouais ces putains d'homos. Vous savez pourquoi ils arrivent toujours à leur fin ? Parce qu'ils sont égoïstes et ne pensent qu'à eux."

Puis ça a été au tour d'Angie, la mère, de mettre son grain de sel :

"Je n'arrive pas à y croire, on n'a jamais mis Corey dehors, il est parti. Il n'était pas e danger ici, personne ne lui aurait fait de mal ! C'est juste que son père n'aime pas les gays, il ne les supporte pas, il a ses raisons."

Devant autant de bêtise et d'atrocités, difficile parfois de garder son sang-froid, mais la nouvelle famille de Corey sait y faire.

"Se battre pour la bonne cause n'est pas toujours facile, mais c'est toujours bon" rappelle Mindy. "Notre famille est tombée sous le charme et la gentillesse de Corey. Sa sexualité ne change pas qui il est. Je veux que le monde entier sache qu'on est une famille à part entière. Je veux que les gens comprennent que les gènes que l'on partage ou non importent peu. Le plus important, c'est l'amour inconditionnel que l'on se donne."

De temps en temps, il arrive encore que Dale croise le père biologique de Corey en centre-ville. "Il sourit et agit comme si rien n'était grave. Il dit 'merci, j'apprécie ce que vous faites pour mon garçon'" raconte-t-il.

Quand cela arrive, Dale continue tranquillement son chemin en murmurant pour lui-même : "J'ai des nouvelles pour toi, ce n'est pas ton garçon. C'est mon fils."

commentaire : Une histoire terrifiante mais qui permettra à Corey de s'en sortir et de prendre une revanche sur la vie, on n'en doute pas !

 

 

 

Par COREY - Publié dans : CULTURE GAY & SOCIETES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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