L'ART DE /erotic music ciné danse peintur litter..

Dimanche 4 février 7 04 /02 /Fév 14:15

 

 

the Royal Ballet london 2015
Nicol Edmunds et Matthew Ball

La difficile pratique de la danse classique pour un garçon : discriminations...moqueries, insultes .

Il est difficile encore aujourd'hui pour un garçon de pratiquer la danse classique aussi bien en discipline de loisirs que pour envisager un avenir professionnel. Il paraitrait que les garçons la pratiquant sont des mauviettes. C'est un préjugé car pour faire du ballet classique il faut au contraire avoir du caractère, de l'endurance et de la force physique.

On peut dire que la société  influe sur nos comportements et nous programme pour faire des choix en fonction de notre sexe. Les filles jouent à la poupée, les garçons aux voitures et trains électriques. Cela se retrouve dans le monde du travail comme par exemple le secteur des sages- femmes où on trouve très peu d'hommes.

On constate que le garçon qui veut danser va devoir se confronter à l'opposition de ses parents et à la moquerie des copains.

Les écoles de danses sont désertées par les garçons. Souvent lorqu'ils s'inscrivent ils le font très souvent en cachette.Ils arrêtent la pratique en cours de route.Pour attirer les éléments masculins certaines proposent des bourses d'études.

Certains attendront de passer l'adolescence et d'avoir la maturité nécessaire pour enjamber et ne prêter aucune attention aux moqueries.

On voit aussi pour les garçons issus de l'immigration une difficulté supplémentaire car de par leur culture un garçon ne doit pas danser que ce soit du classique ou autre.Kamel OUALI , par exemple, a été inscrit dans un cours de danse par sa mère, mais en cachette de son père.

Le monde de la danse masculine est largement associé à l'homosexualité.

 Le sociologue Pierre-Emmanuel Sorignet souligne les dimensions sexuées et sexuelles du métier (la danse c'est pour les filles et les "pédés") qui prend pour point de départ le caractère féminin du métier et le lieu commun de l'homosexualité. La danse permet peut-être à certains homosexuels masculins de vivre leur sexualité de manière plus sereine que dans d'autres milieux professionnels. On peut avancer que l'engagement dans le métier de danseur peut-être l'affirmation d'une identité masculine homosexuelle, l'appropriation de dispositions féminines.

Malgré tout il ne faut pas en faire une généralité, certains garçons venant aussi à la danse pour rencontrer les filles.

L' enseignement du danseur a évolué. On le forme pour devenir un véritable athlète. Didier Chirpaz, directeur de l' Ecole Supérieure de Danse du Québec (mais il en est de même dans les écoles françaises), valorise le travail physique car pour faire des spectacles de trois heures et porter des femmes à bout de bras il faut être extrèmement puissant.Ils sont assimilés à des sportifs de haut niveau par la technique et la performance. 

Bannour J, un garçon qui aurait voulu s'inscrire à un cours de danse classique :

-Aimes-tu vraiment la danse,tsi oui pourquoi ? Oui, j'aimerais en faire surtout pour devenir souple.
-Pourquoi tu ne peux pas en faire ?  Mes parents ne veulent vraiment pas, ils disent que c'est pour les filles et ne veulent pas que je devienne un tapette (ce qui est mal vu dans ma religion). Je pense qu'ils auraient honte de dire qu'ils ont un fils qui danse.
-Que pensent tes parents du métier de danseur ?: Ils disent que c'est seulement réservé aux filles et pensent que tous les garçons qui en font sont forcément des PD.
-A quoi est-ce dû ? : Principalement à ma religion, qui est contre l'homosexualité.
-Tu voulais t'inscrire à la danse, en aurais-tu parlé autour de toi, pourquoi? : J'en aurais parlé seulement à mes amis proches. J'aurais trop peur de perdre des amis et qu'on m'insulte.

 

-Penses tu qu'un danseur est nécessairement gay? : Non il sont loin d'être tous gay.
-Penses-tu qu'un jour tu pourras danser: Oui mais en cachette.
 
En s'appuyant sur les axes prédemment traités, on peut dire qu' au départ la danse masculine avait sa place et était reconnue par la société. On peut remarquer que son image s'est ternie avec l'avènement du ballet romantique qui a donné une importance énorme à la ballerine, le danseur n'étant là que pour la mettre en valeur. Le romantisme a féminisé le monde de la danse. Depuis le danseur essaie de retrouver sa place. On peut considérer qu'il y réussit sur scène grâce aux nouvelles techniques de danse et aux chorégraphes  mais il n'est pas encore arrivé à changer son image.

