Partager l'article ! GROSZOB~> souvent fellation difficile, voire nulle, sodomie interdite, érection éphémère...fantasmez-les, libre à vous, mais ne les enviez pas ...
leurs chanceux propriétaires sont-ils si fortunés et vaniteux ?
Felix, sujet britannique de 29 ans qui n’hésite pas à parler de handicap à propos de son sexe, dont il refuse de donner la taille exacte mais qui "dépasse largement le cadre de la normalité".
Peuchère ! "Dès qu’il a commencé à devenir imposant, alors que j’étais adolescent, mon sexe est devenu un objet de honte", confie-t-il. "Aller à la piscine ou simplement porter un short s’est transformé en angoisse. Je rêvais de le découper ou de me faire opérer, je n’osais en parler à personne."
Des érections plus difficiles à maintenir
Même dans un pantalon normal, Felix a du mal à dissimuler sa vraie nature. Et lors des fouilles aéroportuaires, la même scène se reproduit inévitablement lorsqu’il est palpé par un agent croyant avoir mis la main sur un paquet suspect. Avec les filles aussi, la surprise laisse place à la perplexité. "Quand je rencontre une fille, je n’ose pas la prévenir, et passé l’effet d’éblouissement, je sens bien que ça la dégoûte." Pour assombrir le tableau, Felix ne connaîtra jamais la joie de pénétrer entièrement sa partenaire et avoue quelques problèmes à maintenir son érection.
“Un gros pénis demande en moyenne plus de carburant que les autres”, avance l’andrologue Ronald Virag, auteur de la bible sur le sujet, Le Sexe de l’homme. S’il faut en moyenne 133 ml de sang pour ériger un sexe moyen (10,84 cm au repos et 15,11 cm en érection), certains spécimens demandent le double. “On constate qu’un pénis ayant besoin d’un volume important conserve en général moins bien l’érection que les autres”, explique le spécialiste. [surtout en vieillissant]
Les détenteurs d’un mégapénis sont rares et disposent pour se consoler (outre la chirurgie dans certains cas) du livre How to Live with a Huge Penis (2009, non traduit en français), bourré de trucs et astuces à leur intention.
Ceux qui sont suffisamment au-dessus de la moyenne pour se targuer d’en avoir une grosse. Au-dessus de 20 cm en érection, “une rareté” selon Virag, qui a “vu” plus de 15 000 hommes dans son cabinet (environ 1,8% des sujets selon les études). Ou à partir de 17 cm, soit environ 13% de la population concernée.
Lionel, lui, avoue 19 cm de long et 6,5 cm de large. Il n’aborde pas les filles plus facilement, mais s’attend naturellement en se déshabillant “à de petites exclamations d’agréable surprise”.
“Je suis fier de mon zguègue, raconte le trentenaire, mais si on me demandait de me définir en trois points, je ne penserais pas à la taille de mon sexe.”
"Tu l'as trop gros !"Lionel confesse une interdiction récurrente de pratiquer la sodomie et le refus de la fellation en cas d'ouverture buccale insuffisante.
“Un grand sexe ne donne pas plus de plaisir aux partenaires, c’est plutôt la largeur qui va compter”, explique Ronald Virag, qui reprend les chiffres : “Chez la femme, il y a 8 cm entre l’orifice et le col de l’utérus, plus 3 cm avant le cul-de-sac de Douglas (sic).”
NDLR : de ce côté nous pouvons penser que les hommes entraînés sont bien moins limités. -lol-
commentaire : "lors d'une levée en pissotière on est allés à l'abri des regards. Le "machin" que javais entrevu me paraissait beau mais mettable. Quand il s'est présenté en action c'était une autre paire de...manches. Le gober(en préliminaire) a été difficile, et sans gorge profonde, le prendre dans mon cul, ça a commencé...je me souviens j'étais appuyé à un arbre, j'ai, bien sûr voulu l'arrêter...mais lui n'était pas de l'avis de rester sur sa faim (de loup-lol-) et, installés comme on était, costaud, pas grand mais musclé comme il était, il a été le plus fort. J'ai vécu le trip à la fois douloureux et inattendu le moins mal possible. Je sais c'est con, mais en fait j'étais partagé entre peur de la défonce définitive qui marque à jamais et le désir de cette aventure. C'était ma première très grosse bite. Essoufflés on a fini assis côte à côte sur un arbre mort à fumer la clope de l'amitié. C'était fait, comme être déviergé une 2e fois. Le jeune victorieux était rude mais "brave" comme on dit chez-nous Il me questionnait si j'avais mal encore, si c'était bon quand même. On est restés un bon moment. VRP il était de l'Ardèche. Fallait qu'il reparte. Notre histoire s'arrêtait là, pour moi c'était un début vers d'autres déis, volontaires cette fois...." ps : il avait plein de vestes et de parkas pendus dans sa Berlingo pour les livrer...je regrette pas bien sûr. ( MOJICAN)
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