Il est à souhaiter que dans l'avenir les garçons puissent pratiquer l'art de la danse librement sans être importunés par des idées toutes faites

 

Petit poisson deviendra grand : Jamie Bell qui, dans le film Billy Elliott, evoquait un jeune danseur en proie aux prejuges homophobes habituels a fait carrière dans le cinema :    

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jAMIE bELL = Billy Elliott :

 


Par ROBIN - Publié dans : L'ART DE /erotic music ciné danse peintur litter.. - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 4 février 7 04 /02 /Fév 08:08

  petit raton deviendra grand  

    jeunes danseurs devenus grands avec des talons du talent

 

  la drague c'etait pour son fils l'honneur est sauf ! 1947 !!! 

Vous avez reconnu la voix de Suzy Solidor ??? dans la chanson Le Petit rat, qui date de 1947, et qui nous apprend qu’on dit Un Petit rat, au masculin, alors que c’est pourtant une jeune fille. Les "petits rats" sont les élèves de l’Ecole de danse de l’Opéra, et la moitié sont des filles, et l'autre moitié des garçons. Pourquoi cette appellation antinomique ? (danseu(r)se.s -> animaux !) -

Image associéeDysney's rats dancing !

 

Alors que l’opéra abrite l’élégance, la légèreté, la féminité, le tutu rose et ballerines assorties, le rat pourrait évoquer la noirceur, la fange, les égouts, l’avarice, le cynisme, en un mot, la peste.  Image associée  moi ? mais qui ??? moi ?  

On trouve la première trace de cette expression au XIXe siècle, sous la plume de Nestor Roqueplan, un journaliste pétri de sens de l’humour. L’usage vient, selon lui, de ce que les petits danseurs -et danseuses- adoptaient des comportements faisant penser à un groupe de jeunes rongeurs. 

Les représentations avaient lieu dans différents théâtres parisiens. On pouvait voir dans les couloirs de ces lieux, des enfants de moins de 14 ans, souvent petits et maigrichons, courir à droite et à gauche pour grappiller de la nourriture.

Les rats n’ont pas quitté le navire, mais l'École de danse de l’Opéra se situe maintenant à Nanterre, et non plus dans les murs de l’Opéra Garnier. 

Tout se perd, ma bonne dame, tout se perd! 

Jusqu’à preuve du contraire...fresque :

 


commentaire :

 


  fresque :

       

  Thomas Docquir, jeune danseur wallon à Paris 

 

 

Melvin de Toulouse

  "Je n'ai jamais marché, j'ai directement dansé !", s'amuse-t-il. "Quand je danse, je danse surtout pour moi, mais aussi pour les gens qui me soutiennent, et notamment pour mes parents qui, eux, ne peuvent pas marcher", ajoute-t-il, alors que son père et sa mère, tous deux en fauteuil roulant, étaient présents dans le public.  

 

Par SUZY DELAIR - Publié dans : L'ART DE /erotic music ciné danse peintur litter.. - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 4 février 7 04 /02 /Fév 07:50

Rudolf  Noureev a laisse une marque indelebile sur l'art masculin de la danse

 

  • putain le boulot ! les "petits rats" sont des geants !!!  l’équipe enseignante avait opté pour le fameux « Lac des Cygnes » 

 

    les métamorphoses...avant, avant ...               

 

 

  exguyparis: “August Atahu Generalli ” 

 

  Image associéeoui, avant l'insecte parfait  

  Fiction Gay:   Célian et Gabriel comme le Yin et le Yang

Dans le Lac des Cygnes, nous sommes les héritiers de Rudolf Noureev, homosexuel, qui a servi, magnifié et transformé l'oeuvre de Piotr Illitch Tchaïkovski, homosexuel lui aussi.  À 19h00, la musique classique de Tchaïkovski résonnait encore dans le studio de danse. Avec justesse et concentration, Célian et Gabriel s’appliquaient à réaliser différents exercices à la barre. Doryann, leur exigeant professeur, ne laissait rien passer. Avec sa baguette, il n’hésitait pas à recadrer les jeunes danseurs quand l’exécution des mouvements ne lui convenait pas, quitte à donner de petits coups de bâton sur leurs belles cuisses en action.

Célian et Gabriel fréquentaient la prestigieuse école de danse de l’Opéra de Paris. Le spectacle de fin d’année, qui clôturerait leur scolarité, approchait à grands pas. Pour cette nouvelle promotion de petits rats, l’équipe enseignante avait opté pour le fameux « Lac des Cygnes », grand ballet du répertoire. Si la distribution était quasiment finalisée, le rôle principal du Prince Siegfried, n’avait toujours pas été attribué. Bien que les deux jeunes hommes étaient fortement pressentis pour obtenir le rôle, aucun ne pouvait dire qui allait l’emporter.

Célian, avec son allure juvénile et son visage angélique, avait le physique parfait. Beau blond de 1m77, fin et gracieux, il ressemblait typiquement à ces princes Disney qui faisaient tant fantasmer dans les chaumières. Malheureusement pour lui, il possédait un peu moins de technique que Gabriel, plus physique et sportif. C’est ce qui permettait au beau brun de 1m85 de rester encore dans la course. Si les garçons s’appréciaient beaucoup au quotidien, aucun des deux ne comptait laisser passer sa chance. Une porte d’entrée dans le corps de Ballet de l’Opéra de Paris ne se refusait pas, même pour un ami.


Pliés, demi-pliés, dégagés, les exercices s’enchaînaient dans le studio. Pour obtenir les faveurs de leur professeur, les deux petits rats se donnaient corps et âmes à la tâche. On pouvait facilement voir leurs muscles travailler à travers leurs vêtements. En effet, Célian et Gabriel portaient la tenue traditionnelle du danseur classique de l’Opéra. Un t-shirt blanc, à col rond ouvert, épousait parfaitement la forme de leur torse. Leurs belles jambes, quant à elles, étaient mises en valeur par un collant gris ultra moulant, partant de la taille pour se terminer au niveau de la pointe de leurs orteils. Enfin pour terminer l'ensemble, les garçons avaient enfilé des chaussons de danse gris, assorti à leur collant.

Si cette tenue était avant tout imposée pour optimiser la pratique de la danse, elle avait le mérite de les rendre très désirables. Il faut dire qu’elle dévoilait absolument toutes leurs formes, tout en dissimulant, avec érotisme, leur douce peau. Ainsi, nombreux étaient les hommes gay qui, à l’Opéra, passaient plus de temps à reluquer avec leurs jumelles les beaux paquets et les beaux culs des jeunes danseurs , plutôt que de s’intéresser à la performance artistique. L’homosexualité étant monnaie courante dans le milieu, il n’était pas rare de voir un danseur traîner son cul dans un bar gay du Marais parisien.

À présent Célian et Gabriel avaient posé une jambe sur la barre pour accomplir quelques exercices d’assouplissement. Dos à leur professeur, on pouvait aisément admirer leurs belles fesses musclées, bien mises en valeur par le collant. D'autant plus que les garçons ne portaient aucun sous-vêtement. Doryann n’était pas insensible à ce spectacle. On pouvait même dire qu’il se rinçait l’œil tant son regard se baladait entre le petit cul sexy de Célian et les belles fesses musclées de Gabriel. D’ailleurs, sa bite commençait déjà à se redresser. Discrètement, il posa sa main sur son paquet et le malaxa avec envie à travers son collant noir. Très vite c’est un véritable gourdin que l’on pouvait deviner au travers du tissu.

— C’est bien les garçons, continuez comme ça, c’est très bien, lança le professeur qui se voyait déjà jouer avec leur cul.

Célian et Gabriel étaient contents de recevoir un compliment de la part du grand Monsieur Marguet. C’était si rare ! En se regardant dans les yeux pour se congratuler mutuellement, ils virent à travers le miroir de la salle, Doryann qui prenait beaucoup de plaisir à caresser son entrejambe, une immense entrejambe. Si cette vision les déconcentra, elle réveilla également en eux le désir qu’ils avaient envers leur beau professeur de danse. Célian se mordait déjà les lèvres en rêvant de cette belle queue lui perforant l’anus. Qu’elle devait faire du bien… Gabriel, lui, s’imaginait déjà négocier le rôle du prince à coups de langue ravageur.

Voyant qu’il avait été pris en flagrant délit de caresses, Doryann se rapprocha de Célian. Prétextant un faux mouvement de son élève, il se positionna derrière lui pour le corriger et lui expliquer le bon placement. En réalité, son objectif était surtout de coller sa bite contre le cul du jeune blondinet. Le garçon ne manqua pas de sentir l’immense braquemard se pointer au creux de ses fesses. Il put également sentir les mains de son professeur se poser sensuellement sur ses jambes. Une fois bien en place Doryann lui souffla à l’oreille :

— C’est bien Célian, n’oublie pas ta pointe de pied et maintenant glisse ta jambe sur la barre. Tu dois sentir une flexion de la cuisse.

L’élève s’exécuta alors que son professeur commençait à frotter doucement sa belle bosse contre le cul du jeune danseur.

— Alors, tu la sens bien ?

— Oui, je la sens très bien, répondit Célian en ne pensant pas du tout à une quelconque flexion de sa jambe mais plutôt...à autre chose...

— C’est bien, mais attention à tes cuisses ! Regarde, ça doit être bien ferme.

Joignant les gestes à la parole, Monsieur Marguet posa ses mains sur les cuisses du blondinet pour remonter délicatement vers les couilles et la bite de son élève. Il constata avec joie que celle-ci était déjà bien dure :

— C’est bien Célian, c’est ça, c’est bien ferme, reprit-il en malaxant la queue du blondinet. Si tu continues dans cette voie, tu as tous les arguments pour obtenir le rôle.

— Moi aussi Professeur c'est bien ferme, lança Gabriel en montrant son paquet, inquiet de l’avantage que venait de prendre son camarade.

Doryann, plus que bandé, se positionna derrière son autre élève et recommença la même manipulation avec beaucoup moins de retenue que précédemment. Il en était presque à mimer la sodomie. Ayant une autre idée en tête, le professeur s’interrompit au bout de quelques instants et demanda à ses deux élèves de venir se positionner au milieu de la salle. Comme il avait pu le sentir, les deux garçons avaient une belle bosse qui se dessinait au travers de leur collant gris.

— Comme vous le savez, un des moments déterminants dans le lac des cygnes est le baiser du Prince à la Princesse. Pour avoir une idée plus précise de qui je vais choisir, je voudrais que vous me montriez comment vous allez savoir mettre en scène ce baiser.

— Tous les deux ? demanda Gabriel

— Oui, tous les deux. À moins que tu préfères ne pas avoir le rôle ?

Les deux jeunes danseurs semblèrent étonnés par la demande mais ne se démontèrent pas pour autant. Au contraire, gay tous les deux, ils se faisaient une joie de pouvoir se distraire un peu pendant le cours. C’est Gabriel qui se rapprocha de Célian pour lui déposer un doux baiser sur les lèvres.

— Je vous ai demandé un vrai baiser d’amour, pas un petit bisou de coincé ! s’exclama Doryann. Allez, plus de conviction, je veux voir de la passion, je veux ressentir du désir, un amour vrai !

Sur ces paroles, les deux garçons se rapprochèrent à nouveau, en enlaçant leurs bras autour de la taille du partenaire. Les bites en érection étaient plaquées l’une contre l’autre. Célian et Gabriel se regardaient droit dans les yeux, brûlants de désir. Le blondinet lança les ébats en posant ses lèvres sur celles du beau brun. Très vite, les langues commencèrent à danser un ballet passionné. Les mains devinrent baladeuses, malaxant sensuellement et avec envie les fesses du partenaire. Les queues se frottaient l’une contre l’autre à travers le tissu du collant, de gauche à droite, puis de droite à gauche. Les deux jeunes danseurs commençaient à haleter alors que le professeur avait passé sa main sous son collant pour se masturber en les regardant :

— C’est bien ça, c’est exactement ce que j’attends d’un danseur !

Encouragé par la remarque de Monsieur Marguet, Gabriel se positionna derrière son camarade. Tout en frottant furieusement sa bite contre le cul de Célian, il plaqua sa main contre la protubérance du blondinet en n’arrêtant pas de l’embrasser. Il entreprit alors de douces caresses avant de saisir plus franchement son chibre et le masturber à travers le tissu. S’il ne la touchait pas encore directement, Gabriel lui faisait malgré tout énormément de bien. La scène était très érotique et les corps brûlaient de désir. Bientôt Doryann se rapprocha de ses deux apprentis. Il attrapa une main de Célian et une de Gabriel pour les poser directement sur sa bosse. Pendant que les deux jeunes danseurs lui malaxaient le chibre, le professeur enleva son haut pour dévoiler un magnifique torse musclé et poilu. Le blondinet et le beau brun se ruèrent dessus et commencèrent à léchouiller chacun un téton avant de redescendre plus bas vers une forme très imposante.

N’en pouvant plus, les deux élèves baissèrent son collant au sol pour dévoiler une bite à la dimension très avantageuse : 18 centimètres de bonheur, pour être plus précis. Célian ne laissa pas le temps à son camarade de réagir. Il aspira quasi instantanément le gros gland qui se présentait devant lui. Ne voulant pas rester inactif, Gabriel se redressa pour aller rouler une pelle à son professeur et lui démontrer ses qualités en la matière. Mais très vite, attiré par la queue, il retourna se mettre à genoux pour accompagner la fellation que prodiguait son camarade. Doryann pouvait maintenant profiter pleinement de la bouche de ses deux petits rats. Chacun de leur côté, les garçons parcouraient le sexe de leur professeur en léchant et suçant chaque centimètre carré, des couilles jusqu’au gland. Ce dernier savourait et ne pouvait s’empêcher de gémir :

— Humm oui, c’est bien les garçons, continuez comme ça, sucez-moi la bite. Celui qui en avalera le plus, prendra un avantage pour le rôle !

Le professeur empoigna alors sa bite et la dirigea, à tour de rôle, entre la bouche de Célian et celle de Gabriel. Il ne manqua pas de leur coller quelques bifles au passage. Les deux jeunes danseurs se donnaient beaucoup de mal pour obtenir le titre de meilleur suceur. Et à ce petit jeu, c’est Célian qui réussit à enfourner le plus gros morceau au fond de sa gorge, arrivant presque à coller les couilles de Doryann contre son menton. Pendant que le blondinet continuait seul la fellation, le professeur retira le t-shirt de Gabriel avant de l’embrasser goulûment. Puis ce fut au tour du blondinet de tomber le haut, si bien que l’on pouvait maintenant admirer les magnifiques torses imberbes de deux jeunes minets.

Ne voulant pas jouir trop vite, Monsieur Marguet proposa d’allier plaisir et exercices techniques en demandant aux deux jeunes danseurs de le masturber avec leurs pieds. Après avoir installé un tapis au sol, les trois protagonistes s’installèrent dessus. Si les deux élèves avaient retiré leurs chaussons de danse pour l’occasion, ils étaient toujours bien moulés par leurs collants gris. Chacun de leur côté, ils s’appliquaient à donner du plaisir au professeur qui semblait vraiment apprécier le contact doux du tissu enveloppant les 4 pieds qui le branlaient ainsi :

— Humm oui, ça c’est des pieds bien entraînés. Faites-les danser sur ma bite !

Les garçons s’exécutèrent encore quelques instants, puis, Gabriel, ne pouvant plus se contenter de donner du plaisir, se redressa. Voulant lui aussi qu’on s’occupe de sa bite, il alla se placer devant Célian. Ce dernier comprit immédiatement ce que souhaitait son camarade. Sans attendre qu’il lui demande, il baissa son collant à mi-cuisse et avala sa grosse queue bien baveuse. C’était aussi un très gros calibre, puisqu’elle ne mesurait pas moins de 20cm. Le blondinet se régalait littéralement et ça se voyait !

— Oh oui Célian, bouffe-lui la bite, lança le professeur en se rapprochant de l’action.

— Humm oh oui c’est bon, tu l’aimes ma grosse queue ! gémit Gabriel.

Très vite, le jeune minet se retrouva à sucer deux beaux pénis à tour de rôle. À genoux sur le tapis, sa tête était baladée de main en main et sa bouche de bite en bite. Debout et à sa gauche, Doryann faisait valoir toute sa puissance en lui baisant la bouche. À sa droite, Gabriel était plus doux mais tout aussi excité. Complètement dominé, Célian alternait entre coup de langue sensuel et va-et-vient ravageurs. Au vu des gémissements que poussaient ses amants du moment, il savait vraiment s’y prendre : un véritable expert de la fellation !

Après lui avoir bien baisé la bouche, Monsieur Marguet voulut passer à l’étape supérieure. Il alla chercher dans son sac un tube de gel lubrifiant et un préservatif. En revenant sur le lieu de l’action, il attrapa Célian avec autorité, lui faisant stopper la pipe qu’il prodiguait toujours à Gabriel. Positionné derrière son élève, Doryann passa la main sous le collant du blondinet pour lui pétrir les fesses. Puis sa main se dirigea vers le sexe en érection du minet qui frissonnait de désir en sentant les doigts de son professeur empoigner sa belle tige. Tout en le masturbant, il commença à frotter sa queue contre le cul du jeune danseur. Puis n’y tenant plus il lui baissa son collant et le positionna à 4 pattes sur le tapis. Il enfila la capote et se lubrifia la bite. Trop excité, Doryann ne prit pas la peine de préparer plus que ça son élève. Il positionna son gland contre l’anus imberbe de Célian qui soupirait déjà d’impatience de sentir cette grosse bite lui ramoner les intestins.

— Tu la veux ma bite Célian, hein tu la veux ?

— Oh Oui Monsieur Marguet, défoncez-moi la chatte.

Sans plus attendre, le beau barbu pénétra à l’intérieur de son élève. Son gland poussa devant l’entrée du petit trou et se fraya un passage à l’intérieur de ses fesses, malgré la résistance des sphincters. Doryann lui tenait fermement les cuisses. Une fois complètement à l’intérieur, il commença à remuer le bassin, d’abord lentement, ne faisant sortir et entrer que quelques centimètres de sa bite, puis de plus en plus franchement. Célian gémissait de bonheur en sentant cette belle matraque lui perforer et remplir le cul. La baise était vraiment torride. Les couilles de Doryann claquaient fortement contre les fesses du blondinet et ce bruit venait se mêler à ses râles et ses gémissements  :

— Humm, oh oui, baise-mon cul !

Gabriel n’était pas en reste et continuait de se faire sucer par son camarade enculé. La fellation était rythmée par les nombreux coups de boutoir que se prenait le blondinet. Son corps était littéralement projeté en avant à chaque coup de bite. Pour varier les plaisirs, Doryann se retira du cul du jeune danseur et alla s'asseoir sur une chaise. Célian ne mit pas beaucoup de temps à comprendre et il chevaucha son professeur avec vigueur, s’empalant et se désempalant de sa bite à un rythme très soutenu. Très vite, Gabriel prit sa place pour se faire à son tour démonter par le beau monsieur Marguet. Le tableau de ce ballet pour jeunes homos était absolument orgiaque. Les petits culs en chaleur des deux élèves dansaient sur la grosse bite bien dure de Doryann. La symphonie de gémissements qui retentissaient rythmait les pas de baise. Le professeur, chef d’orchestre, jouissait du cul des deux jeunes danseurs à tour de rôle.

C’est le jeune brun qui fut le premier à lâcher la sauce. Alors qu’il se faisait vaillamment défoncer, il éjacula une bonne ration de sperme dans la bouche gourmande de Célian qui le suçait en se délectant de sa queue. Puis les rôles furent inversés et c’est le blondinet qui éjacula dans la bouche de Gabriel, tout en se faisant littéralement défoncer le cul. Avant d’éjaculer à son tour, Doryann se retira du cul de Célian. Toujours assis sur la chaise, il balança la capote au sol. Les deux danseurs se ruèrent chacun d’un côté de leur professeur. A genoux, ils s’embrassèrent langoureusement autour de son gland. Monsieur Marguet ne put se retenir plus longtemps, et alors qu’il masturbait la base de sa bite, il déchargea un flot de foutre impressionnant qui vint se mélanger dans les bouches de ces jeunes élèves. Ces derniers n’en perdirent pas une goutte, léchant les moindres recoins du gland humide. Une fois la bite bien nettoyée, les garçons se relevèrent et s’embrassèrent langoureusement. Fiers de leur performance. Doryann les regarda et lança :

— Puisque vous m’avez fait jouir tous les deux, vous avez encore toutes vos chances pour le rôle du Prince du lac des cygnes. Mais sachez que vous avez déjà obtenu celui du prince du lac de sperme de ma pine !

À la fenêtre, Jonathan Garnier n’avait rien raté de la scène. Son collant gris était recouvert de sperme, preuve irréfutable du plaisir qu’il avait pris devant ce spectacle. Il tenait peut-être une occasion de se remettre dans la course très disputée du rôle principal du Prince...

 

 


commentaire :

Jungle :

notes

Sergei Polunin, “Take Me to Church” by Hozier, Directed by David LaChapelle

 

 

dysphoricsylph: “ Vladimir Shklyarov in Le Jeune Homme et la Mort. ”

Baby boom , source homotography 1

 

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Image associée "LES BIJOUX INDISCRETS"

 

 

 

 

 

 

Par SEXADVISOR - Publié dans : L'ART DE /erotic music ciné danse peintur litter.. - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Vendredi 2 février 5 02 /02 /Fév 14:00

Refus de jouer la mascarade, la comédie hétérosexuelle par Yukio Mishima " Lorsqu'il avait vu émerger entre les vagues un jeune homme pourvu de tout ce qui avait été interdit à sa propre jeunesse, un beau garçon qui n'aimait pas du tout les femmes, Shunsuké Hinoki avait constaté que le moule de sa jeunesse malheureuse avait laissé apparaître une surprenante statue. S'incarnant dans ce jeune homme...

Refus de jouer la mascarade hétérosexuelle par Yukio Mishima

Publié le 2 Février 2018 par Jean-Yves Alt

« Le dimanche des homosexuels est toujours lugubre. Car ils s'aperçoivent alors que le monde du jour, qui n'est pas leur domaine, règne sans réserve. Où qu'ils aillent, au théâtre, au café, au zoo, dans un parc d'attractions, dans un quartier quelconque de la ville, en banlieue, partout c'est le principe de la majorité qui avance triomphalement. C'était une procession de couples, vieux, entre deux âges, jeunes, amants, de familles, et d'enfants, d'enfants, d'enfants, d'enfants, d'enfants et, pour couronner le tout, de ces maudites poussettes ! C'était un défilé qui avançait sous les vivats. Il aurait été très facile pour Yûichi de les imiter en se promenant en compagnie de Yasuko [son épouse]. Mais quelque part au-dessus de sa tête l'œil de Dieu le surveillait dans le ciel limpide : les faux seront nécessairement découverts. »

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S'il est incontestable que le suicide rituel de Yukio Mishima a plus fait pour la réputation de l'homme que la connaissance de son œuvre, il n'en est pas moins vrai que c'est dans cette dernière qu'il faut rechercher les clefs de son destin.

Le héros des romans de Mishima est avant tout un idéaliste épris d'absolu. C'est un homme seul confronté à un monde cynique et déliquescent. Et c'est parce qu'il refuse les compromis que ce monde immoral lui impose qu'il se tourne vers la mort, infligée ou subie.

Le contexte culturel est celui d'un Japon exsangue, meurtri par la Seconde Guerre mondiale, humilié, réduit à l'état de dépendance par les Américains, symboliquement dirigé par un empereur-dieu coupable de collaboration avec l'Allemagne nazie et assigné à résidence par les Alliés dans son palais de Tokyo. C'est la honte, le déshonneur suprême pour ce fier peuple descendant des samouraïs.

La découverte de son impuissance à changer l'état des choses amène progressivement le personnage central des romans de Mishima à se retirer du monde, le rendant ainsi prisonnier de lui-même. Ne pouvant revendiquer sa liberté au-dehors, il décide de la vivre au-dedans. Imperceptiblement, il laisse la pensée et la connaissance prendre possession de son existence. Cette cérébralité monstrueuse, excessive, qui se développe telle une tumeur à l'intérieur de son corps, va rendre inéluctable sa disparition d'un monde où il n'a plus sa place. Voilà pourquoi l'homme, chez Mishima, apparaît toujours, dans son essence, comme un inadapté social. Seul et isolé, il n'a d'autre issue que la mort.

Ainsi blessées au plus profond de leur identité, les créatures de Mishima (les personnages clés sont toujours des hommes) développent en eux-mêmes, un monde idyllique, sorte de paradis perdu d'avant la défaite, d'avant le péché, d'avant la faute.

Les amours interdites

Peu à peu se creuse l'écart entre monde symbolique et monde réel, entre illusion et matérialité. Refusant la réalité source de honte, le héros ne vit plus que dans l'apparence de la réalité. Ainsi se crée un décalage incommensurable et l'amorce d'une schizophrénie qui débouche sur la mort :

« Le destin de votre race vous interdit d'avoir une existence réelle », répond le vieil écrivain au beau Yûichi, ajoutant : « Dans le monde de la réalité, il n'y a qu'une accumulation hétérogène d'êtres humains, d'hommes, de femmes, d'amants, de familles... Mais le monde de l'expression est symbolisé par l'humanité, la virilité, la féminité, ce qui rend un amant digne de l'être, ce qui constitue l'essence d'une famille... » (Mishima, Les amours interdites, Editions Gallimard, 1989, ISBN : 2070715647, pp. 169-170)

D'une certaine manière, ce refus de transiger avec le réel conduit à une impasse. De régression en régression, le héros se condamne. Il y a quelque chose de pitoyable mais de profondément touchant dans cette loyauté à soi-même. Car c'est une fidélité à l'enfant. A cet enfant qui est en chacun de nous et que l'existence oblige à tuer. C'est pour ne pas renoncer à cet univers préservé de l'enfance et à sa croyance en un monde pur et lumineux que meurent les héros de Mishima.

Bien qu'il ne soit plus un enfant, le vieil écrivain des Amours interdites, rencontrant le jeune Yûichi, caresse aussitôt l'espoir de réaliser un rêve impossible et fou : « Lorsqu'il avait vu émerger entre les vagues un jeune homme pourvu de tout ce qui avait été interdit à sa propre jeunesse, un beau garçon qui n'aimait pas du tout les femmes, Shunsuké Hinoki avait constaté que le moule de sa jeunesse malheureuse avait laissé apparaître une surprenante statue. S'incarnant dans ce jeune homme à la chair marmoréenne, la jeunesse de Shunsuké avait aussitôt perdu toute crainte envers la vie. [...] Shunsuké avait alors tenté de créer une œuvre d'art idéale, telle que, de toute sa vie, il n'avait pu en concevoir. Une œuvre d'art, suprêmement paradoxale, défiant l'esprit au moyen du corps et défiant l'art au moyen de la vie. » (Les amours interdites, p.477)

Ce projet que Shunsuké va poursuivre jusqu'à sa mort et qu'en apparence il réalisera, c'est précisément celui de la vengeance d'un homme sur la nature. Shunsuké rêve de se substituer à Dieu, il rêve de réécrire l'histoire, d'introduire une justice immanente dans un monde qui en est dépourvu. Il n'a jamais accepté d'être à la fois laid et désirant. A cause de cela, les femmes se sont jouées de lui. La rencontre d'un jeune homme exceptionnellement beau et sans désirs pour elles va lui permettre de se venger de toutes les créatures qui l'ont fait souffrir.

Il expose à Yûichi ses raisons : « La première, c'est que vous êtes d'une rare beauté. J'aurais aimé vous ressembler lorsque j'étais jeune. La seconde, c'est que vous n'aimez pas les femmes. J'aimerais vous ressembler aujourd'hui. Mais on ne peut rien contre ce que l'on est. Vous m'apportez ma véritable révélation. Je vous en prie. Je voudrais que vous reviviez ma jeunesse, mais à l'envers. En clair, j'aimerais que vous deveniez mon fils et me vengiez. » (Les amours interdites, p.45)

Tel un enfant, le vieillard croit au pouvoir magique de la volonté. Derrière son discours empreint de maturité se profile le « je veux » de rites propitiatoires et incantatoires de l'enfance. Et c'est parce qu'il sait, à l'instant même où il le rencontre, que Yûichi a conservé cette pureté originelle de l'enfance que Shunsuké est immédiatement fasciné par le garçon. Et c'est parce que lui-même, écrasé sous le poids des convenances, des habitudes et des rigidités, tente désespérément de renouer avec sa propre enfance qu'il va vampiriser l'innocence du jeune homme. Yûichi apparaît comme le parangon de l'homme naturel, une forme parfaite dénuée de conscience, l'illustration d'un hédonisme triomphant. Ce corps fait pour le plaisir sans les affres de la conscience renvoie au concept de paradis perdu. Ainsi Yûichi serait l'incarnation du rêve de l'auteur : « Il ne connaît même pas ce remède qu'est l'introspection, remède qui imprègne n'importe quel jeune homme de la puanteur de l'encens ; il n'assume pas non plus la responsabilité de ses actes. Bref, la morale de ce jeune homme consiste à ne rien faire. » (Les amours interdites, p.124)

Encouragé par Shunsuké, Yûichi va laisser éclater son amoralisme fondamental : « Ce bel enfant terrible trahissait constamment la faveur de ses amants aînés et abandonnait, après les avoir aimés, d'innombrables amants plus jeunes que lui. » (Mishima, Les amours interdites, p.408) Marié, séducteur de deux femmes, amant du mari de l'une d'elles, gigolo d'un riche industriel, tombeur de tous les bellâtres qui croisent sa route, il s'offre le luxe d'une jouissance païenne dégagée du garde-fou des religions : la culpabilité. « Vous n'êtes jamais influencé par la réalité, mais vous influencez constamment la réalité » (Les amours interdites, p.487), lui confie Shunsuké.

Yûichi donne chair au mythe païen d'une existence gouvernée par le seul plaisir et limitée par le seul désir. Cette nostalgie d'un panthéisme sans interdits, originel, se confond, dans l'image divine de Yûichi, avec la pureté virginale de l'enfance. Car Yûichi n'est jamais immoral, il est simplement amoral.

Il fascine d'autant plus Shunsuké que ce dernier, comme tous les héros de Mishima, souffre d'un excès de cérébralité, et plus précisément d'un excès de conscience. Lucide quant aux limites de son existence, il ne se fait guère d'illusions sur ses chances de salut.

Cela ne l'empêche pas de lutter désespérément jusqu'à son dernier souffle. Mishima ne conçoit l'homme que dans l'action, même si cette action n'est jamais que l'ultime avatar de la connaissance. Où s'arrête l'une, où commence l'autre ? Le héros serait bien en peine de le dire. Ce qu'il sait simplement, c'est qu'il ne peut pas ne pas agir, que son action n'est rien de moins qu'une précipitation de sa pensée.

Shunsuké, le vieil écrivain des Amours interdites, se suicide alors même qu'il vient de mener à terme son oeuvre littéraire et que Yûichi l'a vengé de sa vie d'homme laid : c'est qu'il a mesuré l'inanité et la vanité de ses entreprises et que, comme l'arroseur arrosé, il est devenu sa propre victime. Amoureux de Yûichi, il a cru posséder la beauté alors qu'il n'en a saisi que l'apparence : c'est dans sa mort qu'il accomplit son œuvre la plus achevée.

De la même manière que ses héros, Mishima, qui cherchait le sens de son existence, constatera qu'il n'y a rien, face à lui, qu'un ciel désespérément vide : vacuité de l'existence et certitude que les vraies richesses se trouvent ailleurs, dans la vie céleste. C'est pourquoi il choisit la mort comme accomplissement de son œuvre la plus achevée.


 

Lire un autre extrait des Amours interdites - un autre extrait - encore un autre extrait


 

Lire encore : Confession d'un masque de Yukio Mishima


 

 Lire aussi : Mort et vie de Mishima d'Henry Scott-Stokes

 

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Mercredi 31 janvier 3 31 /01 /Jan 06:40

"53 ans après les habitants de Palerme me reconnaissent dans la rue...c'est stupefiant! "

 

envie d'avoir envie !

Ajoutée le 29 sept. 2016 PLUS D' UN AN PASSE DEJA /

Stupéfiant! a fait un rêve : revoir Alain Delon dans le palais du Guépard, l’un des plus grands films de l’histoire du cinéma. 53 ans après, l'acteur a accepté de retourner au Palais Gangi à Palerme, là où Luchino Visconti a tourné la mythique scène du bal.

«Stupéfiant !», le magazine culturel présenté par Léa Salamé.
Mercredi à 22.40 sur France 2

Depuis il a fait une interview dans laquelle il dit son degoût pour le monde actuel.

Par FRANCE 2 SALAME DELON - Publié dans : L'ART DE /erotic music ciné danse peintur litter.. - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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